Marie, Auguste de Balzac

1788 - 1880

Informations générales
  • Né le 4 août 1788 à Colombiès ( - Généralité de Montauban France)
  • Décédé le 5 février 1880 à Mazet (Aveyron - France)

Mandats à l'Assemblée nationale ou à la Chambre des députés

Régime politique
Seconde Restauration - Chambre des députés des départements
Législature
IVe législature
Mandat
Du 20 juin 1829 au 16 mai 1830
Département
Moselle
Groupe
Majorité ministérielle
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
Ire législature
Mandat
Du 23 juin 1830 au 31 mai 1831
Département
Aveyron
Groupe
Majorité ministérielle
Régime politique
Monarchie de Juillet - Chambre des députés
Législature
IIIe législature
Mandat
Du 21 juin 1834 au 3 octobre 1837
Département
Aveyron
Groupe
Opposition légitimiste
Régime politique
Deuxième République
Législature
Assemblée nationale législative
Mandat
Du 13 mai 1849 au 2 décembre 1851
Département
Aveyron
Groupe
Droite monarchiste

Biographies

Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

Député de 1829 à 1830, puis de 1834 à 1837, et représentant du peuple à l'Assemblée législative de 1849, né à Colombiès (Généralité de Montauban) le 4 août 1788, mort au château de Mazet (Aveyron), le 5 février 1880, il entra dans l'administration comme auditeur au conseil d'Etat en 1810, et suivit la carrière sous l'Empire et la Restauration.

Successivement préfet des départements de Tarn-et-Garonne, de l'Oise et de la Moselle, puis conseiller d'Etat, secrétaire général du Ministère de l'intérieur et directeur de l'administration départementale, il s'était complètement rallié au gouvernement de la Restauration, et c'est comme royaliste dévoué qu'il fut, le 20 juin 1829, élu député de la Moselle au collège de département, en remplacement de M. Durand, démissionnaire.

L'année d'après, il fut élu dans son département d'origine (2e arrondissement de l'Aveyron). Lors du renouvellement de juin 1834, nommé encore une fois avec 120 suffrages, il fut un des 25 députés légitimistes qui firent partie de la session de 1834-37.

Il entra ensuite dans la vie privée jusqu'en 1849, époque à laquelle les conservateurs monarchistes de l'Aveyron l'envoyèrent à l'Assemblée législative, le 5e sur 8, par 43,226 voix sur 79,850 votants et 112,514 inscrits. Il y vota avec la droite, et donna son approbation à toutes les propositions émanées, soit de cette fraction de l'Assemblée, soit des ministres du prince président.