Source : Direction des transports terrestres.

(en milliards de voyageurs/km)

Source : Ministère de l'Équipement, des transports, du logement, du tourisme et de la mer.

(en milliards de tonnes/km)


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© Assemblée nationale

(1) Tel que retracé dans le fascicule jaune annexé au projet de loi de finances.

() Décret n° 2002-675 du 30 avril 2002 relatif à la formation à la conduite et à la sécurité routière et modifiant le code de la route.

() Loi n° 2002-1062 du 6 août 2002 portant amnistie.

() On peut également mentionner le décret n° 2002-1251 du 10 octobre 2002 relatif aux équipements routiers et modifiant le code de la voirie routière et le décret n° 2002-530 du 11 avril 2002 relatif à l'amélioration de la circulation en cas d'enneigement ou de verglas, au franchissement de barrage et modifiant le code de la route.

() Décret n° 2003-293 du 31 mars 2003 relatif à la sécurité routière et modifiant le code de procédure pénale et le code de la route.

() Loi n°2003-495 du 12 juin 2003 renforçant la lutte contre la violence routière.

() E.g. conduite en état alcoolique, grand excès de vitesse, délits de fuite, etc.

() Décret n° 2003-642 du 11 juillet 2003 portant application de certaines dispositions de la loi n° 2003-495 du 12 juin 2003 renforçant la lutte contre la violence routière et modifiant notamment le code pénal, le code de procédure pénale et le code de la route.

() SURE : Sécurité des Usagers sur les Routes Existantes.

() La loi a prévu qu'un rapport annuel serait établi par le Gouvernement afin d'apporter au Parlement des éléments d'information exhaustifs et détaillés sur le fonctionnement de ce système nouveau et sur l'utilisation des fonds publics qui lui seront consacrés.

() Ligne n° 0313 du fascicule Évaluation des voies et moyens, tome I.

() Ligne n° 0312 du fascicule Évaluation des voies et moyens, tome I.

() Article L.  2334-24 du code général des collectivités territoriales.

() Programmes dont le gouvernement a décidé le financement lors de la réunion des ministres du 22 novembre 1999.

() Taux d'avancement prévisionnel à la fin 2003 : 40,2 %.

() Taux d'avancement prévisionnel à la fin 2003 : 43,6 %.

() Taux d'avancement prévisionnel à la fin 2003 : 23,1 %.

() Taux d'avancement prévisionnel à la fin 2003 : 41,7 %.

() Les gouvernements français et italien sont convenus par échange de lettres diplomatiques signées les 4 et 6 février 2003, d'une part de rouvrir dans les deux sens de circulation le tunnel aux poids lourds à compter du 1er mars suivant, d'autre part d'établir dans un délai minimum de 6 mois un bilan pour vérifier si cette mesure permet de rééquilibrer le trafic dans les proportions escomptées. Depuis cette date, un rééquilibrage du trafic poids lourds s'opère lentement, puisque à ce jour, le tunnel du Mont-Blanc voit transiter environ 20 % de celui-ci. L'évolution des trafics ainsi que l'étude des facteurs et modalités permettant d'atteindre l'objectif de répartition fixé par les deux Gouvernements feront prochainement l'objet d'un bilan.

() Doc. AN n°2388 (Rapport sur les moyens nécessaires à mettre en _uvre pour améliorer la sécurité des tunnels routiers et ferroviaires français, établi par M. Christian Kert, député), 11 mai 2000.

() En effet, aux termes du projet de loi, l'article L. 121-1 du code de la voirie routière serait ainsi rédigé : « Le domaine public routier national est constitué d'un réseau cohérent d'autoroutes et de routes assurant la circulation de grand transit, les déplacements entre métropoles régionales, la desserte des équipements présentant un intérêt économique national ou européen et la desserte équilibrée du territoire. Des décrets en Conseil d'État fixent parmi les itinéraires existants ceux qui répondent aux conditions prévues à l'alinéa précédent ».

() Le caractère parfois erratique de certaines dépenses d'investissement liées à des travaux de grosses réparations, de restauration ou de construction implique d'élargir la base d'évaluation du droit à compensation. Aussi est-il prévu de procéder à l'évaluation du droit à compensation des collectivités territoriales à partir de la moyenne actualisée des crédits consacrés par l'État au titre des investissements au cours des exercices budgétaires précédant le transfert de compétences.

() Codifiées aux articles L. 1614-1 et suivants du code général des collectivités territoriales

() Ces ressources ont été utilisées par l'État pour faire face à des dépenses prioritaires à hauteur de 1,5 milliards d'euros (alimentation du fonds d'épargne pour les retraites, financement du secteur aérien et abondement à la banque de développement des PME). Le reliquat, soit 300 millions d'euros, devrait servir, conformément à l'article 3 de la loi relative à la sécurité des infrastructures et systèmes de transport du 3 janvier 2002, au financement du ferroviaire, et en particulier de la ligne Perpignan-Figuéras.

() ASF, ESCOTA, SAPPR, AREA, SANEF, SAPN, ATMB et SFTRF.

() L'endettement des sociétés d'autoroutes est en majeure partie constitué de dettes financières qui comprennent les emprunts et les avances reçues. Pour obtenir leur endettement total, il faut ajouter aux dettes financières les dettes à court terme. Les dettes aux bilans des sociétés s'obtiennent en ajoutant à l'encours des emprunts de la Caisse nationale des autoroutes les avances reçues de l'État et des collectivités locales, les autres dettes financières hors avances de trésorerie inter-sociétés, les autres dettes : dettes d'exploitation et dettes diverses (hors produits constatés d'avance).

() Les dettes financières de la société COFIROUTE proviennent des emprunts émis directement sur le marché obligataire.

() Dans le cadre des trois groupes mère/fille, les sociétés-mères peuvent financer les déficits de trésorerie de leur filiale par avances consenties, à des conditions plus avantageuses que des emprunts de refinancement traditionnels. De plus, la réforme autoroutière intervenue en 2001 a permis, en allongeant la durée des concessions des six principales SEMCA et de la société du tunnel du Fréjus, de lisser les charges d'amortissement et d'améliorer à due concurrence les résultats et de consolider la structure financière des sociétés concessionnaires. Enfin, le 26 septembre 2001, les conseils d'administration de la SANEF et de la SAPN se sont prononcés favorablement sur le principe de la poursuite de l'activité de la SAPN et ont approuvé les modalités d'un plan de recapitalisation de la SAPN par la SANEF.
Le plan de recapitalisation de la SAPN par la SANEF, adopté par les conseils d'administration des deux sociétés les 18 et 19 décembre 2001, sera mis en _uvre sur la période 2002-2006 ; il repose sur le versement à parts égales de subventions d'exploitation et de dotations en capital, représentant chacune un montant global de 267 millions d'euros.

() Établissement public national à caractère administratif, doté de l'autonomie financière et créé par le décret n°63-585 du 20 juin 1963. Cet établissement est géré par la Caisse des dépôts et consignations.

() Cet effectif autorisé tient compte de la création de 13 emplois supplémentaires dans le cadre de l'accord sur l'aménagement et la réduction du temps de travail signé le 23 mai 2000. Les recrutements correspondants ont été effectués au cours des exercices budgétaires 2000 et 2001.

() Aménagement de la Deûle et la Lys et modernisation du canal à grand gabarit Dunkerque-Escaut sur le Nord-Pas-de-Calais, réalisation de la digue fluvio-maritime à Sète, approfondissement de la Moselle.

() INSEE - juin 2003.

() Cette incertitude s'explique par les effets mal connu de la sécheresse et de son fort impact sur le niveau des voies d'eau. À la fin juin, la progression sur les six premiers mois de 2003 est de 1,8 %.

() Henri Chardon, Les travaux publics : Essai sur le fonctionnement de nos administrations (Paris, 1904).

() Loi n° 71-559 du 12 juillet 1971 relative au versement des employeurs destiné aux transports en commun de la région parisienne.

() Loi n° 73-640 du 11 juillet 1973 autorisant certaines communes et établissements publics à restituer un versement destiné aux transports en commun.

() Voir la décision Loi portant dispositions relatives à la santé publique et aux assurances sociales, n° 90-287 DC du 16 janvier 1991.

() Voir, dans le même sens, la décision du Tribunal des Conflits n° 03123 du 7 décembre 1998. Ce dernier a considéré que le « versement destiné au financement des transports en commun, que certaines collectivités locales peuvent instituer (...) et dont le régime de recouvrement, de contentieux et de pénalités suit (...) les règles applicables aux régimes de sécurité sociale, constitue un impôt ». Par suite, « les juridictions judiciaires qui connaissent des litiges individuels relatifs à l'assujettissement d'un employeur au versement ainsi qu'à l'assiette et au recouvrement de ce prélèvement sont également compétentes pour apprécier par voie d'exception la légalité de la délibération par laquelle une collectivité institue le versement ou en fixe le taux »

() Syndicat des transports parisiens.

() Syndicat des transports en Île-de-France.

() Loi n° 96-1181 du 30 décembre 1996 portant loi de finances pour 1997.

() À Rennes et à Bordeaux notamment.

() De l'ordre de 100.000 euros.

() Voir l'exemple du VAL de Rennes, subventionné ultérieurement à hauteur de 53 millions d'euros.

() Loi n° 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU).

() Loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité.

() Loi n° 2002-1575 du 30 décembre 2002 portant loi de finances rectificative pour 2002.

() Le STIF reçoit autour du 20 du mois (m) un versement des URSAFF qui correspond à un acompte et un solde, calculés à partir des prélèvements des mois (m-1) et (m-2), et dont sont retranchés les frais de recouvrement du mois (m).

() Pour le dernier texte, voir le décret n° 2002-1561 portant à 1,3% le taux de VT en grande couronne.

() La loi du 11 juillet 1973 a permis aux communes, communautés urbaines, districts ou syndicats de collectivités locales d'instaurer un versement de transport si leur population était supérieure à 300.000 habitants : le taux plafond était alors de 1 % et pouvait être porté à 1,5 % si une subvention de l'État était obtenue pour une infrastructure de transport collectif. Un décret du 7 novembre 1974 a abaissé le seuil de 300.000 à 100.000 habitants. Une loi du 4 août 1982 a offert la possibilité aux autorités organisatrices dont la population est comprise entre 30.000 habitants et 100.000 habitants d'instaurer un versement de transport avec un taux plafond de 0,5 %. La loi de finances rectificative pour 1988 et un décret du 30 décembre 1988 ont fait passer le taux plafond du versement de transport de 1,5 % à 1,75 % pour les autorités organisatrices de plus de 100.000 habitants ayant décidé de la réalisation d'une infrastructure de transport collectif et bénéficiant d'une aide. La loi d'orientation n° 92-125 du 6 février 1992 a prévu la faculté de majorer de 0,05 % les taux maxima mentionnés ci-dessus pour les communautés de communes, les communautés de villes, les communautés urbaines et les autorités organisatrices auxquelles ont adhéré une communauté urbaine une communauté de villes ou une communauté de communes. Ce qui a porté les taux plafonds respectivement à 0,60 %, 1,05 % et 1,80 % pour ces autorités organisatrices. La loi d'orientation du 6 décembre 1992 relative à l'administration territoriale de la république a prévu, par ailleurs, l'abaissement du seuil de la population nécessaire pour l'institution du versement de transport de 30.000 habitants à 20.000 habitants.

() La répartition de la recette directe de la carte orange entre RATP et SNCF reste assise sur les enquêtes de trafic mais le STIF calcule une recette totale de trafic due aux entreprises en application des contrats et la compensation tarifaire versée est ensuite calculée par différence entre cette recette totale et les recettes directes.

() C'est la raison pour laquelle les crédits du chapitre 63-43 « Subventions d'investissement aux transports urbains » sont en net repli. En particulier, l'article 30 « Plans de déplacements urbains et autres améliorations des transports collectifs » passe de 23,58 millions d'euros en 2003 à 8 millions d'euros en 2004 pour les autorisations de programme, tandis que les crédits de paiement évoluent en un an de 38,574 millions d'euros à 20,4 millions d'euros. De même, les évolutions sur l'article 40 « Transports collectifs en site propre de province » passent de 100,005 millions d'euros en 2003 à 55,3 millions d'euros en 2004 pour les crédits de paiement, tandis qu'aucune autorisation de programme n'est ouverte en 2004.

() Tramway fer ou tramways sur pneus, par exemple tramways à guidage axial comme le TVR en service à Caen et Nancy ou le TRANSLOHR qui sera mis en service à Clermont-Ferrand.

() Comme à Lyon ou à Marseille.

() Voir, par exemple, le mode VAL à Toulouse, Lille ou Rennes.

() Approbation d'une étude de faisabilité et lancement de la concertation préalable prévue par l'article L. 300-2 du code de l'urbanisme.

() Matériels roulants et infrastructure.