1ÈRE PARTIE DU RAPPORT

INTRODUCTION : LE BUDGET DES CHARGES COMMUNES : UN SUPPORT EN SURSIS ? 9

I.- LA « GESTION DE LA DETTE ET DE LA TRÉSORERIE DE L'ÉTAT » : UN QUASI-PROGRAMME AU SENS DE LA LOLF 21

II.- LES GRANDS BLOCS DE CRÉDITS DANS LE PROJET DE BUDGET 2004 DES CHARGES COMMUNES 23

III.- LES AUTRES AJUSTEMENTS DE CRÉDITS 29

CHAPITRE PREMIER : MAÎTRISER LA DETTE ET LE DÉFICIT : UNE EXIGENCE IMPÉRIEUSE POUR CONTENIR, SUR LE LONG TERME, LA CHARGE DE LA DETTE 30

I.- LES FINANCES PUBLIQUES FRANÇAISES EN 2002-2004 : LE DÉFICIT ET LA DETTE À L'ÉPREUVE EUROPÉENNE 33

II.- UNE CONFIGURATION DÉSORMAIS STABILISÉE DU PROGRAMME RELATIF À LA GESTION DE LA DETTE ET DE LA TRÉSORERIE 56

III.- DES INSTRUMENTS DE GESTION ÉPROUVÉS

IV.- L'AGENCE FRANCE TRÉSOR, GESTIONNAIRE DE LA DETTE ET DE LA TRÉSORERIE

V.- UNE CROISSANCE EXCEPTIONNELLEMENT MODÉRÉE POUR LA CHARGE DE LA DETTE

CHAPITRE II : LES CHARGES BUDGÉTAIRES COMMUNES

I.- LES CRÉDITS DES POUVOIRS PUBLICS

II.- LES DÉPENSES RELATIVES À LA FONCTION PUBLIQUE : RÉMUNÉRATIONS, PENSIONS, CHARGES SOCIALES

III.- LES DÉPENSES ET « QUASI DÉPENSES » DE FONCTIONNEMENT COURANT DES ADMINISTRATIONS

CHAPITRE III : LES DÉPENSES D'INTERVENTION DU TRÉSOR

I.- LES INTERVENTIONS À CARACTÈRE SOCIAL : UNE DIMINUTION DE PRÈS D'UN TIERS DES CRÉDITS EN 2004

II.- DES CRÉDITS D'INTERVENTION ÉCONOMIQUE ÉRODÉS PAR LA RÉFORME DE L'ÉPARGNE LOGEMENT

III.- LES RELATIONS FINANCIÈRES DU TRÉSOR AVEC LES COLLECTIVITÉS LOCALES

CHAPITRE IV : LES COMPTES SPÉCIAUX DU TRÉSOR RATTACHÉS AU BUDGET DES CHARGES COMMUNES

EXAMEN EN COMMISSION

(en milliards d'euros)

(en milliards d'euros)

(en % du PIB)

(en % du PIB, hors effet des licences UMTS)

(en % du PIB, hors effet des licences UMTS)

(en % du PIB)

(en % du PIB)

(en points de PIB nationaux)

(en points de PIB)

(en milliards d'euros)

(a) Dans le tableau, les nombres sont affectés d'un signe (+) lorsqu'ils accroissent la dette, d'un signe (-) lorsqu'ils la font décroître.

(b) Rubriques introduites dans la comptabilité de l'État en 1999.

(c) Dont 2,77 milliards d'euros au titre de l'apurement de l'écart d'intégration des dépôts particuliers aux CCP.

     


- Cliquer ici pour retourner au sommaire général

- Cliquez ici pour retourner à la liste des rapports et avis budgétaires



© Assemblée nationale

() En raison de l'absence de données relatives à l'Espagne en 1993 et 1994, aucun chiffre ne peut être déterminé pour la zone euro (non plus que pour l'Union européenne) pour ces deux années.

() Direction générale II, General Government Data (octobre 2003).

() Le cas du Luxembourg étant, ici également, mis à part.

() Votre Rapporteur spécial rappelle qu'en comptabilité nationale ou européenne, les dépenses militaires en capital sont considérées comme des dépenses de consommation intermédiaire des administrations et non pas comme une formation brute de capital fixe. De ce fait, elles sont incluses dans le poste « autres ».

() L'évolution du déficit public n'est pas exactement égale à la somme de celles des recettes et des dépenses en raison des arrondis sur la première décimale.

() Le Conseil européen avait notamment invité la Commission, la Banque européenne d'investissement et « d'autres institutions financières internationales à examiner les initiatives possibles à l'appui de grands projets d'infrastructures dans le domaine des transports, de l'énergie et des télécommunication ». Le Conseil invitait également le Conseil des ministres à étudier les moyens de mieux utiliser et d'améliorer les infrastructures existantes tout en réduisant les goulets d'étranglement, en comblant les chaînons manquants et en « encourageant l'investissement dans les infrastructures de base par le biais des instruments de financement disponibles de l'Union européenne et d'initiatives conjointes publiques - privées ».

() Cour des comptes, L'exécution des lois de finances pour l'année 1999, juin 2000 (p. 276) ; L'exécution des lois de finances pour l'année 2000, juin 2001 (p. 143).

() On peut citer, par exemple : le volume des transactions sur le marché secondaire de la dette, l'articulation du marché des titres avec un marché de produits dérivés performant et actif, l'écart entre cours vendeur et cours acheteur pour les transactions sur titres publics, la volatilité des cours, etc. Tous ces éléments donnent des informations sur la capacité du marché à absorber un volume important d'achats ou de ventes sans décalage sensible des cours, ce qui est la définition de la liquidité (possibilité de réaliser des transactions sans risque en capital).

() Votre Rapporteur spécial renverra, par exemple, aux travaux du « groupe d'étude sur les marchés de valeurs à revenu fixe », constitué auprès du département économique et monétaire de la Banque des règlements internationaux. Voir, en particulier : « The changing shape of fixed income markets », BIS Working Papers, n° 104, septembre 2001.