• Travaux récents

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    Réponse à la question écrite n° 120703 publiée le 21 février 2012
    retraites : régime général - réglementation - régime de retraite supplémentaire des entreprises. perspectives

    M. Jean Ueberschlag appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la taxation des retraites complémentaires d'entreprises, dites « retraites chapeau », dont le dispositif est défini à l'article L. 137-11 du code de la sécurité sociale introduit par la loi portant réforme des retraites du 21 août 2003. Alors que les entreprises versant des retraites chapeaux sont assujetties à une contribution spécifique affectée au fond de solidarité vieillesse, la loi de financement de la sécurité sociale pour 2011, visant les dirigeants de grandes entreprises en retraite, a créé un prélèvement sur l'ensemble des rentes, à la charge des bénéficiaires au moment de leur perception. Ainsi, pour les rentes versées au titre des retraites liquidées du 1er janvier 2011, le taux est de 7 % pour les rentes comprises entre 400 et 600 euros par mois, 14 % au-delà, les rentes inférieures à 400 euros étant exonérées de contribution. Il en résulte que de nombreux retraités, principalement d'anciens cadres percevant à peine plus de 400 euros par mois au titre de leur complémentaire d'entreprise, se retrouvent injustement taxés. C'est pourquoi il lui demande de lui indiquer les mesures que le Gouvernement entend prendre pour modifier, par souci d'équité, ce dispositif.

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    Réponse à la question écrite n° 114359 publiée le 17 janvier 2012
    TVA - taux - lunetterie

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur le taux de TVA appliqué sur les frais d'achat de paires de lunettes (monture et verres correcteurs). Le taux actuel est de 19,6 % et représente une part importante dans le budget des ménages, particulièrement pour les plus modestes. Dans le cadre de la politique du Gouvernement menée depuis 2007 pour la valorisation du pouvoir d'achat des français, il lui demande si un taux de TVA à 5,5 % est envisagé par le Gouvernement afin de valoriser le pouvoir d'achat de nos concitoyens.

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    Question écrite n° 126002 publiée le 10 janvier 2012
    TVA - taux - services à la personne

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur les inquiétudes soulevé des entreprises du secteur des services à la personne concernant l'augmentation de la TVA de 5,5 % à 7 % pour le TPE et les PME. À ce jour, le service à la personne est assuré à 85 % par les associations, les CCAS et les particuliers employeurs. Cette hausse de TVA, destinée aux seules entreprises qui ne représentent que 15 % du marché, impactera nécessairement les tarifs pratiqués et développera de ce fait une concurrence inéquitable entraînant, à plus ou moins long terme, des difficultés pour les entreprises de ce secteur. En conséquence, il lui demande de bien vouloir indiquer quelles mesures elle entend prendre pour permettre aux entreprises du secteur des services à la personne d'exercer leur activité dans des conditions de concurrence équitable.

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    Question écrite n° 125703 publiée le 03 janvier 2012
    énergie et carburants - énergie thermique - compteurs. installation. contrôle. réglementation

    M. Jean Ueberschlag appelle l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les conséquences de l'arrêté du 3 septembre 2010, relatif aux compteurs d'énergie thermique. Un compteur d'énergie thermique est un instrument de mesure servant à la facturation, mais permettant également de mieux maîtriser les consommations et ainsi générer des économies d'énergie. Publié au JO du 10 octobre 2010, ce texte était nécessaire, en particulier du fait que ni la vérification de l'installation ni la vérification périodique des compteurs d'énergie thermique n'étaient jusqu'à présent prévues par la réglementation. Ce texte traite bien de la mise en service des installations de chauffage, mais malheureusement pas de la vérification périodique des compteurs d'énergie thermique. Compte tenu de la complexité d'un compteur d'énergie thermique (intégration d'une différence de température avec un débit), les professionnels du comptage ne comprennent pas que le ministère ait omis la vérification périodique de ce type de compteur mais aussi de son installation. Ils constatent que d'un côté les compteurs d'eau et de gaz sont soumis à une vérification périodique et que de l'autre les compteurs d'énergie thermique ne le sont pas, alors que les montants facturés nettement plus importants. S'il est vrai qu'un contrôle représente un coût, il est néanmoins essentiel, autant pour des raisons d'équité que de maîtrise de l'énergie, de s'assurer du bon fonctionnement des compteurs d'énergie thermique, et cela durant toute leur vie. C'est pourquoi les professionnels du comptage préconisent une vérification primitive à leur sortie de fabrication (la réglementation est en place depuis longtemps), une mise en service garantissant la conformité de l'installation (la réglementation est en place avec l'application de cet arrêté), mais également un contrôle périodique pendant toute la durée de leur utilisation, à savoir en moyenne quinze ans (aucune règlementation n'est prévue à ce jour). Aussi, il demande donc à ce que les travaux faits pour la sortie de ce texte soient poursuivis afin de traiter dans un bref délai le sujet dans sa totalité et d'ainsi garantir à l'utilisateur un bon comptage durant toute la durée de vie de l'installation.

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    Question écrite n° 123396 publiée le 06 décembre 2011
    bois et forêts - filière bois - entreprises artisanales. perspectives

    M. Jean Ueberschlag appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les inquiétudes de la confédération d'Alsace des professions du bois. En effet, les entreprises artisanales ont l'obligation d'aménager leurs locaux, équipements de travail et leurs installations conformément à la réglementation. Elles sont soumises à des contrôles et à des vérifications régulières pour s'assurer du maintien en conformité prévue par la législation. Or le coût engendré par tous ces contrôles périodiques devient de plus en plus une charge financière qui n'est pas sans conséquence sur les trésoreries des petites structures, entraînant un frein considérable à la formation en alternance ou l'embauche d'un apprenti. C'est pourquoi il lui demande d'examiner avec bienveillance les inquiétudes et les attentes des professionnels concernés et de voir dans quelle mesure il pourrait y répondre.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 120514 publiée le 29 novembre 2011
    enseignement maternel et primaire : personnel - directeurs d'école - aide administrative. maintien

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur la situation des personnels exerçant sous contrat d'emploi de vie scolaire (EVS). Il s'inquiète du non-renouvellement de ces emplois aidés dans les écoles élémentaires et, a fortiori, de l'absence de créations de nouveaux emplois. En effet, les tâches administratives pour la gestion des écoles ne cessent de croître et ne peuvent pas être assurées quotidiennement par les directions dont les décharges sont insuffisantes pour faire face à la charge de travail. Des personnels méritants qui se sont totalement investis dans leur emploi se retrouvent au chômage alors même que les directrices et directeurs d'écoles ainsi que les équipes enseignantes sont unanimes sur l'utilité de ces postes. Ne pouvant se résigner à accepter une suppression de ces emplois, fortement préjudiciable au bon fonctionnement des écoles, ils sollicitent aujourd'hui massivement les communes afin que celles-ci se substituent à l'éducation nationale et financent la création ou le maintien des postes d'EVS en engageant ces personnels dans l'administration municipale en qualité de fonctionnaires territoriaux. Aussi, il aimerait savoir ce que le Gouvernement entend faire pour remédier à cette situation préoccupante, laquelle ne saurait être réglée par les collectivités locales compte tenu, d'une part, de contingences budgétaires, et, d'autre part, de contingences réglementaires liées à l'absence de dispositions du statut de la fonction publique territoriale les autorisant à inscrire ce type d'emploi au sein de leurs tableaux des effectifs.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 104804 publiée le 29 novembre 2011
    enseignement maternel et primaire : personnel - directeurs d'école - aide administrative. maintien

    M. Jean Ueberschlag appelle l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur l'aide administrative à la direction d'école. Cette aide, reconnue par la signature d'un protocole d'accords de 2006, est aujourd'hui remise en cause. Les contrats des employés de vie scolaire (EVS) qui sont arrivés à échéance fin 2010 n'ont pas été renouvelés. Or le maintien de ces postes auprès des directeurs d'écoles et des équipes enseignantes est devenu indispensable. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser les mesures envisagées pour les personnels et le corps enseignant pour qu'ils puissent remplir pleinement leurs missions de service public.

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  • Question 

    Question écrite n° 121556 publiée le 08 novembre 2011
    impôts et taxes - taxe sur les conventions d'assurance - assiette. contrats responsables et solidaires

    M. Jean Ueberschlag appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conséquences de la nouvelle taxation des garanties complémentaires santé qui passera de 3,5 % à 7 %. Les organismes de mutuelles estiment que ce nouvel effort financier qui est leur est imposé va les contraindre à les répercuter, ce qui forcément entraînera un surcoût pour les assurés. Cette mesure va frapper tous ceux qui cotisent à une couverture santé et un bon nombre de cotisants réduiront ainsi leur niveau de prestations en renonçant à certains soins considérés comme trop coûteux. Aussi, il lui demande ce qu'envisage le Gouvernement pour que les mutuelles cessent d'appliquer systématiquement les taxes sur les contrats des cotisants.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 109372 publiée le 04 octobre 2011
    politique économique - réglementation - loi n° 2008-776 du 4 août 2008. mise en oeuvre

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la loi n° 2008-776 du 4 août 2008, dite loi LME. Un rapport d'information de Mme Catherine Vautrin et de M. Jean Gaubert, déposé le 6 avril dernier, souligne un certain nombre de difficultés quant à la mise en oeuvre de cette loi. Est mentionné, un certain nombre de problèmes liés aux conditions générales de vente de l'article L. 441-6 du code du commerce (tarifs refusés ou révisés par certains distributeurs). Et c'est à nouveau, le producteur ou le fournisseur qui en fait les frais lors des négociations tarifaires auprès de la grande distribution. Aussi, il demande, quelles sont les mesures concrètes que le Gouvernement souhaite entreprendre pour que le texte soit respecté par tous les distributeurs.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 116160 publiée le 27 septembre 2011
    produits dangereux - insecticides - utilisation. conséquences. apiculture

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur l'autorisation du Cruiser OSR délivrée le 3 juin 2011, pour le traitement des semences de crucifères oléagineuses telles que le colza. Contenant deux fongicides et un insecticide, et les apiculteurs pointent les effets toxiques pour les abeilles. L'utilisation du cruiser OSR sur le colza est une source d'inquiétude pour l'avenir du cheptel apicole français car cette plante très visitée par les abeilles est essentielle en début de saison où elle permet aux colonies de se rétablir après la période hivernale. Plusieurs États producteurs de miel, membres de la Communauté européenne, ont d'ores et déjà retiré du marché les produits à base de thiaméthoxam. Au vu de ces éléments, il lui demande s'il entend abroger l'autorisation du Cruiser OSR qu'il vient de donner sur le colza, ainsi que le lui ont demandé les organisations professionnelles nationales de l'apiculture française.

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    Réponse à la question écrite n° 114137 publiée le 30 août 2011
    professions de santé - orthophonistes - diplôme. revendications

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la reconnaissance du niveau du grade de master à la formation d'orthophoniste. Elle fait l'objet actuellement d'une réingéniérie afin de l'adapter au modèle européen (licence-master-doctorat). Le ministère de l'enseignement supérieur a attribué à la formation initiale des orthophonistes le niveau de grade master. Or le ministère de la santé, cosignataire du diplôme, n'a toujours pas donné sa position sur le sujet. Les orthophonistes ont respecté tous leurs engagements, ont suivi la méthodologie imposée par le ministère de la santé et ont apporté une preuve objective du niveau de leur formation initiale. C'est pourquoi la reconnaissance du niveau master par le ministère de la santé est devenue essentielle. Il souhaiterait connaître sa position sur cette question.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 105981 publiée le 12 juillet 2011
    sécurité sociale - prestations - fraudes. lutte et prévention

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'application de certaines mesures prises pour lutter contre la fraude à la protection sociale. En effet, la loi de financement de la sécurité sociale pour 2007 du 21 décembre 2006 a prévu, conformément à une recommandation constante de la Cour des comptes, la création d'un « répertoire national commun de la protection sociale ». Ce répertoire contient les données communes d'identification des individus, les informations relatives à leur affiliation aux différents régimes concernés, à leur rattachement à l'organisme qui leur sert les prestations ou avantages, à la nature de ces derniers, ainsi que l'adresse déclarée aux organismes pour les percevoir. Le décret n° 2009-1577 du 16 décembre 2009 a précisé que ce répertoire doit permettre d'améliorer l'appréciation des conditions d'ouverture, la gestion et le contrôle des droits et prestations des bénéficiaires et qu'il doit fournir notamment « l'état de chacun des droits ou prestations». Pour la nature des droits et leur état soient connus des agents chargés de les attribuer, et pour que ceux-ci puissent réellement apprécier les conditions d'ouverture de ces droits, l'esprit de la loi exige que la totalité des montants des droits perçus par les bénéficiaires ainsi que l'ensemble de leurs revenus - nécessaires pour apprécier les versements sous condition de ressources - figurent dans le répertoire. En l'absence de ces renseignements le répertoire perdrait la plus grande partie de son intérêt, ne permettrait pas d'apprécier les conditions d'ouverture de certains droits et ne serait pas utilisé par les agents. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer si ces renseignements figureront bien dans le répertoire, à quelle date et dans quelles conditions celui-ci deviendra opérationnel. De plus, suite au décret n° 2007-240 du 22 février 2007 qui a créé l'Agence nationales des titres sécurisés, le décret n° 2007-255 du 27 février 2007 a prévu la création d'une carte nationale d'identité électronique. Alors que celle-ci devait faire l'objet d'un projet de loi déposé au Parlement au premier semestre 2008 et son déploiement devait avoir lieu en janvier 2009, il lui demande de bien vouloir lui indiquer la date à laquelle ce projet de loi sera déposé et quand le déploiement aura lieu. Enfin, le rapport 2009 de la délégation nationale à la lutte contre la fraude préconisant que soient évaluées, par sondages, la fraude aux indemnités journalières et la fraude à la couverture maladie universelle complémentaire, et de « développer la mise en oeuvre des sanctions administratives et civiles, en particulier les pénalités prononcées par les directeurs d'organismes versant des prestations », il souhaiterait savoir où en est la mise en oeuvre de ces préconisations.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 106246 publiée le 31 mai 2011
    fonctionnaires et agents publics - catégorie B - filière sociale. carrière

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État, chargé de la fonction publique, sur certaines dispositions statutaires des cadres d'emplois à caractère social de catégorie B. Suite à la mobilisation des personnels le 16 mars 2011, l'examen des projets de décrets concernant la filiale sociale ont été reportés de l'ordre du jour du Conseil supérieur de la fonction publique. Or les diplômes d'État d'assistant de service social,(DEASS), d'éducateurs spécialisés (DEES), d'éducateurs de jeunes enfants (DEEJE) et de conseiller en économie sociale et familiale (DECESF) s'inscrivent de plein droit dans l'enseignement supérieur. Aussi, suite aux inquiétudes des syndicats de la fonction publique, il lui demande de bien vouloir apporter un certain nombre d'éléments de réponse concernant la mise en place éventuelle d'un grade d'encadrement de catégorie A dans la filière sociale.

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    Réponse à la question écrite n° 94438 publiée le 24 mai 2011
    enseignement : personnel - auxiliaires de vie scolaire - statut. perspectives

    M. Jean Ueberschlag à M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur la mise en oeuvre de l'accompagnement scolaire des enfants handicapés. La loi du n° 2005-102 du 11 février 2005 garantit l'accueil des enfants handicapés en milieu ordinaire avec la possibilité d'être accompagnés par une auxiliaire de vie scolaire (AVS). Toutefois, les financements pour couvrir les renouvellements des contrats aidés ne sont plus suffisants et ces postes sont donc remis en cause. Au-delà des difficultés que rencontrent les familles de ces enfants, le nombre insuffisant de postes d'AVS et le manque de financement pour les postes existants, remet en cause le fondement même de la loi du 11 février 2005. En conséquence, il lui demande de lui indiquer les mesures qu'il entend prendre pour améliorer cette situation et assurer pleinement l'intégration scolaire des ces enfants.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 94111 publiée le 05 avril 2011
    professions sociales - aides à domicile - charges patronales. abattement. pérennité

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État, sur les réflexions menées concernant la suppression des exonérations des charges patronales pour les services d'aide à domicile et à la personne. Ce secteur connaît déjà des difficultés financières et la fin de l'exonération des charges patronales obligerait à augmenter le taux horaire des interventions ou à procéder à des licenciements. Une telle disposition porterait atteinte aux différentes personnes qui utilisent ce service ainsi qu'à la pérennité des associations d'aide à la personne. Aussi, il lui demande de bien vouloir préciser les intentions du Gouvernement.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 97208 publiée le 08 mars 2011
    retraites : fonctionnaires civils et militaires - annuités liquidables - anciens combattants d'Afrique du nord. bénéfice de campagne double

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la défense et des anciens combattants, sur le décret n° 2010-890 du 29 juillet 2010 portant attribution du bénéfice de la campagne double aux anciens combattants d'Afrique du nord. Ce décret prévoit que le bénéfice des campagnes doubles ne pourra être pris en compte que pour les retraites liquidées à partir du 18 octobre 1999. Cela a, bien évidemment, pour conséquence d'exclure de cette mesure la quasi-totalité des anciens combattants d'AFN, ceux-ci ayant obtenu le bénéfice de leur pension avant cette date. Aussi, il lui demande des éclaircissements à ce sujet et, le cas échéant, la possibilité d'élargir le bénéfice de la campagne double.

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  • Question 

    Question écrite n° 100593 publiée le 22 février 2011
    énergie et carburants - énergie thermique - compteurs. installation. contrôle. réglementation

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les conséquences de l'arrêté du 03 septembre 2010, relatif aux compteurs d'énergie thermique. Un compteur d'énergie thermique est un instrument de mesure servant à la facturation, mais permettant également de mieux maîtriser les consommations et ainsi de générer des économies d'énergie. Publié au Journal officiel du 10 octobre 2010, ce texte était nécessaire, en particulier du fait que ni la vérification de l'installation ni la vérification périodique des compteurs d'énergie thermique n'étaient jusqu'à présent prévues par la réglementation. Ce texte traite bien de la mise en service des installations de chauffage, mais malheureusement pas de la vérification périodique des compteurs d'énergie thermique. Compte tenu de la complexité d'un compteur d'énergie thermique (intégration d'une différence de température avec un débit), les professionnels du comptage ne comprennent pas que le ministère ait omis la vérification périodique de ce type de compteur mais aussi de son installation. Ils constatent que d'un côté les compteurs d'eau et de gaz sont soumis à une vérification périodique et que de l'autre les compteurs d'énergie thermique ne le sont pas, alors que les montants facturés sont nettement plus importants. S'il est vrai qu'un contrôle représente un coût, il est néanmoins essentiel, autant pour des raisons d'équité que de maîtrise de l'énergie, de s'assurer du bon fonctionnement des compteurs d'énergie thermique, et cela durant toute leur vie. C'est pourquoi les professionnels du comptage préconisent une vérification primitive à leur sortie de fabrication (la réglementation est en place depuis longtemps), une mise en service garantissant la conformité de l'installation (la réglementation est en place avec l'application de cet arrêté), mais également un contrôle périodique pendant toute la durée de leur utilisation, à savoir en moyenne quinze ans(aucune réglementation n'est prévue à ce jour). Aussi, il demande donc à ce que les travaux faits pour la sortie de ce texte soient poursuivis afin de traiter dans un bref délai le sujet dans sa totalité et ainsi de garantir à l'utilisateur un bon comptage durant toute la durée de vie de l'installation.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 94671 publiée le 22 février 2011
    presse et livres - auteurs - liberté d'expression

    M. Jean Ueberschlag à M. le ministre de la culture et de la communication sur les avatars que rencontre la liberté d'expression dans notre pays. La publication, il y a quelque temps, d'un livre intitulé « Nique la France » dont la couverture scandaleuse, multiplie les incitations à la haine et aux violences de toutes sortes. L'ouvrage a été retiré de la vente mais n'a pas fait l'objet de poursuite. Le Gouvernement souhaite faire progresser la paix et la cohésion sociale dans notre pays. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui faire savoir si le moment n'est pas venu de créer un nouveau délit d'atteinte aux valeurs fondamentales de la République, sans que cela ne remette en cause la liberté d'expression.

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    Question écrite n° 16352 publiée le 12 février 2008
    banques et établissements financiers - services bancaires - tarification. champ d'application

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi sur les dispositions de l'article 24 de la loi n° 2008-3 du 3 janvier 2008 pour le développement de la concurrence au service des consommateurs dite loi Chatel. Cet article permet notamment d'étendre l'obligation de transparence des établissements bancaires. Il y est dit que les associations pourront, au plus tard le 31 janvier 2009, bénéficier au même titre que les particuliers, d'un récapitulatif annuel de leurs frais bancaires. Il en résultera une simplification considérable du travail des trésoriers de ces associations. Toutefois, le texte mentionne le terme "associations", sans spécifier s'il s'agit uniquement des associations de la loi 1901 comme l'indiquait l'amendement présenté par M. Giscard d'Estaing. En effet, si l'article ne vise que ces dernières, un problème d'application se pose pour les associations d'Alsace-Moselle, qui ne sont pas soumises à la loi de 1901 mais au droit local. Celui-ci, concernant les associations inscrites auprès du registre des associations tenu par les tribunaux d'instance, est plus précis quant aux modalités d'organisation interne de ces dernières que la loi de 1901. Il serait donc juste, dans ce cas de figure, d'adapter le droit local en permettant à ces associations inscrites auprès des tribunaux d'instance de bénéficier également de l'article 24 de la loi Chatel. Aussi, il lui demande de l'éclairer sur la nature des associations visées par ce dispositif. Si seules les associations de la loi 1901 sont concernées, il lui demande de prévoir les mesures qui s'imposent afin que les associations inscrites d'Alsace-Moselle, non soumises à la loi 1901, puissent prétendre au même traitement.

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    Question écrite n° 14478 publiée le 15 janvier 2008
    impôt sur le revenu - calcul - conséquences. revenu fiscal de référence

    M. Jean Ueberschlag attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi sur l'incidence du nouveau barème pour le calcul de l'impôt sur le revenu sur le montant de la cotisation CMU de certains travailleurs frontaliers. La réforme de l'impôt avec ce nouveau barème a pour conséquence « mécanique » de majorer le montant du revenu brut global, du revenu net imposable et du revenu fiscal de référence (malgré les déductions applicables). Or, la cotisation de la CMU est de 8 % si le revenu fiscal de référence est supérieur à 8 644 euros. Ce taux s'applique donc à la différence entre le revenu fiscal de référence et 8 644 euros. Cette majoration de l'impôt due, en grande partie, à la suppression de l'abattement de 20 % peut engendrer une augmentation d'un tiers des cotisations CMU. Il lui demande, en conséquence, si elle entend prendre des mesures de nature à remédier à cette situation particulièrement discriminatoire pour les travailleurs frontaliers affiliés à la CMU qui, comme tout un chacun, ont droit à une couverture sociale, à condition qu'elle ne soit pas pénalisante pour eux.

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