• Travaux récents

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    Réponse à la question écrite n° 100310 publiée le 22 mai 2012
    sécurité routière - BSR - suppression. conséquences

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur la disparition du brevet de sécurité routière (BSR) et l'instauration du nouveau permis AM. Jusqu'alors le BSR pouvait être préparé et délivré par les titulaires du BEES 1er degré option motocyclisme et de la qualification complémentaire sécurité routière (QCSR). Ces derniers vont se voir écartés de la nouvelle formation à compter du 19 janvier 2013. Il lui demande quelles solutions le Gouvernement compte apporter afin que ces personnes, dont les compétences ont été reconnues par ailleurs, puissent être intégrées dans le contenu de ces nouvelles dispositions.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 128011 publiée le 15 mai 2012
    agriculture - maladies et parasites - cynips du châtaignier. lutte et prévention

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les mesures prises ces dernières années afin de lutter contre le cynips du châtaignier qui cause énormément de dégâts sur cette culture. S'il est évidemment nécessaire d'agir contre ce ravageur, les mesures d'urgence destinées à limiter son introduction et sa propagation prises en 2006 dans l'Union européenne et traduites en France par un arrêté de lutte publié le 22 novembre 2010, sont très pénalisantes pour les producteurs de plants quand bien même leur production est saine, du fait qu'elle ne se situe pas dans une zone infestée ou que la variété produite est insensible à ce fléau, comme c'est le cas pour la « bouche de Bétizac ». Il souhaite donc savoir si des nouvelles mesures peuvent être envisagées afin de soutenir cette filière et permettre aux producteurs de plants de ne pas être trop lourdement impactés.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 127331 publiée le 15 mai 2012
    mines et carrières - environnement - réglementations. coordination

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le Premier ministre sur sa décision de confier la réforme du code minier au ministère de l'industrie. La propriété du tréfonds de nos territoires ne peut plus être transférée sans obligations environnementales et économiques aux seuls attributaires des permis de recherche puis d'exploration minière. Quel que soit le procédé utilisé, on est en droit de redouter des perturbations sur l'hydrogéologie de nos territoires, voire sur nos paysages. Il faut donc que les activités minières rentrent dans le rang et n'échappent plus aux processus d'information, aux études d'impact indépendantes et à l'enquête publique. Il lui demande donc si le Gouvernement envisage un retour au droit commun des activités minières au même titre que pour les activités industrielles en matière environnemental, social et de police des activités. Il doit en être de même pour ce qui est de la participation des collectivités locales aux revenus des richesses du sous-sol de leurs territoires, s'agissant d'un intérêt général et non particulier.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 114275 publiée le 15 mai 2012
    sécurité routière - feux anti-brouillard - usage. réglementation

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur l'usage intempestif des feux anti-brouillards par de nombreux automobilistes lors de la conduite de nuit. Ce type d'éclairage est une source d'éblouissement souvent très désagréable pour les automobilistes et il ne devrait pouvoir être mis en service que par temps de brouillard uniquement et jamais en même temps que d'autres éclairages. Il lui demande donc si une nouvelle réglementation en matière d'équipements des véhicules est envisageable.

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    Question écrite n° 131045 publiée le 20 mars 2012
    sécurité routière - permis de conduire - poids-lourds. formations obligatoires. champ d'application

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur le dispositif des formations obligatoires des conducteurs routiers de marchandises d'un véhicule de plus de 3,5 tonnes, applicable également, depuis le 10 septembre 2009, aux véhicules spécialisés de dépannage, suite à la transposition de la directive européenne n° 2003-59 CE visant à harmoniser l'apprentissage des roulants européens. Ni le poids des véhicules transportés sur ces engins spécialisés de dépannage ni les distances parcourues ne semblent justifier une telle assimilation à des transports de marchandises "au long cours". Il lui demande si un réexamen des conditions d'exercice de la profession de chauffeur-dépanneur routier et une législation mieux adaptée aux conditions concrètes d'exercice de la profession autour des deux critères, poids-transport et distances parcourues, peuvent être envisagés.

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  • Question 

    Question écrite n° 130770 publiée le 20 mars 2012
    défense - personnel - militaires. recrutement. aptitude médicale. réglementation

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre de la défense et des anciens combattants à propos des conditions d'admission, sur le plan médical, au sein d'un corps armé. L'instruction n° 2100/DEF/DCSSA/AST/AME du 1er octobre 2003, modifiée le 18 novembre 2004, relative à la détermination de l'aptitude médicale à servir, n'a pas évolué depuis bientôt huit ans. Certains résultats de l'examen "SIGYCOP" entraînent l'inaptitude pour des candidats ne présentant pas de réel handicap. Il lui demande donc si, pour éviter des refus abusifs, une nouvelle réglementation pourrait être envisagée.

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  • Question 

    Question écrite n° 130715 publiée le 20 mars 2012
    assurances - assurance vie - CSG et CRDS. réglementation

    M. Alain Marc attire l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement, à propos des prélèvements sociaux opérés sur les intérêts des contrats d'assurance vie pour l'année 2011. Le taux de ces prélèvements a été modifié en cours d'année 2011 passant de 12,3 % au 1er janvier à 13,5 % au 1er octobre 2011. De fait, certains établissements financiers ont opéré un prélèvement calculé prorata temporis, ce qui donne un taux moyen de 12,6 % pour l'année. D'autres établissements, en revanche, ont opté pour un prélèvement uniforme de 13,5 %, ce qui pénalise leurs clients. Il lui demande donc si une uniformisation du calcul des intérêts pour 2011 est envisageable avec régularisation pour les personnes qui ont été prélevées de 13,5 % pour l'année entière.

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  • Question 

    Question écrite n° 130512 publiée le 13 mars 2012
    politique sociale - aide sociale - zones rurales. aides de l'État

    M. Alain Marc attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur l'inquiétude des structures de l'aide sociale en milieu rural. Très souvent, ces structures (associations ou services) siègent en milieu urbain et sont difficiles d'accès pour une partie de la population vivant dans les villages avoisinants et les recoins les plus isolés du département. Dans cette situation, les acteurs se voient contraints d'improviser des réponses et des partenariats qui paraissent trop souvent être la solution « la moins pire ». En observant l'action des structures sur le territoire, on ne peut que constater que les solidarités mises en place et la capacité des acteurs à apporter des solutions présentent des limites, notamment sur des thématiques comme les « sans abri » ou les « violences conjugales ». Dans ce contexte, la poursuite des réformes de l'État (convergence tarifaire, obligation de résultat, réductions de moyens...) interroge. En effet, elle risque d'entraîner la disparition de certaines prestations, voire même de certaines structures. Il lui demande donc quelles sont les solutions envisagées afin qu'en milieu rural les acteurs et les structures puissent maintenir leurs réponses et préserver l'accès de l'ensemble des populations aux services et ce sur l'intégralité de leur zone géographique.

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  • Question 

    Question écrite n° 128059 publiée le 14 février 2012
    bâtiment et travaux publics - sous-traitance - entreprises étrangères. concurrence

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur l'inquiétude des entreprises françaises du bâtiment auxquelles ne font pas appel certaines entreprises publiques alors qu'elles se sont dotées d'outils performants répondant à des normes précises en matière de qualité (type norme ISO). En effet, des entreprises publiques font appel à des entreprises étrangères de sous-traitance qui ne répondent pas aux mêmes exigences de qualité, par souci économique et cela pénalise les entreprises françaises. Il lui demande quelles solutions peuvent être trouvées pour remédier à ce phénomène.

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  • Question 

    Question écrite n° 128021 publiée le 14 février 2012
    anciens combattants et victimes de guerre - monuments commémoratifs - monuments aux morts pour la France. réglementation

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre de la défense et des anciens combattants à propos des monuments aux morts présents dans chaque commune de France et rappelant le sacrifice de millions de soldats qui ont fait don de leur vie à la Patrie. Ces monuments méritent d'être respectés en raison de leur caractère « sacré ». Pourtant il arrive qu'ils soient profanés, parfois volontairement, mais aussi par erreur, négligence, maladresse ou inconscience. Il arrive aussi qu'à proximité immédiate soient placés des containers de couleur vive destinés à y déposer des ordures ménagères, bouteilles ou papiers. Une telle promiscuité est outrageante. Aussi pour éviter de telles situations, il lui demande si des mesures pourraient être prises afin de garantir et préserver le respect de ces monuments.

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  • Question 

    Question écrite n° 123631 publiée le 06 décembre 2011
    logement : aides et prêts - subventions de l'ANAH - conditions d'attribution

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur le fait que, dans le contexte de priorisation par l'Anah des actions à vocation sociale en faveur des propriétaires occupants en difficulté en milieu rural et à l'heure où le programme "Habiter mieux" commence à se développer, l'on constate qu'il n'est plus possible de faire financer par l'Agence des travaux de confort minimal tels que les réfections de toiture, les mises en sécurité électrique ou le remplacement du système de chauffage (action qui, seule, ne permet pas d'atteindre le seuil fatidique des 25 % de gain d'énergie conventionnelle rendant possible l'obtention des aides majorées). Pourtant ces interventions ont historiquement permis le maintien dans une propriété décente de nombreux propriétaires très modestes. Certes, au regard de la réglementation de l'Agence, cette possibilité de subvention existe toujours dans la rubrique intitulée "autres travaux" mais n'est plus possible en réalité, compte tenu des restrictions budgétaires, mais aussi des orientations et objectifs du programme "Habiter mieux". Il lui demande donc ce que le Gouvernement entend faire pour que l'abandon de ce type d'aide n'aboutisse pas à une dégradation de la situation des ménages et à une augmentation des dépenses de l'Anah lorsque la dégradation de ces logements désormais non entretenus les aura rendus éligibles aux aides.

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  • Question 

    Question écrite n° 121375 publiée le 01 novembre 2011
    transports routiers - transports scolaires - réglementation. capacité des véhicules

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la réglementation des transports scolaires. En effet en milieu rural, il n'est pas rare de voir des personnes possédant un véhicule et un permis appropriés effectuer le ramassage scolaire car il n'existe pas de société de transports sur place pouvant effectuer ce ramassage. Depuis quelques années, le règlement prévoit que pour un véhicule 9 places, on peut transporter 9 enfants alors qu'auparavant dans un 9 places on pouvait transporter 13 enfants. Cela pénalise et gêne le bon fonctionnement du service de ramassage, surtout lorsqu'aucune société de transport n'est présente. Il lui demande donc si une modification de cette réglementation peut être envisagée pour faciliter le ramassage scolaire en milieu rural.

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  • Question 

    Question écrite n° 120966 publiée le 01 novembre 2011
    entreprises - chefs d'entreprise - conjoints collaborateurs. réglementation

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur les difficultés rencontrées par les petites entreprises lorsque l'URSSAF, lors d'un contrôle, assimile de façon systématique l'entraide familiale à du travail dissimulé. Si en attribuant au conjoint participant à l'activité de l'entreprise la possibilité de choisir entre les statuts d'associé, de salarié ou de collaborateur, il s'agissait de le protéger. La possibilité de recourir à l'entraide familiale nécessaire à la survie d'une petite entreprise n'a pas été expressément exclue dans les textes législatifs. Or, à la suite de contrôles inopinés, des commerçants aidés de leurs conjoints le jour de la foire du village ou en toute autre circonstance exceptionnelle, ont été taxés sans discussion sur la base d'un salaire forfaitaire, présumé dissimulé, de six mois. Il lui demande si le Gouvernement n'envisage pas, comme c'est déjà le cas pour la profession agricole, et dans le prolongement d'une décision du 13 février 1999 du tribunal des affaires de sécurité sociale de Versailles, de préciser par des textes complémentaires sa reconnaissance de l'entraide familiale, fondée sur les dispositions de l'article 212 du Code civil et nécessaire au maintien des petites et très petites entreprises, en rappelant que le travail dissimulé ne se présume pas mais doit être prouvé sur la base des critères jurisprudentiels en vigueur.

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  • Question 

    Question écrite n° 120319 publiée le 18 octobre 2011
    travail - heures supplémentaires - réglementation

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés rencontrées par des entreprises de l'Aveyron pour trouver de la main-d'oeuvre qualifiée, ce qui les oblige à reposer leur flexibilité sur les heures supplémentaires. Pour certaines de ces entreprises, le contingent d'heures supplémentaires ne suffit plus et, ayant consommé toutes les heures supplémentaires autorisées, elles se voient contraintes de refuser le travail proposé par leurs clients. Il lui demande donc si le contingent d'heures supplémentaires pourrait être augmenté pour les régions qui sont dans l'incapacité de trouver de la main-d'oeuvre qualifiée et en recherche permanente de flexibilité.

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  • Question 

    Question écrite n° 118887 publiée le 04 octobre 2011
    assurance maladie maternité : généralités - assurance complémentaire - adhésion obligatoire. conséquences

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conséquences de la loi n° 2003-775 du 21 août 2003 régissant la prévoyance collective et en particulier la complémentaire "santé" en entreprise. Les contrats collectifs obligatoires contraignent les salariés d'une entreprise, d'un commerce, d'une association à souscrire à la complémentaire "santé" d'entreprise désignée par l'accord collectif. Les salariés n'ont plus le libre choix de leur complémentaire et doivent démissionner de leur mutuelle de proximité. Il serait souhaitable d'envisager un dispositif permettant d'introduire la liberté de choix de la complémentaire "santé" et la possibilité de déroger aux accords de branche désignant un seul et unique organisme de prévoyance contre toutes les règles de libre concurrence. La mise en place d'un "chèque mutuelle" (correspondant à la participation employeur sur la cotisation mutualiste) autoriserait chaque salarié à choisir librement sa complémentaire. Ce "chèque mutuelle" délivré par l'employeur au salarié sur simple présentation d'un certificat d'adhésion servirait au règlement de sa cotisation auprès d'un organisme complémentaire librement choisi. Ce dispositif, analogue sur le plan du droit du travail et du droit fiscal aux chèques restaurant et chèque vacances, conforterait les mutuelles de proximité qui proposent des couvertures "santé" adaptées et responsables. Elles ne supporteraient plus l'hémorragie de leurs adhérents actifs obligés de s'affilier à de grosses structures financières. Il lui demande donc si ce dispositif peut être envisagé par le Gouvernement.

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  • Question 

    Question écrite n° 117463 publiée le 06 septembre 2011
    sécurité sociale - cotisations - exonération. activités situées en zones de revitalisation rurale

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conditions d'application des exonérations des cotisations pour les zones ZRR et les embauches du 1er au 50e salarié régies par les articles L. 1221-10, L. 1221-13, L. 1221-15 et R. 1227-1, le décret n° 97-127 du 12 février 1997 modifié par le décret n° 2008-1478 du 30 décembre 2008. En effet, l'application dans les entreprises en développement s'avère très compliquée. Les imprécisions des textes conduisent parfois à des remises en cause par les services de contrôle de l'administration. L'application des textes est formalisée lors de l'embauche d'un salarié par un document CERFA. Ce document, accompagné d'une notice, conduit à des règles de calcul qui impliquent l'entreprise pour les douze mois suivant l'embauche. Or, en cas d'embauches multiples au cours d'un même mois, les textes ne précisent pas de règle différente. L'application stricte conduit alors à des interrogations de l'administration qui remet en cause l'esprit de la loi et l'établissement du document CERFA. Il lui demande donc si le Gouvernement envisage une modification des textes prévoyant des calculs de moyenne lors d'embauches simultanées.

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  • Question 

    Question écrite n° 109277 publiée le 24 mai 2011
    handicapés - allocation aux adultes handicapés - conditions d'attribution

    M. Alain Marc attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur la méthode retenue pour le calcul de l'allocation pour adulte handicapé (AAH) suite à l'entrée en vigueur au 1er janvier 2011 de la réforme de l'AAH. En effet, en 2010, les frais professionnels étaient calculés soit forfaitairement sur les revenus (10 %), soit sur les frais réels suivant le barème fiscal. Pour 2011 il semblerait que seuls les frais forfaitaires de 10 % soient retenus, ce qui serait moins avantageux pour nombre de travailleurs handicapés. Il lui demande donc de lui préciser quelle méthode de calcul sera effectivement retenue.

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  • Question 

    Question écrite n° 90887 publiée le 19 octobre 2010
    énergie et carburants - carburants - détaillants. obligations

    M. Alain Marc attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation à propos des distributeurs alimentaires (grandes surfaces, hypermarchés) qui vendent également des carburants et où l'on ne trouve que très rarement un poste de gonflage des pneumatiques. Or une pression correcte dans les roues est un gage de sécurité auquel l'automobiliste ne pense pas en faisant le plein, faute d'avoir sous les yeux un appareil. Lorsqu'un automobiliste envisage ce réglage, il doit se rendre dans une station-service ou chez un garagiste. Les distributeurs alimentaires devraient être tenus de mettre ce service à la disposition de leurs clients. Il lui demande donc si une telle obligation pourrait être mise en place.

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  • Question 

    Question écrite n° 14280 publiée le 15 janvier 2008
    sécurité sociale - cotisations - exonérations. entreprises. zones de revitalisation rurale

    M. Alain Marc demande à M. le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique si les exonérations de charges patronales d'une durée d'un an pour certaines catégories d'emplois en Zone de Revitalisation Rurale prévues par la loi n° 96-987 du 14 novembre 1996 à l'article 15 (entreprises artisanales, industrielles, commerciales, agricoles ou libérales, groupements d'entreprises...) peuvent être appliquées dans les mêmes conditions pour les entreprises qui n'en ont jusque-là jamais bénéficié par manque d'information, ceci même de façon rétroactive. En effet, certaines entreprises ont déjà créé des emplois mais n'ont pas bénéficié de ces exonérations de charges par manque d'information.

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  • Question 

    Question écrite n° 14279 publiée le 15 janvier 2008
    santé - établissements de santé - tarification à l'activité. mise en place. conséquences

    M. Alain Marc attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur le passage des hôpitaux publics à un financement quasi intégral à l'activité au 1er janvier 2008 qui vise à accélérer les effets restructurant de ce nouveau mode d'allocation des ressources. Il n'est nullement contesté que celui-ci soit, par construction, peu favorable aux petits établissements, dont les charges fixes sont plus lourdes en proportions et dont les moyens administratifs sont peu adaptés aux lourdeurs de la nouvelle facturation. Il semble toutefois de nature à créer des risques graves, à court terme, pour des structures dont l'utilité dans l'offre de soins n'est pas discutable. Il lui demande donc les dispositions qu'elle envisage pour aménager ce dispositif dont on perçoit déjà certains effets pervers.

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