INTRODUCTION 7

CHAPITRE PREMIER : LE CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL 9

I.- LES CRÉDITS DEMANDÉS POUR 2003 9

II.- L'ACTIVITÉ DU CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL 11

CHAPITRE II : LES JOURNAUX OFFICIELS 15

I.- LE BUDGET ANNEXE DES JOURNAUX OFFICIELS 15

II.- L´ACTIVITÉ DES JOURNAUX OFFICIELS 17

III.- L'ÉVOLUTION DES RECETTES 20

IV.- L'ÉVOLUTION DES CHARGES 22

V.- L'ÉQUILIBRE DES COMPTES ET LA TRÉSORERIE 23

VI.- L´ÉVOLUTION DES EMPLOIS 24

CHAPITRE III : LES SERVICES GÉNÉRAUX DU PREMIER MINISTRE 26

I.- LE BUDGET DES SERVICES GÉNÉRAUX 26

II.- LA DIRECTION DE LA DOCUMENTATION FRANÇAISE 40

III.- LES ORGANISMES RELEVANT DU PREMIER MINISTRE 46

IV.- L'INDEMNISATION DES VICTIMES DES LÉGISLATIONS ANTISÉMITES EN VIGUEUR PENDANT L'OCCUPATION. 58

CHAPITRE IV : LE PLAN 62

I.- LES CRÉDITS DEMANDÉS POUR 2003 62

II.- L'ACTION DU COMMISSARIAT GÉNÉRAL DU PLAN 69

EXAMEN EN COMMISSION 72

(en millions d'euros)

(1) dont 25 emplois au titre de la réserve administrateurs civils depuis 1999.

(2) dont personnel de production.

Source : Services généraux du Premier ministre.


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© Assemblée nationale

() Les membres des sections sont nommés pour deux ans par le Gouvernement. Ils ont un rôle d'experts auprès des diverses sections qui les accueillent.

() La durée du mandat de conseiller économique et social est de cinq ans. Le renouvellement intervient normalement au mois de septembre de l'année du terme. Seuls les membres du Conseil acquièrent des droits à pension.

() Ils n'étaient qu'une dizaine, il y a vingt ans.

() Le 8 mars 2000, le Conseil avait déjà créé une autre délégation. Chargée des droits des femmes et de l'égalité des chances entre hommes et femmes, elle a l'intention de collaborer étroitement avec les délégations parlementaires consacrées aux mêmes thèmes.

() Société à forme coopérative, son capital - divisé en 400 actions de 800 francs - est détenu par les ouvriers, et réparti à raison d'une action par sociétaire. Ses dirigeants sont élus et son objet n'est pas de faire des bénéfices. Mais ses statuts de 1998 ne correspondent pas exactement à celui des sociétés coopératives.

() Le seuil de publication obligatoire au Bulletin officiel était fixé à 900.000 francs TTC (137.204,12 euros) pour tous les marchés. Il est passé à 1,020 million de francs TTC (0,16 million d'euros) pour les marchés de l'État et à 1,312 million de francs (0,20 million d'euros) pour les marchés des collectivités locales.

() Le total des salaires, traitements, primes et indemnités, prestations et cotisations sociales et des dépenses liées aux _uvres sociales représente près de 20 % des dépenses d'exploitation.

() La plupart des réponses ont été reçues le 3 octobre, certaines ne parvenant à votre Rapporteur spécial qu'à l'extrême fin du délai organique, une semaine avant l'examen des crédits par votre Commission des finances, alors que l'ensemble était attendu pour le 11 septembre 2002.

() La loi de finances rectificative du 28 décembre 2001 a ainsi prévu une mesure nouvelle de 16,71 millions d'euros.

() Le rapport a été remis au Premier ministre le 19 octobre 2001.

() Un arrêté du 27 février 2002 a ainsi institué une telle régie d'avances auprès du cabinet du Premier ministre.

() Il s'agit de plafonds. Un décret n° 2002-1058 du 6 août 2002 relatif au traitement des membres du Gouvernement précise que les ministres délégués bénéficieront du maximum tandis que pour les secrétaires d'État, le traitement brut mensuel sera égal à 1,9 fois la moyenne prévue par la loi.

() Lorsque l'assiette de l'impôt sur le revenu est précisée, il est pourtant d'usage d'indiquer celle de la contribution sociale généralisée et de la contribution pour le remboursement de la dette sociale. Voir par exemple, l'article 3 de la loi de finances rectificative pour 2000 (n°2000-656 du 13 juillet 2000) relatif au traitement fiscal de l'indemnité de cessation d'activité des salariés ayant manipulé de l'amiante.

() Le sixième alinéa du IV de l'article 164 de l'ordonnance n° 58-1374 du 30 décembre 1958 portant loi de finances pour 1959 empêchait, et empêche toujours, les rapporteurs spéciaux de prendre connaissance de documents touchant à des sujets de caractère secret concernant la défense nationale et la sécurité intérieure et extérieure de l'État.

() L'agrégat, curieusement, n'inclut pas tous les crédits « Renseignement » puisque les crédits de personnel de la
direction du renseignement militaire n'y sont pas inclus.

(2) Le projet de loi de finances pour 2003 prévoit un effectif civil et militaire de 4.698 personnes à la direction générale de la sécurité extérieure.

() L'article 20 de la loi du 3 juillet 1978 portant règlement définitif du budget de 1976 dispose que tous les textes réglementaires intervenant pour l'exécution des lois de finances sont publiés, « à l'exception de ceux portant sur des sujets de caractère secret concernant la défense nationale, les affaires étrangères et la sécurité intérieure ou extérieure de l'État ».

() Les crédits votés en loi de finances pour 2001 s'élevaient à 9,5 millions d'euros. Les dépenses ont atteint en fait 17,2 millions d'euros.

() La Commission a été créé en 1995 mais s'est vue accordée le statut d'autorité administrative indépendante en 2002.

() Les délégués départementaux sont nommés par le médiateur pour une durée d'un an renouvelable. Ce sont des volontaires bénévoles qui rendent un service gratuit. Ils perçoivent simplement une indemnité représentative de frais. En pratique, 64% d'entre eux sont des fonctionnaires à la retraite.

() Le nombre de connexions s'est stabilisé à plus de 300.000 par mois.

() Sur 89 agents permanents, 54 sont mis à disposition par différentes administrations.

() Ces transmissions ne sont pas obligatoires, contrairement à celles qui concernent les communications aux ministres. Ces dernières doivent être adressées aux commissions des finances des deux assemblées en application de l'article L. 135-5 du code des juridictions financières.

() Voir notamment le rapport du Conseil d'État de 2001.

() Le prochain rapport devrait être remis en novembre 2002.

() Fin septembre 2002, 22 organismes étaient rattachés au budget des Services généraux tandis que 18 l'étaient administrativement, compte non tenu des autorités administratives indépendantes.

() Loi n° 2000-1353 du 30 décembre 2000.

() La fondation doit être distinguée de la Fondation pour la mémoire de la déportation créée en 1990, à la vocation plus large puisque traitant aussi de la déportation pour faits de résistance.

() La Commission composée de dix membres (deux représentants par grand corps, en activité ou en retraite) dispose de 28 magistrats des ordres judiciaires, administratifs ou relevant de la Cour des comptes mis à disposition deux jours par semaine, assistés de quelque 40 agents permanents recrutés par contrats (archivistes, historiens, financiers...). Elle dispose, en outre, d'un numéro vert fonctionnant 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, et d'un site internet.

() Certaines peuvent être adressées à des compagnies d'assurance ou aux banques.

() 45 % des dossiers sont traités en plus de 2 ans. Aux délais d'examen des dossiers, il convient d'ajouter ceux relatifs aux paiements stricto sensu qui sont, en moyenne, de cinq mois et demi.

() Environ 76.000 personnes, dont 11.000 enfants, ont été déportées de France vers les camps de la mort du seul fait qu'elles étaient considérées comme juives. Moins de 3000 sont revenus.

() Environ 85.000 personnes ont été déportées pour des motifs répressifs. La moitié des victimes est décédée. Mais l'évaluation du nombre d'orphelins est très difficile à établir. Ils pourraient être entre 30.000 et 35.000.

() 98 % des ressources de l'OFCE en 2002, 82 % des ressources de l'IRES en 2002, 87 % des ressources du CEPREMAP en 2001. Le solde est assuré par le produit des publications et les contrats d'étude

() Les contrats représenteraient 68 % des ressources du CREDOC en 2001