• Travaux récents

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    Réponse à la question écrite n° 83407 publiée le 12 juillet 2011
    santé - soins palliatifs - loi n° 2010-209 du 02 mars 2010. décrets d'application. publication

    M. Jean Leonetti attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée des aînés sur la loi votée en février dernier et créant une allocation d'accompagnement d'une personne en fin de vie. Ce texte, issu d'une mission d'évaluation, est porteur d'une forte symbolique: le fait que l'État, la Nation, la société reconnaissent désormais que l'accompagnement est un élément important dans la fin de vie. Cette loi permet le versement de 49 euros par jour pendant trois semaines pour une personne qui cesse son activité et se consacre à l'accompagnement d'une personne en fin de vie à domicile. Il l'interroge donc sur les mesures prises par le Gouvernement pour assurer la mise en pratique la plus rapide de cette allocation, et les délais de mise en place.

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  • Question 

    Question écrite n° 110463 publiée le 07 juin 2011
    police - police municipale - remboursement de frais. modalités

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur les modalités de remboursement des dépenses supportées par les forces de police municipale à l'occasion de prestations qui ne peuvent être rattachées aux obligations normales incombant à la puissance publique en matière de sécurité et d'ordre publics. En effet, si les modalités sont précisément fixées, pour les forces de police et de gendarmerie, par le décret n° 97-199 du 5 mars 1997 tel que modifié par le décret n° 2010-1295 du 28 octobre 2010 ainsi que les arrêtés du 28 octobre 2010 fixant le montant des remboursements des dépenses et précisant les conditions d'assurance des bénéficiaires, il n'existe pas de texte applicable aux mêmes types de prestations assurées par les forces de police municipale, à moins de considérer que les décrets et arrêtés précités ne sont applicables mutatis mutandis à la police municipale. Plus précisément, il souhaite, d'une part, connaître l'autorité compétente pour signer la convention fixant les modalités d'exécution techniques et financières du concours apporté par les forces de police municipale, lorsque ce concours ne peut être rattaché aux obligations normales incombant à la puissance publique en matière de sécurité et d'ordre public, d'autre part savoir si cette autorité compétente varie selon qu'il existe une convention de coordination police nationale - police municipale ou pas, enfin, savoir si les tarifs fixés par l'arrêté précité sont applicables aux forces de police municipale sans que l'assemblée délibérante d'une commune n'ait à délibérer sur leur fixation.

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  • Question 

    Question écrite n° 98691 publiée le 25 janvier 2011
    urbanisme - secteurs sauvegardés - aires de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine. perspectives

    M. Jean Leonetti attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur les zones de protection du patrimoine urbain et paysager (ZPPAUP) qui ont été instituées par les lois n° 83-8 du 7 janvier 1983 et 93-24 du 8 janvier 1993. Leurs dispositions, qui ont été reprises dans les articles L. 642-1 et suivants du code du patrimoine, s'inscrivent dans le cadre des lois de décentralisation ayant redéfini la répartition des compétences entre les communes, les départements, les régions et l'État, afin d'impliquer davantage les communes dans la gestion de leur patrimoine, de renforcer la protection de ce dernier et d'imposer, au moyen de servitudes, des prescriptions ou des conditions aux travaux de construction, ceci afin d'assurer une meilleure prise en compte de la réalité in situ et de constituer un document de référence dans une dynamique de mise en valeur du territoire communal à travers une politique de développement. La loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant "engagement national pour l'environnement" comporte un ensemble de dispositions qui déclinent, thèmes par thèmes, les objectifs entérinés par le Grenelle de l'environnement. Ces dispositions modifient notamment les articles précités du code du patrimoine, afin que soit intégrée dans les ZPPAUP la notion de développement durable : ce faisant, les ZZPAUP sont appelées à devenir des aires de mise en valeur de l'architecture et du patrimoine (AMVAP). Cette loi établit également des dispositions transitoires pour les ZPPAUP qui sont réputées "mises en place" avant sa date d'entrée en vigueur. Les décrets d'application de ladite loi sont attendus, qui préciseront en particulier ce qu'il faut entendre par "ZPPAUP mises en place". La parution des nombreux décrets d'application de la loi du juillet 2010 doivent s'échelonner jusqu'à la fin de l'année. Ce temps d'attente est susceptible de différer l'aboutissement des procédures en cours, alors même que la nécessité de protéger les patrimoines communaux rend opportun la mise en oeuvre de servitudes spécifiques. Il l'interroge donc pour savoir si, en tout état de cause, l'instruction d'une étude de ZPPAUP en vue de son approbation transmise au préfet du département avant la publication de la loi de juillet 2010 portant "engagement national pour l'environnement" est en mesure en l'état du dossier, à charge pour la commune d'en décider la mise en révision, le jour même de l'approbation, afin que puissent être prises en compte les nouvelles directives environnementales et faire évoluer la ZPPAUP en AMVAP, ou bien s'l y a lieu de reprendre cette étude, dès à présent, afin d'y inclure ce volet supplémentaire.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 92555 publiée le 18 janvier 2011
    retraites : fonctionnaires civils et militaires - calcul des pensions - sapeurs-pompiers professionnels

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales après le vote par le Parlement de la réforme des retraites pour que soient étudiées les conditions dans lesquelles pourrait être prise en compte la notion de pénibilité dans le cadre du statut des sapeurs-pompiers. La France compte aujourd'hui 249 400 sapeurs-pompiers, dont 39 200 professionnels, soit 16 % ; 197 800 sapeurs-pompiers volontaires, soit 79 % et 12 100 militaires, soit 5 %. En 2009, les sapeurs-pompiers sont intervenus dans notre pays, plus de 4 millions de fois. Cette année ayant été marquée par des catastrophes naturelles de grande ampleur, notamment en février, la tempête Xynthia ; en juin, par les importantes inondations du Var, et cet été par le violent incendie de l'Hérault qui a emporté plus de 3 000 hectares de forêts, on peut malheureusement envisager un nombre d'interventions supérieur en 2010 et rappeler avec reconnaissance et émotion qu'au 1er octobre, 7 sapeurs-pompiers ont perdu leur vie dans l'exercice de leur profession. Dans ces conditions, et au vu de la nature même des missions qui leur sont confiées, il l'interroge pour savoir s'il ne serait pas envisageable, dans le cadre d'un dialogue avec la profession, d'étudier, pour les agents arrivés en fin de carrière, les conditions dans lesquelles la notion de pénibilité pourrait être prise en compte, dans les conditions d'exercice de leur profession.

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  • Question 

    Question écrite n° 95833 publiée le 14 décembre 2010
    fonction publique territoriale - contractuels - agents de surveillance de la voie publique. statut

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur l'obligation, pour les agents de surveillance de la voie publique (ASVP), de renouveler leur serment devant le juge du tribunal d'instance en cas de changement de lieu d'affectation. En effet, lorsqu'une commune recrute un tel agent en provenance d'une autre collectivité, parfois voisine, il existe un délai de carence, parfois long, avant qu'il ne puisse légalement verbaliser les infractions aux règles relatives à l'arrêt ou au stationnement des véhicules. Cette situation, qui résulte de la mise en oeuvre de l'article L. 130-4 du code de la route, est d'autant plus préjudiciable que l'article 32 sexies du projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, actuellement en deuxième lecture à l'Assemblée nationale, prévoit la conservation du bénéfice de l'agrément et de l'assermentation pour les policiers municipaux changeant d'affectation, sous réserve du respect de certaines obligations déclaratives auprès notamment des procureurs de la République compétents au titre de l'ancien et du nouveau lieu d'exercice des fonctions, ainsi que des juges des tribunaux d'instance de ces ressorts. Dans ces conditions, afin que les agents changeant de lieu d'affectation et les collectivités employeurs puissent bénéficier du même avantage, il demande dans quelle mesure il serait possible d'adopter cette même souplesse, au bénéfice des ASVP, dans l'actuel projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure.

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  • Question 

    Question écrite n° 90971 publiée le 19 octobre 2010
    établissements de santé - comptabilité - contrôles de facturation. modalités

    M. Jean Leonetti attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la légitimité et l'opportunité pour l'assurance maladie de procéder à des contrôles de facturation. La pression qui pèse sur les dépenses publiques et, notamment, les dépenses d'assurance maladie ne fait que renforcer leur nécessité. Néanmoins, en l'état, le dispositif en vigueur montre désormais ses limites. En effet, après quatre années, plusieurs dérives ont ainsi été mises en évidence. Tout d'abord, le contrôle tel qu'il est actuellement mené, conduit les médecins contrôleurs à édicter de nouvelles règles de prise en charges médicales, parfois même à l'encontre des recommandations des sociétés savantes. Les pratiques médicales ne sauraient être guidées par des préoccupations relatives aux règles de facturation. Par ailleurs, les conséquences financières sont disproportionnées. Si le reversement des sommes indûment perçues, au sens de l'assurance maladie, est concevable, les sanctions financières disproportionnées ne le sont pas. Les établissements de santé sont susceptibles de faire l'objet de répétitions d'indus et de sanctions financières. Seuls devraient être sanctionnés les établissements dont la mauvaise foi est établie, et non pas ceux dont la contrariété aux règles de codage et de facturation résulte d'une erreur ou d'un codage différent de celui retenu par les médecins contrôleurs. À ce jour, il est donc nécessaire de préciser la notion de manquement, et de lui préférer celle de manquement délibéré qui traduit une volonté de ne pas se soumettre aux règles de codages et de facturations, au détriment de l'assurance maladie. Enfin, il est essentiel d'introduire une proportionnalité entre le montant des indus et le montant des sanctions financières encourues par les établissements de santé, et ce d'autant que la première année de mise en oeuvre des sanctions financières a mis en lumière de grandes disparités dans les pratiques des ARH, dans les modalités de fixation des montants des sanctions. La Cour des comptes a critiqué ces disparités dans son rapport sur la sécurité sociale pour 2009. Par ailleurs, le montant de certaines sanctions s'est avéré totalement disproportionné par rapport au montant des indus encourus, comme en atteste l'exemple récent des hospices civils de Lyon : le montant des sanctions multipliait par 26 celui des sommes indues. Il l'interroge donc pour connaître quelles sont les modifications qu'elle compte introduire au code de la sécurité sociale pour garantir une proportionnalité entre le montant des indus et celui des sanctions encourues par les établissements de santé.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 43236 publiée le 24 août 2010
    coopération intercommunale - EPCI - logement social. réglementation

    M. Jean Leonetti attire l'attention de Mme la ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur les difficultés soulevées par l'application de l'article 1609 nonies C V 2e § du code général des collectivités territoriales qui dispose que " l'attribution de compensation est majorée d'une fraction de la contribution d'une commune définie à l'article L. 302-8 du code de la construction et de l'habitation, à condition que l'établissement public de coopération intercommunale ait, dans les conditions prévues à l'article L. 302-7 du même code, perçu un prélèvement visé à cet article et que cette fraction soit affectée à la réalisation d'opérations de logements locatifs sociaux ". En effet, aucune disposition ne précise les modalités de mise en oeuvre de "l'affectation à la réalisation d'opérations de logements locatifs sociaux", notamment lorsque la compétence afférente à la réalisation de ces opérations relève, exclusivement s'agissant de transferts de compétence, de la communauté d'agglomération dont est membre la commune qui perçoit la majoration. Aussi, il lui demande de bien vouloir, d'une part, l'éclairer sur l'interprétation des dispositions afin d'éviter de ne pas respecter le partage de compétences entre communes et EPCI dont le contrôle de légalité a fait une de ses priorités par circulaire du 17 janvier 2006, d'autre part lui indiquer s'il est envisageable juridiquement de verser la fraction susvisée à une SEM en charge du logement social dont la commune bénéficiaire est membre.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 81083 publiée le 13 juillet 2010
    fonction publique hospitalière - infirmiers anesthésistes - carrière. revalorisation

    M. Jean Leonetti attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le statut des infirmiers anesthésistes diplômés d'État. Le protocole d'accord signé en février 2010 reconnaît le niveau licence pour les infirmiers et propose une revalorisation de leur grille salariale. Cependant, ces propositions ne s'appliquent pas aux IADE qui suivent cinq années d'études et espéreraient une reconnaissance au niveau master. Il souhaite donc l'interroger sur les intentions du Gouvernement pour remédier à cette situation.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 77703 publiée le 29 juin 2010
    communes - conseils municipaux - convocation des élus. réglementation

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur la disparité des règles de convocation des élus aux séances de conseils municipal, général et régional, notamment du point de vue des facilités de dématérialisation des dossiers qui leur sont adressés préalablement aux sessions. En effet, tandis que les articles L. 3121-19 et L. 4132-18 du code général des collectivités territoriales prévoient, respectivement dans les départements et les régions, que les dossiers préparatoires, qu'il s'agisse de rapports ou de projets, peuvent être mis à la disposition des conseillers qui le souhaitent par voie électronique de manière sécurisée, cette mise à disposition faisant l'objet d'un avis adressé à chacun de ces conseillers, les articles L. 2121-10 et L. 2121-12 prévoient l'obligation de fournir directement aux conseillers municipaux la convocation accompagnée de l'ordre du jour et des notes de synthèse, ces éléments étant portables et non quérables. Ainsi, en l'état actuel du droit, la mise en ligne sur un extranet, auquel les élus municipaux devraient se connecter pour prendre connaissance des convocations, ordres du jour et notes de synthèse, ne serait pas conforme à la loi. Afin de favoriser une plus grande homogénéité des procédures territoriales et une plus importante variété des options de dématérialisation sans obérer le droit à l'information des élus, il souhaite savoir si les notes de synthèse et autres éléments d'information censés accompagner la convocation et l'ordre du jour du conseil municipal ne pourraient être, à l'instar des départements et régions, dans le cadre d'un projet de loi à venir, mis à la disposition des conseillers municipaux qui le souhaitent par voie électronique de manière sécurisée, cette mise à disposition faisant l'objet d'un avis adressé à chacun de ces conseillers.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 56141 publiée le 05 janvier 2010
    mer et littoral - plages - concessions. réglementation

    M. Jean Leonetti appelle l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur un certain nombre de difficultés de mise en oeuvre du décret n° 2006-608 du 26 mai 2006 relatif aux questions de l'occupation des plages qui sont apparues en particulier concernant le taux d'occupation des plages, la durée d'exploitation dans l'année et le démontage des installations. Sur le taux d'occupation des plages, la spécificité de la Côte d'azur rend difficile le respect des pourcentages fixés pour les concessions accordées dans le cadre des délégations de service public. Il serait probablement plus judicieux que le pourcentage soit calculé sur l'ensemble du linéaire littoral d'une commune plutôt que plage par plage. Sur Antibes-Juan-les-Pins, une partie des équipements est installée sur le domaine public communal et s'il paraît légitime que les installations soient désormais démontables, il n'y a pas d'intérêt environnemental ni économique à les démonter périodiquement avant le terme de la concession même lorsqu'elles sont en partie sur le domaine public maritime. Il a envisagé une modification du décret et une circulaire pour préciser les modalités d'application du décret. Il l'interroge donc pour connaître dans quel sens le décret sera modifié et quel est le contenu de la circulaire qui devrait permettre au préfet plus de souplesse dans son application compte tenu des spécificités locales.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 60139 publiée le 22 décembre 2009
    police - police nationale - effectifs de personnel. Alpes-maritimes

    M. Jean Leonetti appelle l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur la situation de la circonscription de sécurité publique d'Antibes, compétente sur les communes d'Antibes-Juan-les-Pins et Vallauris-Golfe-Juan. Au 1er septembre dernier, l'ensemble des effectifs (ADS compris) affectés à ce service était de 193 ; ils ne seront plus que 185 courant novembre 2009. Dans le même temps, le service aura perdu quatre officiers de police judiciaire qui étaient jusqu'alors affectés en service d'investigation ; cette perte obèrera d'autant plus le potentiel opérationnel de lutte contre la criminalité, que la circonscription était déjà déficitaire en nombre d'OPJ. Il faut encore souligner que rien n'a été prévu pour remplacer le commissaire central adjoint d'Antibes qui, muté le 1er octobre à Cannes, ne sera vraisemblablement remplacé, s'il l'est effectivement, qu'en septembre 2010 par l'affectation d'un jeune commissaire de police issu de la prochaine promotion de l'ENSP de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or. La circonscription de police a, depuis le dernier recensement, franchi le seuil des circonscriptions de 100 000 habitants. Jusqu'alors toujours traitée à l'instar des circonscriptions de type inférieur à 100 000 habitants (99 314 habitants), elle a désormais atteint les 106 430 habitants. Faut-il signaler encore que cette station balnéaire, qui triple sa population durant la période estivale, doit gérer les problèmes qui en découlent et que, d'année en année, les renforts mis à sa disposition pour la saison de juillet et août sont de moins en moins nombreux. Enfin, la commune de Vallauris fait l'objet d'une attention particulière en matière de prévention de la délinquance, par le biais d'un groupe local de traitement de la délinquance (GLTD), dont les objectifs impliquent des moyens policiers particulièrement adaptés. Dans cette commune, il existe une cité sensible dite des Hauts-de-Vallauris (ex-Zaïne) où des affaires judiciaires d'importance ont été réalisés par les services de la sécurité publique d'Antibes, en particulier en matière de trafic de stupéfiants et de vols de toutes natures, plus particulièrement commis avec effraction ou avec violences. Il lui demande donc de reconsidérer son statut, corrélativement, et de mettre à la disposition de la circonscription le nombre d'effectifs correspondants à ses véritables besoins.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 51917 publiée le 06 octobre 2009
    agriculture - viticulture - vin rosé. normes françaises. politiques communautaires

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de la pêche sur le projet de directive européenne voté en janvier dernier, qui autorise le mélange de vin blanc et de vin rouge dans l'élaboration du vin rosé. L'auteur de la question rappelle, en effet, que la réalisation du vin rosé est un art qui nécessite un savoir-faire spécifique. Frais, léger et fruité, le vin rosé n'est ni un vin rouge, ni un vin blanc, mais un vin à part entière. La France est le premier producteur mondial de vin rosé. Si la directive européenne est adoptée, il y aura un problème d'altération de l'image de ce vin. Cela risque, de plus, de mettre en péril des dizaines de milliers d'emplois. Il lui demande donc de lui indiquer sa position vis-à-vis de cette directive, afin de pouvoir rassurer cette filière viticole.

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  • Question 

    Question écrite n° 59415 publiée le 29 septembre 2009
    entreprises - entreprises en difficulté - aides de l'État. contreparties

    M. Jean Leonetti appelle l'attention de M. le ministre chargé de l'industrie sur la confirmation du projet de fermeture, par la société Wipro-newlogic, de son site de Sophia-Antipolis aux membres de son comité d'entreprise. Dès cette annonce en juin 2009, les services de l'État, avec l'appui de la communauté d'agglomération de Sophia-Antipolis, ont accompagné les représentants du personnel dans leurs démarches visant à sauvegarder leurs emplois. Peu de temps avant cette annonce, la société Wipro-newlogic, prestataire international basé en Inde, leader dans les services technologiques, a bénéficié au titre du crédit impôt recherche d'un montant de 5,2 millions d'euros dont le règlement avait été avancé par le plan de relance. L'auteur de la question se félicite qu'il ait dénoncé le dévoiement de l'utilisation de ces fonds publics destinés à favoriser les investissements dans le domaine de la recherche et de l'innovation et à préserver les emplois de cette société implantée au coeur du pôle de compétitivité sophipolitain, ainsi que de ses prises de positions fermes et attentives à la situation des salariés qui possèdent un savoir-faire exceptionnel dans le domaine de la haute technologie. La communauté d'agglomération Sophia-Antipolis exprime sa volonté de participer à l'action coordonnée des services de l'État et de l'ensemble des pouvoirs publics visant à revitaliser l'activité de cette entreprise, et à examiner les différents projets portés par ses salariés. Cette action pourra notamment s'exercer au sein du comité stratégique de pilotage. Compte tenu de la légitime émotion suscitée par la situation de cette entreprise au sein de notre technopole, et de l'inadmissible utilisation des fonds publics qui a été réalisée par les dirigeants de cette société, il l'interroge donc pour savoir quelles dispositions seront prises par l'État afin que l'argent public, dont a bénéficié Wipro-newlogic, soit employé à la revitalisation de ce secteur d'activité et à la sauvegarde des emplois.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 37200 publiée le 30 juin 2009
    impôts et taxes - centres de gestion agréés - perspectives

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique sur les centres de gestion agréés. Jusqu'à la loi de finances pour 2006, les entreprises étaient encouragées à adhérer à un centre de gestion agréé ou à une association de gestion agréée par l'application d'un abattement de 20 % sur leurs bénéfices réels. La loi de finances pour 2006 a intégré dans les taux du barème de l'impôt sur le revenu cet abattement de 20 % et a, parallèlement, mis en place un système de surévaluation de 25 % de l'assiette de l'impôt des entreprises qui ne recourent pas à un centre de gestion agréé ou à une association de gestion agréée. Il attire donc son attention sur le fait que cette majoration de revenus est vécue par les entreprises comme la sanction d'une fraude présumée. Il lui demande s'il ne faudrait pas envisager de ne pas soumettre à la surévaluation de 25 % de l'assiette de l'impôt les entreprises qui ne s'adressent pas, pour le contrôle de leurs obligations comptables, à un centre de gestion agréé ou à une association de gestion agréée, mais qui font appel aux services d'un expert comptable indépendant présentant toutes les garanties, dans la mesure où il sera agréé par l'administration fiscale.

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  • Question 

    Question écrite n° 50483 publiée le 26 mai 2009
    santé - soins palliatifs - soins à domicile. analgésie péridurale. prise en charge

    M. Jean Leonetti appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les difficultés administratives rémanentes qui perturbent la prise en charge correcte de certains patients bénéficiant d'une prise en charge en soins palliatifs à domicile. Il s'agit plus exactement du refus de prise en charge de l'analgésie péridurale à domicile par les services d'hospitalisation à domicile. Alors que de très nombreux efforts sont actuellement menés pour améliorer la qualité de vie des derniers moments et garantir les droits du patient en fin de vie, il l'interroge donc sur l'opportunité que ces prises en charge soient autorisées. En effet, les textes relatifs à la compétence des infirmiers l'autorisent clairement. L'analgésie péridurale est une technique éprouvée dont les nombreux avantages sont bien connus, la formation du personnel est rapide, il n'y a pas de surcharge de travail, et les services d'hospitalisation à domicile s'engagent à assurer une prise en charge équivalente à celle de l'hôpital.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 43222 publiée le 19 mai 2009
    communes - conseils municipaux - convocation des élus. réglementation

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le secrétaire d'État à l'intérieur et aux collectivités territoriales à l'heure d'une dématérialisation croissante des procédures, sur la mise en oeuvre de l'article L. 2121-12 du code général des collectivités territoriales. Ce dernier dispose que, dans les communes de 3 500 habitants et plus, une note explicative de synthèse sur les affaires soumises à délibération est adressée avec la convocation aux membres du conseil municipal. L'envoi doit être fait par écrit, sous quelque forme que ce soit, c'est-à-dire soit sur support papier, soit par voie électronique. En tout état de cause, les documents doivent être adressés au domicile des conseillers, sauf s'ils font le choix d'une autre adresse, telle qu'une adresse Internet. Ainsi, l'envoi des notes explicatives de synthèse avec la convocation n'est faite par voie électronique que sur demande ou accord des conseillers municipaux intéressés. Aujourd'hui, la dématérialisation croissante des échanges et le développement des outils électroniques les permettant favorisant notamment la dématérialisation des notes explicatives de synthèse sur les affaires soumises à délibération, ainsi que des convocations. C'est ainsi que certaines collectivités envoient aux conseillers municipaux qui l'ont expressément accepté, l'ensemble de ces éléments sur un CD adressé à leur domicile, ou par voie électronique à leurs adresses personnelles. D'autres collectivités étudient la possibilité de mettre en ligne ces éléments sur un extranet auquel les élus peuvent se connecter pour prendre connaissance des convocations et notes de synthèse soumises au conseil municipal. Étant donné l'importance du droit à l'information des élus, et du risque juridique considérable lié à son non respect, il souhaite savoir si cette dernière solution est envisageable juridiquement, et plus généralement si l'information destinée aux élus est portable ou quérable.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 33574 publiée le 14 avril 2009
    collectivités territoriales - réglementation - sociétés publiques locales d'aménagement

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire, sur des précisions qu'il souhaite voir apportées dans le domaine de compétence des sociétés publiques locales d'aménagement instaurées par la loi n° 2006-872 du 13 juillet 2006 et régies par l'article L. 327-1 du code de l'urbanisme. En effet cet article précise que : « Ces sociétés sont compétentes pour réaliser, pour le compte de leurs actionnaires et sur le territoire des collectivités territoriales ou des groupements de collectivités territoriales qui en sont membres, toute opération d'aménagement au sens du présent code ». Il souhaite savoir si la notion d'opération d'aménagement vise précisément les opérations figurant au titre Ier du livre III du code de l'urbanisme, telles que les ZAC ou les lotissements, ou si des opérations comme la construction de bâtiments publics comme, par exemple, des bâtiments scolaires peuvent entrer dans le champ de compétence de ces SPLA.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 41738 publiée le 24 mars 2009
    propriété - servitudes - obligations de débroussaillement

    M. Jean Leonetti attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de la pêche sur le débroussaillage des terrains. Cette charge incombe aux particuliers comme le stipule la loi actuelle en vigueur. De nombreux particuliers, souvent des personnes âgées, ont du mal à assumer cet ouvrage car elles n'ont pas les moyens financiers nécessaires. Cette situation devient préoccupante, puisque ni la commune ni l'État ne prennent en charge les frais incombés. Il le remercie donc de bien vouloir l'informer des mesures qui pourraient être envisagées pour remédier à cette situation.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 8449 publiée le 05 février 2008
    ministères et secrétariats d'État - Premier ministre : structures administratives - personnel. crédits. statistiques

    Dans la loi de finances, l'action n° 1 du programme « direction de l'action du Gouvernement » porte sur la coordination du travail gouvernemental. Cette action regroupe les crédits destinés au cabinet du Premier ministre et des secrétaires d'État délégués, au secrétariat général du Gouvernement, au service d'information du Gouvernement et à plusieurs commissions rattachées aux services centraux. Figurent parmi ces commissions : le secrétariat général de la mer ; la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) ; le secrétariat général de l'administration ainsi que trois commissions, consultatives, Dans la mesure où les documents budgétaires ne permettent pas d'identifier ces données, M. Jean Leonetti demande à M. le Premier ministre quels sont les effectifs budgétaires du secrétariat général de la mer et de la MIVILUDES, le nombre de fonctionnaires placés en position de détachement, mis à disposition, et le nombre de contractuels dans ces deux structures. Il souhaiterait connaître également le montant total de leurs crédits de personnel et de fonctionnement.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 8448 publiée le 29 janvier 2008
    ministères et secrétariats d'État - structures administratives - liste. contenu

    Une liste des commissions et instances consultatives ou délibératives placées directement auprès du Premier ministre ou des ministères est annexée au projet de loi de finances. Ce document recense pour chaque organisme son coût de fonctionnement, le nombre de ses membres et de ses réunions. M. Jean Leonetti demande à M. le Premier ministre de lui indiquer les raisons pour lesquelles la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires instituée par le décret n° 2002-1392 du 28 novembre 2002 ne figure pas sur ce document public.

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