• Travaux récents

  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 113946 publiée le 08 mai 2012
    hôtellerie et restauration - débits de boissons - licence. réglementation

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la réglementation actuellement en vigueur en matière de licence IV de débits de boisson. Actuellement, l'article 41 du code des débits de boisson interdit le transfert hors commune de la dernière licence IV détenue par une commune lorsque le dernier établissement ferme. Si la commune ne trouve pas de repreneur, la licence devient caduque au bout de trois ans. Alors que cette dernière aura consenti un effort financier conséquent pour maintenir le dernier commerce, son investissement sera perdu. Il souhaiterait savoir si pour remédier à cette situation irréversible, le Gouvernement entend modifier le code des débits de boisson ou prendre des dispositions afin de donner la possibilité aux communes de proroger la durée de leur dernière licence IV.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 119288 publiée le 20 décembre 2011
    transports ferroviaires - ligne Paris Cherbourg - réservation obligatoire. pertinence

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur le projet de mise en place d'un système de réservation obligatoire des places sur la ligne Paris-Caen-Cherbourg par la SNCF. Si la direction de l'entreprise de chemin de fer a décidé, sous la pression des élus locaux, de reporter ce projet, il reste néanmoins un objectif à moyen terme pour la SNCF. Si cette décision était finalement prise, elle aurait nécessairement des répercussions sur la fréquentation de cette ligne, déjà très affectée par des retards et les difficultés techniques récurrentes. Ligne bénéficiaire, considérée comme prioritaire par le Gouvernement, le Paris-Caen-Cherbourg mérite plus de considération de la part de l'opérateur historique. Depuis plusieurs mois maintenant, les clients de cette ligne " malade ", relayés par les 15 élus du Groupe UMP-centriste au conseil régional de Basse-Normandie, souhaitent que les conditions de trafic soient la priorité des priorités pour la SNCF. Le règlement des retards des trains de cette ligne n'étant en aucun cas lié à des problématiques d'embarquement de passagers, il apparaît évident que la mise en place d'une réservation obligatoire pour accéder aux trains est une solution inadaptée. Aussi, elle lui demande de bien vouloir faire le nécessaire pour que la SNCF considère l'avis de ses clients avant de lui imposer des contraintes supplémentaires pour voyager à bord de ses trains.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 118055 publiée le 20 décembre 2011
    élevage - équidés - maréchalerie. reconnaissance de la profession

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur une éventuelle modification de l'article L. 243-3 du code rural qui pourrait être envisagée afin d'ajouter, à la liste des personnes pouvant pratiquer des actes vétérinaires, les pédicures équins. Ce type d'intervention est assuré par les maréchaux-ferrants dont le cursus et le diplôme garantissent le sérieux de leurs actes. D'éventuels pédicures équins ne sauraient se prévaloir d'un tel professionnalisme puisqu'aucun texte ne réglementerait cette activité. En officialisant la création de l'appellation pédicure équin, c'est tout un pan de l'activité des maréchaux-ferrants qui serait mis à mal. Mais ce serait aussi nier le niveau de compétence de nos maréchaux-ferrants dont le savoir-faire est reconnu par tous les professionnels de la filière. Elle souhaiterait donc savoir si le Gouvernement pourra s'opposer à une modification de l'article mentionné ci-dessus.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 119665 publiée le 06 décembre 2011
    professions de santé - médecins - titulaires d'un diplôme étranger. qualification. reconnaissance

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les problèmes auxquels vont être confrontés d'ici à quelques mois nombre d'hôpitaux et de territoires, à commencer par Argentan dans l'Orne, si la situation des praticiens à diplôme hors Union européenne n'est pas examinée au plus vite. En effet, peu de places sont ouvertes au concours permettant aux praticiens spécialistes d'exercer et de rester en France. De ce fait, nombre d'entre eux vont être contraints de quitter avant le 31 décembre 2011 le territoire national. Et donc les hôpitaux dans lesquels ils exercent ne pourront demain fonctionner sans eux. Elle souhaiterait savoir comment le Gouvernement compte agir pour remédier à cette situation.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 39093 publiée le 29 novembre 2011
    personnes âgées - établissements d'accueil - forfait soins. mise en oeuvre. perspectives

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur l'inquiétude des directeurs de maisons de retraite suite à l'arrêté du 30 mai 2008 réintégrant dans le forfait global les dépenses de petit matériel médical jusque là remboursées individuellement à chaque résidant, sans limite de montant. Certains résidants, tels que les malades d'Alzheimer, ont des traitements médicamenteux très onéreux, qui grèveront lourdement le forfait global des maisons de retraite, ce qui pourrait les conduire à refuser d'accueillir certains résidants à la pathologie trop lourde. De plus, l'arrêté du 30 mai 2008 aura l'inconvénient pour les résidants de ne plus bénéficier de la prise en charge du tiers payant par leur mutuelle puisqu'il n'y aura plus de prise en charge individualisée. Il souhaiterait savoir s'il est envisagé de revenir sur cet arrêté du 30 mai 2008.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 118408 publiée le 08 novembre 2011
    TVA - taux - équidés. politiques communautaires

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les conséquences dramatiques que pourrait avoir une hausse de la TVA sur les activités équestres. Si une telle mesure venait à être adoptée, c'est tout un pan de l'économie nationale et ornaise qui serait mis à mal : fermeture des structures, forte désembauche, hausse du travail au noir et répercussion sur le coût des prestations faisant fuir la clientèle. Le cheval, emblème de l'Orne, constitue en Basse-Normandie un secteur économique à part entière représentant près de 10 000 emplois directs et contribuant aux activités sportives, sociales et culturelles. Troisième sport le plus pratiqué en France avec 700 000 licenciés, l'équitation est une des composantes essentielles d'une filière qui présente encore dans nos territoires ruraux un vrai potentiel de développement. C'est aussi une activité qui s'est fortement démocratisée au cours des dix dernières années, s'adressant particulièrement aux enfants, aux familles et aux femmes. Il est donc vital de ne pas casser la dynamique engagée depuis 2004 dans ce secteur fragilisé par les difficultés agricoles. Elle souhaiterait donc savoir si le Gouvernement va pouvoir défendre auprès de nos partenaires européens le maintien du taux réduit de TVA sur les activités équestres.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 111293 publiée le 27 septembre 2011
    agriculture - calamités agricoles - sécheresse. actions de l'État

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la crise sans précédent que traverse l'agriculture dans de nombreux départements, à commencer par l'Orne. Les conditions climatiques exceptionnelles depuis plusieurs mois vont placer des exploitations dans une situation désastreuse. Le déficit pluviométrique inédit depuis plus de trente ans ne permettra pas aux agriculteurs de reconstituer des stocks de paille et de fourrage nécessaires aux productions animales. Dans un contexte général de hausse des charges d'exploitation (matières premières), alors que le prix du lait stagne et que les cours de la viande s'effondrent mais aussi dans la perspective d'une récolte fortement impactée par la sécheresse pour les productions végétales, la mise en place d'une reconnaissance rapide de calamité paraît grandement justifiée. Il souhaiterait savoir s'il pourra déclarer la calamité agricole de manière urgente sur les départements concernés, sans attendre plusieurs mois.

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  • Question 

    Question écrite n° 116800 publiée le 23 août 2011
    État - météorologie - Météo France. restructuration. conséquences

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur la réorganisation territoriale de Météo France qui prévoit la disparition à terme des centres départementaux de météorologie, dont celui de l'Orne. Des centres météorologiques territoriaux seront mis en place afin d'assurer une couverture géographique la plus pertinente. La localisation des futurs centres suscite des interrogations car de vastes territoires se trouveront sans aucune implantation météorologique. Elle souhaiterait savoir s'il serait possible d'étudier la mise en place de centres météorologiques territoriaux supplémentaires.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 47643 publiée le 09 août 2011
    sécurité sociale - cotisations - exonération. services à la personne. champ d'application

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur l'interprétation des textes en matière d'exonération de cotisations patronales pour les rémunérations versées par les maisons de retraite à leurs salariés. L'article L. 241-10-III et III bis du code de la sécurité sociale prévoit une exonération en tout ou partie de cotisations patronales dues sur les rémunérations versées par des associations ou des entreprises agréées à leurs salariés exerçant des activités de service à la personne ou d'aide à domicile, et notamment aux personnes âgées. Deux conditions sont fixées pour le bénéfice de cette mesure (article L. 7231-1, anciennement L. 129-1 du code du travail) : être un organisme agréé ; avoir une activité qui rentre dans le cadre du service à la personne et plus particulièrement la garde d'enfant et l'assistance aux personnes âgées, aux personnes handicapées. L'article L. 7232-4 du code du travail précise, quant à lui, que les organismes publics ou privés gestionnaires d'un établissement ou service autorisé au titre du paragraphe I de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles peuvent bénéficier de l'agrément. Au titre des organismes mentionnés par l'article L. 312-1 susmentionné figurent les EPHAD. Ainsi, compte tenu de la rédaction des différents textes, les maisons de retraite (EHPAD) pourraient entrer pleinement dans le champ d'application de l'exonération puisqu'elles sont agréées au sens des articles L. 7231-1 et suivants du code du travail ; elles assurent des prestations relevant du service à la personne et elles interviennent au domicile des personnes âgées puisque celles-ci résident de manière permanente au sein de l'établissement où elles ont leur foyer fiscal. Dans la mesure où ces établissements bénéficient de l'abattement de la taxe d'habitation pour les résidents non imposables, que ces derniers sont bien considérés par l'INSEE comme domiciliés dans l'EHPAD et que l'APL peut leur être versée en fonction de leurs ressources, elle souhaiterait savoir si l'exonération des cotisations patronales peut être étendue aux EHPAD.

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  • Question 

    Question écrite n° 110622 publiée le 07 juin 2011
    transports routiers - transport de marchandises - poids-lourds. circulation. réglementation

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur les difficultés rencontrées par les haras. La réglementation européenne impose un plafond de 3,5 tonnes pour les camions transportant des chevaux. Le poids moyen d'un camion carrossé est de 2 600 kg. Or un cheval pèse en moyenne 500 kg, auxquels il faut rajouter le poids de trois personnes, de la malle de course, du sulky. De fait, la charge utile ne permet plus de transporter deux chevaux à la fois sous peine de dépasser le poids total en charge. C'est d'autant plus regrettable que les camions sont équipés pour deux animaux. Elle souhaiterait donc savoir si elle ne pourrait pas envisager d'octroyer une dérogation au niveau des charges maximum admissibles par essieu, comme cela a été fait pour les autocaravanes.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 85064 publiée le 23 novembre 2010
    entreprises - auto-entrepreneurs - statut. mise en oeuvre. modalités

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur le régime de l'auto-entrepreneur. Il semblerait qu'il y ait actuellement des difficultés au niveau du centre de formalités des entreprises de la chambre de métiers et de l'artisanat lorsque les dossiers d'inscription émanent directement des URSSAF. Dans ce cas, en effet, il n'est pas précisé s'il s'agit d'une activité exercée à titre principal ou complémentaire et les attestations de la qualification professionnelle ne sont pas intégrées au dossier. Le traitement des dossiers administratifs est donc lourd et prend du temps, faute d'informations précises sur les personnes inscrites. Elle souhaiterait savoir si une précision des textes peut être envisagée afin de régler ce problème.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 82894 publiée le 27 juillet 2010
    agriculture - coopératives - commissaires aux comptes. recours obligatoire. réglementation

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche sur le seuil d'intervention des commissaires aux comptes dans les coopératives. Les coopératives agricoles ont l'obligation de désigner un commissaire aux comptes lorsqu'elles répondent à au moins deux des trois critères suivants : 3 salariés, 110 000 euros hors taxe de chiffre d'affaires et 55 000 euros de total du bilan. Il souhaiterait savoir s'il est prévu un relèvement des seuils de nomination d'un commissaire aux comptes pour les coopératives ainsi que la date d'entrée en vigueur de cette réévaluation si elle intervient.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 69900 publiée le 16 mars 2010
    agriculture - agriculteurs en difficulté - aides de l'État. bénéficiaires

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche sur les agriculteurs qui ont subi un redressement judiciaire. Un plan de soutien national de 1 milliard d'euros de prêts a été décidé en 2009, en complément des aides européennes, à destination des agriculteurs que la crise menaçait de faire disparaître mais les agriculteurs en redressement judiciaire n'ont pu bénéficier de ce dispositif. Elle souhaiterait savoir si le projet de loi visant à protéger artisans et commerçants contre la saisie de leurs biens privés en cas de faillite, actuellement en préparation, pourrait également s'appliquer aux agriculteurs.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 58050 publiée le 23 février 2010
    plus-values : imposition - exonération - groupements agricoles d'exploitation en commun. fusion. réglementation

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur les conditions d'exonération des plus-values de cession d'éléments d'actif suite à la constitution d'un nouveau groupement agricole d'exploitation en commun (GAEC) après fusion de deux exploitations sociétaires. En vertu des dispositions de l'article 151 septies nouveau du code général des impôts, les plus-values réalisées en cours ou en fin d'exploitation par les contribuables, dont les recettes n'excèdent pas certains seuils, sont exonérées en tout ou partie, à condition que l'activité ait été exercée à titre professionnel pendant au moins cinq ans. La documentation administrative précise qu'en cas de cession par une société à un groupement soumis à l'impôt sur le revenu, le délai de cinq ans s'apprécie à compter du début effectif d'activité de la personne morale ou du groupement. Lorsque le groupement ne respecte pas la condition relative à la durée de l'activité, cette condition peut être appréciée en fonction de la situation de chacun des associés qui exercent leur activité dans le groupement. Le point de départ du délai de cinq ans s'entend alors à la date de création ou d'acquisition de l'exploitation individuelle apportée au groupement qui réalise la plus-value. Ainsi les GAEC constitués de sociétaires ayant auparavant des exploitations individuelles entrent dans ce cadre, alors que ceux constitués d'exploitations sociétaires ne sont pas éligibles à cette exonération. Dans la mesure où de plus en plus d'exploitations fusionnent, qu'elles sont pour beaucoup déjà en GAEC au moment de la fusion, et qu'une inégalité de traitement apparaît dans le dispositif, elle souhaiterait savoir s'il ne pourrait pas envisager une modification des textes permettant une exonération des plus-values de cession d'actifs pour les fusions de GAEC.

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  • Question 

    Question écrite n° 66018 publiée le 08 décembre 2009
    logement : aides et prêts - prêts - éco prêt à taux zéro. champ d'application

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, sur l'éco-prêt à taux zéro. De nombreux propriétaires ont commencé à investir dans de nouvelles menuiseries plus performantes au niveau énergétique avant la mise en place de l'éco-prêt. Toutefois, pour les menuiseries restant à changer, ils se trouvent bloqués puisque le dispositif ne s'applique que si 50 % des ouvertures sont remplacées. Les personnes qui ont fait des efforts par le passé se trouvent donc pénalisées. Elle souhaiterait savoir si ce dispositif de l'éco-prêt peut être revu afin d'intégrer un pourcentage d'ouvertures moins important pour y avoir accès.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 45597 publiée le 08 décembre 2009
    impôt sur le revenu - réductions d'impôt - investissements immobiliers locatifs. zonage. pertinence

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de Mme la ministre du logement sur le dispositif Scellier visant à redonner de la vigueur à l'investissement immobilier privé. L'exclusion de la zone C du bénéfice de cette déduction risque de mettre un terme à des projets d'investissements privés en cours. Qui plus est, cette zone qui représente près de 80 % du territoire va être totalement abandonnée par les investisseurs qui vont se tourner exclusivement vers les seules zones A et B. Elle souhaiterait donc savoir s'il peut être envisagé une extension de l'amendement Scellier à tout le territoire ou une extension du dispositif pour des opérations exemplaires, au cas par cas.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 59783 publiée le 17 novembre 2009
    anciens combattants et victimes de guerre - orphelins - indemnisation. champ d'application

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le secrétaire d'État à la défense et aux anciens combattants sur les pupilles de la Nation et orphelins de guerre. En 2004, le Gouvernement a adopté les dispositifs de réparation qui n'ont pu régler toutes les situations de manière équitable et lisible. Dans un souci de clarté et d'équité, le Gouvernement a lancé des travaux permettant d'aboutir à la rédaction d'un décret unique qui remplacera et complètera ceux de 2000 et 2004, en instituant une mesure de réparation pour tous les orphelins de guerre n'ayant pas bénéficié des précédentes mesures. Le rapport de l'ancien préfet Audouin ayant été remis au Gouvernement, une commission chargée d'examiner les conclusions dudit rapport a été mise en place il y a plusieurs mois. Elle souhaiterait savoir dans quel délai les conclusions de la commission permettront un règlement de ce dossier.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 43021 publiée le 19 mai 2009
    retraites : généralités - retraites complémentaires - paiement des pensions. mensualisation

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur les modalités de versement des retraites complémentaires. Celles-ci sont versées trimestriellement. Les retraités qui ont de petites pensions rencontrent des difficultés financières liées à ce paiement au trimestre. C'est pourquoi elle souhaiterait savoir si, dans le cadre de la négociation qui s'ouvrira sur les retraites complémentaires dans les prochaines semaines, le Gouvernement compte mettre sur la table leur mensualisation.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 38966 publiée le 10 mars 2009
    élevage - PAC - chevaux de trait. perspectives

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de la pêche sur le cheval de trait. Les professionnels ont entrepris des démarches afin d'intégrer le cheval de trait dans le paysage de la politique agricole commune. Cette mesure permettrait à ce secteur de production d'accéder à un soutien de l'Europe dans le cadre des biens publics apportés dans les domaines de l'environnement, de l'aménagement du territoire et du maintien du tissu rural. Reconnu comme agricole en juillet 2004 par la France, l'élevage du cheval de trait ne pouvait prétendre jusqu'à l'heure à aucun soutien européen. La démarche aujourd'hui entreprise permettrait une réelle reconnaissance du statut agricole, incitant ainsi les éleveurs à professionnaliser davantage la production. Elle souhaiterait donc savoir si cette intégration du cheval de trait dans la PAC peut être envisagée.

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  • Question 

    Réponse à la question écrite n° 38963 publiée le 10 mars 2009
    élevage - chevaux - aides de l'État

    Mme Sylvia Bassot attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture et de la pêche sur les aides à l'installation pour la filière équine. La loi relative au développement des territoires ruraux promulguée le 23 février 2005 a fait entrer dans le champ des activités agricoles au sens de l'article L 311-1 du Code rural, toutes les activités de préparation et d'entraînement des équidés domestiques en vue de leur exploitation, à l'exclusion des activités de spectacle. De ce fait, les candidats souhaitant s'installer dans le secteur de l'élevage équin ou en activités équestres (exploitation d'un centre équestre, entraînement de chevaux de course, débourrage, dressage et entraînement de chevaux de sport ou de loisir) peuvent bénéficier des aides à l'installation (DJA et prêts bonifiés). Or, depuis la promulgation de la loi de 2005, les installations aidées en élevage équin ou en activités équestres sont encore rares. En effet, la plupart des candidats à l'installation dans ces filières sont titulaires d'un diplôme Jeunesse et Sports et ne bénéficient pas de la reconnaissance de la capacité professionnelle agricole (niveau IV exigé, soit BTA, bac Pro agricole ou BPREA) pour entrer dans le parcours à l'installation agricole aidée. C'est pourquoi, il souhaiterait savoir s'il ne serait pas possible que le Ministère de la Jeunesse et des Sports et le Ministère de l'Agriculture reconnaissent mutuellement les diplômes qu'ils délivrent afin de régler ce problème d'installation.

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