• Travaux récents

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    Réponse à la question écrite n° 85385 publiée le 30 novembre 2010
    urbanisme - permis de construire - contentieux. pièces. communication. coût. réglementation

    M. Maurice Leroy demande à M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales de lui préciser, dans le cadre des contentieux de l'urbanisme sur un permis de construire, si le coût de la communication du dossier intégral doit être à la charge du requérant ou de la collectivité qui a délivré l'autorisation.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 85262 publiée le 23 novembre 2010
    politique sociale - lutte contre l'exclusion - insertion par l'activité économique. structures. aides de l'État

    M. Maurice Leroy attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur l'avenir des entreprises d'insertion (EI) et des entreprises de travail temporaire d'insertion (ETTI). Celles-ci sont un important service aux chômeurs en grande difficulté et aux publics exclus. Elles contribuent à la réinsertion durable de ces catégories grâce à un accompagnement social et professionnel apporté durant les contrats de travail à temps plein qu'elles leur offrent et pour lesquels elles reçoivent une « aide au poste ». Or cette aide n'est pas indexée et n'a pas été réévaluée depuis dix ans malgré bon nombre de demandes, alors que le SMIC a dans le même temps été revalorisé de 41 %. De ce fait, nombreuses sont les entreprises d'insertion qui envisagent d'abandonner ce service, et d'autres ont dû en 2009 réduire le nombre de salariés en insertion. Les EI et ETTI offrent le meilleur rapport qualité coût parmi les instruments des politiques de l'emploi et de la lutte contre les exclusions, bien moins élevé que les contrats aidés dans le secteur public, à peine plus élevé qu'un contrat aidé en secteur marchand qui ne sont pourtant assortis d'aucune obligation de conventionnement, d'accompagnement ou de résultat. Cette performance se résume en trois points : les coûts évités pour la collectivité par le poste d'insertion couvrent plus que son montant. Économie de RSA, économie de CMU, économie du suivi par Pôle emploi et ses sous-traitants, économies d'aides sociales diverses, notamment des charges pesant sur les collectivités territoriales, pour un euro d'aide au poste, l'entreprise d'insertion rend à la collectivité entre deux et quatre euros selon le secteur d'activité et la taille en impôts et taxes et en contributions sociales ; l'entreprise d'insertion et de travail temporaire d'insertion ramène à l'emploi durable plus d'un salarié en insertion sur deux. Au vu de ces éléments, sont vivement attendues la revalorisation et l'indexation avant que de nouvelles entreprises d'insertion n'abandonnent leur projet social. Par conséquent, il lui demande de bien vouloir lui indiquer si le Gouvernement envisage d'inscrire dans le projet de loi de finances pour 2011 les crédits permettant la revalorisation de l'aide au poste.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 85115 publiée le 02 novembre 2010
    impôts locaux - redevance d'enlèvement des ordures ménagères - réglementation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur les préoccupations exprimées par de nombreux maires et élus locaux relatives à l'adossement de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères sur le foncier et qui de ce fait peut entraîner d'importantes disparités à nombre égal de personnes résidant au foyer. Les personnes vivant seules en milieu rural ,souvent sur des surfaces plus importantes qu'en milieu urbain voient ainsi leur taxe plus élevée sans qu'il puisse être tenu compte d'une proportion moins élevée de production de déchets. Il lui demande s'il entend faire évoluer l'assiette de calcul de la TEOM afin qu'un lien plus réel existe entre taxe et production des déchets ménagers par foyer fiscal.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 80558 publiée le 28 septembre 2010
    propriété intellectuelle - droits d'auteur - oeuvres musicales. montant. augmentation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur le montant de la redevance versée par les professionnels de la coiffure à la Société pour la perception de la rémunération équitable (SPRE), au titre des droits des artistes interprètes et des producteurs de disques. En effet, la commission au sein de laquelle siègent les représentants des redevables ainsi que les représentant des bénéficiaires des droits a décidé le 5 janvier dernier que le montant de cette rémunération passerait en 2010 de 18 % à 37,5 % des droits d'auteurs versés par l'entreprise. Dès lors, ce nouveau barème s'appliquera aux salons de coiffure à compter de 2011 avec une redevance s'élevant à 90 euros HT pour deux salariés puis à 47 euros HT par salarié supplémentaire avec une TVA à 12,55 %. Ces entreprises artisanales du secteur de la coiffure ont créé 450 000 emplois en sept années et un million de personnes fréquentent chaque jour les 66 124 entreprises de coiffure en France. Ces professionnels ne comprennent pas pourquoi ils doivent supporter une si forte hausse du taux de cette redevance. Alors que la crise économique touche particulièrement le secteur de l'artisanat, ils estiment que cette mesure va augmenter le poids de leurs charges et limiter la capacité d'embauche des entreprises de coiffure. Par conséquent, il souhaite connaître les réponses que le Gouvernement entend apporter aux inquiétudes légitimes exprimées par ces professionnels de la coiffure en la matière.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 85218 publiée le 21 septembre 2010
    politique extérieure - Birmanie - droits de l'Homme. respect

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre des affaires étrangères et européennes sur la situation politique très préoccupante en Birmanie et tout particulièrement sur la nécessité d'une commission d'enquête mandatée par le conseil de sécurité des Nations-unies sur les crimes de guerre commis par le régime militaire birman. En effet, le régime militaire birman a récemment intensifié ses attaques envers les populations civiles dans les zones ethniques. Au cours de l'année qui vient de s'écouler, 75 000 personnes ont été déplacées de force. Depuis 1996, plus de 3 300 villages peuplés de minorités ont été détruits et les attaques de l'armée birmane ont causé le déplacement forcé de plus d'un million de personnes. Les militaires mettent en oeuvre une politique de nettoyage ethnique via l'usage généralisé du viol, le recrutement de dizaines de milliers d'enfants soldats et le recours massif au travail forcé, forme moderne d'esclavage. Dans ce contexte d'atteinte intolérable aux droits de l'Homme qui règne dans ce pays, il souhaite connaître les mesures que la France entend prendre pour faciliter la mise en oeuvre d'une telle commission.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 84966 publiée le 21 septembre 2010
    eau - assainissement - ouvrages non collectifs. procédés. évolutions

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, sur la question de l'assainissement autonome et des micro stations. L'arrêté ministériel du 7 septembre 2009 fixe les précisions techniques applicables aux installations d'assainissement non collectif. Il établit que les dispositifs de traitement des eaux usées domestiques pourront faire l'objet d'un agrément, la liste des dispositifs agréés devant être publiée au Journal officiel de la République française. Or, à ce jour, aucune liste n'a été publiée, mettant dans l'expectative un grand nombre d'usagers dans l'attente de l'agrément des micro stations. Ces dispositifs, pourtant reconnus comme efficaces dans le traitement des effluents domestiques, restent non reconnus par les services publics d'assainissement non collectif, lesquels s'appuient sur l'arrêté ministériel précité et son annexe I. C'est pourquoi, il souhait qu'il lui indique quelle sera la liste des dispositifs agréés publiée au journal officiel et à quelle échéance.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 82275 publiée le 14 septembre 2010
    communes - commerce et artisanat - droit de préemption. réglementation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur les conditions d'exercice par les communes de leur droit de préemption des fonds de commerce, fonds artisanaux et baux commerciaux dans le cadre de la sauvegarde des commerces de proximité. Les dispositions du code de l'urbanisme et de la construction, notamment dans son article L. 214-1, ont créé un droit de préemption renforcé au bénéfice des communes soucieuses de préserver la diversité de l'offre commerciale et de promouvoir le développement du commerce et l'artisanat de proximité. Cependant, il semblerait que ces dispositions doivent être clarifiées en ce qui concerne la définition des périmètres et des fonds de commerce, fonds artisanaux et baux commerciaux concernés. Par conséquent, il lui demande de bien vouloir lui indiquer la date de publication de ces modifications avancées. Par ailleurs, le délai d'une année, imparti aux communes pour rétrocéder les fonds de commerce, fonds artisanaux et baux commerciaux, semble trop court. Ainsi il souhaite savoir quelle mesure le Gouvernement entend prendre afin de faciliter les démarches pour les communes.

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    Réponse à la question écrite n° 82270 publiée le 07 septembre 2010
    chambres consulaires - chambres d'agriculture - fonctionnement. perspectives

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche sur le projet de loi de modernisation agricole et tout particulièrement sur les inquiétudes exprimées quant à l'évolution des chambres d'agriculture. En effet, certains personnels des chambres d'agriculture s'inquiètent d'une dégradation éventuelle des conditions de travail et d'emploi pour chacune de ces institutions. Par conséquent, il souhaite connaître l'état de sa réflexion et ses intentions en la matière.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 84917 publiée le 31 août 2010
    audiovisuel et communication - radio - diversité d'expression. répartition des fréquences. réglementation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre de la culture et de la communication sur les inquiétudes des radios indépendantes au regard des projets de relèvement du plafond légal de concentration en radio. Ainsi, l'article 41 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication limite à 150 millions d'habitants la desserte cumulée des réseaux d'un même groupe en radiodiffusion hertzienne terrestre analogique. Ce plafond a pour but de permettre l'existence et le développement de radios indépendantes. Si relèvement du seuil à 180 millions était adopté, cela porterait immanquablement atteinte à la diversité et à la pluralité du paysage radiophonique français. Face à la multiplicité des tentatives pour élever ce seuil, il souhaite connaître les intentions du Gouvernement en la matière.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 82702 publiée le 10 août 2010
    retraites : régime agricole - montant des pensions - revalorisation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche sur la question des retraites agricoles et tout particulièrement sur les attentes exprimées par les anciens exploitants agricoles dans le cadre de la réforme des retraites en cours d'élaboration. La situation des retraités agricoles doit être étudiée au regard de différents éléments : les pensions agricoles constituent les plus basses retraites françaises. En effet, les pensions agricoles atteignent péniblement 645 euros par mois pour une carrière complète d'exploitant et 512 euros pour une carrière complète de conjoint d'agriculteur. Cette situation n'est pas acceptable lorsque l'on sait le rôle joué par ces femmes et hommes au sein de notre société. Il apparaît donc nécessaire de réaffirmer le principe d'une retraite par répartition pour le monde agricole mais aussi de réformer ce système qui ne doit plus être laissé pour compte. Ainsi, il faudrait prévoir la mise en oeuvre d'un système à deux étages : d'une part, une retraite forfaitaire de base équivalant au minimum vieillesse, et d'autre part, une retraite proportionnelle par points assise sur les revenus du travail. Par conséquent, il souhaite connaître les mesures qu'il envisage en la matière afin de répondre à la légitime attente des anciens exploitants agricoles.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 82361 publiée le 10 août 2010
    énergie et carburants - produits pétroliers - particuliers. aide exceptionnelle. maintien

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur la suppression, dans la loi de finances pour 2010, de la prime à la cuve en faveur des quelques 700 000 ménages se chauffant au fioul domestique et non imposables. Par la suppression de cette prime à la cuve, près de 700 000 foyers aux revenus modestes, souvent ruraux, ont été les grands perdants. Cette mesure avait alors été décidée en raison de la diminution du prix du pétrole par rapport à la période de 2005-2006. Or, actuellement, le prix du carburant est à nouveau à la hausse. Cette augmentation entraîne donc une diminution du pouvoir d'achat de nombreux ménages. Par conséquent, il souhaite savoir s'il est dans les intentions du Gouvernement, dans la mesure où cette hausse se prolongerait au cours de l'automne et de l'hiver prochains, de la compenser, pour les ménages à faibles revenus, par un rétablissement de la prime à la cuve.

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  • Question 

    Question écrite n° 85342 publiée le 27 juillet 2010
    services - services à la personne - associations prestataires. situation financière

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur les difficultés croissantes rencontrées par les associations d'aide et de soins à domicile telles les ADMR pour remplir leur mission auprès des personnes bénéficiaires de l'APA notamment. Pour ces structures, les causes principales de ces difficultés s'expliquent par une tarification des interventions ne couvrant pas leur prix de revient, l'absence d'autorité de régulation et l'existence de distorsion de concurrence selon le mode d'intervention. Les conséquences qui en découlent pour les bénéficiaires sont une altération de la qualité des interventions à domicile, la remise en cause des efforts de qualification des personnels, le risque de destruction d'emplois dans le secteur, ainsi qu'un recentrage de l'action sociale au détriment des publics les plus isolés. Devant l'urgence de la situation, il souhaite savoir si le Gouvernement envisage une refonte du système de financement de l'aide et des soins à domicile et la création d'un fonds d'urgence permettant un retour à l'équilibre de structures en grande difficulté.

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  • Question 

    Question écrite n° 85286 publiée le 27 juillet 2010
    propriété - servitudes - débroussaillement. pouvoirs du maire. réglementation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, sur l'article L. 2213-25 du code général des collectivités territoriales qui prévoit des mesures permettant au maire d'une commune d'effectuer aux frais du propriétaire du terrain, le nettoyage et le débroussaillage de celui-ci lorsque le manque d'entretien porte atteinte à l'environnement. Cette disposition devrait normalement s'appliquer tout particulièrement aux terrains situés à proximité de zones d'habitation ou même à l'intérieur des villages. C'est pourquoi, il souhaite connaître les conditions et modalités précises de mise en oeuvre par le maire.

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  • Question 

    Question écrite n° 85114 publiée le 27 juillet 2010
    impôts et taxes - taxe générale sur les activités polluantes - calcul. réglementation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, sur les préoccupations exprimées par les collectivités rurales à l'égard du mode de calcul de la taxe générale sur les activités polluantes (TGAP). En effet, celui-ci ne récompense nullement les efforts entrepris en matière de tri et de baisse du tonnage de déchets enfouis, dans la mesure où les entreprises concernées s'appuient sur le tonnage collecté, comparé aux kilomètres effectués ou au temps passé pour facturer leur prestation. En d'autres termes, non seulement la taxe à la tonne d'ordures ménagères va augmenter pour passer de 13 euros à 17 euros en 2010 mais, de plus, les actions aboutissant à la diminution du tonnage d'ordures ménagères enfouies ne profitent pas aux collectivités qui les mettent en oeuvre et, de ce fait, les contribuables voient leur redevance ou leur taxe d'ordures ménagères constamment augmenter ce qui les fait douter de la pertinence d'un comportement « écologique ». C'est pourquoi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'il entend prendre pour remédier à cette situation, ce qui pourrait par exemple passer par un reversement d'une fraction de la TGAP aux collectivités vertueuses.

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  • Question 

    Question écrite n° 85101 publiée le 27 juillet 2010
    handicapés - établissements - maisons départementales des personnes handicapées. fonctionnement. financement

    M. Maurice Leroy attire l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de la famille et de la solidarité sur les difficultés financières que rencontrent les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). Ces difficultés ont récemment conduit le Médiateur de la République à demander davantage de moyens en faveur des MDPH. Ce dernier a soulevé les difficultés d'organisation de ces structures consécutives à l'absence de stabilisation des équipes, en soulignant l'instabilité de leurs moyens financiers et de leurs personnels. Par conséquent, il lui demande de bien vouloir lui indiquer, d'une part, la position du Gouvernement face aux préconisations du Médiateur de la République et, d'autre part, les mesures qu'elle entend prendre pour améliorer la condition des personnes handicapées.

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  • Question 

    Question écrite n° 84073 publiée le 13 juillet 2010
    professions de santé - ordre professionnel - infirmiers. masseurs-kinésithérapeutes. salariés. cotisations. assujettissement

    M. Maurice Leroy attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le mécontentement de certains professionnels de santé salariés qui sont dans l'obligation d'adhérer à des ordres professionnels afin de pouvoir exercer leur métier. C'est le cas notamment des personnels infirmiers des hôpitaux publics et des kinésithérapeutes. Ces professionnels s'opposent à cette obligation d'inscription à un conseil de l'ordre. Le paiement des cotisations à un ordre professionnel soumet ces personnels à la hiérarchie ordinale, ce qui est en contradiction avec leur qualité de salarié qui soumet le personnel à la hiérarchie de l'établissement qui l'a recruté et dans lequel il travaille. Par conséquent, il lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures elle entend prendre afin d'exclure ces professionnels salariés du champ d'application de cette obligation de cotisation.

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  • Question 

    Question écrite n° 83803 publiée le 13 juillet 2010
    enseignement privé - établissements sous contrat - financement. charges scolaires. répartition intercommunale. réglementation

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale sur les interrogations de nombreux maires et présidents de syndicats scolaires concernant les modalités d'application de la loi n° 209-1312 du 28 octobre 2009 relative à la parité de financement des écoles publiques et privées. Les élus locaux qui font face aux demandes de prise en charge financières par les organismes de gestion des établissements privés pour les élèves résidant dans leur commune et inscrits dans une école privée s'interroge en particulier sur le point de départ des obligations financières lorsque l'élève en question était inscrit avant l'entrée en vigueur du présent texte. L'obligation de participation financière s'apprécie-t-elle à compter de l'entrée en vigueur du texte ou bien par rétroaction par exemple à l'inscription de l'élève en septembre 2009 pour l'année scolaire 2009-2010 ? De même s'agissant des conditions dérogatoires d'inscription en école privée qui ouvrent l'obligation de financement pour la commune ou pour le syndicat, celles-ci doivent-elle être appréciées à la date de la rentrée scolaire 2010-2011 ou bien à la date d'entrée dans l'établissement de l'élève s'il est scolarisé depuis plus longtemps? Sur ces questions qui préoccupent de nombreux élus locaux, il lui demande de lui indiquer son interprétation de la portée des obligations des communes et syndicats et de lui préciser les conditions de mise en oeuvre du texte.

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  • Question 

    Question écrite n° 83669 publiée le 13 juillet 2010
    départements - action sociale - transport à la demande. financement

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur le dispositif de transport à la demande que le conseil général de Loir-et-Cher se propose de mettre en place, en partenariat avec les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre du département. L'assemblée départementale a en effet adopté le principe d'une participation financière des communautés de communes aux frais de fonctionnement du service, à hauteur de 50 % du déficit occasionné. Il lui demande si, s'agissant d'une procédure à caractère exceptionnel et expérimental, des conventions pourront être signées avec les communautés sur le fondement de leur compétence obligatoire « aménagement du territoire ».

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  • Question 

    Question écrite n° 82705 publiée le 29 juin 2010
    retraites : régimes autonomes et spéciaux - artisans et commerçants : politique à l'égard des retraités - conjoints collaborateurs

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur le statut des conjoints d'artisans. Longtemps, le conjoint d'artisan a travaillé sans reconnaissance. La loi de 1982 et celle du 2 août 2005 ont permis de trouver une issue à certaines situations parfois dramatiques. La loi de 2005 prévoit un mécanisme d'affiliation obligatoire permettant au conjoint collaborateur de se reconstituer des droits propres en matière d'assurance vieillesse, invalidité, décès. Les cotisations sont calculées à sa demande sur différentes assiettes. Ainsi, le statut de conjoint collaborateur permet d'acquérir une retraite personnelle fondée sur son travail dans l'entreprise familiale. La prochaine réforme des retraites représente un cadre idéal afin d'améliorer la situation des femmes ou des conjoints d'artisans. Par conséquent, il souhaite savoir s'il envisage d'aligner les prestations maternité des conjoints collaborateurs sur celles des femmes de chefs d'entreprise, permettre au concubin d'opter pour le statut de conjoint collaborateur et l'octroi de dispenses de cotisations au titre du régime vieillesse pour les conjoints collaborateurs âgés de plus de 50 ans.

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  • Question 

    Question écrite n° 82485 publiée le 29 juin 2010
    fonction publique territoriale - catégorie C - carrière

    M. Maurice Leroy attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur la situation des agents de maîtrise territoriaux. La réforme de la catégorie C intervenue en 2006 n'a pas conduit à différencier en termes d'échelle indiciaire les grades d'adjoint technique principal de 2e classe et d'agent de maîtrise ; tous deux dotés de l'échelle 5. Ainsi, des agents de maîtrise, avec des responsabilités d'encadrement, se retrouvent avec une échelle de rémunération identique, voire inférieure à celle de leur équipe : les adjoints techniques principaux de 1ère classe étant classés en échelle 6. Certes, l'octroi de la nouvelle bonification indiciaire de 15 points au titre des fonctions d'encadrement de proximité d'une équipe à vocation technique d'au moins cinq agents et le régime indemnitaire sont des outils à la disposition des collectivités territoriales pour reconnaître les responsabilités exercées. Toutefois, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les intentions du Gouvernement pour corriger cette situation de nature à démotiver les agents de maîtrise et à dissuader les adjoints techniques de passer ce concours.

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