Projet de loi de finances
pour 2024
Assemblée nationale
Constitution du 4 octobre 1958
Seizième législature
Enregistré à la présidence
de l’Assemblée nationale
le 27 septembre 2023
N° 1680
Projet de loi de finances pour 2024
renvoyé à la Commission des finances,
de l’économie générale et du contrôle budgétaire,
présenté au nom de Madame Élisabeth BORNE
Première ministre
par
M. Bruno LE MAIRE
Ministre de l’économie, des finances
et de la souveraineté industrielle et numérique
et par
M. Thomas CAZENAVE
Ministre délégué,
chargé des comptes publics
Sommaire
Orientations générales et équilibre budgétaire du projet de loi de finances pour 2024
Évaluation des Recettes du budget général
Articles du projet de loi avec exposé des motifs
PREMIÈRE PARTIE : CONDITIONS GÉNÉRALES DE L’ÉQUILIBRE FINANCIER
TITRE PREMIER : DISPOSITIONS RELATIVES AUX RESSOURCES
I – Impôts et ressources autorisées
A – Autorisation de perception des impôts et produits
ARTICLE 1 : Autorisation de percevoir les impôts existants
ARTICLE 3 : Régime fiscal du plan d'épargne avenir climat
ARTICLE 5 : Crédit d'impôt au titre des investissements en faveur de l'industrie verte
ARTICLE 6 : Aménagement de la fiscalité du logement
ARTICLE 8 : Aménagement de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises
ARTICLE 11 : Adaptation des tarifs d'accise sur les énergies
ARTICLE 12 : Réduction progressive de dépenses fiscales défavorables à l'environnement
ARTICLE 15 : Taxe sur l'exploitation des infrastructures de transport de longue distance
ARTICLE 16 : Réforme des redevances des agences de l'eau
ARTICLE 17 : Suppression de dépenses fiscales inefficientes et d’une taxe à faible rendement
ARTICLE 18 : Mise en œuvre du transfert du recouvrement des contributions indirectes à la DGFiP
ARTICLE 19 : Mise en œuvre du plan de lutte contre les fraudes
ARTICLE 20 : Délit de mise à disposition d'instruments de facilitation de la fraude fiscale
ARTICLE 22 : Renforcement du contrôle des prix de transfert des entreprises multinationales
ARTICLE 23 : Aménagement des modalités de réalisation des contrôles fiscaux
A – Dispositions relatives aux collectivités territoriales
B – Impositions et autres ressources affectées à des tiers
ARTICLE 28 : Dispositions relatives à l'affectation de ressources à des tiers
ARTICLE 29 : Stabilité des contributions des bailleurs sociaux au financement des aides à la pierre
C – Dispositions relatives aux budgets annexes et aux comptes spéciaux
ARTICLE 32 : Relations financières entre l'État et la sécurité sociale
TITRE II : DISPOSITIONS RELATIVES À L’ÉQUILIBRE DES RESSOURCES ET DES CHARGES
ARTICLE 34 : Équilibre gÉnÉral du budget, trÉsorerie et plafond d’autorisation des emplois
SECONDE PARTIE : MOYENS DES POLITIQUES PUBLIQUES ET DISPOSITIONS SPÉCIALES
TITRE PREMIER : DISPOSITIONS POUR 2024
I – Autorisation des crédits des missions et performance
ARTICLE 35 : Crédits du budget gÉnÉral
ARTICLE 36 : Crédits des budgets annexes
ARTICLE 37 : Crédits des comptes d'affectation spéciale et des comptes de concours financiers
B. - Données de la performance
ARTICLE 38 : Objectifs et indicateurs de performance
II – Autorisations de découvert
ARTICLE 39 : Autorisations de découvert
III. – Plafonds des autorisations d'emplois
ARTICLE 40 : Plafond des autorisations d’emplois de l'État
ARTICLE 41 : Plafond des emplois des opérateurs de l'État
ARTICLE 42 : Plafond des emplois des établissements à autonomie financière
ARTICLE 43 : Plafond des emplois des autorités publiques indépendantes
IV. - Reports de crédits de 2023 sur 2024
ARTICLE 44 : Majoration des plafonds de reports de crédits de paiement
TITRE II: DISPOSITIONS PERMANENTES
I – Mesures budgétaires non rattachées
ARTICLE 45 : Garantie de l’État à la Banque de France sur un prêt au Fonds monétaire international
Ecologie, développement et mobilité durables
ARTICLE 50 : Évolution de la prime de transition énergétique dite « MaPrimeRénov’ »
ARTICLE 53 : Création des pôles d’appui à la scolarité (PAS)
ARTICLE 54 : Suppression du fonds de soutien au développement des activités périscolaires (FSDAP)
ARTICLE 55 : Extension du champ de la continuité territoriale en outre-mer
Relations avec les collectivités territoriales
ARTICLE 56 : Répartition de la dotation globale de fonctionnement
ARTICLE 58 : Modalités de répartition de la dotation pour les titres sécurisés
ÉTAT A (Article 34 du projet de loi) Voies et moyens
ÉTAT E (Article 39 du projet de loi) Répartition des autorisations de découvert
ÉTAT F (Article 35 du projet de loi) Répartition des moyens globaux alloués par mission
ÉTAT G (Article 38 du projet de loi) Liste des objectifs et des indicateurs
Tableaux d’Évolution des dÉpenses et observations gÉnÉrales
4. Tableau d’évolution des plafonds d’emplois
Tableaux de synthèse des comptes spéciaux
I/ Le budget pour 2024 s’inscrit dans une trajectoire de rétablissement des comptes publics à l’horizon 2027
1. La croissance demeurerait solide en 2023 (+1,0 %), l’activité accélérerait (1,4 %) et l’inflation refluerait (2,6 %) en 2024
L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post-covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. Si la croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %), les tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières ont engendré une dynamique heurtée de l’activité entre les hivers 2022 et 2023, affectant particulièrement la consommation des ménages.
La croissance serait robuste en 2023 à +1,0 % ; l’inflation s’établirait à +4,9 %.
L’économie française n’a jamais cessé de croître et les effets négatifs sur l’activité des chocs se dissipent progressivement. Les prix restent à des niveaux élevés mais les prix des matières premières se sont largement détendus et le pic d’inflation est passé ; l’activité a retrouvé de l’élan au 2e trimestre 2023 (+0,5 %). L’acquis pour 2023 est ainsi porté à +0,8 % à la fin du premier semestre. Les parts de marché à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Bien qu’en ralentissement, le marché du travail continue d’être dynamique avec 21 000 emplois salariés créés au 2e trimestre 2023, après près de 102 000 au 1er trimestre 2023. Le taux de chômage s’établit à 7,2 % au 2e trimestre 2023, 1 point en dessous de son niveau de fin 2019, et proche de son plus bas depuis quarante ans.
Pris globalement, les derniers indicateurs conjoncturels indiquent une activité résiliente face aux vents contraires : en juillet, la production industrielle a progressé (+0,7 %), suggérant une continuité de la dynamique entamée en début d’année ; en septembre le climat des affaires est stable à sa moyenne de long-terme, indiquant une activité toujours en croissance. L’activité devrait par ailleurs être soutenue par la consommation des ménages tout au long du second semestre. Elle bénéficierait en effet du reflux de l’inflation : sur l’ensemble de l’année 2023, le pouvoir d’achat du revenu disponible des ménages progresserait ainsi nettement (+1,3 %).
L’inflation et les contraintes d’approvisionnement refluant, le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait (− 5,0 %) après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne 2023 (+3,2 %) au vu des nettes hausses des trimestres passés, du taux de marge élevé et des derniers chiffres rassurants concernant le crédit à l’investissement.
L’emploi salarié marchand non agricole ralentirait en moyenne annuelle (+1,3 %, après +3,3 % en 2022), en lien avec l’activité ainsi que la résorption de certains facteurs temporaires de perte de productivité (rétention de main d’œuvre notamment). Les salaires nominaux seraient suffisamment dynamiques (+5,3 %) pour voir leur pouvoir d’achat rebondir légèrement, notamment du fait de versements importants attendus de primes de partage de la valeur (PPV) au second semestre.
L’inflation (au sens de l’IPC) baisserait légèrement en 2023 à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Celle-ci serait toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés de vente permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, ceux-ci seraient amenés à se normaliser sous l’effet du fort ralentissement des prix de production et des matières premières des derniers mois. L’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement. L’inflation sous-jacente s’établirait à +5,1 % en 2023 ; tandis que des aléas existent sur l’évolution des cours du pétrole et du gaz.
La croissance gagnerait en vigueur en 2024, à +1,4 % ; l’inflation refluerait fortement pour s’établir à +2,6 %.
En 2024, l’économie mondiale croîtrait au même rythme qu’en 2023 (+3,0 %), soit un rythme légèrement inférieur à sa moyenne 2015-2019. La poursuite du ralentissement dans les pays avancés serait compensée par une croissance plus soutenue pour les pays émergents.
Au sein des économies avancées, les trajectoires d’activité seraient divergentes entre zones. Aux États-Unis, l’activité ralentirait nettement après deux années de croissance dynamique : la consommation des ménages serait pénalisée par l’épuisement de la sur-épargne constituée lors de la crise sanitaire et par un accès plus restreint au crédit à la consommation. Au contraire, l’activité en zone euro retrouverait du dynamisme en 2024, car la consommation serait soutenue par le reflux du taux d’épargne vers son niveau moyen, dans un contexte de décrue de l’inflation. Au sein des économies émergentes, l’activité bénéficierait de la baisse des pressions inflationnistes et de la détente des politiques monétaires. Le ralentissement en Asie, notamment en Chine, serait compensé par une reprise de l’activité dans les autres régions.
L’activité en France accélérerait à +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, dans le sillage de la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans les matériels de transport. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement total serait freiné par la hausse des taux d’intérêts et ralentirait sensiblement, sans toutefois décroître. L’investissement des ménages reculerait de nouveau, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique. L’investissement public, notamment local, est attendu en hausse, comme usuellement à ce stade du cycle électoral (+1,5 %).
L’emploi salarié marchand non agricole repartirait progressivement avec la reprise de l’activité ; il augmenterait de 0,5 % en moyenne annuelle, reflétant notamment le cycle de productivité. Les salaires nominaux ralentiraient à +3,1 % dans le sillage de l’inflation. Les salaires réels accélèreraient toutefois légèrement, à la faveur de la baisse de l’inflation.
En 2024, l’inflation diminuerait nettement, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie-restauration, services aux ménages, etc.). Cela ne remettrait toutefois pas en cause la baisse progressive de l’inflation : les prix des services ne connaissent plus d’accélération depuis plusieurs mois, et la croissance des salaires devrait atteindre son pic au 2nd semestre 2023. Le reflux observé de l’inflation et le bon ancrage des anticipations suggèrent par ailleurs l’absence de risque de boucle prix-salaires. L’inflation sous-jacente resterait ainsi proche de l’inflation totale, et s’établirait à 2,4 % en 2024.
2. Conformément aux engagements présidentiels, la baisse du déficit en 2024 s’inscrit dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, avec un retour sous les 3 % de déficit à horizon 2027, et de poursuite des baisses d’impôts
a. Le déficit public en 2024 diminuerait par rapport à 2023, pour s’inscrire à – 4,4 % du PIB
En 2023, malgré les nombreuses incertitudes notamment liées à la situation géopolitique et une croissance légèrement plus faible qu’anticipée, le déficit sera tenu à – 4,9 % du PIB, contre – 5,0 % prévu dans la loi de finances initiale (LFI) pour 2023. La baisse observée sur les prix de l’énergie a notamment permis de diminuer le coût des différentes mesures de soutien.
En 2024, le solde public s’améliorera par rapport à 2023 et atteindrait – 4,4 % du PIB, conformément au Programme de stabilité 2023-2027. Avec une croissance établie à 1,4 %, l’amélioration du solde s’explique principalement par la sortie progressive des mesures temporaires relatives à la hausse des prix de l’énergie, de relance et de soutien. Cet effet est partiellement compensé notamment par la hausse de la charge d’intérêt de la dette, matérialisant les effets de la hausse des taux.
b. Le ratio de dépense publique continue de décroître en 2024
Après s’être établi à 57,7 % du PIB en 2022, le ratio de dépense publique hors crédits d’impôt s’élèverait à 55,9 % du PIB en 2023 compte tenu de la mobilisation toujours forte des finances publiques pour protéger le pouvoir d’achat des ménages et soutenir les entreprises face aux conséquences de l’inflation. En 2024, le ratio de dépense poursuivrait sa baisse à 55,3 % du PIB, du fait de la sortie progressive des mesures temporaires relatives à la hausse des prix de l’énergie permise notamment par la baisse des prix de l’énergie.
En volume, la dépense publique hors crédits d’impôt diminuerait ainsi de façon significative (– 1,3 %) en 2023. Ce repli est en particulier dû à la nette baisse du coût des principaux dispositifs de soutien d’urgence, de relance, ainsi que des mesures relatives à la hausse des prix de l’énergie. En 2024, la dépense publique évoluerait à hauteur de +0,5 % en volume.
c. Une trajectoire pluriannuelle des finances publiques qui prévoit un retour du déficit sous le seuil de 3 % à horizon 2027
La trajectoire pluriannuelle dans laquelle s’inscrit le PLF 2024 est celle prévue dans le projet de LPFP 2023-2027 dont l’examen se poursuivra fin septembre : elle prévoit un retour du déficit public sous le seuil de 3 % à horizon 2027. Ce retour à des comptes publics normalisés après la crise sanitaire et les conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine s’appuierait sur un redressement du solde structurel de 1 point de PIB entre 2024 et 2027. Cet ajustement progressif conduirait à une décrue du ratio de dette rapporté au PIB à partir de 2025 : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % du PIB en 2021, atteindrait 109,6 % du PIB en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % du PIB en 2027.
L’écart de production, encore marqué en 2021 et 2022 (respectivement − 7,0 % et − 2,1 %) dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. De ce fait, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB).
La stratégie de retour à des comptes publics normalisés s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne, portée par un effort structurel en dépense. Ainsi, la croissance moyenne annuelle de la dépense publique en volume serait limitée à +0,6 % sur 2023-2027 hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance, soit une évolution nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (+1,35 %).
Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques. Elle sera rendue possible par des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement. Les administrations de sécurité sociale participeront à la maîtrise de l’évolution des dépenses, permise notamment par la réforme des retraites, la réforme de l’assurance chômage favorisant le plein emploi et la maîtrise des dépenses de santé (la progression de l’ONDAM s’établira à +3,2 % en 2024, +3,0 % sur 2025 puis +2,9 % sur 2026-2027). Les collectivités locales seront également associées à cette maîtrise des dépenses, avec un objectif de progression de leurs dépenses de fonctionnement chaque année inférieure de 0,5 % à l’inflation.
La maîtrise des dépenses doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment en finançant des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle.
Cette maîtrise de la dépense permettra, sans remettre en cause l’objectif de normalisation des comptes publics, de mettre en œuvre les baisses d’impôt annoncées par le Président de la République et ainsi de consolider la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et dès le début du mandat actuel. Au total, pendant le mandat actuel, le taux de prélèvement obligatoire devrait baisser de plus d’un point de PIB, passant de 45,4 % en 2022 à 44,4 % en 2027. Ainsi, l’objectif de soutenir le pouvoir d’achat des Français et la compétitivité des entreprises demeure un axe fort de la politique du Gouvernement. Cet objectif sera poursuivi, notamment avec la suppression progressive de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), et une baisse supplémentaire de 2 Md€ d’impôts pour les ménages. La poursuite de cette stratégie s’accompagnera de mesures de lutte contre la fraude et d’une fiscalité cohérente avec la politique de transition écologique.
(En points de produit intérieur brut sauf mention contraire) Ensemble des administrations publiques |
|||||||
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2022 |
2023 |
2024 |
2025 |
2026 |
2027 |
|
Solde effectif |
‑4,8 |
‑4,9 |
‑4,4 |
‑3,7 |
‑3,2 |
‑2,7 |
|
Dépense publique (hors crédits d’impôts) |
57,7 |
55,9 |
55,3 |
55,0 |
54,4 |
53,8 |
|
Évolution de la dépense publique en volume (%) * |
‑1,1 |
‑1,3 |
0,5 |
0,8 |
0,5 |
0,5 |
|
Taux de prélèvements obligatoires |
45,4 |
44,0 |
44,1 |
44,4 |
44,4 |
44,4 |
|
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire |
45,6 |
44,4 |
44,4 |
44,4 |
44,4 |
44,4 |
|
Dette au sens de Maastricht |
111,8 |
109,7 |
109,7 |
109,6 |
109,1 |
108,1 |
|
|
|
|
|
||||
État et organismes divers d’administration centrale |
|||||||
Solde |
‑5,2 |
‑5,4 |
‑4,7 |
‑4,3 |
‑4,2 |
‑4,1 |
|
Administrations publiques locales |
|||||||
Solde |
0,0 |
‑0,3 |
‑0,3 |
‑0,2 |
0,2 |
0,4 |
|
Administrations de sécurité sociale |
|||||||
Solde |
0,4 |
0,7 |
0,6 |
0,7 |
0,9 |
1,0 |
|
* hors crédit d’impôt, hors transferts, à champ constant.
d. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025
La maîtrise des dépenses publiques permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour financer les investissements nécessaires pour relever les défis de demain.
En 2022, le ratio d’endettement s’est inscrit à 111,8 % du PIB selon les derniers chiffres publiés par l’Insee. Il connaîtrait une première baisse en 2023, passant à 109,7 % du PIB, en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2023. Il se stabiliserait, en 2024, à 109,7 %, puis poursuivrait sa décrue à compter de 2025 pour s’établir à 108,1 % du PIB en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu le scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette publique se situerait à compter de 2025 entre – 3,8 % et – 3,5 % du PIB. Grace aux efforts de maîtrise des finances publiques, le solde public dépasserait, à partir de 2025, le niveau stabilisant le ratio de dette, et ce dernier commencerait donc à refluer.
II/ L’évolution des recettes et du solde budgétaires de l’État reflète cet objectif
1. Le solde budgétaire
a. Le solde de l’État
Par rapport à la LFI 2023, le solde budgétaire 2023 serait en baisse de – 7,1 Md€ pour s’établir à – 172,1 Md€. Cette baisse s’explique principalement par la hausse de la charge de la dette (+3,8 Md€) et la baisse des recettes non fiscales (– 5,0 Md€), en lien avec la révision du niveau de dividendes perçus. Cependant, cette baisse est en partie contrebalancée par la hausse des recettes fiscales nettes (+3,9 Md€) et notamment de l’impôt sur les sociétés (+6,0 Md€) qui témoigne des bons résultats des entreprises françaises en 2022 et2023.
À ce stade de l’année, le montant total des prélèvements sur recettes au profit des collectivités est révisé à la baisse de – 1,1 Md€ en raison de la résilience accrue des collectivités locales à l’inflation, limitant le recours aux dispositifs du soutien face à la hausse des prix de l’énergie. À cela s’ajoute une baisse du montant du prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne (– 0,5 Md€).
En 2024, le solde budgétaire s’établirait à – 144,5 Md€, en amélioration significative par rapport à la prévision pour 2023 (+27,6 Md€), en raison notamment de l’extinction progressive du bouclier tarifaire et de la hausse des recettes fiscales nettes.
Les facteurs d’amélioration du solde résident notamment dans la baisse des crédits alloués au bouclier tarifaire (– 16,2 Md€), en lien avec la baisse attendue des prix de l’énergie qui permet la sortie progressive des dispositifs temporaires de soutien aux ménages et aux entreprises. À cela s’ajouterait la baisse de la charge de la dette (– 3,4 Md€), pour partie indexée sur l’inflation, ainsi que la baisse programmée des dispositifs de relance post crise du Covid‑19 (– 4,7 Md€).
L’amélioration du solde s’explique également par le dynamisme des recettes fiscales nettes (+17,3 Md€), et notamment de l’impôt sur les sociétés (+10,9 Md€), alors que les bons résultats des entreprises françaises devraient perdurer en 2024. La TVA (+4,1 Md€) et l’impôt sur le revenu (+3,5 Md€) profitent également de la résilience de la conjoncture économique.
La hausse des recettes est néanmoins atténuée par la baisse des recettes non-fiscales (– 3,3 Md€) en raison du versement de la troisième tranche de la Facilité pour la Reprise et la Résilience, estimée à 7,5 Md€, contre un versement estimé à 10,3 Md€ pour 2023.
Enfin, le solde des comptes spéciaux serait en hausse (+0,7 Md€) principalement en lien avec l’amélioration du solde du compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État ».
b. Les recettes de l’État
Les prévisions de recettes fiscales nettes[1] pour 2023 sont, par rapport à la prévision de la loi de finances initiale, révisées à la hausse, à hauteur de +3,9 Md€. Cette augmentation résulte notamment du dynamisme des remontées comptables sur les sept premiers mois de l’année ce qui entraîne les mises à jour suivantes :
– Les recettes d’impôt sur le revenu seraient supérieures de +3,3 Md€ à la prévision initiale pour atteindre 90,7 Md€ ;
– Les recettes d’impôt sur les sociétés seraient supérieures de +6,0 Md€ à la prévision de la loi de finances initiale pour atteindre 61,3 Md€, principalement en raison de la révision à la hausse de l’hypothèse d’évolution du bénéfice fiscal 2022 ;
– La part État des recettes de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) augmenterait de +1,6 Md€ par rapport à la prévision initiale pour atteindre 96,3 Md€ ;
– Les autres recettes fiscales nettes baisseraient de – 6,9 Md€ par rapport à la loi de finances initiale pour atteindre 67,4 Md€, afin notamment de prendre en compte les révisions de la prévision sur les recettes de la contribution sur la rente infra-marginale de la production d’électricité du fait notamment de l’évolution des prix de l’énergie et de la production électronucléaire d’EDF qui reste basse, sur les recettes des autres taxes intérieures de consommation nettes (– 0,9 Md€) et sur les recettes des droits de mutations à titre gratuit (+1,6 Md€, principalement sur les successions).
En 2024, les recettes fiscales nettes seraient en hausse de +17,3 Md€ par rapport à la prévision révisée pour 2023, pour s’établir à 349,4 Md€ :
– La prévision d’impôt sur les sociétés ressort en hausse de +10,9 Md€ pour atteindre 72,2 Md€ en raison du fort dynamisme du bénéfice fiscal en 2023, qui joue positivement sur les acomptes et sur le solde en 2024, ainsi qu’en raison de la croissance du bénéfice fiscal en 2024 ;
– Les recettes d’impôt sur le revenu seraient supérieures de +3,5 Md€ par rapport à la prévision révisée de 2023 pour atteindre 94,1 Md€ ;
– La prévision de TVA ressort en hausse de +4,1 Md€ par rapport à 2023 pour s’élever à 100,4 Md€ en raison de la résilience des entreprises à la conjoncture économique ;
– La prévision des autres recettes fiscales nettes ressort en baisse de – 1,1 Md€ par rapport à la prévision de 2023. Cette baisse résulte notamment de la non reconduction dans le PLF de la contribution sur la rente infra-marginale de la production d’électricité en 2024 (– 3,1 Md€) et de la baisse des recouvrements de CVAE (– 1,6 Md€) en raison de sa suppression progressive. Ce reflux est néanmoins atténué par le dynamisme attendu sur les recettes du prélèvement de solidarité (+1,0 Md€) et des autres taxes intérieures de consommation nettes (+2,5 Md€).
Les recettes non fiscales s’élèveraient à 22,6 Md€ en 2024, contre 26,0 Md€ en 2023, la baisse s’expliquant principalement par la chronique des versements au titre de la Facilité pour la Reprise et la Résilience (FRR), dont le montant prévu pour 2024 est inférieur de plus de 3 Md€ au versement 2023.
c. Le solde des comptes spéciaux
En 2023, le solde des comptes spéciaux s’établirait à – 5,8 Md€, soit une baisse de – 2,2 Md€ par rapport à la LFI pour 2023. Cette baisse s’explique principalement par la dégradation du solde du compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État » (– 2,6 Md€), due au décalage de 2023 vers 2024 d’un versement du budget général vers le compte. À cela s’ajoute une variation à la baisse du solde du compte de concours financiers « Avances aux collectivités territoriales » (– 0,7 Md€) en raison notamment de la mise en œuvre du bouclier tarifaire se traduisant par la mise au plancher des recettes de taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) tout en maintenant le niveau de cette ressource au profit des collectivités locales. Enfin, ces diminutions sont atténuées par la hausse du solde du compte de commerce « Soutien financier au commerce extérieur » (+0,6 Md€).
En 2024, le solde des comptes spéciaux serait de – 5,1 Md€, soit une amélioration de +0,7 Md€ par rapport à 2023. Cette augmentation tient majoritairement à l’amélioration du solde du compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État » (+2,6 Md€), présenté à l’équilibre en PLF. Toutefois, la baisse du solde du compte d’affectation spéciale « Pensions » (– 1,9 Md€), en raison de dépenses plus dynamiques que les recettes, principalement à cause du contexte inflationniste et de l’indexation des pensions de retraites sur l’inflation, amoindrit cette amélioration. Enfin, l’amélioration du solde des comptes de concours financiers compenserait la baisse du solde des comptes de commerce.
2. Le PLF 2024 traduit une baisse des dépenses de l’État en volume
a. La trajectoire pluriannuelle des dépenses de l’État
Le projet de loi de programmation des finances publiques 2023-2027 propose un agrégat élargi de suivi de la dépense, le périmètre des dépenses de l’État (PDE). Cet agrégat vise à rendre directement visible la dynamique de la dépense de l’État sur un périmètre élargi, sur lequel le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise globale. Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut l’ensemble des dépenses du budget général notamment, au-delà des précédentes normes, les crédits liés à des dépenses exceptionnelles, par exemple la mission « Investir pour la France de 2030 », les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne, ainsi que les dépenses de pensions.
Évolution du périmètre des dépenses de l’État 2023-2027
Md€, CP, format 2024
Le montant du périmètre des dépenses de l’État est de 491 Md€ en 2024. Il progresse sur la période de programmation couverte par le PLPFP à 505 Md€ en 2025, 512 Md€ en 2026 et 519 Md€ en 2027. Cette évolution est cohérente avec la trajectoire de rétablissement du solde public portée par le Gouvernement à l’échelle de l’ensemble des administrations publiques.
Après une baisse marquée en 2024, qui reflète la sortie progressive des dispositifs exceptionnels déployés lors des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation, cette projection pluriannuelle fixe les moyens nécessaires au financement de la planification écologique, avec un effort budgétaire inédit, au renforcement de l’éducation et à la préparation de l’avenir, notamment grâce au plan « France 2030 », et à la poursuite du réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Dès le budget 2024, enfin, l’objectif du plein emploi est soutenu par le lancement de France Travail.
b. Trajectoire des emplois de l’État et de ses opérateurs
Pour 2024, les créations nettes d’emplois au sein de l’État et de ses opérateurs s’élèvent à +8 273 ETP, en ralentissement de 23 % par rapport à 2023.
En ce qui concerne les services de l’État (+6 695 ETP), elles traduisent la poursuite du renforcement des missions régaliennes de l’État au service des citoyens : sécurité intérieure (+2 653 ETP), justice (+1 925 ETP) et armées (+456 ETP). Les priorités que constituent l’éducation nationale (+560 ETP) et la transition écologique (+417 ETP) bénéficient elles aussi de hausses d’effectifs.
S’agissant des opérateurs de l’État, les effectifs augmentent de 1 578 ETP en 2024, du fait principalement des hausses suivantes :
Trajectoire des emplois de l’État et de ses opérateurs
3. L’État s’inscrit dans un processus de recherche plus ciblée de gains d’efficience : la démarche des revues de dépenses sera prolongée et renforcée
a. Une gouvernance des finances publiques en cours de renforcement
Le Gouvernement s’est engagé dans une démarche résolue de renforcement du pilotage, du suivi et de l’examen des dépenses publiques.
Tout d’abord, la récente loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques contribue au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée). Le nouveau cadre organique renforce le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP est dorénavant compétent, au-delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépenses prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP.
Ensuite, le projet de loi de programmation des finances publiques (PLPFP) met en place plusieurs outils de maîtrise des dépenses de l’État. Il introduit ainsi une nouvelle norme de pilotage plus englobante des dépenses de l’État (le « périmètre des dépenses de l’État »), qui vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles. Par ailleurs, le PLPFP prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises, afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses, notamment la mise en place d’une limitation dans le temps de ce type d’aides. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées. Enfin, le PLPFP permettra une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs, en ce qu’il prévoit un mécanisme de plafonnement prenant mieux en compte la consommation effective d’ ETPT constatée dans la dernière loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année.
Enfin, les objectifs de maîtrise de la dépense publique du Gouvernement seront atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépense engagées dès 2023 et qui se poursuivront en 2024. Ces revues de dépenses auront pour objectif de renforcer l’efficacité et l’efficience des politiques publiques, tout en générant des économies structurelles. Ces revues de dépenses auront lieu sur l’ensemble du secteur des administrations publiques, dont les collectivités territoriales et les administrations de sécurité sociale.
L’objectif de ces revues est de couvrir une dizaine de domaines chaque année, afin d’avoir une vision d’ensemble des administrations publiques d’ici 2027. Une quinzaine de missions sont prévues pour l’année 2024 et seront prochainement présentées au Parlement.
b. Garantir le plafond global des dépenses voté par le Parlement par une réserve de précaution
La vocation de la réserve de précaution est de faire face aux seuls aléas de gestion avec un taux de mise en réserve commun à l’essentiel des crédits hors titre 2, exceptions faites des programmes dont les crédits portent très majoritairement des dépenses de prestations sociales (APL, AAH et PPA), auxquels est appliqué un taux réduit de 0,5 %, à l’identique des dépenses de personnel (titre 2).
Ce mécanisme, associé à une responsabilisation accrue des ministères sur la maîtrise de leurs dépenses et sur le respect des plafonds votés, vise à conforter le principe d’auto-assurance ministérielle et à préserver des marges au niveau interministériel pour assurer le pilotage global de la gestion.
Pour 2024, le taux de mise en réserve sera légèrement rehaussé à 4 % globalement sur les crédits hors masse salariale, alors que sera maintenu un taux réduit adapté aux spécificités de certains programmes. Les programmes des missions « Plan de relance » et « Investir pour la France de 2030 » restent, par ailleurs, exonérés de mise en réserve, afin de permettre une mobilisation immédiate des crédits pour poursuivre l’objectif stratégique de soutien à l’activité et à la croissance.
La mise en réserve permettra de constituer, dès le début de la gestion 2024, un gel de précaution d’environ 9,4 Md€ sur le budget général en crédits de paiement, dont 8,6 Md€ portant sur les crédits hors titre 2 et 0,8 Md€ portant sur les dépenses de personnel.
III/ Tout en continuant de baisser la fiscalité, l’État investit dans l’avenir : la transition écologique, nos services publics et notre souveraineté nationale
1. Accélérer la transition écologique en procédant au verdissement de la fiscalité et en renforçant les dépenses vertes
a. Verdir la fiscalité
Tout en poursuivant les baisses d’impôts engagées lors du précédent quinquennat pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité des entreprises et l’emploi, le PLF 2024 verdit la fiscalité afin de la mettre en cohérence avec nos objectifs environnementaux. Le Gouvernement mobilise plusieurs leviers : inciter les entreprises et les particuliers à accélérer la transition écologique, diminuer les dépenses fiscales brunes et mobiliser tous les leviers de financement de la transition.
Pour soutenir les secteurs productifs qui contribuent aux objectifs de neutralité carbone (photovoltaïque, éolien, batteries, pompes à chaleur), le crédit d’impôt « investissement industries vertes » (C3IV) est mis en place à partir de 2024, dans le prolongement du projet de loi relatif à l’industrie verte, adopté à l’Assemblée nationale en première lecture le 21 juillet 2023. Le C3IV permettra aux industriels de bénéficier d’un crédit d’impôt représentant de 20 % à 45 % de leur investissement. Simple à mobiliser, ce dispositif renforcera la souveraineté énergétique de la France et stimulera l’innovation dans les technologies vertes, permettant d’accélérer la transition écologique. En outre, les malus sur les véhicules les plus polluants sont relevés pour les particuliers comme pour les flottes d’entreprise. Associé aux aides à l’acquisition de véhicules propres, ces mesures doivent encourager le verdissement du parc automobile.
Conformément aux engagements du Gouvernement de remettre progressivement en cause les avantages fiscaux devenus incompatibles avec les objectifs environnementaux et climatiques de la France, le PLF 2024 engage la réduction progressive des dépenses fiscales défavorables à l’environnement dites « dépenses fiscales brunes », tout en accompagnant les secteurs économiques concernés par la définition d’une trajectoire progressive et pluriannuelle. À cette fin, le PLF 2024 prévoit l’augmentation progressive du tarif d’accise sur l’achat de gazole non routier (GNR) consommé pour les besoins des travaux agricoles et les entreprises de travaux publics. Cette augmentation s’accompagne de mesures d’accompagnement de la transition dans ces secteurs Le dispositif de prêt ne portant pas d’intérêt destiné à financer l’accession à la propriété dit prêt à taux zéro (PTZ) est quant à lui recentré, afin de renforcer son efficacité et de limiter l’impact en matière d’artificialisation des sols et d’étalement urbain.
Le financement de la transition écologique requiert de mobiliser des financements publics et privés. A cette fin, le plan d’épargne action climatique, dont la création est prévue dans le projet de loi relatif à l’industrie verte et qui doit permettre de mobiliser l’épargne privée pour financer la transition écologique, sera doté d’un régime fiscal incitatif. En complément, des recettes nouvelles ciblées, strictement limitées aux sujets environnementaux, permettent d’adapter la fiscalité Dans le prolongement du « plan eau », qui dote les agences de l’eau de 0,5 Md€ supplémentaire par an, ce projet de loi de finances procède à une réforme de la fiscalité de l’eau de manière à ce que ceux qui polluent et prélèvent le plus d’eau soient davantage responsabilisés.
Afin de contribuer au financement du « plan d’avenir pour les transports » consistant en des investissements dans les infrastructures favorisant la réduction de l’impact des mobilités sur l’environnement, le PLF 2024 institue une taxe sur les grandes exploitations d’infrastructures de transport de longue distance. Le rendement annuel attendu est de 600 M€, répartis essentiellement entre les infrastructures émettrices de CO2, à savoir les grandes concessions autoroutières et les grands aérodromes.
b. Financer la planification écologique
En mai 2022, le président de la République a décidé de bâtir un plan d’action national pour atteindre nos objectifs environnementaux : la planification écologique. La responsabilité de cette planification a été confiée à la Première ministre. Après un an de travaux ayant mobilisé l’ensemble des ministères, les filières économiques, les représentants des collectivités locales, think tanks et associations environnementales, le PLF 2024 confirme cette pleine mobilisation de l’État et des opérateurs en faveur de la transition écologique avec une hausse inédite de 10 Md€ des enveloppes consacrées à la planification écologique, donnant lieu à 7 Md€ de crédits de paiement dès 2024.
Cet engagement financier de +10 Md€ couvre tous les secteurs d’activité, acteurs et permet de soutenir les principaux leviers de planification écologique.
c. Se doter d’un outil de pilotage financier de la planification écologique par l’utilisation du budget vert à chaque étape de la procédure budgétaire
Le PLF 2024 s’accompagne, pour la quatrième année consécutive, d’une cotation intégrale des dépenses du budget selon leur impact environnemental.
Pour la première fois, les ministres ont conduit leurs négociations budgétaires du PLF 2024 en disposant des informations relatives à l’impact environnemental des mesures discutées, dès lors que leur évaluation était possible et pertinente. Cette méthode de travail permet ainsi de retracer précisément les dépenses consacrées à la planification écologique et de connaître le montant de l’ensemble des dépenses de l’État favorables et défavorables à l’environnement.
Ainsi, sur le périmètre du budget vert et de la planification écologique, 40 Md€ de dépenses publiques sont consacrées en 2024 aux politiques favorables à l’environnement, avec une hausse de 7 Md€ (en crédits de paiement) consacrés à la planification écologique entre la LFI 2023 et le PLF 2024.
La quatrième édition étend à nouveau le périmètre des dépenses cotées avec de premières cotations pour certaines dépenses numériques et la hausse des cotations de dotations de l’État aux collectivités territoriales.
Dans un souci permanent de transparence et d’amélioration continue du budget vert, un tableau de justification sera publié en annexe du budget vert pour l’ensemble des dépenses cotées favorables, défavorables ou mixtes. La composition des dépenses neutres et des dépenses non cotées est également précisée.
Enfin, afin de veiller à l’efficience des dépenses publiques en faveur de la transition écologique, les indicateurs de performance du budget vert ont été étoffés et, pour la première fois, des coûts d’abattement pour les principales politiques publiques de transition sont présentés.
d. Soutenir les investissements des collectivités territoriales en faveur de la transition écologique
Maillon essentiel pour engager la réalisation des projets verts, les collectivités occupent un rôle central dans la conduite de la transition écologique. Avec le PLF 2024, l’État renforce son soutien aux collectivités pour les accompagner et orienter leurs investissements en faveur de la transition écologique. Le Fonds vert est pérennisé et augmenté à 2,5 Md€. Parmi les priorités, la rénovation des écoles annoncée par le Président de la République avec un objectif de 2 000 écoles rénovées dès 2024 pour répondre au cap collectif de 40 000 établissements scolaires rénovés en 10 ans. En fonction des projets présentés par les collectivités, le Fonds vert financera à la fois des actions renforçant la performance environnementale (rénovation des bâtiments publics), l’adaptation (prévention des inondations, recul du trait de côté) ou encore l’amélioration du cadre de vie (recyclage des friches).
L’État incite également les collectivités à augmenter leurs investissements en faveur de la transition en renforçant le verdissement des dotations. Engagé lors de la LFI pour 2023, l’objectif de financement de projets concourant à la transition écologique est accru pour la dotation de soutien à l’investissement local (de 25 % à 30 %) et introduit pour la dotation d’équipement des territoires ruraux (DETR) et la dotation de soutien à l’investissement des départements (DSID), avec des objectifs respectifs de 20 % et 25 %. La part de ces dotations consacrée à la transition écologique devra ainsi atteindre 0,5 Md€ en 2024, soit 25 %.
2. Financer des services publics de qualité pour le plus grand nombre et garantir notre souveraineté
a. Affirmer le soutien de l’État aux collectivités locales
En 2024, les concours financiers de l’État à destination des collectivités territoriales, y compris les mesures exceptionnelles, s’élèvent à 54,79 Md€. Hors mesures exceptionnelles, ils s’élèvent à 54,3 Md€ soit une progression de +1,1 Md€ par rapport à la loi de finances initiale 2023. Aussi, la dotation globale de fonctionnement est une nouvelle fois abondée, de 220 M€, et dépasse ainsi les 27 Md€. Le PLF 2024 porte également des dotations de soutien à l’investissement local de droit commun maintenues à un niveau historiquement élevé (2,0 Md€ d’engagements et 1,8 Md€ de crédits de paiement).
Le présent projet de loi marque également une montée en charge de la contribution des concours financiers de l’État à la transition écologique et énergétique des collectivités. Ainsi, la dotation de soutien aux aménités rurales visant à accompagner les collectivités est dotée de 58 M€ supplémentaires, pour atteindre 100 M€ au total.
S’agissant de la politique d’aménagement du territoire, le PLF 2024 prévoit notamment des moyens complémentaires pour le plan France ruralités conformément aux annonces de la Première ministre (69,5 M€), ainsi que pour les espaces France services (55,7 M€).
b. Assurer le rayonnement de la France au travers du succès du déroulement des Jeux olympiques et paralympiques 2024
L’État poursuit son effort dans la préparation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Ainsi, la Société pour la livraison des ouvrages olympiques (SOLIDEO) bénéficiera de 104 M€, afin de finaliser la réalisation des opérations d’aménagement ainsi que la livraison de l’ensemble des ouvrages olympiques (équipements sportifs, village olympique et village des médias). Le comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (COJOP) bénéficiera de 30 M€ au titre de la contribution de l’État au financement des Jeux paralympiques, portant ainsi l’effort de l’État à hauteur de 80 M€ depuis 2022.
c. Les politiques d’éducation et de formation professionnelle connaissent en 2024 des augmentations de moyens sans précédents
La mission Enseignement scolaire connaît la plus importante progression du budget de l’État. Le Gouvernement met en œuvre une revalorisation importante de la rémunération des professeurs dans le cadre du « Pacte enseignants ». Les enseignants bénéficieront d’une hausse de rémunération de près de 100 € nets par mois, afin de reconnaître l’importance de leurs missions d’accompagnement et d’orientation des élèves. Une rémunération minimale de 2 100 € en début de carrière est garantie pour tous les enseignants. De plus, les enseignants volontaires pourront assurer des missions supplémentaires dans le cadre du « Pacte enseignants », ce qui leur permettra de bénéficier d’une hausse de leur rémunération pouvant aller jusqu’à 3 750 € bruts par an (7 500 € bruts par an dans les filières professionnelles).
Au-delà de la formation, l’action du Gouvernement s’attachera également au continuum avec l’emploi pour une meilleure adéquation avec les besoins de la France de demain mais surtout pour améliorer l’insertion professionnelle des étudiants. À compter du 1er septembre 2023, toutes les périodes de stages des lycéens professionnels, agricoles et maritimes feront l’objet d’une gratification attribuée par l’État et le nombre de semaines de stage sera augmenté. Les crédits de paiement inscrits au PLF 2024 pour les aides à l’embauche d’alternants s’élèvent à 3,9 Md€ (pour les apprentis, hors contrats de professionnalisation). Cette dynamique positive justifie également la poursuite du soutien à France compétences, avec une dotation budgétaire de 2,5 Md€ en 2024.
La formation tout au long de la vie professionnelle demeure un axe important de l’investissement du Gouvernement. Le Fonds national de l’emploi a été réorienté vers le financement de formations liées aux transitions écologique, alimentaire, et numérique. Les dispositifs dédiés à la formation des salariés disposent au total d’une enveloppe globale de 290 M€ en 2024.
d. Ce quinquennat est celui de la jeunesse
2024 sera une année de montée en puissance du service national universel (SNU). L’enveloppe budgétaire allouée en 2024 permettra de poursuivre son déploiement en accompagnant jusqu’à 80 000 jeunes en séjours de cohésion. Deux modalités de mise en œuvre du SNU seront proposées : les séjours organisés durant les vacances scolaires se poursuivront et des séjours de cohésion seront également proposés, sur le temps scolaire, à des élèves scolarisés dans le 2nd degré dans des classes ayant reçu le label « Classe engagée ».
Le Gouvernement intensifie son accompagnement en faveur de l’amélioration des conditions de vie étudiante en soutenant notamment le pouvoir d’achat : revalorisation du montant mensuel des bourses sur critères sociaux de l’enseignement supérieur de 37 € pour l’année universitaire 2023-2024, augmentation du nombre de boursiers grâce à la revalorisation des barèmes, prolongation de la tarification à 1 € pour les boursiers dans les restaurants des CROUS et maintien, depuis 2019, du gel tarifaire dans les résidences universitaires et des droits d’inscription à l’université.
Par ailleurs, une partie des structures de logement et de restauration du réseau des œuvres universitaires feront l’objet d’un plan de réhabilitation (50 M€ de nouveaux engagements sur 2024-2025). Les conditions de vie et d’étude des étudiants sont également améliorées, à travers un soutien supplémentaire de 10 M€ en faveur de l’accompagnement pédagogique.
e. Poursuite de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche
Le PLF 2024 matérialise également la poursuite de la montée en charge de la loi de programmation de la recherche (LPR) pour les années 2021 à 2030, qui se traduit par une hausse de crédits à hauteur de +0,5 Md€ sur la mission Recherche et enseignement supérieur en PLF 2024. Cette hausse s’inscrit dans la continuité des années précédentes, qui ont vu les moyens du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche croître de +1,2 Md€ au total entre 2020 et 2023.
Les moyens supplémentaires inscrits au titre de la LPR dans le présent projet de loi de finances sont consacrés à la poursuite de la revalorisation indemnitaire annuelle à destination des personnels de recherche, pour un total de +0,1 Md€, au renforcement des moyens de base alloués aux laboratoires, aux financements de la recherche sur appels à projets, ainsi qu’aux investissements pour maintenir les équipements et infrastructures de recherche au meilleur niveau international. Les moyens dévolus aux opérateurs dans le champ de la recherche et de la sûreté nucléaire sont également en forte hausse (dont notamment +139 M€ pour le CEA en 2024). Les crédits ouverts sur la mission sont complétés, comme en 2023, par les moyens significatifs inscrits dans le plan « France 2030 » bénéficiant aux équipes de recherche.
f. L’inclusion et l’accompagnement des personnes en situation de handicap demeurent au cœur des priorités du Gouvernement
Le cumul de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) et d’une activité professionnelle est facilité, notamment pour ceux reprenant une activité en milieu ordinaire au-delà d’un mi-temps. Pendant deux ans, le bénéfice de la restriction substantielle et durable pour l’accès à l’emploi (RSDAE) pour les bénéficiaires de l’AAH‑2 en activité est maintenu au moment du renouvellement de leurs droits. En parallèle, le soutien de l’État à l’emploi accompagné se poursuit, à hauteur de 39 M€ en 2024, afin d’accompagner 3 500 personnes supplémentaires. L’expérimentation portant sur le CDD dit « tremplin » dans les entreprises adaptées, qui permet au salarié de bénéficier d’un accompagnement et d’actions de formation en vue d’une transition vers d’autres employeurs privés ou publics, sera prolongée grâce à l’ouverture de 26 M€ de crédits supplémentaires en 2024. De nouvelles mesures sont prises pour assurer une scolarité pour tous. Des pôles d’appui à la scolarité (PAS) remplacent progressivement les pôles inclusifs d’accompagnement localisés (PIAL). Ils disposent de moyens renforcés pour l’accueil des enfants et de leurs parents et pour la définition de la réponse aux besoins d’accompagnement.
Érigée au rang de priorité, la mise en accessibilité des bâtiments et des infrastructures publics est renforcée dans de nombreux domaines comme la culture (création d’un portail national de l’édition accessible et adaptée), les transports et les équipements sportifs. En matière de logements, le dispositif Ma Prime Adapt’, lancé le 1er janvier 2024, permettra de soutenir l’accessibilité et l’adaptation des logements.
g. Renforcer les moyens des politiques régaliennes (LPM, LOPJ, LOPMI)
À l’instar de l’année passée, l’année 2024 sera marquée par le réarmement du régalien, au service de la protection des Français.
La loi de programmation militaire (LPM) 2024-2030 s’inscrit dans la continuité de la LPM 2019-2025 et porte une ambition historique permettant à la France de faire face aux nouvelles menaces et de maintenir son rang parmi les premières puissances mondiales. Pour cela, 413,3 Md€ sont prévus pour les sept prochaines années, financés notamment par 400 Md€ de crédits budgétaires. Aussi, le budget de la mission « Défense » sera rehaussé de +3,3 Md€ en 2024 et en 2025, de +3,2 Md€ en 2026 et 2027 et de +3,5 Md€ par an entre 2028 et 2030.
La loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI) 2023-2027 dote le ministère de l’Intérieur et des Outre-mer de nouveaux moyens humains, juridiques, budgétaires et matériels inédits, à hauteur de 15 Md€ supplémentaires et de 8 500 postes créés sur le quinquennat. Pour répondre aux enjeux sécuritaires et territoriaux des années à venir, la LOPMI a pour triple objectif d’engager la transformation du ministère, de rapprocher les services du citoyen et de mieux prévenir les crises futures. En 2024, la LOPMI permettra de financer le dispositif de sécurité exceptionnel en vue des Jeux olympiques et paralympiques de 2024, et notamment l’acquisition de moyens supplémentaires de vidéoprotection et de lutte anti-drones.
La loi d’orientation et de programme 2023-2027 du ministère de la Justice porte une hausse exceptionnelle des moyens de la justice avec un niveau de crédits de 10,08 Md€, représentant une hausse de 0,5 Md€ par rapport à la loi de finances initiale pour 2023. Aussi, 10 000 ETP supplémentaires sont prévus sur la période 2023-2027 afin notamment de répondre aux attentes de nos concitoyens et des professionnels de la justice via le renforcement des juridictions judiciaires et de l’administration pénitentiaire.
h. Souveraineté industrielle, avec les investissements massifs de France 2030
L’année 2024 marquera la poursuite de la mise en œuvre du plan « France 2030 », qui intègre et prolonge la démarche initiée par le PIA 4. À la suite d’une ouverture massive et inédite d’autorisations d’engagement en loi de finances initiale pour 2022, à hauteur de 34 Md€, le plan France 2030 s’est ainsi vu doté d’un montant de 54 Md€ d’autorisations d’engagement au total, dont 20 Md€ issus du PIA 4. Ces crédits ont vocation à soutenir notre recherche et à investir dans l’innovation et le déploiement des technologies d’avenir, afin de permettre à la France de se positionner comme chef de file de l’innovation, de transformer durablement des secteurs clés de notre économie, et donc de soutenir notre croissance potentielle, notre compétitivité à l’international et nos emplois de demain.
Les engagements réalisés sur la mission Investir pour la France de 2030 se sont poursuivis à un rythme très significatif en 2023, afin de permettre la conduite des appels à projets menés par Bpifrance, l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), l’Agence nationale de la recherche (ANR) ainsi que par la Caisse des dépôts et des consignations (CDC). À l’issue du troisième trimestre 2023, ce sont plus de 20 Md€ d’engagements cumulés du plan qui seront déjà intervenus, sur un total de 54 Md€ de crédits.
Il résulte de cette nette accélération des travaux une chronique de décaissements se traduisant par l’ouverture de 7,7 Md€ de crédits sur la mission en PLF 2024, dont 7,3 Md€ concernent directement le plan « France 2030 ». Les engagements devraient se poursuivre à un rythme soutenu, tant en cette fin d’année 2023 que tout au long de l’année 2024.
Ces crédits permettront de soutenir des projets d’avenir dans une grande variété de domaines innovants, qu’il s’agisse de contribuer à la réindustrialisation de la France par le biais du financement de gigafactories de batteries électriques, de financer des projets visant à fournir des intrants essentiels à notre industrie (comme par exemple des usines de production de semiconducteurs), de soutenir la recherche dans des domaines innovants (comme la recherche en santé), d’appuyer le développement de l’écosystème de l’innovation, ou encore de financer les technologies vertes de demain (décarbonation de l’industrie, avion à propulsion faiblement carbonée, production et stockage d’hydrogène décarboné).
3. Une trajectoire de baisse de la fiscalité qui se poursuit
Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017-2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 Md€, la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. S’agissant des ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule CSG-cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). S’agissant des entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance.
Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires pour les ménages, comme pour les entreprises : suppression de la contribution à l’audiovisuel public, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite de moitié en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Ce sera le cas dès 2024 pour plus de la moitié des entreprises redevables de la CVAE avec la suppression de la cotisation minimum. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises pour soutenir leur compétitivité.
En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024, afin d’accompagner une sortie progressive des boucliers sur l’énergie.
Cette stratégie de baisse transversale des impôts pour les ménages et les entreprises s’accompagne d’un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude.
4. Lutter contre toutes les fraudes
Conformément au plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement le 9 mai 2023, le projet de loi de finances pour 2024 comporte plusieurs mesures destinées à renforcer la lutte contre la fraude fiscale.
En premier lieu, les moyens dont dispose l’administration fiscale en matière de détection de la fraude fiscale sont renforcés. L’expérimentation autorisant les administrations fiscale et douanière à détecter la fraude fiscale par le biais de la collecte et de l’exploitation de certaines données des plateformes en ligne, dont les résultats sont prometteurs, sera prorogée pour deux ans et son champ d’application élargi, tant en termes de données collectées que de manquements visés. Pour les fins de recherche ou de constatation de certaines infractions graves, les agents des finances publiques dûment habilités pourront par ailleurs procéder à des enquêtes actives sous pseudonyme.
En deuxième lieu, le présent texte complète le cadre juridique applicable aux fraudes à la TVA et l’adapte aux enjeux de l’économie numérique. Il propose ainsi la création d’une injonction numérique de nature à mettre fin aux pratiques frauduleuses observées dans le e-commerce, qui permettra de faire déréférencer les sites Internet d’entreprises situées hors de l’Union européenne et se livrant, sans acquitter la TVA, à des activités de prestations de services et de vente de biens immatériels en ligne à des consommateurs français. Il prévoit également l’application du mécanisme d’autoliquidation de TVA aux transferts de certificats portant sur des garanties d’origine d’hydrogène, de gaz renouvelable et d’électricité afin de lutter contre le développement des fraudes dites « carrousel ». De même, l’aménagement des règles de TVA à l’importation vise à supprimer les contournements des vendeurs en ligne peu scrupuleux qui recourent au dropshipping, c’est-à-dire à une vente sur Internet dans laquelle le vendeur ne se charge que de la commercialisation et de la vente du produit.
En troisième lieu, il renforce la capacité de l’administration à contrôler les pratiques des entreprises multinationales en matière de prix de transfert. Le seuil de déclenchement de l’obligation de présenter en permanence une documentation complète de la politique de prix de transfert est ainsi abaissé, cette documentation devient opposable et le délai de reprise dont dispose l’administration est allongé pour les transferts d’actifs incorporels difficiles à évaluer, afin de permettre à la DGFiP d’appliquer pleinement les règles définies à l’OCDE pour contrôler les prix de ces cessions.
En quatrième lieu, il améliore la réponse fiscale et pénale aux fraudes fiscales les plus graves. Il crée un régime de sanctions administratives applicables à l’ensemble des fraudes aux aides publiques, une sanction fiscale complémentaire consistant à priver temporairement les personnes ayant commis des manquements graves à leurs obligations fiscales du droit de percevoir certaines réductions d’impôt et crédits d’impôt, ainsi qu’un délit spécifique d’incitation à la fraude fiscale pour sanctionner la mise à disposition de schémas de fraude indépendamment de tout contrôle fiscal ou de toutes poursuites à l’encontre des personnes ayant réellement commis la fraude.
En dernier lieu, il sécurise le cadre d’exercice de leurs missions pour les agents du contrôle fiscal. L’administration fiscale pourra ainsi prendre l’initiative d’une délocalisation du contrôle sur place, dont le lieu sera déterminé en accord avec le contribuable ou, à défaut, dans les locaux de l’administration. Il assouplit également les conditions dans lesquelles des agents des finances publiques peuvent être autorisés à exercer leurs missions de façon anonyme lorsque la révélation de leur identité est susceptible de mettre en danger leur vie, leur intégrité physique ou celles de leurs proches.
Annexe : Application de la charte de budgétisation de la loi de programmation des finances publiques pour 2023-2027 au projet de loi de finances pour 2024
1. La nouvelle définition du périmètre des dépenses de l’État
L’agrégat « Périmètre des dépenses de l’État » est composé :
2. Les changements de périmètre affectant le projet de loi de finances pour 2024
L’analyse de la dynamique de la dépense entre deux exercices n’est possible que si le périmètre de cette dépense est comparable d’un exercice à l’autre. Le budget doit donc être retraité de ces dépenses que l’État prend nouvellement à sa charge ou qu’il transfère à d’autres administrations publiques pour apprécier la dynamique réelle de la dépense de l’État sur un champ identique, appelé champ constant, entre deux exercices. La loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 définit dans son rapport annexé le principe du suivi de la dépense à champ constant et des mesures de périmètre.
Sur le périmètre des dépenses de l’État (PDE), ces modifications de périmètre s’élèvent à – 9,5 M€ dans le projet de loi de finances pour 2024. Elles se décomposent de la façon suivante :
a. Les mesures de périmètre liées à des modifications de la répartition des compétences entre l’État et les collectivités territoriales
Dans le cadre de l’expérimentation de la recentralisation du revenu de solidarité active (RSA) telle qu’encadrée par l’article 43 de la LFI pour 2022, après la recentralisation du RSA en Seine-Saint-Denis et dans les Pyrénées-Orientales depuis le 1er janvier 2022, le PLF 2024 tire les conséquences de la mise en œuvre de l’expérimentation de la recentralisation du RSA par le département de l’Ariège à compter du 1er janvier 2023 et prévoit à ce titre deux mesures de périmètre sur les prélèvements sur recettes de l’État au profit des collectivités territoriales : – 7,2 M€ sur la dotation globale de fonctionnement (DGF) et – 2,1 M€ sur le fonds de mobilisation départementale pour l’insertion (FMDI).
Une mesure de périmètre de – 1,6 M€ diminue les crédits relatifs aux prélèvements sur recettes au titre de la minoration pérenne de la dotation de compensation du département du Pas-de-Calais, en raison de la cessation des missions de promotion de la vaccination assurées dans le cadre de l’article 71 de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales.
b. Les mesures de périmètre liées à une clarification de la répartition des compétences entre l’État et les administrations de Sécurité sociale, les opérateurs et d’autres tiers hors collectivités territoriales
Une mesure de périmètre de +0,03 M€ vient augmenter les crédits du programme 304 « Inclusion sociale et protection des personnes » de la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances », au titre du transfert du financement d’un établissement social et médico-social (ESMS) rattaché à un établissement hospitalier.
Une mesure de périmètre de +0,2 M€ vient augmenter les crédits du programme 177 « Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables » de la mission « Cohésion des territoires », au titre du transfert du financement de deux établissements sociaux et médico-sociaux (ESMS) rattachés à un établissement hospitalier.
c. Les mesures de périmètre liées à la suppression ou la rebudgétisation de taxes affectées, des modifications de répartition entre recettes affectées et crédits budgétaires ou à l’évolution de la fiscalité ou assimilé
Une mesure de périmètre de +1,2 M€ est positionnée sur la mission « Défense » dans le cadre de la compensation de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) acquittée par le ministère des Armées, au titre de l’externalisation de la fonction restauration/hébergement/logement.
(en millions d'euros) |
|||
Désignation des recettes |
Évaluations |
Évaluations |
Évaluations |
A. Recettes fiscales |
455 249 |
470 636 |
485 384 |
1. Impôt sur le revenu |
111 292 |
113 351 |
117 616 |
2. Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 638 |
2 350 |
2 398 |
3. Impôt sur les sociétés |
77 561 |
86 778 |
91 415 |
3bis. Contribution sociale sur les bénéfices |
1 564 |
1 578 |
1 742 |
3ter. Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
216 |
341 |
341 |
4. Autres impôts directs et taxes assimilées |
30 039 |
31 364 |
30 324 |
5. Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques |
18 623 |
18 335 |
18 423 |
6. Taxe sur la valeur ajoutée |
165 863 |
176 331 |
183 857 |
7. Enregistrement, timbre, autres contributions et taxes indirectes |
47 454 |
40 208 |
39 268 |
À déduire : Remboursements et dégrèvements |
127 055 |
138 562 |
135 960 |
A'. Recettes fiscales nettes |
328 194 |
332 074 |
349 424 |
B. Recettes non fiscales |
30 933 |
25 965 |
22 633 |
C. Prélèvements sur les recettes de l'État |
70 584 |
68 935 |
66 452 |
1. Prélèvements sur les recettes de l'État au profit des collectivités territoriales |
45 590 |
44 498 |
44 842 |
2. Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de l'Union européenne |
24 994 |
24 437 |
21 610 |
Recettes totales nettes des prélèvements (A’ + B – C) |
288 543 |
289 104 |
305 606 |
D. Fonds de concours et attributions de produits |
5 238 |
5 238 |
7 379 |
Recettes nettes totales du budget général, y compris fonds de concours (A' + B – C + D) |
293 781 |
294 342 |
312 984 |
PROJET DE LOI
La Première ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et du ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics ;
Vu l’article 39 de la Constitution ;
Vu la loi organique relative aux lois de finances ;
Décrète :
Le présent projet de loi, délibéré en Conseil des ministres, après avis du Conseil d’État, sera présenté à l’Assemblée nationale par le ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et par le ministre délégué auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique, chargé des comptes publics, qui sont chargés d’en exposer les motifs et d’en soutenir la discussion.
ARTICLE liminaire :
|
En % du PIB sauf mention contraire |
2022 |
2023 |
2024 |
2024 |
Projet de loi de finances pour 2024 |
PLPFP 2023-2027 |
|||
Ensemble des administrations publiques |
|
|||
Solde structurel (1) |
‑4,2 |
‑4,1 |
‑3,7 |
‑3,7 |
Solde conjoncturel (2) |
‑0,5 |
‑0,7 |
‑0,6 |
‑0,7 |
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) |
‑0,1 |
‑0,1 |
‑0,1 |
‑0,1 |
Solde effectif (1 + 2 + 3) |
‑4,8 |
‑4,9 |
‑4,4 |
‑4,5 |
Dette au sens de Maastricht |
111,8 |
109,7 |
109,7 |
111.3 |
Taux de prélèvements obligatoires (y.c UE nets des CI) |
45,4 |
44,0 |
44,1 |
44,2 |
Taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire |
45,6 |
44,4 |
44,4 |
|
Dépense publique (hors CI) |
57,7 |
55,9 |
55,3 |
55,6 |
Dépense publique (hors CI, en Md€) |
1523 |
1575 |
1622 |
1600 |
Évolution de la dépense publique hors CI en volume (%) 1 |
‑1,1 |
‑1,3 |
0,5 |
‑0,6 |
Principales dépenses d’investissement (en Md€) 2 |
|
25 |
30 |
28 |
Administrations publiques centrales |
|
|||
Solde |
‑5,2 |
‑5,4 |
‑4,7 |
‑5,2 |
Dépense publique (hors CI, en Md€) |
625 |
631 |
639 |
637 |
Évolution de la dépense publique en volume (%)3 |
‑0,1 |
‑3,6 |
‑1,4 |
‑2,5 |
Administrations publiques locales |
|
|||
Solde |
0,0 |
‑0,3 |
‑0,3 |
‑0,1 |
Dépense publique (hors CI, en Md€) |
295 |
312 |
322 |
314 |
Évolution de la dépense publique hors CI en volume (%)3 |
0,1 |
1,0 |
0,9 |
0,1 |
Administrations de sécurité sociale |
|
|||
Solde |
0,4 |
0,7 |
0,6 |
0,8 |
Dépense publique (hors CI, en Md€) |
704 |
730 |
761 |
747 |
Évolution de la dépense publique hors CI en volume (%)3 |
‑2,4 |
‑0,5 |
1,7 |
0,5 |
1À champ constant.
2Au sens du projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027.
3À champ constant, hors transferts entre administrations publiques.
Exposé des motifs
Cet article présente, conformément à l’article 1 H de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF), la prévision de solde structurel et de solde effectif de l’ensemble des administrations publiques pour 2024. Il rappelle également la prévision, déclinée par sous-secteur d’administration publique, de l’objectif d’évolution en volume et de la prévision en milliards d’euros courants des dépenses des administrations publiques et celle de prélèvements obligatoires, de dépenses et d’endettement de l’ensemble des administrations publiques. Enfin, il présente l’état des prévisions portant sur les principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement au sens du dernier alinéa de l’article 1 A et du 2° de l’article 1 E de la LOLF. Ces dernières sont définies dans le rapport annexé au projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027. En 2023, malgré les nombreuses incertitudes notamment liées à la situation géopolitique et une croissance légèrement plus faible qu’anticipée, le déficit sera tenu à ‑4,9 % du PIB, contre ‑5,0 % prévu dans la loi de finances initiale (LFI) pour 2023, après ‑4,8 % en 2022. La baisse observée sur les prix de l’énergie a permis de diminuer le coût des différentes mesures de soutien. En 2024, le solde public s’améliorerait par rapport à 2023 et atteindrait ‑4,4 % du PIB, comme inscrit dans le Programme de stabilité 2023-2027. Avec une croissance établie à 1,4 %, le solde conjoncturel serait quasi stable. L’amélioration du solde prévu s’explique donc par un redressement du solde structurel de 0,5 point de PIB en 2024, du fait principalement de la sortie progressive des mesures temporaires relatives à la hausse des prix de l’énergie, de relance, et de soutien. Cet effet serait partiellement compensé notamment par la hausse de la charge d’intérêt de la dette, matérialisant les effets de la hausse des taux. Retraçant ces évolutions, après s’être établi à 45,6 % du PIB en 2022, le taux de prélèvements obligatoires corrigé des effets du bouclier tarifaire s’établirait à 44,4 % en 2024, stable par rapport à 2023. Après 57,7 % en 2022, le ratio de dépense publique (hors crédits d’impôts) reculerait à 55,9 % du PIB en 2023 puis à 55,3 % en 2024. Le scénario potentiel retenu dans ce projet de loi de finances est cohérent avec celui qui sera retenu dans le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 une fois amendé ; la croissance potentielle serait de 1,35 % en 2023 comme en 2024. L’écart de production estimé tient compte des effets de l’enchaînement de la crise sanitaire et des conséquences de l’invasion russe en Ukraine. Les incertitudes autour de ces prévisions restent importantes. Les finances publiques sont sensibles aux aléas sur les évolutions macroéconomiques et en particulier aux variations des prix de l’énergie, qui jouent fortement sur le coût des mesures mises en place pour protéger les Français, en premier lieu desquelles les boucliers tarifaires sur l’énergie. Pour mémoire :
|
ARTICLE 1 :
|
Exposé des motifs
Cet article autorise la perception des impôts et produits existants pendant l’année 2024 et fixe les conditions de l’entrée en vigueur des dispositions de la présente loi qui ne comportent pas de date d’entrée en vigueur particulière. |
ARTICLE 2 :
|
Base mensuelle de prélèvement |
Taux proportionnel |
Inférieure à 1 591 € |
0 % |
Supérieure ou égale à 1 591 € et inférieure à 1 653 € |
0,5 % |
Supérieure ou égale à 1 653 € et inférieure à 1 759 € |
1,3 % |
Supérieure ou égale à 1 759 € et inférieure à 1 877 € |
2,1 % |
Supérieure ou égale à 1 877 € et inférieure à 2 006 € |
2,9 % |
Supérieure ou égale à 2 006 € et inférieure à 2 113 € |
3,5 % |
Supérieure ou égale à 2 113 € et inférieure à 2 253 € |
4,1 % |
Supérieure ou égale à 2 253 € et inférieure à 2 666 € |
5,3 % |
Supérieure ou égale à 2 666 € et inférieure à 3 052 € |
7,5 % |
Supérieure ou égale à 3 052 € et inférieure à 3 476 € |
9,9 % |
Supérieure ou égale à 3 476 € et inférieure à 3 913 € |
11,9 % |
Supérieure ou égale à 3 913 € et inférieure à 4 566 € |
13,8 % |
Supérieure ou égale à 4 566 € et inférieure à 5 475 € |
15,8 % |
Supérieure ou égale à 5 475 € et inférieure à 6 851 € |
17,9 % |
Supérieure ou égale à 6 851 € et inférieure à 8 557 € |
20 % |
Supérieure ou égale à 8 557 € et inférieure à 11 877 € |
24 % |
Supérieure ou égale à 11 877 € et inférieure à 16 086 € |
28 % |
Supérieure ou égale à 16 086 € et inférieure à 25 251 € |
33 % |
Supérieure ou égale à 25 251 € et inférieure à 54 088 € |
38 % |
Supérieure ou égale à 54 088 € |
43 % |
» ;
Base mensuelle de prélèvement |
Taux proportionnel |
Inférieure à 1 825 € |
0 % |
Supérieure ou égale à 1 825 € et inférieure à 1 936 € |
0,5 % |
Supérieure ou égale à 1 936 € et inférieure à 2 133 € |
1,3 % |
Supérieure ou égale à 2 133 € et inférieure à 2 329 € |
2,1 % |
Supérieure ou égale à 2 329 € et inférieure à 2 572 € |
2,9 % |
Supérieure ou égale à 2 572 € et inférieure à 2 712 € |
3,5 % |
Supérieure ou égale à 2 712 € et inférieure à 2 805 € |
4,1 % |
Supérieure ou égale à 2 805 € et inférieure à 3 086 € |
5,3 % |
Supérieure ou égale à 3 086 € et inférieure à 3 816 € |
7,5 % |
Supérieure ou égale à 3 816 € et inférieure à 4 883 € |
9,9 % |
Supérieure ou égale à 4 883 € et inférieure à 5 546 € |
11,9 % |
Supérieure ou égale à 5 546 € et inférieure à 6 424 € |
13,8 % |
Supérieure ou égale à 6 424 € et inférieure à 7 697 € |
15,8 % |
Supérieure ou égale à 7 697 € et inférieure à 8 557 € |
17,9 % |
Supérieure ou égale à 8 557 € et inférieure à 9 725 € |
20 % |
Supérieure ou égale à 9 725 € et inférieure à 13 374 € |
24 % |
Supérieure ou égale à 13 374 € et inférieure à 17 770 € |
28 % |
Supérieure ou égale à 17 770 € et inférieure à 27 122 € |
33 % |
Supérieure ou égale à 27 122 € et inférieure à 59 283 € |
38 % |
Supérieure ou égale à 59 283 € |
43 % |
» ;
Base mensuelle de prélèvement |
Taux proportionnel |
Inférieure à 1 955 € |
0 % |
Supérieure ou égale à 1 955 € et inférieure à 2 113 € |
0,5 % |
Supérieure ou égale à 2 113 € et inférieure à 2 356 € |
1,3 % |
Supérieure ou égale à 2 356 € et inférieure à 2 656 € |
2,1 % |
Supérieure ou égale à 2 656 € et inférieure à 2 758 € |
2,9 % |
Supérieure ou égale à 2 758 € et inférieure à 2 853 € |
3,5 % |
Supérieure ou égale à 2 853 € et inférieure à 2 946 € |
4,1 % |
Supérieure ou égale à 2 946 € et inférieure à 3 273 € |
5,3 % |
Supérieure ou égale à 3 273 € et inférieure à 4 517 € |
7,5 % |
Supérieure ou égale à 4 517 € et inférieure à 5 846 € |
9,9 % |
Supérieure ou égale à 5 846 € et inférieure à 6 593 € |
11,9 % |
Supérieure ou égale à 6 593 € et inférieure à 7 650 € |
13,8 % |
Supérieure ou égale à 7 650 € et inférieure à 8 416 € |
15,8 % |
Supérieure ou égale à 8 416 € et inférieure à 9 324 € |
17,9 % |
Supérieure ou égale à 9 324 € et inférieure à 10 821 € |
20 % |
Supérieure ou égale à 10 821 € et inférieure à 14 558 € |
24 % |
Supérieure ou égale à 14 558 € et inférieure à 18 517 € |
28 % |
Supérieure ou égale à 18 517 € et inférieure à 29 676 € |
33 % |
Supérieure ou égale à 29 676 € et inférieure à 62 639 € |
38 % |
Supérieure ou égale à 62 639 € |
43 % |
» ;
Exposé des motifs
Le présent article prévoit, comme chaque année au cours de la période récente, d’indexer les tranches de revenus du barème de l’impôt sur le revenu (IR), ainsi que les seuils et limites qui lui sont associés, sur la prévision d’évolution de l’indice des prix à la consommation hors tabac de 2023 par rapport à 2022, soit 4,8 %. En l’absence d’une telle indexation, le rendement de l’IR sur les revenus 2023 serait majoré d’environ 6,1 Md€. Le présent article prévoit également, pour les revenus perçus ou réalisés à compter du 1er janvier 2024, d’ajuster les limites des tranches de revenus des grilles de taux par défaut du prélèvement à la source (PAS) en fonction de l’évolution du barème de l’IR. Ces dispositions permettront de neutraliser les effets de l’inflation sur le niveau d’imposition des ménages. L’indexation du barème de l’IR sur le niveau de l’inflation hors tabac maintient en effet un niveau d’imposition identique à revenus stables en euros constants. |
ARTICLE 3 :
|
Exposé des motifs
L’article XX de la loi n° XX relative à l’industrie verte du XX 2023 crée le plan d’épargne avenir climat (PEAC), un nouveau produit d’épargne, exclusivement réservé aux personnes âgées de moins de 21 ans. L’objectif de ce plan est de permettre à ces personnes de constituer une épargne de long terme, largement orientée vers le financement de l’économie productive et de la transition écologique, pour préparer leur entrée dans la vie active. Le présent article prévoit d’exonérer d’impôt sur le revenu et de prélèvements sociaux les revenus générés par ce plan. Corrélativement, il supprime la possibilité pour les mineurs d’ouvrir un plan d’épargne retraite (PER) afin de limiter les comportements d’optimisation fiscale liés à la déductibilité des versements volontaires de l’assiette de l’impôt sur le revenu. |
Exercice ouvert à compter du 31 décembre de l’année : |
Année |
Taux applicable |
2023 |
10 % |
|
2024 |
9,8 % |
|
2025 |
9,6 % |
|
2026 |
9,4 % |
|
2027 |
9,2 % |
|
2028 |
9,0 % |
|
2029 |
8,2 % |
|
2030 |
7,4 % |
|
2031 |
6,6 % |
|
2032 |
5,8 % |
Exercice ouvert à compter du 31 décembre de l’année : |
Année |
Taux applicable |
2023 |
8 % |
|
2024 |
7,8 % |
|
2025 |
7,6 % |
|
2026 |
7,4 % |
|
2027 |
7,2 % |
|
2028 |
7,0 % |
|
2029 |
6,6 % |
|
2030 |
6,2 % |
|
2031 |
5,8 % |
|
2032 |
5,4 % |
Exposé des motifs
Les travaux menés par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et relatifs aux défis fiscaux soulevés par la numérisation de l’économie dans le cadre du projet OCDE/G20 sur l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices (BEPS) ont conduit à l’adoption d’un modèle de règles globales anti-érosion de la base d’imposition (dit « modèle de règles GloBE – pilier 2 »), approuvé le 14 décembre 2021 par le Cadre inclusif de l’OCDE/G20. La mise en œuvre de ces règles relatives à l’imposition minimale des bénéfices des entreprises multinationales permettra de neutraliser une part significative des avantages tirés du transfert de bénéfices vers des États à imposition faible ou nulle et protégera les bases d’imposition des États qui les appliqueront. Le Conseil des ministres de l’Union européenne a soutenu l’accord conclu dans le Cadre inclusif de l’OCDE/G20 dans ses conclusions du 7 décembre 2021 et s’est engagé à le mettre en œuvre en tenant compte des spécificités de la législation de l’Union européenne, conduisant à l’adoption le 14 décembre 2022 de la directive (UE) 2022/2523 visant à assurer un niveau minimum d’imposition mondial pour les groupes d’entreprises multinationales et les groupes nationaux de grande envergure dans l’Union. Le présent article a pour objet de transposer en droit interne les règles de la directive (UE) 2022/2523 permettant d’instaurer un niveau minimum d’imposition fixé à 15 % pour les bénéfices des groupes d’entreprises multinationales disposant d’une implantation en France, ainsi que des grands groupes nationaux qui développent leurs activités sur le seul territoire français. Si la directive (UE) 2022/2523 prévoit les règles applicables dans l’Union européenne ainsi que certaines adaptations nécessaires au respect des libertés garanties par les traités, son considérant 24 rappelle que ces règles doivent être mises en œuvre et interprétées conformément au modèle de règles de l’OCDE, éclairé par les explications et commentaires diffusés dans le Cadre inclusif de l’OCDE/G20. Le présent article applique ces principes en transposant la directive (UE) 2022/2523 telle qu’éclairée, le cas échéant, par les commentaires et les orientations administratives adoptés par le Cadre inclusif de l’OCDE/G20, y compris postérieurement à l’adoption de la directive. En France, comme dans chaque État qui la mettra en œuvre, cette réforme conduit à instituer un impôt complémentaire, distinct de l’impôt sur les sociétés. L’impôt complémentaire s’appliquera aux entreprises situées en France qui sont membres d’un groupe d’entreprises multinationales réalisant un chiffre d’affaires consolidé égal ou supérieur à 750 M€ au cours d’au moins deux des quatre exercices précédant l’exercice considéré, ainsi qu’aux entreprises situées en France qui sont membres d’un groupe dont l’activité est développée sur le seul territoire français et respectant le même seuil de chiffre d’affaires. Le dispositif prévoit, à titre principal, de mettre à la charge de l’entité mère du groupe un impôt complémentaire lorsque le taux effectif d’imposition des entités constitutives du groupe localisées dans un même État ou territoire, prises ensemble, est inférieur au taux d’imposition minimum de 15 %. Le taux effectif d’imposition est déterminé, pour chaque État ou territoire dans lequel le groupe est implanté et pour un exercice donné, par le rapport entre le montant des impôts sur les bénéfices et impôts équivalents supportés par les entités constitutives (entreprises, établissements stables, etc.) établies dans cet État ou territoire et le résultat réalisé par ces mêmes entités. Afin d’éviter les distorsions entre les États et de neutraliser les différences de législation, le résultat des entités constitutives pris en compte pour les besoins de ce calcul est issu des états financiers établis aux fins de consolidation des comptes du groupe et fait l’objet de retraitements spécifiques et harmonisés afin de déterminer un « résultat qualifié » pour chacune de ces entités constitutives. Le montant des impôts pris en compte fait également l’objet de différents retraitements spécifiques et harmonisés. En cas de sous-imposition des entités établies dans un État ou territoire donné, un impôt complémentaire est collecté, dont l’assiette est déterminée à partir du résultat qualifié ayant servi de base au calcul du taux effectif d’imposition et dont le taux est égal à la différence entre le taux minimum de 15 % et le taux effectif d’imposition dans cet État ou territoire. Sur la base de l’accord OCDE, l’impôt complémentaire ainsi déterminé peut être collecté en application de deux règles distinctes : - en premier lieu, la règle d’inclusion du revenu (RIR), qui s’applique à titre principal. La RIR consiste à mettre à la charge de l’entité mère d’un groupe l’impôt complémentaire lorsque ses entités constitutives, prises ensemble, situées dans un même État ou territoire, qu’il s’agisse de la France ou d’un autre État, sont sous-imposées ; - en second lieu, la règle des bénéfices insuffisamment imposés (RBII), qui s’applique à titre subsidiaire. La RBII consiste à réattribuer à un État ou territoire dans lequel est située une entité constitutive d’un groupe d’entreprises multinationales un montant résiduel d’impôt complémentaire dans l’hypothèse où le montant total de cet impôt n’a pas pu être perçu en application de la RIR. Il s’agit notamment du cas dans lequel la législation de l’État ou territoire de résidence de l’entité mère ultime du groupe ne prévoit pas l’application des règles du pilier 2, en particulier la RIR. L’accord conclu dans le Cadre inclusif de l’OCDE/G20 et la directive (UE) 2022/2523 prévoient par ailleurs la faculté pour les États ou territoires d’instaurer un impôt national complémentaire. Cet impôt national complémentaire s’applique aux filiales d’un groupe sous-imposé dans un État ou territoire donné et est perçu par ce même État ou territoire. Le présent article prévoit d’exercer cette option et d’instituer, en France, un impôt national complémentaire. Cet impôt national complémentaire est établi sur une assiette identique à celle prévue pour l’impôt complémentaire établi selon la RIR. Son montant correspond au supplément d’impôt résultant de la différence entre le taux d’imposition minimum de 15 % et le taux effectif d’imposition applicable aux entités constitutives situées en France. Afin d’éviter toute double imposition, l’impôt national complémentaire est imputable sur l’impôt complémentaire calculé en application de la RIR ou de la RBII. Le présent article prévoit également les modalités d’application des règles lors des modifications de périmètre des groupes (restructurations). Il prévoit en outre les obligations déclaratives et de paiement des entités membres d’un groupe soumis à ces règles, ainsi que les sanctions applicables en cas de manquement à ces obligations. Des groupes de travail portant sur les modalités pratiques de mise en œuvre de ces règles par les États, notamment les obligations déclaratives, étant toujours en cours à l’OCDE, le présent article prévoit par ailleurs d’habiliter le Gouvernement à prendre par voie d’ordonnance toute mesure ultérieure du niveau de la loi relative à la déclaration, au recouvrement, au contrôle et aux sanctions des impôts complémentaires dus en vertu de ces nouvelles règles. Enfin, le présent article intègre plusieurs dispositions issues des instructions administratives publiées par l’OCDE le 2 février et le 17 juillet 2023, et qui relèvent du domaine de la loi. Les règles d’imposition minimale s’appliqueront aux exercices ouverts à compter du 31 décembre 2023, à l’exception de la RBII, qui s’appliquera aux exercices ouverts à compter du 31 décembre 2024. |
ARTICLE 5 :
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Exposé des motifs
Conformément aux annonces faites lors de la présentation du projet de loi relatif à l’industrie verte, actuellement en cours d’examen au Parlement, le présent article prévoit la création d’un crédit d’impôt au titre des investissements dans l’industrie verte (C3IV) qui contribuent au développement des secteurs stratégiques pour la transition vers une économie décarbonée, à savoir la production de batteries, de panneaux solaires, de turbines éoliennes et de pompes à chaleur. Le C3IV vise à conforter la place de la France en tant que Nation leader de l’économie de la décarbonation en encourageant les investissements dans les capacités de production des technologies nécessaires à la transition énergétique. Il devrait permettre de générer environ 23 Md€ d’investissements et la création de 40 000 emplois directs sur le territoire national d’ici 2030. Il s’appuie sur les nouvelles possibilités d’aide aux investissements ouvertes au sein de l’Union européenne par l’encadrement temporaire de crise et de transition (« Temporary Crisis and Transition Framework » - TCTF) adopté par la Commission européenne le 9 mars 2023, à l’instigation de la France. Le C3IV permettra de soutenir les investissements dans l’ensemble des étapes stratégiques de la chaîne de production des batteries, des panneaux photovoltaïques, des éoliennes et des pompes à chaleur. Pourront ainsi en bénéficier les entreprises qui implantent ou développent en France des capacités de production de ces équipements, de composants et sous-composants essentiels conçus et utilisés principalement comme intrants directs dans la production de ces équipements, ainsi que dans les outils de production et de valorisation des matières premières critiques également nécessaires à la production de ces équipements. Ouvriront droit au crédit d’impôt les dépenses engagées en vue de la production ou de l’acquisition d’actifs corporels (terrains, bâtiments, installations, équipements et machines) ou incorporels (droits de brevet, licences, savoir-faire et autres droits de propriété intellectuelle) permettant de produire les technologies essentielles à la transition énergétique. Afin de maximiser l’aide aux entreprises réalisant des projets éligibles, les taux et les plafonds retenus dans le projet d’article correspondent aux intensités d’aide maximales permises par l’encadrement européen : - taux de 20 % respectivement porté à 25 % ou 40 % pour les investissements réalisés dans les zones d’aide à finalité régionale (ZAFR) ou dans les régions ultrapériphériques et majorés de 10 points pour les moyennes entreprises et de 20 points pour les petites entreprises ; - plafonds d’aide de droit commun de 150 M€, porté respectivement à 200 M€ et 350 M€ pour les investissements réalisés en ZAFR ou dans les régions ultrapériphériques. Outre le respect par l’entreprise de ses obligations fiscales et sociales, de dépôt de ses comptes annuels, et de la législation environnementale, l’éligibilité au dispositif est notamment conditionnée au respect des conditions cumulatives suivantes, dans le respect du droit de l’Union européenne : - afin d’éviter une concurrence fiscale entre États membres, le projet d’investissement réalisé en France ne résulte pas d’une délocalisation depuis le territoire de l’Union européenne et l’aide est reprise si une délocalisation a lieu dans les deux ans suivant la mise en exploitation ; - l’entreprise s’engage à exploiter pendant au moins cinq ans à compter de leur mise en service (trois ans pour les PME) les investissements qui ont ouvert droit au crédit d’impôt. Afin de renforcer la sécurité juridique des entreprises qui réalisent des projets d’investissement sur le long terme, le bénéfice du crédit d’impôt est soumis à un agrément préalable de l’administration. La procédure d’agrément de ces projets repose sur une instruction conjointe de la direction générale des finances publiques (DGFiP) et de l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). En pratique, les entreprises déposeront leurs demandes d’agrément auprès de la DGFiP. Cette dernière saisira l’ADEME pour avis conforme préalable, lequel sera rendu après vérification de l’adéquation du projet d’investissement avec le champ d’application du crédit d’impôt. Il appartiendra à la DGFiP de s’assurer du respect des autres conditions d’éligibilité au crédit d’impôt et de fixer le montant des dépenses éligibles et du crédit d’impôt. Le C3IV sera directement imputable sur l’impôt dû au titre de l’année au cours de laquelle ou de l’exercice au cours duquel les dépenses mentionnées dans le plan d’investissement sont exposées et directement restituable pour sa fraction excédant l’impôt dû. Le non-respect des conditions d’éligibilité au crédit d’impôt entraînera le retrait de l’agrément et la déchéance des avantages qui y sont attachés selon les modalités de droit commun prévues par le code général des impôts (CGI) pour les régimes sous agrément. Limité aux plans d’investissement agréés au plus tard le 31 décembre 2025, conformément au cadre européen applicable, le crédit d’impôt s’appliquera aux demandes d’agrément déposées à compter de la date de présentation du présent projet de loi de finances en conseil des ministres. Conformément aux obligations prévues par le droit européen des aides d’État, le C3IV fera l’objet d’une notification à la Commission européenne, afin de recueillir son autorisation, préalable à la mise en œuvre de l’aide fiscale. |
ARTICLE 6 :
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Nombre de personnes composant le ménage |
Île-de-France (en euros) |
Autres régions (en euros) |
1 |
27 343 |
20 805 |
2 |
40 130 |
30 427 |
3 |
48 197 |
36 591 |
4 |
56 277 |
42 748 |
5 |
64 380 |
48 930 |
Par personne supplémentaire |
8 097 |
6 165 |
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Exposé des motifs
Le présent article propose plusieurs aménagements de la fiscalité du logement en faveur du soutien à l’accession à la propriété des ménages aux revenus les plus modestes, de l’amélioration de la performance énergétique globale des logements et de leur adaptation à la perte d’autonomie ou au handicap de leurs occupants ainsi que de la promotion de la sobriété foncière. En premier lieu, dans un contexte notamment marqué par la hausse des taux d’intérêt, il proroge pour quatre ans, soit jusqu’au 31 décembre 2027, le dispositif de prêt ne portant pas intérêt destiné à financer la première accession à la propriété (PTZ). Cette prorogation, qui permet de maintenir le soutien à la première accession à la propriété des ménages dont les revenus sont modestes, est assortie d’un recentrage du dispositif visant à en renforcer l’efficacité et à limiter son impact en matière d’artificialisation des sols et d’étalement urbain. De même, la prorogation exclut des travaux finançables par le PTZ l’installation d’un dispositif de chauffage fonctionnant aux énergies fossiles. En deuxième lieu, il proroge pour quatre ans également, soit jusqu’au 31 décembre 2027, le dispositif de prêt ne portant pas intérêt pour financer certains travaux d’amélioration de la performance énergétique globale des logements (éco-PTZ) afin de maintenir le soutien apporté aux ménages réalisant des travaux de rénovation énergétique dans leur logement. Cette prorogation est assortie de plusieurs ajustements visant à simplifier le recours au dispositif et à le renforcer, consistant en l’extension de sa distribution aux sociétés de tiers‑financement, au couplage de l’éco-PTZ « Copropriétés » avec le dispositif MaPrimeRénov’ Copropriétés, et à la révision à la hausse des plafonds d’aide et de la durée de remboursement maximale applicables à certaines opérations. En troisième lieu, il confirme l’éligibilité des sociétés civiles de placement immobilier dont le capital est détenu en totalité, directement ou indirectement, par des personnes passibles de l’impôt sur les sociétés au dispositif de soutien aux investisseurs institutionnels dans le logement locatif intermédiaire (LLI). Conformément aux annonces de la Première ministre en conclusion des travaux conduits dans le cadre du Conseil national de la refondation (CNR), il renforce par ailleurs ce dispositif, en procédant à son extension à « l’ancien rénové » ainsi qu’à l’élargissement de son périmètre géographique. En quatrième lieu, afin d’inciter à la rénovation lourde du parc locatif social ancien, il prévoit de faire bénéficier les logements les plus anciens réhabilités en vue de leur donner une « seconde vie » d’une exonération de longue durée de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB), à l’instar de celle dont bénéficient les constructions neuves. Seront ainsi éligibles à cette exonération les logements locatifs sociaux achevés depuis au moins 40 ans, lorsqu’ils font l’objet de travaux permettant cumulativement une amélioration de leur performance énergétique et environnementale avec le passage d’un classement « F » ou « G » avant travaux à un classement « B » ou « A » après travaux, et le respect des normes d’accessibilité, de qualité sanitaire ou de sécurité d’usage à l’issue des travaux. Des adaptations sont prévues pour les logements sociaux situés en outre-mer afin d’y rendre applicable ce dispositif. En cinquième lieu, il procède à une série d’ajustements visant, dans un contexte notamment marqué par le déploiement, à compter du 1er janvier 2024, d’une aide budgétaire ayant vocation à être unique, « MaPrimAdapt’ », à recentrer les dispositifs financiers en faveur de l’adaptation des logements à la perte d’autonomie liée à l’âge ou au handicap sur les ménages aux revenus les plus modestes. À cette fin, compte tenu du ciblage de « MaPrimeAdapt’ » sur les personnes aux revenus modestes et très modestes et du temps nécessaire à l’examen des conditions d’un éventuel élargissement de la prime à d’autres catégories de revenus, le crédit d’impôt en faveur de l’adaptation des logements est prorogé pour une durée ne pouvant excéder deux ans et son champ d’application est recentré sur les ménages intermédiaires les plus fragiles relevant de son volet adaptation. Par ailleurs, les ménages aux revenus les plus élevés (appartenant aux déciles de revenus 9 et 10) ne pourront plus bénéficier à compter du 1er janvier 2024 du crédit d’impôt. Le présent article précise également que le montant de « MaPrimeAdapt’ » sera au moins égal à celui du crédit d’impôt et ses conditions d’octroi au moins aussi favorables, tout en assurant, par le recentrage du crédit d’impôt sur les publics présentant des fragilités, la cohérence avec les critères retenus pour « MaPrimAdapt’ ». En sixième lieu, afin de renforcer le soutien apporté à la rénovation et à la réhabilitation des logements sociaux situés outre-mer, il supprime la condition de localisation géographique applicable à ces opérations, dans le cadre du crédit d’impôt prévu à l’article 244 quater X du CGI. |
Exposé des motifs
Le présent article proroge et adapte différents régimes zonés applicables pour soutenir certains territoires. En premier lieu, il aménage les dispositifs fiscaux zonés bénéficiant aux territoires ruraux en difficulté, dans le cadre du plan « France Ruralités ». Ces dispositifs, instaurés entre 1995 et 2021 et qui arrivent à échéance le 31 décembre 2023, prévoient des exonérations d’impôt sur les bénéfices ainsi que, pour certains d’entre eux, d’impôts locaux dans les zones de revitalisation rurale (ZRR), les bassins d’emploi à redynamiser (BER) et les zones de revitalisation des commerces en milieu rural (ZoRCoMiR). Les ZRR, les BER et les ZoRCoMiR souffrent aujourd’hui d’un manque de lisibilité et de cohérence. Ils doivent donc être harmonisés et rationalisés pour soutenir plus efficacement le développement économique des territoires ruraux. Dans cet objectif, le présent article prévoit de les fusionner et de les remplacer par un zonage unique dénommé France Ruralités Revitalisation , auquel il prévoit d’appliquer des allègements fiscaux simplifiés. Ce nouveau zonage, construit sur la maille intercommunale, est décliné en deux niveaux :
Les dispositifs d’exonération adossés au nouveau zonage sont simplifiés, notamment afin de :
Le nouveau dispositif France Ruralités Revitalisation s’applique à partir du 1er juillet 2024. En attendant son entrée en vigueur, les régimes ZRR, BER et ZoRCoMiR sont prorogés jusqu’au 30 juin 2024. En complément, le présent article proroge également :
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ARTICLE 8 :
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Exposé des motifs
Afin de renforcer la compétitivité de nos entreprises, une baisse significative des impôts de production a été initiée depuis 2021, conduisant à leur réduction de près de 14 Md€. Dès 2021, les impôts fonciers des établissements industriels ont été divisés par deux et le taux d’imposition à la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) a fait l’objet d’une première baisse. Ensuite, en 2023, la suppression progressive de la CVAE a été engagée, avec une nouvelle division par deux de son taux. Dans un objectif de conciliation de la maîtrise de la situation des finances publiques et de poursuite de la réduction des impôts de production, le présent article prévoit d’échelonner sur quatre années la suppression de la CVAE restante. Le taux d’imposition maximal à la CVAE est ainsi abaissé à 0,28 % en 2024, 0,19 % en 2025, 0,09 % en 2026, et la CVAE sera totalement supprimée en 2027. Le taux du plafonnement de la contribution économique territoriale (CET) en fonction de la valeur ajoutée est également progressivement abaissé sur quatre ans. Le taux de la taxe additionnelle à la CVAE affectée à CCI France est ajusté pour garantir le maintien des ressources au niveau des besoins du réseau des CCI. Le présent article prévoit également la suppression, dès 2024, de la cotisation minimum sur la valeur ajoutée des entreprises, qui se traduira par une sortie de l’imposition à la CVAE pour environ 300 000 entreprises. |
ARTICLE 9 :
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Exposé des motifs
Instaurée en 2010 dans le cadre de la suppression de la taxe professionnelle, la composante de l’imposition forfaitaire sur les entreprises de réseaux (IFER) portant sur les réseaux de télécommunications fixes (IFER fixe) impose le réseau téléphonique classique et les réseaux de communications électroniques en fibre optique ou en câble coaxial. La transition technologique en cours, qui devrait aboutir, d’ici 2030, à la disparition du réseau en cuivre et à son remplacement par les réseaux en fibre optique, aura des conséquences temporaires sur le rendement de l’IFER fixe. En effet, depuis 2015, le décommissionnement des lignes en cuivre s’accompagne d’une baisse du produit de l’IFER fixe, qui n’est pas compensée par l’entrée dans l’imposition des lignes en fibre optique, lesquelles bénéficient encore, pour la plupart, d’une exonération temporaire au titre des cinq années suivant celle de leur première installation. Dans le même temps, le mécanisme annuel visant à garantir un rendement plancher autour d’une cible de 400 millions d’euros a conduit à une hausse constante du tarif de l’IFER fixe (d’environ 8 € par ligne en 2015 à près de 20 € en 2023). Cette tendance devrait se poursuivre au moins jusqu’en 2026. Ainsi, l’entrée décalée dans l’imposition d’un volume important de lignes en fibre optique à compter de 2025, combinée aux hausses de tarif opérées au cours des dernières années, devrait entraîner un doublement du produit de l’IFER fixe – qui atteindrait 795 millions d’euros d’ici 2030 – dont le coût pour les opérateurs redevables pourrait être répercuté sur les consommateurs. Le présent article vise donc à neutraliser les effets indésirables de cette transition technologique en maîtrisant l’augmentation du produit de l’IFER fixe, sans affecter les ressources des régions. Il prévoit d’instaurer, sur le modèle inverse du « plancher » visant à garantir un montant minimum de recettes pour les régions affectataires, un mécanisme d’ajustement à la baisse du tarif de l’IFER fixe visant à protéger le consommateur final, chaque fois que son produit aura dépassé 400 millions d’euros au titre de l’année précédente. Ce plafond serait revalorisé chaque année en fonction de l’évolution de l’indice des prix à la consommation, ce qui lui confèrera une dynamique dans le temps. |
ARTICLE 10 :
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Année d’évaluation |
Chiffre d’affaires national total (€) |
Chiffre d’affaires national afférent aux prestations de services autres que les ventes à consommer sur place et prestations d’hébergement (€) |
Année civile précédente |
85 000 |
37 500 |
Année en cours |
93 500 |
41 250 |
Année d’évaluation |
Chiffre d’affaires national afférent aux opérations mentionnées au B du présent II (€) |
Chiffre d’affaires national afférent aux opérations autres que celles mentionnées au B du présent II (€) |
Année civile précédente |
47 500 |
37 500 |
Année en cours |
52 250 |
41 250 |
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de transposer les dispositions de la directive (UE) 2020/285 du 18 février 2020 relative au système commun de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) en ce qui concerne le régime particulier des petites entreprises, qui modifient le régime de la franchise de TVA à compter du 1er janvier 2025. Le principal changement consiste en la possibilité pour les entreprises établies dans un État membre de l’Union européenne (UE) de bénéficier du régime de la franchise, non seulement dans leur État d’établissement, mais également dans les autres États membres, à condition de ne pas dépasser un plafond de chiffre d’affaires fixé au niveau européen (100 000 €). Ainsi, les entreprises dont le siège est en France pourront commercer dans d’autres États membres en bénéficiant du régime de franchise qui y est applicable, à condition de s’être identifiées en France et de transmettre à leur service des impôts, sur une base trimestrielle, le chiffre d’affaires réalisé dans chaque État membre. Inversement, les entreprises dont le siège est situé dans un autre État membre bénéficieront des franchises nationales, à condition de remplir les mêmes formalités dans leur État de siège. Les entreprises dont le siège est situé dans un pays tiers bénéficieront de ce même dispositif, à condition de s’être identifiées dans un État membre de leur choix où elles sont établies. Par ailleurs, le plafond national de chiffre d’affaires pour le bénéfice de la franchise est abaissé à 85 000 €, niveau maximum permis par le droit européen. En outre, les modalités de sortie du régime de la franchise sont simplifiées et accélérées : le bénéfice de la franchise nationale sera supprimé au 1er janvier de l’année qui suit le dépassement du plafond national de chiffre d’affaires ou, si ce dépassement excède 10 %, immédiatement. Le dépassement du plafond global européen de chiffre d’affaires de 100 000 € fera également perdre immédiatement le bénéfice de la franchise dans les États membres autres que celui ou ceux dans lesquels l’entreprise concernée est établie. Enfin, un système européen d’échange de données, nécessaire pour la mise en place et le suivi du nouveau régime de franchise des entreprises exerçant leur activité dans plusieurs États membres, sera mis en place. |
ARTICLE 11 :
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Exposé des motifs
Le présent article vise à accompagner la sortie de la crise énergétique. En premier lieu, il maintient, pour la période du 1er février 2024 au 31 janvier 2025, un tarif d’accise sur l’électricité au niveau minimum requis par le droit européen afin d’accompagner la sortie du bouclier tarifaire. Cela représente un effort de l’État de 8,9 Md€ et participe au fait que l’électricité consommée en France par les entreprises, les particuliers et les collectivités est une des plus abordables d’Europe. En deuxième lieu, en cohérence avec la politique environnementale du Gouvernement, il prévoit que ce dernier pourra, par arrêté, relever le tarif d’accise sur le gaz naturel à usage combustible dans la limite de 8 €/MWh. Hors mécanisme exceptionnel, le tarif normal d’accise sur le gaz naturel est en effet près de quatre fois inférieur à celui applicable à l’électricité, ce qui revient à envoyer un signal contraire à l’atteinte de nos objectifs climatiques. Le renvoi à un arrêté est justifié par un souci de modération nécessitant d’évaluer préalablement l’évolution des prix hors taxes avant la détermination du tarif applicable en 2024. |
ARTICLE 12 :
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Exposé des motifs
Le présent article concrétise les engagements du Gouvernement en matière de transition écologique en engageant la nécessaire remise en cause progressive des avantages fiscaux devenus incompatibles avec les objectifs gouvernementaux de transition environnementale et de décarbonation de l’économie, tout en accompagnant les secteurs économiques concernés par la définition d’une trajectoire progressive et pluriannuelle. À cette fin, il prévoit : - l’augmentation progressive du tarif d’accise sur le gazole non routier (+5,99 c€/L/an) en vue de l’application du tarif normal au 1er janvier 2030 (dépense fiscale évaluée à 0,9 Md€ en 2023, hors usage agricole). Cette augmentation progressive a vocation à remplacer la suppression du tarif réduit qui devait intervenir au 1er janvier 2024, mais qui n’apparaît pas supportable compte tenu de l’évolution du contexte économique. De même, les mesures visant à permettre la répercussion de ces hausses de tarifs dans les prix pour les contrats de longue durée du secteur du bâtiment et des travaux publics ainsi que pour le transport frigorifique sont maintenues ; - l’augmentation progressive du tarif réduit d’accise sur le gazole consommé pour les besoins des travaux agricoles (+2,85 c€/L/an) jusqu’au tarif réduit de 23,81 c€/L en 2030 (dépense fiscale évaluée à 1,7 Md€ en 2023). Afin d’accompagner le secteur agricole dans la transition environnementale, le présent article prévoit, dès le 1er janvier 2024, premièrement, d’augmenter les plafonds de la déduction pour épargne de précaution (DEP) pour encourager les exploitants à constituer une épargne permettant de couvrir les dépenses liées aux besoins de l’exploitation, notamment l’investissement dans la décarbonation, deuxièmement, de rehausser les seuils de recettes permettant de bénéficier d’une exonération totale (de 250 000 € à 350 000 €) ou partielle (de 350 000 € à 450 000 €) des plus-values professionnelles agricoles de cession, mesure de nature à encourager le renouvellement des matériels agricoles des exploitations et à assurer leur productivité et leur pérennité, et troisièmement, de revaloriser de façon exceptionnelle, de 91 900 € à 120 000 €, le plafond de recettes pour l’application du régime « micro-BA ». Cette revalorisation exceptionnelle ne constitue pas une actualisation au sens du VI de l’article 69 du CGI. La prochaine actualisation triennale interviendra donc au 1er janvier 2026 ; - la suppression au 1er janvier 2024 des tarifs réduits d’accise sur les produits pétroliers (hors gaz naturels et charbons) consommés par les entreprises grandes consommatrices d’énergie, qui s’avèrent peu utilisés (dépenses fiscales évaluées à 11 M€ en 2023) ainsi que sur les charbons consommés par les entreprises grandes consommatrices d’énergie exposées à la concurrence internationale (pas de bénéficiaire en 2023) ; - l’adoption de diverses mesures de rationalisation et d’amélioration rédactionnelle de dépenses fiscales modifiées récemment ou dont l’encadrement européen a été ajusté. |
ARTICLE 13 :
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Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de renforcer les incitations fiscales relatives à l’utilisation d’énergie renouvelable dans les transports, en cohérence avec les objectifs européens et nationaux, en faisant évoluer les paramètres de la taxe incitative relative à l’incorporation d’énergie renouvelable dans les transports (TIRUERT). À cette fin, il propose, à compter de 2025 : - de rehausser l’objectif d’utilisation d’énergie renouvelable pour la catégorie fiscale des essences de 0,6 point, à 10,5 %. Cette trajectoire est notamment soutenue par une utilisation accrue des biocarburants avancés, dont le minimum d’incorporation est porté à 1,8 %, soit une hausse de 0,5 point. De même, la limite d’incorporation des graisses et huiles usagées comptées double est augmentée de 0,2 point et le plafond d’incorporation des égouts pauvres de deuxième extraction est rehaussé de 0,1 point ; - de rehausser l’objectif d’utilisation d’énergie renouvelable pour la catégorie fiscale des gazoles de 0,4 point également, à 9,4 %. Comme pour la catégorie des essences, le minimum d’incorporation de biocarburants avancés est augmenté de 0,2 point, et le plafond d’incorporation des graisses et huiles usagées comptées double est rehaussé de 0,1 point ; - de supprimer le double compte pour les carburéacteurs, afin d’encourager les redevables à l’incorporation réelle de biocarburants aux impacts environnementaux très faibles, au profit d’une augmentation limitée à 0,5 point de l’objectif d’utilisation d’énergie renouvelable pour les carburéacteurs, qui s’établira à 2 %. Cette évolution pourra être portée par l’incorporation de tout produit qui n’est pas en concurrence alimentaire. Du fait de cette suppression du double compte, le tarif applicable aux carburéacteurs est également augmenté pour atteindre 280 €/hL afin de ne pas diminuer l’incitation fiscale et éviter ainsi que les biocarburants produits en France ne soient exportés dans d’autres pays plutôt que d’être incorporés au niveau national. Parallèlement, il est proposé de faire évoluer les modalités de prise en compte du contenu énergétique des égouts pauvres de deuxième extraction (EP2) pour l’application des seuils prévus pour les catégories 1 (EP2 et amidons résiduels) et 2 (matières premières en concurrence alimentaire). Tandis qu’actuellement ce contenu énergétique est pris en compte pour moitié au titre de chacune de ces catégories, le présent article propose, au 1er janvier 2024 et en cohérence avec les évolutions techniques de la filière de production du bioéthanol, de fixer à 60 % la part d’EP2 comptabilisée dans la catégorie propre à ces productions et à 40 % celle comptabilisée dans la catégorie des matières premières en concurrence alimentaire. Afin de continuer à refléter les évolutions techniques ultérieures, il prévoit la fixation de cette répartition par voie réglementaire à compter de 2025. |
ARTICLE 14 :
|
BARÈME CO2, MÉTHODE DITE WLTP, |
|||||
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Inférieures à 117 |
0 |
147 |
1 761 |
177 |
17 247 |
118 |
50 |
148 |
1 901 |
178 |
18 858 |
119 |
75 |
149 |
2 049 |
179 |
20 569 |
120 |
100 |
150 |
2 205 |
180 |
22 380 |
121 |
125 |
151 |
2 370 |
181 |
24 291 |
122 |
150 |
152 |
2 544 |
182 |
26 302 |
123 |
170 |
153 |
2 726 |
183 |
28 413 |
124 |
190 |
154 |
2 918 |
184 |
30 624 |
125 |
210 |
155 |
3 119 |
185 |
32 935 |
126 |
230 |
156 |
3 331 |
186 |
35 346 |
127 |
240 |
157 |
3 552 |
187 |
37 857 |
128 |
260 |
158 |
3 784 |
188 |
40 468 |
129 |
280 |
159 |
4 026 |
189 |
43 179 |
130 |
310 |
160 |
4 279 |
190 |
45 990 |
131 |
330 |
161 |
4 543 |
191 |
48 901 |
132 |
360 |
162 |
4 818 |
192 |
51 912 |
133 |
400 |
163 |
5 105 |
193 |
55 023 |
134 |
450 |
164 |
5 404 |
Supérieures à 193 |
60 000 |
135 |
540 |
165 |
5 715 |
|
|
136 |
650 |
166 |
6 126 |
|
|
137 |
740 |
167 |
6 537 |
|
|
138 |
818 |
168 |
7 248 |
|
|
139 |
898 |
169 |
7 959 |
|
|
140 |
983 |
170 |
8 770 |
|
|
141 |
1 074 |
171 |
9 681 |
|
|
142 |
1 172 |
172 |
10 692 |
|
|
143 |
1 276 |
173 |
11 803 |
|
|
144 |
1 386 |
174 |
13 014 |
|
|
145 |
1 504 |
175 |
14 325 |
|
|
146 |
1 629 |
176 |
15 736 |
|
» ;
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE POUR L’ANNÉE 2024 |
|
Puissance administrative (CV) |
Tarif 2024 (€) |
Inférieure à 4 |
0 |
4 |
1 000 |
5 |
3 250 |
6 |
5 000 |
7 |
6 750 |
8 |
10 750 |
9 |
15 750 |
10 |
22 500 |
11 |
28 500 |
12 |
35 500 |
13 |
43 250 |
14 |
52 000 |
15 et plus |
60 000 |
» ;
BARÈME POUR LES ANNÉES À COMPTER DE 2024 |
|
Fraction de la masse en ordre de marche (kg) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 1 599 |
0 |
De 1 600 et 1 799 |
10 |
De 1 800 à 1 899 |
15 |
De 1 900 à 1 999 |
20 |
De 2 000 à 2 100 |
25 |
À partir de 2 100 |
30 |
.
BARÈME POUR LES ANNÉES 2022 ET 2023 |
|
Fraction de la masse en ordre de marche (kg) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 1799 |
0 |
A partir de 1800 |
10 |
BARÈME WLTP |
|
Fraction des émissions de CO2 (g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 14 |
0 |
De 15 à 55 |
1 |
De 56 à 63 |
2 |
De 64 à 95 |
3 |
De 96 à 115 |
4 |
De 116 à 135 |
10 |
De 136 à 155 |
50 |
De 156 et 175 |
60 |
À partir de 176 |
65 |
.
BARÈME NEDC |
|
Fraction des émissions de CO2 (g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 12 |
0 |
De 13 à 45 |
1 |
De 46 à 52 |
2 |
De 53 à 79 |
3 |
De 80 à 95 |
4 |
De 96 à 112 |
10 |
De 113 à 128 |
50 |
De 129 à 145 |
60 |
A partir de 146 |
65 |
.
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE |
|
Fraction de la puissance administrative (CV) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 3 |
1 500 |
De 4 à 6 |
2 250 |
De 7 à 10 |
3 750 |
De 11 à 15 |
4 750 |
A partir de 16 |
6 000 |
. » ;
BARÈME WLTP |
|
Fraction des émissions de CO2 (en g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 9 |
0 |
De 10 à 50 |
1 |
De 51 à 58 |
2 |
De 59 à 90 |
3 |
De 91 à 110 |
4 |
De 111 à 130 |
10 |
De 131 à 150 |
50 |
De 151 et 170 |
60 |
À partir de 171 |
65 |
.
BARÈME NEDC |
|
Fraction des émissions de CO2 (en g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 7 |
0 |
De 8 à 41 |
1 |
De 42 à 48 |
2 |
De 49 à 74 |
3 |
De 75 à 91 |
4 |
De 92 à 107 |
10 |
De 108 à 124 |
50 |
De 125 à 140 |
60 |
A partir de 141 |
65 |
.
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE |
|
Fraction de la puissance administrative (CV) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 3 |
1 750 |
De 4 à 6 |
2 500 |
De 7 à 10 |
4 250 |
De 11 à 15 |
5 000 |
A partir de 16 |
6 250 |
. » ;
BARÈME WLTP |
|
Fraction des émissions de CO2 (en g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 4 |
0 |
De 5 à 45 |
1 |
De 46 à 53 |
2 |
De 54 à 85 |
3 |
De 86 à 105 |
4 |
De 106 à 125 |
10 |
De 126 à 145 |
50 |
De 146 et 165 |
60 |
À partir de 166 |
65 |
.
BARÈME NEDC |
|
Fraction des émissions de CO2 (en g /km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 3 |
0 |
De 4 à 37 |
1 |
De 38 à 44 |
2 |
De 45 à70 |
3 |
De 71 à 87 |
4 |
De 88 à 103 |
10 |
De 104 à 120 |
50 |
De 121 à 136 |
60 |
A partir de 137 |
65 |
.
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE |
|
Fraction de la puissance administrative (CV) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 3 |
2 000 |
De 4 à 6 |
3 000 |
De 7 à 10 |
4 500 |
De 11 à 15 |
5 250 |
A partir de 16 |
6 500 |
. » ;
BARÈME WLTP |
|
Fraction des émissions de CO2 (en g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 40 |
1 |
De 41 à 48 |
2 |
De 49 à 80 |
3 |
De 81 à 100 |
4 |
De 101 à 120 |
10 |
De 121 à 140 |
50 |
De 141 et 160 |
60 |
À partir de 161 |
65 |
.
BARÈME NEDC |
|
Fraction des émissions de CO2 (en g/km) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 33 |
1 |
De 34 à 40 |
2 |
De 41 à 66 |
3 |
De 67 à 83 |
4 |
De 84 à 99 |
10 |
De 100 à 116 |
50 |
De 117 à 132 |
60 |
A partir de 133 |
65 |
.
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE |
|
Fraction de la puissance administrative (CV) |
Tarif marginal (€) |
Jusqu’à 3 |
2 250 |
De 4 à 6 |
3 250 |
De 7 à 10 |
4 750 |
De 11 à 15 |
5 500 |
A partir de 16 |
6 750 |
. » ;
CATÉGORIE D’ÉMISSIONS DE POLLUANTS |
TARIF ANNUEL (€) |
E |
0 |
1 |
100 |
Véhicules les plus polluants |
500 |
» ;
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de renforcer le caractère incitatif à la transition énergétique des différents malus et contributions applicables aux véhicules de tourisme des particuliers et des entreprises. À cette fin, il prévoit de : - poursuivre, en 2024, le renforcement de la taxe sur les émissions de dioxyde de carbone des véhicules de tourisme (dite « malus CO2 à l’immatriculation ») pour respecter les engagements nationaux et européens en matière de décarbonation des transports routiers. Le barème du malus CO2 à l’immatriculation est ainsi renforcé pour les véhicules les plus émetteurs et le plafonnement du malus à 50 % du montant d’acquisition du véhicule, qui bénéficie spécifiquement aux véhicules très onéreux et très polluants, est supprimé ; - renforcer, en 2024, la taxe sur la masse en ordre de marche (dite « malus masse »). Le seuil de déclenchement du dispositif, actuellement fixé à 1,8 tonne est porté à 1,6 tonne et un barème progressif est introduit ; - renforcer, en 2024, la taxe annuelle sur les émissions de CO2 (dite « taxe CO2 annuelle ») pour inciter au renouvellement du parc automobile des entreprises. Le seuil de déclenchement de cette taxe est abaissé de 5 gCO2/km et le barème est linéarisé à la hausse ; - supprimer, à compter de 2025, les exonérations de malus masse et de taxe CO2 annuelle dont bénéficient les véhicules hybrides ou assimilés. Ces véhicules sont en effet émetteurs de dioxyde de carbone. Pour le malus masse, les véhicules hybrides rechargeables bénéficieront d’un abattement traduisant forfaitairement la masse de la batterie ; pour la taxe CO2 annuelle, les véhicules qui utilisent du superéthanol E85 bénéficieront d’un abattement, comme cela est déjà prévu pour le malus CO2 à l’immatriculation ; - remplacer l’actuelle taxe annuelle sur l’ancienneté des véhicules, qui est une taxe à faible rendement s’appuyant sur des catégories obsolètes de véhicules, par une taxe sur les émissions de polluants atmosphériques. Trois tarifs cohérents avec les catégories Crit’Air sont ainsi retenus : un tarif nul pour la catégorie E (véhicules électriques ou hydrogène), un tarif de 100 € pour la catégorie 1 (véhicules essences EURO 5 et 6) et un tarif de 500 € pour les autres véhicules. Il prévoit également diverses mesures visant à limiter des pratiques observées aboutissant à minorer le montant des taxes. En premier lieu, le coefficient de vétusté appliqué aux véhicules d’occasion, appliqué pour les deux malus à l’immatriculation, est abaissé de 10 % à 5 % par année entamée depuis la première immatriculation. En deuxième lieu, le champ des véhicules de transport de marchandises assimilés à des voitures particulières au regard de leur usage sera précisé par décret afin de soumettre à l’impôt les véhicules « pick-up » comportant quatre places ou plus (contre cinq places ou plus aujourd’hui) et les « camions hors route » comportant cinq places ou plus. En troisième lieu, il limite le bénéfice du remboursement famille nombreuse à une fois par période de deux ans, afin de mettre fin à certaines dérives décelées à l’occasion de demandes de remboursement suivies de la cession immédiate du véhicule ou à intervalles très rapprochés. |
ARTICLE 15 :
|
Exposé des motifs
À la suite de la remise, le 24 février 2023, du rapport du Conseil d’orientation des infrastructures « Investir plus et mieux dans les mobilités pour réussir leurs transitions », le Gouvernement a annoncé un « plan d’avenir pour les transports » prévoyant une série d’investissements massifs dans les infrastructures, notamment ferroviaires, favorisant la réduction de l’impact des mobilités sur l’environnement. Afin de contribuer au de ce plan, le présent article institue, à compter du 1er janvier 2024, une taxe sur l’exploitation d’infrastructures de transport de longue distance (c’est-à-dire les transports non urbains), qui remplissent une double condition de dépassement d’un seuil de revenus (revenus d’exploitation supérieurs à 120 M€) et d’un seuil de rentabilité (résultat net supérieur à 10 % en moyenne sur 7 années). Elle est assise sur la fraction des revenus excédant 120 M€ et son taux est fixé à 4,6 %. Son montant n’est pas déductible du résultat imposable à l’impôt sur les sociétés. Pour déterminer le seuil de 120 M€, l’ensemble des revenus de l’exploitation est pris en compte, y compris ceux liés à la mise en valeur de l’assise foncière (comme, par exemple, les revenus tirés de la location des sous-sols permettant le passage de câbles divers ou encore ceux liés à la diversification immobilière). En sont exclus toutefois : - ceux qui relèvent d’une activité distincte et indépendante de l’exploitation de l’infrastructure de transport de longue distance, qui ne sont pas réalisés au moyen d’une telle infrastructure (y compris les immeubles et équipements qui la constituent) et qui ne résultent pas non plus d’une valorisation du domaine relatif à une telle infrastructure ou à ses accessoires ; - ceux qui résultent de la vente d’électricité produite par l’exploitant grâce à l’infrastructure (par exemple, un barrage qui rend un fleuve navigable et génère de l’électricité ou des panneaux photovoltaïques sur les bâtiments ou terrains de l’infrastructure), mais uniquement lorsque cette électricité n’est pas vendue aux usagers de l’infrastructure ; - la compensation par l’État de certains coûts supportés par l’exploitant au titre de missions régaliennes ou de la protection de l’environnement, cette compensation ne générant par hypothèse aucune rentabilité. Le rendement attendu pour la première année est de l’ordre de 600 M€, répartis essentiellement entre les grandes concessions autoroutières et les grands aérodromes. |
ARTICLE 16 :
|
Éléments constitutifs de la pollution |
Unité |
Seuils de suivi régulier des rejets |
|
Minimum |
Maximum |
||
Matières en suspension |
Tonnes / an |
120 |
700 |
Demande chimique en oxygène |
Tonnes / an |
120 |
700 |
Demande biochimique en oxygène en cinq jours |
Tonnes / an |
60 |
400 |
Azote réduit et azote oxydé, nitrites et nitrates |
Tonnes / an |
8 |
60 |
Phosphore total, organique ou minéral |
Tonnes / an |
2 |
15 |
Matières inhibitrices |
KEquitox/ an |
2 000 |
15 000 |
Métox |
Kg/ an |
2 000 |
15 000 |
Composés halogénés adsorbables sur charbon actif |
kg/ an |
400 |
3 000 |
Sels dissous |
M3 S/ cm/ an |
20 000 |
150 000 |
Chaleur rejetée |
Mth/ an |
400 |
3 000 |
Substances dangereuses pour l’environnement |
Kg/ an |
70 |
500 |
» ;
Zones |
Seuil minimum (en nombre des unités de gros bétail) |
Zones mentionnées aux articles 3 et 4 de la loi n° 85-30 du 9 janvier 1985 relative au développement et à la protection de la montagne |
150 |
Autres zones |
90 |
Usages |
Catégorie 1 |
Catégorie 2 |
||
Minimum (en centimes d’euros par m³) |
Maximum (en centimes d’euros par m³) |
Minimum (en centimes d’euros par m³) |
Maximum (en centimes d’euros par m³) |
|
Irrigation autre que l’irrigation gravitaire |
1,41 |
5,04 |
2,82 |
10,08 |
Irrigation gravitaire |
0,2 |
0,7 |
0,4 |
1,4 |
Alimentation en eau potable |
2,82 |
10,08 |
5,64 |
20,16 |
Alimentation d’un canal |
0,012 |
0,042 |
0,024 |
0,084 |
Refroidissement industriel conduisant à une restitution supérieure à 99 % |
0,53 |
0,95 |
1,06 |
1,9 |
Autres usages économiques |
1,97 |
7,56 |
3,93 |
15,12 |
Exposé des motifs
Dans le prolongement du « plan eau » annoncé par le Président de la République le 30 mars 2023, le présent article a pour objet d’adapter, à compter du 1er janvier 2025, la fiscalité aux enjeux environnementaux relatifs à la pollution et à la raréfaction de la ressource en eau. Il vise ainsi à renforcer les principes de pollueur-payeur et préleveur-payeur, tout en rééquilibrant la charge fiscale sur l’eau pesant sur les différentes catégories de redevables. La réforme proposée, qui s’appuie sur les travaux des « Assises de l’eau » de 2019 et du « Varenne agricole » de 2021, permettra d’augmenter les ressources des agences de l’eau et d’assurer le financement des mesures du plan eau. À cette fin, quatre évolutions sont proposées par le présent article. En premier lieu, il prévoit, en substitution des actuelles redevances pour pollution d’origine domestique et pour modernisation des réseaux de collecte, la création d’une redevance sur la consommation d’eau potable et de deux redevances pour la performance des réseaux d’eau potable et des systèmes d’assainissement collectif. La nouvelle redevance sur la consommation d’eau potable permettra d’accentuer le signal‑prix associé à la consommation d’eau potable. Elle sera due par chaque usager final du service d’eau potable, sans distinguer entre consommation domestique et consommation industrielle. Les redevances pour la performance des réseaux d’eau potable et des systèmes d’assainissement collectif, en incitant à rendre les services publics d’eau et d’assainissement plus performants, poursuivent une finalité environnementale. Elles seront dues par les communes ou leurs groupements. En deuxième lieu, il renforce la redevance pour pollutions diffuses qui porte sur les produits phytopharmaceutiques, en relevant le tarif associé aux substances les plus nocives pour la santé et l’environnement. Ces évolutions sont de nature à favoriser le développement de pratiques culturales plus favorables d’un point de vue environnemental et sanitaire. En troisième lieu, il permet une meilleure articulation de la redevance pour prélèvement sur la ressource en eau avec le principe du préleveur‑payeur. Le relèvement des tarifs plafonds, combiné à l’introduction de seuils minimum pour fixer les tarifs d’imposition, permettra de renforcer le signal‑prix associé à la raréfaction de l’eau. Il incitera également au comptage réel des volumes prélevés, traduisant ainsi l’objectif du plan eau de mieux piloter la ressource. En dernier lieu, il prévoit que les tarifs ou l’encadrement tarifaire prévus pour le calcul de chacune des « redevances des agences de l’eau » soient indexés chaque année sur l’inflation. |
ARTICLE 17 :
|
Exposé des motifs
Conformément aux orientations de la loi de programmation des finances publiques 2023‑2027 présentée par le Gouvernement, le présent article rationalise la législation fiscale en supprimant ou en limitant les effets dans le temps des dépenses fiscales et des taxes qui apparaissent aujourd’hui comme inefficientes ou obsolètes. À cet effet, il est proposé de limiter les effets dans le temps ou de supprimer vingt et une dépenses fiscales et une taxe à faible rendement. Parmi les vingt et une dépenses fiscales : - douze correspondent à des dispositifs à destination des particuliers en faveur du logement qui n’ont pas été renouvelés au terme de leur échéance et sont donc devenus obsolètes ; - sept correspondent à des dispositifs temporaires mis en place dans le contexte de crise sanitaire liée à la pandémie de Covid‑19, devenus depuis sans objet et sans incidence budgétaire ; - deux sont des dépenses fiscales n’ayant plus d’effet ni d’incidence budgétaire ou n’étant plus appliquées. La redevance annuelle due par les sociétés parisiennes de courses de chevaux est également supprimée en raison de son caractère obsolète et de son absence de rendement depuis plusieurs années. |
ARTICLE 18 :
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Exposé des motifs
Le présent article poursuit l’exercice de rationalisation de la fiscalité des biens et services engagé par la loi de finances initiale pour 2019 et approfondi dans les différentes lois de finances adoptées depuis. Il comporte quatre principales mesures. En premier lieu, il parachève, pour les accises sur les tabacs et les alcools, le volet législatif de l’unification du recouvrement de certaines impositions et amendes par la direction générale des finances publiques (DGFiP). Le transfert du recouvrement à la DGFiP est ainsi étendu aux taxes annexes frappant ces produits, à savoir la cotisation de sécurité sociale sur les boissons alcooliques (CSS) et le droit de licence pour le tabac. Par cohérence, les modalités de transfert relatives à la taxe sur les mélanges de boissons alcooliques et boissons sucrées (dites « prémix ») sont précisées. Cette extension concernera également la cotisation finançant le régime d’allocations viagères des gérants de débits de tabac. Ce transfert est également l’occasion d’uniformiser les règles de gestion, en étendant la possibilité de recourir à un texte réglementaire pour rendre obligatoire la télédéclaration et le télérèglement. En deuxième lieu, afin d’éviter de complexifier les opérations de transfert et de faire peser sur les bouilleurs de cru particuliers des formalités déclaratives importantes, il aménage le régime fiscal qui leur est applicable en prévoyant une exonération d’accise pour les personnes qui produisent de petites quantités d’alcools pour leur consommation propre. Bien que le recouvrement de l’ensemble des accises sur les alcools soit transféré à la DGFiP, la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) continuera de veiller, pour les petits bouilleurs de cru particuliers, au respect des conditions associées au bénéfice de cette exonération. Il étend également le transfert aux restes à recouvrer. En troisième lieu, il confie, à compter du 1er janvier 2026, à la direction générale de l’aviation civile, qui gère déjà certaines taxes, la gestion et le contrôle des majorations de taxes sur le transport aérien de passagers qui sont aujourd’hui gérées, selon le cas, par la DGFiP ou la DGDDI. À la même date, il transfère également de la DGDDI à la DGFiP la gestion de la taxe sur le transport maritime à destination d’espaces naturels protégés. Enfin, il renouvelle, pour deux années, l’habilitation du Gouvernement à légiférer par ordonnance pour recodifier les dispositions relatives aux impositions sur les biens et services, afin qu’il puisse continuer l’intégration des dispositions relatives à ces impositions dans le code qui leur est dédié depuis le 1er janvier 2022. |
ARTICLE 19 :
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L. 115 |
Résultant de la loi n° XX du XX |
» ;
L. 115 |
Résultant de la loi n° XX du XX |
» ;
L. 115 |
Résultant de la loi n° XX du XX |
Exposé des motifs
Conformément au plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement le 9 mai 2023, le présent article vise, d’une part, à renforcer les moyens dont dispose l’administration fiscale en matière de détection et de sanction de la fraude fiscale et, d’autre part, à compléter le cadre juridique applicable aux fraudes à la TVA en l’adaptant aux enjeux de l’économie numérique. À cette fin, il prévoit, en premier lieu, de proroger pour deux ans l’expérimentation prévue par l’article 154 de la loi de finances pour 2020 autorisant les administrations fiscale et douanière à détecter la fraude fiscale par le biais de la collecte et de l’exploitation de certaines données des plateformes en ligne, dont les résultats sont prometteurs, et d’élargir son champ d’application, tant en termes de données collectées que de manquements visés. Il prévoit, en deuxième lieu, la possibilité pour les agents des finances publiques de procéder à des enquêtes actives sous pseudonyme sur des sites internet, réseaux sociaux et applications de messagerie. Il propose, en troisième lieu, la création d’un régime de sanctions gradué applicable, en l’absence de dispositions spécifiques, à l’ensemble des fraudes aux aides publiques, qui permettra d’assortir la récupération d’aides indûment perçues d’une majoration de 40 % ou 80 % en fonction de la gravité des faits. Il prévoit, en quatrième lieu, la création d’une procédure de mise en conformité fiscale, assortie d’un mécanisme d’injonction au déréférencement ou à la restriction d’accès à des interfaces en ligne donnant accès à des sites internet d’entreprises se livrant, depuis un État situé hors de l’Union européenne, à des activités économiques sans acquitter la TVA exigible. Il ajuste, en cinquième lieu, les règles de la TVA à l’importation, en rendant les « dropshippers » (dont la pratique commerciale consiste, pour un intermédiaire, à acheter un bien situé en territoire tiers et à le revendre en ligne en France sans jamais en disposer physiquement) redevables de la TVA à l’importation sur les ventes à distance de biens importés, sauf à ce qu’ils s’assurent que la TVA est perçue sur l’intégralité du prix du bien lors de l’importation, et en facilitant la mise en œuvre par les entreprises de leurs obligations relatives aux importations réalisées pour les besoins de leurs activités économiques. Il prévoit, en sixième lieu, l’extension du mécanisme d’autoliquidation de la TVA aux opérations de cessions de garanties d’origine et de certificats prévus dans le code de l’énergie, dans une perspective de lutte contre le développement des fraudes de type « carrousel ». |
ARTICLE 20 :
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Exposé des motifs
Le présent article vise à renforcer les leviers de lutte contre la fraude fiscale, en permettant de pénaliser la mise à disposition d’instruments facilitant de tels agissements. Les promoteurs de schémas ou dispositifs fiscaux frauduleux ne peuvent actuellement être poursuivis qu’au cas par cas au titre de la fraude fiscale commise par chacun de leurs clients, alors même qu’ils peuvent apporter leur concours à de nombreux contribuables. Pour renforcer l’efficacité et la rapidité de la lutte contre la fraude fiscale, le présent article propose de créer un délit autonome de mise à disposition d’instruments de facilitation de la fraude fiscale, visant les personnes physiques ou morales qui mettent notamment à la disposition de leurs clients des moyens, services, actes ou instruments leur permettant de se soustraire à leurs obligations fiscales. La possibilité d’engager directement des poursuites pénales à l’encontre de l’organisateur présumé d’un montage de fraude fiscale complexe ou aggravé permettra de mobiliser rapidement des moyens d’investigation judiciaire de nature à appréhender de manière plus efficace et exhaustive le schéma frauduleux concerné. |
ARTICLE 21 :
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Exposé des motifs
Le présent article entend renforcer l’exemplarité de la sanction pénale. Les manquements fiscaux les plus graves sont susceptibles de se voir appliquer, en plus des sanctions administratives, des sanctions pénales. A cet égard, la loi n° 2018‑898 du 23 octobre 2018 de lutte contre la fraude a prévu la dénonciation obligatoire à l’autorité judiciaire des dossiers de contrôle fiscal ayant donné lieu à des rappels d’impôt supérieurs à 100 000 € et à l’application des sanctions administratives les plus lourdes, en tenant compte de la réitération. Il en résulte une progression constante du nombre de saisines de l’autorité judiciaire, qui atteignent près de 1 800 transmissions en 2022. Compte tenu du coût de la fraude fiscale pour les finances publiques et pour la cohésion sociale, une pénalisation accrue de la fraude fiscale est recherchée. Actuellement, en cas de fraude fiscale aggravée, les sanctions pénales encourues sont une peine d’emprisonnement de sept ans et une amende de 3 M€, ainsi que des peines complémentaires comme la suspension du permis de conduire. Afin de renforcer l’exemplarité de la sanction pénale, le présent article propose de compléter le panel de sanctions complémentaires pouvant être prononcées par le juge pénal en prévoyant que les personnes physiques condamnées pour des manquements graves à leurs obligations fiscales pourront se voir infliger une peine complémentaire de privation temporaire du droit au bénéfice de réductions et crédits d’impôt sur le revenu ou d’impôt sur la fortune immobilière. |
ARTICLE 22 :
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Exposé des motifs
Le présent article a pour objectif de renforcer la capacité de l’administration à détecter et sanctionner les utilisations abusives des règles de prix de transfert, conformément aux annonces du plan de lutte contre toutes les fraudes aux finances publiques. Visant les grandes entreprises, le présent article aménage, d’une part, le seuil de déclenchement de l’obligation de présenter, en début de contrôle fiscal, une documentation complète de la politique de prix de transfert ainsi que le montant de l’amende pour défaut de présentation de cette documentation, et rend la documentation présentée par l’entreprise opposable. Il prévoit, d’autre part, d’allonger le délai de reprise dont dispose l’administration pour les transferts d’actifs incorporels et de créer une nouvelle exception à la garantie de non renouvellement d’une vérification de comptabilité sur ce sujet afin de permettre à la direction générale des finances publiques (DGFIP) d’appliquer pleinement les règles définies à l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) pour contrôler les prix de ces cessions. |
ARTICLE 23 :
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Exposé des motifs
Le présent article a pour objet d’améliorer les conditions matérielles de réalisation des contrôles fiscaux externes et de renforcer la sécurité des agents des finances publiques face à des comportements potentiellement agressifs et menaçants du contribuable. À cet effet, il est, en premier lieu, proposé d’aménager les articles L. 13 et L. 14 A du livre des procédures fiscales (LPF) régissant les vérifications de comptabilité et les contrôles des organismes sans but lucratif. Aux termes du I de l’article L. 13 du LPF, les agents de l’administration fiscale vérifient sur place la comptabilité des contribuables astreints à tenir et à présenter des documents comptables. Il résulte de la jurisprudence que le contrôle ne peut se dérouler dans des locaux autres que ceux de l’entreprise que sur demande du contribuable, sans que cette faculté ne soit ouverte à l’administration. Or, l’obligation d’effectuer le contrôle dans les locaux de l’entreprise n’est pas adaptée lorsque la situation ou la configuration des locaux ne permettent pas au vérificateur de conduire les opérations de contrôle dans de bonnes conditions matérielles, ou lorsqu’elle est susceptible de porter atteinte à la sécurité des agents de l’administration. Sans remettre en cause le principe selon lequel le contrôle a lieu sur place dans les locaux de l’entreprise, la modification proposée vise à autoriser l’administration à prendre l’initiative d’une délocalisation. Le lieu serait déterminé en accord avec le contribuable ou, à défaut d’accord, le contrôle se déroulerait dans les locaux de l’administration. Cette possibilité est également proposée pour les contrôles, prévus à l’article L. 14 A du LPF, de la régularité de la délivrance des reçus, attestations ou tous autres documents par lesquels les organismes bénéficiaires de dons et versements indiquent à un contribuable qu’il est en droit de bénéficier des réductions d’impôt prévues aux articles 200, 238 bis et 978 du code général des impôts. Il est, en deuxième lieu, proposé d’assouplir les conditions dans lesquelles des agents des finances publiques peuvent être autorisés à exercer leurs missions de façon anonyme lorsque la révélation de leur identité à une personne déterminée est susceptible, compte tenu des conditions d’exercice de leur mission et des circonstances particulières de la procédure, de mettre en danger leur vie, leur intégrité physique ou celles de leurs proches. En l’état actuel des textes, seul le directeur du service déconcentré ou du service à compétence nationale dans lequel l’agent des finances publiques est affecté peut autoriser nominativement cet agent à substituer à ses nom et prénom un numéro d’immatriculation administrative. En l’absence de mécanisme de délégation de signature, la mise en œuvre du dispositif d’anonymisation peut être retardée, voire rendue impossible, en cas d’indisponibilité du directeur. La modification proposée vise donc à introduire un mécanisme de délégation assouplissant la mise en œuvre du dispositif d’anonymisation. |
ARTICLE 24 :
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Exposé des motifs
Le présent article fixe le montant de la dotation globale de fonctionnement (DGF) ainsi que le niveau des dotations et compensations d’exonération entrant dans le périmètre des variables d’ajustement pour 2024. En 2024, le Gouvernement poursuit l’augmentation du montant de la DGF engagée en 2023 après cinq années de stabilité : les dotations de péréquation sont abondées d’un montant de 220 M€ afin d’accroître le soutien de l’État aux collectivités locales. Comme en 2023, cette augmentation sera fléchée vers les collectivités les plus fragiles, par le biais des dotations de péréquation du bloc communal : la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) progresse de 90 M€ et la dotation de solidarité rurale (DSR) de 100 M€. La hausse de 190 M€ de la DGF des communes doit permettre à plus de 60 % des communes de voir leur DGF augmenter en 2024. L’augmentation ou la diminution de la dotation d’aménagement des communes sera répartie par le comité des finances locales (CFL) entre la DSU, la DSR et la dotation nationale de péréquation (DNP). En 2024 toutefois, l’augmentation prévue de 190 M€ sera affectée pour 90 M€ à la DSU et pour 100 M€ à la DSR. Le reste de l’abondement, soit 30 M€, finance le tiers de la hausse de 90 M€ de la dotation d’intercommunalité en 2024, le reste étant financé par écrêtement de la dotation de compensation des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP). L’évolution du montant de la DGF par rapport à 2023 résulte de cette hausse ainsi que de trois mesures de périmètre. La première consiste à tenir compte de la minoration pérenne du montant de la DGF du département de l’Ariège de 7 210 736 € effectuée en 2023 afin de tirer les conséquences du schéma de financement adopté dans la loi de finances pour 2023 pour la recentralisation du financement du RSA dans ce département. L’Ariège a ainsi vu sa dotation de compensation (6 890 399 €) intégralement reprise et sa dotation forfaitaire 2023 minorée de 320 337 €. La seconde mesure de périmètre est liée à la minoration pérenne de 1 605 451 € de la dotation de compensation du département du Pas-de-Calais en raison de la cessation des missions de promotion de la vaccination assurées dans le cadre de l’article 71 de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. Enfin, la DGF est majorée de 2 500 000 € afin d’abonder le fonds d’aide au relogement d’urgence (FARU). Le niveau des crédits de ce fonds, qui avait déjà été abondé en 2006, en 2018 et en 2021 par prélèvement sur la DGF, ne permettra plus de faire face aux subventions qui devraient être accordées en 2024. À périmètre courant, le montant nominal de la DGF augmente donc de 213 683 813 € par rapport à 2023. S’agissant des variables d’ajustement mentionnées au II du présent article, elles permettront en 2024 de neutraliser, en partie, les écarts constatés entre, d’une part, les crédits de la mission « Relations avec les collectivités territoriales » et les prélèvements sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales (hors FCTVA) tels qu’ils résultent du présent projet de loi de finances et, d’autre part, le niveau des crédits fixé pour ce même ensemble par la loi de finances pour 2023.. En 2024, le montant de la minoration atteint ainsi 67 M€. Ce montant est relativement stable par rapport aux lois de finances initiales (LFI) pour 2021, 2022 et 2023 (45 M€), et en diminution par rapport aux années précédentes, où il s’élevait à 120 M€ en LFI pour 2020, à 159 M€ en LFI pour 2019 et à 293 M€ en LFI pour 2018. Ce redéploiement de crédits au sein de l’enveloppe permet notamment de compenser le dynamisme des prélèvements sur les recettes de l’État et, en particulier, celui assurant la compensation d’exonérations fiscales. Au titre du gage en 2024, les parts communale, intercommunale, régionale et départementale de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), ainsi que le Fonds départemental de péréquation de la taxe professionnelle (FDPTP), font l’objet d’une minoration. Les autres variables d’ajustement sont maintenues à leur niveau antérieur. Le III du présent dispositif précise les modalités de minoration des variables d’ajustement pour 2024. Dans un souci d’équité, comme les années précédentes, la minoration des variables d’ajustement est effectuée au prorata des recettes réelles de fonctionnement de leurs bénéficiaires. |
ARTICLE 25 :
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Exposé des motifs
L’article 73 de la loi n° 2022-1726 du 30 décembre 2022 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 a modifié l’étendue du zonage de la taxe sur les logements vacants (TLV), perçue par l’État. Ce nouveau zonage intègrera au total 3 693 communes, contre 1 140 aujourd’hui. Il permet ainsi de répondre à la demande de nombreux acteurs du secteur pour lutter contre la rétention foncière. Du fait de leur intégration dans le zonage, les communes qui avaient institué la taxe d’habitation sur les locaux vacants en perdront le bénéfice, les logements concernés étant assujettis à la taxe sur les locaux vacants perçue par l’État. De même, les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre qui ont institué la taxe d’habitation sur les logements vacants (THLV) ne pourront plus la percevoir sur le territoire des communes qui rentreront dans le zonage. Les communes concernées pourront en revanche instituer la majoration de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires et autres locaux meublés non affectés à l’habitation principale. Toutefois, dans certaines situations, l’institution de la majoration de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires ne permettra pas de compenser la perte de la THLV. En outre, les EPCI concernés subiront une perte sèche. Le Gouvernement s’est donc engagé, comme lors de la dernière réforme du zonage de la TLV, à compenser intégralement la suppression de la THLV pour toutes les communes et les EPCI à fiscalité propre concernés par la modification du zonage. Le présent article prévoit, ainsi, la mise en place d’un prélèvement sur recettes d’un montant de 24,7 M€ correspondant au montant de la THLV perçue par les communes et les EPCI. |
ARTICLE 26 :
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Exposé des motifs
Le présent article prévoit l’exclusion du produit des amendes relatives aux infractions aux règles de circulation dans les zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ainsi que la rétrocession des recettes des amendes forfaitaires (dont les amendes majorées) générées au titre de ces ZFE-m par des systèmes de contrôle sanction automatisés aux collectivités locales mettant en place ces contrôles, ainsi qu’à l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (ANTAI) au titre des coûts de traitement des avis de contravention qu’elle supporte. La rétrocession du produit des amendes permet d’accompagner une mobilisation des collectivités territoriales pour le contrôle sanction automatisé, qui est essentielle pour le fonctionnement des zones à faibles émissions mobilité ainsi que pour le développement de mobilités moins polluantes. |
ARTICLE 27 :
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Intitulé du prélèvement |
Montant |
Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation globale de fonctionnement |
27 145 046 362 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation spéciale pour le logement des instituteurs |
4 753 232 |
Dotation de compensation des pertes de bases de la taxe professionnelle et de redevance des mines des communes et de leurs groupements |
30 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au profit du Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) |
7 104 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation d'exonérations relatives à la fiscalité locale |
664 114 745 |
Dotation élu local |
108 906 000 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de la collectivité territoriale de Corse |
42 946 742 |
Fonds de mobilisation départementale pour l'insertion |
431 738 376 |
Dotation départementale d'équipement des collèges |
326 317 000 |
Dotation régionale d'équipement scolaire |
661 186 000 |
Dotation globale de construction et d'équipement scolaire |
2 686 000 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (régions) |
447 129 770 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (départements) |
1 243 315 500 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (EPCI) |
890 110 332 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (communes) |
239 658 133 |
Dotation pour transferts de compensations d'exonérations de fiscalité directe locale |
378 003 970 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale percevant la taxe d'habitation sur les logements vacants |
4 000 000 |
Dotation de compensation liée au processus de départementalisation de Mayotte |
107 000 000 |
Fonds de compensation des nuisances aéroportuaires |
6 822 000 |
Dotation de garantie des reversements des fonds départementaux de taxe professionnelle |
272 278 000 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation des pertes de recettes liées au relèvement du seuil d'assujettissement des entreprises au versement transport |
48 020 650 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au profit de la collectivité territoriale de Guyane |
27 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au profit des régions au titre de la neutralisation financière de la réforme de l'apprentissage |
122 559 085 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation globale d'autonomie de la Polynésie française |
90 552 000 |
Soutien exceptionnel de l’Etat au profit des collectivités du bloc communal confrontées à des pertes de recettes fiscales et domaniales du fait de la crise sanitaire |
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Soutien exceptionnel de l’Etat au profit des régions d’outre-mer confrontées à des pertes de recettes d’octroi de mer et de taxe spéciale de consommation du fait de la crise sanitaire |
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Soutien exceptionnel de l'État au profit de la collectivité de Corse confrontée à certaines pertes de recettes fiscales spécifiques du fait de la crise sanitaire |
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Soutien exceptionnel de l'État au profit de St-Pierre-et-Miquelon, Saint-Martin, Saint-Barthélémy et Wallis-et-Futuna confrontées à certaines pertes de recettes fiscales spécifiques du fait de la crise sanitaire |
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Prélèvement sur les recettes de l'Etat au titre de la compensation de la réduction de 50% des valeurs locatives de TFPB et de CFE des locaux industriels |
4 016 619 586 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation des communes et EPCI contributeurs au fonds national de garantie individuelle des ressources (FNGIR) subissant une perte de base de cotisation foncière des entreprises |
3 000 000 |
Prélèvement exceptionnel sur les recettes de l’État de compensation du Fonds national de péréquation des droits de mutation à titre onéreux (DMTO) |
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Prélèvement sur les recettes de l’État au titre du soutien exceptionnel pour les communes et leurs groupements face à la croissance des prix de l’énergie et de la revalorisation du point d’indice de la fonction publique en 2022 |
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Prélèvement exceptionnel sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales et des groupements de communes qui procèdent à l’abandon ou à la renonciation définitive de loyers |
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Prélèvement sur les recettes de l’État au titre du soutien exceptionnel, au titre de l’année 2023, pour les collectivités territoriales face à la croissance des prix de l’énergie |
400 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’Etat au titre de la compensation de la réforme 2023 de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les EPCI percevant la taxe d’habitation sur les logements vacants |
24 700 000 |
Total |
44 842 463 483 |
Le présent article évalue les prélèvements sur les recettes (PSR) de l’État au profit des collectivités territoriales en 2024 à un montant de 44,8 Md€. À périmètre constant et hors mesures exceptionnelles (c’est-à-dire hors filets de sécurité institués par l’article 14 de la loi n° 2022-1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et par l’article 113 de la loi n° 2022-1726 de finances pour 2023), ils progressent de +783 M€ par rapport à la loi de finances pour l’année 2023. Cette évolution s’explique principalement par :
Enfin, l’exercice 2024 conduira au versement du solde des montants dus au titre du PSR de soutien exceptionnel des collectivités pour faire face à l’inflation au titre de l’exercice 2023. Compte tenu d’une bonne situation financière des collectivités dans leur ensemble en 2022 et d’une inflation énergétique moindre qu’attendue en 2023, les décaissements prévisionnels sont évalués à 400 M€. |
ARTICLE 28 :
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A. – Impositions de toutes natures |
B. - Bénéficiaire actuel |
C. - Nouveau bénéficiaire éventuel |
D. - Rendement prévisionnel total N+1 |
Contribution spécifique pour le développement de la formation professionnelle initiale et continue dans les métiers des professions du bâtiment et des travaux publics. |
3CABTP et OPCO Constructys |
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131 500 000 |
Contributions pour frais de contrôle |
ACPR - Autorité de contrôle prudentiel et de résolution |
Banque de France |
232 129 000 |
Participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) |
Action Logement Services |
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1 996 000 000 |
Fraction affectée du produit du relèvement du tarif de taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) sur le carburant gazole |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
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2 090 357 000 |
Taxe de solidarité sur les billets d’avion |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
|
252 000 000 |
Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
|
751 000 000 |
Taxe sur l’exploitation des infrastructures de transport de longue distance |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
|
600 000 000 |
Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers |
AFT - Association pour le développement de la formation professionnelle dans les transports |
|
63 426 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des " 50 pas géométriques " de Guadeloupe |
|
997 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des " 50 pas géométriques " de Martinique |
|
975 000 |
Redevance pour obstacle sur les cours d’eau, redevance pour stockage d’eau en période d’étiage, redevance pour la protection du milieu aquatique, redevance pour pollutions diffuses, redevances pour prélèvement sur la ressource en eau, redevances pour pollution de l’eau, redevances pour modernisation des réseaux de collecte, redevances cynégétiques, droit de validation du permis de chasse |
Agences de l’eau |
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2 347 620 000 |
Contribution patronale au dialogue social (0,016 %) |
AGFPN - Association de Gestion du Fonds Paritaire National – AGFPN |
|
98 045 343 |
Fraction des produits annuels de la vente de biens confisqués |
AGRASC |
|
100 000 000 |
Contribution des employeurs à l’association pour la gestion du régime d’assurance des créances des salariés (AGS) |
AGS - Association pour la gestion du régime d’assurance des créances des salariés |
|
907 395 885 |
Droits et contributions pour frais de contrôle |
AMF - Autorité des marchés financiers |
|
132 389 000 |
Recettes issues de la mise aux enchères des « quotas carbone » |
ANAH - Agence nationale de l’habitat |
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2 400 000 000 |
Cotisation versée par les organismes HLM |
ANCOLS - Agence nationale de contrôle du logement social |
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11 334 000 |
Prélèvement sur la participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) |
ANCOLS - Agence nationale de contrôle du logement social |
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6 450 000 |
Contribution spéciale pour la gestion des déchets radioactifs - Conception |
ANDRA - Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs |
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80 700 000 |
Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base - Recherche |
ANDRA - Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs |
|
65 072 400 |
Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle |
ANFA - Association nationale pour la formation automobile |
|
33 817 000 |
Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion de manifestations ou de compétitions sportives |
ANS - Agence nationale du sport |
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59 665 398 |
Prélèvement sur les jeux exploités par la FdJ hors paris sportifs |
ANS - Agence nationale du sport |
|
246 087 951 |
Prélèvement sur les paris sportifs en ligne de la FdJ et des nouveaux opérateurs agréés |
ANS - Agence nationale du sport |
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181 700 607 |
Taxe annuelle portant sur les autorisations de médicaments vétérinaires et les autorisations d’établissements pharmaceutiques vétérinaires |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
4 000 000 |
Taxe annuelle sur la vente des produits phytopharmaceutiques |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
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4 179 000 |
Taxe liée aux dossiers de demande concernant les médicaments vétérinaires ou leur publicité |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
4 300 000 |
Taxe relative à la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et de leurs adjuvants, des matières fertilisantes et de leurs adjuvants et des supports de culture |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
8 700 000 |
Fraction des Prélèvements sociaux sur les jeux prévus aux art. L. 137-20 à L. 137-22 du Code de la sécurité sociale |
ANSP - Agence nationale de santé publique |
|
5 000 000 |
Droit de timbre pour la délivrance du permis de conduire en cas de perte ou de vol |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
8 780 000 |
Fraction des droits de timbre sur les cartes nationales d’identité |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
23 920 000 |
Fraction des droits de timbre sur les passeports sécurisés |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
463 660 000 |
Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
42 000 000 |
Taxe sur les titres de séjour et de voyage électroniques |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
20 900 000 |
Taxe sur les exploitants de plateformes de mises en relation par voie électronique en vue de fournir certaines prestations de transport |
ARPE - Autorité des relations sociales des plateformes d’emploi |
|
2 000 000 |
Indemnité de défrichement |
ASP - Agence de services et de paiement |
|
3 000 000 |
Taxe sur la cession à titre onéreux des terrains nus ou des droits relatifs à des terrains nus rendus constructibles du fait de leur classement |
ASP - Agence de services et de paiement |
|
24 000 000 |
Contribution annuelle au fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH) |
Association de gestion du fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (AGEFIPH) |
|
460 000 000 |
Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien du théâtre privé |
Association pour le soutien du théâtre privé |
|
8 000 000 |
Solde de la taxe d’apprentissage après prise en compte des versements directs des entreprises mentionnés au II de l’article L. 6241-2 |
Caisse des dépôts et des consignations |
|
541 780 000 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) |
CELRL - Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres |
|
40 000 000 |
Cotisation obligatoire |
Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) |
|
416 500 047 |
Taxe pour le développement des industries de fabrication du papier, du carton et de la pâte de cellulose. |
Centre technique de l’industrie des papiers, cartons et celluloses |
|
2 346 000 |
Taxe affectée au financement d’un nouveau Centre Technique Industriel de la plasturgie et des composites |
Centres techniques industriels de la plasturgie et des composites |
|
6 400 000 |
Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM |
CGLLS - Caisse de garantie du logement locatif social |
|
272 800 000 |
Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM |
CGLLS - Caisse de garantie du logement locatif social |
|
55 000 000 |
TA-CFE - fraction CCI-R de la Taxe additionnelle à la cotisation foncière des entreprises pour frais de chambres de commerce et d’industrie de région |
Chambres de commerce et d’industrie de région (CCI-R) |
|
280 000 000 |
TA-CVAE - Taxe additionnelle à la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises pour frais de chambres de commerce et d’industrie de région |
Chambres de commerce et d’industrie de région (CCI-R) |
|
296 000 000 |
Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture (TCA-TFPNB) |
Chambres départementales d’agriculture |
|
300 800 000 |
Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
10 600 000 |
Taxe sur les ventes et les locations de vidéogrammes destinés à l’usage privé du public (taxe vidéo et VOD) |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
131 243 000 |
TSA - Taxe sur le prix des entrées aux séances organisées par les exploitants d’établissements de spectacles cinématographiques |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
152 938 000 |
TST - Taxe sur les éditeurs et distributeurs de services de télévision - Fraction Distributeurs |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
203 780 000 |
TST - Taxe sur les éditeurs et distributeurs de services de télévision - Fraction Éditeurs |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
258 315 000 |
Taxe sur les spectacles de variétés |
CNM - Centre national de la musique |
|
35 000 000 |
Taxe pour le développement des industries de l’habillement |
Comité de développement et de promotion de l’habillement - DEFI |
|
11 000 000 |
Cotisation obligatoire |
Comité de gestion des œuvres sociales des personnels hospitaliers (CGOS) |
|
490 000 000 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Comité national des pêches maritimes et des élevages marins |
|
Non chiffrable |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Comités régionaux des pêches maritimes et des élevages marins |
|
Non chiffrable |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Comités départementaux et interdépartementaux des pêches maritimes et des élevages marins |
Comités régionaux des pêches maritimes et des élevages marins |
Non chiffrable |
Rémunération pour services rendus au comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers |
Comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers |
|
420 000 000 |
TA-CFE - fraction CRMA de la Taxe additionnelle à la cotisation foncière des entreprises pour frais de chambre régionale de métiers et d’artisanat |
CRMA (incl. Alsace et Moselle) |
|
236 748 000 |
Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure |
CTC - Comité professionnel de développement Cuir, Chaussure, Maroquinerie |
|
16 500 000 |
Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles (CTCPA) |
CTCPA - Centre technique de la conservation des produits agricoles |
|
2 750 000 |
Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques |
CTI de l’Industrie : CT des indus. mécaniques (CETIM), CT de l’industrie du décolletage (CTDEC), CTI de la construction métallique (CTICM), CT des indus. aérauliques et thermiques (CETIAT), et Institut de Soudure |
|
96 715 378 |
Taxe sur les produits de la fonderie |
CTI de l’Industrie : CT des indus. mécaniques (CETIM), CT de l’industrie du décolletage (CTDEC), CTI de la construction métallique (CTICM), CT des indus. aérauliques et thermiques (CETIAT), et Institut de Soudure |
|
5 450 000 |
Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois |
CTI de la filière Bois - Comité professionnel de développement des industries françaises de l’ameublement et du bois (CODIFAB); Institut technologique FCBA (Filière cellulose, bois, ameublement); Centre technique de la mécanique (CETIM) |
|
15 100 000 |
Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction |
CTI des matériaux : Centre d’étude et de recherche de l’industrie du béton (CERIB) ; Centre technique de matériaux naturels de construction (CTMNC) |
|
13 079 542 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier et d’aménagement de Guyane |
|
3 938 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier d’Occitanie |
|
31 596 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Bretagne |
|
7 838 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Grand-Est |
|
11 031 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de l’Ouest Rhône-Alpes |
|
19 807 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier d’Île-de-France |
|
139 136 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier et d’aménagement de Mayotte |
|
2 307 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Normandie |
|
10 151 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Nouvelle-Aquitaine |
|
23 242 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Provence-Alpes-Côte d’Azur |
|
38 259 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Vendée |
|
2 970 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier des Hauts de France |
|
23 214 000 |
Contribution vie étudiante et campus |
Établissements publics d’enseignement supérieur, établissements mentionnés aux articles L. 443-1 et L. 753-1 du code de l’éducation ou à l’article L. 1431-1 du code général des collectivités territoriales dispensant des formations initiales d’enseignement supérieur, établissements d’enseignement supérieur privés d’intérêt général et centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires |
|
170 200 000 |
Quote-part des intérêts servis par la Caisse des dépôts et consignations sur les fonds déposés en application des articles L. 622-18, L. 626-25 et L. 641-8 du code de commerce |
FFDI - Fonds de financement des dossiers impécunieux |
|
Non chiffrable |
Contribution des assurés |
FGAO - Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages |
|
106 900 000 |
Prélèvement sur les contrats d’assurance de biens |
FGTI - Fonds de garantie des victimes d’actes terroristes et autres infractions |
|
598 300 000 |
Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM |
FNAVDL - Fonds national d’accompagnement vers et dans le logement |
État |
15 000 000 |
Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France |
FNAL - Fonds national d’aide au logement |
|
66 200 000 |
Cotisation des employeurs |
FNAL - Fonds national d’aide au logement |
|
3 008 000 000 |
Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance |
FNGRA - Fonds national de gestion des risques en agriculture |
|
120 000 000 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) |
Filière de responsabilité élargie du producteur (REP) relative aux navires de plaisance et de sport hors d’usage (NPSHU) |
|
900 000 |
Fraction du prélèvement sur les jeux de loterie correspondant aux jeux dédiés au patrimoine |
Fondation du patrimoine |
|
27 000 000 |
Droit affecté au fonds d’indemnisation de la profession d’avoués près les cours d’appel |
Fonds d’indemnisation de la profession d’avoués près les cours d’appel |
|
26 983 448 |
Contribution conventionnelle à la formation pour les entreprises de travail temporaire |
Fonds pour l’emploi du travail temporaire |
|
64 180 000 |
Contribution spécifique à la formation professionnelle pour Saint-Pierre et Miquelon |
France compétences |
|
329 553 |
Contribution supplémentaire à l’apprentissage |
France compétences |
|
190 250 267 |
Contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance |
France compétences |
|
10 462 259 708 |
PEFPC : CPF CDD (ex-CIF-CDD) : 1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche |
France compétences |
|
329 417 600 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des intermittents correspondant au minimum à 2 % des rémunérations versées |
France compétences |
|
66 822 845 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,25 % du montant annuel du plafond de la sécurité sociale |
France compétences |
|
231 271 297 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (artisans) correspondant à 0,29 % du montant annuel du plafond de la sécurité sociale, dont micro entrepreneurs |
France compétences |
|
85 000 000 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Artistes auteurs) correspondant au minimum à 0,1 % au du montant annuel du plafond de la SS |
France compétences |
|
15 532 187 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Entreprises du Vivant, agriculture) correspondant à 0,30 % des revenus professionnels ou de l’assiette forfaitaire déterminés à l’article L. 731-16 du code rural et de la pêche maritime |
France compétences |
|
63 412 007 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Particuliers employeurs) correspondant au minimum à 0,15 % au du montant annuel du plafond de la SS |
France compétences |
|
26 039 861 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Pêche et culture) correspondant au minimum à 0,15 % au du montant annuel du plafond de la SS |
France compétences |
|
618 527 |
Redevances sur les paris hippiques |
France Galop et la société d’encouragement à l’élevage du cheval français (SECF) |
|
74 057 800 |
Certificats sanitaires et phytosanitaires |
FranceAgriMer |
|
Non chiffrable |
Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table |
Francéclat |
|
12 700 000 |
Taxe de solidarité sur les billets d’avion |
FSD - Fonds de solidarité pour le développement géré par l’Agence française de développement (AFD) - suivi MAED |
|
210 000 000 |
Taxe sur les transactions financières - fraction affectée de la ressource État |
FSD - Fonds de solidarité pour le développement géré par l’Agence française de développement (AFD) - suivi MAED |
|
277 000 000 |
Taxe sur les transactions financières - fraction affectée de la ressource État |
FSD - Fonds de solidarité pour le développement géré par l’Agence française de développement (AFD) - suivi MEF |
|
251 000 000 |
Contribution sociale généralisée (CSG) |
Fonds de solidarité vieillesse (FSV) |
|
19 554 000 000 |
TA-TINB - Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « Accompagnement » |
Groupements d’intérêt public « Objectif Meuse » et « Haute-Marne » et Communes concernées |
|
Non chiffrable |
Contribution annuelle acquittée par les personnes inscrites comme commissaires aux comptes, et droit fixe sur chaque rapport de certification des comptes, et contribution de la compagnie nationale des commissaires aux comptes |
H3C - Haut conseil du commissariat aux comptes |
|
15 980 000 |
Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée (INAO) |
INAO - Institut national de l’origine et de la qualité |
|
6 100 000 |
Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes |
INPI - Institut national de la propriété industrielle |
|
170 000 000 |
Contribution annuelle au profit de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire |
IRSN - Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire |
|
61 087 750 |
Taxe affectée au financement de l’institut des corps gras |
ITERG - Institut des corps gras |
|
650 000 |
Droit d’examen du permis de chasse |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
600 000 |
Redevance pour délivrance initiale du permis de chasse |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
900 000 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
Non chiffrable |
Redevance perçue à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France |
OFII - Office français de l’immigration et de l’intégration |
|
Non chiffrable |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) |
Organismes de secours et de sauvetage en mer agréés (art. L742-9 code de la sécurité intérieure) |
|
4 000 000 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) – Fraction perçue sur les engins ne battant pas pavillon français |
Organismes de secours et de sauvetage en mer agréés (art. L742-9 code de la sécurité intérieure) |
|
160 000 |
Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés |
Personne publique assurant la gestion de l’espace naturel protégé concerné ou la commune d’implantation de l’espace naturel protégé |
|
3 600 000 |
Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP - IFER-STIF RATP |
SGP - Société du Grand Paris |
|
82 223 671 |
Taxe additionnelle régionale de 15 % à la taxe de séjour IDF |
SGP - Société du Grand Paris |
|
10 000 000 |
Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France |
SGP - Société du Grand Paris |
|
658 121 192 |
Taxe spéciale d’équipement au profit de l’établissement public Société du Grand Paris |
SGP - Société du Grand Paris |
|
67 079 589 |
Taxe sur les surfaces de stationnement |
SGP - Société du Grand Paris |
|
28 231 940 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Société nationale de sauvetage en mer |
|
Non chiffrable |
Cotisation BTP intempéries |
UCF CIBTP - Union des caisses de France |
|
128 325 577 |
Contribution sociale généralisée (CSG) |
UNEDIC |
|
17 800 000 000 |
Redevance hydraulique |
VNF - Voies navigables de France |
|
136 500 000 |
A. – Imposition de toutes natures ou ressource affectée |
B. – Bénéficiaire |
C. – Plafond (en euros) |
Articles L. 312-1 et suivants du code des impositions sur les biens et les services (création) et article L. 1512-20 code des transports (affectation) |
Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) |
2 090 357 000 |
2° de l’article L. 422-20 et article L. 422-22 du code des impositions sur les biens et les services (création) et article L. 1512-20 code des transports (affectation) |
AFITF |
252 000 000 |
Article L. 421-175 du code des impositions sur les biens et les services (création) et article L. 1512-20 code des transports (affectation) |
AFITF |
566 667 000 |
Articles L. 425-1 (création) et L. 425-20 (affectation) du code des impositions sur les biens et les services |
AFITF |
600 000 000 |
Article 1609 C du code général des impôts |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des cinquante pas géométriques en Guadeloupe |
997 000 |
Article 1609 D du code général des impôts |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des cinquante pas géométriques en Martinique |
975 000 |
Articles L. 213-10 et suivants du code de l’environnement, articles L. 423-19 et L. 423-20 du code de l’environnement et article 1635 bis N du code général des impôts |
Agences de l’eau |
2 347 620 000 |
Article 706-163 du code de procédure pénale |
Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC) |
|
Articles L. 621-5-3 et L. 621-5-4 du code monétaire et financier |
Autorité des marchés financiers (AMF) |
121 000 000 |
Article 43 de la loi n° 2012-1509 du 29 décembre 2012 de finances pour 2013 |
Agence nationale de l’habitat (ANAH) |
700 000 000 |
Article L. 313-3 du code de la construction et de l’habitation (création) et 1° de l’article L. 342-21 du code de la construction et de l’habitation (affectation) |
Agence nationale de contrôle du logement social (ANCOLS) |
6 450 000 |
2° de l’article L. 342-21 du code de la construction et de l’habitation |
ANCOLS |
11 334 000 |
V de l’article 43 de la loi de finances pour 2000 (n° 99-1172 du 30 décembre 1999) |
Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) |
|
Article 302 bis ZE du code général des impôts (création) et article 59 de la loi de finances pour 2000 (n° 99-1172 du 30 décembre 1999) (affectation) |
Agence nationale du sport chargée de la haute performance sportive et du développement de l’accès à la pratique sportive (ANS) |
59 665 000 |
Premier alinéa de l’article 1609 novovicies du code général des impôts |
ANS |
71 844 000 |
Article 1609 tricies du code général des impôts |
ANS |
34 600 000 |
II de l’article L. 5141-8 du code de la santé publique |
Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) |
4 500 000 |
Article L. 253-8-2 du code rural et de la pêche maritime |
ANSES |
4 200 000 |
I de l’article L. 5141-8 du code de la santé publique |
ANSES |
4 000 000 |
Article 130 de la loi n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 de finances pour 2007 |
ANSES |
15 000 000 |
Article L. 137-24 du code de la sécurité sociale |
Agence nationale de santé publique (ANSP) |
5 000 000 |
Articles L. 421-168 et suivants du code des impositions sur les biens et les services |
Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) |
7 000 000 |
Article 46-1 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 (article 1628 bis du code général des impôts) |
ANTS |
12 000 000 |
Article 46-1 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 (I de l’article 953 du code général des impôts) |
ANTS |
217 043 000 |
VI de l’article 135 de la loi n° 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009 |
ANTS |
36 200 000 |
Article 46-1 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 (IV de l’article 953 du code général des impôts et article L. 436-7 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile) |
ANTS |
14 490 000 |
Article 300 bis du code général des impôts |
Autorité des relations sociales des plateformes d’emploi (ARPE) |
2 000 000 |
Article L. 341-6 du code forestier |
Agence de services et de paiement (ASP) |
2 000 000 |
Article 1605 nonies du code général des impôts |
ASP |
12 000 000 |
Article 77 de la loi de finances rectificative pour 2003 (n° 2003-1312 du 30 décembre 2003) |
Association pour le soutien du théâtre privé |
8 000 000 |
Article L. 612-20 du code monétaire et financier |
Banque de France |
220 000 000 |
Article L. 423-4 du code des impositions sur les biens et les services et article L. 322-15 du code de l’environnement |
Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres (CELRL) |
40 000 000 |
II de l’article 1600 du code général des impôts |
CCI France |
255 000 000 |
2 du III de l’article 1600 du code général des impôts |
CCI France |
245 117 000 |
Article 1604 du code général des impôts |
Chambres d’agriculture |
300 800 000 |
Article 76 de la loi de finances rectificative pour 2003 (n° 2003-1312 du 30 décembre 2003) |
Centre national de la musique (CNM) |
50 000 000 |
Article 1601 du code général des impôts et article 3 de la loi n° 48-977 du 16 juin 1948 relative à la taxe pour frais de chambre de métiers applicable dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle |
Chambres de métiers et de l’artisanat |
167 149 000 |
Article 72 de la loi de finances rectificative pour 2003 (n° 2003-1312 du 30 décembre 2003) |
Centre technique de la conservation des produits agricoles (CTCPA) |
2 900 000 |
Article 1609 B du code général des impôts |
Établissement public foncier et d’aménagement de Guyane |
3 938 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier d’Occitanie |
31 596 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Bretagne |
7 838 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Grand-Est |
11 031 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de l’Ouest Rhône-Alpes |
19 807 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier d’Île-de-France |
139 136 000 |
Article 1609 B du code général des impôts |
Établissement public foncier et d’aménagement de Mayotte |
2 307 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Normandie |
10 151 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Nouvelle-Aquitaine |
23 242 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Provence-Alpes-Côte d’Azur |
38 259 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Vendée |
2 970 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier Hauts-de-France |
23 214 000 |
Article L. 841-5 du code de l’éducation |
Établissements mentionnés au I de l’article L. 841-5 du code de l’éducation |
177 000 000 |
1° du A du XI de l’article 36 de la loi n° 2016-1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017 |
Fonds national d’aide au logement (FNAL) |
66 200 000 |
Article L. 361-2 du code rural et de la pêche maritime. |
Fonds national de gestion des risques en agriculture (FNGRA) |
120 000 000 |
Article L. 6131-2 du code du travail |
France compétences |
10 500 000 000 |
2° de l’article L. 6331-48 du code du travail |
France compétences |
85 000 000 |
Article L. 236-2 du code rural et de la pêche maritime |
FranceAgriMer |
2 000 000 |
2° de l’article L. 422-20 et article L. 422-22 du code des impositions sur les biens et les services (création) et troisième alinéa du I de l’article 22 de la loi n° 2005-1720 du 30 décembre 2005 de finances rectificative pour 2005 (affectation) |
Fonds de solidarité pour le développement (FSD) |
210 000 000 |
Article 235 ter ZD du code général des impôts (création) et I de l’article 22 de la loi n° 2005-1720 du 30 décembre 2005 de finances rectificative pour 2005 (affectation) |
FSD |
528 000 000 |
Article L. 821-5 du code de commerce |
Haut Conseil du commissariat aux comptes |
19 400 000 |
Article L. 642-13 du code rural et de la pêche maritime |
Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) |
7 500 000 |
Premier alinéa de l’article L. 411-2 du code de la propriété intellectuelle |
Institut national de la propriété industrielle (INPI) |
94 000 000 |
Article 96 de la loi n° 2010-1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificative pour 2010 |
Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire |
61 100 000 |
Articles L. 423-5 et L. 423-37 du code des impositions sur les biens et les services, article L. 742-11-2, 1° du code de la sécurité intérieure |
Organismes mentionnés à l’article L. 742-9 du code de la sécurité intérieure |
4 000 000 |
Articles L. 423-5 et L. 423-37 du code des impositions sur les biens et les services, article L. 742-11-2, 2° du code de la sécurité intérieure |
Organismes mentionnés à l’article L. 742-9 du code de la sécurité intérieure |
4 000 000 |
Article L. 422-49 du code des impositions sur les biens et les services (création) et article L. 422-57 du code des impositions sur les biens et les services (affectation) |
Personnes publiques ou privées exploitant des aérodromes |
55 000 000 |
Article 1599 quater A bis du code général des impôts |
Société du Grand Paris (SGP) |
84 000 000 |
Article L. 2531-17 du code général des collectivités territoriales |
SGP |
15 000 000 |
Article 231 ter du code général des impôts (création) et 2° du A du XI de l’article 36 de la loi n° 2016-1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017 (affectation) |
SGP |
676 000 000 |
Article 1609 G du code général des impôts |
SGP |
67 100 000 |
Article 1599 quater C du code général des impôts |
SGP |
30 000 000 |
1° de l’article L. 4316-1 du code des transports |
Voies navigables de France (VNF) |
136 500 000 |
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet d’assurer le contrôle et le suivi des ressources publiques affectées à des personnes morales distinctes de l’État. En effet, de nombreux opérateurs de l’État et organismes chargés de missions de service public sont financés, partiellement ou intégralement, par des impositions de toutes natures qui leur ont été directement affectées en application des articles 2 et 36 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF). Pour ce faire, le présent article :
Après prise en compte des dispositions du présent article, le total des ressources affectées plafonnées s’établit pour 2024 à 21,8 Md€. Dans le cadre du budget 2024, les ressources affectées et plafonnées augmentent de 1 590 M€. Cette modulation découle :
L’article comporte des dispositions de coordination, modifiant notamment certaines dispositions de l’article 46 de la LFI pour 2012, afin de tenir compte de la présentation du plafonnement annuel des ressources affectées sous forme de tableau consolidé. L’article modifie également les dispositions affectant une fraction de taxe spéciale sur les conventions d’assurance (TSCA) à la ville de Marseille, en application de l’article 53 de la loi n° 2004-1484 du 30 décembre 2004 de finances pour 2005. En effet, une part du produit de la TSCA est affectée depuis 2005 aux départements en contrepartie d’une diminution équivalente de leur dotation globale de fonctionnement (DGF), imputée plus particulièrement sur la dotation de compensation. Après la loi n° 96-369 du 3 mai 1996 relative aux services d’incendie et de secours, qui a acté la départementalisation progressive des services d’incendie et de secours (SIS), ce dispositif visait à conforter les ressources des départements par le caractère fortement dynamique de cet impôt national, peu sensible aux fluctuations de la conjoncture économique. Par la loi n° 2006-1771 du 30 décembre 2006 de finances rectificative pour 2006, le législateur a modifié l’article 53 susmentionné pour attribuer à la ville de Marseille une part du produit de la TSCA afin de contribuer au financement des charges particulières exposées au titre du bataillon des marins pompiers de la ville, à l’instar de l’effort qui est fait par l’État en faveur des départements pour le financement des SDIS. Cette part, fixée à 10 M€ en 2006, n’a pas été augmentée depuis alors que le produit de la fraction attribuée aux départements pour le financement des SDIS a connu une forte progression (plus de 40 % entre 2007 et 2022). Le projet relève donc cette part à 15 M€ et prévoit les modalités de sa réévaluation annuelle. Les dispositions relatives aux agences de l’eau visent à relever le plafond du montant des taxes qui leur sont affectées en 2024 et à partir de 2025, à modifier la répartition de ces recettes entre agences. Elles permettent également de rehausser la contribution des agences de l’eau à l’Office français de la biodiversité (OFB), ainsi que la contribution de l’OFB aux parcs nationaux. Enfin, la suppression du plafond de dépenses des agences, présentée dans le plan eau du 30 mars 2023, sera effective en 2025. Enfin, la loi organique n° 2021-1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a renforcé les règles organiques applicables aux affectations d’impositions de toutes natures de la LOLF. L’article 2 de la LOLF modifiée introduit de nouveaux critères : le tiers affectataire doit désormais être doté de la personnalité morale et il doit exister un lien entre sa mission de service public et l’imposition qui lui est affectée. Ces dispositions entreront en vigueur à compter du dépôt du projet de loi de finances pour 2025. À cet effet, est mise en œuvre la suppression de l’affectation d’une imposition de toute nature au fonds national d’accompagnement vers et dans le logement (FNAVDL) qui n’a pas la personnalité morale. D’autre part, des modifications de bénéficiaires d’affectation d’impositions de toutes natures sont également opérées : la taxe actuellement affectée aux comités départementaux de pêche est transférée aux comités régionaux exerçant une mission de service public et la contribution pour frais de contrôle actuellement affectée à l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), qui n’a pas la personnalité morale, est affectée à la Banque de France à laquelle elle est adossée. |
ARTICLE 29 :
|
Exposé des motifs
Dans le cadre des conclusions du Conseil national de la refondation Logement en juin 2023, l’État s’est engagé à maintenir en 2024 le niveau des contributions versées à la Caisse de garantie du logement locatif social (CGLLS) par les bailleurs sociaux afin de financer le Fonds national des aides à la pierre (FNAP) à un montant de 75 M€. Le présent article reconduit pour 2024 la réduction du montant des cotisations CGLLS des bailleurs affectées au FNAP, ainsi que la modification du dispositif de modulation des cotisations, afin de les réduire d’un montant de 300 M€. Par ailleurs, par le décret n° 2023-125 du 21 février 2023, l’État a modifié la règle de programmation et de financement des nouvelles opérations et actions visant le développement, l’amélioration et la démolition du parc de logements locatifs sociaux présente à l’article R. 435-3 du code de la construction et de l’habitation. Jusqu’en 2022, les ressources que le FNAP versait à l’État devaient égaler le montant des nouvelles opérations engagées, indépendamment de l’avancement matériel des opérations, engendrant pour le budget de l’État un nombre important de crédits non utilisés, annulés ou reportés d’une année sur l’autre, ce qui n’est plus le cas actuellement. La modification de cette règle de programmation permet de revoir à la baisse les besoins de financement des bailleurs sociaux au FNAP, tout en maintenant des objectifs ambitieux de production de logements locatifs sociaux en France métropolitaine. Elle nécessite toutefois une vigilance accrue sur la soutenabilité financière des engagements du fonds. Enfin, le projet d’article propose une simplification administrative en supprimant le contreseing du ministre de l’économie et des finances sur l’arrêté précisant les dates d’ouverture des campagnes de déclaration et de paiement des cotisations à la CGLLS. |
ARTICLE 30 :
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Exposé des motifs
L’article 16 de la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances dispose que « Certaines recettes peuvent être directement affectées à certaines dépenses. Ces affectations prennent la forme de budgets annexes, de comptes spéciaux ou de procédures comptables particulières au sein du budget général, d’un budget annexe ou d’un compte spécial. » Le 3° du I de l’article 34 de la même loi organique prévoit que la loi de finances de l’année comporte « toutes dispositions relatives aux affectations de recettes au sein du budget de l’État ». En conséquence, l’objet de cet article est de confirmer pour 2024 les affectations résultant des lois de finances antérieures, sous réserve des dispositions de la présente loi. |
Exposé des motifs
Le présent article fixe la fraction du produit de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) affectée aux recettes du compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » au titre de l’année 2024, en application de la loi n° 2022-1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 (LFR 1 pour 2022) qui a supprimé la contribution à l’audiovisuel public, remplacée comme ressource du compte de concours financiers par l’affectation d’une fraction de TVA. Il est proposé d’affecter pour 2024 une fraction de TVA de 4 025,2 M€ aux recettes du compte de concours financiers, montant correspondant au niveau des dépenses portées par ce compte de concours financiers en faveur des entités de l’audiovisuel public. Ce niveau est en augmentation de +209 M€ par rapport au montant prévu en loi de finances initiale pour 2023. Le montant de TVA affectée comprend notamment la compensation des effets fiscaux induits par la suppression de la contribution à l’audiovisuel public par la LFR 1 pour 2022. Cet article tire également les conséquences de la création d’une enveloppe additionnelle de 200 M€ sur trois ans, dont 69 M€ dès 2024, au profit des projets de modernisation et de transformation mis en œuvre par les entités de l’audiovisuel public. Cette enveloppe est inscrite au sein d’un nouveau programme budgétaire du compte de concours financiers. Ces projets seront décrits dans les contrats d’objectifs et de moyens (COM) en cours de rédaction pour la période 2024-2028, qui seront présentés aux instances des organismes concernés en fin d’année 2023, avant saisine pour avis début 2024 de l’Arcom et des commissions parlementaires compétentes. L’article prévoit qu’en cas de non mise en œuvre des engagements spécifiques prévus par les COM des projets de transformation, des remboursements sont opérés par les sociétés sur les versements antérieurs et le niveau des versements aux sociétés peut être réduit. |
ARTICLE 32 :
|
Exposé des motifs
Le présent article ajuste la fraction de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) affectée à la sécurité sociale afin de garantir la neutralité financière de plusieurs mouvements entre l’État et la sécurité sociale en 2024. La fraction de TVA affectée à la sécurité sociale s’élève ainsi à 28,57 % pour 2024, correspondant à un montant prévisionnel d’environ 62,8 Md€. Cette fraction intègre une mesure de compensation du rendement du régime de la fonction publique d’État (FPE) à la branche vieillesse, en lien avec la réforme des retraites adoptée en loi n° 2023-270 du 14 avril 2023 de financement rectificative de la sécurité sociale (LFRSS) pour 2023. Ces gains, liés au volet paramétrique de la réforme des retraites sont estimés à 194 M€ pour 2024 mais pourront faire l’objet d’une clause de revoyure, notamment eu égard à la dégradation de la situation budgétaire du régime de la FPE dans les années à venir. La fraction de TVA affectée à la sécurité sociale pour 2024 intègre également des mesures de périmètre de l’ordre de 0,5 M€ :
Cette fraction est toutefois minorée d’un montant de 2,5 Md€ afin de traduire, pour 2024, la reprise de 2,5 Md€ d’excédents de l’Unédic. Cette reprise est due à la situation excédentaire du régime d’assurance chômage dès 2022 et pour les années suivantes, liée à la politique de baisse du coût du travail dont procèdent les allègements généraux instaurés en 2019, ainsi qu’aux réformes contracycliques du régime mises en place depuis 2021 concernant notamment le mode de calcul et la durée de l’allocation d’aide au retour de l’emploi. Ainsi, l’ensemble de ces politiques et réformes ont permis une amélioration du marché de l’emploi, avec 1,7 million de création d’emplois en six ans. La réaffectation des excédents de l’Unédic vers le budget général de l’État a vocation à permettre le financement de politiques en faveur du développement des compétences et de l’accès à l’emploi. |
ARTICLE 33 :
|
Exposé des motifs
Pour 2024, la contribution de la France au budget de l’Union européenne est évaluée à 21 610 M€. Cette contribution prend la forme d’un prélèvement sur les recettes de l’État (PSR). Le budget de l’Union est financé par quatre types de ressources : les ressources propres dites traditionnelles (droits de douane), collectées par les États membres pour le compte de l’Union ; une ressource assise sur une assiette de TVA harmonisée ; une contribution assise sur la part d’emballages plastiques non recyclés, introduite dans le cadre de la nouvelle programmation 2021-2027 ; et enfin une ressource, qualifiée d’équilibre, fonction du revenu national brut (RNB) de chaque État membre. Le budget européen pour 2024 est le quatrième du cadre financier pluriannuel (CFP) portant sur les années 2021 à 2027. Ce cadre prévoit un plafond global de dépenses de 1 216 Md€ courants en crédits d’engagement sur sept ans. Ce montant est revu annuellement en fonction des prévisions de paiement de la Commission européenne et sous l’effet des rehaussements d’engagement introduits par l’article 5 du règlement CFP. Le PSR-UE est évalué en fonction des prévisions de recettes et de dépenses du budget de l’Union européenne pour 2024, de prévisions de recettes issues du comité consultatif sur les ressources propres de mai 2023 ainsi que d’une hypothèse de solde 2023 reporté sur 2024. S’agissant des dépenses, l’estimation repose sur une prévision de dépenses du budget de l’Union européenne pour 2024, fondée notamment sur le niveau de crédits de paiement inscrits dans le projet de budget 2024 présenté par la Commission le 7 juin 2023. S’agissant des recettes, les montants des ressources assises sur la TVA, le revenu national brut et les déchets plastiques non recyclés, reposent sur les données prévisionnelles de la Commission européenne issues du comité consultatif des ressources propres de mai 2023. Les différents mécanismes de corrections, qu’il s’agisse de ceux introduits pour la ressource plastique ou des corrections forfaitaires sur les contributions de l’Autriche, de l’Allemagne, du Danemark, des Pays-Bas et de la Suède, sont intégrés à l’estimation. Celle-ci intègre enfin l’hypothèse que le Royaume-Uni s’acquittera de ses obligations financières, ainsi que le prévoit l’accord de retrait entré en vigueur le 31 janvier 2020. |
ARTICLE 34 :
|
(en millions d'euros*) |
RESSOURCES dont fonctionnement dont investissement |
CHARGES dont fonctionnement dont investissement |
SOLDE |
||||
Budget général |
|
|
|
|
|
|
|
Recettes fiscales** / dépenses*** |
349 424 |
349 424 |
|
445 129 |
415 801 |
29 328 |
|
Recettes non fiscales |
22 633 |
18 343 |
4 290 |
|
|
|
|
Recettes totales / dépenses totales |
372 058 |
367 768 |
4 290 |
445 129 |
415 801 |
29 328 |
|
À déduire : Prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l'Union européenne |
66 452 |
66 452 |
|
|
|
|
|
Montants nets pour le budget général |
305 606 |
301 316 |
4 290 |
445 129 |
415 801 |
29 328 |
-139 523 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits |
7 379 |
5 185 |
2 194 |
7 379 |
5 185 |
2 194 |
|
Montants nets pour le budget général, y compris fonds de concours |
312 984 |
306 501 |
6 484 |
452 507 |
420 986 |
31 522 |
|
Budgets annexes |
|
|
|
|
|
|
|
Contrôle et exploitation aériens |
2 407 |
2 407 |
|
2 263 |
1 974 |
289 |
+144 |
Publications officielles et information administrative |
167 |
167 |
|
152 |
136 |
15 |
+16 |
Totaux pour les budgets annexes |
2 574 |
2 574 |
|
2 415 |
2 110 |
304 |
+160 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits : |
|
|
|
|
|
|
|
- Contrôle et exploitation aériens |
25 |
20 |
5 |
25 |
20 |
5 |
|
- Publications officielles et information |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
|
Totaux pour les budgets annexes y compris fonds de concours |
2 599 |
2 595 |
5 |
2 439 |
2 131 |
309 |
|
Comptes spéciaux |
|
|
|
|
|
|
|
Comptes d'affectation spéciale |
77 481 |
67 619 |
9 862 |
79 947 |
69 791 |
10 156 |
-2 466 |
Comptes de concours financiers |
146 036 |
0 |
146 036 |
148 645 |
0 |
148 645 |
-2 609 |
Comptes de commerce (solde) |
|
|
|
|
|
|
-173 |
Comptes d'opérations monétaires (solde) |
|
|
|
|
|
|
+110 |
Solde pour les comptes spéciaux |
|
|
|
|
|
|
-5 138 |
Solde général |
|
|
|
|
|
|
-144 501 |
* Les montants figurant dans le présent tableau sont arrondis au million d'euros le plus proche ; il résulte de l'application de ce principe que le montant arrondi des totaux et sous-totaux peut ne pas être égal à la somme des montants arrondis entrant dans son calcul.
** Recettes fiscales brutes, minorées des remboursements et dégrèvements d’impôts d’Etat (cf. Etat B, mission "Remboursements et dégrèvements", programme 200).
*** Dépenses budgétaires brutes, minorées des remboursements et dégrèvements d’impôts d’Etat (cf. Etat B, mission "Remboursements et dégrèvements", programme 200).
(en milliards d’euros)
Besoin de financement |
|
Amortissement de la dette à moyen et long termes |
160,2 |
Dont remboursement du nominal à valeur faciale |
155,5 |
Dont suppléments d’indexation versés à l’échéance (titres indexés) |
4,7 |
Amortissement de la dette reprise de SNCF Réseau |
2,7 |
Amortissement des autres dettes reprises |
0,0 |
Déficit à financer |
144,5 |
Autres besoins de trésorerie |
‑7,7 |
Total |
299,7 |
Ressources de financement |
|
Émission de dette à moyen et long termes nettes des rachats |
285,0 |
Ressources affectées à la Caisse de la dette publique et consacrées au désendettement |
6,5 |
Variation nette de l’encours des titres d’État à court terme |
7,7 |
Variation des dépôts des correspondants |
0,0 |
Variation des disponibilités du Trésor à la Banque de France et des placements de trésorerie de l’État |
0,0 |
Autres ressources de trésorerie |
0,5 |
Total |
299,7 |
Exposé des motifs
L’article d’équilibre comporte, en application de l’article 34 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF), un certain nombre de dispositions.
Le I présente le tableau d’équilibre prévu à l’article 34 de la LOLF. Le solde budgétaire de l’État est prévu à ‑144,5 Md€. Le détail des évaluations des recettes brutes du budget général figure dans l’annexe relative aux voies et moyens. Les recettes des budgets annexes et des comptes spéciaux font l’objet d’un développement dans l’annexe propre à chaque budget annexe ou compte spécial. Pour l’évaluation des dépenses brutes, les renseignements figurent à l’« Exposé général des motifs », dans les « Informations annexes », ainsi que dans les fascicules propres à chaque mission. Le montant des remboursements et dégrèvements d’impôts d’État est déduit des recettes brutes comme des dépenses brutes du budget général. En outre, la présentation du tableau d’équilibre prend en compte l’inscription des montants des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne.
Le II de l’article énonce les autorisations relatives aux emprunts et à la trésorerie de l’État prévues à l’article 26 de la LOLF, évalue les ressources et les charges de trésorerie qui concourent à la réalisation de l’équilibre financier, présentées dans un tableau de financement, et fixe le plafond de l’encours total de dette autorisé de chaque budget annexe ainsi que le plafond de la variation nette, appréciée en fin d’année, de la dette négociable de l’État d’une durée supérieure à un an. Outre le renouvellement des autorisations données au ministre chargé des finances nécessaires à la gestion de la dette et de la trésorerie de l’État, ainsi qu’à la réalisation d’opérations d’échange de taux d’intérêt, il prévoit une autorisation relative aux instruments à terme destinée à permettre la réalisation des opérations de couverture financière des variations de change ou de coûts de matières premières. Le ministre chargé des finances est également autorisé à effectuer des opérations de trésorerie avec les institutions et agences financières de l’Union européenne, ainsi qu’avec les institutions de l’Union européenne. Le tableau présente les évaluations du besoin de financement de l’État et précise les ressources qui seront mobilisées pour en assurer la couverture. En 2024, le besoin de financement s’établit à 299,7 Md€. Il comprend les amortissements de dette à moyen et long termes, pour un montant prévisionnel total de 155,5 Md€ en valeur nominale, ainsi que l’indexation du capital des titres indexés sur l’inflation arrivant à échéance (4,7 Md€). Le déficit à financer est de 144,5 Md€. L’amortissement des dettes reprises représente 2,7 Md€. Les autres besoins de trésorerie (‑7,7 Md€) se composent de décaissements au titre des programmes d’investissements d’avenir (1,0 Md€) et de l’annulation des opérations budgétaires sans impact en trésorerie (‑8,7 Md€), soit principalement la neutralisation de la provision annuelle pour indexation du capital des titres indexés, inscrite en dépense dans le déficit budgétaire à financer alors qu’elle ne génère pas de besoin en trésorerie. Les ressources de financement proviennent principalement des émissions nouvelles de dette à moyen et long termes nettes des rachats (285,0 Md€), d’une hausse des emprunts de court terme (7,7 Md€) et de la dotation de la caisse de la dette publique consacrée à l’amortissement de la dette covid (6,5 Md€). Le besoin de financement sera couvert à titre subsidiaire par d’autres ressources, dont le supplément d’indexation reçu à la réémission de titres indexés (estimé à 0,5 Md€). Le plafond de la variation nette de la dette négociable d’une durée supérieure à un an, demandé au Parlement, est fixé à 129,5 Md€. Ce plafond correspond, pour les titres à moyen et long termes, à la différence entre les émissions nettes des rachats et les amortissements tels qu’ils figurent dans le tableau de financement pour leur valeur faciale (c’est-à-dire hors suppléments d’indexation versés lors des remboursements ou des rachats et hors suppléments d’indexation perçus lors des émissions).
Le III de l’article fixe le plafond d’autorisation des emplois pour 2024, exprimé en équivalents temps plein travaillé, rémunérés par l’État. |
ARTICLE 35 :
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Exposé des motifs
Les demandes de crédits sont établies dans le cadre du projet annuel de performances de chaque programme. Ces projets figurent dans les annexes par mission relatives au budget général. Les tableaux de comparaison, par mission et programme, des crédits ouverts en 2023 et de ceux prévus pour 2024, figurent dans la partie « Informations annexes » du présent document. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la discussion des crédits du budget général donne lieu à un vote par mission ; les votes portent à la fois sur les autorisations d’engagement et sur les crédits de paiement. |
ARTICLE 36 :
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Exposé des motifs
Les demandes de crédits sont établies dans le cadre du projet annuel de performances de chaque programme. Ces projets figurent dans les annexes par mission relatives aux budgets annexes. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les crédits des budgets annexes sont votés par budget annexe. |
ARTICLE 37 :
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Exposé des motifs
Les demandes de crédits sont établies dans le cadre du projet annuel de performance de chaque programme. Ces projets, relatifs aux comptes d’affectation spéciale et aux comptes de concours financiers, figurent dans les annexes par mission relatives aux comptes spéciaux. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les crédits des comptes spéciaux sont votés par compte spécial. |
ARTICLE 38 :
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Exposé des motifs
Le 4° bis de l’article 34 de la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances dispose que « [dans la seconde partie, la loi de finances de l’année] définit, pour chaque mission du budget général, chaque budget annexe et chaque compte spécial, des objectifs de performance et des indicateurs associés à ces objectifs ». En conséquence, l’objet de cet article est de renvoyer à l’état G qui regroupe l’ensemble des objectifs et indicateurs présentés dans le cadre des projets annuels de performances (PAP) pour 2024 annexés à la présente loi. |
ARTICLE 39 :
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Exposé des motifs
Les autorisations de découvert au titre des comptes de commerce et des comptes d’opérations monétaires sont établies dans les annexes relatives à ces comptes. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les découverts sont votés par compte spécial. |
ARTICLE 40 :
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Désignation du ministère ou du budget annexe |
Plafond |
Budget général |
1 976 561 |
Agriculture et souveraineté alimentaire |
30 458 |
Armées |
271 852 |
Culture |
9 163 |
Économie, finances et souveraineté industrielle et numérique |
125 789 |
Éducation nationale et jeunesse |
1 060 503 |
Enseignement supérieur et recherche |
5 119 |
Europe et affaires étrangères |
13 761 |
Intérieur et outre-mer |
303 839 |
Justice |
94 916 |
Services du Premier ministre |
10 421 |
Solidarités et des Familles |
5 040 |
Sports et jeux olympiques et paralympiques |
1 442 |
Transformation et fonction publiques |
514 |
Transition écologique et cohésion des territoires |
35 945 |
Travail, plein emploi et insertion |
7 799 |
Budgets annexes |
10 923 |
Contrôle et exploitation aériens |
10 439 |
Publications officielles et information administrative |
484 |
Total général |
1 987 484 |
Le plafond des autorisations d’emplois sont établis dans les projets annuels de performances de chaque programme ; ces projets figurent dans les annexes par mission relatives au budget général et aux budgets annexes. Leur respect s’évalue en moyenne sur l’ensemble de l’année. Pour 2024, le schéma d’emplois, c’est-à-dire le solde global des créations et des suppressions d’emplois sur l’État, s’élève à +6 695 ETP. Il résulte principalement du renforcement des moyens dédiés à la sécurité intérieure (+2 653 ETP) et à la justice (+1 925 ETP). Ce schéma d’emplois est également positif à l’éducation nationale (+560 ETP), aux armées (+456 ETP) et au ministère de la transition écologique et la cohésion des territoires (+417 ETP).
Les plafonds annuels d’autorisation d’emplois augmentent au total de +26 391 ETPT par rapport aux plafonds autorisés par la loi de finances initiale pour 2023 du fait :
Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les plafonds des autorisations d’emplois font l’objet d’un vote unique. |
ARTICLE 41 :
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Mission / Programme |
Plafond |
Action extérieure de l'État |
5 975 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
5 975 |
Administration générale et territoriale de l'État |
458 |
Administration territoriale de l'État |
161 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
297 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
13 447 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
12 112 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
1 329 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
6 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 205 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 205 |
Cohésion des territoires |
823 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
452 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
371 |
Culture |
16 915 |
Patrimoines |
9 966 |
Création |
3 770 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
3 050 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
129 |
Défense |
12 078 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
5 317 |
Préparation et emploi des forces |
665 |
Soutien de la politique de la défense |
1 154 |
Équipement des forces |
4 942 |
Direction de l'action du Gouvernement |
932 |
Coordination du travail gouvernemental |
932 |
Écologie, développement et mobilité durables |
19 760 |
Infrastructures et services de transports |
5 151 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
237 |
Paysages, eau et biodiversité |
5 375 |
Expertise, information géographique et météorologie |
6 566 |
Prévention des risques |
1 554 |
Énergie, climat et après-mines |
381 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
496 |
Économie |
2 828 |
Développement des entreprises et régulations |
2 828 |
Enseignement scolaire |
2 998 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 998 |
Immigration, asile et intégration |
2 245 |
Immigration et asile |
1 028 |
Intégration et accès à la nationalité française |
1 217 |
Justice |
791 |
Justice judiciaire |
283 |
Administration pénitentiaire |
270 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
238 |
Médias, livre et industries culturelles |
3 129 |
Livre et industries culturelles |
3 129 |
Outre-mer |
127 |
Emploi outre-mer |
127 |
Recherche et enseignement supérieur |
256 793 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
167 722 |
Vie étudiante |
12 723 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
65 972 |
Recherche spatiale |
2 417 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
3 359 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
3 372 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
1 228 |
Régimes sociaux et de retraite |
287 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
287 |
Santé |
131 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
131 |
Sécurités |
312 |
Police nationale |
290 |
Sécurité civile |
22 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
8 452 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
110 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
8 342 |
Sport, jeunesse et vie associative |
752 |
Sport |
569 |
Jeunesse et vie associative |
69 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
114 |
Transformation et fonction publiques |
651 |
Fonction publique |
651 |
Travail et emploi |
56 341 |
Accès et retour à l'emploi |
50 324 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
5 661 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
265 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
91 |
Contrôle et exploitation aériens |
791 |
Soutien aux prestations de l'aviation civile |
791 |
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
60 |
Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers |
60 |
Total |
408 281 |
Exposé des motifs
Le présent article fixe le plafond d’autorisation des emplois des opérateurs de l’État pour 2024, en application de l’article 34-II‑2° bis de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances. Pour 2024, le schéma d’emplois des opérateurs de l’État (solde global des créations et des suppressions d’emplois) s’établit à +1 578 équivalents temps plein (ETP). L’évolution courante des autorisations d’emplois des opérateurs entre la loi de finances initiale pour 2023 et le projet de loi de finances pour 2024 est de +1 295 emplois, en équivalents temps plein travaillé (ETPT). Cette évolution intègre :
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ARTICLE 42 :
|
MISSION / PROGRAMME |
PLAFOND |
Diplomatie culturelle et d’influence |
3 411 |
TOTAL |
3 411 |
Exposé des motifs
Le présent article fixe, pour 2024, le plafond d’autorisation des emplois des établissements à autonomie financière (EAF), en application du 2° bis de l’article 34 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances. Les EAF sont des établissements et organismes de diffusion culturelle ou de recherche situés à l’étranger et dépendant du ministère de l’Europe et des affaires étrangères. Ils ne disposent pas de la personnalité morale mais perçoivent des recettes propres (cours de langues, certifications de français, droits de participation aux activités culturelles, mécénat, etc.) ainsi que, pour la part restante de leurs ressources, des dotations publiques.
Comme en 2023, ce plafond s’applique aux seuls agents de droit local recrutés à durée indéterminée. Le plafond d’emplois EAF pour 2024 est maintenu au niveau de 2023. |
ARTICLE 43 :
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PLAFOND |
Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) |
52 |
Autorité de régulation des transports (ART) |
102 |
Autorité des marchés financiers (AMF) |
520 |
Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) |
380 |
Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) |
128 |
Haut Conseil du commissariat aux comptes |
73 |
Haute Autorité de santé (HAS) |
443 |
Médiateur national de l’énergie (MNE) |
46 |
TOTAL |
1 744 |
Exposé des motifs
Conformément aux dispositions du 2° bis du II de l’article 34 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la loi de finances de l’année fixe le plafond d’autorisation des emplois des autorités publiques indépendantes dotées de la personnalité morale. Le présent article fixe, pour 2024, des plafonds couvrant l’ensemble des emplois rémunérés directement par les autorités concernées, hors emplois mis à disposition faisant l’objet d’un remboursement. Le plafond total est arrêté à 1 744 ETPT. Outre la sortie du champ de cet article de l’Autorité de contrôle prudentiel et de régulation (ACPR) qui n’a pas la personnalité morale, le plafond est en augmentation de +27 ETPT permettant aux autorités d’assurer de nouvelles missions (notamment +10 ETPT pour l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique pour répondre à la mission de régulateur de l’autorité dont le champ d’action est élargi à de nouveaux acteurs du numérique et d’autres types ou technologies de piratage ; +5 ETPT pour l’Autorité des marchés financiers en vue d’assurer les nouvelles missions lui incombant dans le cadre de réformes de niveau européen en matière de finance durable et de finance numérique ; +5 ETPT pour le Haut Conseil du commissariat aux comptes en raison de la transposition de la directive dite « CSRD » (Corporate Sustainability Reporting Directive) qui va élargir le champ de compétences de cette autorité). |
ARTICLE 44 :
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INTITULE DU PROGRAMME 2023 |
INTITULE DE LA MISSION DE RATTACHEMENT 2023 |
INTITULE DU PROGRAMME 2024 |
INTITULE DE LA MISSION DE RATTACHEMENT 2024 |
Concours spécifiques et administration |
Relations avec les collectivités territoriales |
Concours spécifiques et administration |
Relations avec les collectivités territoriales |
Développement des entreprises et régulations |
Économie |
Développement des entreprises et régulations |
Économie |
Interventions territoriales de l’État |
Cohésion des territoires |
Interventions territoriales de l’État |
Cohésion des territoires |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
Conseil et contrôle de l’État |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
Conseil et contrôle de l’État |
Conseil d’État et autres juridictions administratives |
Conseil et contrôle de l’État |
Conseil d’État et autres juridictions administratives |
Conseil et contrôle de l’État |
Vie politique |
Administration générale et territoriale de l’État |
Vie politique |
Administration générale et territoriale de l’État |
Conseil supérieur de la magistrature |
Justice |
Conseil supérieur de la magistrature |
Justice |
Écologie |
Plan de relance |
Écologie |
Plan de relance |
Compétitivité |
Plan de relance |
Compétitivité |
Plan de relance |
Cohésion |
Plan de relance |
Cohésion |
Plan de relance |
Financement des opérations patrimoniales en 2023 sur le compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État » |
Économie |
Financement des opérations patrimoniales en 2024 sur le compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État » |
Économie |
Prêts pour le développement économique et social |
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
Prêts pour le développement économique et social |
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
Exposé des motifs
L’article 15 de la loi organique aux lois de finances (LOLF) prévoit que les crédits de paiement disponibles à la fin de l’année peuvent être reportés, dans la limite de 3 % des crédits initiaux inscrits sur le même programme, et que ce plafond peut être majoré par une disposition de loi de finances. Le présent article fixe la liste des programmes bénéficiant d’une telle exception. Il est ainsi proposé de déroger au plafond de l’article 15 de la LOLF pour les 12 programmes suivants :
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ARTICLE 45 :
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La garantie de l’État est accordée à la Banque de France au titre du prêt de droits de tirage spéciaux que celle-ci peut accorder, à compter du 1er janvier 2024, au fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et la croissance du Fonds monétaire international. Cette garantie porte sur le principal et les intérêts, dans la limite d’un montant cumulé en principal de 3,8 milliards de droits de tirage spéciaux. Elle couvre le risque de non-respect de l’échéancier de remboursement de chaque tirage par le gestionnaire du compte.
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet d’accorder la garantie de l’État à un prêt porté par la Banque de France au fonds fiduciaire pour la réduction de la pauvreté et la croissance ou FRPC (en anglais Poverty Reduction and Growth Trust ou PRGT) du Fonds monétaire international (FMI). Le FRPC finance les principaux instruments de prêt concessionnel octroyés par le FMI aux pays confrontés à des difficultés de balance des paiements. L’octroi de la présente garantie s’inscrit dans le cadre des efforts de mobilisation de droits de tirage spéciaux (DTS) ou contributions équivalentes à hauteur de 100 milliards de dollars US, à la suite de l’allocation générale de DTS d’août 2021. La Banque de France a déjà octroyé en janvier 2023 des prêts de respectivement 1 Md DTS au FRPC et de 3 Md DTS au fonds fiduciaire pour la résilience et la durabilité (Resilience and Sustainability Trust, RST), soit l’équivalent de 20 % des DTS alloués à la France en août 2021 (19,3 Md DTS) ; ces prêts avaient fait l’objet de l’octroi d’une garantie de l’État dans les lois de finances initiales pour 2022 et 2023. Lors du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial organisé à Paris les 22 et 23 juin 2023, le président de la République a annoncé que l’effort de la France serait porté à 40 % des DTS alloués en août 2021, ce qui implique une nouvelle contribution de 3,8 Md DTS (soit environ 4,65 milliards d’euros au taux de change du 30 juin 2023). À l’instar des prêts de DTS octroyés par la France au FRPC en 2010, 2018, 2020 et 2023, la Banque de France, qui dispose de la responsabilité fiduciaire des avoirs français en droits de tirage spéciaux (DTS), aura la responsabilité de porter pour le compte de l’État les prêts de DTS de l’État. Pour chacun des prêts octroyés par la Banque de France aux fonds fiduciaires du FMI, l’État fournit à la Banque de France une garantie sur le principal et les intérêts. Cet octroi vise notamment, en complément de la structure financière très protectrice du RST, à ce que les DTS prêtés conservent le statut d’actifs de réserve au bilan de la banque centrale. Comme pour le FRPC, un prêt au RST correspond à la mise à la disposition du FMI du montant susmentionné de droits de tirage spéciaux, sur lequel le FMI procèdera à des tirages autant que de besoin pour permettre l’octroi de prêts aux pays éligibles. Le nouveau prêt de 3,8 Md DTS serait ventilé entre un prêt de 1,9 Md DTS (soit environ 2,33 milliards d’euros au taux de change du 30 juin 2023) au compte de prêt du FRPC (qui a vocation à être reprêté aux pays éligibles aux instruments de prêt concessionnel du FMI) et un prêt de 1,9 Md DTS (soit environ 2,33 milliards d’euros au taux de change du 30 juin 2023) au compte de dépôt et d’investissement du FRPC nouvellement créé (qui a vocation à assurer la liquidité des DTS utilisés par le FRPC et à augmenter les montants disponibles pour bonifier les prêts du FRPC en prêt à taux zéro). |
ARTICLE 46 :
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Exposé des motifs
A la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Fédération de Russie, le Fonds monétaire international (FMI) estime à 123,6 milliards de dollars les besoins de financement de l’Ukraine sur la période du programme FMI, dont environ 40 milliards par an pour 2023 et 2024. Les engagements actuels permettent de couvrir les besoins de financement de l’Ukraine pour la première année du programme (avril 2023 - avril 2024) et proviennent essentiellement des organisations internationales telles que le FMI, des institutions européennes (dont l’Union européenne au titre de l’assistance macrofinancière et des bailleurs bilatéraux (États-Unis, Japon). Les garanties apportées aux banques multilatérales de développement constituent un vecteur essentiel du soutien à l’Ukraine, du fait de leur impact concret en période de conflit. S’appuyant sur leur connaissance du terrain et des acteurs, ainsi que sur leur historique d’activité dans le pays, les banques multilatérales de développement sont en mesure d’instruire et de déployer dans des délais rapides des financements répondant à des besoins urgents et essentiels de l’économie réelle ukrainienne. Cela a par exemple été le cas avec l’action de la BERD afin de soutenir la continuité des opérations des sociétés publiques ukrainiennes Naftogaz (fourniture de gaz aux populations et aux entreprises), Ukrenergo (opérateur du réseau haute tension, dont les infrastructures sont particulièrement ciblées par les frappes russes) et des Chemins de fer ukrainiens, pour lesquelles une garantie de l’État a été octroyée à la BERD par la loi n° 2022-1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022. Néanmoins, cette action des banques de développement rencontre des limites en raison du niveau de risque élevé lié au financement de projets dans un pays en situation de guerre. Le modèle financier des banques multilatérales de développement n’est pas prévu pour faire face et absorber une telle concentration et un tel niveau de risque à court terme. Ainsi, le déploiement de leurs activités va continuer de nécessiter un soutien de leurs actionnaires sous la forme de garanties. Le présent article vise à autoriser le ministre chargé de l’économie à accorder à titre gratuit la garantie de l’État à la Banque européenne d’investissement (BEI) au titre de ses opérations à venir en Ukraine dans la limite d’un plafond de 100 millions d’euros en principal et en intérêts. L’octroi de cette garantie est subordonné à la conclusion d’un accord entre l’État et la BEI, précisant notamment les opérations éligibles que la BEI peut consentir en soutien à l’Ukraine, les conditions d’appel des garanties, et la date à laquelle la garantie prend fin. Le Conseil d’administration a approuvé en mars 2023, la création d’un fonds fiduciaire transitoire en faveur de l’Ukraine (EU for Ukraine, « EU4U »), afin de recueillir sur une base volontaire des contributions bilatérales des États membres, de la Commission ou d’États non membres (sous forme de dons ou garanties) et permettre ainsi à la BEI de poursuivre son activité en Ukraine dans les prochains mois en visant de déployer près de 1,3 milliard d’euros de projets d’ici le 31 décembre 2025, en attendant la mise en place de modalités d’un financement pérenne de l’action de la BEI en Ukraine reposant sur le budget de l’UE. Grâce à ce fonds fiduciaire, la BEI sera en capacité de financer des projets pré-identifiés avec les autorités ukrainiennes dans divers secteurs : logements sociaux, santé, eau, transport, ou encore investissements municipaux notamment de mobilité et la résilience du secteur privé en lien notamment avec sa filiale dédiée au financement des PME-ETI (le Fonds européen d’investissement), via des instruments de partage du risque. Conformément aux conclusions du Conseil européen des 29 et 30 juin réitérant son appel à ce que la BEI renforce son soutien aux besoins les plus urgents de l’Ukraine en matière d’infrastructures, une cérémonie d’intention de contribution a été organisée le 13 juillet par la BEI, où plusieurs États membres ont fait état de leur intention de contribuer, à savoir, la Belgique, l’Irlande, l’Espagne, la France, l’Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Pologne et la Slovaquie, pour un montant total de 383,3 millions d’euros. Le Danemark, l’Estonie, la Grèce, la Croatie et Chypre ont également annoncé une contribution au Fonds dont le montant reste à déterminer. La France a déclaré son intention de contribuer au fonds fiduciaire de la BEI via l’octroi d’une garantie d’un montant de 100 millions d’euros, sans préjudice du respect des procédures nationales d’adoption.
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ARTICLE 47 :
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Exposé des motifs
À la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Fédération de Russie, le Fonds monétaire international (FMI) estime à 123,6 milliards de dollars les besoins de financement de l’Ukraine sur la période du programme FMI, dont environ 40 milliards par an pour 2023 et 2024. Les engagements actuels permettent de couvrir les besoins de financement de l’Ukraine pour la première année du programme (avril 2023 - avril 2024) et proviennent essentiellement des organisations internationales telles que le FMI, des institutions européennes (dont l’Union européenne au titre de l’assistance macro-financière et des bailleurs bilatéraux (États-Unis, Japon). Les garanties apportées aux banques multilatérales de développement constituent un vecteur essentiel du soutien à l’Ukraine, du fait de leur impact concret en période de conflit. S’appuyant sur leur connaissance du terrain et des acteurs, ainsi que sur leur historique d’activité dans le pays, les banques multilatérales de développement sont en mesure d’instruire et de déployer dans des délais rapides des financements répondant à des besoins urgents et essentiels de l’économie réelle ukrainienne. Cela a déjà été le cas avec l’action de la BERD afin de soutenir la continuité des opérations des sociétés publiques ukrainiennes Naftogaz (fourniture de gaz aux populations et aux entreprises), Ukrenergo (opérateur du réseau haute tension, dont les infrastructures sont particulièrement ciblées par les frappes russes) et des Chemins de fer ukrainiens, pour lesquelles une garantie de l’État a été octroyée à la BERD par la loi n° 2022-1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022. Néanmoins, cette action des banques de développement rencontre des limites en raison du niveau de risque élevé lié au financement de projets dans un pays en situation de guerre. Le modèle financier des banques multilatérales de développement n’est pas prévu pour faire face et absorber une telle concentration et un tel niveau de risque à court terme. Ainsi, le déploiement de leurs activités va continuer de nécessiter un soutien de leurs actionnaires sous la forme de garanties. Le présent article vise à autoriser le ministre chargé de l’économie à accorder à titre gratuit la garantie de l’État à la BERD au titre de ses opérations à venir en Ukraine dans la limite d’un plafond de 250 millions d’euros en principal et en intérêts. L’octroi de cette garantie est subordonné à la conclusion d’un accord entre l’État et la BERD, précisant notamment les opérations éligibles que la BERD peut consentir en soutien à l’Ukraine, les conditions d’appel des garanties, et la date à laquelle la garantie prend fin. La BERD a fait un pas important lors de son Assemblée annuelle de mai 2023 vers une augmentation de capital, décision qui doit encore être formellement entérinée d’ici la fin de l’année sur la base d’une proposition chiffrée. Cette augmentation de capital se matérialisera par des versements effectifs étalés entre le premier semestre 2025 et 2028. Jusqu’à la fin de l’année 2024, la Banque va continuer à solliciter le soutien de ses actionnaires pour sécuriser son bilan par des garanties avec l’objectif d’atteindre en fin d’année un total de 3 milliards d’euros de nouveaux engagements cumulés en Ukraine depuis le début de la guerre. Le soutien de la BERD en Ukraine devrait également se matérialiser par des financements croissants à destination du secteur privé, dont la résilience constitue un enjeu considérable tant à court terme (emploi et soutien économique aux populations, maintien des recettes d’exportation et des recettes fiscales, etc.) que dans la perspective de la reconstruction de l’Ukraine (reconstruction dont le financement devra en partie reposer sur les acteurs privés). Aussi la BERD prévoit-elle d’accompagner le secteur privé ukrainien à travers des financements directs (y compris pour la réalisation d’investissements directs étrangers, potentiellement français) et indirects (via les banques commerciales opérant en Ukraine). Pour mémoire, la France constitue, à travers une présence très diversifiée de ses entreprises (présentes dans le secteur agricole et agroalimentaire, l’industrie, l’ingénierie, le secteur bancaire, la grande distribution, le numérique, notamment, les entreprises françaises sont parvenues pour la quasi-totalité à assurer la continuité de leurs opérations dans le pays), l’un des premiers employeurs internationaux en Ukraine. Au-delà de la thématique du soutien aux investissements, une partie de la garantie accordée par la France à la BERD pourrait aller au mécanisme d’assurance contre le risque de guerre proposé par la BERD, annoncé lors de la conférence « Ukraine recovery conference » (URC) de Londres les 21 et 22 juin 2023. Ce mécanisme, destiné à couvrir notamment les opérations de commerce et le transport (et répondant à des besoins exprimés par nos propres opérateurs), est en effet très complémentaire de l’assurance investissement dont la France a confirmé la disponibilité via Bpifrance Assurance Export, et qui vise à protéger les investisseurs français en Ukraine contre le risque politique et notamment le risque de guerre. |
ARTICLE 48 :
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Exposé des motifs
À la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Fédération de Russie, le Fonds monétaire international (FMI) estime à 123,6 milliards de dollars les besoins de financement de l’Ukraine sur la période du programme FMI, dont environ 40 milliards par an pour 2023 et 2024. Les engagements actuels permettent de couvrir les besoins de financement de l’Ukraine pour la première année du programme (avril 2023 - avril 2024) et proviennent essentiellement des organisations internationales telles que le FMI, des institutions européennes (dont l’Union européenne au titre de l’assistance macro-financière et des bailleurs bilatéraux (États-Unis, Japon). Les garanties apportées aux banques multilatérales de développement constituent un vecteur essentiel du soutien à l’Ukraine, du fait de leur impact concret en période de conflit. S’appuyant sur leur connaissance du terrain et des acteurs, ainsi que sur leur historique d’activité dans le pays, les banques multilatérales de développement sont en mesure d’instruire et de déployer dans des délais rapides des financements répondant à des besoins urgents et essentiels de l’économie réelle ukrainienne. Cela a déjà été le cas avec l’action de la BERD afin de soutenir la continuité des opérations des sociétés publiques ukrainiennes Naftogaz (fourniture de gaz aux populations et aux entreprises), Ukrenergo (opérateur du réseau haute tension, dont les infrastructures sont particulièrement ciblées par les frappes russes) et des Chemins de fer ukrainiens, pour lesquelles une garantie de l’État a été octroyée à la BERD par la loi n° 2022-1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022. Néanmoins, cette action des banques de développement rencontre des limites en raison du niveau de risque élevé lié au financement de projets dans un pays en situation de guerre. Le modèle financier des banques multilatérales de développement n’est pas prévu pour faire face et absorber une telle concentration et un tel niveau de risque à court terme. Ainsi, le déploiement de leurs activités va continuer de nécessiter un soutien de leurs actionnaires sous la forme de garanties. Le présent article vise à autoriser le ministre chargé de l’économie à accorder à titre gratuit la garantie de l’État à la Société financière internationale (SFI), au titre de ses opérations à venir en Ukraine dans la limite d’un plafond global de 150 millions d’euros en principal et en intérêts L’octroi de cette garantie est subordonné à la conclusion d’un accord entre l’État et la SFI, précisant notamment les opérations éligibles que la SFI peut consentir en soutien à l’Ukraine, les conditions d’appel des garanties, et la date à laquelle la garantie prend fin. Le programme de réponse à l’invasion de l’Ukraine mis au point par la SFI en décembre 2022 (Économic Resilience Action Program for Ukraine) prévoit l’octroi d’ici fin juin 2024 de 2 milliards de dollars à l’Ukraine, une moitié en compte propre et l’autre en ressources mixées. Ce programme vise dans un premier temps à (i) soutenir l’activité économique et à la fourniture de biens essentiels, notamment par le soutien au financement des opérations de commerce dans le secteur agricole et agroalimentaire ; (ii) soutenir les infrastructures économiques vitales, notamment infrastructures logistiques et digitales ; et enfin (iii) répondre aux besoins des personnes déplacées (services financiers aux réfugiés) et des municipalités affectées, notamment dans le logement résidentiel et le chauffage urbain, s’appuyant notamment sur le travail réalisé avant l’invasion avec les municipalités. Une garantie de 150 millions d’euros correspondrait donc à environ 15 % des besoins de couverture des risques identifiés à court terme. Une partie de cette enveloppe pourrait être octroyée pour soutenir des projets dans les secteurs du numérique et des télécommunications, et ce alors que l’économie digitale s’est imposée comme l’un des pans les plus dynamiques et résilients de l’économie ukrainienne. |
ARTICLE 49 :
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Exposé des motifs
Dans le cadre de la convention 2023-2027 sur les emplois de la participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) signée avec le groupe Action Logement le 16 juin 2023, le Gouvernement s’est engagé à apporter la garantie de l’État au dispositif de garantie locative « Visale » porté par Action Logement Services (ALS). Cette garantie doit limiter le besoin d’endettement d’ALS, requalifié en administration publique par le comptable national (INSEE) depuis le 31 août 2022. Le présent article prévoit donc la possibilité pour l’État de mettre en œuvre une garantie couvrant un excédent de sinistralité lié à la garantie des impayés de loyers et dégradations locatives supporté par ALS sur le fondement du dispositif « Visale ». Le bénéficiaire juridique de cette garantie est le fonds créé au 1° du II du présent article, qui assure la fusion des cinq fonds d’ALS, listés en l’état actuel du droit à l’article L. 313-19-2 du code de la construction et de l’habitation, en un fonds unique. La fusion des fonds est nécessaire pour regrouper les différentes composantes du coût de la garantie « Visale », aujourd’hui dispersées sur différents fonds gérés par ALS, et ainsi pouvoir octroyer la garantie de l’État au nouveau fond unique. Par souci de cohérence légistique, les 2° à 5° du II transforment les mentions faisant référence aux fonds gérés par ALS en mentions au fonds unique ainsi créé. Enfin, le III renvoie à un arrêté du ministre chargé de l’économie les caractéristiques de la garantie de l’État créée au I. |
ARTICLE 50 :
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Exposé des motifs
En 2024, la prime de transition énergétique dite MaPrimeRénov’ (MPR) sera déclinée selon deux piliers, afin de clarifier la stratégie de rénovation énergétique des logements du parc privé :
Dans le cadre de la création de ce pilier « performance », le présent article propose de pérenniser la possibilité de distribuer MPR à l’ensemble des propriétaires de logements sans condition de ressources, afin d’assurer la continuité de la distribution du forfait de rénovation globale de MPR, qui constituera le principal vecteur de financement du pilier performance pour les ménages des catégories de ressources intermédiaires et supérieures. En lien avec cet accès élargi à tous les ménages, les outils de lutte contre la fraude aux aides publiques sont renforcés. Ils permettront de réduire les dépenses budgétaires de l’État, au titre d’aides indûment versées à des mandataires financiers les ayant perçues frauduleusement, ou de l’extension de sanctions aux dirigeants ou présidents de personnes morales sanctionnées pour des schémas frauduleux. Des engagements et des garanties doivent pouvoir être imposés à tous les mandataires de la prime afin de mieux encadrer leur activité. Ces engagements et garanties seront précisés par décret mais pourront concerner par exemple : l’engagement de ne pas créer le compte personnel du ménage, l’engagement de restituer les primes indûment perçues, l’engagement de produire des bilans sociaux attestant des chiffres d’affaires (les éventuelles sanctions prises par l’Anah reposant sur cette information), l’engagement de réaliser les travaux conformément aux règles de l’art / plans de contrôle. En outre, l’article prévoit d’une part les modalités relatives à la détermination des sanctions pécuniaires lorsque le chiffre d’affaires n’est pas déterminable et d’autre part la possibilité d’étendre la sanction, visant à rejeter toute nouvelle demande de prime pendant une durée maximale de cinq ans, aux dirigeants ou présidents de la personne morale sanctionnée, afin d’éviter qu’un même dirigeant reproduise le schéma frauduleux. Cette extension ne vaut pas pour les sanctions pécuniaires qui seront applicables uniquement au mandataire (personne physique ou morale). |
ARTICLE 51 :
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Exposé des motifs
Les dispositions de l’article 12 de la loi n° 2019-1147 du 8 novembre 2019 relative à l’énergie et au climat limitent les émissions de CO2 à compter du 1er janvier 2022 pour les installations de production d’électricité à partir de combustibles fossiles. Ces dispositions ont eu, ou auront, pour conséquence la fermeture de plusieurs centrales à charbon exploitées par EDF ou GazelEnergie situées dans différentes communes :
Afin d’accompagner les salariés de ces centrales à charbon, les salariés des ports affectés par la suppression de l’activité de manutention et les salariés des sous-traitants de ces installations, l’ordonnance n° 2020-921 du 29 juillet 2020 portant diverses mesures d’accompagnement des salariés dans le cadre de la fermeture des centrales à charbon a créé des dispositifs dérogatoires au droit commun du code du travail en matière de reclassement, justifiés par la rapidité de la décision de fermeture des centrales à charbon. Ainsi, les salariés des entreprises exploitant les installations de production d’électricité mentionnées au II de l’article L. 311-5-3 du code de l’énergie dont l’employeur envisage, en raison de la fermeture de ces installations résultant des dispositions de cet article, de rompre le contrat de travail dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi qui n’ont pas retrouvé d’emploi à l’expiration du congé de reclassement défini à l’article L. 1233-71 du code du travail bénéficient d’un congé d’accompagnement spécifique pour le maintien dans l’emploi d’une durée de douze mois. Celui-ci peut être porté à dix-huit mois sous certaines conditions. Pour les salariés concernés relevant de la branche des Industries Électriques et Gazières (IEG), ces mesures sont prises en charge par l’État en complément du financement par l’entreprise d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) et de congés de reclassement (CR) suivis de congés d’accompagnement spécifique (CAS). L’État rembourse les employeurs via les préfectures de régions concernées, délégataires des crédits du programme 174 de la mission « Écologie, développement et mobilité durables ». Ces congés ont pour objet de permettre un retour à l’emploi tout en prenant en compte la spécificité de la situation de ces salariés. Le suivi des anciens salariés montre que le dispositif prévu en 2020 nécessite une actualisation pour accompagner certains salariés qui ne sont plus éligibles au dispositif d’accompagnement à partir du mois d’août 2023 en l’état actuel du droit, sans solution de reclassement pendant plusieurs mois pour nombre d’entre eux, en particulier en ce qui concerne le site de Gardanne. Le gouvernement entend éviter à ces personnes une interruption de paiement et propose en conséquence de prolonger pour 28 mois la durée de leur congé d’accompagnement spécifique. |
ARTICLE 52 :
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Exposé des motifs
Le présent article prévoit le maintien en 2024 du bouclier tarifaire pour l’électricité mis en place depuis février 2022. Compte tenu de la volatilité des prix de l’électricité sur les marchés de gros constatée depuis l’automne 2021 et de son impact sur le calcul des tarifs réglementés, il introduit la faculté pour le Gouvernement de fixer tout au long de l’année 2024, comme c’est le cas depuis 2022, un niveau de tarifs réglementés de l’électricité (TRVe) inférieur à celui résultant de l’application de l’article L. 337-6 du code de l’énergie, afin de permettre la limitation de leur hausse prévue au 1er février 2024. Il prévoit également :
Le présent article vise également à modifier le code de l’énergie pour assurer la pluri-annualité de la condition de couverture des coûts comptables de fourniture d’électricité au TRVe. Enfin, le présent article vise à modifier l’article 181 de la loi n° 2022-1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023 pour prévoir que les frais de gestion supportés par les fournisseurs d’électricité pour la mise en œuvre du dispositif d’amortisseur électricité soient compensés par l’État, dans la limite des frais réellement supportés par ces derniers. |
ARTICLE 53 :
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Exposé des motifs
Lors de la Conférence nationale du handicap (CNH) du 26 avril 2023, le Gouvernement s’est engagé à la mise en œuvre de l’acte II de l’école inclusive, afin de rendre encore plus accessible l’école aux enfants en situation de handicap en leur offrant la scolarité la plus adaptée, en réduisant les délais de réponse et en facilitant les démarches pour les familles. Pour cela, le présent article confie à l’Éducation nationale la réponse de premier niveau aux besoins identifiés via la création de pôles d’appui à la scolarité (PAS). Le présent article porte une réforme systémique du dispositif d’inclusion scolaire visant à améliorer la qualité et la pertinence des mesures d’accessibilité et de compensation proposées pour la scolarisation des élèves à besoins éducatifs particuliers, ainsi que la relation avec les familles pour la scolarisation de leurs enfants, en garantissant la mise en place rapide de réponses de premier niveau (adaptations pédagogiques, etc.) tout en optimisant les moyens dédiés à ces dispositifs. 100 PAS seront créés dès la rentrée 2024, nécessitant le recrutement de 100 enseignants à temps plein, ayant des compétences renforcées sur la scolarisation des élèves à besoins particuliers. Cela représente un coût estimé de 3,8 M€ en année pleine, porté par la mission « Enseignement scolaire ». À la rentrée 2023, plus de 470 000 élèves en situation de handicap étaient scolarisés en milieu ordinaire, soit 4 fois plus qu’en 2006. Entre 2017 et 2023 :
132 000 AESH étaient mobilisés à la rentrée 2022 et 6 500 nouveaux recrutements sont prévus à la rentrée 2023. |
ARTICLE 54 :
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L’article 67 de la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République est abrogé à compter du 1er septembre 2024.
Exposé des motifs
Le fonds de soutien au développement des activités périscolaires (FSDAP) a été créé par la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République afin de soutenir financièrement les communes et les établissements publics de coopération intercommunale lorsqu’ils sont compétents dans l’organisation des activités périscolaires des écoles, dans le développement d’une offre d’activité périscolaire au bénéfice des élèves scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires publiques et privées. Cet accompagnement financier est subordonné, d’une part, à l’organisation, au profit des élèves scolarisés sur le territoire, d’activités périscolaires dans le cadre d’un projet éducatif territorial (PEDT) prévu à l’article L.551-1 du code de l’éducation, conclu avec les différents partenaires locaux impliqués et, d’autre part, à une organisation du temps scolaire sur neuf demi-journées ou huit demi-journées comprenant cinq matinées. Cette modalité d’organisation de la semaine scolaire, mise en œuvre par le décret n° 2013-77 du 24 janvier 2013 relatif à l’organisation du temps scolaire dans les écoles maternelles et élémentaires, prévoyait également la mise en place d’activités périscolaires – sportives, culturelles et artistiques – sur le temps dégagé en fin de journée, à la charge des collectivités, justifiant la création d’un fonds de soutien dédié. Le décret n° 2017-1108 du 27 juin 2017 a assoupli les conditions d’organisation de la semaine scolaire en permettant aux communes de choisir une organisation du temps scolaire sur quatre jours. Toutefois, le fonds de soutien a été maintenu mais le nombre de communes bénéficiaires s’est sensiblement réduit. Ainsi, à la rentrée 2018, 87 % des communes ont choisi le retour à la semaine de quatre jours selon l’Association des maires de France. Ces villes ne sont donc plus éligibles au FSDAP. En conséquence, le nombre de bénéficiaires est en nette diminution. Pour l’année scolaire 2014-2015, 22 616 communes étaient bénéficiaires du dispositif pour un montant total de 381 M€, contre 1 462 communes bénéficiaires pour un montant de 41 M€ au titre de l’année scolaire 2021-2022. Compte tenu de l’aspect résiduel du dispositif et afin de le mettre en cohérence avec le libre choix des communes et des EPCI dans le développement d’activités périscolaires (compétence non obligatoire), le présent article supprime le FSDAP à compter de la rentrée scolaire 2024, après une baisse de moitié des aides à la rentrée scolaire 2023. |
ARTICLE 55 :
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Exposé des motifs
Le comité interministériel des outre-mer (CIOM) du 18 juillet 2023 a traduit l’engagement du Président de la République de donner des réponses concrètes aux défis que connaissent les concitoyennes et concitoyens ultramarins. Ses conclusions regroupent soixante-et-onze mesures réparties autour de cinq axes ainsi que l’engagement du Gouvernement d’un suivi régulier de la mise en application de ces mesures de niveau législatif ou réglementaire. La politique nationale de continuité territoriale revêt une importance particulière pour les territoires d’outre-mer. Cette politique repose sur les principes d’égalité des droits, de solidarité nationale et d’unité de la République. Elle tend à atténuer les contraintes de l’insularité et de l’éloignement et à rapprocher les conditions d’accès de la population aux services publics de transport, de formation, de santé et de communication de celles de la France hexagonale, en tenant compte de la situation géographique, économique et sociale particulière de chaque collectivité territoriale d’outre-mer. Conçue pour répondre à l’éloignement des territoires ultramarins et permettre aux citoyens de pouvoir accéder aux mêmes services et aux mêmes chances que les citoyens qui résident en France hexagonale, son périmètre d’intervention est amené à évoluer pour répondre à des enjeux et défis supplémentaires mis en exergue par plusieurs rapports. Le présent article rassemble les dispositions de niveau législatif du CIOM ayant une incidence budgétaire traduite dans les crédits de la mission outre-mer, à savoir celles relatives à l’extension du champ d’intervention de la politique nationale de continuité territoriale entre les collectivités d’outre-mer et le territoire métropolitain visée au chapitre III du titre préliminaire du livre VIII de la première partie de la partie législative du code des transports. Les dispositions nouvelles, de niveau législatif, décidées dans le cadre du CIOM sont au nombre de trois. La première porte sur un dispositif d’aide aux personnes résidant en France hexagonale dans leur projet d’installation professionnelle dans une collectivité ultramarine. La finalité de ce dispositif est à la fois de permettre la venue de personnes ayant un projet professionnel en lien avec les besoins recensés localement mais également de favoriser le retour des ultramarins ayant effectué leurs études ou leurs premières expériences professionnelles en France hexagonale. Les deux autres dispositions nouvelles sur un dispositif d’aide aux entreprises, l’un au titre des déplacements professionnels liés à des formations professionnelles qui ne sont pas proposées sur le territoire ultramarin d’implantation du salarié de l’entreprise, et l’autre au titre de certains déplacements professionnels réalisés par les salariés ultramarins d’une entreprise ultramarine innovante pour le développement de cette dernière. Le présent article propose par ailleurs des adaptations du code des transports en lien avec ces dispositions nouvelles. |
ARTICLE 56 :
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Exposé des motifs
Le présent article comprend plusieurs évolutions des modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement (DGF) des communes, des établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) et des départements, ainsi que des ajustements relatifs aux dispositifs de péréquation horizontale.
1. Abondement de la DGF par l’État et financement des coûts internes à la DGF La DGF est abondée par l’État pour la deuxième année consécutive, à hauteur de 220 M€. Cet abondement permet d’augmenter le montant de la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) de 90 M€ et de la dotation de solidarité rurale (DSR) de 100 M€. La hausse de 190 M€ de la DGF des communes doit permettre à plus de 60 % des communes de voir leur DGF augmenter en 2024. L’augmentation ou la diminution de la dotation d’aménagement des communes sera répartie par le comité des finances locales (CFL) entre la DSU, la DSR et la dotation nationale de péréquation (DNP). En 2024 toutefois, l’augmentation prévue de 190 M€ sera affectée pour 90 M€ à la DSU et pour 100 M€ à la DSR. Le reste de l’abondement, soit 30 M€, finance le tiers de la hausse de 90 M€ de la dotation d’intercommunalité en 2024, le reste étant financé par écrêtement de la dotation de compensation des EPCI-FP. Cette hausse plus rapide de la dotation d’intercommunalité que les années précédentes (+30 M€ par an depuis 2020) doit permettre d’accélérer la résorption des inégalités territoriales dans la répartition de la DGF des EPCI à fiscalité propre. Cette dernière est composée en 2023 à 27 % par la dotation d’intercommunalité, répartie en fonction de critères actualisés de ressources et de charges, et à 73 % de la dotation de compensation, dont la répartition, figée depuis 1999, résulte de la compensation de la part salaires (CPS) de la taxe professionnelle. L’article prévoit en outre l’attribution intégrale des « parts CPS » résiduelles des communes à leurs EPCI à fiscalité propre d’appartenance. Pour assurer la neutralité financière de cette mesure, l’article institue un reversement automatique de même montant des EPCI concernés vers leurs communes membres. Par le versement intégral de la part CPS au niveau intercommunal, il opère ainsi une simplification de la répartition de la DGF du bloc communal et améliore sa lisibilité. Il garantit également que l’écrêtement de la dotation de compensation soit uniformément réparti entre l’ensemble des groupements à fiscalité propre, sans biais lié à leur régime fiscal. Afin que le plus grand nombre de communes bénéficie de la hausse de la DGF, le présent article prévoit que la hausse de la DSR en 2024 sera répartie au minimum à 60 % sur sa deuxième fraction dite « péréquation », dont la quasi-totalité des communes de moins de 10 000 habitants bénéficie. Enfin, comme les années précédentes, la péréquation verticale des départements est augmentée de 10 M€, par redéploiement depuis la dotation forfaitaire des départements.
2. Ajustement des indicateurs financiers des collectivités à la suite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et des indicateurs financiers des départements à la suite du transfert aux communes de la taxe foncière sur les propriété bâties (TFPB) Le présent article tire les conséquences de l’article 55 de la loi de finances pour 2023, qui a prévu la suppression progressive de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) à compter de 2023, les collectivités territoriales cessant de percevoir cette ressource dès 2023. Le produit de cette taxe était perçu pour 53 % par les collectivités du bloc communal (communes et établissements publics de coopération intercommunale) et pour 47 % par les départements. L’article 55 de la loi de finances pour 2023 a prévu de compenser ce produit par l’octroi d’une fraction de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), dynamique et pérenne. Celle-ci est composée d’une part fixe correspondant à la moyenne du produit de CVAE perçu entre 2020 et 2022 et qui aurait été perçu en 2023, et d’un fonds national d’attractivité économique des territoires assis sur la dynamique de la TVA et réparti selon des modalités définies par décret, qui font l’objet de travaux et concertations en cours. Le produit perçu au titre de la CVAE faisant partie des données prises en compte pour le calcul des indicateurs financiers communaux (potentiel fiscal et financier), intercommunaux (potentiel financier agrégé, potentiel fiscal des établissements publics de coopération intercommunale, coefficient d’intégration fiscale) et départementaux (potentiel fiscal et financier), sa suppression nécessite donc de le remplacer par la fraction de TVA nouvellement affectée aux collectivités en compensation. Le présent article supprime également les mentions du fonds de péréquation de la CVAE des départements, prévu à l’article L. 3335-1 du code général des collectivités territoriales (CGCT) avant son abrogation par l’article 55 de la loi de finances pour 2023, dans les articles du CGCT relatifs aux modalités de répartition du fonds de péréquation des droits de mutation à titre onéreux et au fonds de solidarité des départements de la région d’Île-de-France. L’article procède à la suppression de la fraction de correction fixe du potentiel fiscal des départements, instituée par la loi de finances pour 2022 pour corriger les effets sur le calcul de cet indicateur du remplacement de la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB), transférée aux communes, par une fraction de TVA. Afin de limiter les variations du potentiel fiscal des départements qu’entraînera cette suppression, la fraction de TVA perçue en remplacement de la TFPB est pondérée, dans le calcul de cet indicateur, par un indice synthétique représentatif des ressources des départements (revenu par habitant, produits de droits de mutation à titre onéreux – DMTO - et fraction de TVA perçue en remplacement de la CVAE). Une fraction de correction est introduite pendant trois ans afin de lisser dans le temps les évolutions à la marge introduites par ce nouveau mode de calcul du potentiel fiscal des départements. Le présent article tire également les conséquences de la suppression de la TFPB départementale sur le fonds de péréquation des DMTO. La répartition de la première fraction de la première enveloppe de ce fonds utilise le dernier taux moyen national d’imposition de TFPB connu, à savoir celui de 2020. Cette donnée est reconduite en 2024, mais son poids dans la répartition va progressivement diminuer entre 2024 et 2026, jusqu’à disparaître en 2027. A compter de 2027, la répartition de la première fraction de la première enveloppe du fond utilisera un indice synthétique basé sur le potentiel financier net du département et le revenu, avec un poids renforcé de cette dernière donnée pour remplacer le taux moyen d’imposition de TFPB.
3. Ajustement des modalités de répartition des dotations de péréquation communales Le présent article modifie les modalités d’éligibilité à la fraction cible de la dotation de solidarité rurale (DSR). Sont éligibles à cette fraction les 10 000 premières communes classées selon un indice synthétique composé à 70 % du rapport entre le potentiel financier par habitant de la strate démographique et celui de la commune, et à 30 % du rapport entre le revenu par habitant de la strate et celui de la commune. Or, pour les plus petites communes, le revenu par habitant est susceptible de varier fortement d’une année à l’autre en fonction de l’installation ou du départ de contribuables. Il en résulte des gains ou des pertes d’éligibilité à la fraction cible de la DSR sans lien avec la réalité des ressources et des charges des communes concernées. Afin de lisser ces variations, le présent article prévoit que le revenu par habitant pris en compte pour déterminer l’éligibilité à la fraction cible est celui constaté en moyenne sur les trois derniers exercices connus, plutôt que sur le seul dernier exercice, ce qui devrait permettre de réduire d’environ 15 % le nombre de communes entrant ou sortant chaque année de l’éligibilité à la fraction cible de la DSR. En outre, le présent article introduit une garantie de sortie pour les communes qui perdent l’éligibilité à la part « majoration » de la dotation nationale de péréquation (DNP). Cette disposition permettra de lisser dans le temps les baisses de DGF pour les communes qui se trouvent dans cette situation. Le présent article pérennise enfin, à l’issue du rattrapage amorcé en 2020, le coefficient de majoration démographique utilisé pour le calcul du montant de la quote-part de la dotation d’aménagement des communes d’outre-mer (DACOM).
4. Communes nouvelles Le présent article précise les modalités de calcul des indicateurs financiers des communes issues de la défusion d’une commune nouvelle, ainsi que les données à retenir pour la répartition des dotations de péréquation communale. Elles s’alignent sur le droit existant pour la dotation forfaitaire des communes, à savoir la ventilation au prorata de la population. Pour les communes nouvelles issues de la fusion de l’ensemble des communes membres d’un même EPCI à fiscalité propre et n’adhérant pas à un nouveau groupement, l’article clarifie enfin le régime de perception des dotations intercommunales. Pour ces communes, à la différence des autres communes isolées, la dotation de compétences intercommunales constitue ainsi le vecteur du versement de la dotation de compensation et de la dotation d’intercommunalité. Celles-ci évolueront selon les mêmes taux d’évolution que ceux constatés au niveau national. Le présent article précise enfin que la garantie de non-baisse des attributions perçues par les communes éligibles deux années de suite au titre de la DSU est applicable aux communes nouvelles dont au moins l’une des communes fusionnées était éligible à la DSU l’année précédant la fusion. Dans ce cas, le montant pris en compte est égal à la somme des attributions perçues par les communes fusionnées éligibles l’année précédant la fusion. |
ARTICLE 57 :
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Exposé des motifs
Le présent article vise à reconnaître les services environnementaux rendus par le maintien et le développement des aménités rurales sur le territoire des communes rurales. Il institue une dotation de soutien aux communes pour la valorisation de ces aménités rurales. Le Gouvernement soutient et encourage la contribution des territoires ruraux à la réalisation des objectifs de la transition écologique et énergétique et des politiques publiques conduites en matière de biodiversité, d’eau, de forêt, de paysage et de qualité de l’air. La contribution des territoires ruraux à la réalisation de ces objectifs s’appuie notamment sur le maintien et le développement des aménités rurales. Les aménités rurales sont constituées par les services écosystémiques, liés aux attributs physiques, géophysiques et biologiques caractéristiques des territoires ruraux et qui créent des valeurs économiques et environnementales. Le maintien et le développement de ces aménités sont des services environnementaux rendus par les territoires ruraux au bénéfice des collectivités locales et nationale. Cette rémunération, qui sera portée à 100 M€, s’inscrit dans le cadre des mesures du plan France Ruralités, annoncé par le Gouvernement le 15 juin 2023. Afin de reconnaître l’engagement des collectivités liées aux charges spécifiques résultant de la désignation d’un site « Natura 2000 » sur tout ou partie du territoire d’une commune, la dotation budgétaire « Natura 2000 » avait été créée en loi de finances pour 2019. Cette dotation a fait l’objet d’évolutions successives, avec un élargissement de son périmètre, afin de renforcer le mouvement de verdissement des concours financiers de l’État, pour devenir, en 2022, la dotation de soutien aux communes pour la protection de la biodiversité et pour la valorisation des aménités rurales. Cette réforme faisait notamment suite au comité interministériel aux ruralités (CIR) de novembre 2020, qui avait acté le renforcement des instruments financiers à destination des collectivités locales permettant de valoriser les aménités rurales. Au regard des enjeux actuels de planification écologique, il convient d’accentuer ce renforcement. Ainsi, il est proposé d’élargir l’attribution de cette dotation à l’ensemble des communes rurales au sens de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), dont une partie du territoire est couverte par une aire protégée ou jouxte une aire marine protégée, au-delà des outils de protection qui étaient déjà pris en compte (parcs nationaux, sites Natura 2000, parcs naturels régionaux, parcs naturels marins). La dotation participera ainsi à reconnaître la contribution des collectivités à l’atteinte des objectifs de la stratégie nationale pour les aires protégées prévue par l’article L. 110-4 du code de l’environnement et contribuera à la valorisation des aménités rurales. Pour accompagner la rénovation de la dotation de soutien aux communes pour la protection de la biodiversité et pour la valorisation des aménités rurales, le projet de loi de finances pour 2024 prévoit un montant de 100 M€ en 2024, soit une progression de +58,4 M€ par rapport à 2023. |
ARTICLE 58 :
|
DISPOSITIONS APPLICABLES |
DANS LEUR RÉDACTION RÉSULTANT DE |
L. 2335-1 |
Loi n° XXX du XX de finances pour 2024 |
L. 2335 - 2 |
Loi n° 96-142 du 21 février 1996 |
L. 2335-2-1 |
Loi n° 2012-1509 du 29 décembre 2012 |
L. 2335-16 |
Loi n° XXX du XX de finances pour 2024 |
» ;
Exposé des motifs
En mars 2022, la forte augmentation de la demande de passeports et cartes nationales d’identité (CNI), liée à l’effet de rattrapage des demandes non effectuées durant la crise sanitaire, à la levée des restrictions sur les déplacements et à l’attractivité de la nouvelle CNI a provoqué une mise en tension progressive et inédite de la chaîne de délivrance des titres d’identité et de voyage, entraînant une dégradation importante de ce service public du quotidien. Parmi les mesures mises en place pour réduire les délais de délivrance des passeports et cartes nationales d’identité, l’aide financière que l’État apporte aux communes dotées de dispositifs de recueil des demandes a été doublée : la dotation pour les titres sécurisés (DTS) atteint ainsi un montant de 52,4 M€ en 2023. Afin de poursuivre l’accompagnement des collectivités, le projet de loi de finances pour l’année 2024 prévoit un montant de 100 M€, soit une progression de +47,6 M€ par rapport à la loi n° 2022-1726 du 30 décembre 2022 de finances pour l’année 2023. Les critères de répartition reposent sur plusieurs objectifs : un caractère incitatif, qui est maintenu et pourra être renforcé, une adaptation à l’évolution de la situation de la demande de titres et une prise en compte du nombre de demandes enregistrées dans chaque commune. Le présent article prévoit que ces modalités de répartition seront précisées par voie réglementaire. |
ARTICLE 59 :
|
L. 2123-18-2 |
la loi n° 2019-1461 du 27 décembre 2019 |
»
L. 2123-18-2 |
la loi n° 2022-1726 du 30 décembre 2022 |
» ;
DISPOSITIONS APPLICABLES |
DANS LEUR RÉDACTION RÉSULTANT DE |
L. 2123-34 |
Loi n° XXX du XX de finances pour 2024 |
L. 2123-35 |
Loi n° XXX du XX de finances pour 2024 |
».
Exposé des motifs
Prévue à l’article L. 2335-1 du code général des collectivités territoriales (CGCT), la dotation particulière relative aux conditions d’exercice des mandats locaux (DPEL) accompagne les communes dans la prise en charge de dépenses rendues obligatoires par les dispositions législatives relatives aux autorisations d’absence, aux frais de formation des élus locaux et à la revalorisation des indemnités des maires et des adjoints. Son emploi par les communes est libre. Le présent article réforme les modalités d’attribution de cette dotation. À la suite des assises nationales des élus locaux et des violences urbaines survenues du 27 juin au 5 juillet 2023, le Gouvernement a en effet décidé d’étendre la part « protection fonctionnelle » de la DPEL à l’ensemble des communes de moins de 10 000 habitants. En parallèle, et afin de ne pas diminuer le montant unitaire de DPEL accordée à chaque commune bénéficiaire, il est proposé, dans le cadre de l’article d’évaluation des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales figurant en première partie du présent projet de loi, d’abonder la DPEL à hauteur de 0,4 M€ supplémentaire afin de financer cette extension. Pour 2024, les prélèvements opérés sur les recettes de l’État pour financer la dotation élu local s’établiront en conséquence à 108,906 M€ en 2024, contre 108,506 M€ en 2023. Enfin, l’article supprime les deux derniers alinéas du I de l’article L. 2335-1 du CGCT, qui n’ont plus de portée juridique et nuisent à la lisibilité de la loi. |
BUDGET GÉNÉRAL
(en euros) |
|
Intitulé de la recette |
Évaluation |
Recettes fiscales |
|
1. Impôt net sur le revenu |
94 145 463 042 |
1101-Net Impôt net sur le revenu |
94 145 463 042 |
2. Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 398 000 000 |
1201 Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 398 000 000 |
3. Impôt net sur les sociétés |
72 160 845 041 |
1301-Net Impôt net sur les sociétés |
72 160 845 041 |
3bis. Contribution sociale sur les bénéfices des sociétés |
1 741 600 000 |
1302 Contribution sociale sur les bénéfices des sociétés |
1 741 600 000 |
3ter. Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
341 000 000 |
1303 Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
341 000 000 |
4. Autres impôts directs et taxes assimilées |
30 324 000 000 |
1401 Retenues à la source sur certains bénéfices non commerciaux et de l'impôt sur le revenu |
1 080 000 000 |
1402 Retenues à la source et prélèvements sur les revenus de capitaux mobiliers et le prélèvement sur les bons anonymes |
4 800 000 000 |
1403 Prélèvements sur les bénéfices tirés de la construction immobilière (loi n°63-254 du 15 mars 1963 art 28-IV) |
0 |
1404 Précompte dû par les sociétés au titre de certains bénéfices distribués (loi n°65-566 du 12 juillet 1965 art 3) |
0 |
1405 Prélèvement exceptionnel de 25% sur les distributions de bénéfices |
0 |
1406 Impôt sur la fortune immobilière |
2 439 000 000 |
1407 Taxe sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux et de stockage |
15 000 000 |
1408 Prélèvements sur les entreprises d'assurance |
162 000 000 |
1409 Taxe sur les salaires |
0 |
1410 Cotisation minimale de taxe professionnelle |
1 000 000 |
1411 Cotisations perçues au titre de la participation des employeurs à l'effort de construction |
34 000 000 |
1412 Taxe de participation des employeurs au financement de la formation professionnelle continue |
42 000 000 |
1413 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux, les bijoux, les objets d'art, de collection et d'antiquité |
123 000 000 |
1415 Contribution des institutions financières |
0 |
1416 Taxe sur les surfaces commerciales |
226 000 000 |
1421 Cotisation nationale de péréquation de taxe professionnelle |
1 000 000 |
1427 Prélèvements de solidarité |
15 210 000 000 |
1429 Taxe sur les gestionnaires d'infrastructures de transport (écrêtement) |
0 |
1430 Taxe sur les services numériques |
800 000 000 |
1431 Taxe d’habitation sur les résidences principales |
180 000 000 |
1497 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises |
4 160 000 000 |
1498 Cotisation foncière des entreprises |
1 000 000 |
1499 Recettes diverses |
1 050 000 000 |
5. Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques nette |
16 432 978 472 |
1501-Net Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques nette |
16 432 978 472 |
6. Taxe sur la valeur ajoutée nette |
100 404 205 697 |
1601-Net Taxe sur la valeur ajoutée nette |
100 404 205 697 |
7. Enregistrement, timbre, autres contributions et taxes indirectes |
39 268 072 661 |
1701 Mutations à titre onéreux de créances, rentes, prix d'offices |
675 000 000 |
1702 Mutations à titre onéreux de fonds de commerce |
231 000 000 |
1703 Mutations à titre onéreux de meubles corporels |
0 |
1704 Mutations à titre onéreux d'immeubles et droits immobiliers |
118 000 000 |
1705 Mutations à titre gratuit entre vifs (donations) |
3 936 000 000 |
1706 Mutations à titre gratuit par décès |
15 400 000 000 |
1707 Contribution de sécurité immobilière |
1 022 000 000 |
1711 Autres conventions et actes civils |
528 000 000 |
1712 Actes judiciaires et extrajudiciaires |
0 |
1713 Taxe de publicité foncière |
656 000 000 |
1714 Prélèvement sur les sommes versées par les organismes d'assurances et assimilés à raison des contrats d'assurances en cas de décès |
412 000 000 |
1715 Taxe additionnelle au droit de bail |
0 |
1716 Recettes diverses et pénalités |
188 000 000 |
1721 Timbre unique |
499 000 000 |
1722 Taxe sur les véhicules de société |
0 |
1723 Actes et écrits assujettis au timbre de dimension |
0 |
1725 Permis de chasser |
0 |
1726 Produit de la taxe additionnelle à la taxe sur les certifications d'immatriculation des véhicules |
607 000 000 |
1751 Droits d'importation |
0 |
1752 Contribution sur la rente infra-marginale de la production d'électricité |
620 000 000 |
1753 Autres taxes intérieures |
2 159 071 000 |
1754 Autres droits et recettes accessoires |
5 000 000 |
1755 Amendes et confiscations |
48 000 000 |
1756 Taxe générale sur les activités polluantes |
1 318 000 000 |
1757 Cotisation à la production sur les sucres |
0 |
1758 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabac |
0 |
1761 Taxe et droits de consommation sur les tabacs |
67 000 000 |
1766 Garantie des matières d'or et d'argent |
0 |
1768 Taxe spéciale sur certains véhicules routiers |
176 201 739 |
1769 Autres droits et recettes à différents titres |
136 845 931 |
1773 Taxe sur les achats de viande |
0 |
1774 Taxe spéciale sur la publicité télévisée |
0 |
1776 Redevances sanitaires d'abattage et de découpage |
55 000 000 |
1777 Taxe sur certaines dépenses de publicité |
17 000 000 |
1780 Taxe de l'aviation civile |
0 |
1781 Taxe sur les installations nucléaires de base |
560 000 000 |
1782 Taxes sur les stations et liaisons radioélectriques privées |
28 000 000 |
1785 Produits des jeux exploités par la Française des jeux (hors paris sportifs) |
2 944 264 366 |
1786 Prélèvements sur le produit des jeux dans les casinos |
1 039 557 176 |
1787 Prélèvement sur le produit brut des paris hippiques |
420 768 064 |
1788 Prélèvement sur les paris sportifs |
817 767 917 |
1789 Prélèvement sur les jeux de cercle en ligne |
125 596 468 |
1790 Redevance sur les paris hippiques en ligne |
0 |
1797 Taxe sur les transactions financières |
1 200 000 000 |
1798 Impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (affectation temporaire à l'Etat en 2010) |
0 |
1799 Autres taxes |
3 258 000 000 |
8. Autres remboursements et dégrèvements d'impôts d'État |
-7 791 909 018 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État, autres que ceux s'appliquant à l'impôt sur le revenu, l'impôt sur les sociétés, la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques et la taxe sur la valeur ajoutée |
-7 791 909 018 |
Recettes non fiscales |
|
1. Dividendes et recettes assimilées |
3 154 700 000 |
2110 Produits des participations de l'État dans des entreprises financières |
1 578 700 000 |
2116 Produits des participations de l'État dans des entreprises non financières et bénéfices des établissements publics non financiers |
1 576 000 000 |
2199 Autres dividendes et recettes assimilées |
0 |
2. Produits du domaine de l'État |
1 745 107 200 |
2201 Revenus du domaine public non militaire |
1 025 000 000 |
2202 Autres revenus du domaine public |
7 989 520 |
2203 Revenus du domaine privé |
293 117 680 |
2204 Redevances d'usage des fréquences radioélectriques |
417 000 000 |
2211 Produit de la cession d'éléments du patrimoine immobilier de l'État |
0 |
2212 Autres produits de cessions d'actifs |
0 |
2299 Autres revenus du Domaine |
2 000 000 |
3. Produits de la vente de biens et services |
3 543 928 718 |
2301 Remboursement par l'Union européenne des frais d'assiette et de perception des impôts et taxes perçus au profit de son budget |
778 000 000 |
2303 Autres frais d'assiette et de recouvrement |
1 101 058 634 |
2304 Rémunération des prestations assurées par les services du Trésor Public au titre de la collecte de l'épargne |
52 013 515 |
2305 Produits de la vente de divers biens |
67 669 |
2306 Produits de la vente de divers services |
4 788 900 |
2399 Autres recettes diverses |
1 608 000 000 |
4. Remboursements et intérêts des prêts, avances et autres immobilisations financières |
1 135 309 824 |
2401 Intérêts des prêts à des banques et à des États étrangers |
403 186 919 |
2402 Intérêts des prêts du fonds de développement économique et social |
18 000 000 |
2403 Prêts et avances à divers services de l’État ou organismes gérant des services publics |
96 400 000 |
2409 Intérêts des autres prêts et avances |
130 250 000 |
2411 Avances remboursables sous conditions consenties à l'aviation civile |
109 382 905 |
2412 Autres avances remboursables sous conditions |
0 |
2413 Reversement au titre des créances garanties par l'État |
12 890 000 |
2499 Autres remboursements d'avances, de prêts et d'autres créances immobilisées |
365 200 000 |
5. Amendes, sanctions, pénalités et frais de poursuites |
2 910 524 644 |
2501 Produits des amendes de la police de la circulation et du stationnement routiers |
663 084 092 |
2502 Produits des amendes prononcées par les autorités de la concurrence |
700 000 000 |
2503 Produits des amendes prononcées par les autres autorités administratives indépendantes |
285 000 000 |
2504 Recouvrements poursuivis à l'initiative de l'agence judiciaire de l'Etat |
8 150 000 |
2505 Produit des autres amendes et condamnations pécuniaires |
1 229 550 000 |
2510 Frais de poursuite |
12 491 893 |
2511 Frais de justice et d'instance |
10 088 401 |
2512 Intérêts moratoires |
0 |
2513 Pénalités |
2 160 258 |
6. Divers |
10 143 916 415 |
2601 Reversements de Natixis |
20 000 000 |
2602 Reversements au titre des procédures de soutien financier au commerce extérieur |
460 600 000 |
2603 Prélèvements sur les fonds d'épargne gérés par la Caisse des Dépôts et Consignations |
500 000 000 |
2604 Divers produits de la rémunération de la garantie de l'État |
361 000 000 |
2611 Produits des chancelleries diplomatiques et consulaires |
286 348 100 |
2612 Redevances et divers produits pour frais de contrôle et de gestion |
5 196 428 |
2613 Prélèvement effectué sur les salaires des conservateurs des hypothèques |
0 |
2614 Prélèvements effectués dans le cadre de la directive épargne |
0 |
2615 Commissions et frais de trésorerie perçus par l'État dans le cadre de son activité régalienne |
0 |
2616 Frais d'inscription |
5 876 148 |
2617 Recouvrement des indemnisations versées par l'État au titre des expulsions locatives |
8 263 620 |
2618 Remboursement des frais de scolarité et accessoires |
4 845 746 |
2620 Récupération d'indus |
29 090 000 |
2621 Recouvrements après admission en non-valeur |
114 350 000 |
2622 Divers versements de l'Union européenne |
7 483 000 000 |
2623 Reversements de fonds sur les dépenses des ministères ne donnant pas lieu à rétablissement de crédits |
32 698 352 |
2624 Intérêts divers (hors immobilisations financières) |
29 870 000 |
2625 Recettes diverses en provenance de l'étranger |
9 580 000 |
2626 Remboursement de certaines exonérations de taxe foncière sur les propriétés non bâties (art.109 de la loi de finances pour 1992) |
3 373 514 |
2627 Soulte sur reprise de dette et recettes assimilées |
0 |
2697 Recettes accidentelles |
347 780 000 |
2698 Produits divers |
30 000 000 |
2699 Autres produits divers |
412 044 507 |
Prélèvements sur les recettes de l'État |
|
1. Prélèvements sur les recettes de l'État au profit des collectivités territoriales |
44 842 463 483 |
3101 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation globale de fonctionnement |
27 145 046 362 |
3103 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation spéciale pour le logement des instituteurs |
4 753 232 |
3104 Dotation de compensation des pertes de bases de la taxe professionnelle et de redevance des mines des communes et de leurs groupements |
30 000 000 |
3106 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit du Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) |
7 104 000 000 |
3107 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation d'exonérations relatives à la fiscalité locale |
664 114 745 |
3108 Dotation élu local |
108 906 000 |
3109 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de la collectivité territoriale de Corse |
42 946 742 |
3111 Fonds de mobilisation départementale pour l'insertion |
431 738 376 |
3112 Dotation départementale d'équipement des collèges |
326 317 000 |
3113 Dotation régionale d'équipement scolaire |
661 186 000 |
3118 Dotation globale de construction et d'équipement scolaire |
2 686 000 |
3119 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (régions) |
447 129 770 |
3120 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (départements) |
1 243 315 500 |
3121 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (EPCI) |
890 110 332 |
3122 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (communes) |
239 658 133 |
3123 Dotation pour transferts de compensations d'exonérations de fiscalité directe locale |
378 003 970 |
3130 Dotation de compensation de la réforme de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale percevant la taxe d'habitation sur les logements vacants |
4 000 000 |
3131 Dotation de compensation liée au processus de départementalisation de Mayotte |
107 000 000 |
3133 Fonds de compensation des nuisances aéroportuaires |
6 822 000 |
3134 Dotation de garantie des reversements des fonds départementaux de taxe professionnelle |
272 278 000 |
3135 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation des pertes de recettes liées au relèvement du seuil d'assujettissement des entreprises au versement transport |
48 020 650 |
3136 Prélèvement sur les recettes de l’État au profit de la collectivité territoriale de Guyane |
27 000 000 |
3137 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit des régions au titre de la neutralisation financière de la réforme de l'apprentissage |
122 559 085 |
3138 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation globale d'autonomie de la Polynésie française |
90 552 000 |
3141 Soutien exceptionnel de l’Etat au profit des collectivités du bloc communal confrontées à des pertes de recettes fiscales et domaniales du fait de la crise sanitaire |
0 |
3142 Soutien exceptionnel de l’Etat au profit des régions d’outre-mer confrontées à des pertes de recettes d’octroi de mer et de taxe spéciale de consommation du fait de la crise sanitaire |
0 |
3143 Soutien exceptionnel de l'État au profit de la collectivité de Corse confrontée à certaines pertes de recettes fiscales spécifiques du fait de la crise sanitaire |
0 |
3144 Soutien exceptionnel de l'État au profit de St-Pierre-et-Miquelon, Saint-Martin, Saint-Barthélémy et Wallis-et-Futuna confrontées à certaines pertes de recettes fiscales spécifiques du fait de la crise sanitaire |
0 |
3145 Prélèvement sur les recettes de l'Etat au titre de la compensation de la réduction de 50% des valeurs locatives de TFPB et de CFE des locaux industriels |
4 016 619 586 |
3146 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation des communes et EPCI contributeurs au fonds national de garantie individuelle des ressources (FNGIR) subissant une perte de base de cotisation foncière des entreprises |
3 000 000 |
3147 Prélèvement exceptionnel sur les recettes de l’État de compensation du Fonds national de péréquation des droits de mutation à titre onéreux (DMTO) |
0 |
3151 Prélèvement sur les recettes de l’État au titre du soutien exceptionnel pour les communes et leurs groupements face à la croissance des prix de l’énergie et de la revalorisation du point d’indice de la fonction publique en 2022 |
0 |
3152 Prélèvement exceptionnel sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales et des groupements de communes qui procèdent à l’abandon ou à la renonciation définitive de loyers |
0 |
3158 Prélèvement sur les recettes de l’État au titre du soutien exceptionnel, au titre de l’année 2023, pour les collectivités territoriales face à la croissance des prix de l’énergie |
400 000 000 |
3159 Prélèvement sur les recettes de l’Etat au titre de la compensation de la réforme 2023 de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les EPCI percevant la taxe d’habitation sur les logements vacants |
24 700 000 |
2. Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de l'Union européenne |
21 609 624 014 |
3201 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit du budget de l'Union européenne |
21 609 624 014 |
Fonds de concours et attributions de produits |
7 378 632 983 |
Récapitulation des recettes du budget général
(en euros) |
|
Intitulé de la recette |
Évaluation |
Recettes fiscales |
349 424 255 895 |
Impôt net sur le revenu |
94 145 463 042 |
Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 398 000 000 |
Impôt net sur les sociétés |
72 160 845 041 |
Contribution sociale sur les bénéfices des sociétés |
1 741 600 000 |
Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
341 000 000 |
Autres impôts directs et taxes assimilées |
30 324 000 000 |
Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques nette |
16 432 978 472 |
Taxe sur la valeur ajoutée nette |
100 404 205 697 |
Enregistrement, timbre, autres contributions et taxes indirectes |
39 268 072 661 |
Autres remboursements et dégrèvements d'impôts d'État |
-7 791 909 018 |
Recettes non fiscales |
22 633 486 801 |
Dividendes et recettes assimilées |
3 154 700 000 |
Produits du domaine de l'État |
1 745 107 200 |
Produits de la vente de biens et services |
3 543 928 718 |
Remboursements et intérêts des prêts, avances et autres immobilisations financières |
1 135 309 824 |
Amendes, sanctions, pénalités et frais de poursuites |
2 910 524 644 |
Divers |
10 143 916 415 |
Total des recettes fiscales et non fiscales (I) |
372 057 742 696 |
Prélèvements sur les recettes de l'État |
66 452 087 497 |
Prélèvements sur les recettes de l'État au profit des collectivités territoriales |
44 842 463 483 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de l'Union européenne |
21 609 624 014 |
Total des recettes (I), nettes des prélèvements |
305 605 655 199 |
Fonds de concours et attributions de produits |
7 378 632 983 |
BUDGETS ANNEXES
(en euros) |
|
Intitulé de la recette |
Évaluation |
Contrôle et exploitation aériens |
2 431 958 213 |
Redevances de route |
1 553 982 000 |
Redevances pour services terminaux de la circulation aérienne pour la métropole |
252 826 000 |
Redevance océanique et redevances pour services terminaux de la circulation aérienne en outre-mer |
45 000 000 |
Redevances de surveillance et de certification |
27 122 617 |
Tarif de l'aviation civile (part de la taxe sur le transport aérien de marchandises et de la taxe sur le transport aérien de passagers) |
511 251 279 |
Tarif de solidarité de la taxe sur le transport aérien de passagers |
0 |
Contribution Bâle-Mulhouse |
5 704 627 |
Frais d'assiette et recouvrement sur taxes perçues pour le compte de tiers |
5 739 890 |
Recettes diverses |
3 500 000 |
Produit de cession d'actif |
2 000 000 |
Total des recettes et des ressources de financement |
2 407 126 413 |
Fonds de concours et attributions de produits |
24 831 800 |
Publications officielles et information administrative |
167 300 000 |
Bulletin officiel des annonces des marchés publics |
66 300 000 |
Bulletin des annonces légales et obligatoires |
6 600 000 |
Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales |
91 000 000 |
Journal officiel de la République française - Lois et Décrets |
0 |
Vente de publications et abonnements |
1 000 000 |
Prestations et travaux d'édition |
1 900 000 |
Autres activités |
500 000 |
Produit de cession d'actif |
0 |
Total des recettes et des ressources de financement |
167 300 000 |
Fonds de concours et attributions de produits |
0 |
COMPTES D'AFFECTATION SPÉCIALE
(en euros) |
||
Numéro de ligne |
Intitulé de la recette |
Évaluation |
|
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
1 660 384 465 |
|
Contrôle automatisé |
339 950 000 |
01 |
Amendes perçues par la voie du système de contrôle-sanction automatisé |
339 950 000 |
02 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Circulation et stationnement routiers |
1 320 434 465 |
03 |
Amendes perçues par la voie du système de contrôle-sanction automatisé |
170 000 000 |
04 |
Amendes forfaitaires de la police de la circulation et amendes forfaitaires majorées issues des infractions constatées par la voie du système de contrôle-sanction automatisé et des infractions aux règles de la police de la circulation |
1 150 434 465 |
05 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Développement agricole et rural |
141 000 000 |
01 |
Taxe sur le chiffre d'affaires des exploitations agricoles |
141 000 000 |
03 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale |
377 000 000 |
01 |
Contribution des gestionnaires de réseaux publics de distribution |
377 000 000 |
02 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Gestion du patrimoine immobilier de l'État |
340 000 000 |
01 |
Produits des cessions immobilières |
230 000 000 |
02 |
Produits de redevances domaniales |
110 000 000 |
|
Participations financières de l'État |
9 861 951 599 |
01 |
Produit des cessions, par l'État, de titres, parts ou droits de sociétés détenus directement |
45 000 000 |
02 |
Reversement de produits, sous toutes formes, résultant des cessions de titres, parts ou droits de sociétés détenus indirectement par l'État |
|
03 |
Reversement de dotations en capital et de produits de réduction de capital ou de liquidation |
|
04 |
Remboursement de créances rattachées à des participations financières |
|
05 |
Remboursements de créances liées à d'autres investissements, de l'État, de nature patrimoniale |
180 000 000 |
06 |
Versement du budget général |
9 636 951 599 |
|
Pensions |
65 100 874 581 |
|
Pensions civiles et militaires de retraite et allocations temporaires d'invalidité |
61 694 621 453 |
01 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension |
4 852 525 075 |
02 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension |
6 184 574 |
03 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
885 918 771 |
04 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
26 008 455 |
05 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
69 507 356 |
06 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de France Télécom et agents détachés à France Télécom |
62 319 841 |
07 |
Personnels civils : retenues pour pensions : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
321 429 130 |
08 |
Personnels civils : retenues pour pensions : validation des services auxiliaires : part agent : retenues rétroactives, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
9 179 223 |
09 |
Personnels civils : retenues pour pensions : rachat des années d'études |
4 300 000 |
10 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État : surcotisations salariales du temps partiel et des cessations progressives d'activité |
14 925 867 |
11 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres des établissements publics et agents détachés hors l'État : surcotisations salariales du temps partiel et des cessations progressives d'activité |
22 000 000 |
12 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de La Poste et agents détachés à La Poste |
152 947 118 |
14 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres et détachés des budgets annexes |
39 516 592 |
21 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension (hors allocation temporaire d'invalidité) |
33 214 580 291 |
22 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors allocation temporaire d'invalidité) |
42 286 236 |
23 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
5 761 460 442 |
24 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
113 267 259 |
25 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
364 190 153 |
26 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres de France Télécom et agents détachés à France Télécom |
290 274 304 |
27 |
Personnels civils : contributions des employeurs : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
1 192 809 378 |
28 |
Personnels civils : contributions des employeurs : validation des services auxiliaires : part employeur : complément patronal, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
5 902 760 |
32 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres de La Poste et agents détachés à La Poste |
181 692 382 |
33 |
Personnels civils : contributions des employeurs : allocation temporaire d'invalidité |
176 398 983 |
34 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres et détachés des budgets annexes |
258 020 191 |
41 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension |
1 011 687 440 |
42 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension |
126 530 |
43 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
2 907 074 |
44 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
1 279 109 |
45 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
948 605 |
47 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
62 904 473 |
48 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : validation des services auxiliaires : part agent : retenues rétroactives, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
23 686 |
49 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : rachat des années d'études |
1 500 000 |
51 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension |
10 656 025 995 |
52 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension |
1 459 832 |
53 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
19 833 177 |
54 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
7 806 017 |
55 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
3 319 751 |
57 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
782 955 383 |
58 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : validation des services auxiliaires : part employeur : complément patronal, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
|
61 |
Recettes diverses (administration centrale) : Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales (CNRACL) : transfert au titre de l'article 59 de la loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 |
394 000 000 |
62 |
Recettes diverses (administration centrale) : La Poste : versement de la contribution exceptionnelle de l'Établissement public national de financement des retraites de La Poste |
|
63 |
Recettes diverses (administration centrale) : versement du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) au titre de la majoration du minimum vieillesse : personnels civils |
1 200 000 |
64 |
Recettes diverses (administration centrale) : versement du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) au titre de la majoration du minimum vieillesse : personnels militaires |
|
65 |
Recettes diverses (administration centrale) : compensation démographique généralisée : personnels civils |
646 000 000 |
66 |
Recettes diverses (administration centrale) : compensation démographique généralisée : personnels militaires |
|
67 |
Recettes diverses : récupération des indus sur pensions : personnels civils |
15 000 000 |
68 |
Recettes diverses : récupération des indus sur pensions : personnels militaires |
9 000 000 |
69 |
Autres recettes diverses |
9 000 000 |
|
Ouvriers des établissements industriels de l'État |
2 109 040 505 |
71 |
Cotisations salariales et patronales |
315 919 617 |
72 |
Contribution au Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l'État (FSPOEIE) et au Fonds des rentes d'accident du travail des ouvriers civils des établissements militaires (RATOCEM) |
1 691 955 761 |
73 |
Compensations inter-régimes généralisée et spécifique |
94 000 000 |
74 |
Recettes diverses |
6 906 432 |
75 |
Autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
258 695 |
|
Pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre et autres pensions |
1 297 212 623 |
81 |
Financement de la retraite du combattant : participation du budget général |
536 438 630 |
82 |
Financement de la retraite du combattant : autres moyens |
|
83 |
Financement du traitement de membres de la Légion d'honneur : participation du budget général |
229 063 |
84 |
Financement du traitement de membres de la Légion d'honneur : autres moyens |
|
85 |
Financement du traitement de personnes décorées de la Médaille militaire : participation du budget général |
534 437 |
86 |
Financement du traitement de personnes décorées de la Médaille militaire : autres moyens |
|
87 |
Financement des pensions militaires d'invalidité : participation du budget général |
690 347 441 |
88 |
Financement des pensions militaires d'invalidité : autres moyens |
|
89 |
Financement des pensions d'Alsace-Lorraine : participation du budget général |
16 000 000 |
90 |
Financement des pensions d'Alsace-Lorraine : autres moyens |
|
91 |
Financement des allocations de reconnaissance des anciens supplétifs : participation du budget général |
41 702 301 |
92 |
Financement des pensions des anciens agents du chemin de fer franco-éthiopien : participation du budget général |
32 849 |
93 |
Financement des pensions des sapeurs-pompiers et anciens agents de la défense passive victimes d'accident : participation du budget général |
11 855 902 |
94 |
Financement des pensions de l'ORTF : participation du budget général |
72 000 |
95 |
Financement des pensions des anciens agents du chemin de fer franco-éthiopien : autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
|
96 |
Financement des pensions des sapeurs-pompiers et anciens agents de la défense passive victimes d'accident : autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
|
97 |
Financement des pensions de l'ORTF : autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
|
98 |
Financement des pensions de l'ORTF : recettes diverses |
|
|
Total des recettes |
77 481 210 645 |
COMPTES DE CONCOURS FINANCIERS
(en euros) |
||
Numéro de ligne |
Intitulé de la recette |
Évaluation |
|
Accords monétaires internationaux |
0 |
01 |
Remboursements des appels en garantie de convertibilité concernant l'Union monétaire ouest-africaine |
|
02 |
Remboursements des appels en garantie de convertibilité concernant l'Union monétaire d'Afrique centrale |
|
03 |
Remboursements des appels en garantie de convertibilité concernant l'Union des Comores |
|
|
Avances à l'audiovisuel public |
4 025 228 395 |
01 |
Recettes |
4 025 228 395 |
|
Avances aux collectivités territoriales |
130 019 526 893 |
|
Avances aux collectivités et établissements publics, et à la Nouvelle-Calédonie |
0 |
01 |
Remboursement des avances de l’article 70 de la loi du 31 mars 1932 et de l’article L. 2336-1 du code général des collectivités territoriales |
|
02 |
Remboursement des avances de l’article 14 de la loi n° 46-2921 du 23 décembre 1946 et de l’article L. 2336-2 du code général des collectivités territoriales |
|
03 |
Remboursement des avances de l’article 34 de la loi n° 53-1336 du 31 décembre 1953 (avances spéciales sur recettes budgétaires) |
|
04 |
Avances à la Nouvelle-Calédonie (fiscalité nickel) |
|
|
Avances sur le montant des impositions revenant aux régions, départements, communes, établissements et divers organismes |
130 019 526 893 |
05 |
Recettes diverses |
61 782 495 027 |
09 |
Taxe d’habitation et taxes annexes |
3 755 183 795 |
10 |
Taxes foncières et taxes annexes |
53 200 769 920 |
11 |
Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises |
335 764 053 |
12 |
Cotisation foncière des entreprises et taxes annexes |
10 945 314 098 |
|
Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d’autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l’épidémie de covid-19 |
0 |
13 |
Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d’autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l’épidémie de covid-19
|
|
|
Prêts à des États étrangers |
1 077 711 470 |
|
Prêts à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France |
276 842 146 |
01 |
Remboursement des prêts accordés à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France |
276 842 146 |
|
Prêts à des États étrangers pour consolidation de dettes envers la France |
59 127 077 |
02 |
Remboursement de prêts du Trésor |
59 127 077 |
|
Prêts à l'Agence française de développement en vue de favoriser le développement économique et social dans des États étrangers |
171 500 000 |
03 |
Remboursement de prêts octroyés par l'Agence française de développement |
171 500 000 |
|
Prêts aux États membres de la zone euro |
570 242 247 |
04 |
Remboursement des prêts consentis aux États membres de l'Union européenne dont la monnaie est l'euro |
570 242 247 |
|
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
94 665 809 |
|
Prêts et avances pour le logement des agents de l'État |
30 765 |
02 |
Avances aux agents de l'État pour l'amélioration de l'habitat |
|
04 |
Avances aux agents de l'État à l'étranger pour la prise en location d'un logement |
30 765 |
|
Prêts pour le développement économique et social |
94 635 044 |
05 |
Prêts accordés au titre du soutien à la filière nickel |
0 |
06 |
Prêts pour le développement économique et social |
84 635 044 |
07 |
Prêts à la filière automobile |
|
09 |
Prêts aux petites et moyennes entreprises |
|
12 |
Prêts octroyés dans le cadre des programmes d’investissement d’avenir |
10 000 000 |
|
Prêts à la société concessionnaire de la liaison express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle |
0 |
10 |
Prêts à la société concessionnaire de la liaison express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle |
|
|
Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine |
0 |
11 |
Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine
|
|
|
Prêts et avances à divers services de l'État ou organismes gérant des services publics |
10 819 214 091 |
01 |
Remboursement des avances octroyées au titre du préfinancement des aides communautaires de la politique agricole commune |
10 000 000 000 |
03 |
Remboursement des avances octroyées à des organismes distincts de l'État et gérant des services publics |
313 324 845 |
04 |
Remboursement des prêts et avances octroyés à des services de l'État |
382 358 616 |
05 |
Remboursement des avances octroyées au titre de l'indemnisation des victimes du Benfluorex |
15 000 000 |
06 |
Remboursement des prêts octroyés aux exploitants d'aéroports touchés par la crise de covid-19 au titre des dépenses de sûreté-sécurité |
78 530 630 |
07 |
Remboursement des prêts octroyés à Île-de-France Mobilités à la suite des conséquences de l’épidémie de covid-19 |
30 000 000 |
08 |
Remboursement des prêts destinés à soutenir les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) à la suite des conséquences de l'épidémie de Covid-19 |
|
09 |
Remboursement des prêts octroyés à la métropole d’Aix-Marseille-Provence au titre du financement des infrastructures de transports collectifs du quotidien |
|
10 |
Remboursement des prêts octroyés à FranceAgriMer au titre des préfinancements de fonds européens |
0 |
|
Total des recettes |
146 036 346 658 |
BUDGET GÉNÉRAL
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Action extérieure de l'État |
3 508 835 292 |
3 506 629 505 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
2 265 581 395 |
2 263 775 608 |
dont titre 2 |
789 227 766 |
789 227 766 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
805 972 195 |
805 972 195 |
dont titre 2 |
84 794 416 |
84 794 416 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
437 281 702 |
436 881 702 |
dont titre 2 |
271 654 955 |
271 654 955 |
Administration générale et territoriale de l'État |
5 596 173 769 |
4 657 691 472 |
Administration territoriale de l'État |
2 633 815 008 |
2 583 741 500 |
dont titre 2 |
2 033 491 883 |
2 033 491 883 |
Vie politique |
257 725 252 |
257 621 749 |
dont titre 2 |
23 844 604 |
23 844 604 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
2 704 633 509 |
1 816 328 223 |
dont titre 2 |
861 202 618 |
861 202 618 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
5 343 690 681 |
4 752 703 914 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
3 167 360 200 |
2 726 587 303 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
1 035 116 696 |
904 703 711 |
dont titre 2 |
390 422 289 |
390 422 289 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
717 213 785 |
697 412 900 |
dont titre 2 |
606 155 944 |
606 155 944 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
423 000 000 |
423 000 000 |
Soutien aux associations de protection animale et aux refuges |
1 000 000 |
1 000 000 |
Aide publique au développement |
6 292 614 198 |
5 928 922 015 |
Aide économique et financière au développement |
2 727 128 248 |
2 337 910 235 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
150 000 000 |
150 000 000 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
3 409 385 144 |
3 434 910 974 |
dont titre 2 |
169 447 597 |
169 447 597 |
Restitution des "biens mal acquis" |
6 100 806 |
6 100 806 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 914 297 459 |
1 923 457 459 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 826 156 624 |
1 835 316 624 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
88 140 835 |
88 140 835 |
dont titre 2 |
1 467 031 |
1 467 031 |
Cohésion des territoires |
19 418 284 365 |
19 371 932 077 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 900 915 926 |
2 925 669 370 |
Aide à l'accès au logement |
13 901 400 000 |
13 901 400 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
1 512 861 469 |
1 538 661 469 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
387 931 467 |
338 520 529 |
dont titre 2 |
6 000 000 |
6 000 000 |
Politique de la ville |
634 529 153 |
634 529 153 |
dont titre 2 |
18 871 649 |
18 871 649 |
Interventions territoriales de l'État |
80 646 350 |
33 151 556 |
Conseil et contrôle de l'État |
818 520 324 |
883 557 109 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
519 133 207 |
583 402 714 |
dont titre 2 |
436 743 672 |
436 743 672 |
Conseil économique, social et environnemental |
44 907 172 |
44 907 172 |
dont titre 2 |
35 829 665 |
35 829 665 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
254 479 945 |
255 247 223 |
dont titre 2 |
227 855 284 |
227 855 284 |
Crédits non répartis |
810 526 298 |
510 526 298 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
285 526 298 |
285 526 298 |
dont titre 2 |
285 526 298 |
285 526 298 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
525 000 000 |
225 000 000 |
Culture |
4 182 862 087 |
3 899 919 894 |
Patrimoines |
1 476 217 348 |
1 190 610 999 |
Création |
1 027 200 129 |
1 036 973 016 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
833 262 796 |
828 080 514 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
846 181 814 |
844 255 365 |
dont titre 2 |
733 781 426 |
733 781 426 |
Défense |
67 863 751 228 |
56 778 360 430 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
2 198 423 067 |
1 967 619 198 |
Préparation et emploi des forces |
16 584 518 121 |
13 577 549 897 |
Soutien de la politique de la défense |
24 687 901 008 |
24 641 838 837 |
dont titre 2 |
23 205 361 658 |
23 205 361 658 |
Équipement des forces |
24 392 909 032 |
16 591 352 498 |
Direction de l'action du Gouvernement |
1 017 387 983 |
1 049 079 187 |
Coordination du travail gouvernemental |
878 542 763 |
914 282 802 |
dont titre 2 |
293 679 960 |
293 679 960 |
Protection des droits et libertés |
138 845 220 |
134 796 385 |
dont titre 2 |
63 380 913 |
63 380 913 |
Écologie, développement et mobilité durables |
24 464 449 306 |
21 630 866 316 |
Infrastructures et services de transports |
4 349 509 150 |
4 386 472 428 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
300 833 004 |
274 535 103 |
Paysages, eau et biodiversité |
577 954 847 |
511 972 615 |
Expertise, information géographique et météorologie |
516 429 593 |
516 429 593 |
Prévention des risques |
1 326 595 490 |
1 328 233 701 |
dont titre 2 |
57 036 316 |
57 036 316 |
Énergie, climat et après-mines |
5 630 177 062 |
4 888 154 925 |
Service public de l'énergie |
6 155 000 000 |
5 500 000 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
3 107 950 160 |
3 100 067 951 |
dont titre 2 |
2 835 517 595 |
2 835 517 595 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
2 500 000 000 |
1 125 000 000 |
Économie |
4 182 876 247 |
4 293 248 047 |
Développement des entreprises et régulations |
2 946 947 565 |
2 656 729 661 |
dont titre 2 |
413 728 612 |
413 728 612 |
Plan France Très haut débit |
46 435 000 |
464 470 090 |
Statistiques et études économiques |
485 760 309 |
473 471 923 |
dont titre 2 |
395 926 581 |
395 926 581 |
Stratégies économiques |
703 733 373 |
698 576 373 |
dont titre 2 |
150 273 373 |
150 273 373 |
Financement des opérations patrimoniales en 2024 sur le compte d'affectation spéciale « Participations financières de l'État » |
0 |
0 |
Engagements financiers de l'État |
54 155 502 785 |
60 818 123 694 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
51 375 000 000 |
51 375 000 000 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
1 902 436 463 |
1 902 436 463 |
Épargne |
71 066 322 |
71 066 322 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
807 000 000 |
807 000 000 |
Dotation du Mécanisme européen de stabilité |
0 |
0 |
Augmentation de capital de la Banque européenne d'investissement |
0 |
0 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
187 669 310 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
6 474 951 599 |
Enseignement scolaire |
86 937 330 888 |
86 833 850 228 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
26 842 958 249 |
26 842 958 249 |
dont titre 2 |
26 774 187 832 |
26 774 187 832 |
Enseignement scolaire public du second degré |
38 424 611 769 |
38 424 611 769 |
dont titre 2 |
37 957 464 193 |
37 957 464 193 |
Vie de l'élève |
7 971 021 922 |
7 941 021 922 |
dont titre 2 |
4 655 647 980 |
4 655 647 980 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
9 035 305 069 |
9 035 305 069 |
dont titre 2 |
8 133 539 453 |
8 133 539 453 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 966 048 985 |
2 894 284 793 |
dont titre 2 |
2 030 419 956 |
2 030 419 956 |
Enseignement technique agricole |
1 697 384 894 |
1 695 668 426 |
dont titre 2 |
1 114 764 225 |
1 114 764 225 |
Gestion des finances publiques |
10 811 377 220 |
10 899 839 683 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
8 080 622 306 |
8 138 123 940 |
dont titre 2 |
6 903 431 646 |
6 903 431 646 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
991 367 039 |
1 054 761 167 |
dont titre 2 |
529 654 750 |
529 654 750 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 739 387 875 |
1 706 954 576 |
dont titre 2 |
1 329 379 114 |
1 329 379 114 |
Immigration, asile et intégration |
1 764 338 061 |
2 156 002 672 |
Immigration et asile |
1 333 126 696 |
1 724 843 750 |
Intégration et accès à la nationalité française |
431 211 365 |
431 158 922 |
Investir pour la France de 2030 |
0 |
7 701 710 000 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
255 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
88 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
14 260 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
5 691 750 000 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
1 652 500 000 |
Justice |
14 235 842 974 |
12 159 946 765 |
Justice judiciaire |
4 753 946 619 |
4 544 008 245 |
dont titre 2 |
2 986 657 137 |
2 986 657 137 |
Administration pénitentiaire |
6 813 981 632 |
5 002 950 814 |
dont titre 2 |
3 225 380 273 |
3 225 380 273 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
1 160 761 152 |
1 125 947 340 |
dont titre 2 |
670 006 160 |
670 006 160 |
Accès au droit et à la justice |
734 234 297 |
734 234 297 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
768 281 245 |
747 085 247 |
dont titre 2 |
245 737 534 |
245 737 534 |
Conseil supérieur de la magistrature |
4 638 029 |
5 720 822 |
dont titre 2 |
3 275 506 |
3 275 506 |
Médias, livre et industries culturelles |
741 875 375 |
735 947 922 |
Presse et médias |
377 705 399 |
376 665 279 |
Livre et industries culturelles |
364 169 976 |
359 282 643 |
Outre-mer |
2 904 426 717 |
2 657 613 991 |
Emploi outre-mer |
1 881 452 874 |
1 868 190 019 |
dont titre 2 |
210 822 902 |
210 822 902 |
Conditions de vie outre-mer |
1 022 973 843 |
789 423 972 |
Plan de relance |
0 |
1 413 961 042 |
Écologie |
0 |
1 169 075 442 |
Compétitivité |
0 |
65 985 600 |
Cohésion |
0 |
178 900 000 |
Pouvoirs publics |
1 137 842 143 |
1 137 842 143 |
Présidence de la République |
122 563 852 |
122 563 852 |
Assemblée nationale |
607 647 569 |
607 647 569 |
Sénat |
353 470 900 |
353 470 900 |
La Chaîne parlementaire |
35 245 822 |
35 245 822 |
Indemnités des représentants français au Parlement européen |
0 |
0 |
Conseil constitutionnel |
17 930 000 |
17 930 000 |
Haute Cour |
0 |
0 |
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
Recherche et enseignement supérieur |
32 319 177 321 |
31 819 150 903 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
15 277 052 720 |
15 180 783 720 |
dont titre 2 |
431 823 270 |
431 823 270 |
Vie étudiante |
3 357 406 410 |
3 326 639 077 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
8 622 699 505 |
8 181 401 634 |
Recherche spatiale |
1 900 179 541 |
1 900 179 541 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 888 583 219 |
1 948 483 219 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
678 136 541 |
688 636 541 |
Recherche duale (civile et militaire) |
150 019 167 |
150 019 167 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
445 100 218 |
443 008 004 |
dont titre 2 |
266 389 570 |
266 389 570 |
Régimes sociaux et de retraite |
6 228 688 445 |
6 228 688 445 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 365 695 818 |
4 365 695 818 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
787 337 160 |
787 337 160 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA et divers |
1 075 655 467 |
1 075 655 467 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 359 891 773 |
4 275 538 290 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
4 146 457 882 |
4 060 044 644 |
Concours spécifiques et administration |
213 433 891 |
215 493 646 |
Remboursements et dégrèvements |
140 250 561 424 |
140 250 561 424 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
135 959 561 424 |
135 959 561 424 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 291 000 000 |
4 291 000 000 |
Santé |
2 343 281 268 |
2 346 581 268 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
220 081 268 |
223 381 268 |
dont titre 2 |
1 300 000 |
1 300 000 |
Protection maladie |
1 216 300 000 |
1 216 300 000 |
Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
906 900 000 |
906 900 000 |
Sécurités |
25 026 217 677 |
24 169 218 938 |
Police nationale |
13 362 033 907 |
12 932 725 125 |
dont titre 2 |
11 205 346 827 |
11 205 346 827 |
Gendarmerie nationale |
10 867 308 357 |
10 392 977 945 |
dont titre 2 |
8 906 783 640 |
8 906 783 640 |
Sécurité et éducation routières |
110 387 203 |
108 879 721 |
Sécurité civile |
686 488 210 |
734 636 147 |
dont titre 2 |
215 760 792 |
215 760 792 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
30 747 479 735 |
30 845 369 866 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
14 034 617 889 |
14 035 779 223 |
dont titre 2 |
3 400 000 |
3 400 000 |
Handicap et dépendance |
15 381 767 027 |
15 381 767 027 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
76 008 682 |
76 008 682 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
1 255 086 137 |
1 351 814 934 |
dont titre 2 |
448 036 197 |
448 036 197 |
Sport, jeunesse et vie associative |
1 704 082 843 |
1 794 794 180 |
Sport |
760 102 002 |
760 073 339 |
dont titre 2 |
129 488 048 |
129 488 048 |
Jeunesse et vie associative |
901 070 841 |
901 070 841 |
dont titre 2 |
40 952 981 |
40 952 981 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
42 910 000 |
133 650 000 |
Transformation et fonction publiques |
1 198 548 322 |
1 095 721 681 |
Performance et résilience des bâtiments de l'Etat et de ses opérateurs |
654 843 385 |
527 867 705 |
Transformation publique |
145 463 360 |
162 824 233 |
dont titre 2 |
1 500 000 |
1 500 000 |
Innovation et transformation numériques |
74 100 000 |
74 100 000 |
dont titre 2 |
3 000 000 |
3 000 000 |
Fonction publique |
275 775 829 |
282 563 995 |
dont titre 2 |
290 000 |
290 000 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
48 365 748 |
48 365 748 |
dont titre 2 |
48 365 748 |
48 365 748 |
Travail et emploi |
22 866 704 331 |
22 560 984 550 |
Accès et retour à l'emploi |
7 425 866 323 |
7 432 175 317 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
14 555 906 927 |
14 319 732 364 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
184 617 840 |
110 036 293 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
700 313 241 |
699 040 576 |
dont titre 2 |
597 633 990 |
597 633 990 |
Total |
585 147 438 539 |
581 088 341 408 |
BUDGETS ANNEXES
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Contrôle et exploitation aériens |
2 451 197 135 |
2 262 984 922 |
Soutien aux prestations de l'aviation civile |
1 566 519 984 |
1 559 777 156 |
dont titre 2 |
1 341 130 265 |
1 341 130 265 |
Navigation aérienne |
836 178 162 |
652 923 815 |
Transports aériens, surveillance et certification |
48 498 989 |
50 283 951 |
Publications officielles et information administrative |
159 167 436 |
151 629 490 |
Édition et diffusion |
47 882 590 |
44 171 044 |
Pilotage et ressources humaines |
111 284 846 |
107 458 446 |
dont titre 2 |
66 271 937 |
66 271 937 |
Total |
2 610 364 571 |
2 414 614 412 |
COMPTES D'AFFECTATION SPÉCIALE
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
1 660 074 465 |
1 660 074 465 |
Structures et dispositifs de sécurité routière |
339 640 000 |
339 640 000 |
Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers |
26 200 000 |
26 200 000 |
Contribution à l'équipement des collectivités territoriales pour l'amélioration des transports en commun, de la sécurité et de la circulation routières |
666 844 266 |
666 844 266 |
Désendettement de l'État |
627 390 199 |
627 390 199 |
Développement agricole et rural |
141 000 000 |
141 000 000 |
Développement et transfert en agriculture |
62 930 000 |
62 930 000 |
Recherche appliquée et innovation en agriculture |
78 070 000 |
78 070 000 |
Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale |
360 000 000 |
360 000 000 |
Électrification rurale |
357 000 000 |
357 000 000 |
Opérations de maîtrise de la demande d'électricité, de production d'électricité par des énergies renouvelables ou de production de proximité dans les zones non interconnectées |
3 000 000 |
3 000 000 |
Gestion du patrimoine immobilier de l'État |
340 000 000 |
340 000 000 |
Contribution des cessions immobilières au désendettement de l'État |
0 |
0 |
Opérations immobilières et entretien des bâtiments de l'État |
340 000 000 |
340 000 000 |
Participations financières de l'État |
9 861 951 599 |
9 861 951 599 |
Opérations en capital intéressant les participations financières de l'État |
3 387 000 000 |
3 387 000 000 |
Désendettement de l'État et d'établissements publics de l'État |
6 474 951 599 |
6 474 951 599 |
Pensions |
67 583 738 257 |
67 583 738 257 |
Pensions civiles et militaires de retraite et allocations temporaires d'invalidité |
64 234 342 692 |
64 234 342 692 |
dont titre 2 |
64 231 092 692 |
64 231 092 692 |
Ouvriers des établissements industriels de l'État |
2 052 182 942 |
2 052 182 942 |
dont titre 2 |
2 045 324 902 |
2 045 324 902 |
Pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre et autres pensions |
1 297 212 623 |
1 297 212 623 |
dont titre 2 |
16 000 000 |
16 000 000 |
Total |
79 946 764 321 |
79 946 764 321 |
COMPTES DE CONCOURS FINANCIERS
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Accords monétaires internationaux |
0 |
0 |
Relations avec l'Union monétaire ouest-africaine |
0 |
0 |
Relations avec l'Union monétaire d'Afrique centrale |
0 |
0 |
Relations avec l'Union des Comores |
0 |
0 |
Avances à l'audiovisuel public |
4 025 228 395 |
4 025 228 395 |
France Télévisions |
2 523 106 868 |
2 523 106 868 |
ARTE France |
293 602 353 |
293 602 353 |
Radio France |
652 954 400 |
652 954 400 |
France Médias Monde |
299 202 200 |
299 202 200 |
Institut national de l'audiovisuel |
103 913 354 |
103 913 354 |
TV5 Monde |
83 449 220 |
83 449 220 |
Programme de transformation |
69 000 000 |
69 000 000 |
Avances aux collectivités territoriales |
132 434 502 964 |
132 434 502 964 |
Avances aux collectivités et établissements publics, et à la Nouvelle-Calédonie |
6 000 000 |
6 000 000 |
Avances sur le montant des impositions revenant aux régions, départements, communes, établissements et divers organismes |
132 428 502 964 |
132 428 502 964 |
Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d'autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l'épidémie de covid-19 |
0 |
0 |
Prêts à des États étrangers |
1 287 122 390 |
1 199 125 194 |
Prêts du Trésor à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France |
1 000 000 000 |
762 002 804 |
Prêts à des États étrangers pour consolidation de dettes envers la France |
287 122 390 |
287 122 390 |
Prêts à l'Agence française de développement en vue de favoriser le développement économique et social dans des États étrangers |
0 |
150 000 000 |
Prêts aux États membres de l'Union européenne dont la monnaie est l'euro |
0 |
0 |
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
375 050 000 |
453 250 000 |
Prêts et avances pour le logement des agents de l'État |
50 000 |
50 000 |
Prêts pour le développement économique et social |
75 000 000 |
75 000 000 |
Soutien à la filière nickel en Nouvelle Calédonie |
0 |
0 |
Prêts octroyés dans le cadre des programmes des investissements d'avenir |
0 |
11 000 000 |
Prêts à la société concessionnaire de la liaison express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle |
300 000 000 |
367 200 000 |
Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine |
0 |
0 |
Prêts et avances à divers services de l'État ou organismes gérant des services publics |
10 533 217 124 |
10 533 217 124 |
Avances à l'Agence de services et de paiement, au titre du préfinancement des aides communautaires de la politique agricole commune |
10 000 000 000 |
10 000 000 000 |
Avances à des organismes distincts de l'État et gérant des services publics |
210 000 000 |
210 000 000 |
Prêts et avances à des services de l'État |
238 217 124 |
238 217 124 |
Avances à l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM) au titre de l'indemnisation des victimes du Benfluorex |
15 000 000 |
15 000 000 |
Prêts aux exploitants d'aéroports touchés par la crise de covid-19 au titre des dépenses de sûreté-sécurité |
0 |
0 |
Prêts destinés à soutenir Île-de-France Mobilités à la suite des conséquences de l'épidémie de la covid-19 |
0 |
0 |
Prêts destinés à soutenir les autorités organisatrices de la mobilité à la suite des conséquences de l'épidémie de la covid-19 |
0 |
0 |
Prêts destinés au financement des infrastructures de transports collectifs du quotidien de la métropole d'Aix-Marseille-Provence |
0 |
0 |
Prêts à FranceAgriMer au titre des préfinancements de fonds européens |
70 000 000 |
70 000 000 |
Total |
148 655 120 873 |
148 645 323 677 |
COMPTES DE COMMERCE
(en euros) |
||
Numéro |
Intitulé du compte |
Autorisation |
901 |
Approvisionnement de l'État et des forces armées en produits pétroliers et énergies alternatives, biens et services complémentaires |
125 000 000 |
912 |
Cantine et travail des détenus dans le cadre pénitentiaire |
23 000 000 |
910 |
Couverture des risques financiers de l'État |
634 000 000 |
902 |
Exploitations industrielles des ateliers aéronautiques de l'État |
0 |
903 |
Gestion de la dette et de la trésorerie de l'État |
19 200 000 000 |
|
Section 1 Opérations relatives à la dette primaire et gestion de la trésorerie |
17 500 000 000 |
|
Section 2 Opérations de gestion active de la dette au moyen d'instruments financiers à terme |
1 700 000 000 |
904 |
Lancement de certains matériels de guerre et matériels assimilés |
0 |
907 |
Opérations commerciales des domaines |
0 |
909 |
Régie industrielle des établissements pénitentiaires |
609 800 |
915 |
Soutien financier au commerce extérieur |
0 |
|
Total |
19 982 609 800 |
COMPTES D'OPÉRATIONS MONÉTAIRES
(en euros) |
||
Numéro |
Intitulé du compte |
Autorisation |
951 |
Émission des monnaies métalliques |
0 |
952 |
Opérations avec le Fonds monétaire international |
0 |
953 |
Pertes et bénéfices de change |
175 000 000 |
|
Total |
175 000 000 |
BUDGET GÉNÉRAL
Action extérieure de l'État |
25 123 608 314 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
24 636 942 088 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
3 019 963 279 |
dont dépenses d'investissement |
113 715 244 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
50 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
7 304 795 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Prélèvements sur recettes |
21 609 624 014 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
486 666 226 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
486 666 226 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
486 666 226 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Administration générale et territoriale de l'État |
4 996 314 416 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
4 617 626 232 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 565 736 689 |
dont dépenses d'investissement |
335 935 762 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
51 889 543 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
378 688 184 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
91 954 783 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
30 927 415 |
dont subventions pour charges d'investissement |
61 027 368 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
286 733 401 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
18 350 834 221 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
17 258 821 190 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 133 590 883 |
dont dépenses d'investissement |
56 779 169 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
10 211 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
14 230 307 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
2 900 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
1 092 013 031 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
619 113 031 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
568 583 170 |
dont subventions pour charges d'investissement |
49 399 861 |
dont dotation en fonds propres |
1 130 000 |
Ressources affectées*** |
472 900 000 |
Aide publique au développement |
7 866 047 209 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
7 128 047 209 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
5 928 922 015 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
1 199 125 194 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
738 000 000 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
738 000 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
2 560 331 459 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
2 472 436 381 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 835 562 381 |
dont dépenses d'investissement |
220 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
21 874 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
615 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
87 895 078 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
87 895 078 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
78 735 078 |
dont subventions pour charges d'investissement |
9 160 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Cohésion des territoires |
32 308 925 534 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
31 083 216 562 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
19 245 668 105 |
dont dépenses d'investissement |
22 539 239 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
351 548 457 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
11 486 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
1 225 708 972 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
126 263 972 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
122 463 972 |
dont subventions pour charges d'investissement |
3 800 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
1 099 445 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
890 087 109 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
890 087 109 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
883 557 109 |
dont dépenses d'investissement |
60 776 081 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
6 530 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Crédits non répartis |
510 526 298 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
510 526 298 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
510 526 298 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Culture |
4 737 919 894 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
3 444 379 339 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 614 379 339 |
dont dépenses d'investissement |
280 701 683 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
1 000 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
829 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
1 293 540 555 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
1 285 540 555 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
1 132 928 509 |
dont subventions pour charges d'investissement |
152 612 046 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
8 000 000 |
Défense |
58 117 870 430 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
57 529 485 228 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
56 189 975 228 |
dont dépenses d'investissement |
16 106 201 533 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
1 234 510 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
105 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
588 385 202 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
588 385 202 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
482 474 320 |
dont subventions pour charges d'investissement |
105 910 882 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Direction de l'action du Gouvernement |
1 088 651 584 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
1 006 704 340 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
967 131 943 |
dont dépenses d'investissement |
146 965 603 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
37 572 397 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
2 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
81 947 244 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
81 947 244 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
78 710 385 |
dont subventions pour charges d'investissement |
3 236 859 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Écologie, développement et mobilité durables |
39 207 283 987 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
30 174 824 293 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
19 663 650 622 |
dont dépenses d'investissement |
155 001 773 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
727 200 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
4 094 973 671 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
5 689 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
9 032 459 694 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
1 967 215 694 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
1 956 523 173 |
dont subventions pour charges d'investissement |
10 692 521 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
7 065 244 000 |
Économie |
22 494 857 494 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
21 208 456 570 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 109 113 123 |
dont dépenses d'investissement |
750 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
9 936 951 599 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
8 391 848 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
7 154 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
1 286 400 924 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
184 134 924 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
180 934 924 |
dont subventions pour charges d'investissement |
3 200 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
1 102 266 000 |
Engagements financiers de l'État |
68 256 013 893 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
61 781 062 294 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
54 343 172 095 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
837 390 199 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
11 500 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
6 589 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
6 474 951 599 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
6 474 951 599 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
6 474 951 599 |
Ressources affectées*** |
0 |
Enseignement scolaire |
87 078 395 228 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
86 911 996 673 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
86 667 451 673 |
dont dépenses d'investissement |
165 633 820 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
22 545 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
222 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
166 398 555 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
166 398 555 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
164 257 514 |
dont subventions pour charges d'investissement |
1 419 541 |
dont dotation en fonds propres |
721 500 |
Ressources affectées*** |
0 |
Gestion des finances publiques |
11 425 814 033 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
11 425 814 033 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
10 899 839 683 |
dont dépenses d'investissement |
310 531 944 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
340 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
34 974 350 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
151 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Immigration, asile et intégration |
2 250 592 225 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
1 899 221 647 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 804 632 094 |
dont dépenses d'investissement |
138 102 780 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
94 589 553 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
351 370 578 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
351 370 578 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
339 495 578 |
dont subventions pour charges d'investissement |
11 875 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Investir pour la France de 2030 |
7 712 710 000 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
7 712 710 000 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
7 701 710 000 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
11 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Justice |
12 203 052 911 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
12 060 161 419 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
12 046 355 273 |
dont dépenses d'investissement |
996 392 380 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
9 806 146 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
4 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
142 891 492 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
113 591 492 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
112 671 492 |
dont subventions pour charges d'investissement |
920 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
29 300 000 |
Médias, livre et industries culturelles |
5 650 176 317 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
5 286 002 745 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
421 774 350 |
dont dépenses d'investissement |
2 600 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
4 025 228 395 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
839 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
364 173 572 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
314 173 572 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
276 291 870 |
dont subventions pour charges d'investissement |
37 881 702 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
50 000 000 |
Outre-mer |
8 314 945 491 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
8 307 498 418 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 650 166 918 |
dont dépenses d'investissement |
25 681 302 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
40 331 500 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
5 617 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
7 447 073 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
7 447 073 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
7 447 073 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Plan de relance |
1 413 961 042 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
1 311 144 351 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 311 144 351 |
dont dépenses d'investissement |
299 731 880 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
102 816 691 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
102 816 691 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
102 816 691 |
Ressources affectées*** |
0 |
Pouvoirs publics |
1 137 842 143 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
1 137 842 143 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 137 842 143 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Recherche et enseignement supérieur |
40 917 604 872 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
15 935 837 008 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
7 075 483 039 |
dont dépenses d'investissement |
55 086 380 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
40 353 969 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
8 820 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
24 981 767 864 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
24 743 667 864 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
24 175 634 308 |
dont subventions pour charges d'investissement |
471 384 652 |
dont dotation en fonds propres |
96 648 904 |
Ressources affectées*** |
238 100 000 |
Régimes sociaux et de retraite |
73 812 426 702 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
73 799 431 637 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
6 215 693 380 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
67 583 738 257 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
12 995 065 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
12 995 065 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
12 995 065 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Relations avec les collectivités territoriales |
182 219 584 003 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
182 219 584 003 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 275 538 290 |
dont dépenses d'investissement |
8 110 162 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
133 101 347 230 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
235 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Prélèvements sur recettes |
44 842 463 483 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Remboursements et dégrèvements |
140 250 561 424 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
140 250 561 424 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
140 250 561 424 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Santé |
3 536 581 268 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
3 472 060 263 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 287 060 263 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
15 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
1 170 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
64 521 005 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
59 521 005 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
59 521 005 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
5 000 000 |
Sécurités |
24 946 119 385 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
24 890 232 622 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
24 113 332 175 |
dont dépenses d'investissement |
786 172 094 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
365 840 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
328 060 447 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
83 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
55 886 763 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
55 886 763 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
47 141 000 |
dont subventions pour charges d'investissement |
6 420 000 |
dont dotation en fonds propres |
2 325 763 |
Ressources affectées*** |
0 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
43 115 489 866 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
42 477 024 012 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
30 206 904 012 |
dont dépenses d'investissement |
35 694 737 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
120 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
12 270 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
638 465 854 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
638 465 854 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
630 026 682 |
dont subventions pour charges d'investissement |
8 439 172 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
5 844 418 578 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
5 080 591 941 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 197 076 941 |
dont dépenses d'investissement |
3 460 904 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
17 515 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
3 866 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
763 826 637 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
597 717 239 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
592 364 439 |
dont subventions pour charges d'investissement |
4 700 000 |
dont dotation en fonds propres |
652 800 |
Ressources affectées*** |
166 109 398 |
Transformation et fonction publiques |
1 102 506 681 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
932 375 030 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
925 590 030 |
dont dépenses d'investissement |
460 748 056 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
6 785 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
170 131 651 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
170 131 651 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
47 024 368 |
dont subventions pour charges d'investissement |
123 107 283 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Travail et emploi |
44 303 976 550 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
29 651 132 294 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
18 495 140 294 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
941 992 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
10 214 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
14 652 844 256 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
4 065 844 256 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
4 038 152 849 |
dont subventions pour charges d'investissement |
27 691 407 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
10 587 000 000 |
BUDGETS ANNEXES
Contrôle et exploitation aériens |
2 526 033 846 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
2 425 563 846 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 162 514 922 |
dont dépenses d'investissement |
285 693 567 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
238 217 124 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
24 831 800 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
100 470 000 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
100 470 000 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
97 470 000 |
dont subventions pour charges d'investissement |
3 000 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Publications officielles et information administrative |
151 629 490 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'Etat |
151 629 490 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
151 629 490 |
dont dépenses d'investissement |
15 454 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’Etat et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
* Les fonds de concours et attributions de produits correspondent à des données estimatives pour 2024. Ces données sont calculées au regard des informations connues avant le dépôt du projet de loi de finances.
** Le niveau de fiabilité des chiffrages de dépenses fiscales dépend de la disponibilité des données nécessaires à la reconstitution de l’impôt qui serait dû en l’absence des dépenses fiscales considérées. Par ailleurs, les chiffrages des dépenses fiscales ne peuvent intégrer ni les modifications des comportements fiscaux des contribuables qu’elles induisent, ni les interactions entre dépenses fiscales.
Les chiffrages présentés pour 2024 ont été réalisés sur la base des seules mesures votées avant le dépôt du projet de loi de finances pour 2024. L'impact des dispositions fiscales de ce dernier sur les recettes 2024 est, pour sa part, présenté dans les tomes I et II de l'annexe « Évaluation des Voies et Moyens ». Ces chiffrages sont établis au moment du dépôt du projet de loi de finances à l’Assemblée nationale, et ne sont pas actualisés au cours des débats.
Le « Coût total des dépenses fiscales » constitue une somme de dépenses fiscales dont les niveaux de fiabilité peuvent ne pas être identiques (cf. caractéristique « Fiabilité » indiquée pour chaque dépense fiscale). Il ne prend pas en compte les dispositifs inférieurs à 0,5 million d’euros (« ε »).
Par ailleurs, afin d’assurer une comparabilité d’une année sur l’autre, lorsqu’une dépense fiscale est non chiffrable (« nc ») en 2024, le montant pris en compte dans le total 2024 correspond au dernier chiffrage connu (montant 2023 ou 2022) ; si aucun montant n’est connu, la valeur nulle est retenue dans le total. La portée du total s’avère toutefois limitée en raison des interactions éventuelles entre dépenses fiscales. Il n’est donc indiqué qu’à titre d’ordre de grandeur et ne saurait être considéré comme une véritable sommation des dépenses fiscales du programme.
*** Les ressources affectées prises en compte dans le présent état législatif sont constituées de l’ensemble des taxes affectées plafonnées affectées à des opérateurs de l’État ou à des tiers en charge de missions de service public.
Un objectif de niveau mission qui est aussi un objectif de niveau programme, s’accompagne du numéro de programme indiqué entre parenthèses et la mention « [Stratégique] » est adjointe à l'objectif du programme. Idem pour les indicateurs.
Action extérieure de l'État
Promouvoir le multilatéralisme et agir pour une Europe souveraine, unie, démocratique (105)
Optimiser l'effort français en faveur du maintien de la paix (105)
Renforcer la qualité et l'efficience du service consulaire (151)
Délais de traitement des documents administratifs et des demandes de titres (151)
105 – Action de la France en Europe et dans le monde
Assurer un service diplomatique efficient et de qualité
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Respect des coûts et délais des grands projets d'investissement
Promouvoir le multilatéralisme et agir pour une Europe souveraine, unie, démocratique [Stratégique]
Dossiers préparés dans le cadre des échéances européennes et des échanges bilatéraux
Optimiser l'effort français en faveur du maintien de la paix [Stratégique]
Promouvoir les objectifs environnementaux à l'international
Renforcer la sécurité internationale et la sécurité des Français
Accroître la sécurité de la France au travers de celle de nos partenaires
Veiller à la sécurité des Français à l'étranger
151 – Français à l'étranger et affaires consulaires
Renforcer la qualité et l'efficience du service consulaire [Stratégique]
Délais de traitement des documents administratifs et des demandes de titres [Stratégique]
Nombre de documents délivrés par ETPT
Simplifier les démarches administratives
Dématérialisation des services consulaires
185 – Diplomatie culturelle et d'influence
Accroître la performance du dispositif d'aide à l'export
Accompagnement des acteurs économiques
Développer l'attractivité de la France
Attractivité de l'enseignement supérieur et de la recherche
Attractivité de la France en termes d'investissements
Dynamiser les ressources externes
Autofinancement et partenariats
Renforcer l'influence culturelle, linguistique et éducative de la France
Diffusion de la langue française
Enseignement français et coopération éducative
Présence de la culture et des idées françaises à l'étranger
Administration générale et territoriale de l'État
Accompagner les missions liées à l'entrée et au séjour des étrangers en France dans un contexte de dématérialisation des procédures (354)
Délai d'enregistrement des demandes d'asile au guichet unique des demandeurs d'asile (GUDA) (354)
Délai d'instruction des demandes de passeports talents (354)
Délai de traitement des demandes de renouvellement de séjour (354)
Améliorer l'efficience de l'administration territoriale de l'État (354)
Optimisation de l'occupation de l'immobilier de bureau (354)
Taux de sites en multi-occupation sur le périmètre de l'ATE (354)
Taux de véhicules mutualisés entre au moins deux services de l'État sur le périmètre de l'ATE (354)
Assurer la parité des emplois de la filière préfectorale et territoriale de l'État (354)
Taux de féminisation dans les primo-nominations (354)
Assurer le pilotage stratégique et opérationnel des crises et des politiques de sécurité (354)
Nombre d'exercices réalisés avec activation de la chaîne de commandement ORSEC (COD/CPO) (354)
Taux d'exercices de sécurité civile réalisés sur les sites soumis à PPI (354)
Taux de contrôle des armureries (354)
Elargir et diversifier les conditions d'accueil du public (354)
Taux de connexions au site internet départemental de l'État (354)
Taux de sites labellisés sur le référentiel qualité de l'administration territoriale de l’État (ATE) (354)
Optimiser la fonction juridique du ministère (216)
Taux de réussite de l'État (SGAMI et préfectures) devant les juridictions administratives et judiciaires (216)
Réaffirmer les préfectures en tant que garantes des libertés publiques et du respect de la loi (354)
Délais moyens d'instruction des titres (354)
Taux d'actes transmis via le système d'information @CTES (354)
Taux de contrôle des actes des collectivités locales et établissements publics (354)
216 – Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur
Améliorer la performance des fonctions supports
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion des ressources humaines
Efficience immobilière
Engager une transformation du numérique
Efficience numérique
Optimiser la fonction juridique du ministère [Stratégique]
Coût moyen de la fonction juridique du ministère de l'Intérieur
Taux de réussite de l'État (SGAMI et préfectures) devant les juridictions administratives et judiciaires [Stratégique]
232 – Vie politique
Améliorer l'information des citoyens
Amélioration de l'acheminement de la propagande à l'électeur à la bonne adresse
Optimiser le délai de remboursement des candidats
Délai moyen du remboursement de la propagande électorale
Délai moyen du remboursement forfaitaire des dépenses de campagne
Organiser les élections au meilleur coût
Coût moyen de l'élection par électeur inscrit sur les listes électorales
354 – Administration territoriale de l'État
Accompagner les missions liées à l'entrée et au séjour des étrangers en France dans un contexte de dématérialisation des procédures [Stratégique]
Délai d'enregistrement des demandes d'asile au guichet unique des demandeurs d'asile (GUDA) [Stratégique]
Délai d'instruction des demandes de passeports talents [Stratégique]
Délai de délivrance des renouvellements de titres de séjour dans l'ANEF
Délai de traitement des demandes de renouvellement de séjour [Stratégique]
Améliorer l'efficience de l'administration territoriale de l'État [Stratégique]
Optimisation de l'occupation de l'immobilier de bureau [Stratégique]
Taux de sites en multi-occupation sur le périmètre de l'ATE [Stratégique]
Taux de véhicules mutualisés entre au moins deux services de l'État sur le périmètre de l'ATE [Stratégique]
Assurer la parité des emplois de la filière préfectorale et territoriale de l'État [Stratégique]
Taux de féminisation dans les primo-nominations [Stratégique]
Assurer le pilotage stratégique et opérationnel des crises et des politiques de sécurité [Stratégique]
Nombre d'exercices réalisés avec activation de la chaîne de commandement ORSEC (COD/CPO) [Stratégique]
Taux d'exercices de sécurité civile réalisés sur les sites soumis à PPI [Stratégique]
Taux de contrôle des armureries [Stratégique]
Taux de respect de la périodicité des visites de contrôle obligatoires par la commission de sécurité des établissements recevant du public et d'immeubles de grande hauteur
Elargir et diversifier les conditions d'accueil du public [Stratégique]
Taux d'équipement des sous-préfectures et des préfectures en point d'accueil numérique (PAN)
Taux de connexions au site internet départemental de l'État [Stratégique]
Taux de sites labellisés sur le référentiel qualité de l'administration territoriale de l’État (ATE) [Stratégique]
Réaffirmer les préfectures en tant que garantes des libertés publiques et du respect de la loi [Stratégique]
Délai moyen de mise à disposition des cartes nationales d'identité et passeports
Délais moyens d'instruction des titres [Stratégique]
Taux d'actes transmis via le système d'information @CTES [Stratégique]
Taux de contrôle des actes des collectivités locales et établissements publics [Stratégique]
Taux de dossiers de fraude documentaire et à l'identité détectés par les centres d'expertise et de ressources titres (CERT) pour la CNI, le passeport, le permis de conduire et le certificat d'immatriculation d'une part et les préfectures pour les titres de séjour d'autre part
Renforcer l'attractivité de l'administration territoriale de l’État
Nombre de préfectures dont le nombre de postes non pourvus est supérieur à 3%
Nombre et pourcentage de postes non pourvus au niveau national
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales
Combiner la performance économique et environnementale des exploitations agricoles, des filières agroalimentaires et forestières (149)
Concours publics à l'agriculture / Excédent brut d'exploitation des entreprises agricoles (149)
Part des superficies cultivées en agriculture biologique dans la superficie agricole utilisée (S.A.U.) (149)
Favoriser le changement de pratiques afin de préserver la santé publique et l'environnement (206)
Maîtrise de l'utilisation des pesticides et des antibiotiques (206)
149 – Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt
Combiner la performance économique et environnementale des exploitations agricoles, des filières agroalimentaires et forestières [Stratégique]
Concours publics à l'agriculture / Excédent brut d'exploitation des entreprises agricoles [Stratégique]
Evolution des parts de marché françaises à l'international pour les produits agricoles et agro-alimentaires, forêt-bois, bio-sources et le machinisme agricole
Part des superficies cultivées en agriculture biologique dans la superficie agricole utilisée (S.A.U.) [Stratégique]
Récolte de bois rapportée à la production naturelle
Investir dans les territoires ruraux et les filières d'avenir
Part des bénéficiaires d'ICHN dans l'ensemble des demandeurs des aides PAC
Part des surfaces forestières gérées de façon durable
Taux de bois contractualisés en forêt domaniale
Renforcer la qualité du service et maîtriser les coûts de gestion des politiques publiques
Taux de dossiers (1er pilier, ICHN, MAEC-BIO) payés dans les délais prévus
206 – Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation
Evaluer, prévenir et réduire les risques sanitaires à tous les stades de la production
Suivi de l'activité de l'ANSES
Suivi des non-conformités constatées lors des inspections
Favoriser le changement de pratiques afin de préserver la santé publique et l'environnement [Stratégique]
Maîtrise de l'utilisation des pesticides et des antibiotiques [Stratégique]
Promotion de l'ancrage territorial de l'alimentation
S'assurer de la réactivité et de l'efficience du système de contrôle sanitaire
Efficacité des services de contrôle sanitaire
Préparation à la gestion de risques sanitaires
215 – Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture
Mettre en oeuvre les actions ministérielles dans des conditions optimales de coût et de qualité de service
Efficience de la fonction achat
Efficience de la fonction immobilière
Efficience de la fonction informatique
Sécuriser et simplifier l'accès des usagers au droit, aux données et procédures du ministère
Taux d'utilisation des téléprocédures
Taux de dématérialisation des enquêtes statistiques régulières
381 – Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG)
Allègement du coût du travail de la main-d’œuvre saisonnière
Impact des exonérations de cotisations et contributions sociales patronales sur l’emploi de la main-d’œuvre saisonnière agricole
382 – Soutien aux associations de protection animale et aux refuges
Contribuer à la protection animale
Nombre de conventions signées avec des associations de protection animale
Aide publique au développement
Renforcer l'évaluation et la redevabilité de l'action en matière de développement
Efficience de l'aide bilatérale
110 – Aide économique et financière au développement
Assurer une gestion efficace et rigoureuse des crédits octroyés à l'aide au développement
Capacité des fonds multilatéraux à mener avec succès des projets compatibles avec la réalisation de leurs objectifs de développement
Effet de levier de l'activité de prêts de l'AFD
Frais de gestion du programme 110
Contribuer à la mise en œuvre des ODD, en concentrant l'aide sur les pays prioritaires et les priorités stratégiques françaises
Part des prêts de l'AFD qui sont affectés aux priorités thématiques du CICID
Part des ressources subventionnées des fonds multilatéraux qui sont affectées aux priorités thématiques du CICID
Part des ressources subventionnées des fonds multilatéraux qui sont affectées aux zones géographiques prioritaires
Part, dans le coût pour l'Etat des prêts mis en œuvre par l'AFD, des coûts des prêts à destination des priorités géographiques du CICID
209 – Solidarité à l'égard des pays en développement
Améliorer la redevabilité et l'efficacité de l'aide
Frais de gestion du programme 209
Contribuer à la mise en oeuvre des ODD, en renforçant la composante bilatérale et en concentrant l'aide sur les pays prioritaires
Part des crédits bilatéraux du programme et des taxes dédiés aux priorités du CICID
Part des crédits du programme et des taxes destinés à des pays prioritaires
Part des crédits multilatéraux du programme et des taxes dédiés aux priorités sectorielles du CICID
Faire valoir les priorités stratégiques françaises dans l'aide publique acheminée par les canaux européens
Part des versements du FED sur les priorités stratégiques françaises
Renforcer les partenariats
Evolution de l'APD support transitant par les collectivités territoriales françaises
Part de l'APD bilatérale française transitant par la société civile dans l'APD bilatérale française totale
Volume de l'activité des opérateurs AFD et Expertise France en gestion déléguée par l'Union européenne
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation
Liquider les dossiers avec la meilleure efficacité et la meilleure qualité possibles (169)
Délai moyen de traitement du flux des dossiers de pension militaire d'invalidité (169)
Sensibiliser chaque classe d'âge à l'esprit de défense par une JDC de qualité et pour un coût maîtrisé (169)
Taux de satisfaction des jeunes au regard de la JDC (169)
158 – Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale
Améliorer le délai de paiement des dossiers d'indemnisation des victimes de spoliations après l'émission des recommandations favorables
Délai moyen de paiement des dossiers d'indemnisation des victimes de spoliations (résidents français et non résidents) après émission de la recommandation
169 – Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation
Favoriser l'insertion professionnelle des jeunes éloignés de l'emploi
Taux d'insertion professionnelle des volontaires du SMV (service militaire volontaire)
Fournir les prestations de l'ONAC-VG avec la meilleure efficacité possible
Délai moyen de traitement des dossiers
Nombre de titres/cartes anciens combattants traités et délai moyen des dossiers
Fournir les prestations médicales, paramédicales et hôtelières aux pensionnaires de l'Institution nationale des Invalides au meilleur rapport qualité-coût
Coût de la journée d'un pensionnaire de l'INI
Liquider les dossiers avec la meilleure efficacité et la meilleure qualité possibles [Stratégique]
Délai moyen de traitement du flux des dossiers de pension militaire d'invalidité [Stratégique]
Régler les prestations de soins médicaux gratuits avec la meilleure efficience possible
Coût moyen de gestion d'un dossier de soins
Sensibiliser chaque classe d'âge à l'esprit de défense par une JDC de qualité et pour un coût maîtrisé [Stratégique]
Coût moyen par participant
Intérêt des jeunes pour les métiers de la défense
Taux de satisfaction des jeunes au regard de la JDC [Stratégique]
Avances à l'audiovisuel public (Compte de concours financiers)
S'adresser au public le plus large dans un environnement numérique (843)
Audience des antennes de Radio France (843)
S'adresser au public le plus large dans un environnement numérique (841)
Audiences de France Télévisions (841)
841 – France Télévisions
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Ressources propres
Résultat d'exploitation
Proposer une offre de service public, axée sur la création française et européenne dans un univers de média global
Part des dépenses de programmes dans les dépenses totales
Qualité des programmes de fiction et d'information
S'adresser au public le plus large dans un environnement numérique [Stratégique]
Audiences de France Télévisions [Stratégique]
842 – ARTE France
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Diffuser cette offre de programmes au public le plus large, sur tous les supports, partout en Europe
Audiences linéaire et non linéaire
Offrir des programmes culturels français et européens de qualité en donnant la priorité à la création et aux inédits
Part des investissements dans les programmes dans les dépenses totales
Volume horaire de programmes inédits engagés par ARTE France
843 – Radio France
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Charges de personnel
Index égalité femmes-hommes
Ressources propres
Résultat d'exploitation
Proposer une offre radiophonique de service public, axée sur la culture, dans un univers de média global
Nombre de concerts donnés par les formations musicales
Proposer une offre radiophonique et culturelle de service public
S'adresser au public le plus large dans un environnement numérique [Stratégique]
Audience des antennes de Radio France [Stratégique]
Audience des offres numériques
Fréquentation des évènements produits à la Maison de la radio
844 – France Médias Monde
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Ressources propres
Résultat opérationnel récurrent
Développer la présence française et francophone dans le paysage audiovisuel mondial
Audience des offres numériques
Audience linéaire
Volume de contacts pour France Médias Monde (audience linéaire et numérique)
Proposer une offre reflet de la culture et des valeurs françaises et francophones dans un univers de média global
Opinions favorables évaluant les valeurs d'expertise, d'objectivité et de référence
Part des dépenses de programmes dans les charges d'exploitation
845 – Institut national de l'audiovisuel
Assurer la conservation et la valorisation du patrimoine audiovisuel
Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public
Part des fonds menacés de dégradation sauvegardée en numérique
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Ressources propres
Constituer et transmettre les savoirs et les compétences
Taux d'insertion professionnelle des diplômés
847 – TV5 Monde
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Evolution des ressources propres
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Développer la présence française et francophone dans le paysage audiovisuel mondial
Audience des offres numériques
Audience réelle
Proposer une offre reflet de la culture et des valeurs françaises et francophones dans un univers de média global
Part des dépenses de programmes dans les charges d'exploitation totales
848 – Programme de transformation
Contribuer à la transformation de l’audiovisuel public
Avancement des projets de transformation prioritaires
Avances aux collectivités territoriales (Compte de concours financiers)
833 – Avances sur le montant des impositions revenant aux régions, départements, communes, établissements et divers organismes
Mettre les avances de TICPE et de frais de gestion à disposition des départements et des régions à une date certaine
Taux de versement des avances de TICPE (taxe intérieure de consommation des produits énergétiques) et de frais de gestion aux départements et aux régions
Mettre les avances sur contributions directes locales à disposition des collectivités territoriales à une date certaine
Taux de versement des avances aux collectivités sur contributions directes locales
834 – Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d'autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l'épidémie de covid-19
Assurer l'accès rapide des départements au mécanisme d'avances remboursables
Taux de consommation des crédits au 31/12/2020 et au 30/06/2021
Taux de remboursement des crédits par les collectivités bénéficiaires au 31/12/2021 et au 31/12/2022
Cohésion des territoires
Aider les ménages modestes à faire face à leurs dépenses de logement (109)
Taux d'effort net médian des ménages en locatif ordinaire ou en accession selon la configuration familiale et le type de parc (109)
Améliorer la qualité de l'offre de services pour les personnes les plus vulnérables (177)
Part de logements sociaux attribués à des ménages sans domicile (177)
Taux de réponse positive du SIAO (service intégré d'accueil et d'orientation) aux demandeurs d'hébergement (177)
Lutter contre les concentrations de pauvreté et favoriser l'accès et le retour à l'emploi des habitants des QPV (147)
Écart de revenu et d'emploi entre les QPV et celui des agglomérations environnantes (147)
Satisfaire dans les meilleurs délais la demande de logements locatifs, en particulier dans les zones tendues et pour les demandeurs aux ressources les plus faibles (135)
Fluidité du parc de logements sociaux (135)
Soutenir la compétitivité et l'attractivité des territoires (112)
Ecart du taux de création d'entreprises dans les zones prioritaires d'aménagement du territoire par rapport à la moyenne nationale (112)
109 – Aide à l'accès au logement
Aider les ménages modestes à faire face à leurs dépenses de logement [Stratégique]
Taux d'effort net médian des ménages en locatif ordinaire ou en accession selon la configuration familiale et le type de parc [Stratégique]
112 – Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire
Renforcer la cohésion sociale et territoriale
Impact des crédits FNADT dans les dispositifs contractuels entre l’État et les collectivités locales
Réduction du temps d'accès des usagers à une maison "France Services" et amélioration du service rendu
Renforcer les capacités stratégiques et techniques des collectivités territoriales et des acteurs dans les territoires
Soutenir efficacement les collectivités en demande d’ingénierie pour accélérer leurs projets spécifiques
Soutenir la compétitivité et l'attractivité des territoires [Stratégique]
Ecart du taux de création d'entreprises dans les zones prioritaires d'aménagement du territoire par rapport à la moyenne nationale [Stratégique]
135 – Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat
Améliorer et adapter la qualité du parc privé
Performance des dispositifs de l'ANAH traitant des principaux enjeux de l'habitat privé
Promouvoir la mixité sociale au sein des agglomérations au travers de la mixité de l'offre
Atteinte des objectifs annuels de financement de logements locatifs sociaux (LLS) dans les communes soumises à l'article 55 de la loi du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU)
Promouvoir la planification, la connaissance et le développement des territoires
Développement des pôles urbains d'intérêt national
Intervention des établissements publics fonciers (EPF) d’État et locaux en recyclage de friches
Taux de couverture de la planification urbaine intercommunale
Promouvoir le développement durable dans le logement et, plus généralement, dans la construction
Consommation énergétique globale des logements
Satisfaire dans les meilleurs délais la demande de logements locatifs, en particulier dans les zones tendues et pour les demandeurs aux ressources les plus faibles [Stratégique]
Fluidité du parc de logements sociaux [Stratégique]
Part des attributions de logements sociaux hors QPV dédiées aux demandeurs de logements sociaux du premier quartile de ressources ou à des personnes relogées dans le cadre d'une opération de renouvellement urbain ou d’une opération de requalification de copropriétés dégradées
Performance du dispositif DALO
Pourcentage de logements locatifs sociaux agréés
147 – Politique de la ville
Améliorer l'encadrement éducatif et les chances de réussite scolaire des élèves les plus en difficulté
Évolution des chances de réussite scolaire des élèves scolarisés dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV)
Améliorer la qualité de l'habitat pour les habitants des quartiers concernés dans le cadre des programmes de rénovation urbaine
Suivi de l’amélioration de la qualité des logements locatifs sociaux dans le cadre du NPNRU
Suivi de la reconstitution de l'offre de logements locatifs sociaux NPNRU
Lutter contre les concentrations de pauvreté et favoriser l'accès et le retour à l'emploi des habitants des QPV [Stratégique]
Écart de revenu et d'emploi entre les QPV et celui des agglomérations environnantes [Stratégique]
Renforcer l'activité et la mixité fonctionnelle des territoires urbains prioritaires
Écart entre la densité d'établissements exerçant une activité d'industrie et de commerce dans les territoires entrepreneurs et celle constatée dans les unités urbaines correspondantes
162 – Interventions territoriales de l'État
Améliorer les conditions de vie de la population guyanaise
Nombre de personnes bénéficiant de l'amélioration du niveau d'équipement
Assurer une remise à niveau des équipements structurants de la Corse
Qualité des équipements structurants de la Corse
Reconquérir la qualité de l'eau en Bretagne
Concentration moyenne en nitrates des cours d'eau des baies du plan algues vertes
Réduire l'exposition des populations de Martinique et de Guadeloupe à la chlordécone
Exposition des populations de Martinique et de Guadeloupe à la chlordécone via les denrées alimentaires consommées ou mises sur le marché
177 – Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables
Améliorer l'efficience de l'offre de services pour les personnes les plus vulnérables
Suivi de la contractualisation pluriannuelle entre les opérateurs locaux et l'État
Améliorer la qualité de l'offre de services pour les personnes les plus vulnérables [Stratégique]
Part de logements sociaux attribués à des ménages sans domicile [Stratégique]
Taux de réponse positive du SIAO (service intégré d'accueil et d'orientation) aux demandeurs d'hébergement [Stratégique]
Conseil et contrôle de l'État
Contribuer à l'amélioration de la gestion publique et des politiques publiques (164)
Suites données aux recommandations de la Cour et des chambres régionales et territoriales des comptes (164)
Réduire les délais de jugement (165)
Délai moyen constaté de jugement des affaires (165)
126 – Conseil économique, social et environnemental
Conseiller les pouvoirs publics
Participation à l’élaboration et à l’évaluation des politiques publiques
Dialoguer et coopérer avec les instances consultatives créées auprès des collectivités
Interagir avec les territoires
Participer à la transition sociale, écologique et éducative
Gestion environnementale du CESE
164 – Cour des comptes et autres juridictions financières
Assister les pouvoirs publics
Avis rendus par le Haut-Conseil des Finances publiques
Nombre d'auditions au Parlement
Contribuer à l'amélioration de la gestion publique et des politiques publiques [Stratégique]
Délais des travaux d'examen de la gestion
Suites données aux recommandations de la Cour et des chambres régionales et territoriales des comptes [Stratégique]
Informer les citoyens
Publication des rapports
Sanctionner les irrégularités et les fautes de gestion
Suites données aux irrégularités
165 – Conseil d'État et autres juridictions administratives
Améliorer l'efficience des juridictions
Nombre d'affaires réglées par agent de greffe
Nombre d'affaires réglées par membre du Conseil d'État, par magistrat des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, ou par rapporteur de la Cour nationale du droit d'asile
Assurer l'efficacité du travail consultatif
Proportion des textes examinés en moins de deux mois par les sections administratives du Conseil d'État
Maintenir la qualité des décisions juridictionnelles
Taux d'annulation des décisions juridictionnelles
Réduire les délais de jugement [Stratégique]
Délai moyen constaté de jugement des affaires [Stratégique]
Proportion d'affaires en stock enregistrées depuis plus de 2 ans au Conseil d'État, dans les cours administratives d'appel et dans les tribunaux administratifs et depuis plus d'un an à la Cour nationale du droit d'asile
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers (Compte d'affectation spéciale)
751 – Structures et dispositifs de sécurité routière
Assurer l'efficacité du système de contrôle automatisé, en termes de respect des règles du code de la route et en termes de gestion
Disponibilité des radars
Évolution des vitesses moyennes
Taux de transformation des messages d'infraction émis par les dispositifs de contrôle automatisé des vitesses en avis de contravention
753 – Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers
Assurer l'efficacité du procès-verbal électronique au sein des services de l'Etat
Taux de transformation des infractions relevées par les dispositifs de verbalisation électronique de l’Etat en avis de contravention
Contrôle et exploitation aériens (Budget annexe)
Assurer un haut niveau de sécurité de la navigation aérienne (612)
Rapprochements inférieurs à 50% de la norme de séparation entre aéronefs pour 100 000 vols contrôlés (avec responsabilité DSNA engagée) (612)
Concourir à la sécurité et à la sûreté de l'aviation civile (614)
Réduction des écarts à la réglementation grâce à des contrôles appropriés (614)
Limiter les impacts environnementaux du transport aérien (614)
Respect de la réglementation environnementale (614)
Respect des marchés carbone appliqués à l’aviation (614)
Maîtriser l'équilibre recettes / dépenses et l'endettement du budget annexe (613)
Évolution de la dette brute (613)
612 – Navigation aérienne
Améliorer l'efficacité économique des services de navigation aérienne
Niveau des coûts unitaires des redevances métropolitaines de navigation aérienne
Améliorer la ponctualité des vols
Retard ATFM moyen par vol
Améliorer le taux de couverture des coûts des services de navigation aérienne outre-mer par les redevances
Taux de couverture des coûts des services de navigation aérienne outre-mer par la redevance pour services terminaux et la redevance océanique
Assurer un haut niveau de sécurité de la navigation aérienne [Stratégique]
Rapprochements inférieurs à 50% de la norme de séparation entre aéronefs pour 100 000 vols contrôlés (avec responsabilité DSNA engagée) [Stratégique]
Maîtriser l'impact environnemental du trafic aérien
Efficacité horizontale des vols (écart entre la trajectoire parcourue et la trajectoire directe des vols)
613 – Soutien aux prestations de l'aviation civile
Assurer la formation des élèves ingénieurs aux meilleures conditions économiques
Coût de la formation des élèves
Egalité entre les femmes et les hommes
Taux de femmes admises aux concours ENAC
Faire de l'ENAC une école de référence dans le domaine du transport aérien en France et à l'étranger
Taux d'insertion professionnelle des élèves
Maîtriser l'équilibre recettes / dépenses et l'endettement du budget annexe [Stratégique]
Évolution de la dette brute [Stratégique]
S'assurer du recouvrement optimum des recettes du budget annexe
Taux de recouvrement des recettes du budget annexe
614 – Transports aériens, surveillance et certification
Concourir à la sécurité et à la sûreté de l'aviation civile [Stratégique]
Efficacité dans la conduite des enquêtes techniques de sécurité et dans l'exploitation de leurs résultats
Pourcentage d’inspections au sol réalisées sur des exploitants aériens étrangers priorisés et opérant de manière régulière sur les aéroports français
Réduction des écarts à la réglementation grâce à des contrôles appropriés [Stratégique]
Limiter les impacts environnementaux du transport aérien [Stratégique]
Respect de la réglementation environnementale [Stratégique]
Respect des marchés carbone appliqués à l’aviation [Stratégique]
Culture
Accroître l'accès du public au patrimoine national (175)
Fréquentation des institutions patrimoniales et architecturales (175)
Améliorer l'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur (361)
Taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur Culture (361)
Augmenter la fréquentation du public dans les lieux culturels sur l'ensemble du territoire (131)
Fréquentation des lieux subventionnés (131)
Favoriser un accès équitable à la culture notamment grâce au développement de l'éducation artistique et culturelle (361)
Part des enfants et adolescents ayant bénéficié d'une action d'éducation artistique et culturelle (361)
131 – Création
Augmenter la fréquentation du public dans les lieux culturels sur l'ensemble du territoire [Stratégique]
Fréquentation des lieux subventionnés [Stratégique]
Diffuser davantage les oeuvres et les productions culturelles en France et à l'étranger
Effort de diffusion territoriale
Intensité de représentation et de diffusion des spectacles
Donner des bases économiques et professionnelles solides à la création
Équilibre financier des opérateurs
Promotion de l'emploi artistique
Inciter à l'innovation et à la diversité de la création
Place de la création dans la programmation des structures de production subventionnées
175 – Patrimoines
Accroître l'accès du public au patrimoine national [Stratégique]
Accessibilité des collections au public
Fréquentation des institutions patrimoniales et architecturales [Stratégique]
Taux de satisfaction du public des institutions et des sites patrimoniaux
Améliorer la connaissance et la conservation des patrimoines
Archéologie préventive : Proportion des dossiers d'aménagement reçus faisant l'objet d'un arrêté de prescription de diagnostic et/ou d'un arrêté de prescription de fouilles préventives
Part des crédits de conservation préventive par rapport aux crédits de restauration des monuments historiques
Qualité de la maîtrise d'ouvrage État
Elargir les sources d'enrichissement des patrimoines publics
Effet de levier de la participation financière de l’État dans les travaux de restauration des monuments historiques qui ne lui appartiennent pas
Taux de ressources propres des institutions patrimoniales et architecturales
224 – Soutien aux politiques du ministère de la culture
Optimiser l'utilisation des crédits dédiés aux fonctions soutien
Délais de paiement
Taux de dématérialisation des démarches de subvention et taux de satisfaction usager sur les démarches en ligne
Taux de féminisation dans les nominations
361 – Transmission des savoirs et démocratisation de la culture
Améliorer l'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur [Stratégique]
Taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur Culture [Stratégique]
Favoriser un accès équitable à la culture notamment grâce au développement de l'éducation artistique et culturelle [Stratégique]
Mesure de l'effort en faveur des territoires prioritaires (% des crédits)
Part des enfants et adolescents ayant bénéficié d'une action d'éducation artistique et culturelle [Stratégique]
Taux d’inscription au pass Culture
Promouvoir, auprès du public le plus large, la recherche culturelle et la culture scientifique et technique
Évolution du nombre annuel de visiteurs physiques d'Universcience, opérateur de la culture scientifique et technique
Taux de satisfaction des visiteurs d'Universcience
Renforcer l'autonomie financière des établissements publics diffusant la culture scientifique et technique notamment par l'amélioration de la part de leurs ressources propres
Part des ressources propres d'Universcience, opérateur de la culture scientifique et technique
Défense
Mettre à la disposition des armées les armements et matériels nécessaires au succès des opérations des forces armées (146)
Taux de réalisation des équipements (146)
144 – Environnement et prospective de la politique de défense
Améliorer le niveau de sécurité des forces et du patrimoine industriel et économique lié à la défense (DRSD)
Taux d'avis émis dans les délais prescrits
Taux des sites du domaine militaire et des sites industriels et économiques liés à la défense inspectés dans les délais prescrits
Contribuer à l'autorisation et au contrôle des transferts des biens et technologies sensibles
Délai de traitement des dossiers d'exportation de matériels de guerre
Développer des capacités spatiales et de défense souveraines
Taux de progression des études
Taux de réalisation des études
Développer les capacités scientifiques technologiques et industrielles nécessaires à la défense
Taux de progression des technologies spécifiques nécessaires à la défense
146 – Équipement des forces
Assurer une efficience maximale de la dépense d'équipement des forces
Efficience du processus de paiement
Evolution annuelle moyenne des devis à terminaison des opérations d'armement principales
Mettre à la disposition des armées les armements et matériels nécessaires au succès des opérations des forces armées [Stratégique]
Evolution annuelle moyenne des délais de réalisation des opérations d'armement principales
Taux de progression du lancement des nouveaux programmes en coopération
Taux de réalisation des équipements [Stratégique]
178 – Préparation et emploi des forces
Commander des forces, aptes à comprendre et influencer
Efficacité du pré-positionnement des forces
Nombre d’états-majors tactiques aptes de niveau 1 et 2
Nombre d’exercices
Signalements stratégiques
Volume de personnel militaire déployé
Entraîner les forces
Activité réalisée par type de matériel
Nombre d’exercices du domaine Cyber
Nombre d’exercices du domaine spatial
Préparer l'avenir
Réserve opérationnelle
Soutenir les forces
Améliorer le soutien du combattant
Coût de la fonction « restauration-hébergement »
Coût de la fonction maintien en condition opérationnelle par milieu
Disponibilité des matériels
Soutien des opérations par la DIRISI
Soutien du SSA aux opérations
212 – Soutien de la politique de la défense
Mettre les infrastructures à la disposition des forces armées en maîtrisant les coûts et les délais.
Respect des délais et des coûts des grands projets d'infrastructure
Rationaliser le développement des projets informatiques
Respect des délais et des coûts des projets informatiques
Renforcer l'efficience du soutien sur des fonctions cibles
Efficience de la fonction achat
Efficience immobilière du site de Balard
Réussir la transformation du ministère et garantir les grands équilibres portés par la LPM
Taux de reclassement du personnel militaire
Taux de renouvellement des emplois primo-contractuels - Armées
Développement agricole et rural (Compte d'affectation spéciale)
775 – Développement et transfert en agriculture
Orienter l’action des structures chargées du conseil aux agriculteurs et de l'accompagnement des démarches collectives de développement, en cohérence avec les objectifs principaux du PNDAR : accompagner les transitions des exploitations agricoles vers des systèmes plus résilients et sobres en intrants, tenant compte des besoins des agriculteurs, des consommateurs et des attentes des citoyens, par le conseil dans le cadre de démarches collectives, le transfert de connaissances, de méthodes et d'outils actionnables par les agriculteurs, le développement des compétences
Nombre d'agriculteurs impliqués dans des groupes en transition agro-écologique (GIEE- 30 000)
Nombre de documents de diffusion de connaissances inscrits dans la base de données RD-Agri par le réseau des chambres d’agriculture, le réseau des ONVAR et les GIEE
776 – Recherche appliquée et innovation en agriculture
Renforcer le continuum entre recherche et innovation agricole pour accélérer l'émergence et l'appropriation d'innovations répondant aux enjeux d'une quadruple performance sociale, économique, sanitaire et environnementale
Audience des actions de diffusion et formation organisées par le réseau des instituts techniques agricoles
Capacité des instituts techniques agricoles à développer des partenariats multi-acteurs au niveau européen
Capacité des ITA à diffuser leurs résultats auprès de différents publics (professionnel, grand public, français et international) via les médias traditionnels et numériques
Direction de l'action du Gouvernement
Améliorer la sécurité et la performance des systèmes d'information de l'État (129)
Niveau de sécurité des systèmes d'information de l'État (129)
Favoriser l'adoption, dans les meilleurs délais, des décrets d'application des lois et des mesures de transposition des directives européennes (129)
Taux d'application des lois (129)
Taux de déficit de transposition des directives européennes (129)
Optimiser le recrutement et la formation initiale des Hauts fonctionnaires (129)
Dépenses consacrées au recrutement et à la formation initiale à l'INSP (129)
129 – Coordination du travail gouvernemental
Accompagner les administrations dans leur transformation et la simplification de leurs relations avec les usagers
Ouverture et diffusion des données publiques
Améliorer l'information du citoyen sur les actions du Gouvernement
Niveau d'information sur l'action du gouvernement
Niveau de connaissance des citoyens sur le danger des drogues
Améliorer la coordination des actions interministérielles de lutte contre les drogues et les toxicomanies
Niveau de mobilisation des partenaires locaux dans la lutte contre les drogues
Améliorer la sécurité et la performance des systèmes d'information de l'État [Stratégique]
Niveau de sécurité des systèmes d'information de l'État [Stratégique]
Taux de sites sensibles ayant subi un incident dont la durée globale est supérieure à 4h
Améliorer le délai d'instruction des demandes d'indemnisation des victimes des essais nucléaires
Délais moyens d’instruction et de paiement des demandes d’indemnisation des victimes des essais nucléaires
Eclairer la décision politique en offrant une expertise reconnue
Apport des travaux stratégiques et prospectifs pour éclairer l'action des pouvoirs publics et préparer les réformes
Favoriser l'adoption, dans les meilleurs délais, des décrets d'application des lois et des mesures de transposition des directives européennes [Stratégique]
Taux d'application des lois [Stratégique]
Taux de déficit de transposition des directives européennes [Stratégique]
Optimiser le coût et la gestion des fonctions support
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Respect des coûts et délais des grands projets d'investissement
Optimiser le recrutement et la formation initiale des Hauts fonctionnaires [Stratégique]
Dépenses consacrées au recrutement et à la formation initiale à l'INSP [Stratégique]
308 – Protection des droits et libertés
Défendre et protéger efficacement les droits et les libertés
Délai moyen d'instruction des dossiers
Délai moyen de publication des rapports du CGLPL
Nombre de contrôles réalisés
Nombre de déclarations de responsables publics contrôlées par la HATVP
Nombre de dossiers et de réclamations traités par an et par ETP d'agent traitant
Taux d'effectivité du suivi des prises de position des AAI
Éclairer la décision politique en offrant une expertise reconnue
Développer et offrir une expertise reconnue permettant d'éclairer avec réactivité la décision politique ou le débat public
Proteger les œuvres et objets a l’égard des atteintes au droit d’auteur
Nombre d’avertissements traités par agents
Pourcentage de dossiers transmis au procureur de la République lorsque l’envoi des avertissements n’a pas permis de faire cesser les manquements
Pourcentage de personnes ayant reçu une recommandation qui ne se voient pas reprocher de nouveaux comportements de consommation illicite sur les réseaux pair à pair
Renforcer l’efficacité de la régulation du secteur audiovisuel au profit des auditeurs et des téléspectateurs
Nombre de fréquences nouvelles autorisées et de nouveaux services conventionnés et notifiés
Nombre de modifications administratives et de modifications de fréquences réalisées
Écologie, développement et mobilité durables
Améliorer la régulation dans les transports routiers et développer la part des modes alternatifs à la route (203)
Part modale des transports non routiers (203)
Limiter l'exposition aux risques technologiques et réduire l'impact des pollutions industrielles et agricoles sur les personnes, les biens et l'environnement (181)
Nombre total de contrôles des installations classées sur effectif de l'inspection (en ETPT) (181)
Réduire les émissions de gaz à effet de serre (174)
Emissions de gaz à effet de serre par habitant (174)
113 – Paysages, eau et biodiversité
Assurer la gestion intégrée de la ressource en eau
Masses d'eau en bon état
Plan eau - Réduction des fuites et sécurisation de l'approvisionnement en eau potable
Préserver et restaurer la biodiversité
Effort de protection des espaces naturels terrestres et maritimes
Préservation de la biodiversité ordinaire
Retour à la conformité en police de l'eau et de la nature
SNB2030 - Réduction des pressions - Lutter contre les espèces exotiques envahissantes
159 – Expertise, information géographique et météorologie
IGN : élaborer une description du territoire faisant autorité
Appétence pour les données de l'IGN
Météo-France : disposer d'un système performant de prévision météorologique et d'avertissement des risques météorologiques
Performance des modèles de prévision numérique du temps et de la procédure de vigilance météorologique
Mobiliser les pouvoirs publics et la société civile en faveur de la transition écologique
Contribuer à l’information publique relative à l’environnement et au développement durable
Veiller aux retombées collectives des activités techniques, scientifiques et économiques
Financement de l'établissement par des ressources propres
Production et diffusion des connaissances scientifiques et techniques
174 – Énergie, climat et après-mines
Apporter une aide aux ménages en situation de précarité énergétique pour payer leurs factures d'énergie
Impact de l'usage du chèque énergie sur l’indicateur de précarité énergétique
Taux d'usage du chèque énergie
Maîtriser l'énergie en réduisant la consommation et en développant l'usage des énergies renouvelables
Économies d'énergie via le système CEE
Efficience du fonds chaleur renouvelable de l'ADEME
Suivi du développement de la chaleur EnR&R en lien avec l’atteinte des objectifs européens de part renouvelable dans la consommation d’énergie finale
Réduction des émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
Émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
Nombre d'infrastructures de recharge installées dans les locaux à usage d'habitation
Nombre de contribuables ayant bénéficié d'un crédit d'impôt sur le revenu au titre des dépenses effectivement supportées pour l'acquisition et la pose d'un système de recharge pour véhicule électrique
Part des voitures électriques dans les ventes de voitures neuves
Réduire les émissions de gaz à effet de serre [Stratégique]
Emissions de gaz à effet de serre par habitant [Stratégique]
Rénover les bâtiments
Économies d'énergie conventionnelle par an par logement
Émissions de gaz à effet de serre évitées par an par logement
181 – Prévention des risques
Assurer un contrôle performant de la sûreté nucléaire et de la radioprotection et renforcer l'information du public
Maîtrise des délais de publication des décisions de l'Autorité de sûreté nucléaire
Limiter l'exposition aux risques technologiques et réduire l'impact des pollutions industrielles et agricoles sur les personnes, les biens et l'environnement [Stratégique]
Nombre total de contrôles des installations classées sur effectif de l'inspection (en ETPT) [Stratégique]
Réduire l'impact des déchets et des produits sur les personnes, les biens et l'environnement
Efficacité du fonds économie circulaire
Réduire la vulnérabilité des personnes, des biens et de l'environnement aux risques naturels majeurs et hydrauliques
Prévention des inondations
Prévision des inondations
203 – Infrastructures et services de transports
Améliorer l'efficacité, l'attractivité, la régularité et la qualité des services nationaux de transport conventionnés de voyageurs
Contribution à l'exploitation ramenée aux trains-kilomètres
Pourcentage de trains en grand retard (>30 minutes)
Pourcentage de trains supprimés
Régularité des services nationaux de transport conventionnés à 5 minutes
Taux de remplissage
Améliorer la qualité des infrastructures de transports
Coût des opérations de régénération et d'entretien du réseau ferré
État des réseaux routier, ferroviaire et fluvial
Améliorer la régulation dans les transports routiers et développer la part des modes alternatifs à la route [Stratégique]
Contrôle des transports routiers
Part de marché des grands ports maritimes
Part modale des transports non routiers [Stratégique]
Contribuer à la compensation de la pénibilité des conditions de travail des conducteurs routiers, avec un objectif de développement de l'emploi
Niveau des embauches de conducteurs en contrepartie des départs en CFA
Réaliser au meilleur coût les projets de desserte planifiés et moderniser efficacement les réseaux de transports
Intérêt socio-économique des opérations
205 – Affaires maritimes, pêche et aquaculture
Mieux contrôler les activités de pêche par les administrations de l'action de l'État en mer
Contrôles menés dans le cadre de la politique commune des pêches
Ratio du nombre d'inspections en mer pilotées par le Centre National de Surveillance des Pêches (CNSP) au regard des inspections déclarées dans la base SATI
Réalisation des inspections sur les besoins identifiés dans le cadre des plans interrégionaux et régionaux de contrôle (PIRC/PRC)
Mieux contrôler les activités maritimes par les unités opérationnelles du dispositif de contrôle et de surveillance des affaires maritimes.
Contrôles menés par le dispositif de contrôle et de surveillance (DCS) des affaires maritimes dans le cadre des politiques publiques relatives à l'environnement marin
Contrôles menés par le dispositif de contrôle et de surveillance des affaires maritimes (DCS) dans le cadre de la politique commune des pêches
Taux d'infractions constatées à la pêche
Promouvoir la flotte de commerce et l'emploi maritime
Evolution de l'emploi et de la flotte de commerce maritime
Taux des actifs maritimes (employés dans les domaines maritime et para-maritime) parmi les anciens élèves des établissements d'enseignement maritime 3 ans après l'obtention de leur diplôme de formation initiale
Renforcer la sécurité maritime et la protection de l'environnement
Contrôle des navires
Ratio entre le nombre de personnes sauvées et le nombre de personnes impliquées dans un accident maritime après une opération de sauvetage coordonnée par les CROSS
Taux d'identification des sources à l'origine de rejets illicites et polluants en mer
217 – Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables
Être une administration exemplaire, au regard du développement durable, dans la maîtrise des moyens de fonctionnement
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
345 – Service public de l'énergie
Contribuer à la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées
Ratio du montant pris en charge par la CSPE par rapport au coût total de production par ZNI
Contribuer à porter à 10% la part des énergies renouvelables dans la consommation de gaz d'ici 2030
Part des énergies renouvelables dans la consommation de gaz
Rémunération de référence moyenne des nouveaux contrats de soutien pour l'injection de gaz (€/MWh)
Volume de biométhane injecté
Contribuer à porter à 40% la part des énergies renouvelables dans la production d'électricité en 2030
Part des énergies renouvelables dans la production d'électricité
Puissance installée des principales filières de production d'électricité à partir d'énergie renouvelable : éolien terrestre, éolien en mer, photovoltaïque (MW)
Rémunération de référence moyenne des nouveaux contrats de soutien pour les principales filières de production d'électricité à partir d'énergie renouvelable : éolien terrestre, éolien en mer, photovoltaïque (€/MWh)
Contribuer à porter à au moins 6,5 gigawatts les capacités installées d'effacements en 2028
Capacités d'effacements installées
Prix de clearing de l'appel d'offres effacements (AOE) contractualisé pour l'année par le gestionnaire du réseau public de transport public d'électricité (€/MW)
Développer une filière de l'hydrogène renouvelable et décarbonée
Compensation du différentiel entre les coûts de production de l'hydrogène décarboné et les coûts de production de l'hydrogène fossile (€/kg)
380 – Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires
Efficacité des crédits mobilisés dans le cadre du Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires
Effet de levier exprimé sur la totalité du fonds
Qualité du cadre de vie
Surface de friches recyclées (fonds friches)
Surface de friches recyclées par million d'euros dépensé
Rénovation énergétique
Taux moyen d'économies d'énergie
Économie
Renforcer l'efficacité des aides aux entreprises (134)
Écart de prix moyen de l’électricité pour les entreprises les plus consommatrices d’électricité entre la France et des pays tiers (134)
Écart entre le taux de croissance des entreprises aidées par Bpifrance et celui des entreprises comparables (134)
134 – Développement des entreprises et régulations
Améliorer l'efficacité du soutien public à l'internationalisation des entreprises
Effet de levier de la subvention pour charges de service public (SCSP) sur le chiffre d’affaires à l’export généré par les entreprises accompagnées par Business France
Assurer le fonctionnement loyal et sécurisé des marchés
Part des visites ayant donné lieu à des constats d'anomalie
Taux de suite opérationnelle des enquêtes en matière de pratiques anticoncurrentielles
Développer l'attractivité touristique de la France
Évolution des recettes issues du tourisme
Renforcer l'efficacité des aides aux entreprises [Stratégique]
Écart de prix moyen de l’électricité pour les entreprises les plus consommatrices d’électricité entre la France et des pays tiers [Stratégique]
Écart de taux de pérennité à 3 ans des entreprises aidées
Écart entre le taux de croissance des entreprises aidées par Bpifrance et celui des entreprises comparables [Stratégique]
Effets de levier et d’entraînement des dispositifs de garantie
220 – Statistiques et études économiques
Développer la dématérialisation des enquêtes, dans le but d'alléger la charge de réponse des enquêtés, de gagner en qualité et de réduire les coûts
Dématérialisation des enquêtes
Faire parler les chiffres de l'Insee et aller au-devant de tous les publics
Pertinence de l'Insee du point de vue des utilisateurs du site Insee.fr
Respecter les engagements de la France par rapport à l'Europe en termes de délais de diffusion des résultats économiques
Nombre de jours de retard cumulés entre les dates de diffusion et les dates prévues dans les engagements européens
305 – Stratégies économiques
Assurer l'efficacité du réseau international de la Direction générale du Trésor
Taux de réponse de la DG Trésor aux demandes d'avis adressées aux services économiques par la représentation permanente de la France auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et par le bureau de l'administrateur pour la France au Fonds monétaire international (FMI)
Taux de satisfaction des acteurs économiques locaux sur l'action des services économiques
Assurer la qualité de l'analyse et des prévisions présentées dans le projet de loi de finances, dans le domaine des évolutions économiques et dans celui des recettes fiscales
Fiabilité comparée, au vu des réalisations, des prévisions du Gouvernement présentées dans le RESF et de celles des instituts de conjoncture
Fiabilité des prévisions de recettes fiscales nettes
Assurer un traitement efficace du surendettement
Capacité de la Banque de France à traiter dans les meilleurs délais un dossier de surendettement
Efficience du traitement des dossiers de surendettement
343 – Plan France Très haut débit
Généralisation de la couverture en fibre optique sur l’ensemble du territoire à l'horizon 2025
Nombre cumulé de locaux (foyers et entreprises) éligibles à la FttH au titre de l’année N dans la zone d’initiative publique France entière
Engagements financiers de l'État
Couvrir le programme d'émission dans les meilleures conditions d'efficience et de sécurité (117)
Taux de couverture moyen des adjudications (117)
Favoriser l'investissement dans le logement en préservant l'équilibre financier du fonds d'épargne (145)
Efficience du fléchage de l'épargne réglementée vers le financement du logement social (145)
Prélèvement effectué par l'État sur le fonds d'épargne (145)
114 – Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs)
Assurer l'équilibre à moyen terme des procédures publiques d'assurance-crédit, notamment en maintenant une dispersion suffisante des catégories de risques garantis
Indice moyen pondéré du portefeuille des risques de l'assurance-crédit (risque pays)
Encourager les PME à prospecter les marchés extérieurs
Taux de retour en fin de période de garantie
Qualité de gestion des prêts garantis par l'État (PGE) par Bpifrance
Délais d’indemnisation des banques et de paiement des commissions
Part de dossiers PGE contrôlés
Répondre aux besoins des entreprises en garanties du risque exportateur, tout en respectant le principe de subsidiarité et en limitant l'exposition de l'Etat sur les moins bons risques
Pourcentage des bons risques et des moins bons risques parmi les entreprises bénéficiaires des garanties du risque exportateur
Satisfaire la demande des entreprises en couverture de risque de change, sous la contrainte de la gestion à l'équilibre de la procédure
Nombre de PME ayant bénéficié d'une garantie de change
Position nette réévaluée (valeur du portefeuille risque/couverture au 31/12 de l'année)
117 – Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs)
Améliorer l'information préalable par les correspondants du Trésor de leurs opérations financières affectant le compte du Trésor
Taux d'annonce des correspondants du Trésor
Couvrir le programme d'émission dans les meilleures conditions d'efficience et de sécurité [Stratégique]
Adjudications non couvertes
Taux de couverture moyen des adjudications [Stratégique]
Obtenir un niveau de contrôle des risques de qualité constante et qui minimise la survenance d'incidents
Incidents d'exécution des opérations de dette et de trésorerie
Qualité du système de contrôle
Optimiser la gestion de la trésorerie en fonction des conditions de marché
Rémunération des placements de trésorerie
Solde du compte de l'Etat à la Banque de France en fin de journée
145 – Épargne
Encourager le développement de l'épargne individuelle à long terme afin de contribuer au financement de l'économie
Rapport des placements finançant les entreprises sur le total des placements des compagnies d'assurance dans le cadre des contrats d'assurance vie gérés
Favoriser l'investissement dans le logement en préservant l'équilibre financier du fonds d'épargne [Stratégique]
Efficience du fléchage de l'épargne réglementée vers le financement du logement social [Stratégique]
Prélèvement effectué par l'État sur le fonds d'épargne [Stratégique]
Taux de clôtures de PEL donnant lieu à un prêt d'épargne logement
344 – Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque
Assurer un versement efficient des aides aux collectivités territoriales, groupements, établissements publics locaux et services départementaux d'incendie et de secours dans le cadre de la sortie des emprunts à risque
Part (en nombre) des rejets de virement
369 – Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19
Retracer l'amortissement de la dette de l'Etat en 2020 et 2021 liée à la covid-19
Taux de réalisation de l'objectif annuel inscrit dans l'échéancier
Enseignement scolaire
Conduire le maximum de jeunes aux niveaux de compétences attendues en fin de formation initiale et à l'obtention des diplômes correspondants
Proportion de jeunes âgés de 18 à 24 ans ne possédant ni CAP, ni BEP, ni diplôme plus élevé et qui ne poursuivent ni études, ni formation (champs public et privé)
Taux d'accès au baccalauréat (champs public et privé)
Taux d'accès au diplôme national du brevet (DNB)
Conduire tous les élèves à l'acquisition des connaissances et compétences attendues à l'entrée de 6ème.
Proportion d'élèves les plus performants et score moyen de l'ensemble des élèves en français à l'entrée en 6e
Proportion d'élèves les plus performants et score moyen de l'ensemble des élèves en mathématiques à l'entrée en 6e
Favoriser la poursuite d'études des jeunes à l'issue de la scolarité secondaire
Poursuite d'études des nouveaux bacheliers issus de l'enseignement public et privé
139 – Enseignement privé du premier et du second degrés
Conduire le maximum de jeunes aux niveaux de compétences attendues en fin de formation initiale et à l'obtention des diplômes correspondants
Mixité des filles et des garçons en terminale
Proportion d'élèves entrant en 3ème avec au moins un an de retard
Proportion d'élèves maîtrisant, en fin de troisième, les principales composantes du domaine 1 "les langages pour penser et communiquer" du socle commun
Taux d'accès au diplôme correspondant des élèves ou apprentis inscrits en première année d'un cycle de formation
Conduire tous les élèves à la maîtrise des connaissances et compétences du socle commun au terme de la scolarité primaire
Proportion d'élèves maîtrisant, en fin de CE2, les principales composantes du domaine 1 "les langages pour penser et communiquer" du socle commun
Proportion d'élèves maîtrisant, en fin de sixième, les principales composantes du domaine 1 "les langages pour penser et communiquer" du socle commun
Proportion d'élèves venant du privé et entrant en sixième avec au moins un an de retard
Favoriser la poursuite d'études ou l'insertion professionnelle des jeunes à l'issue de leur scolarité secondaire
Poursuite d'études des nouveaux bacheliers
Taux d’emploi 6 mois après la sortie de formation selon le diplôme préparé
Répondre aux besoins éducatifs de tous les élèves sur l'ensemble du territoire
Nombre d'académies bénéficiant d'une dotation en personnels équilibrée
Scolarisation des élèves en situation de handicap dans l'enseignement primaire et secondaire
140 – Enseignement scolaire public du premier degré
Conduire tous les élèves à la maîtrise des connaissances et compétences du socle commun exigibles au terme de la scolarité primaire
Proportion d'élèves entrant en sixième avec au moins un an de retard
Proportion d'élèves maîtrisant, en fin de CE2, les principales composantes du domaine 1 "les langages pour penser et communiquer" du socle commun
Scolarisation des élèves du 1er degré en situation de handicap
Promouvoir un aménagement équilibré du territoire éducatif en optimisant les moyens alloués
Écarts de taux d'encadrement à l'école primaire entre éducation prioritaire (EP) et hors EP et proportion d'enseignants avec 5 ans et plus d'ancienneté en EP
Nombre d'académies bénéficiant d'une dotation globale équilibrée parmi les 30 académies
141 – Enseignement scolaire public du second degré
Conduire le maximum de jeunes aux niveaux de compétences attendues en fin de formation initiale et à l'obtention des diplômes correspondants
Écart de taux de réussite au diplôme national du brevet (DNB) entre éducation prioritaire (EP) et hors EP
Mixité des filles et des garçons en terminale
Proportion d'élèves entrant en 3ème avec au moins un an de retard
Proportion d'élèves maîtrisant, en fin de sixième, les principales composantes du domaine 1 "les langages pour penser et communiquer" du socle commun
Proportion d'élèves maîtrisant, en fin de troisième, les principales composantes du domaine 1 "les langages pour penser et communiquer" du socle commun
Scolarisation des élèves du second degré en situation de handicap
Taux d'accès au diplôme correspondant des élèves ou apprentis inscrits en première année d'un cycle de formation
Favoriser la poursuite d'études ou l'insertion professionnelle des jeunes à l'issue de leur scolarité secondaire
Poursuite d'études des nouveaux bacheliers
Taux d’emploi 6 mois après la sortie de formation selon le diplôme préparé
Promouvoir un aménagement équilibré du territoire éducatif en optimisant les moyens alloués
Écart de taux d'encadrement au collège entre éducation prioritaire (EP) et hors EP et proportion des enseignants avec 5 ans d'ancienneté et plus en EP
Nombre d'académies bénéficiant d'une dotation équilibrée parmi les 30 académies
Pourcentage d'heures d'enseignement délivrées devant des groupes de dix élèves ou moins
Pourcentage d'heures d'enseignement non assurées (pour indisponibilité des locaux, absence d'enseignants non remplacés)
143 – Enseignement technique agricole
Assurer un enseignement général, technologique et professionnel conduisant à la réussite scolaire et à une bonne insertion sociale et professionnelle
Taux d'insertion professionnelle
Taux de réussite aux examens
Optimiser la gestion de la formation initiale scolaire
Dépense de l’État pour la formation d’un élève de l’enseignement agricole technique
214 – Soutien de la politique de l'éducation nationale
Améliorer la qualité de la gestion des ressources humaines
Efficacité et efficience du remplacement des personnels enseignants des premier et second degrés publics
Efficience de la gestion des ressources humaines
Part des surnombres disciplinaires
Optimiser les moyens des fonctions support
Dépense de fonctionnement par agent
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Ratio d'efficience bureautique
Respect des coûts et délais des grands projets
Réussir la programmation et la gestion des grands rendez-vous de l'année scolaire
Coût des examens des élèves et des concours de personnels enseignants par candidat présent
Nombre de postes d'enseignants non pourvus à la rentrée scolaire et durée moyenne des vacances de postes (enseignement public)
230 – Vie de l'élève
Faire respecter l'école, améliorer le climat scolaire et favoriser l'apprentissage de la responsabilité et de la citoyenneté
Proportion d'actes de violence grave signalés
Taux d'absentéisme des élèves
Taux de participation des lycéens aux élections des "Conseils des délégués pour la vie lycéenne" (CVL)
Promouvoir la santé des élèves et contribuer à améliorer leur qualité de vie
Proportion d’élèves ayant bénéficié de visites médicales et de dépistage obligatoires
Qualité de vie perçue des élèves de troisième
Taux de couverture des prescriptions des commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées pour la scolarisation des élèves en situation de handicap
Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale (Compte d'affectation spéciale)
Améliorer le rythme de décaissement des subventions attribuées aux AODE
Stock de subventions attribuées restant à décaisser par les AODE
793 – Électrification rurale
Amélioration de la qualité des réseaux de distribution
Résorption des départs mal alimentés (DMA)
Sécurisation des réseaux basse tension en fils nus
Gestion des finances publiques
Améliorer l'efficacité de la lutte contre la fraude fiscale et du traitement des dépenses publiques et contribuer à l'accessibilité et à la clarté de la norme fiscale (156)
Taux de déclaration et de recouvrement spontanés (civisme)
Renforcer la qualité de service aux usagers et l'efficience des réseaux du recouvrement fiscal
Coût de collecte des recettes douanières et fiscales
Taux de réponse de la DGDDI et de la DGFiP aux demandes de rescrit dans les délais réglementaires
156 – Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local
Améliorer l'efficacité de la lutte contre la fraude fiscale et du traitement des dépenses publiques et contribuer à l'accessibilité et à la clarté de la norme fiscale [Stratégique]
Délais de production de la doctrine fiscale opposable à l'administration
Déployer un cadre rénové de la gestion publique
Efficacité de la lutte contre la fraude fiscale
Maîtriser les coûts de gestion de la DGFiP au profit d'une efficience accrue
Taux d'intervention et d'évolution de la productivité
Réduire l'empreinte carbone de nos déplacements
Réduire l'impact de nos déplacements professionnels
Renforcer la qualité de service au profit des usagers et des partenaires
Délai de paiement des dépenses publiques
Proximité de l'administration, relation de confiance, rapidité, qualité de la transmission des informations aux usagers et dématérialisation des offres de service
Qualité des comptes publics
218 – Conduite et pilotage des politiques économiques et financières
Améliorer l'information budgétaire et la qualité des services rendus aux administrations
Indice de satisfaction des bénéficiaires des prestations de l'AIFE
Qualité des objectifs, des indicateurs et de la JPE des programmes du budget de l'Etat
Taux de satisfaction des commanditaires/clients
Améliorer les conditions d'emploi des personnels
Part des agents bénéficiant de prestations d'action sociale dans les secteurs de la restauration, de l'aide au logement et des séjours vacances pour enfants et adolescents
Maîtriser le coût des fonctions support
Efficience de la gestion immobilière
Gains relatifs aux actions achat interministérielles animées par la DAE
302 – Facilitation et sécurisation des échanges
Amplifier la lutte contre les trafics et la criminalité organisée et garantir la conformité des marchandises sur l'ensemble de la chaîne logistique
Amplifier la lutte contre les trafics et la criminalité organisée
Garantir la conformité des marchandises sur l'ensemble de la chaîne logistique
Faire de la douane une administration moderne et innovante
Faire de la donnée un outil central de la douane
Optimiser et moderniser le traitement des flux de marchandises en frontière et consolider l'accompagnement des entreprises
Accompagner les entreprises en sécurisant leurs opérations douanières
Consolider l'accompagnement des entreprises
Gestion du patrimoine immobilier de l'État (Compte d'affectation spéciale)
Optimiser le parc immobilier de l'État
Rendement d'occupation des surfaces
723 – Opérations immobilières et entretien des bâtiments de l'État
Optimiser le parc immobilier de l'Etat
Surfaces de bureaux remis au Domaine, inoccupées depuis 36 mois ou plus
Immigration, asile et intégration
Améliorer l'efficacité de la lutte contre l'immigration irrégulière (303)
Nombre de retours forcés exécutés (303)
Améliorer les conditions d'accueil et d'intégration des étrangers (104)
Efficience de la formation linguistique dans le cadre du CIR (contrat d'intégration républicaine) (104)
Réduire les délais de traitement de la demande d'asile (303)
Délai de l'examen d'une demande d'asile par l'OFPRA (303)
104 – Intégration et accès à la nationalité française
Améliorer l'efficacité du traitement des dossiers de naturalisation
Efficacité de la procédure d'instruction d'un dossier de naturalisation
Améliorer les conditions d'accueil et d'intégration des étrangers [Stratégique]
Efficience de la formation linguistique dans le cadre du CIR (contrat d'intégration républicaine) [Stratégique]
Part des personnes ayant bénéficié d'une orientation vers le service public de l'emploi qui s'y sont inscrites pendant la durée du CIR
Programme AGIR : taux de sortie positive en logement pérenne et en emploi ou en formation des bénéficiaires de la protection internationale
Taux de sortie positive en emploi ou en formation des bénéficiaires de la protection internationale
303 – Immigration et asile
Améliorer l'efficacité de la lutte contre l'immigration irrégulière [Stratégique]
Nombre d'éloignements et de départs aidés exécutés
Nombre de retours forcés exécutés [Stratégique]
Optimiser la prise en charge des demandeurs d'asile
Part des demandeurs d'asile hébergés
Part des places occupées par des demandeurs d'asile et autres personnes autorisées
Réduire les délais de traitement de la demande d'asile [Stratégique]
Délai de l'examen d'une demande d'asile par l'OFPRA [Stratégique]
Taux de transfert des demandeurs d'asile placés sous procédure Dublin
Investir pour la France de 2030
Augmenter l'effort national de R&D
Contribution de France 2030 à l'effort de R&D national
421 – Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche
Développer l'innovation pédagogique
Part de la population étudiante et enseignante impliquée dans des projets financés par le PIA
Intégrer et soutenir l'excellence de la recherche et enseignement supérieur
Evolution de la part de la production scientifique issue des IDEX et ISITE
Evolution des établissements d'enseignement supérieur français les mieux classés dans le classement de l'Université de Leiden
Ouvrir les établissements à de nouveaux modes de gestion
Part des cofinancements dans la gestion des équipements structurants soutenus par le PIA
422 – Valorisation de la recherche
Faciliter l'appropriation de l'innovation
Capacité des Sociétés d'accélération du transfert de technologies (SATT) à générer leurs ressources propres et à accompagner les start-ups
Evolution du nombre d'essais cliniques réalisés par les écosystèmes de santé soutenus par le PIA
Soutenir les investissements dans le parc industriel concourant au renforcement de la performance environnementale
Taux de réussite commerciale des actions concourant à la performance environnementale
423 – Accélération de la modernisation des entreprises
Accélérer la croissance des PME et des ETI
Investissements en capital innovation en proportion du PIB
Qualité du soutien à l'innovation
Soutenir la modernisation des entreprises françaises
Evolution du nombre de partenaires privés impliqués dans des projets d'innovation collaborative (PSPC et I-DEMO)
424 – Financement des investissements stratégiques
Accélérer les démonstrateurs et le déploiement des innovations technologiques
Taux de réussite commerciale des projets soutenus
Adapter le capital humain aux filières d'avenir
Mobiliser la recherche sur les innovations
Préparer les métiers de demain
Favoriser les transferts de technologies et la valorisation de la recherche dans les filières d'avenir
Transfert de technologies dans les filières d'avenir
Soutenir l'industrialisation dans les filières d'avenir
Création de nouveaux sites industriels
425 – Financement structurel des écosystèmes d'innovation
Soutenir l'émergence et le développement des start-ups et nouveaux sites industriels
Écart entre la croissance des entreprises aidées par Bpifrance financement et celle des entreprises comparables
Financement des start-ups industrielles
Transformer le paysage académique
Effet de levier des financements de l'enseignement supérieur et de la recherche sur des cofinancements publics et privés
Justice
Améliorer les conditions de détention des personnes sous main de justice ainsi que les conditions de travail des personnels pénitentiaires (107)
Taux d'occupation des établissements pénitentiaires (107)
Favoriser la réinsertion (107)
Pourcentage de personnes placées sous écrou et condamnées bénéficiant d'une mesure sous écrou de DDSE, PE ou SL (107)
Garantir une aide à la décision efficace et améliorer la qualité des prises en charge éducatives (182)
Délais moyens de prise en charge (imputables aux services du secteur public et du secteur associatif habilité) (182)
Durée de placement (182)
Nombre de jeunes (hors investigation, TIG, réparations et stages) scolarisés, en situation d’emploi, inscrits dans un dispositifs d’insertion hors PJJ, inscrits en UEAJ PJJ / nombre total de jeunes en fin de mesure (182)
Rendre une justice de qualité (166)
Proportion d'affaires civiles terminées en moins de douze mois sur les douze derniers mois en première instance (166)
101 – Accès au droit et à la justice
Améliorer l'accompagnement des victimes d'infraction(s)
Taux de prise en charge des victimes d'infractions pénales
Favoriser l'accès de tous au droit et à la justice
Délai de traitement des demandes d'aide juridictionnelle après réception d'un dossier complet
Part de la population à moins de 30 minutes d'un point justice ou d'un espace de rencontre
Part des demandes d'aide juridictionnelle déposées et traitées par voie dématérialisée
Garantir l'efficience du dispositif d'aide juridictionnelle
Coût de traitement d'une décision d'aide juridictionnelle
Taux de mise en recouvrement des frais avancés par l'Etat au titre de l'aide juridictionnelle
107 – Administration pénitentiaire
Améliorer les conditions de détention des personnes sous main de justice ainsi que les conditions de travail des personnels pénitentiaires [Stratégique]
Taux d'établissements pénitentiaires labellisés dans le processus de "prise en charge et accompagnement des personnes détenues"
Taux d'occupation des établissements pénitentiaires [Stratégique]
Taux d'occupation des structures dédiées au maintien des liens familiaux
Taux de personnes détenues benéficiant d'une cellule individuelle
Taux de recours à la visioconférence dans le cadre des extractions judiciaires
Favoriser la réinsertion [Stratégique]
Evolution du TIG
Impact sur la population carcérale du développement des peines courtes alternatives à l'incarcération
Mesure de l'activité des services pénitentiaires d'insertion et de probation
Part des prévenus en attente de jugement sur l'ensemble de la population pénale
Pourcentage de détenus bénéficiant d'une formation générale
Pourcentage de personnes détenues bénéficiant d'une activité rémunérée à l'intérieur des établissements pénitentiaires
Pourcentage de personnes placées sous écrou et condamnées bénéficiant d'une mesure sous écrou de DDSE, PE ou SL [Stratégique]
Renforcer la sécurité des établissements pénitentiaires
Nombre d'actes de violence pour 1000 personnes détenues
Nombre d'évasions pour 10 000 détenus (sous garde pénitentiaire directe/hors de l'établissement)
Taux de détenus radicalisés ayant suivi un programme de prévention de la radicalisation violente
166 – Justice judiciaire
Adapter et moderniser la justice
Dépense moyenne de frais de justice par affaire faisant l'objet d'une réponse pénale
Part des conciliations réussies
Satisfaction sur la qualité de l'accueil dans les tribunaux
Transformation numérique de la justice
Rendre une justice de qualité [Stratégique]
Délai théorique d'écoulement du stock des procédures
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par magistrat
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par personnel de greffe
Proportion d'affaires civiles terminées en moins de douze mois sur les douze derniers mois en première instance [Stratégique]
Proportion d'affaires pénales terminées en moins de douze mois sur les douze derniers mois en première instance
Taux de cassation (affaires civiles et pénales)
Renforcer l'efficacité de la réponse pénale, le sens et l'efficacité de la peine
Alternatives aux poursuites (TJ)
Délai de mise à exécution des peines d'emprisonnement ferme ou en partie ferme
Taux de mise à exécution des peines d'emprisonnement ferme ou en partie ferme
Taux de peines alternatives à l'emprisonnement ferme
182 – Protection judiciaire de la jeunesse
Garantir une aide à la décision efficace et améliorer la qualité des prises en charge éducatives [Stratégique]
Délais moyens de prise en charge (imputables aux services du secteur public et du secteur associatif habilité) [Stratégique]
Durée de placement [Stratégique]
Nombre de jeunes (hors investigation, TIG, réparations et stages) scolarisés, en situation d’emploi, inscrits dans un dispositifs d’insertion hors PJJ, inscrits en UEAJ PJJ / nombre total de jeunes en fin de mesure [Stratégique]
Proportion de jeunes en détention provisoire parmi les jeunes détenus
Optimiser l'emploi des moyens humains, financiers et matériels
Taux d'occupation et de prescription des établissements
310 – Conduite et pilotage de la politique de la justice
Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes
Part des femmes et des hommes ayant pris un temps partiel, après une naissance ou une adoption (temps partiel de droit)
Optimiser la qualité et l'efficience des fonctions de soutien
Efficience de la fonction achat
Performance des SIC
Performance énergétique du parc occupé en année N-1
Respect des coûts et des délais des grands projets immobiliers
Respect des coûts et des délais des grands projets informatiques
335 – Conseil supérieur de la magistrature
Contribuer à la continuité du fonctionnement de l'institution judiciaire
Délai utile d'examen des propositions de nomination du garde des Sceaux
Médias, livre et industries culturelles
Favoriser l'accès du public aux bibliothèques et le développement de la lecture (334)
Fréquentation des bibliothèques (334)
Veiller au maintien du pluralisme de la presse (180)
Diffusion de la presse (180)
180 – Presse et médias
Améliorer le ciblage et l'efficacité des dispositifs d'aide
Effet de levier des aides directes d'investissement à la presse
Part de l'aide publique globale accordée à la presse d'information politique et générale
Taux de portage de la presse d'abonnés
Contribuer au développement de l'Agence France-Presse et à la qualité de sa gestion
Croissance des charges
Développement de produits et de marchés à fort potentiel de croissance
Soutenir les efforts des radios associatives dans leurs missions sociales de proximité
Part des subventions sélectives au sein du Fonds de soutien à l'expression radiophonique
Veiller au maintien du pluralisme de la presse [Stratégique]
Diffusion de la presse [Stratégique]
334 – Livre et industries culturelles
Favoriser l'accès du public aux bibliothèques et le développement de la lecture [Stratégique]
Amélioration de l'accès au document écrit
Fréquentation des bibliothèques [Stratégique]
Soutenir la création et la diffusion du livre
Part de marché des librairies indépendantes
Renouvellement de la création éditoriale
Outre-mer
Encourager la création et la sauvegarde d'emplois durables dans le secteur marchand (138)
Impact des exonérations de cotisations patronales de sécurité sociale sur l'évolution des effectifs salariés dans les DOM (138)
Lutter contre l'exclusion du marché du travail des publics les plus éloignés de l'emploi par des actions de formation professionnelle adaptées (138)
Taux d'insertion des volontaires du SMA en fin de contrat (138)
Mieux répondre au besoin de logement social (123)
Fluidité du parc de logements sociaux (123)
123 – Conditions de vie outre-mer
Accompagner les collectivités d'outre-mer dans leur action en faveur de l'aménagement et du développement durable
Taux de réalisation des projets d'investissement du programme 123
Mieux répondre au besoin de logement social [Stratégique]
Fluidité du parc de logements sociaux [Stratégique]
138 – Emploi outre-mer
Encourager la création et la sauvegarde d'emplois durables dans le secteur marchand [Stratégique]
Impact des exonérations de cotisations patronales de sécurité sociale sur l'évolution des effectifs salariés dans les DOM [Stratégique]
Lutter contre l'exclusion du marché du travail des publics les plus éloignés de l'emploi par des actions de formation professionnelle adaptées [Stratégique]
Taux d'insertion des volontaires du SMA en fin de contrat [Stratégique]
Taux d'insertion professionnelle des jeunes ayant bénéficié d'une mesure de formation professionnelle en mobilité, 6 mois après la sortie de la mesure
Participations financières de l'État (Compte d'affectation spéciale)
731 – Opérations en capital intéressant les participations financières de l'État
Assurer la performance des entreprises du périmètre APE en matière de responsabilité sociale et environnementale
Entreprises ayant au moins 25% de femmes dans les instances dirigeantes
Entreprises réalisant un bilan GES complet
Assurer le succès des opérations de cessions des participations financières
Écart entre les recettes de cessions et la valeur boursière des participations cédées
Taux des commissions versées par l'État à ses conseils
Veiller à l'augmentation de la valeur des participations financières de l'État
Rentabilité opérationnelle des capitaux employés (ROCE)
Suivi et maîtrise de l'endettement
Taux de rendement de l'actionnaire
732 – Désendettement de l'État et d'établissements publics de l'État
Contribuer au désendettement de l'État et d'administrations publiques (APU)
Part des ressources consacrées au désendettement de l'État et d'administrations publiques
Réduction de la dette des entités entrant dans le périmètre des administrations publiques
Pensions (Compte d'affectation spéciale)
741 – Pensions civiles et militaires de retraite et allocations temporaires d'invalidité
Maîtriser le coût de la gestion des pensions civiles et militaires de retraite (PCMR)
Coût de gestion d'un ressortissant du régime des pensions civiles et militaires de retraite
Coût de gestion des pensions civiles et militaires de retraite pour 100€ de pensions versés
Optimiser la prévision de dépenses et recettes des pensions
Dépenses de pensions civiles et militaires de retraites et allocations temporaires d'invalidité : écart entre la prévision et l'exécution
742 – Ouvriers des établissements industriels de l'État
Maîtriser les coûts de la gestion administrative inclus dans la dépense totale
Coût du processus de contrôle d'une liquidation
Dépenses de gestion pour 100€ de pension
Optimiser la prévision de dépenses et recettes des pensions
Dépenses de pensions des ouvriers des établissements industriels de l'État : écart entre la prévision et l'exécution
Optimiser le taux de recouvrement
Taux de récupération des indus et trop-versés
Plan de relance
Assurer la mise en oeuvre rapide du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Soutenir et transformer l'économie française
Créations d'emplois liées aux mesures de relance
Réduction des émissions de CO2 en France
362 – Écologie
Améliorer la qualité énergétique du parc de logements
Nombre de logements sortis du statut de « passoire thermique » grâce à MaPrimeRénov’
Assurer la mise en œuvre rapide du volet Écologie du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Assurer la transition énergétique des bâtiments publics
Economie d’énergie attendue
Développer la part des modes alternatifs à la route
Part modale des transports non routiers
Réduction des émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
Émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
363 – Compétitivité
Accompagner les entreprises dans la transition numérique et moderniser l’Etat
Rang de la France au sein de l’UE en matière d’intégration des technologies dans les entreprises
Assurer la contribution des garanties publiques au soutien de la compétitivité
Écart de taux de pérennité à 3 ans des entreprises aidées
Suivi des volumes de capitaux déployés par les véhicules d’investissement bénéficiant de la garantie Bpifrance
Assurer la mise en œuvre rapide du volet Compétitivité du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Sécuriser nos approvisionnements dans les secteurs stratégiques et soutenir l’emploi industriel
Nombre d’emplois créés ou confortés grâce aux dispositifs de relocalisations sectorielles ou territoriales
Soutenir les entreprises à l’export
Nombre de missions VIE engagées dans les PME et ETI
Taux d’impact en termes de courant d’affaire du chèque export
364 – Cohésion
Assurer la mise en œuvre rapide du volet Cohésion du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Contribuer à la sauvegarde de l'emploi dans les secteurs affectés
Nombre d’entreprises bénéficiaires d’une allocation d’activité partielle
Nombre d’heures chômées financées par l’activité partielle
Nombre de salariés concernés par l’activité partielle
Offrir une solution à tous les jeunes
Faciliter l'insertion dans l'emploi des jeunes
Prêts à des États étrangers (Compte de concours financiers)
851 – Prêts du Trésor à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France
Engager au moins 55 % de financements climat chaque année
Pourcentage de projets engagés qui répondent à un objectif climatique (atténuation et/ou adaptation au changement climatique) au sens des marqueurs de Rio (en % des engagements totaux hors projets militaires)
Permettre la réalisation de projets de développement durable dans les pays étrangers, faisant appel au savoir-faire français
Pourcentage de protocoles de prêt signés au cours de l'année n-2 ayant donné lieu à l'imputation d'un contrat dans les deux ans après la signature.
852 – Prêts à des États étrangers pour consolidation de dettes envers la France
Participer au rétablissement de la stabilité macroéconomique et à la création des conditions de la croissance des pays en développement
Pourcentage de pays dont la soutenabilité de la dette a été rétablie par l'initiative en faveur des pays pauvres très endettés
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés (Compte de concours financiers)
862 – Prêts pour le développement économique et social
Appuyer les dispositifs de sauvegarde des entreprises
Effet de levier sur les capitaux privés d'un prêt pour le développement économique et social
Pérennité des entreprises soutenues, à n+3, mesurée par le taux de remboursement des prêts pour le développement économique et social accordés en n-3
877 – Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine
Apporter une réponse ciblée et efficace pour les entreprises stratégiques présentant de réelles possibilités de reprise
Effet de levier sur l’apport d’autres financements
Part des entreprises industrielles de 50 à 250 salariés dans le volume d’avances distribué
Taux de défaillance des entreprises soutenues au 31/12/2020, au 31/12/2021, au 31/12/2022
Taux de recouvrement
Contribuer à la pérennité des entreprises les plus affectées par la crise sanitaire ou par le conflit en Ukraine
Montant moyen des avances ou prêts par emploi concerné
Nombre d’emplois soutenus
Nombre d’entreprises soutenues
Prêts et avances à divers services de l'État ou organismes gérant des services publics (Compte de concours financiers)
Assurer le respect des conditions de financement et de durée des prêts et avances du Trésor
Respect de la règle de neutralité budgétaire des opérations, pour l'Etat
Respect des conditions de durée des prêts et avances du Trésor
828 – Prêts destinés à soutenir les autorités organisatrices de la mobilité à la suite des conséquences de l'épidémie de la covid-19
Assurer l'accès rapide des autorités organisatrices de la mobilité (AOM) au mécanisme de l'avance remboursable
Taux de consommation des crédits budgétaires dédiés au 30/06/2021
Taux de remboursement des crédits par les AOM bénéficiaires au 31/12/2021, 31/12/2022 et suivant jusqu'à la date limite de remboursement du 31/12/2030
Publications officielles et information administrative (Budget annexe)
Améliorer l'accès à l'information légale et administrative et l'offre de services aux usagers
Accès aux informations et aux démarches administratives
Diffusion de la norme juridique
Transparence du débat public
623 – Édition et diffusion
Optimiser la production et développer la diffusion des données
Améliorer la productivité et réduire l'impact environnemental
Contribution au développement de l'accès à la commande publique
Optimiser et sécuriser la production du Journal officiel (JO)
624 – Pilotage et ressources humaines
Optimiser les fonctions soutien
Efficience de la gestion immobilière
Recherche et enseignement supérieur
Accroître la production scientifique des opérateurs de recherche et leur dynamisme autour des priorités nationales de recherche
Performance de la production scientifique française mesurée par la part dans le décile des publications les plus citées au monde (Top 10%) des corpus thématiques définis par les clusters du pilier 2 du programme-cadre européen Horizon Europe
Production scientifique des opérateurs de la mission
Améliorer la part de la R&D des entreprises françaises dans l'effort national de recherche
Effort de la recherche de la France
Participer activement à la construction de l'Europe de la recherche
Présence des opérateurs de la mission dans les projets financés par le PCRI de l'Union européenne
Répondre aux besoins de qualification supérieure par la formation tout au long de la vie (150)
Pourcentage d'insertion professionnelle des jeunes diplômés
Pourcentage d'une classe d'âge obtenant un diplôme de l'enseignement supérieur en formation initiale (150)
142 – Enseignement supérieur et recherche agricoles
Développer la valorisation de la recherche vers les secteurs professionnels et l'appui aux politiques publiques
Nombre d’opérations collectives portées par INRAE mobilisant une expertise scientifique en appui aux politiques publiques par an
Former des ingénieurs, des vétérinaires et des paysagistes répondant aux besoins des milieux économiques, formés aux pratiques de la recherche et ouverts sur l'international
Taux d'insertion des diplômés
Organiser les formations dans des conditions optimales de coût et de qualité de service
Dépense de l'Etat pour la formation d'un étudiant de l'enseignement supérieur agricole
150 – Formations supérieures et recherche universitaire
Améliorer l'efficience des opérateurs
Accès aux services et ressources documentaires de l'ESR
Efficience environnementale
Part des mentions à faibles effectifs (L et M)
Qualité de la gestion immobilière
Améliorer la réussite des étudiants
Admission dans l'enseignement supérieur
Assiduité
Mesures de la réussite étudiante
Améliorer le transfert et la valorisation des résultats de la recherche
Montant des contrats de recherche passés avec les entreprises dans les ressources des opérateurs
Montant des redevances sur titre de propriété intellectuelle dans les ressources des opérateurs
Produire des connaissances scientifiques au meilleur niveau international
Production scientifique des opérateurs du programme
Renforcer l'ouverture européenne et internationale des établissements
Coopération internationale
Part des étudiants étrangers en mobilité internationale inscrits en Licence, en Master et en Doctorat sur l'ensemble des inscrits de ces mêmes formations
Présence des opérateurs du programme dans les projets financés par le PCRD de l'Union Européenne
Proportion d'étrangers dans les recrutements d'enseignants-chercheurs
Répondre aux besoins de qualification supérieure par la formation tout au long de la vie [Stratégique]
Formation continue
Insertion professionnelle des diplômés en formation initiale
Pourcentage d'une classe d'âge obtenant un diplôme de l'enseignement supérieur en formation initiale [Stratégique]
172 – Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires
Développer le rayonnement international de la recherche française
Chercheurs étrangers recrutés ou accueillis temporairement dans les laboratoires
Part des co-publications réalisées avec des partenaires de pays du Sud parmi les publications des opérateurs du programme
Participer activement à la construction de l'Europe de la recherche
Part des articles co-publiés avec un pays membre de l'Union européenne (UE 27) dans les articles des opérateurs du programme
Part du PCRI attribuée à des équipes françaises
Présence des opérateurs dans le programme ERC du PCRI Horizon Europe
Présence des opérateurs du programme dans les projets financés par le PCRI de l'Union européenne
Produire des connaissances scientifiques au meilleur niveau international
Production scientifique des opérateurs du programme
Promouvoir le transfert et l'innovation
Mesure de l'impact du dispositif CIFRE
Mesures de l'impact du crédit d'impôt recherche (CIR)
Part des redevances et des contrats de recherche dans les ressources des opérateurs
190 – Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables
Accroître, par la recherche, la compétitivité et la sécurité nucléaire sur l'ensemble du cycle
Maîtrise du déroulement de certains grands projets du CEA
Développer l'excellence des instituts de recherche au niveau européen et international
Production scientifique des instituts de recherche du programme
Développer les recherches partenariales entre acteurs publics et entre acteurs publics et privés et valoriser les résultats de la recherche
Part des contrats passés avec les industriels et les partenaires dans les ressources des instituts de recherche
Part des ressources apportées aux opérateurs par les redevances sur titre de propriété intellectuelle
Produire les connaissances scientifiques et l'expertise nécessaires au maintien d'un très haut niveau de protection contre les risques nucléaires et radiologiques
Taux de satisfaction des bénéficiaires de l'expertise de l'IRSN (services de l'État et autorités de sûreté)
Soutenir l’effort de R&D de la filière aéronautique civile et orienter prioritairement cet effort vers la transition écologique de l’aviation
Montant d’autofinancement des dépenses de R&T de la filière aéronautique civile
Nombre de brevets déposés dans le cadre des projets de R&D soutenus
Part des crédits dédiés à la préparation technologique et au développement des avions de transport zéro émission ou ultra sobres
Soutenir par la recherche, le développement des nouvelles technologies de l'énergie (NTE) et de l'efficacité énergétique
Mesure des transferts des technologies NTE auprès des industriels à partir des travaux du CEA et de l'IFP EN
191 – Recherche duale (civile et militaire)
Améliorer la qualité et l'orientation des programmes de recherche civile répondant à des besoins de la défense
Proportion du montant de projets dont des retombées potentielles pour la défense ont été précisément identifiées
192 – Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle
Favoriser l'innovation par les entreprises
Impact des exonérations sociales octroyées aux JEI sur leur développement : écart entre la dynamique d’emploi des JEI sur les 4 premières années d’existence et celle d’entreprises similaires
Optimiser la valorisation de la recherche et développer l'efficience des formations des écoles du programme
Bibliométrie des écoles
Coût unitaire de formation par étudiant
Nombre d'élèves en formation d'ingénieurs au GENES et au GMT
Part du montant des contrats de recherche et des partenariats rapporté à l'ensemble des ressources consacrées à la recherche
Taux d'insertion des diplômés dans les 6 mois suivant l'obtention du diplôme
193 – Recherche spatiale
Garantir à la France la maîtrise des technologies spatiales et un accès à l'espace autonome, compétitif et fiable
Adéquation de l'offre de lancement européenne avec les besoins européens
Chiffre d'affaires à l'export de l'industrie spatiale française rapporté aux investissements des cinq dernières années
Tenue des coûts, des délais et des performances pour les 10 projets phares du CNES
Intensifier le rayonnement international et parfaire l'intégration européenne de la recherche spatiale française
Production scientifique des opérateurs du programme
Taux de présence des projets européens dans les projets avec une participation financière française
Intensifier les efforts de valorisation de la recherche spatiale dans le but de répondre aux attentes de la société
Accompagnement des start-up
Financement de la préparation du futur
231 – Vie étudiante
Améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants en optimisant les coûts
Bilan des enquêtes de satisfaction sur le logement et la restauration relevant du réseau des oeuvres
Couverture des besoins en logements pour les étudiants boursiers
Taux de couverture des dépenses d'hébergement et de restauration par des ressources propres
Contribuer à promouvoir l'égalité des chances pour l'accès aux formations de l'enseignement supérieur des différentes classes sociales
Accès à l'enseignement supérieur des jeunes de 20/21 ans selon leur origine sociale
Evolution de la représentation des origines socio-professionnelles des étudiants selon le niveau de formation
Pourcentage d'étudiants boursiers en Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles
Ratio de réussite comparé des étudiants boursiers par rapport aux étudiants non boursiers
Développer le suivi de la santé des étudiants
Nombre moyen de consultation en SUMPPS par étudiant inscrit à l'université
Régimes sociaux et de retraite
Optimiser la gestion des régimes
Coût unitaire d'une primo-liquidation de pensions de retraite
195 – Régimes de retraite des mines, de la SEITA et divers
Optimiser la gestion des régimes
Coût unitaire d'une primo liquidation de pensions (tous droits)
Dépenses de gestion pour 100€ de prestations servies (caisse des mines)
Dépenses de gestion pour 100€ de prestations servies (régime SEITA)
Optimiser le taux de recouvrement
Taux de récupération des indus et trop versés
197 – Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins
Optimiser le régime de protection sociale des marins
Coût unitaire d'une primo liquidation de pension retraite
Dépenses de gestion pour 100 € de prestations servies
Taux de recouvrement « global »
198 – Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres
Contribuer à l'équilibre du régime de retraite de la RATP, avec un objectif d'efficacité de gestion
Coût unitaire d'une primo liquidation de pension de retraite
Dépenses de gestion pour 100 € de prestations servies
Taux de récupération des "indus"
Contribuer à l'équilibre du régime de retraite de la SNCF, avec un objectif d'efficacité de gestion
Coût unitaire d'une primo liquidation de pension de retraite
Dépenses de gestion pour 100 € de prestations servies
Taux de récupération des "indus"
Relations avec les collectivités territoriales
Assurer la péréquation des ressources entre collectivités
Contribution de la péréquation verticale à la réduction des écarts de richesses
Volumes financiers relatifs consacrés à la péréquation horizontale
Volumes financiers relatifs consacrés à la péréquation verticale
Promouvoir les projets de développement local, en assurant un équilibre entre maximisation de l'effet de levier et concentration des fonds sur des projets structurants pour les collectivités (119)
Pourcentage des dotations d'investissement concourant à la transition écologique
119 – Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements
Promouvoir les projets de développement local, en assurant un équilibre entre maximisation de l'effet de levier et concentration des fonds sur des projets structurants pour les collectivités [Stratégique]
Délai séparant la décision de subvention de la fin de réalisation du projet
Effet de levier des dotations de soutien à l'investissement des collectivités territoriales
Pourcentage de projets financés par les dotations d'investissement bénéficiant d'un taux de subvention optimisé
122 – Concours spécifiques et administration
Garantir un traitement rapide des demandes d'indemnisation pour les collectivités touchées par une catastrophe naturelle
Délai moyen de versement de l'aide aux collectivités locales pour leurs biens non assurables dans le cadre de la procédure d'indemnisation pour les dommages causés par les intempéries
Remboursements et dégrèvements
200 – Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs)
Permettre aux usagers de bénéficier de leurs droits le plus rapidement possible
Ancienneté des demandes de remboursement de crédit de TVA non imputable qui ont fait l'objet d'un remboursement (partiel ou total) dans un délai strictement supérieur à 30 jours
Part des demandes de remboursement de crédit de TVA et des restitutions de trop versé d'IS, ayant reçu une suite favorable ou partiellement favorable, traitées dans un délai égal ou inférieur à 30 jours
Taux net de réclamations contentieuses en matière d'IR, de prélèvement à la source (PAS) et de contribution à l'audiovisuel public des particuliers traitées dans un délai de 30 jours par les services locaux
201 – Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs)
Permettre aux usagers de bénéficier de leurs droits le plus rapidement possible
Taux net de réclamations contentieuses relatives à la taxe d'habitation traitées dans le délai de 30 jours par les services locaux
Santé
Améliorer l'état de santé de la population et réduire les inégalités territoriales et sociales de santé
Espérance de vie en bonne santé
État de santé perçue - Pourcentage de la population de 16 ans et plus se déclarant en bonne ou très bonne santé générale
183 – Protection maladie
Assurer la délivrance de l'aide médicale de l'Etat dans des conditions appropriées de délais et de contrôles
Délai moyen d'instruction des demandes d'AME
Pourcentage des dossiers d'aide médicale de l'Etat contrôlés
Réduire les délais de présentation et de paiement des offres d'indemnisation du FIVA
Pourcentage des décisions présentées aux victimes de pathologies graves dans le délai légal de six mois
Pourcentage des offres payées dans le délai réglementaire de deux mois
204 – Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins
Améliorer l'état de santé de la population et réduire les inégalités territoriales et sociales de santé
Prévalence du tabagisme quotidien en population de 18 ans à 75 ans
Taux de couverture vaccinale contre la grippe chez les personnes de 65 ans et plus
Taux de participation au dépistage organisé du cancer colorectal pour les personnes de 50 ans à 74 ans
Prévenir et maîtriser les risques sanitaires
Pourcentage d'unités de distribution d'eau potable présentant des dépassements des limites de qualité microbiologique
Pourcentage de signalements traités en 1h
379 – Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR)
Assurer le déploiement du volet « médico-social » du Ségur Investissement en cohérence avec le plan national de relance et de résilience
Nombre de places construites ou rénovées en établissement d’hébergement pour personnes âgées
Assurer le déploiement du volet « sanitaire » du Ségur Investissement en cohérence avec le plan national de relance et de résilience
Nombre d'établissements de santé soutenus dans leurs investissements "du quotidien"
Nombre de projets d’investissement dans la construction, la rénovation énergétique et la modernisation d’établissements de santé > 20 millions d’euros
Sécurités
(P176.1/P152.1) Évaluer objectivement la prévention de la délinquance
Evolution du nombre de crimes et délits en matière d'atteintes aux biens (AAB) constatés
Evolution du nombre de crimes et délits et de victimes en matière d'atteintes volontaires à l'intégrité physique (AVIP) constatés
(P176.2/P152.2) Renforcer l'activité des services pour mieux combattre la délinquance
Nombre d'heures de patrouille de voie publique rapporté à l'activité totale
Taux d'élucidation ciblés
(P176.4/P152.4) Renforcer l'efficacité dans la lutte contre l'insécurité routière
Nombre de tués
Assurer l'efficacité et l'efficience des dispositifs de lutte contre les feux de forêt (161)
Efficacité du dispositif de protection des forêts pendant la campagne "saison feux" (161)
Assurer la disponibilité des moyens aériens et leur conformité aux besoins opérationnels (161)
Taux de disponibilité de la flotte d’hélicoptères de la sécurité civile (161)
152 – Gendarmerie nationale
Assurer la disponibilité des moyens aériens et leur conformité aux besoins opérationnels
Taux de disponibilité des flottes d’hélicoptères de la gendarmerie nationale
Evaluer la prévention et l'activité répressive des forces de sécurité
Évolution du nombre de crimes et délits commis à l'encontre des personnes dépositaires de l'autorité publique
Evolution du nombre de crimes et délits en matière d'atteintes aux biens (AAB) constatés en zone gendarmerie
Evolution du nombre de crimes et délits et de victimes en matière d'atteintes volontaires à l'intégrité physique (AVIP) constatés en zone gendarmerie
Optimiser l'emploi des forces mobiles
Engagement des forces mobiles
Maintien en condition opérationnelle des escadrons de gendarmerie mobile
Renforcer l'activité des services pour mieux combattre la délinquance
Délai moyen d'intervention
Effort de formation dans la lutte contre la délinquance
Généralisation de la police technique et scientifique
Lutte contre les filières, l'économie souterraine et les profits illicites
Recentrage des forces sur le coeur de métier
Réserve opérationnelle
Taux d'élucidation ciblés
Taux de présence de voie publique
Renforcer l'efficacité dans la lutte contre l'insécurité routière
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l'usage des stupéfiants
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l’alcoolémie
Renforcer la transparence du service public de sécurité intérieure
Efficacité du service "magendarmerie.fr"
Perception de l'action des forces de gendarmerie nationale
Taux de satisfaction des usagers
161 – Sécurité civile
Assurer l'efficacité et l'efficience des dispositifs de lutte contre les feux de forêt [Stratégique]
Efficacité du dispositif de protection des forêts pendant la campagne "saison feux" [Stratégique]
Assurer la disponibilité des moyens aériens et leur conformité aux besoins opérationnels [Stratégique]
Taux de disponibilité de la flotte d’hélicoptères de la sécurité civile [Stratégique]
Taux de disponibilité opérationnelle des avions de la sécurité civile
Faire évoluer la cartographie des centres de déminage pour éliminer les munitions historiques et faire face à la menace terroriste
Interventions sur objets suspects dans les délais (Improvised Explosive Devices Disposal ou IEDD)
Taux d'évolution des stocks collectés de munitions anciennes (Explosive Ordonnance Disposal ou EOD)
Harmoniser les moyens des services départementaux d'incendie et de secours
Taux de déploiement du système NEXSIS 18-112 au sein des SIS
176 – Police nationale
Évaluer la dépense fiscale
Nombre de bénéficiaires de l’indemnité journalière d’absence temporaire (IJAT)
Réserve opérationnelle
Evaluer la prévention et l'activité répressive des forces de sécurité
Évolution du nombre de crimes et délits commis à l’encontre des personnes dépositaires de l’autorité publique
Évolution du nombre de crimes et délits en matière d'atteintes aux biens (AAB) constatés en zone police
Évolution du nombre de crimes et délits et de victimes en matière d'atteintes volontaires à l'intégrité physique (AVIP) constatés en zone police
Optimiser l'emploi des forces mobiles
Engagement des forces mobiles
Renforcer l'activité des services pour mieux combattre la délinquance
Délai moyen d'intervention
Effort de formation dans la lutte contre la délinquance
Généralisation de la police technique et scientifique
Lutte contre les filières, l'économie souterraine et les profits illicites
Nombre d’heures de patrouille de voie publique effectuées par la police nationale
Recentrage des forces sur leur coeur de métier
Taux d'élucidation ciblés
Renforcer l'efficacité dans la lutte contre l'insécurité routière
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l’alcoolémie
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l’usage de stupéfiants
Renforcer la transparence du service public de sécurité intérieure
Délai de prise en charge de l'usager après l'arrivée au commissariat
Nombre de signalements externes reçus par l’IGPN via la plateforme dédiée
Taux d'obtention d'un rendez-vous dans les 10 jours après une pré-plainte en ligne
207 – Sécurité et éducation routières
Améliorer le service du permis de conduire dans le cadre du développement de l'éducation routière tout au long de la vie
Délai d'attente médian aux examens et coût unitaire d'obtention du permis de conduire
Mobiliser l'ensemble de la société sur la sécurité routière pour réduire le nombre d'accidents et de tués sur les routes
Nombre annuel des tués (France métropolitaine et départements d'outre-mer)
Solidarité, insertion et égalité des chances
Accompagner le retour vers l'emploi pour développer la part du revenu du travail dans les ressources des allocataires de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) (157)
Part des allocataires de l'AAH percevant une rémunération d'activité (157)
Garantir aux adultes vulnérables une protection juridique adaptée à leurs besoins (304)
Coût moyen des mesures de protection exercées par les services tutélaires (304)
Inciter à l'activité et au maintien dans l'emploi (304)
Part des foyers allocataires du RSA en reprise d'activité qui accèdent à la prime d'activité et se maintiennent dans l'emploi (304)
124 – Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales
Accroître l'efficience de la gestion des moyens
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Respect des coûts et délais des grands projets
Améliorer la qualité du service rendu dans les autres fonctions transversales
Ecart moyen entre les dates de mise à disposition ayant fait l'objet d'un engagement et les dates effectives de mise à disposition de statistiques
Faire de la Gestion des Ressources Humaines (GRH) un levier de performance
Part des bénéficiaires de l'obligation d'emploi prévue par la loi n° 87-517 du 10 juillet 1987
Ratio d'efficience de la gestion des ressources humaines
137 – Égalité entre les femmes et les hommes
Aider à la sortie de la prostitution et lutter contre son développement
Déploiement des parcours de sortie de prostitution (PSP)
Améliorer la qualité de service en matière d'aide aux personnes victimes de violence
Accompagnement offert par les centres d'information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF)
Taux d'appels traités par la permanence téléphonique nationale de référence
Mesurer l'effet de levier de crédits du programme 137 sur le financement des actions en faveur de l'égalité professionnelle
Part des crédits du programme 137 dédiés aux co-financement du Fonds social européen pour des projets en faveur de l'égalité professionnelle
157 – Handicap et dépendance
Accompagner le retour vers l'emploi pour développer la part du revenu du travail dans les ressources des allocataires de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) [Stratégique]
Part des allocataires de l'AAH percevant une rémunération d'activité [Stratégique]
Accroître l'effectivité et la qualité des décisions prises au sein des MDPH
Qualité des décisions de la commission des droits et de l'autonomie (CDAPH) des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) dans le cadre d'un renouvellement
Qualité des décisions de la commission des droits et de l'autonomie (CDAPH) des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) dans le cadre d'une première demande
Développer l'insertion professionnelle des travailleurs handicapés
Qualité de l'accueil, de la formation et de l'accompagnement en ESAT
304 – Inclusion sociale et protection des personnes
Améliorer le repérage des enfants en danger ou en risque de danger
Taux d'appels traités par le Service national téléphonique de l'enfance en danger (SNATED)
Garantir aux adultes vulnérables une protection juridique adaptée à leurs besoins [Stratégique]
Coût moyen des mesures de protection exercées par les services tutélaires [Stratégique]
Garantir l'égal accès des enfants à la cantine de l'école
Nombre d’élèves bénéficiant de repas à la cantine à un tarif inférieur ou égal à 1€
Inciter à l'activité et au maintien dans l'emploi [Stratégique]
Part des foyers allocataires du RSA en reprise d'activité qui accèdent à la prime d'activité et se maintiennent dans l'emploi [Stratégique]
Part des foyers bénéficiaires de la prime d'activité percevant un montant de prime bonifié
Taux de sortie de la prime d'activité pour dépassement de ressources
Sport, jeunesse et vie associative
Conforter le rang de la France parmi les grandes nations sportives et favoriser l'insertion professionnelle des sportifs de haut niveau (219)
Rang sportif de la France (219)
Favoriser l'engagement et la mobilité de tous les jeunes (163)
Part des jeunes considérés comme éloignés parmi les jeunes engagés dans une mission de service civique (163)
Réduire les inégalités d'accès à la pratique sportive et promouvoir l'insertion du sport dans les différentes politiques publiques (219)
Pratique sportive des publics prioritaires (219)
163 – Jeunesse et vie associative
Favoriser l'engagement et la mobilité de tous les jeunes [Stratégique]
Part de jeunes réalisant leur mission d’intérêt général dans les six mois suivant leur séjour de cohésion
Part des jeunes ayant moins d'opportunité (JAMO) parmi les jeunes bénéficiaires d'un soutien de l'Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ), de l'Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) et de l'Agence ERASMUS + France Jeunesse & Sport (AEFJS)
Part des jeunes considérés comme éloignés parmi les jeunes engagés dans une mission de service civique [Stratégique]
Renforcer le contrôle et le suivi des risques au sein des accueils collectifs de mineurs (ACM)
Rapport entre le nombre de contrôles effectués et le nombre d'accueils
Soutenir le développement de la vie associative
Proportion d'associations faiblement dotées en personnel salarié parmi celles ayant bénéficié d'une subvention versée par l'intermédiaire du FONJEP ou au titre du FDVA
219 – Sport
Adapter la formation aux évolutions des métiers
Proportion de diplômés qui occupent un emploi en rapport avec la qualification obtenue après la délivrance du diplôme
Conforter le rang de la France parmi les grandes nations sportives et favoriser l'insertion professionnelle des sportifs de haut niveau [Stratégique]
Rang sportif de la France [Stratégique]
Taux d'insertion professionnelle des sportif(ve)s de haut niveau
Promouvoir la rigueur financière et l'efficacité des fédérations sportives
Indépendance financière des fédérations sportives
Nombre de fédérations sportives présentant une situation financière fragile ou dégradée
Réduire les inégalités d'accès à la pratique sportive et promouvoir l'insertion du sport dans les différentes politiques publiques [Stratégique]
Pratique sportive des publics prioritaires [Stratégique]
Proportion des crédits déconcentrés de l'agence nationale du sport (instruits au plan local et dans le cadre des projets sportifs fédéraux) affectée aux publics, territoires ou thématiques prioritaires
Renforcer le respect de l'éthique dans le sport et préserver la santé des sportifs
Proportion de sportifs de haut niveau, des collectifs nationaux et espoirs ayant satisfait aux obligations de suivi médical complet
Répartition des prélèvements recueillis dans le cadre du programme annuel de contrôles de l'AFLD par type de sportifs
350 – Jeux olympiques et paralympiques 2024
Garantir la livraison des ouvrages olympiques dans les délais requis tout en maîtrisant les coûts associés
Nombre d’ouvrages financés par le programme 350 dont l’équilibre budgétaire est préservé
Taux d'opérations ayant atteint un jalon essentiel dans le processus de livraison des ouvrages olympiques
Transformation et fonction publiques
148 – Fonction publique
Développer et promouvoir l'adaptation des règles actuelles aux exigences d'une gestion modernisée des ressources humaines de la fonction publique
Nombre de corps de fonctionnaires relevant de l'Etat ou des établissements publics administratifs après des mesures de fusion ou de mise en extinction - ou par un alignement sur des dispositions statutaires communes
Egalité professionnelle
Le pourcentage d’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes dans la FPE en équivalent temps plein
Optimiser la réponse aux besoins des agents en matière d'action sociale
Taux de satisfaction des bénéficiaires de certaines prestations d’action sociale
Optimiser le recrutement et la formation initiale des fonctionnaires
Dépenses consacrées au recrutement et à la formation initiale dans les IRA
Transformation de la fonction publique - Politique RH
Recrutement dans la fonction publique
Recrutement des apprentis
Taux de mobilité structurelle : changement d'employeur
348 – Performance et résilience des bâtiments de l'Etat et de ses opérateurs
Assurer la transition énergétique dans le cadre de la PIE
Économie d'énergie attendue
Optimisation de la surface occupée
S'assurer de l'efficience des projets financés
Efficience énergétique - Coût du kwhep économisé
349 – Transformation publique
Assurer la transparence auprès des citoyens et usagers des résultats des services publics
Nombre annuel de visiteurs uniques du site internet et mobile Services Publics +
Développer un pilotage territorialisé et plus efficace de l'action publique par la donnée et en rendre compte au citoyen
Nombre annuel de visiteurs uniques sur le baromètre des résultats de l’action publique
Taux de complétude des éléments d’appréciation qualitative de la mise en œuvre des politiques prioritaires dans l'outil interne de pilotage territorialisé de l’État (PILOTE)
Proposer une offre de service de conseil interne à l’Etat adaptée aux besoins des administrations
Note d’appréciation des interventions mises en œuvre par les consultants internes de la DITP auprès des autres administrations
S'assurer d'un fonctionnement efficient du fonds pour la transformation de l'action publique
Efficience du fonds pour la transformation de l'action publique
S'assurer de l'efficacité des projets financés
Mise en œuvre des projets financés par le FTAP
Part des projets ayant un impact direct sur la qualité de service aux usagers ou sur la qualité de travail des agents
352 – Innovation et transformation numériques
Développer des méthodes de recrutement innovantes pour résoudre des défis publics
Nombre de nouveaux agents publics impliqués dans la diffusion de l'approche Startup d'État
Nombre de profils atypiques dédiés à l'innovation numérique recrutés dans l'administration à la suite de leur mission
Nombre de profils atypiques dédiés à l'innovation numérique sélectionnés dans l'année
Favoriser l'émergence de produits numériques utiles aux usagers et aux agents
Nombre de produits accompagnés par le FAST
Nombre de produits devenus des services public à impact national majeur au cours de l'année
Nombre de produits lancés par la DINUM selon l’approche Startup d’État
Travail et emploi
Dynamiser la négociation collective et améliorer les conditions du dialogue social (111)
Part des entreprises et des salariés concernés par une négociation collective dans l'enquête annuelle "dialogue social" (111)
Mobiliser au mieux les outils d'insertion professionnelle
Taux d'emploi en France et dans l'Union européenne par tranches d'âge
102 – Accès et retour à l'emploi
Améliorer l'efficacité du service rendu à l'usager par Pôle emploi
Part des offres d'emploi pourvues
Taux d'accès à l'emploi 6 mois après la fin d'une formation prescrite par Pôle emploi
Taux de satisfaction des services rendus par Pôle Emploi aux usagers
Favoriser l'accès et le retour à l'emploi
Nombre de retours à l'emploi
Taux de retour à l'emploi de tous les publics
Mobiliser au mieux les outils d'insertion professionnelle au bénéfice des personnes les plus éloignées du marché du travail
Part des travailleurs handicapés éligibles aux aides dans les entreprises adaptées hors expérimentation sortis en emploi durable
Taux d'insertion dans l'emploi 6 mois après la sortie d'un contrat aidé
Taux d'insertion dans l'emploi à la sortie des structures d'insertion par l'activité économique
Taux de retour à l'emploi des travailleurs handicapés
Taux de sortie vers l'emploi ou l'alternance des jeunes ayant bénéficié d'un parcours d'accompagnement
103 – Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi
Assurer l'effectivité du contrôle de la formation professionnelle (objectif transversal)
Part des contrôles engagés parmi les organismes actifs en formation professionnelle
Edifier une société de compétences : contribution du Programme d'investissements dans les compétences (PIC)
Part des personnes en recherche d'emploi bénéficiaires de la formation professionnelle
Part des personnes en recherche d'emploi peu ou faiblement qualifiés (sans diplôme ou titulaire d'un diplôme de niveau IV et inférieur) bénéficiaires d'au moins une action de formation professionnelle
Taux de formation certifiante
Taux de sorties positives 6 mois après la fin de la formation
Faciliter l'insertion dans l'emploi par le développement de l'alternance
Contrats d'apprentissage conclus au 31 décembre de l'année considérée
Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat d'apprentissage
Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat de professionnalisation
Favoriser l'accès à l'emploi des résidents dans les quartiers prioritaires
Nombre d'emplois francs signés au 31 décembre de l'année considérée
Sécuriser l'emploi par l'anticipation des mutations économiques
Nombre d'accords d'engagements pour le développement de l'emploi et des compétences (EDEC) en cours
Nombre de parcours/salariés engagés en FNE-formation
Part des entreprises de moins de 50 salariés parmi celles ayant eu recours à l'activité partielle et à l'activité partielle de longue durée
111 – Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail
Agir pour la réduction des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes
Part des entreprises qui déclarent l'index égalité femmes-hommes
Contribuer à la prévention et à la réduction des risques professionnels
Part des interventions des services de l'inspection du travail sur les chantiers du bâtiment, sur l'ensemble des interventions
Part du temps opérationnel consacré à la mise en oeuvre des actions relevant du PST4 et des PRST
Dynamiser la négociation collective et améliorer les conditions du dialogue social [Stratégique]
Délai d'extension par l'administration du travail des accords de branche
Part des entreprises et des salariés concernés par une négociation collective dans l'enquête annuelle "dialogue social" [Stratégique]
Renforcer la présence de l'inspection du travail sur les lieux de travail
Part des interventions annuelles des inspecteurs du travail sur les lieux de travail
155 – Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail
Accroître l'efficience de la gestion des moyens
Efficience de la fonction achat
Respect des coûts et délais des grands projets
Améliorer la qualité du service rendu dans les autres fonctions transversales
Notoriété des travaux d'études, statistiques, recherche et évaluation
Développer la gestion des emplois, des effectifs et des compétences
Part des bénéficiaires de l'obligation d'emploi prévue par la loi n° 87-517 du 10 juillet 1987
Ratio d'efficience de la gestion des ressources humaines
I. Section de fonctionnement (en Md€) |
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Charges |
470,9 |
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Produits |
470,9 |
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Dépenses de fonctionnement |
67,7 |
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Produits de gestion courante (recettes non fiscales) |
21,6 |
Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel |
32,1 |
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Subventions pour charge de service public |
35,6 |
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Charges de personnel |
153,5 |
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Impôts et taxes (recettes fiscales) |
345,1 |
Rémunérations d’activité |
90,0 |
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Cotisations et contributions sociales |
62,3 |
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Prestations sociales et allocations diverses |
1,2 |
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Autres charges de gestion courante |
138,1 |
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Autres produits courants |
‑5,0 |
Pouvoirs publics |
1,1 |
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Solde des budgets annexes et comptes spéciaux |
‑5,0 |
Interventions |
135,1 |
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Appels en garantie |
1,9 |
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Charges financières : charge nette de la dette |
52,2 |
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Produits financiers |
1,0 |
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Intérêts des prêts du Trésor |
1,0 |
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Charges exceptionnelles |
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Produits exceptionnels |
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Dotations aux amortissements et provisions |
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Reprises sur amortissements et provisions |
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Reversements sur recettes |
59,3 |
|
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Prélèvement au profit de l’Union européenne |
21,6 |
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Prélèvements au profit des collectivités locales (hors FCTVA) |
37,7 |
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Bénéfice de la section de fonctionnement |
- |
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Déficit de la section de fonctionnement |
108,1 |
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II.Section d’investissement (en Md€) |
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|
|
Emplois |
299,9 |
|
Ressources |
299,9 |
|
|
|
|
|
Insuffisance d’autofinancement |
108,1 |
|
Capacité d’autofinancement |
- |
|
|
|
|
|
Dépenses d’investissement |
28,8 |
|
Cessions d’immobilisations financières |
0,2 |
|
|
|
|
|
Dépenses d’opérations financières |
170,8 |
|
Ressources de financement |
299,7 |
Remboursements d’emprunts et autres charges de trésorerie |
162,9 |
|
Émissions de dette à moyen et long termes nettes des rachats |
285,0 |
Opérations financières (CAS PFE) |
0,2 |
|
Autres ressources de financement |
14,7 |
Opérations financières (hors CAS PFE) |
7,7 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Neutralisation des opérations sans impact en trésorerie |
‑7,7 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Solde général |
|
|
|
‑144,5 |
(en euros) |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Crédits non répartis |
1 454 000 000 |
810 526 298 |
1 154 000 000 |
510 526 298 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
80 000 000 |
285 526 298 |
80 000 000 |
285 526 298 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
1 374 000 000 |
525 000 000 |
1 074 000 000 |
225 000 000 |
Pouvoirs publics |
1 076 534 706 |
1 137 842 143 |
1 076 534 706 |
1 137 842 143 |
Présidence de la République |
110 459 700 |
122 563 852 |
110 459 700 |
122 563 852 |
Assemblée nationale |
571 005 584 |
607 647 569 |
571 005 584 |
607 647 569 |
Sénat |
346 294 600 |
353 470 900 |
346 294 600 |
353 470 900 |
La Chaîne parlementaire |
34 495 822 |
35 245 822 |
34 495 822 |
35 245 822 |
Indemnités des représentants français au Parlement européen |
|
|
|
|
Conseil constitutionnel |
13 295 000 |
17 930 000 |
13 295 000 |
17 930 000 |
Haute Cour |
|
|
|
|
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
819 075 201 |
1 198 548 322 |
1 160 135 154 |
1 095 721 681 |
Performance et résilience des bâtiments de l'Etat et de ses opérateurs |
165 909 037 |
654 843 385 |
552 715 210 |
527 867 705 |
Transformation publique |
302 650 000 |
145 463 360 |
251 450 000 |
162 824 233 |
Innovation et transformation numériques |
10 600 000 |
74 100 000 |
10 600 000 |
74 100 000 |
Fonction publique |
295 520 062 |
275 775 829 |
300 973 842 |
282 563 995 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
44 396 102 |
48 365 748 |
44 396 102 |
48 365 748 |
Aide publique au développement |
8 041 706 700 |
6 292 614 198 |
5 923 925 612 |
5 928 922 015 |
Aide économique et financière au développement |
3 836 895 132 |
2 727 128 248 |
2 337 910 235 |
2 337 910 235 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
150 000 000 |
150 000 000 |
150 000 000 |
150 000 000 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
4 054 811 568 |
3 409 385 144 |
3 436 015 377 |
3 434 910 974 |
Restitution des "biens mal acquis" |
|
6 100 806 |
|
6 100 806 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 924 164 355 |
1 914 297 459 |
1 930 871 498 |
1 923 457 459 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 832 613 254 |
1 826 156 624 |
1 839 320 397 |
1 835 316 624 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
91 551 101 |
88 140 835 |
91 551 101 |
88 140 835 |
Cohésion des territoires |
18 012 985 406 |
19 418 284 365 |
17 924 207 001 |
19 371 932 077 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 825 826 538 |
2 900 915 926 |
2 850 579 982 |
2 925 669 370 |
Aide à l'accès au logement |
13 371 300 000 |
13 901 400 000 |
13 371 300 000 |
13 901 400 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
803 075 870 |
1 512 861 469 |
780 775 870 |
1 538 661 469 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
329 421 467 |
387 931 467 |
262 448 144 |
338 520 529 |
Politique de la ville |
597 541 138 |
634 529 153 |
597 541 138 |
634 529 153 |
Interventions territoriales de l'État |
85 820 393 |
80 646 350 |
61 561 867 |
33 151 556 |
Écologie, développement et mobilité durables |
38 074 651 770 |
24 464 449 306 |
36 590 084 499 |
21 630 866 316 |
Infrastructures et services de transports |
4 140 845 046 |
4 349 509 150 |
4 372 626 282 |
4 386 472 428 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
246 868 104 |
300 833 004 |
240 870 203 |
274 535 103 |
Paysages, eau et biodiversité |
274 491 700 |
577 954 847 |
274 509 468 |
511 972 615 |
Expertise, information géographique et météorologie |
499 754 720 |
516 429 593 |
499 754 720 |
516 429 593 |
Prévention des risques |
1 141 512 356 |
1 326 595 490 |
1 143 150 567 |
1 328 233 701 |
Énergie, climat et après-mines |
5 792 914 104 |
5 630 177 062 |
5 563 760 390 |
4 888 154 925 |
Service public de l'énergie |
21 000 000 000 |
6 155 000 000 |
21 000 000 000 |
5 500 000 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
2 978 265 740 |
3 107 950 160 |
2 995 412 869 |
3 100 067 951 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
2 000 000 000 |
2 500 000 000 |
500 000 000 |
1 125 000 000 |
Enseignement scolaire |
82 550 687 404 |
86 937 330 888 |
82 397 076 350 |
86 833 850 228 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
25 667 162 133 |
26 842 958 249 |
25 667 162 133 |
26 842 958 249 |
Enseignement scolaire public du second degré |
36 455 921 370 |
38 424 611 769 |
36 455 921 370 |
38 424 611 769 |
Vie de l'élève |
7 453 210 420 |
7 971 021 922 |
7 453 210 420 |
7 941 021 922 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
8 468 113 687 |
9 035 305 069 |
8 468 113 687 |
9 035 305 069 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 910 862 155 |
2 966 048 985 |
2 757 167 569 |
2 894 284 793 |
Enseignement technique agricole |
1 595 417 639 |
1 697 384 894 |
1 595 501 171 |
1 695 668 426 |
Recherche et enseignement supérieur |
31 212 650 565 |
32 319 177 321 |
30 806 185 909 |
31 819 150 903 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
15 205 807 643 |
15 277 052 720 |
14 907 800 643 |
15 180 783 720 |
Vie étudiante |
3 136 414 445 |
3 357 406 410 |
3 130 191 945 |
3 326 639 077 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
8 070 807 751 |
8 622 699 505 |
7 833 527 751 |
8 181 401 634 |
Recherche spatiale |
1 865 683 825 |
1 900 179 541 |
1 865 683 825 |
1 900 179 541 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 675 829 878 |
1 888 583 219 |
1 800 829 878 |
1 948 483 219 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
681 599 180 |
678 136 541 |
693 736 238 |
688 636 541 |
Recherche duale (civile et militaire) |
150 019 167 |
150 019 167 |
150 019 167 |
150 019 167 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
426 488 676 |
445 100 218 |
424 396 462 |
443 008 004 |
Régimes sociaux et de retraite |
6 136 919 771 |
6 228 688 445 |
6 136 919 771 |
6 228 688 445 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 278 605 877 |
4 365 695 818 |
4 278 605 877 |
4 365 695 818 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
802 009 370 |
787 337 160 |
802 009 370 |
787 337 160 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA et divers |
1 056 304 524 |
1 075 655 467 |
1 056 304 524 |
1 075 655 467 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
29 378 505 721 |
30 747 479 735 |
29 477 717 041 |
30 845 369 866 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
13 987 377 235 |
14 034 617 889 |
13 987 377 235 |
14 035 779 223 |
Handicap et dépendance |
14 085 171 428 |
15 381 767 027 |
14 086 467 878 |
15 381 767 027 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
62 157 966 |
76 008 682 |
65 378 788 |
76 008 682 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
1 243 799 092 |
1 255 086 137 |
1 338 493 140 |
1 351 814 934 |
Sport, jeunesse et vie associative |
1 519 055 860 |
1 704 082 843 |
1 832 192 986 |
1 794 794 180 |
Sport |
600 625 019 |
760 102 002 |
700 262 145 |
760 073 339 |
Jeunesse et vie associative |
837 070 841 |
901 070 841 |
837 070 841 |
901 070 841 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
81 360 000 |
42 910 000 |
294 860 000 |
133 650 000 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
262 500 000 |
0 |
6 087 628 199 |
7 701 710 000 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
|
244 000 000 |
255 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
|
33 000 000 |
88 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
|
92 500 000 |
14 260 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
|
3 485 000 000 |
5 691 750 000 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
262 500 000 |
|
2 233 128 199 |
1 652 500 000 |
Plan de relance |
0 |
0 |
4 397 478 782 |
1 413 961 042 |
Écologie |
0 |
|
3 556 379 516 |
1 169 075 442 |
Compétitivité |
0 |
|
380 409 638 |
65 985 600 |
Cohésion |
0 |
|
460 689 628 |
178 900 000 |
Action extérieure de l'État |
3 220 167 697 |
3 508 835 292 |
3 218 125 876 |
3 506 629 505 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
2 084 769 415 |
2 265 581 395 |
2 082 957 594 |
2 263 775 608 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
743 762 450 |
805 972 195 |
743 762 450 |
805 972 195 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
391 635 832 |
437 281 702 |
391 405 832 |
436 881 702 |
Administration générale et territoriale de l'État |
4 859 598 566 |
5 596 173 769 |
4 568 766 349 |
4 657 691 472 |
Administration territoriale de l'État |
2 790 059 400 |
2 633 815 008 |
2 578 911 198 |
2 583 741 500 |
Vie politique |
113 358 103 |
257 725 252 |
119 610 368 |
257 621 749 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
1 956 181 063 |
2 704 633 509 |
1 870 244 783 |
1 816 328 223 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
3 882 989 033 |
5 343 690 681 |
3 858 324 061 |
4 752 703 914 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
2 108 395 099 |
3 167 360 200 |
2 100 708 055 |
2 726 587 303 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
657 543 796 |
1 035 116 696 |
654 616 346 |
904 703 711 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
689 050 138 |
717 213 785 |
674 999 660 |
697 412 900 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
427 000 000 |
423 000 000 |
427 000 000 |
423 000 000 |
Soutien aux associations de protection animale et aux refuges |
1 000 000 |
1 000 000 |
1 000 000 |
1 000 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
904 471 943 |
818 520 324 |
817 574 993 |
883 557 109 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
611 889 278 |
519 133 207 |
525 021 818 |
583 402 714 |
Conseil économique, social et environnemental |
45 137 172 |
44 907 172 |
45 137 172 |
44 907 172 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
247 445 493 |
254 479 945 |
247 416 003 |
255 247 223 |
Culture |
3 738 808 077 |
4 182 862 087 |
3 717 890 233 |
3 899 919 894 |
Patrimoines |
1 111 683 198 |
1 476 217 348 |
1 100 016 198 |
1 190 610 999 |
Création |
1 010 988 722 |
1 027 200 129 |
1 006 161 609 |
1 036 973 016 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
802 079 000 |
833 262 796 |
799 581 718 |
828 080 514 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
814 057 157 |
846 181 814 |
812 130 708 |
844 255 365 |
Défense |
62 005 443 014 |
67 863 751 228 |
53 116 463 423 |
56 778 360 430 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
1 989 843 904 |
2 198 423 067 |
1 906 207 690 |
1 967 619 198 |
Préparation et emploi des forces |
12 559 533 323 |
16 584 518 121 |
12 052 608 253 |
13 577 549 897 |
Soutien de la politique de la défense |
23 941 237 127 |
24 687 901 008 |
23 776 711 734 |
24 641 838 837 |
Équipement des forces |
23 514 828 660 |
24 392 909 032 |
15 380 935 746 |
16 591 352 498 |
Direction de l'action du Gouvernement |
941 361 412 |
1 017 387 983 |
929 147 370 |
1 049 079 187 |
Coordination du travail gouvernemental |
814 073 461 |
878 542 763 |
801 437 279 |
914 282 802 |
Protection des droits et libertés |
127 287 951 |
138 845 220 |
127 710 091 |
134 796 385 |
Économie |
7 552 026 759 |
4 182 876 247 |
7 918 438 562 |
4 293 248 047 |
Développement des entreprises et régulations |
6 304 482 095 |
2 946 947 565 |
6 310 006 037 |
2 656 729 661 |
Plan France Très haut débit |
74 113 790 |
46 435 000 |
437 733 772 |
464 470 090 |
Statistiques et études économiques |
458 914 015 |
485 760 309 |
454 831 894 |
473 471 923 |
Stratégies économiques |
714 516 859 |
703 733 373 |
715 866 859 |
698 576 373 |
Financement des opérations patrimoniales en 2024 sur le compte d'affectation spéciale « Participations financières de l'État » |
|
|
|
|
Engagements financiers de l'État |
54 416 946 497 |
54 155 502 785 |
61 189 283 120 |
60 818 123 694 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
50 825 000 000 |
51 375 000 000 |
50 825 000 000 |
51 375 000 000 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
2 582 736 463 |
1 902 436 463 |
2 582 736 463 |
1 902 436 463 |
Épargne |
59 210 034 |
71 066 322 |
59 210 034 |
71 066 322 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
900 000 000 |
807 000 000 |
900 000 000 |
807 000 000 |
Dotation du Mécanisme européen de stabilité |
50 000 000 |
|
50 000 000 |
|
Augmentation de capital de la Banque européenne d'investissement |
|
|
|
|
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
|
185 850 311 |
187 669 310 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
0 |
6 586 486 312 |
6 474 951 599 |
Gestion des finances publiques |
10 929 133 177 |
10 811 377 220 |
10 536 969 193 |
10 899 839 683 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
8 232 420 521 |
8 080 622 306 |
7 968 886 219 |
8 138 123 940 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
1 085 930 355 |
991 367 039 |
965 557 569 |
1 054 761 167 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 610 782 301 |
1 739 387 875 |
1 602 525 405 |
1 706 954 576 |
Immigration, asile et intégration |
2 674 824 290 |
1 764 338 061 |
2 009 102 104 |
2 156 002 672 |
Immigration et asile |
2 131 713 796 |
1 333 126 696 |
1 465 938 178 |
1 724 843 750 |
Intégration et accès à la nationalité française |
543 110 494 |
431 211 365 |
543 163 926 |
431 158 922 |
Justice |
12 517 893 647 |
14 235 842 974 |
11 570 303 289 |
12 159 946 765 |
Justice judiciaire |
4 516 356 450 |
4 753 946 619 |
4 148 805 671 |
4 544 008 245 |
Administration pénitentiaire |
5 409 946 458 |
6 813 981 632 |
4 927 411 859 |
5 002 950 814 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
1 109 063 261 |
1 160 761 152 |
1 092 665 816 |
1 125 947 340 |
Accès au droit et à la justice |
713 982 275 |
734 234 297 |
713 982 275 |
734 234 297 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
764 462 906 |
768 281 245 |
682 463 430 |
747 085 247 |
Conseil supérieur de la magistrature |
4 082 297 |
4 638 029 |
4 974 238 |
5 720 822 |
Médias, livre et industries culturelles |
702 387 108 |
741 875 375 |
704 860 321 |
735 947 922 |
Presse et médias |
372 049 399 |
377 705 399 |
371 009 279 |
376 665 279 |
Livre et industries culturelles |
330 337 709 |
364 169 976 |
333 851 042 |
359 282 643 |
Outre-mer |
2 718 640 111 |
2 904 426 717 |
2 542 531 174 |
2 657 613 991 |
Emploi outre-mer |
1 765 159 441 |
1 881 452 874 |
1 758 542 199 |
1 868 190 019 |
Conditions de vie outre-mer |
953 480 670 |
1 022 973 843 |
783 988 975 |
789 423 972 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 399 700 846 |
4 359 891 773 |
4 487 767 098 |
4 275 538 290 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
4 147 997 437 |
4 146 457 882 |
4 192 165 907 |
4 060 044 644 |
Concours spécifiques et administration |
251 703 409 |
213 433 891 |
295 601 191 |
215 493 646 |
Remboursements et dégrèvements |
131 641 999 781 |
140 250 561 424 |
131 641 999 781 |
140 250 561 424 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
127 055 014 673 |
135 959 561 424 |
127 055 014 673 |
135 959 561 424 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 586 985 108 |
4 291 000 000 |
4 586 985 108 |
4 291 000 000 |
Santé |
3 363 491 268 |
2 343 281 268 |
3 366 791 268 |
2 346 581 268 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
212 791 268 |
220 081 268 |
216 091 268 |
223 381 268 |
Protection maladie |
1 220 300 000 |
1 216 300 000 |
1 220 300 000 |
1 216 300 000 |
Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
1 930 400 000 |
906 900 000 |
1 930 400 000 |
906 900 000 |
Sécurités |
24 617 517 107 |
25 026 217 677 |
23 071 497 879 |
24 169 218 938 |
Police nationale |
12 702 800 038 |
13 362 033 907 |
12 372 926 960 |
12 932 725 125 |
Gendarmerie nationale |
10 367 449 313 |
10 867 308 357 |
9 910 086 369 |
10 392 977 945 |
Sécurité et éducation routières |
75 270 325 |
110 387 203 |
74 375 325 |
108 879 721 |
Sécurité civile |
1 471 997 431 |
686 488 210 |
714 109 225 |
734 636 147 |
Travail et emploi |
20 288 956 993 |
22 866 704 331 |
20 876 966 794 |
22 560 984 550 |
Accès et retour à l'emploi |
7 640 406 970 |
7 425 866 323 |
7 443 076 187 |
7 432 175 317 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
11 888 191 930 |
14 555 906 927 |
12 642 360 273 |
14 319 732 364 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
73 747 840 |
184 617 840 |
110 456 293 |
110 036 293 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
686 610 253 |
700 313 241 |
681 074 041 |
699 040 576 |
(en euros) |
||||
Titre 1. Dotations des pouvoirs publics |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Pouvoirs publics |
1 076 534 706 |
1 137 842 143 |
1 076 534 706 |
1 137 842 143 |
Présidence de la République |
110 459 700 |
122 563 852 |
110 459 700 |
122 563 852 |
Assemblée nationale |
571 005 584 |
607 647 569 |
571 005 584 |
607 647 569 |
Sénat |
346 294 600 |
353 470 900 |
346 294 600 |
353 470 900 |
La Chaîne parlementaire |
34 495 822 |
35 245 822 |
34 495 822 |
35 245 822 |
Conseil constitutionnel |
13 295 000 |
17 930 000 |
13 295 000 |
17 930 000 |
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Missions ministérielles |
|
|
|
|
(en euros) |
||||
Titre 2. Dépenses de personnel |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Crédits non répartis |
80 000 000 |
285 526 298 |
80 000 000 |
285 526 298 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
80 000 000 |
285 526 298 |
80 000 000 |
285 526 298 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
52 286 102 |
53 155 748 |
52 286 102 |
53 155 748 |
Transformation publique |
4 600 000 |
1 500 000 |
4 600 000 |
1 500 000 |
Innovation et transformation numériques |
3 000 000 |
3 000 000 |
3 000 000 |
3 000 000 |
Fonction publique |
290 000 |
290 000 |
290 000 |
290 000 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
44 396 102 |
48 365 748 |
44 396 102 |
48 365 748 |
Aide publique au développement |
161 428 965 |
169 447 597 |
161 428 965 |
169 447 597 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
161 428 965 |
169 447 597 |
161 428 965 |
169 447 597 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 441 930 |
1 467 031 |
1 441 930 |
1 467 031 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
1 441 930 |
1 467 031 |
1 441 930 |
1 467 031 |
Cohésion des territoires |
18 871 649 |
24 871 649 |
18 871 649 |
24 871 649 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
0 |
6 000 000 |
0 |
6 000 000 |
Politique de la ville |
18 871 649 |
18 871 649 |
18 871 649 |
18 871 649 |
Écologie, développement et mobilité durables |
2 811 881 876 |
2 892 553 911 |
2 811 881 876 |
2 892 553 911 |
Prévention des risques |
53 788 876 |
57 036 316 |
53 788 876 |
57 036 316 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
2 758 093 000 |
2 835 517 595 |
2 758 093 000 |
2 835 517 595 |
Enseignement scolaire |
76 227 595 275 |
80 666 023 639 |
76 227 595 275 |
80 666 023 639 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
25 612 011 936 |
26 774 187 832 |
25 612 011 936 |
26 774 187 832 |
Enseignement scolaire public du second degré |
36 331 554 794 |
37 957 464 193 |
36 331 554 794 |
37 957 464 193 |
Vie de l'élève |
3 668 893 121 |
4 655 647 980 |
3 668 893 121 |
4 655 647 980 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
7 636 573 060 |
8 133 539 453 |
7 636 573 060 |
8 133 539 453 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
1 909 207 463 |
2 030 419 956 |
1 909 207 463 |
2 030 419 956 |
Enseignement technique agricole |
1 069 354 901 |
1 114 764 225 |
1 069 354 901 |
1 114 764 225 |
Recherche et enseignement supérieur |
673 961 958 |
698 212 840 |
673 961 958 |
698 212 840 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
422 468 964 |
431 823 270 |
422 468 964 |
431 823 270 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
251 492 994 |
266 389 570 |
251 492 994 |
266 389 570 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
424 621 685 |
451 436 197 |
424 621 685 |
451 436 197 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
1 700 000 |
3 400 000 |
1 700 000 |
3 400 000 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
422 921 685 |
448 036 197 |
422 921 685 |
448 036 197 |
Sport, jeunesse et vie associative |
164 002 373 |
170 441 029 |
164 002 373 |
170 441 029 |
Sport |
128 049 392 |
129 488 048 |
128 049 392 |
129 488 048 |
Jeunesse et vie associative |
35 952 981 |
40 952 981 |
35 952 981 |
40 952 981 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Action extérieure de l'État |
1 097 629 076 |
1 145 677 137 |
1 097 629 076 |
1 145 677 137 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
774 711 573 |
789 227 766 |
774 711 573 |
789 227 766 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
72 584 671 |
84 794 416 |
72 584 671 |
84 794 416 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
250 332 832 |
271 654 955 |
250 332 832 |
271 654 955 |
Administration générale et territoriale de l'État |
2 857 027 489 |
2 918 539 105 |
2 857 027 489 |
2 918 539 105 |
Administration territoriale de l'État |
2 020 976 507 |
2 033 491 883 |
2 020 976 507 |
2 033 491 883 |
Vie politique |
6 263 700 |
23 844 604 |
6 263 700 |
23 844 604 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
829 787 282 |
861 202 618 |
829 787 282 |
861 202 618 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
952 574 678 |
996 578 233 |
952 574 678 |
996 578 233 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
361 164 725 |
390 422 289 |
361 164 725 |
390 422 289 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
591 409 953 |
606 155 944 |
591 409 953 |
606 155 944 |
Conseil et contrôle de l'État |
661 904 815 |
700 428 621 |
661 904 815 |
700 428 621 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
406 659 583 |
436 743 672 |
406 659 583 |
436 743 672 |
Conseil économique, social et environnemental |
35 959 665 |
35 829 665 |
35 959 665 |
35 829 665 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
219 285 567 |
227 855 284 |
219 285 567 |
227 855 284 |
Culture |
713 484 098 |
733 781 426 |
713 484 098 |
733 781 426 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
713 484 098 |
733 781 426 |
713 484 098 |
733 781 426 |
Défense |
22 416 354 127 |
23 205 361 658 |
22 416 354 127 |
23 205 361 658 |
Soutien de la politique de la défense |
22 416 354 127 |
23 205 361 658 |
22 416 354 127 |
23 205 361 658 |
Direction de l'action du Gouvernement |
340 450 085 |
357 060 873 |
340 450 085 |
357 060 873 |
Coordination du travail gouvernemental |
281 088 848 |
293 679 960 |
281 088 848 |
293 679 960 |
Protection des droits et libertés |
59 361 237 |
63 380 913 |
59 361 237 |
63 380 913 |
Économie |
924 264 541 |
959 928 566 |
924 264 541 |
959 928 566 |
Développement des entreprises et régulations |
397 688 844 |
413 728 612 |
397 688 844 |
413 728 612 |
Statistiques et études économiques |
383 118 838 |
395 926 581 |
383 118 838 |
395 926 581 |
Stratégies économiques |
143 456 859 |
150 273 373 |
143 456 859 |
150 273 373 |
Gestion des finances publiques |
8 542 194 698 |
8 762 465 510 |
8 542 194 698 |
8 762 465 510 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
6 764 352 490 |
6 903 431 646 |
6 764 352 490 |
6 903 431 646 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
511 313 566 |
529 654 750 |
511 313 566 |
529 654 750 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 266 528 642 |
1 329 379 114 |
1 266 528 642 |
1 329 379 114 |
Justice |
6 679 739 799 |
7 131 056 610 |
6 679 739 799 |
7 131 056 610 |
Justice judiciaire |
2 745 253 859 |
2 986 657 137 |
2 745 253 859 |
2 986 657 137 |
Administration pénitentiaire |
3 066 113 201 |
3 225 380 273 |
3 066 113 201 |
3 225 380 273 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
644 687 864 |
670 006 160 |
644 687 864 |
670 006 160 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
220 578 577 |
245 737 534 |
220 578 577 |
245 737 534 |
Conseil supérieur de la magistrature |
3 106 298 |
3 275 506 |
3 106 298 |
3 275 506 |
Outre-mer |
197 873 288 |
210 822 902 |
197 873 288 |
210 822 902 |
Emploi outre-mer |
197 873 288 |
210 822 902 |
197 873 288 |
210 822 902 |
Santé |
1 000 000 |
1 300 000 |
1 000 000 |
1 300 000 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
1 000 000 |
1 300 000 |
1 000 000 |
1 300 000 |
Sécurités |
19 390 396 671 |
20 327 891 259 |
19 390 396 671 |
20 327 891 259 |
Police nationale |
10 833 651 481 |
11 205 346 827 |
10 833 651 481 |
11 205 346 827 |
Gendarmerie nationale |
8 354 918 174 |
8 906 783 640 |
8 354 918 174 |
8 906 783 640 |
Sécurité civile |
201 827 016 |
215 760 792 |
201 827 016 |
215 760 792 |
Travail et emploi |
582 957 628 |
597 633 990 |
582 957 628 |
597 633 990 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
582 957 628 |
597 633 990 |
582 957 628 |
597 633 990 |
(en euros) |
||||
Titre 3. Dépenses de fonctionnement |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Crédits non répartis |
1 374 000 000 |
525 000 000 |
1 074 000 000 |
225 000 000 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
1 374 000 000 |
525 000 000 |
1 074 000 000 |
225 000 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
384 877 586 |
357 022 805 |
369 116 626 |
367 772 104 |
Performance et résilience des bâtiments de l'Etat et de ses opérateurs |
0 |
13 000 000 |
0 |
12 000 000 |
Transformation publique |
140 686 250 |
71 975 531 |
124 960 000 |
83 447 993 |
Innovation et transformation numériques |
7 600 000 |
71 100 000 |
7 600 000 |
71 100 000 |
Fonction publique |
236 591 336 |
200 947 274 |
236 556 626 |
201 224 111 |
Aide publique au développement |
9 647 133 |
9 697 133 |
16 771 176 |
15 612 735 |
Aide économique et financière au développement |
8 930 000 |
8 930 000 |
10 355 000 |
8 930 000 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
717 133 |
767 133 |
6 416 176 |
6 682 735 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
111 807 084 |
131 719 872 |
111 774 227 |
131 719 872 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
111 324 874 |
131 245 794 |
111 292 017 |
131 245 794 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
482 210 |
474 078 |
482 210 |
474 078 |
Cohésion des territoires |
200 187 702 |
215 738 116 |
198 516 511 |
216 472 969 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 859 000 |
2 759 000 |
2 859 000 |
2 759 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
84 496 000 |
86 746 000 |
83 146 000 |
87 446 000 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
67 961 442 |
86 261 442 |
67 961 442 |
86 261 442 |
Politique de la ville |
40 332 976 |
35 915 928 |
40 332 976 |
35 915 928 |
Interventions territoriales de l'État |
4 538 284 |
4 055 746 |
4 217 093 |
4 090 599 |
Écologie, développement et mobilité durables |
2 496 952 416 |
2 795 113 353 |
2 474 130 688 |
2 786 981 448 |
Infrastructures et services de transports |
556 640 884 |
560 288 428 |
545 840 884 |
570 938 428 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
86 857 928 |
78 172 075 |
84 801 016 |
78 764 424 |
Paysages, eau et biodiversité |
139 324 017 |
178 898 866 |
144 693 497 |
170 994 040 |
Expertise, information géographique et météorologie |
494 089 702 |
510 362 947 |
494 089 702 |
510 362 947 |
Prévention des risques |
861 233 150 |
1 052 368 844 |
866 383 150 |
1 050 118 844 |
Énergie, climat et après-mines |
150 274 756 |
215 407 187 |
150 619 185 |
198 751 616 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
208 531 979 |
189 615 006 |
187 703 254 |
204 551 149 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
0 |
10 000 000 |
0 |
2 500 000 |
Enseignement scolaire |
916 898 993 |
919 523 676 |
862 141 889 |
895 088 421 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
47 125 787 |
60 313 474 |
47 125 787 |
60 313 474 |
Enseignement scolaire public du second degré |
64 505 878 |
73 347 414 |
64 505 878 |
73 347 414 |
Vie de l'élève |
55 704 269 |
54 797 218 |
55 704 269 |
54 797 218 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
3 445 515 |
5 139 875 |
3 445 515 |
5 139 875 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
728 700 339 |
710 585 898 |
673 943 235 |
686 150 643 |
Enseignement technique agricole |
17 417 205 |
15 339 797 |
17 417 205 |
15 339 797 |
Recherche et enseignement supérieur |
23 411 449 627 |
24 218 262 598 |
23 410 483 215 |
24 213 591 678 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
14 063 693 809 |
14 299 157 582 |
14 063 693 809 |
14 299 157 582 |
Vie étudiante |
502 701 836 |
584 949 668 |
502 701 836 |
584 949 668 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
6 060 708 305 |
6 264 875 395 |
6 059 741 893 |
6 260 204 475 |
Recherche spatiale |
641 550 000 |
692 933 593 |
641 550 000 |
692 933 593 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 659 606 475 |
1 802 359 816 |
1 659 606 475 |
1 802 359 816 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
344 603 000 |
357 256 000 |
344 603 000 |
357 256 000 |
Recherche duale (civile et militaire) |
60 628 372 |
137 249 053 |
60 628 372 |
137 249 053 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
77 957 830 |
79 481 491 |
77 957 830 |
79 481 491 |
Régimes sociaux et de retraite |
10 195 065 |
17 906 839 |
10 195 065 |
17 906 839 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
10 195 065 |
12 995 065 |
10 195 065 |
12 995 065 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA et divers |
0 |
4 911 774 |
0 |
4 911 774 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
803 749 361 |
802 629 638 |
816 160 575 |
828 669 119 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
8 967 453 |
12 165 605 |
8 967 453 |
12 165 605 |
Handicap et dépendance |
977 394 |
999 329 |
977 394 |
999 329 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
1 534 357 |
884 357 |
1 534 357 |
884 357 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
792 270 157 |
788 580 347 |
804 681 371 |
814 619 828 |
Sport, jeunesse et vie associative |
716 123 654 |
738 468 774 |
716 123 654 |
738 306 274 |
Sport |
71 379 537 |
76 067 157 |
71 379 537 |
75 904 657 |
Jeunesse et vie associative |
626 244 117 |
643 901 617 |
626 244 117 |
643 901 617 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
18 500 000 |
18 500 000 |
18 500 000 |
18 500 000 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
0 |
0 |
2 000 000 000 |
965 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
0 |
0 |
50 000 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
0 |
50 000 000 |
0 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
0 |
450 000 000 |
210 000 000 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
0 |
1 500 000 000 |
705 000 000 |
Plan de relance |
0 |
0 |
87 586 444 |
231 982 |
Écologie |
0 |
0 |
40 586 444 |
0 |
Compétitivité |
0 |
0 |
47 000 000 |
231 982 |
Action extérieure de l'État |
879 456 641 |
943 389 434 |
886 512 186 |
951 621 483 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
341 706 109 |
383 835 155 |
348 991 654 |
392 467 204 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
524 247 532 |
536 447 532 |
524 247 532 |
536 447 532 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
13 503 000 |
23 106 747 |
13 273 000 |
22 706 747 |
Administration générale et territoriale de l'État |
1 400 076 629 |
1 172 225 612 |
1 153 334 913 |
1 175 893 938 |
Administration territoriale de l'État |
670 159 335 |
512 089 248 |
477 758 526 |
480 763 133 |
Vie politique |
37 512 985 |
156 633 708 |
43 683 285 |
156 410 296 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
692 404 309 |
503 502 656 |
631 893 102 |
538 720 509 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
857 356 383 |
877 404 701 |
858 472 280 |
882 878 472 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
616 641 052 |
630 078 820 |
616 661 052 |
630 078 820 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
187 719 360 |
195 441 647 |
187 249 578 |
193 971 865 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
52 995 971 |
51 384 234 |
54 561 650 |
58 327 787 |
Soutien aux associations de protection animale et aux refuges |
0 |
500 000 |
0 |
500 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
189 716 478 |
104 941 240 |
118 452 905 |
122 305 407 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
153 214 845 |
69 661 072 |
81 905 762 |
86 257 961 |
Conseil économique, social et environnemental |
9 177 507 |
9 077 507 |
9 177 507 |
9 077 507 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
27 324 126 |
26 202 661 |
27 369 636 |
26 969 939 |
Culture |
1 208 800 154 |
1 270 915 110 |
1 209 030 967 |
1 271 145 922 |
Patrimoines |
555 899 136 |
591 317 730 |
558 618 376 |
594 036 969 |
Création |
313 324 584 |
324 243 199 |
313 324 584 |
324 243 199 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
258 327 547 |
266 677 965 |
257 765 569 |
266 115 987 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
81 248 887 |
88 676 216 |
79 322 438 |
86 749 767 |
Défense |
19 790 346 661 |
18 129 042 491 |
16 497 931 774 |
16 902 345 137 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
1 586 873 362 |
1 668 951 029 |
1 525 490 020 |
1 556 320 129 |
Préparation et emploi des forces |
9 844 370 374 |
14 213 647 652 |
10 113 219 392 |
11 461 149 595 |
Soutien de la politique de la défense |
774 728 568 |
827 420 414 |
766 300 367 |
767 902 922 |
Équipement des forces |
7 584 374 357 |
1 419 023 396 |
4 092 921 995 |
3 116 972 491 |
Direction de l'action du Gouvernement |
340 962 174 |
405 411 766 |
357 352 816 |
435 179 009 |
Coordination du travail gouvernemental |
322 988 169 |
381 311 559 |
338 956 671 |
415 127 637 |
Protection des droits et libertés |
17 974 005 |
24 100 207 |
18 396 145 |
20 051 372 |
Économie |
886 214 117 |
1 138 746 227 |
884 885 938 |
869 627 937 |
Développement des entreprises et régulations |
279 758 704 |
552 856 183 |
283 212 646 |
294 823 279 |
Statistiques et études économiques |
55 745 413 |
67 870 044 |
51 663 292 |
55 681 658 |
Stratégies économiques |
550 710 000 |
518 020 000 |
550 010 000 |
519 123 000 |
Engagements financiers de l'État |
1 650 000 |
1 200 000 |
1 740 000 |
1 290 000 |
Épargne |
1 650 000 |
1 200 000 |
1 650 000 |
1 200 000 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
0 |
90 000 |
90 000 |
Gestion des finances publiques |
1 983 768 293 |
1 687 923 794 |
1 677 942 641 |
1 758 944 571 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
1 343 217 275 |
1 030 779 434 |
1 067 633 619 |
1 098 603 498 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
422 513 775 |
398 664 635 |
403 981 083 |
430 737 551 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
218 037 243 |
258 479 725 |
206 327 939 |
229 603 522 |
Immigration, asile et intégration |
517 984 721 |
575 784 292 |
489 552 296 |
583 185 194 |
Immigration et asile |
261 595 334 |
254 973 115 |
233 109 477 |
262 426 460 |
Intégration et accès à la nationalité française |
256 389 387 |
320 811 177 |
256 442 819 |
320 758 734 |
Justice |
3 225 214 892 |
4 739 502 748 |
2 715 180 134 |
2 966 642 934 |
Justice judiciaire |
1 267 582 291 |
1 307 262 078 |
1 132 793 037 |
1 191 742 449 |
Administration pénitentiaire |
1 556 084 091 |
2 860 632 729 |
1 194 563 752 |
1 243 851 312 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
106 428 326 |
114 540 551 |
98 032 163 |
100 323 227 |
Accès au droit et à la justice |
10 992 235 |
12 402 585 |
10 992 235 |
12 402 585 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
283 151 950 |
443 302 282 |
276 931 007 |
415 878 045 |
Conseil supérieur de la magistrature |
975 999 |
1 362 523 |
1 867 940 |
2 445 316 |
Médias, livre et industries culturelles |
293 766 358 |
309 461 394 |
293 766 358 |
309 461 394 |
Presse et médias |
21 782 374 |
22 865 143 |
21 782 374 |
22 865 143 |
Livre et industries culturelles |
271 983 984 |
286 596 251 |
271 983 984 |
286 596 251 |
Outre-mer |
55 398 659 |
56 398 658 |
54 067 702 |
55 282 487 |
Emploi outre-mer |
53 292 074 |
54 012 073 |
51 961 117 |
52 895 902 |
Conditions de vie outre-mer |
2 106 585 |
2 386 585 |
2 106 585 |
2 386 585 |
Relations avec les collectivités territoriales |
600 751 |
600 751 |
689 970 |
599 751 |
Concours spécifiques et administration |
600 751 |
600 751 |
689 970 |
599 751 |
Remboursements et dégrèvements |
4 259 000 000 |
3 313 799 369 |
4 259 000 000 |
3 313 799 369 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
4 259 000 000 |
3 313 799 369 |
4 259 000 000 |
3 313 799 369 |
Santé |
2 034 088 910 |
1 038 312 995 |
2 034 088 910 |
1 040 312 995 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
103 688 910 |
131 412 995 |
103 688 910 |
133 412 995 |
Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
1 930 400 000 |
906 900 000 |
1 930 400 000 |
906 900 000 |
Sécurités |
3 102 695 890 |
3 435 022 558 |
2 574 290 091 |
2 835 228 441 |
Police nationale |
1 120 389 775 |
1 346 488 692 |
1 044 817 827 |
1 238 805 823 |
Gendarmerie nationale |
1 751 652 454 |
1 764 196 217 |
1 287 681 103 |
1 297 342 171 |
Sécurité et éducation routières |
60 790 449 |
78 961 302 |
59 895 449 |
78 066 302 |
Sécurité civile |
169 863 212 |
245 376 347 |
181 895 712 |
221 014 145 |
Travail et emploi |
3 332 707 356 |
4 157 048 410 |
3 329 575 690 |
4 153 834 224 |
Accès et retour à l'emploi |
1 400 067 771 |
1 383 005 786 |
1 400 067 771 |
1 383 005 786 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
1 798 326 125 |
2 622 943 938 |
1 798 326 125 |
2 622 943 938 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
32 103 648 |
50 223 648 |
34 362 101 |
48 282 101 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
102 209 812 |
100 875 038 |
96 819 693 |
99 602 399 |
(en euros) |
||||
Titre 4. Charges de la dette de l’État |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Engagements financiers de l'État |
51 725 000 000 |
52 182 000 000 |
51 725 000 000 |
52 182 000 000 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
50 825 000 000 |
51 375 000 000 |
50 825 000 000 |
51 375 000 000 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
900 000 000 |
807 000 000 |
900 000 000 |
807 000 000 |
(en euros) |
||||
Titre 5. Dépenses d’investissement |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
255 998 623 |
702 151 021 |
621 611 416 |
583 855 339 |
Performance et résilience des bâtiments de l'Etat et de ses opérateurs |
165 909 037 |
641 843 385 |
552 715 210 |
515 867 705 |
Transformation publique |
73 970 000 |
31 364 686 |
47 288 000 |
32 533 311 |
Fonction publique |
16 119 586 |
28 942 950 |
21 608 206 |
35 454 323 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
0 |
220 000 |
6 740 000 |
9 380 000 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
0 |
220 000 |
6 740 000 |
9 380 000 |
Cohésion des territoires |
18 973 628 |
27 078 491 |
18 982 878 |
26 339 239 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
16 158 401 |
21 100 000 |
15 208 401 |
20 400 000 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
0 |
3 800 000 |
0 |
3 800 000 |
Interventions territoriales de l'État |
2 815 227 |
2 178 491 |
3 774 477 |
2 139 239 |
Écologie, développement et mobilité durables |
113 571 928 |
196 949 712 |
157 649 741 |
165 694 294 |
Infrastructures et services de transports |
60 475 658 |
47 288 132 |
68 660 658 |
61 233 174 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
20 111 816 |
51 675 905 |
16 644 307 |
28 076 086 |
Paysages, eau et biodiversité |
5 418 420 |
9 430 618 |
5 052 888 |
7 948 329 |
Prévention des risques |
23 736 034 |
13 236 034 |
25 486 034 |
15 936 034 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
3 830 000 |
75 319 023 |
41 805 854 |
52 500 671 |
Enseignement scolaire |
264 638 818 |
215 982 298 |
159 801 336 |
167 053 361 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
264 638 818 |
215 982 298 |
159 801 336 |
167 053 361 |
Recherche et enseignement supérieur |
274 189 785 |
800 802 921 |
264 160 171 |
526 471 032 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
51 414 782 |
370 173 000 |
49 699 882 |
225 117 680 |
Vie étudiante |
112 920 167 |
137 920 000 |
106 697 667 |
107 152 667 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
0 |
176 172 903 |
0 |
79 755 881 |
Recherche spatiale |
0 |
76 825 955 |
0 |
76 825 955 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
0 |
6 476 908 |
0 |
6 476 908 |
Recherche duale (civile et militaire) |
89 390 795 |
12 770 114 |
89 390 795 |
12 770 114 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
20 464 041 |
20 464 041 |
18 371 827 |
18 371 827 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
22 145 250 |
12 007 593 |
43 291 084 |
44 133 909 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
22 145 250 |
12 007 593 |
43 291 084 |
44 133 909 |
Sport, jeunesse et vie associative |
0 |
4 700 000 |
2 107 493 |
8 160 904 |
Sport |
0 |
4 700 000 |
2 107 493 |
8 160 904 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Plan de relance |
0 |
0 |
194 350 612 |
299 731 880 |
Écologie |
0 |
0 |
147 850 612 |
271 040 395 |
Compétitivité |
0 |
0 |
46 500 000 |
28 691 485 |
Action extérieure de l'État |
101 728 853 |
124 153 080 |
92 631 487 |
113 715 244 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
101 728 853 |
124 153 080 |
92 631 487 |
113 715 244 |
Administration générale et territoriale de l'État |
447 106 366 |
1 339 113 753 |
403 015 865 |
396 963 130 |
Administration territoriale de l'État |
98 923 558 |
88 233 877 |
80 176 165 |
69 486 484 |
Vie politique |
390 746 |
191 268 |
472 711 |
311 177 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
347 792 062 |
1 250 688 608 |
322 366 989 |
327 165 469 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
102 516 769 |
130 338 800 |
87 583 612 |
106 179 030 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
49 162 555 |
57 515 193 |
50 245 555 |
60 499 861 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
9 300 000 |
13 600 000 |
8 900 000 |
13 200 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
44 054 214 |
59 223 607 |
28 438 057 |
32 479 169 |
Conseil et contrôle de l'État |
52 789 850 |
13 103 463 |
37 156 473 |
60 776 081 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
52 014 850 |
12 728 463 |
36 456 473 |
60 401 081 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
775 000 |
375 000 |
700 000 |
375 000 |
Culture |
380 623 860 |
703 762 795 |
370 934 143 |
433 313 729 |
Patrimoines |
247 411 393 |
571 506 949 |
234 164 929 |
284 341 137 |
Création |
86 637 891 |
68 637 892 |
85 710 781 |
82 310 781 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
35 325 299 |
49 868 677 |
39 809 156 |
52 912 534 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
11 249 277 |
13 749 277 |
11 249 277 |
13 749 277 |
Défense |
19 217 958 319 |
26 023 041 706 |
13 767 140 211 |
16 212 112 415 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
292 282 485 |
424 382 647 |
270 029 613 |
306 209 678 |
Préparation et emploi des forces |
2 322 675 274 |
1 979 919 218 |
1 670 165 894 |
1 781 510 959 |
Soutien de la politique de la défense |
732 305 759 |
648 631 773 |
576 519 282 |
662 327 250 |
Équipement des forces |
15 870 694 801 |
22 970 108 068 |
11 250 425 422 |
13 462 064 528 |
Direction de l'action du Gouvernement |
160 937 661 |
148 278 501 |
132 311 597 |
150 202 462 |
Coordination du travail gouvernemental |
159 897 661 |
147 938 501 |
131 271 597 |
149 862 462 |
Protection des droits et libertés |
1 040 000 |
340 000 |
1 040 000 |
340 000 |
Économie |
4 525 000 |
3 950 000 |
4 555 000 |
3 950 000 |
Développement des entreprises et régulations |
4 525 000 |
3 950 000 |
4 555 000 |
3 950 000 |
Gestion des finances publiques |
329 608 802 |
293 090 705 |
243 262 255 |
310 531 944 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
124 430 756 |
145 951 226 |
136 480 110 |
135 628 796 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
151 470 744 |
62 315 121 |
49 630 650 |
93 636 333 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
53 707 302 |
84 824 358 |
57 151 495 |
81 266 815 |
Immigration, asile et intégration |
64 662 448 |
197 285 666 |
57 153 449 |
149 977 780 |
Immigration et asile |
54 662 448 |
187 285 666 |
47 153 449 |
139 977 780 |
Intégration et accès à la nationalité française |
10 000 000 |
10 000 000 |
10 000 000 |
10 000 000 |
Justice |
1 573 551 032 |
1 300 348 775 |
1 135 995 432 |
997 312 380 |
Justice judiciaire |
501 800 000 |
456 307 104 |
269 038 475 |
361 888 359 |
Administration pénitentiaire |
771 962 363 |
712 946 000 |
650 948 103 |
518 696 599 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
40 949 290 |
53 857 242 |
32 948 008 |
33 260 754 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
258 839 379 |
77 238 429 |
183 060 846 |
83 466 668 |
Médias, livre et industries culturelles |
30 829 035 |
46 139 035 |
36 652 368 |
40 481 702 |
Livre et industries culturelles |
30 829 035 |
46 139 035 |
36 652 368 |
40 481 702 |
Outre-mer |
31 835 059 |
29 020 100 |
45 590 753 |
25 681 302 |
Emploi outre-mer |
30 647 500 |
29 020 100 |
33 090 898 |
25 681 302 |
Conditions de vie outre-mer |
1 187 559 |
0 |
12 499 855 |
0 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 092 200 |
7 699 710 |
3 492 200 |
8 110 162 |
Concours spécifiques et administration |
4 092 200 |
7 699 710 |
3 492 200 |
8 110 162 |
Sécurités |
1 758 861 503 |
1 048 261 959 |
863 543 607 |
792 592 094 |
Police nationale |
713 176 487 |
776 428 220 |
458 875 357 |
454 802 307 |
Gendarmerie nationale |
250 878 685 |
192 728 500 |
260 707 734 |
180 570 784 |
Sécurité et éducation routières |
3 922 635 |
19 008 158 |
3 922 635 |
18 395 676 |
Sécurité civile |
790 883 696 |
60 097 081 |
140 037 881 |
138 823 327 |
Travail et emploi |
20 300 829 |
27 691 407 |
29 892 762 |
27 691 407 |
Accès et retour à l'emploi |
19 051 322 |
26 080 500 |
28 789 322 |
26 080 500 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
1 249 507 |
1 610 907 |
1 103 440 |
1 610 907 |
(en euros) |
||||
Titre 6. Dépenses d’intervention |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
125 912 890 |
86 218 748 |
117 121 010 |
90 938 490 |
Transformation publique |
83 393 750 |
40 623 143 |
74 602 000 |
45 342 929 |
Fonction publique |
42 519 140 |
45 595 605 |
42 519 010 |
45 595 561 |
Aide publique au développement |
7 040 630 602 |
5 782 263 920 |
4 331 184 656 |
4 777 832 156 |
Aide économique et financière au développement |
3 147 965 132 |
2 536 992 700 |
1 063 014 420 |
1 512 950 708 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
3 892 665 470 |
3 239 170 414 |
3 268 170 236 |
3 258 780 642 |
Restitution des "biens mal acquis" |
0 |
6 100 806 |
0 |
6 100 806 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 810 915 341 |
1 780 890 556 |
1 810 915 341 |
1 780 890 556 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 721 288 380 |
1 694 690 830 |
1 721 288 380 |
1 694 690 830 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
89 626 961 |
86 199 726 |
89 626 961 |
86 199 726 |
Cohésion des territoires |
17 774 952 427 |
19 150 596 109 |
17 687 835 963 |
19 104 248 220 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 822 967 538 |
2 898 156 926 |
2 847 720 982 |
2 922 910 370 |
Aide à l'accès au logement |
13 371 300 000 |
13 901 400 000 |
13 371 300 000 |
13 901 400 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
702 421 469 |
1 405 015 469 |
682 421 469 |
1 430 815 469 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
261 460 025 |
291 870 025 |
194 486 702 |
242 459 087 |
Politique de la ville |
538 336 513 |
579 741 576 |
538 336 513 |
579 741 576 |
Interventions territoriales de l'État |
78 466 882 |
74 412 113 |
53 570 297 |
26 921 718 |
Écologie, développement et mobilité durables |
32 652 046 593 |
18 579 832 330 |
31 146 223 237 |
15 785 636 663 |
Infrastructures et services de transports |
3 523 728 504 |
3 741 932 590 |
3 758 124 740 |
3 754 300 826 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
139 699 403 |
170 985 024 |
139 225 923 |
167 694 593 |
Paysages, eau et biodiversité |
129 749 263 |
389 625 363 |
124 763 083 |
333 030 246 |
Expertise, information géographique et météorologie |
5 665 018 |
6 066 646 |
5 665 018 |
6 066 646 |
Prévention des risques |
202 754 296 |
203 954 296 |
197 492 507 |
205 142 507 |
Énergie, climat et après-mines |
5 642 639 348 |
5 414 769 875 |
5 413 141 205 |
4 689 403 309 |
Service public de l'énergie |
21 000 000 000 |
6 155 000 000 |
21 000 000 000 |
5 500 000 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
7 810 761 |
7 498 536 |
7 810 761 |
7 498 536 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
2 000 000 000 |
2 490 000 000 |
500 000 000 |
1 122 500 000 |
Enseignement scolaire |
5 139 532 818 |
5 135 079 775 |
5 145 516 350 |
5 104 963 307 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
8 024 410 |
8 456 943 |
8 024 410 |
8 456 943 |
Enseignement scolaire public du second degré |
59 860 698 |
393 800 162 |
59 860 698 |
393 800 162 |
Vie de l'élève |
3 728 613 030 |
3 260 576 724 |
3 728 613 030 |
3 230 576 724 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
828 095 112 |
896 625 741 |
828 095 112 |
896 625 741 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
8 315 535 |
9 060 833 |
14 215 535 |
10 660 833 |
Enseignement technique agricole |
506 624 033 |
566 559 372 |
506 707 565 |
564 842 904 |
Recherche et enseignement supérieur |
6 260 853 921 |
6 561 155 733 |
6 120 987 960 |
6 262 360 804 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
151 254 042 |
161 879 042 |
151 254 042 |
161 879 042 |
Vie étudiante |
2 520 792 442 |
2 634 536 742 |
2 520 792 442 |
2 634 536 742 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
1 957 580 529 |
2 181 651 207 |
1 692 577 510 |
1 821 441 278 |
Recherche spatiale |
1 224 133 825 |
1 130 419 993 |
1 224 133 825 |
1 130 419 993 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
0 |
59 500 000 |
109 000 000 |
110 415 000 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
330 519 272 |
314 403 633 |
346 656 330 |
324 903 633 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
76 573 811 |
78 765 116 |
76 573 811 |
78 765 116 |
Régimes sociaux et de retraite |
6 126 724 706 |
6 210 781 606 |
6 126 724 706 |
6 210 781 606 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 278 605 877 |
4 365 695 818 |
4 278 605 877 |
4 365 695 818 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
791 814 305 |
774 342 095 |
791 814 305 |
774 342 095 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA et divers |
1 056 304 524 |
1 070 743 693 |
1 056 304 524 |
1 070 743 693 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
28 127 989 425 |
29 481 406 307 |
28 193 643 697 |
29 521 130 641 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
13 976 709 782 |
14 019 052 284 |
13 976 709 782 |
14 020 213 618 |
Handicap et dépendance |
14 084 194 034 |
15 380 767 698 |
14 085 490 484 |
15 380 767 698 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
60 623 609 |
75 124 325 |
63 844 431 |
75 124 325 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
6 462 000 |
6 462 000 |
67 599 000 |
45 025 000 |
Sport, jeunesse et vie associative |
635 229 833 |
790 473 040 |
944 587 466 |
877 233 173 |
Sport |
397 496 090 |
549 846 797 |
493 353 723 |
545 866 930 |
Jeunesse et vie associative |
174 873 743 |
216 216 243 |
174 873 743 |
216 216 243 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
62 860 000 |
24 410 000 |
276 360 000 |
115 150 000 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
262 500 000 |
0 |
4 066 378 199 |
6 736 710 000 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
0 |
244 000 000 |
255 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
0 |
33 000 000 |
38 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
0 |
21 250 000 |
14 260 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
0 |
3 035 000 000 |
5 481 750 000 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
262 500 000 |
0 |
733 128 199 |
947 500 000 |
Plan de relance |
0 |
0 |
3 912 176 821 |
1 011 180 489 |
Écologie |
0 |
0 |
3 164 577 555 |
795 218 356 |
Compétitivité |
0 |
0 |
286 909 638 |
37 062 133 |
Cohésion |
0 |
0 |
460 689 628 |
178 900 000 |
Action extérieure de l'État |
1 141 353 127 |
1 295 615 641 |
1 141 353 127 |
1 295 615 641 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
866 622 880 |
968 365 394 |
866 622 880 |
968 365 394 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
146 930 247 |
184 730 247 |
146 930 247 |
184 730 247 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
127 800 000 |
142 520 000 |
127 800 000 |
142 520 000 |
Administration générale et territoriale de l'État |
155 388 082 |
166 295 299 |
155 388 082 |
166 295 299 |
Vie politique |
69 190 672 |
77 055 672 |
69 190 672 |
77 055 672 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
86 197 410 |
89 239 627 |
86 197 410 |
89 239 627 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
1 970 341 203 |
3 339 168 947 |
1 958 563 491 |
2 765 938 179 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
1 442 591 492 |
2 479 766 187 |
1 433 801 448 |
2 036 008 622 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
99 159 711 |
435 452 760 |
96 172 043 |
305 979 557 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
590 000 |
450 000 |
590 000 |
450 000 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
427 000 000 |
423 000 000 |
427 000 000 |
423 000 000 |
Soutien aux associations de protection animale et aux refuges |
1 000 000 |
500 000 |
1 000 000 |
500 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
60 800 |
47 000 |
60 800 |
47 000 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
60 800 |
47 000 |
60 800 |
47 000 |
Culture |
1 435 899 965 |
1 474 402 756 |
1 424 441 025 |
1 461 678 817 |
Patrimoines |
308 372 669 |
313 392 669 |
307 232 893 |
312 232 893 |
Création |
611 026 247 |
634 319 038 |
607 126 244 |
630 419 036 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
508 426 154 |
516 716 154 |
502 006 993 |
509 051 993 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
8 074 895 |
9 974 895 |
8 074 895 |
9 974 895 |
Défense |
580 783 907 |
506 305 373 |
435 037 311 |
458 541 220 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
110 688 057 |
105 089 391 |
110 688 057 |
105 089 391 |
Préparation et emploi des forces |
392 487 675 |
390 951 251 |
269 222 967 |
334 889 343 |
Soutien de la politique de la défense |
17 848 673 |
6 487 163 |
17 537 958 |
6 247 007 |
Équipement des forces |
59 759 502 |
3 777 568 |
37 588 329 |
12 315 479 |
Direction de l'action du Gouvernement |
99 011 492 |
106 636 843 |
99 032 872 |
106 636 843 |
Coordination du travail gouvernemental |
50 098 783 |
55 612 743 |
50 120 163 |
55 612 743 |
Protection des droits et libertés |
48 912 709 |
51 024 100 |
48 912 709 |
51 024 100 |
Économie |
5 737 003 101 |
2 080 227 454 |
6 104 713 083 |
2 459 717 544 |
Développement des entreprises et régulations |
5 622 489 547 |
1 976 388 770 |
5 624 529 547 |
1 944 203 770 |
Plan France Très haut débit |
74 113 790 |
46 435 000 |
437 733 772 |
464 470 090 |
Statistiques et études économiques |
20 049 764 |
21 963 684 |
20 049 764 |
21 863 684 |
Stratégies économiques |
20 350 000 |
35 440 000 |
22 400 000 |
29 180 000 |
Engagements financiers de l'État |
2 690 296 497 |
1 972 302 785 |
2 876 056 808 |
2 159 882 095 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
2 582 736 463 |
1 902 436 463 |
2 582 736 463 |
1 902 436 463 |
Épargne |
57 560 034 |
69 866 322 |
57 560 034 |
69 866 322 |
Dotation du Mécanisme européen de stabilité |
50 000 000 |
0 |
50 000 000 |
0 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
0 |
185 760 311 |
187 579 310 |
Gestion des finances publiques |
73 225 114 |
67 455 984 |
73 233 329 |
67 456 431 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
420 000 |
460 000 |
420 000 |
460 000 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
296 000 |
291 306 |
296 000 |
291 306 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
72 509 114 |
66 704 678 |
72 517 329 |
66 705 125 |
Immigration, asile et intégration |
2 092 177 121 |
991 268 103 |
1 462 396 359 |
1 422 839 698 |
Immigration et asile |
1 815 456 014 |
890 867 915 |
1 185 675 252 |
1 322 439 510 |
Intégration et accès à la nationalité française |
276 721 107 |
100 400 188 |
276 721 107 |
100 400 188 |
Justice |
1 039 387 924 |
1 064 934 841 |
1 039 387 924 |
1 064 934 841 |
Justice judiciaire |
1 720 300 |
3 720 300 |
1 720 300 |
3 720 300 |
Administration pénitentiaire |
15 786 803 |
15 022 630 |
15 786 803 |
15 022 630 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
316 997 781 |
322 357 199 |
316 997 781 |
322 357 199 |
Accès au droit et à la justice |
702 990 040 |
721 831 712 |
702 990 040 |
721 831 712 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
1 893 000 |
2 003 000 |
1 893 000 |
2 003 000 |
Médias, livre et industries culturelles |
377 791 715 |
386 274 946 |
374 441 595 |
386 004 826 |
Presse et médias |
350 267 025 |
354 840 256 |
349 226 905 |
353 800 136 |
Livre et industries culturelles |
27 524 690 |
31 434 690 |
25 214 690 |
32 204 690 |
Outre-mer |
2 433 533 105 |
2 608 185 057 |
2 244 999 431 |
2 365 827 300 |
Emploi outre-mer |
1 483 346 579 |
1 587 597 799 |
1 475 616 896 |
1 578 789 913 |
Conditions de vie outre-mer |
950 186 526 |
1 020 587 258 |
769 382 535 |
787 037 387 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 395 007 895 |
4 351 591 312 |
4 483 584 928 |
4 266 828 377 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
4 147 997 437 |
4 146 457 882 |
4 192 165 907 |
4 060 044 644 |
Concours spécifiques et administration |
247 010 458 |
205 133 430 |
291 419 021 |
206 783 733 |
Remboursements et dégrèvements |
127 382 999 781 |
136 936 762 055 |
127 382 999 781 |
136 936 762 055 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
122 796 014 673 |
132 645 762 055 |
122 796 014 673 |
132 645 762 055 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 586 985 108 |
4 291 000 000 |
4 586 985 108 |
4 291 000 000 |
Santé |
1 328 402 358 |
1 303 668 273 |
1 331 702 358 |
1 304 968 273 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
108 102 358 |
87 368 273 |
111 402 358 |
88 668 273 |
Protection maladie |
1 220 300 000 |
1 216 300 000 |
1 220 300 000 |
1 216 300 000 |
Sécurités |
360 991 455 |
212 716 138 |
238 695 922 |
211 181 381 |
Police nationale |
33 432 295 |
33 770 168 |
33 432 295 |
33 770 168 |
Gendarmerie nationale |
10 000 000 |
3 600 000 |
6 779 358 |
8 281 350 |
Sécurité et éducation routières |
10 557 241 |
12 417 743 |
10 557 241 |
12 417 743 |
Sécurité civile |
307 001 919 |
162 928 227 |
187 927 028 |
156 712 120 |
Travail et emploi |
16 352 991 180 |
18 084 330 524 |
16 934 540 714 |
17 781 824 929 |
Accès et retour à l'emploi |
6 221 287 877 |
6 016 780 037 |
6 014 219 094 |
6 023 089 031 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
10 089 865 805 |
11 932 962 989 |
10 844 034 148 |
11 696 788 426 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
41 644 192 |
134 394 192 |
76 094 192 |
61 754 192 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
193 306 |
193 306 |
193 280 |
193 280 |
(en euros) |
||||
Titre 7. Dépenses d’opérations financières |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Aide publique au développement |
830 000 000 |
331 205 548 |
1 414 540 815 |
966 029 527 |
Aide économique et financière au développement |
680 000 000 |
181 205 548 |
1 264 540 815 |
816 029 527 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
150 000 000 |
150 000 000 |
150 000 000 |
150 000 000 |
Écologie, développement et mobilité durables |
198 957 |
0 |
198 957 |
0 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
198 957 |
0 |
198 957 |
0 |
Enseignement scolaire |
2 021 500 |
721 500 |
2 021 500 |
721 500 |
Enseignement technique agricole |
2 021 500 |
721 500 |
2 021 500 |
721 500 |
Recherche et enseignement supérieur |
592 195 274 |
40 743 229 |
336 592 605 |
118 514 549 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
516 976 046 |
14 019 826 |
220 683 946 |
62 806 146 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
52 518 917 |
0 |
81 208 348 |
20 000 000 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
16 223 403 |
26 723 403 |
32 223 403 |
35 708 403 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
6 476 908 |
0 |
2 476 908 |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
3 700 000 |
0 |
5 372 000 |
652 800 |
Sport |
3 700 000 |
0 |
5 372 000 |
652 800 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
0 |
0 |
21 250 000 |
0 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
0 |
21 250 000 |
0 |
Plan de relance |
0 |
0 |
203 364 905 |
102 816 691 |
Écologie |
0 |
0 |
203 364 905 |
102 816 691 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
200 000 |
200 000 |
1 130 000 |
1 130 000 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
200 000 |
200 000 |
1 130 000 |
1 130 000 |
Économie |
20 000 |
24 000 |
20 000 |
24 000 |
Développement des entreprises et régulations |
20 000 |
24 000 |
20 000 |
24 000 |
Engagements financiers de l'État |
0 |
0 |
6 586 486 312 |
6 474 951 599 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
0 |
6 586 486 312 |
6 474 951 599 |
Gestion des finances publiques |
336 270 |
441 227 |
336 270 |
441 227 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
336 270 |
441 227 |
336 270 |
441 227 |
Sécurités |
4 571 588 |
2 325 763 |
4 571 588 |
2 325 763 |
Police nationale |
2 150 000 |
0 |
2 150 000 |
0 |
Sécurité civile |
2 421 588 |
2 325 763 |
2 421 588 |
2 325 763 |
(en euros) |
||||
Titre / Catégorie |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Titre. 1er. Dotations des pouvoirs publics |
1 076 534 706 |
1 137 842 143 |
1 076 534 706 |
1 137 842 143 |
Titre. 2. Dépenses de personnel |
145 973 942 806 |
153 461 661 829 |
145 973 942 806 |
153 461 661 829 |
Rémunérations d’activité |
84 911 897 697 |
90 041 010 755 |
84 911 897 697 |
90 041 010 755 |
Cotisations et contributions sociales |
59 970 715 769 |
62 270 564 292 |
59 970 715 769 |
62 270 564 292 |
Prestations sociales et allocations diverses |
1 091 329 340 |
1 150 086 782 |
1 091 329 340 |
1 150 086 782 |
Titre. 3. Dépenses de fonctionnement |
74 795 693 688 |
74 088 214 354 |
71 542 867 641 |
71 031 932 106 |
Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel |
41 174 855 359 |
38 466 243 939 |
37 913 243 105 |
35 409 961 691 |
Subventions pour charges de service public |
33 620 838 329 |
35 621 970 415 |
33 629 624 536 |
35 621 970 415 |
Titre. 4. Charges de la dette de l’État |
51 725 000 000 |
52 182 000 000 |
51 725 000 000 |
52 182 000 000 |
Intérêt de la dette financière négociable |
49 957 000 000 |
50 863 000 000 |
49 957 000 000 |
50 863 000 000 |
Charges financières diverses |
1 768 000 000 |
1 319 000 000 |
1 768 000 000 |
1 319 000 000 |
Titre. 5. Dépenses d’investissement |
25 231 445 618 |
33 395 171 491 |
18 779 605 945 |
21 660 410 820 |
Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État |
24 083 872 336 |
31 332 037 094 |
17 665 530 968 |
20 163 162 689 |
Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État |
647 564 756 |
478 161 050 |
573 069 028 |
404 369 837 |
Subventions pour charges d'investissement |
500 008 526 |
1 584 973 347 |
541 005 949 |
1 092 878 294 |
Titre. 6. Dépenses d’intervention |
275 603 934 378 |
270 506 887 455 |
279 363 924 346 |
273 946 886 854 |
Transferts aux ménages |
82 039 609 077 |
84 941 891 237 |
81 858 431 116 |
84 093 109 504 |
Transferts aux entreprises |
141 439 089 268 |
136 684 562 765 |
147 554 537 033 |
140 548 303 287 |
Transferts aux collectivités territoriales |
15 883 747 363 |
15 155 760 466 |
15 543 136 045 |
15 217 496 447 |
Transferts aux autres collectivités |
33 658 752 207 |
31 822 236 524 |
31 825 083 689 |
32 185 541 153 |
Appels en garantie |
2 582 736 463 |
1 902 436 463 |
2 582 736 463 |
1 902 436 463 |
Titre. 7. Dépenses d’opérations financières |
1 433 243 589 |
375 661 267 |
8 575 884 952 |
7 667 607 656 |
Prêts et avances |
150 356 270 |
160 965 227 |
187 606 270 |
169 950 227 |
Dotations en fonds propres |
602 887 319 |
33 490 492 |
7 123 737 867 |
6 679 247 257 |
Dépenses de participations financières |
680 000 000 |
181 205 548 |
1 264 540 815 |
818 410 172 |
Total |
575 839 794 785 |
585 147 438 539 |
577 037 760 396 |
581 088 341 408 |
(en ETPT) |
||
Ministère ou budget annexe / Programme |
Emplois |
Emplois |
Budget général |
1 950 169 |
1 976 561 |
Agriculture et souveraineté alimentaire |
29 888 |
30 458 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
6 773 |
6 850 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
2 832 |
2 845 |
Enseignement technique agricole |
15 215 |
15 605 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
5 068 |
5 158 |
Armées |
272 571 |
271 852 |
Soutien de la politique de la défense |
272 571 |
271 852 |
Culture |
9 111 |
9 163 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
9 111 |
9 163 |
Économie, finances et souveraineté industrielle et numérique |
125 854 |
125 789 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
4 913 |
4 989 |
Développement des entreprises et régulations |
4 514 |
4 596 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
16 490 |
16 464 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
93 597 |
93 378 |
Statistiques et études économiques |
5 037 |
5 040 |
Stratégies économiques |
1 303 |
1 322 |
Éducation nationale et jeunesse |
1 038 537 |
1 060 503 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
133 461 |
132 960 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
344 278 |
342 947 |
Enseignement scolaire public du second degré |
452 033 |
451 353 |
Jeunesse et vie associative |
754 |
859 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
28 404 |
28 670 |
Vie de l'élève |
79 608 |
103 714 |
Enseignement supérieur et recherche |
5 179 |
5 119 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
5 179 |
5 119 |
Europe et affaires étrangères |
13 635 |
13 761 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
8 122 |
8 214 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
792 |
800 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
3 259 |
3 275 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
1 462 |
1 472 |
Intérieur et outre-mer |
302 146 |
303 839 |
Administration territoriale de l'État |
29 298 |
29 445 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
11 095 |
11 113 |
Emploi outre-mer |
6 049 |
6 168 |
Gendarmerie nationale |
102 162 |
102 623 |
Police nationale |
151 020 |
151 959 |
Sécurité civile |
2 467 |
2 477 |
Vie politique |
55 |
55 |
Justice |
92 753 |
94 916 |
Administration pénitentiaire |
44 581 |
45 088 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
2 629 |
2 766 |
Conseil supérieur de la magistrature |
24 |
24 |
Justice judiciaire |
36 132 |
37 522 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
9 386 |
9 515 |
Services du Premier ministre |
10 049 |
10 421 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
4 330 |
4 514 |
Conseil économique, social et environnemental |
153 |
154 |
Coordination du travail gouvernemental |
3 027 |
3 178 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
1 826 |
1 831 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
19 |
17 |
Protection des droits et libertés |
694 |
727 |
Solidarités et des Familles |
4 999 |
5 040 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
4 999 |
5 040 |
Sports et jeux olympiques et paralympiques |
1 442 |
1 442 |
Sport |
1 442 |
1 442 |
Transformation et fonction publiques |
470 |
514 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
470 |
514 |
Transition écologique et cohésion des territoires |
35 769 |
35 945 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
35 021 |
35 084 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
|
100 |
Politique de la ville |
291 |
291 |
Prévention des risques |
457 |
470 |
Travail, plein emploi et insertion |
7 767 |
7 799 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
7 767 |
7 799 |
Budget annexes |
10 924 |
10 923 |
Contrôle et exploitation aériens |
10 421 |
10 439 |
Soutien aux prestations de l'aviation civile |
10 421 |
10 439 |
Publications officielles et information administrative |
503 |
484 |
Pilotage et ressources humaines |
503 |
484 |
Total |
1 961 094 |
1 987 484 |
(en euros) |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2023 |
PLF 2024 |
LFI 2023 |
PLF 2024 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
7 035 000 |
6 785 000 |
7 035 000 |
6 785 000 |
Innovation et transformation numériques |
1 000 000 |
750 000 |
1 000 000 |
750 000 |
Fonction publique |
6 035 000 |
6 035 000 |
6 035 000 |
6 035 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
30 451 345 |
21 874 000 |
30 451 345 |
21 874 000 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
30 451 345 |
21 874 000 |
30 451 345 |
21 874 000 |
Cohésion des territoires |
887 883 000 |
609 140 780 |
459 629 750 |
351 548 457 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
764 000 000 |
541 670 380 |
365 000 000 |
284 078 057 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
51 350 000 |
46 970 400 |
51 350 000 |
46 970 400 |
Politique de la ville |
350 000 |
500 000 |
350 000 |
500 000 |
Interventions territoriales de l'État |
72 183 000 |
20 000 000 |
42 929 750 |
20 000 000 |
Écologie, développement et mobilité durables |
2 234 507 060 |
4 235 565 033 |
2 778 942 926 |
4 094 973 671 |
Infrastructures et services de transports |
2 201 033 333 |
4 195 323 333 |
2 744 108 829 |
4 053 622 371 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
10 115 300 |
12 250 000 |
10 115 300 |
12 250 000 |
Paysages, eau et biodiversité |
6 401 000 |
5 972 700 |
6 401 000 |
5 972 700 |
Expertise, information géographique et météorologie |
69 427 |
40 000 |
69 427 |
40 000 |
Prévention des risques |
5 358 000 |
4 379 000 |
6 718 370 |
5 488 600 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
11 530 000 |
17 600 000 |
11 530 000 |
17 600 000 |
Enseignement scolaire |
21 647 000 |
22 545 000 |
21 647 000 |
22 545 000 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
2 540 000 |
5 290 000 |
2 540 000 |
5 290 000 |
Enseignement scolaire public du second degré |
5 077 000 |
3 560 000 |
5 077 000 |
3 560 000 |
Vie de l'élève |
2 105 000 |
2 020 000 |
2 105 000 |
2 020 000 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
65 000 |
65 000 |
65 000 |
65 000 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
11 860 000 |
11 610 000 |
11 860 000 |
11 610 000 |
Recherche et enseignement supérieur |
11 400 000 |
11 400 000 |
24 620 941 |
40 353 969 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
10 000 000 |
10 000 000 |
23 720 941 |
39 453 969 |
Vie étudiante |
1 400 000 |
1 400 000 |
900 000 |
900 000 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
11 203 000 |
120 000 |
11 203 000 |
120 000 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
11 203 000 |
120 000 |
11 203 000 |
120 000 |
Sport, jeunesse et vie associative |
17 500 000 |
17 515 000 |
17 500 000 |
17 515 000 |
Sport |
|
15 000 |
|
15 000 |
Jeunesse et vie associative |
17 500 000 |
17 500 000 |
17 500 000 |
17 500 000 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Action extérieure de l'État |
7 120 000 |
7 304 795 |
7 120 000 |
7 304 795 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
5 120 000 |
5 304 795 |
5 120 000 |
5 304 795 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
2 000 000 |
2 000 000 |
2 000 000 |
2 000 000 |
Administration générale et territoriale de l'État |
69 101 493 |
51 889 543 |
69 101 493 |
51 889 543 |
Administration territoriale de l'État |
42 110 000 |
39 040 000 |
42 110 000 |
39 040 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
26 991 493 |
12 849 543 |
26 991 493 |
12 849 543 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
13 629 300 |
14 230 307 |
13 629 300 |
14 230 307 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
8 243 188 |
8 243 188 |
8 243 188 |
8 243 188 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
5 386 112 |
5 987 119 |
5 386 112 |
5 987 119 |
Conseil et contrôle de l'État |
6 479 000 |
6 530 000 |
6 479 000 |
6 530 000 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
200 000 |
200 000 |
200 000 |
200 000 |
Conseil économique, social et environnemental |
1 700 000 |
1 700 000 |
1 700 000 |
1 700 000 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
4 579 000 |
4 630 000 |
4 579 000 |
4 630 000 |
Culture |
2 730 000 |
0 |
3 730 000 |
1 000 000 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
2 730 000 |
|
2 730 000 |
|
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
0 |
|
1 000 000 |
1 000 000 |
Défense |
836 428 740 |
734 510 000 |
836 428 740 |
1 234 510 000 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
11 595 135 |
320 000 |
11 595 135 |
320 000 |
Préparation et emploi des forces |
378 865 725 |
415 329 970 |
378 865 725 |
415 329 970 |
Soutien de la politique de la défense |
285 635 896 |
264 357 610 |
285 635 896 |
264 357 610 |
Équipement des forces |
160 331 984 |
54 502 420 |
160 331 984 |
554 502 420 |
Direction de l'action du Gouvernement |
36 379 018 |
37 572 397 |
36 379 018 |
37 572 397 |
Coordination du travail gouvernemental |
36 379 018 |
37 572 397 |
36 379 018 |
37 572 397 |
Économie |
8 377 548 |
8 391 848 |
8 377 548 |
8 391 848 |
Développement des entreprises et régulations |
77 548 |
91 848 |
77 548 |
91 848 |
Statistiques et études économiques |
6 800 000 |
6 800 000 |
6 800 000 |
6 800 000 |
Stratégies économiques |
1 500 000 |
1 500 000 |
1 500 000 |
1 500 000 |
Engagements financiers de l'État |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
Gestion des finances publiques |
38 258 654 |
34 974 350 |
38 258 654 |
34 974 350 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
23 972 040 |
18 550 000 |
23 972 040 |
18 550 000 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
4 815 000 |
5 947 426 |
4 815 000 |
5 947 426 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
9 471 614 |
10 476 924 |
9 471 614 |
10 476 924 |
Immigration, asile et intégration |
201 623 569 |
94 589 553 |
201 623 569 |
94 589 553 |
Immigration et asile |
67 799 393 |
83 913 660 |
67 799 393 |
83 913 660 |
Intégration et accès à la nationalité française |
133 824 176 |
10 675 893 |
133 824 176 |
10 675 893 |
Justice |
9 366 000 |
9 806 146 |
9 366 000 |
9 806 146 |
Justice judiciaire |
4 221 000 |
4 749 000 |
4 221 000 |
4 749 000 |
Administration pénitentiaire |
3 200 000 |
2 419 033 |
3 200 000 |
2 419 033 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
0 |
893 113 |
0 |
893 113 |
Accès au droit et à la justice |
25 000 |
25 000 |
25 000 |
25 000 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
1 920 000 |
1 720 000 |
1 920 000 |
1 720 000 |
Outre-mer |
35 431 500 |
40 331 500 |
35 431 500 |
40 331 500 |
Emploi outre-mer |
35 000 000 |
40 000 000 |
35 000 000 |
40 000 000 |
Conditions de vie outre-mer |
431 500 |
331 500 |
431 500 |
331 500 |
Relations avec les collectivités territoriales |
76 936 |
235 000 |
76 936 |
235 000 |
Concours spécifiques et administration |
76 936 |
235 000 |
76 936 |
235 000 |
Sécurités |
198 424 794 |
304 118 601 |
198 424 794 |
328 060 447 |
Police nationale |
15 858 015 |
47 585 793 |
15 858 015 |
71 527 639 |
Gendarmerie nationale |
182 046 779 |
241 683 918 |
182 046 779 |
241 683 918 |
Sécurité et éducation routières |
120 000 |
120 000 |
120 000 |
120 000 |
Sécurité civile |
400 000 |
14 728 890 |
400 000 |
14 728 890 |
Travail et emploi |
811 320 000 |
861 992 000 |
411 320 000 |
941 992 000 |
Accès et retour à l'emploi |
|
50 000 000 |
|
50 000 000 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
800 000 000 |
800 000 000 |
400 000 000 |
880 000 000 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
11 320 000 |
11 992 000 |
11 320 000 |
11 992 000 |
(en euros) |
||
Ministère / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Agriculture et souveraineté alimentaire |
7 486 175 793 |
6 891 380 344 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
3 167 360 200 |
2 726 587 303 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
1 035 116 696 |
904 703 711 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
717 213 785 |
697 412 900 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
423 000 000 |
423 000 000 |
Enseignement technique agricole |
1 697 384 894 |
1 695 668 426 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
445 100 218 |
443 008 004 |
Soutien aux associations de protection animale et aux refuges |
1 000 000 |
1 000 000 |
Armées |
69 839 927 019 |
58 763 696 221 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 826 156 624 |
1 835 316 624 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
2 198 423 067 |
1 967 619 198 |
Préparation et emploi des forces |
16 584 518 121 |
13 577 549 897 |
Soutien de la politique de la défense |
24 687 901 008 |
24 641 838 837 |
Équipement des forces |
24 392 909 032 |
16 591 352 498 |
Recherche duale (civile et militaire) |
150 019 167 |
150 019 167 |
Culture |
4 924 737 462 |
4 635 867 816 |
Patrimoines |
1 476 217 348 |
1 190 610 999 |
Création |
1 027 200 129 |
1 036 973 016 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
833 262 796 |
828 080 514 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
846 181 814 |
844 255 365 |
Presse et médias |
377 705 399 |
376 665 279 |
Livre et industries culturelles |
364 169 976 |
359 282 643 |
Économie, finances et souveraineté industrielle et numérique |
222 900 325 117 |
230 370 047 638 |
Écologie |
0 |
1 169 075 442 |
Aide économique et financière au développement |
2 727 128 248 |
2 337 910 235 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
150 000 000 |
150 000 000 |
Développement des entreprises et régulations |
2 946 947 565 |
2 656 729 661 |
Plan France Très haut débit |
46 435 000 |
464 470 090 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
51 375 000 000 |
51 375 000 000 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
1 902 436 463 |
1 902 436 463 |
Épargne |
71 066 322 |
71 066 322 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
8 080 622 306 |
8 138 123 940 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
991 367 039 |
1 054 761 167 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 739 387 875 |
1 706 954 576 |
Statistiques et études économiques |
485 760 309 |
473 471 923 |
Stratégies économiques |
703 733 373 |
698 576 373 |
Recherche spatiale |
1 900 179 541 |
1 900 179 541 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
678 136 541 |
688 636 541 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 365 695 818 |
4 365 695 818 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA et divers |
1 075 655 467 |
1 075 655 467 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
135 959 561 424 |
135 959 561 424 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 291 000 000 |
4 291 000 000 |
Compétitivité |
0 |
65 985 600 |
Présidence de la République |
122 563 852 |
122 563 852 |
Assemblée nationale |
607 647 569 |
607 647 569 |
Sénat |
353 470 900 |
353 470 900 |
La Chaîne parlementaire |
35 245 822 |
35 245 822 |
Conseil constitutionnel |
17 930 000 |
17 930 000 |
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
285 526 298 |
285 526 298 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
525 000 000 |
225 000 000 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
807 000 000 |
807 000 000 |
Cohésion |
0 |
178 900 000 |
Dotation du Mécanisme européen de stabilité |
0 |
0 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
187 669 310 |
Performance et résilience des bâtiments de l'Etat et de ses opérateurs |
654 843 385 |
527 867 705 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
6 474 951 599 |
Éducation nationale et jeunesse |
86 141 016 835 |
86 039 252 643 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
26 842 958 249 |
26 842 958 249 |
Enseignement scolaire public du second degré |
38 424 611 769 |
38 424 611 769 |
Vie de l'élève |
7 971 021 922 |
7 941 021 922 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
9 035 305 069 |
9 035 305 069 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 966 048 985 |
2 894 284 793 |
Jeunesse et vie associative |
901 070 841 |
901 070 841 |
Enseignement supérieur et recherche |
27 257 158 635 |
26 688 824 431 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
15 277 052 720 |
15 180 783 720 |
Vie étudiante |
3 357 406 410 |
3 326 639 077 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
8 622 699 505 |
8 181 401 634 |
Europe et affaires étrangères |
6 924 321 242 |
6 947 641 285 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
2 265 581 395 |
2 263 775 608 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
805 972 195 |
805 972 195 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
437 281 702 |
436 881 702 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
3 409 385 144 |
3 434 910 974 |
Restitution des "biens mal acquis" |
6 100 806 |
6 100 806 |
Intérieur et outre-mer |
35 291 156 224 |
33 640 527 073 |
Administration territoriale de l'État |
2 633 815 008 |
2 583 741 500 |
Vie politique |
257 725 252 |
257 621 749 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
2 704 633 509 |
1 816 328 223 |
Immigration et asile |
1 333 126 696 |
1 724 843 750 |
Intégration et accès à la nationalité française |
431 211 365 |
431 158 922 |
Emploi outre-mer |
1 881 452 874 |
1 868 190 019 |
Conditions de vie outre-mer |
1 022 973 843 |
789 423 972 |
Police nationale |
13 362 033 907 |
12 932 725 125 |
Gendarmerie nationale |
10 867 308 357 |
10 392 977 945 |
Sécurité et éducation routières |
110 387 203 |
108 879 721 |
Sécurité civile |
686 488 210 |
734 636 147 |
Justice |
14 235 842 974 |
12 159 946 765 |
Justice judiciaire |
4 753 946 619 |
4 544 008 245 |
Administration pénitentiaire |
6 813 981 632 |
5 002 950 814 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
1 160 761 152 |
1 125 947 340 |
Accès au droit et à la justice |
734 234 297 |
734 234 297 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
768 281 245 |
747 085 247 |
Conseil supérieur de la magistrature |
4 638 029 |
5 720 822 |
Santé et prévention |
2 343 281 268 |
2 346 581 268 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
220 081 268 |
223 381 268 |
Protection maladie |
1 216 300 000 |
1 216 300 000 |
Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
906 900 000 |
906 900 000 |
Services du Premier ministre |
3 168 874 338 |
10 893 519 632 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
88 140 835 |
88 140 835 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
519 133 207 |
583 402 714 |
Conseil économique, social et environnemental |
44 907 172 |
44 907 172 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
254 479 945 |
255 247 223 |
Coordination du travail gouvernemental |
878 542 763 |
914 282 802 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
300 833 004 |
274 535 103 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
787 337 160 |
787 337 160 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
76 008 682 |
76 008 682 |
Interventions territoriales de l'État |
80 646 350 |
33 151 556 |
Protection des droits et libertés |
138 845 220 |
134 796 385 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
255 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
88 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
14 260 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
5 691 750 000 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
1 652 500 000 |
Solidarités et des Familles |
30 671 471 053 |
30 769 361 184 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
14 034 617 889 |
14 035 779 223 |
Handicap et dépendance |
15 381 767 027 |
15 381 767 027 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
1 255 086 137 |
1 351 814 934 |
Sports et jeux olympiques et paralympiques |
803 012 002 |
893 723 339 |
Sport |
760 102 002 |
760 073 339 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
42 910 000 |
133 650 000 |
Transformation et fonction publiques |
543 704 937 |
567 853 976 |
Transformation publique |
145 463 360 |
162 824 233 |
Innovation et transformation numériques |
74 100 000 |
74 100 000 |
Fonction publique |
275 775 829 |
282 563 995 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
48 365 748 |
48 365 748 |
Transition écologique et cohésion des territoires |
36 075 969 028 |
34 582 495 099 |
Infrastructures et services de transports |
4 349 509 150 |
4 386 472 428 |
Paysages, eau et biodiversité |
577 954 847 |
511 972 615 |
Expertise, information géographique et météorologie |
516 429 593 |
516 429 593 |
Prévention des risques |
1 326 595 490 |
1 328 233 701 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
3 107 950 160 |
3 100 067 951 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
4 146 457 882 |
4 060 044 644 |
Concours spécifiques et administration |
213 433 891 |
215 493 646 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 900 915 926 |
2 925 669 370 |
Aide à l'accès au logement |
13 901 400 000 |
13 901 400 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
1 512 861 469 |
1 538 661 469 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
387 931 467 |
338 520 529 |
Politique de la ville |
634 529 153 |
634 529 153 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
2 500 000 000 |
1 125 000 000 |
Transition énergétique |
13 673 760 281 |
12 336 638 144 |
Énergie, climat et après-mines |
5 630 177 062 |
4 888 154 925 |
Service public de l'énergie |
6 155 000 000 |
5 500 000 000 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 888 583 219 |
1 948 483 219 |
Travail, plein emploi et insertion |
22 866 704 331 |
22 560 984 550 |
Accès et retour à l'emploi |
7 425 866 323 |
7 432 175 317 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
14 555 906 927 |
14 319 732 364 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
184 617 840 |
110 036 293 |
Conception, gestion et évaluation des politiques de l'emploi et du travail |
700 313 241 |
699 040 576 |
Solde des comptes spéciaux |
||
(en euros) |
||
|
LFI 2023 |
PLF 2024 |
Comptes d'affectation spéciale : |
|
|
Recettes |
83 281 062 597 |
77 481 210 645 |
Crédits de paiement |
83 943 858 477 |
79 946 764 321 |
Solde |
-662 795 880 |
-2 465 553 676 |
Comptes de concours financiers : |
|
|
Recettes |
138 203 834 053 |
146 036 346 658 |
Crédits de paiement |
140 855 669 377 |
148 645 323 677 |
Solde |
-2 651 835 324 |
-2 608 977 019 |
Solde des comptes de commerce |
-401 922 979 |
-172 997 283 |
Solde des comptes d'opérations monétaires |
+98 200 000 |
+109 900 000 |
Solde de l'ensemble des comptes spéciaux |
-3 618 354 183 |
-5 137 627 978 |
(+ : excédent ; - : charge) |
||
Autorisations de découvert des comptes spéciaux |
||
(en euros) |
||
|
LFI 2023 |
PLF 2024 |
Comptes de commerce |
20 314 609 800 |
19 982 609 800 |
Comptes d'opérations monétaires |
175 000 000 |
175 000 000 |
Total pour l'ensemble des comptes spéciaux |
20 489 609 800 |
20 157 609 800 |
[1] 1La loi organique n° 2021-1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a modifié la définition des recettes fiscales nettes, celles-ci s’entendent comme la différence entre les recettes fiscales brutes et les remboursements et dégrèvements d’impôts d’État uniquement, les remboursements et dégrèvements d’impôts locaux sont désormais comptabilisés en dépenses. Cette nouvelle définition a été appliquée pour la première fois dans le cadre de la LFI pour 2023.