INTRODUCTION 5

I.- UN PROJET DE BUDGET DÉSÉQUILIBRÉ DESTINÉ À FINANCER UN SECTEUR ÉCONOMIQUE CONVALESCENT 7

A.- LA MODIFICATION DU PÉRIMÈTRE DU FIATA PÈSE SUR L'ÉQUILIBRE DES DIFFÉRENTS POSTES BUDGÉTAIRES FINANÇANT LE SECTEUR DES TRANSPORTS AÉRIENS 7

B.- LE PROJET DE BUDGET POUR 2004 REFLÈTE LA SITUATION ÉCONOMIQUE D'UN SECTEUR CONVALESCENT 15

II.- LES MUTATIONS STRUCTURELLES DU SECTEUR APPELLENT UNE RÉACTION POLITIQUE ADAPTÉE 19

A.- DES ÉVOLUTIONS JURIDIQUES IMPORTANTES ENTRE DÉSENGAGEMENT DES ÉTATS ET PERMANENCE DES MISSIONS RÉGALIENNES 19

B.- UNE RECOMPOSITION ÉCONOMIQUE RAPIDE 22

III.- UNE STRATÉGIE À CLARIFIER SUR CERTAINS POINTS FONDAMENTAUX DE LA POLITIQUE DES TRANSPORTS AÉRIENS 29

A.- QUEL SOUTIEN AUX COMPAGNIES AÉRIENNES ? 29

B.- QUELLE POLITIQUE AÉROPORTUAIRE ? 33

C.- QUELLE POLITIQUE DE MAÎTRISE DES NUISANCES AÉRIENNES ? 37

EXAMEN EN COMMISSION 43

 

LFI 2003

PLF 2004

DÉPENSES

Section des opérations d'exploitation

Chapitre 01 : Subven-tions aux entreprises de transport aérien en vue d'assurer l'équilibre des dessertes aériennes réalisées dans l'intérêt de l'aménagement du territoire

16,00

28,00

Chapitre 05 : Dépenses directes de l' État en matière de sûreté, de SSLIA et du péril aviaire

8,08

9,1

Chapitre 06 : Subventions aux gestionnaires d'aérodromes relatives au SSLIA et au péril aviaire ou en matière de sûreté

33,50

44,9

Chapitre 08 : Dotations aux collectivités locales au titre de la continuité territoriale (nouveau)

-

30,0

Total de la section des opérations d'exploitation

57,58

112

Section des opérations en capital

Chapitre 07 (art. 10 et 20) : Dépenses directes de l'État relatives au SSLIA et au péril aviaire

7,00

5,00

Chapitre 07 (art. 30) : Dépenses directes de l'État en matière de sûreté

6,00

1,00

Total de la section des opérations en capital

13,00

6,00

Total des dépenses

70,58

118,00

RECETTES

Ligne 01 : Taxe de péréquation des transports aériens restant à encaisser

-

-

Ligne 02 : Part de la taxe d'aviation civile affectée au FIATA

70,58

118,00

Ligne 03 : Recettes diverses ou accidentelles

-

-

Total des recettes

70,58

118

Source : Ministère de l'Equipement

      Pour être éligible au FIATA, une liaison doit remplir simultanément les critères suivants (sont mentionnées en italique les modifications introduites par le décret n° 99-830) :

    · Existence d'un trafic compris entre 10 000 et 150 000 passagers lors de l'année précédant l'intervention du fonds ou prévision d'un trafic supérieur à 10 000 passagers par an dans le cas où la liaison n'était pas exploitée lors de l'année précédant l'intervention du fonds. Ce seuil peut être abaissé, sans pouvoir être inférieur à 5 000 passagers par an, lorsqu'elle présente un caractère vital pour le désenclavement des régions qu'elle relie, en tenant compte des possibilités alternatives d'acheminement offertes par voie de surface, et des perspectives de développement suffisantes pour atteindre un trafic de 10 000 passagers à l'issue de trois ans d'exploitation. Le seuil minimal de 10 000 passagers par an n'est pas exigé pour les liaisons qui étaient exploitées au 1er janvier 1995.

    · La liaison doit relier deux aéroports dont l'un au moins n'a pas dépassé un trafic total de 1,5 million de passagers lors de l'année précédente.

    · Absence de liaisons routière, entre centres villes correspondants, ou ferroviaire, entre gares correspondantes, ou maritime, entre ports correspondants, de durée de trajet de moins de deux heures trente minutes, le service ferroviaire ou maritime offrant soit un programme d'un aller et retour en début de journée et un aller et retour en fin de journée, au moins 220 jours par an, hors les samedis, les dimanches et les jours fériés.

      Toutefois, peuvent être déclarées inéligibles les liaisons nouvelles dont le trafic prévisionnel est compris entre 5 000 et 10 000 passagers annuels et pour lesquelles la durée mentionnée à l'alinéa précédent est supérieure à deux heures trente minutes, lorsque l'existence d'un acheminement alternatif par un autre mode de transport répond aux besoins essentiels de transport sur la relation considérée.

    · Inexistence d'un acheminement alternatif par un aéroport accessible en moins de trente minutes de plus que le temps requis pour accéder à l'aéroport local considéré. L'aéroport alternatif doit offrir soit un programme d'au moins un aller et retour en début de journée et un aller et retour en fin de journée au moins 220 jours par an, hors les samedis, les dimanches et les jours fériés, soit l'équivalent du programme réduit lorsqu'un tel programme est retenu pour la liaison aérienne.

      Toutefois, peuvent être déclarées inéligibles les liaisons nouvelles dont le trafic prévisionnel est compris entre 5 000 et 10 000 passagers annuels et pour lesquelles la durée mentionnée à l'alinéa précédent est supérieure à trente minutes, lorsque l'existence d'un acheminement via un aéroport alternatif répond aux besoins essentiels de transport sur la relation considérée.

SECTION DES OPÉRATIONS D'EXPLOITATION

Dépenses

Recettes

 

Loi de finances initiale pour 2003

Projet de loi de finances pour 2004

Évolution 2004/2003 (en %)

 

Loi de finances initiale pour 2003

Projet de loi de finances pour 2004

Évolution 2004/2003 (en %)

Achats et services

112,3

127,3

13,3

Redevance de route

911,5

932,8

2,3

Services extérieurs

14,8

-

-100

Redevances pour services terminaux en métropole

198,2

214,9

8,4

Impôts et taxes

5,5

5,6

1,8

Redevances pour services terminaux en outre-mer

19,2

34,2

78,1

Charges de personnel

792,3

810,0

2,3

Taxe de l'aviation civile

224

204,8

-8,5

Autres charges de gestion courante

210,6

234,0

11,4

Autres produits divers

15,6

13,7

-12,2

Charges financières

23,0

23,0

-

Produits financiers

1,1

0,5

-54,5

Charges exceptionnelles

40,8

25,9

-36,5

Reprises sur provisions

6,7

16,9

152,2

Dotations aux amortissements et aux provisions

176,8

191,5

8,3

       

Total des dépenses de fonctionnement

1 376,3

1 417,9

3,0

Total des recettes de fonctionnement

1 376,3

1 417,9

3,0

SECTIONS DES OPERATIONS EN CAPITAL

Amortissement financier

91,0

91,0

-

Autofinancement

159,8

176,0

10,1

Investissement

195,0

180,0

-7,7

Produit brut des emprunts

126,2

95,0

-24,7

Total des dépenses brutes en capital

286,0

271,0

-5,2

Total des recettes brutes en capital

286,0

271,0

-5,2

A déduire : dotations aux amortissements

-159,8

-176,0

 

A déduire : autofinancement

-159,8

-176,0

 

Total des dépenses nettes

1 502,5

1 512,9

0,7

Total des recettes nettes

1 502,5

1 512,9

0,7

Source : Projet de loi de finances pour 2004.

 

Autorisations de programme

Crédits de paiement

 

LFI 2003

PLF 2004

LFI 2003

PLF 2004

Construction aéronautique

       

1. Soutien à la recherche

58,4

58,0

59,0

60,7

2. Avances remboursables

       

- Airbus A340-500/600

-

-

5,9

-

- Airbus A380

113,6

157,1

152,4

159,8

- Moteurs GE 90-115 et GP 7200

25,0

5,5

20,6

13,2

- Falcon F7X

12,2

10,8

14,0

11,1

- Équipements de bord

47,7

32,0

42,4

43,5

3. Divers

       

- Aviation légère

1,0

1,0

1,3

1,0

- Subventions d'investissement

4,0

4,0

4,0

4,0

Total construction aéronautique

261,9

268,4

299,5

293,3

Études de sécurité

1,7

1,2

1,2

1,0

Total général

263,7

269,6

300,7

294,3

Source : Ministère de l'Equipement, 2004.

Ces accords comportent souvent également des programmes communs de fidélisation de la clientèle et un aménagement des horaires des vols de façon à faciliter les correspondances entre liaisons des compagnies alliées. Ainsi, Air France et Delta ont signé un accord de partenariat en juin 1999, base de l'alliance globale SkyTeam, qui est née le 22 juin 2000 regroupant à l'époque les compagnies Aeromexico, Air France, Delta Air Lines et Korean Air. Par ailleurs, la compagnie tchèque CSA et Alitalia ont rejoint SkyTeam en 2001.

Dans un deuxième temps, le développement de ces alliances s'est concrétisé par l'obtention d'immunités antitrust permettant d'aller au-delà de simples accords commerciaux et rendant possible le partage de tout ou partie des recettes perçues par les compagnies alliées. C'est ainsi que, dans le cadre de l'immunité antitrust accordée par les autorités américaines le 18 janvier 2002, Air France, Alitalia, Delta et CSA pourront, dans le courant de l'année 2003, partager, dans une mesure d'ailleurs limitée, leurs recettes sur les routes de l'Atlantique nord. La Commission européenne, dans une communication du 30 juillet 2002 concernant les alliances Star et KLM/Northwest, a indiqué qu'elle entendait également adopter une position favorable à l'égard de ces partenariats et des alliances en général.

En 2001, les quatre grandes alliances ont réalisé 60 % du trafic mondial :

POIDS DES ALLIANCES STRATEGIQUES EN 2001

 

    Trafic total
    (millions de passagers - kilomètres transportés)

    Part du trafic mondial en 2001

    Star alliance

   

    Air Canada, Air New Zealand, All Nippon Airways, Austrian Airelines Groupe, British Midlands, Lufthansa, Mexicana Airlines, SAS, Singapore Airlines, Thai Airways, United Airlines, Varig

    612

    23 %

    Oneworld

   

    Aer Lingus, American Airlines, British Airways, Cathay Pacific, Finnair, Iberia, LAN-Chile, Qantas

    456

    17 %

    Skyteam

   

    Aeromexico, Air France, Alitalia, Delta Airlines, Korean, CSA Czech Airlines

    344

    13 %

    Wings

   

    KLM, Northwest

    175

    7 %

    TOTAL

    1587

    60 %

Source : Direction générale de l'aviation civile - septembre 2002.

Selon la Direction générale de l'aviation civile, l'ensemble des accords et partenariats d'Air France avec d'autres compagnies a permis à la société d'augmenter son résultat de 117 milliards d'euros sur l'exercice 2001/2002. Le partenariat avec Delta a rapporté plus de la moitié de ce montant. A l'horizon 2005, les accords avec Alitalia devraient représenter un gain annuel de l'ordre de 180 milliards d'euros au total pour les deux compagnies. Cette alliance représente un formidable potentiel de 1 200 avions, et regroupe 173 000 salariés. L'alliance, par le biais d'environ 7 000 vols quotidiens, dessert actuellement 512 destinations dans plus de 110 pays.

Source : Direction générale de l'aviation civile/SDEEP.

LES FLUX DE TRAFIC AÉRIEN EN FRANCE EN 2002

(en milliers)

 

    Passagers

    Mouvements commerciaux

 

    2002

    2002/2001

    2002/2000

2002

2002/2001

2002/2000

    Métropole - International

    68 692,4

    + 2,3 %

    + 2,6 %

    875,7

    - 2,9 %

    - 3,3 %

    Métropole - Union européenne

    36 417,8

    +3,1 %

    + 2 ,9 %

    585,1

    - 2,4 %

    - 2,5 %

    Paris - International

    49 685,1

    + 2,6 %

    + 1,8 %

    485,9

    - 0,9 %

    - 1,2 %

    Province - International

    19 007,3

    + 1,5 %

    + 4,7 %

    389,8

    - 5,3 %

    - 5,7 %

    Métropole - Métropole

    24 250,8

    - 2,9 %

    - 10,2 %

    413,7

    - 4,9 %

    - 10,2 %

    Paris - Province

    18 429,8

    - 3,9 %

    - 12,9 %

    214,3

    - 7,5 %

    - 12,9 %

    Province - Province

    5 821,1

    + 0,3 %

    - 0,1 %

    199,3

    - 2,0 %

    - 7,0 %

    Total hors Outre-Mer

    92 943,3

    + 0,9 %

    - 1,1 %

    1 289,3

    - 3,6 %

    - 5,6 %

    Métropole - Outre-Mer

    3 363,6

    - 2,9 %

    - 10,4 %

    9,2

    - 1,1 %

    - 11,9 %

    Outre-Mer - Domestique

    1 908,1

    - 4,6 %

    - 7,5 %

    82,9

    - 9,3 %

    - 19,8 %

    Outre-Mer - International

    1 744,4

    - 4,1 %

    - 8,8 %

    57,0

    + 0,7 %

    - 11,2 %

    Total Outre-Mer

    7 016,2

    - 3,7 %

    - 9,2 %

    149,1

    - 5,2 %

    - 16,2 %

    TOTAL FRANCE

    99 959,4

    + 0,5 %

    - 1,7 %

    1 438,5

    - 3,7 %

    - 6,8 %

* Dans le calcul des flux, le trafic de l'aéroport franco-suisse Bâle-Mulhouse est considéré comme entièrement français

Source : Direction générale de l'aviation civile, 2003.

 

    Passagers locaux

    Mouvements commerciaux

 

    2002

2002/2001

2002/2000

2002

2002/2001

2002/2000

Paris

Paris-CDG

Paris-Orly

71 401,6

48 258,0

23 143,6

+ 0,6 %

+ 0,7 %

+ 0,6 %

- 2,9 %

+ 0,2 %

- 8,8 %

709,1

501,5

207,6

- 2,9 %

- 2,6 %

- 3,7 %

- 5,1 %

- 1,4 %

- 13,1 %

Nice-Côte-d'Azur

9 183,2

+ 2,3 %

- 1,9 %

176,2

- 8,8 %

- 14,3 %

Lyon-Saint-Exupéry

5 724,6

- 5,5 %

- 3,5 %

114,7

- 9,5 %

- 7,7 %

Marseille-Provence

5 360,5

- 8,2 %

- 15,5 %

86,7

- 6,7  %

- 13,4 %

Toulouse-Blagnac

5 288,5

+ 2,0 %

+ 0,8 %

82,3

- 4,5 %

- 6,0 %

Bâle-Mulhouse

2 985,0

- 14,8 %

- 19,4 %

85,6

- 11,9 %

- 16,2 %

Bordeaux-Mérignac

2 904,7

- 4,4 %

- 3,4 %

50,5

- 4,9 %

+ 1,1 %

Strasbourg***

1 993,8

- 4,6 %

- 0,9 %

38,9

- 7,5 %

+ 2,2 %

Nantes-Atlantique

1804,2

- 6,0 %

- 4,0 %

36,7

- 8,4 %

- 15,4 %

Montpellier-Méditerranée

1 560,0

+ 1,1 %

- 10,0 %

23,9

- 0,3 %

- 9,6 %

Ajaccio-Campo Dell'oro

1 062,9

- 3,3 %

- 0,4 %

14,6

- 0,0 %

+ 0,4 %

Clermont-Ferrand Auvergne

1 068,8

+ 27,9 %

+ 17,6 %

46,1

+ 27,5 %

+ 19,4 %

Lille-Lesquin

917,9

- 5,2 %

- 7,3 %

22,9

- 5,5 %

- 7,1 %

Bastia-Poretta

823,7

- 5,1 %

- 1,1 %

14,3

+ 2,8 %

+ 4,3 %

Biarritz-Bayonne-Anglet

778,0

- 1,5 %

- 0,0 %

10,0

- 3,2 %

+ 0,3 %

Total des 15 premiers aéroports français

112 849,5

- 0,7 %

- 3,8 %

1 512,5

- 4,6 %

- 7,0 %

Total des aéroports français

120 579,5

- 0,0 %

- 3,3 %

1 718,2

- 3,8 %

- 6,7 %

Source : Direction des transports aériens, 2003.

Un exemple d'incertitude : le cas de l'aéroport de Clermont-Ferrand

Clermont-Ferrand est le « hub » de Régional Compagnie Aérienne Européenne (CAE), devenue filiale à 100 % d'Air France, qui exploite 28 liaisons au départ de Clermont-Ferrand, dont six vers l'Europe et deux saisonnières à destination de la Corse. La plate-forme a vu son trafic augmenter de 26 % en nombre de passagers en 2002, mais sa situation financière est très dépendante de la compagnie Régional CAE, confrontée à d'importantes pertes d'exploitation.

Dans ce contexte, le groupe Air France a engagé en 2002 une concertation avec les collectivités locales clermontoises sur les moyens à mettre en _uvre pour améliorer la rentabilité économique de ce réseau. Dans un premier temps, la compagnie a décidé d'arrêter, en novembre 2002, la desserte des liaisons les plus déficitaires, Avignon, Brest et Pau, et de réduire la fréquence des liaisons vers Montpellier, Toulouse et Rennes.

L'ensemble de ces modifications ne permettant pas, selon la compagnie, de réduire de manière suffisante les pertes d'exploitation, elle poursuit actuellement les discussions entamées avec les collectivités locales, afin d'étudier une éventuelle répartition du déficit de certaines lignes entre la compagnie, les collectivités et le fonds d'intervention pour les aéroports et le transport aérien (FIATA), solution techniquement validée par la Direction générale de l'aviation civile dans le cadre de la mise en _uvre d'obligations de service public (OSP). De plus, le nouveau décret réformant les règles de fonctionnement du FIATA devrait être de nature à conforter ce hub.

Votre rapporteure engage le Gouvernement à maintenir ce hub domestique à Clermont-Ferrand, dans la mesure où il joue un rôle moteur en termes d'aménagement du territoire. L'aéroport gère en effet 21 liaisons quotidiennes avec les principaux aéroports de province, et plusieurs liaisons quotidiennes vers Marseille, Bordeaux, Nantes ou Toulouse. Ces liaisons permettent de joindre deux villes de province sans passer par les aéroports parisiens, ce qui représente à la fois un gain de temps et un diminution du trafic de correspondance sur les plates-formes.


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© Assemblée nationale

() Ces nouvelles liaisons qui feront l'objet d'un financement par le biais du FIATA sont les suivantes : Rennes-Mulhouse, Nîmes-Paris, Dijon-Clermont-Ferrand, Avignon-Clermont-Ferrand, Brive-Paris, Epinal-Paris, Roanne-Paris, Bourges-Paris, Carcassonne-Paris, Toulon-Lyon,Angoulème-Paris.

() Source : Communiqués OACI du 20 décembre 2002 et 11 août 2003.

() La tonne kilomètre transportée totale est une mesure combinée du trafic de passagers, de fret et de poste, qui tient compte de la distance parcourue.

() Source : communiqué AEA, 6 août 2003.

() Ce compte-rendu constitue un extrait de l'audition ayant eu lieu le 14 octobre 2003, composé uniquement des interventions relatives au secteur des transports aériens.