Un monde viable

 

« Au strict minimum, le développement durable signifie ne pas mettre en danger les systèmes naturels qui nous font vivre : l’atmosphère, l’eau, les sols et les êtres vivants »
(Notre avenir à tous)

Il est acquis désormais que l’extension considérable des activités humaines au cours des XIXè et XXème siècles est à l’origine d’une dégradation dangereuse de la biosphère et entraîne, de surcroît, une répartition très inégale de la richesse, voire du patrimoine. A la croisée de l’économie et de l’environnement, il s’agit bien, dans une perspective de développement durable, de reconsidérer la relation des humains au vivant.

De par ses compétences, c’est essentiellement la commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire qui traite de ce sujet. L’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, et la délégation de l’Assemblée nationale à l’aménagement et au développement durable du territoire sont concernés également.

Travaux de l’Assemblée nationale

Appropriation du vivant

Modes de production

Modes de consommation