- Vers la 2ÈME PARTIE DU RAPPORT

- Cliquer ici pour retourner au sommaire général

- Cliquez ici pour retourner à la liste des rapports et avis budgétaires



© Assemblée nationale

() Ces dotations ne prennent en compte que les allégements de fiscalité locale. Les compensations liées à la suppression d'impôts locaux (part régionale de la taxe d'habitation ou encore droits de mutation à titre onéreux perçus par les régions) font l'objet de dotations particulières, recensées dans les dotations de fonctionnement, tandis que celles liées à la modification d'impôts transférés (baisse des droits de mutation à titre onéreux perçus au profit des départements ou exonérations de taxe différentielle sur les véhicules à moteur) sont intégrées, en vertu des principes de décentralisation, dans la dotation générale de décentralisation.

() Il convient d'ajouter aux 273,5 milliards d'euros le montant des prélèvements sur recettes au profit des collectivités locales (36,35 milliards d'euros en 2003).

() En francs constants.

(1) Celles dont les recettes de taxe professionnelle connaissent une progression importante par rapport à 1987.

() Communes éligibles à la DSU ou bénéficiaires de la fraction « bourgs-centres » de la DSR, départements éligibles à la dotation de fonctionnement minimal et régions éligibles au fonds de correction des déséquilibres régionaux.

() Il s'agit d'impôts dont l'assiette est commune soit à plusieurs niveaux de collectivités locales, soit à l'Etat et à un ou plusieurs niveaux de collectivités locales.

() Il s'agit dans les deux cas d'un impôt facultatif.

() S'agissant des arrondissements, ceux ci ne disposent pratiquement d'aucune ressource propre. Ils sont principalement financés par :

() L'Andalousie, le Pays Basque, les Iles Canaries, la Catalogne, la Galice, la Navarre et la Communauté valencienne.

() Précisons que la Navarre et le Pays Basque disposent de recettes fiscales spécifiques : elles collectent la totalité des impôts nationaux, mais elles acquittent en contrepartie une subvention au titre des services publics rendus par l'Etat, déterminée dans le cadre d'un accord passé avec celui-ci. Alors que les ressources de la Communauté de Navarre sont, principalement, d'origine fiscale, celles du Pays Basque sont principalement constituées des transferts en provenance de ses trois provinces.

() Instaurées entre 1946 et 1948 dans le Val d'Aoste, le Trentin Haut Adige, le Frioul- Vénétie-Julienne, la Sardaigne et la Sicile.