Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Pierre-Alain Raphan
Photo de madame la députée Aude Amadou
Photo de madame la députée Marie-Christine Verdier-Jouclas
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de monsieur le député Adrien Morenas
Photo de monsieur le député Xavier Batut
Photo de madame la députée Zivka Park
Photo de madame la députée Fiona Lazaar
Photo de monsieur le député Stéphane Buchou
Photo de monsieur le député Rodrigue Kokouendo
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de monsieur le député Didier Baichère
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de madame la députée Céline Calvez
Photo de madame la députée Martine Leguille-Balloy
Photo de madame la députée Cécile Rilhac
Photo de madame la députée Jacqueline Dubois
Photo de madame la députée Anissa Khedher
Photo de madame la députée Carole Bureau-Bonnard
Photo de monsieur le député Pascal Bois
Photo de madame la députée Cathy Racon-Bouzon
Photo de madame la députée Laurianne Rossi
Photo de monsieur le député Jean François Mbaye
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de monsieur le député Jacques Marilossian
Photo de monsieur le député Philippe Chalumeau
Photo de madame la députée Valérie Oppelt
Photo de monsieur le député Sébastien Cazenove
Photo de monsieur le député Michel Delpon
Photo de monsieur le député Benoit Simian
Photo de madame la députée Alexandra Valetta Ardisson
Photo de madame la députée Fabienne Colboc
Photo de madame la députée Laetitia Avia
Photo de madame la députée Nathalie Sarles
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de monsieur le député Xavier Paluszkiewicz
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre

Le 2° de l’article 1 de l’ordonnance n° 2005‑722 du 29 juin 2005 relative à la Banque publique d’investissement est complété par les mots : « , associations, fondations et fonds de dotation. »

Exposé sommaire

La capacité d’innovation des entreprises françaises est un facteur essentiel de leur compétitivité. L’innovation joue un rôle majeur dans la croissance économique et la capacité à faire face aux enjeux sociétaux (transformation numérique, transition écologique, vieillissement de la population…).

Elle est indispensable au renouvellement des savoir-faire industriels nationaux, dans un contexte de compétition mondiale. Dans les secteurs de souveraineté, à l’instar de l’aérospatial, du numérique (nanoélectronique, intelligence artificielle, calcul intensif…), ou de l’énergie, des États mettent en place des programmes de soutien ambitieux pour garantir leur indépendance technologique. C’est le cas notamment des États-Unis ou de certains pays d’Asie.

En réponse à ces enjeux, il a été décidé de créer un Fonds pour l’innovation de rupture, d’un montant de dix milliards d’euros, financés par la cession d’actifs de l’État, dont les revenus financeront des dispositifs de soutien à l’innovation, en particulier l’innovation de rupture. Le Fonds pour l’innovation de rupture n’est pas entendu au sens d’un fonds d’investissement régi par les dispositions du code monétaire et financier mais comme un ensemble d’actifs d’un montant de dix milliards d’euros.

Nous préconisons que ce fonds puisse être également alloué aux associations participant à la recherche, au développement ainsi qu’à l’innovation de rupture qu’elle soit économique, sociale ou humaine.

L'objectif de cet amendement est de pouvoir co-financer des projets d’accompagnements via la BPI (projets de recherche, sciences humaines…) permettant une transformation internes des entreprises.

Constat

Les systèmes managériaux les plus répandus amènent à des constats alarmants car ils créés des dégâts tant sociaux (burn-out, bore-out, brown-out…) qu’économiques.

En synthèse

  • 88% des français ne sont pas passionnés par leur activité quotidienne
  • Le désengagement des salariés (lié aux modes d’organisations) fait que les organisations et entreprises françaises passent à côté d’un potentiel économique évalué, selon les types et tailles de structures, entre 20.000 et 70.000 € / an / salarié (Démontré par Henri Savall)

Ce calcul est basé sur les coûts liés

  • à l’absentéisme
  • aux accidents du travail et maladies professionnelles
  • à la rotation du personnel
  • aux défauts de qualités
  • aux écarts de productivité