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© Assemblée nationale

() Rapport d'information° 2543 du 12 juillet 2000, de M. Didier Migaud, au nom de la MEC, sur le recouvrement de l'impôt, et, plus récemment, rapport d'information n° 1019 du 9 juillet 2003, de votre Rapporteur spécial au nom de la commission des finances de l'Assemblée nationale, sur la redevance audiovisuelle.

() Doc Assemblée nationale n° 1019 du 9 juillet 2003.

() Le Conseil constitutionnel ne s'est prononcé, lors de l'examen d'un dispositif voisin adopté dans le cadre de la loi de finances pour 1992, que sur une inconstitutionnalité de forme, le dispositif considéré, applicable à l'époque à une taxe parafiscale et non à une imposition de toute nature, apparaissant alors comme un « cavalier budgétaire » contraire à l'ordonnance organique du 2 janvier 1959 relative aux lois de finances. Cet argument ne vaut évidemment plus après la transformation de la redevance en imposition de toute nature.

() Sur la base de 264.664 comptes Noir et blanc en 2002, dont 46,6 % payants (données du Service de la redevance) avec un différentiel unitaire de 42,19 euros.

() Même rapproché de la gestion de la taxe d'habitation, demeureront vraisemblablement quelques coûts de collecte de la redevance réformée.

() Correspondant approximativement à 400 millions d'euros sur cinq ans, hors TNT et cessions d'actifs.

() Ce taux de 50 % ne prend pas en compte certains programmes de nuit qui ne constituent habituellement essentiellement que des rediffusions, ou des multidiffusions dans un court délai. Globalement, l'engagement de 50 % correspond, aux heures de grande écoute significative, à une offre de programmes adaptés équivalente aux deux-tiers du temps d'antenne.

() En l'occurrence, les explications fournies en réponse par le comité de gérance, essentiellement descriptives des programmes français fournis en supplément mais pas des raisons ayant conduit à cette situation, ne contribuent pas véritablement à justifier les écarts constatés, même si elles rappellent qu'une telle situation s'est déjà produite en 1998.

() Par exemple, 9,1 % de part d'audience pour « De neige et de glace », diffusé le 8 septembre 2002.

() Les calculs ont été effectués en nombre de jours de travail par an, sur l'hypothèse de 190 jours de travail par an pour les salariés permanents, hypothèse très inférieure au taux semble-t-il retenu par France-Télévisions, de 64 jours de travail annuel par personne. Le taux de 20 % correspond à 534.000 jours d'intermittents en 2002, rapportés à 13.954 salariés permanents, soit environ 2,6  millions de jours de travail.

() Selon France-Télévisions.

() Ces extraits doivent être appréciés à l'aune de l'introduction du rapport lui-même, qui insiste sur le fait que « le temps des « râleurs invétérés » - s'il a jamais existé - est révolu. (...) ».

() Certes, le format de l'émission a été légèrement revu, deux jours par semaine, depuis l'automne 2003, pour prendre la forme inverse dénommée « Ce n'est pas mon choix ». Il demeure que, globalement,, les observations recueillies par la Médiatrice ne paraissent guère suivies d'effets...même si la direction de la chaîne reste évidemment libre de sa programmation.

() En suivant un raisonnement basique, pour France Télévisions, une audience de 39 % pour un coût de 1,544 milliard d'euros représente 39,5 millions d'euros par point d'audience. Pour Arte, 194millions d'euros pour une audience de 3,5 % représentent 55,6 millions d'euros par point. Le rapport n'est donc supérieur que de 41 %. Mais il faut relever que la France ne supporte que la moitié du coût... En prenant en compte le coût global, le coût par point d'audience serait de l'ordre de 100 millions d'euros par point d'audience. Par ailleurs, la question posée en ces termes devrait surtout intéresser le partenaire allemand, compte tenu de la modestie de l'audience d'Arte dans ce pays.

() sur une base excluant les sports et l'information.