Mme Nicole Ameline attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les effets toxiques provoqués par l'utilisation de l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins. En effet, la toxicité de l'aluminium dans les vaccins fait l'objet d'études depuis de très nombreuses années. Déjà en 1993 une chercheuse au CHU de Bordeaux découvrit une substance noire dans le muscle d'un patient, qui se révéla être de l'aluminium. Après une étude plus poussée, avec l'examen de plus de 2 000 biopsies, le métal fut soupçonné d'être à l'origine d'une maladie désignée sous le vocable de « myofasciite à macrophages ». Cette affection est handicapante ; elle provoque des troubles cognitifs, des douleurs articulaires et musculaires chroniques. Ainsi, il semblerait qu'entre 200 et 250 nouveaux cas soient enregistrés chaque année en France. La toxicité des métaux lourds, dont l'aluminium fait partie, a d'ores et déjà était prouvé : Le plomb provoque le saturnisme, responsable de maladies professionnelles qui peuvent être mortelles, le mercure, d'après une étude américaine, a démontré sa nocivité dans les vaccins, et serait la cause de la multiplication par 15 du nombre de cas d'autisme chez les enfants vaccinés. Il y a un an, une nouvelle étude réalisée par un professeur du CHU de Bordeaux est publiée. Celle-ci met en évidence la migration de particules d'aluminium, injecté avec des vaccins, vers le cerveau pour ne plus en sortir. Aussi elle lui demande, au regard des expérimentations scientifiques menées, mais également suite à l'affaire du médiator pour laquelle elle avait déclaré « qu'il fallait que le doute bénéficie systématiquement au patient », quelles sont les réponses que le Gouvernement entend apporter concernant l'utilisation de l'aluminium vaccinal.
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