Projet de loi de finances pour 2025
Assemblée nationale
Constitution du 4 octobre 1958
Dix-septième législature
Enregistré à la présidence
de l’Assemblée nationale
le 10 octobre 2024
N° 324
2025
Projet de loi de finances pour 2025
renvoyé à la Commission des finances,
de l’économie générale et du contrôle budgétaire,
présenté au nom de Monsieur Michel BARNIER
Premier ministre
par
M. Antoine ARMAND
Ministre de l’économie, des finances et de l’industrie
et par
M. Laurent SAINT-MARTIN
Ministre auprès du Premier ministre,
chargé du budget et des comptes publics
Sommaire
Orientations générales et équilibre budgétaire du projet de loi de finances pour 2025
Évaluation des Recettes du budget général
Articles du projet de loi avec exposé des motifs
PREMIÈRE PARTIE : CONDITIONS GÉNÉRALES DE L’ÉQUILIBRE FINANCIER
TITRE PREMIER : DISPOSITIONS RELATIVES AUX RESSOURCES
I – Impôts et ressources autorisées
A – Autorisation de perception des impôts et produits
ARTICLE 1 : Autorisation de percevoir les impôts existants
ARTICLE 3 : Instauration d'une contribution différentielle sur les hauts revenus
ARTICLE 4 : Mise en place d’un partage avec les consommateurs des revenus du nucléaire historique
ARTICLE 5 : Ajustements de la fiscalité applicable aux installations nucléaires de base
ARTICLE 28 : Prorogation de l'expérimentation des clubs de jeux à Paris
A – Dispositions relatives aux collectivités territoriales
B – Impositions et autres ressources affectées à des tiers
ARTICLE 33 : Dispositions relatives à l’affectation de ressources à des tiers
C – Dispositions relatives aux budgets annexes et aux comptes spéciaux
ARTICLE 38 : Relations financières entre l'État et la sécurité sociale
TITRE II : DISPOSITIONS RELATIVES À L’ÉQUILIBRE DES RESSOURCES ET DES CHARGES
ARTICLE 41 : Équilibre général du budget, trésorerie et plafond d’autorisation des emplois
SECONDE PARTIE : MOYENS DES POLITIQUES PUBLIQUES ET DISPOSITIONS SPÉCIALES
TITRE PREMIER : DISPOSITIONS POUR 2025
I – Autorisation des crédits des missions et performance
ARTICLE 42 : Crédits du budget général
ARTICLE 43 : Crédits des budgets annexes
ARTICLE 44 : Crédits des comptes d'affectation spéciale et des comptes de concours financiers
B. - Données de la performance
ARTICLE 45 : Objectifs et indicateurs de performance
II – Autorisations de découvert
ARTICLE 46 : Autorisations de découvert
III. – Plafonds des autorisations d'emplois
ARTICLE 47 : Plafonds des autorisations d’emplois de l'État
ARTICLE 48 : Plafonds des emplois des opérateurs de l'État
ARTICLE 49 : Plafonds des emplois des établissements à autonomie financière
ARTICLE 50 : Plafonds des emplois des autorités publiques indépendantes
IV. - Reports de crédits de 2024 sur 2025
ARTICLE 51 : Majoration des plafonds de report de crédits de paiement
TITRE II: DISPOSITIONS PERMANENTES
I – Mesures budgétaires non rattachées
ARTICLE 52 : Octroi de la garantie de l'État à l'Unédic
ARTICLE 53 : Sécurisation des prêts à la collectivité de Nouvelle-Calédonie
ARTICLE 56 : Souscription à l’augmentation de capital de la Banque africaine de développement
ARTICLE 57 : Augmentation de la quote-part de la France au Fonds monétaire international
Ecologie, développement et mobilité durables
ARTICLE 60 : Réforme du chèque énergie
Relations avec les collectivités territoriales
ARTICLE 61 : Répartition de la dotation globale de fonctionnement (DGF)
ARTICLE 62 : Répartition du fonds de péréquation des ressources intercommunales et communales (FPIC)
Etat A - Voies et moyens pour 2025 (Article 41 du projet de loi) : Voies et moyens
Tableaux d’évolution des dépenses et observations générales
4. Tableau d’évolution des plafonds d’emplois
Tableaux de synthèse des comptes spéciaux
Le présent projet de loi de finances (PLF) pour 2025 est présenté à l’issue d’une procédure budgétaire marquée par un contexte inédit. Le 9 juin dernier, la dissolution de l’Assemblée nationale a en effet suspendu les échanges interministériels préparatoires au budget pour 2025. Néanmoins, le Gouvernement en charge des affaires courantes a poursuivi les travaux techniques, permettant la transmission à l’ensemble des ministères de plafonds prévisionnels de crédits et d’emplois le 20 août dernier. Dans un souci d’efficacité et de tenue du calendrier de présentation au Parlement, le Gouvernement s’est appuyé sur ce socle pour élaborer le PLF pour 2025 ici présenté.
Si les circonstances n’ont matériellement pas permis de tenir le calendrier organique de dépôt du texte au plus tard le premier mardi d’octobre, le Gouvernement s’est attaché au plein respect des délais constitutionnels et des prérogatives du Parlement, ménageant, pour les débats, des délais compatibles avec les dispositions de l’article 47 de la Constitution. Cet impératif calendaire, tenu, ne s’est pas fait au détriment de la qualité de l’information du Parlement : la transmission des documents annexés au PLF intervient ainsi concomitamment au dépôt du texte.
Le Gouvernement est particulièrement attaché à la transparence et la qualité des débats, pour une élaboration de la loi de finances pour 2025 avec les parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat. Le Gouvernement souhaite que cette élaboration conjointe s’inscrive dans une démarche collective de redressement des finances publiques, qui est un impératif afin que notre pays préserve sa souveraineté, et dispose des marges de manœuvre nécessaires pour pouvoir faire face aux prochaines crises.
Pour tenir les ancres de finances publiques fixées pour 2025 et les années suivantes, le Gouvernement sera ouvert tout au long des débats parlementaires aux propositions qui permettront, en responsabilité, d’envisager un redressement clair et déterminé des comptes publics, autour d’axes clairs : la réduction de la dépense publique, prioritaire, en veillant à son efficacité et à la préservation des missions de service public essentielles de l’État ; l’amélioration de la justice fiscale, notamment par des mises à contribution ciblées et temporaires sur les agents qui ont la capacité de participer au redressement des comptes ; le financement à leur juste niveau des priorités du Gouvernement.
Projet de loi de finances |
1 |
I/ Le budget pour 2025 présente une ambition forte et indispensable de redressement des comptes publics
1. Malgré les aléas, l’économie française reste résiliente.
En 2024, l’économie française continue à démontrer sa résilience, malgré un contexte international relativement peu porteur. Si l’investissement privé pâtit des taux d’intérêt élevés et l’épargne des ménages demeure au-dessus de son niveau avant crise, les exportations ont repris. La croissance devrait atteindre 1,1 % sur l’année, avec une composition toutefois peu favorable pour les recettes. Les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris ont attiré des millions de visiteurs et devraient soutenir la croissance annuelle à hauteur de +0,1 pt de PIB selon l’Insee.
L’inflation, au sens de l’IPC, a poursuivi son reflux en 2024, et s’établirait à +2,1 % en moyenne annuelle (après +4,9 % en 2023). Les prix de l’énergie ralentiraient, notamment du fait de la baisse des prix des produits pétroliers. Les prix des produits alimentaires et manufacturés se stabiliseraient. L’inflation serait principalement soutenue par le prix des services, en lien avec la dynamique des salaires. En août 2024, l’inflation est repassée en dessous de 2 % pour la première fois depuis août 2021, à +1,8 %. Elle a même diminué à 1,2 % en septembre 2021, plus bas niveau observé depuis juillet 2021. La baisse de l’inflation en zone euro a permis à la BCE d’amorcer un cycle de desserrement monétaire.
En 2025, la croissance s’élèverait à nouveau à 1,1 %, essentiellement tirée par la demande intérieure privée dans un contexte de baisse de l’inflation. La consommation des ménages (+1,3 %) accélérerait, grâce au reflux confirmé de l’inflation. L’investissement se stabiliserait, tant pour les ménages que pour les entreprises, grâce à la détente des conditions de financement. Les exportations profiteraient d’une demande mondiale adressée à la France mieux orientée. Ce contexte favorable et le ciblage des mesures de redressement sur des dépenses publiques peu efficaces et sur des agents à plus fortes capacités contributives permettraient de réduire le déficit sans grever la croissance.
L’inflation achèverait sa normalisation en se stabilisant sous 2 %, à 1,8 % en moyenne annuelle. À cet horizon, elle serait essentiellement tirée par les prix des services. Les prix alimentaires demeureraient stables et les prix de l’énergie orientés à la baisse. Le prix des produits manufacturés connaîtrait un léger rebond lié au renchérissement des coûts de transport maritime en raison des tensions au Proche et au Moyen-Orient.
La croissance prévue par le Gouvernement pour 2024 est identique à celles de l’OCDE, la Banque de France, l’Insee et au consensus des économistes (+1,1 %). La prévision d’inflation pour 2024 (+2,1 %) se situe légèrement en-dessous de celle du Consensus Forecast (+2,3 %) mais est identique à celle de l’Insee. La prévision d’indice harmonisé IPCH (+2,5 %) est égale à la dernière prévision de la Banque de France.
Pour 2025, la prévision de croissance est égale à celle du Consensus de septembre (1,1 %). Elle est légèrement inférieure à celle de l’OCDE et de la Banque de France qui prévoient une croissance de +1,2 %, et à celles de la Commission européenne et du FMI qui tablaient sur +1,3 % dans des prévisions plus anciennes. La prévision du Gouvernement prend notamment en compte l’impact des mesures intégrées au projet de loi de finances (PLF) et au projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). La prévision d’inflation se situe dans la fourchette des prévisionnistes pour 2025 ; elle est égale à la dernière prévision du consensus des économistes (+1,8 %).
Les aléas autour de ce scénario économique sont globalement équilibrés. La situation géopolitique en Ukraine, au Proche et Moyen-Orient fait peser des risques sur les prix des matières premières et sur les échanges commerciaux. Une dégradation de la situation représente un aléa baissier sur le scénario.
Le reflux de l’inflation ces derniers mois a été plus rapide qu’anticipé au moment du programme de stabilité, et cette tendance s’est poursuivie en septembre (+1,2 %), après la finalisation du scénario économique de ce PLF. Une inflation plus basse soutiendrait le pouvoir d’achat et permettrait une baisse plus rapide des taux d’intérêt.
Un aléa important du scénario, de nature plus symétrique, concerne l’évolution du taux d’épargne des ménages, qui se situe encore à un niveau historiquement élevé. Le scénario fait l’hypothèse d’une baisse seulement graduelle en 2025, l’inflation ressentie par les ménages s’ajustant avec retard à la baisse de l’inflation mesurée. Un ajustement plus rapide de l’inflation soutiendrait davantage la consommation et donc l’activité.
2. Les textes financiers pour 2025 (PLF / PLFSS) visent un objectif de déficit cible à 5,0 % à l’issue du débat parlementaire, en partant d’un déficit public de 5,2 % du PIB en 2025 en texte initial
Un nécessaire effort de consolidation des comptes publics pour corriger une trajectoire défavorable des finances publiques
En l’absence de mesures, le déficit public aurait atteint environ 7 % du PIB en 2025. Cette tendance défavorable résulte notamment d’une hausse des recettes de prélèvements obligatoires moins élevée que celle de l’activité, de la hausse de la charge de la dette en lien avec la remontée des taux d’intérêt, des dépenses de prestations vieillesse en nette hausse en raison de leur revalorisation sur l’inflation passée, et de la dynamique des dépenses de prestation sociale liées au vieillissement démographique et de dépenses dynamiques des administrations territoriales.
Le Gouvernement a donc décidé de prendre des mesures d’ampleur dès 2025 pour ramener le déficit à 5,0 % du PIB en 2025, alors que celui-ci devrait atteindre 6,1 % en 2024. L’ensemble de ces mesures représentent au total un effort de 60 milliards d’euros, soit 2 points de PIB (cf. tableau en annexe 1).
Cet effort significatif de consolidation dès 2025 a vocation à s’ancrer dans une trajectoire de finances publiques ramenant le déficit sous le seuil de 3 % de PIB en 2029 comme s’y est engagé le Gouvernement. Ainsi, la France se met en situation de revenir sous le solde public qui permet de stabiliser la dette, et de respecter les nouvelles règles communes européennes qui sont entrées en vigueur le 30 avril 2024. Cette trajectoire sera présentée dans le cadre du plan budgétaire et structurel national de moyen terme (PSMT) 2025-2028 que la France doit transmettre le 31 octobre à la Commission européenne et qui sera transmis au Parlement français mi-octobre.
Un effort partagé et juste portant aux deux tiers sur la dépense
Les mesures de consolidation porteront prioritairement sur la dépense, qui représente près de 57 % du PIB en France contre moins de 50 % en moyenne dans l’ensemble des pays européens, en 2023. Sur les 60 Md€ d’économies à réaliser, les deux tiers (soit environ 40 Md€) seront portés par des mesures de modération et de réduction de la dépense publique. Cet effort en dépense sera partagé équitablement entre l’État, ses opérateurs, les collectivités territoriales et les administrations de sécurité sociale.
Avec les économies proposées par le Gouvernement, en volume et hors charge d’intérêt de la dette, les dépenses de l’État et de ses opérateurs baisseraient de ‑1,1 %, les dépenses des collectivités locales seraient stables (+0 %) et les dépenses de sécurité sociale progresseraient de 0,6 %.
La participation de l’État au redressement des comptes publics sera accentuée par rapport aux plafonds de crédits et d’emplois notifiés par le Gouvernement précédent, qui représentaient déjà un effort de 15 Md€ par rapport au tendanciel via la stabilisation en valeur des crédits par rapport au budget voté pour 2024. Le projet de loi de finances sera en définitive en diminution de 2,4 Md€ en valeur à périmètre constant. Un effort additionnel de 5 Md€ sera porté par voie d’amendement par le Gouvernement. Au total, ce sont donc 20 Md€ d’économies en dépense qui seront réalisées par l’État par rapport à l’évolution tendancielle des dépenses. Elles seront réparties entre l’ensemble des ministères, tout en veillant à consolider et prolonger les efforts réalisés dans les secteurs concernés par des lois de programmation. Ces économies s’appuieront sur les conclusions des revues de dépenses conduites en 2023 et 2024, et qui permettent d’améliorer l’efficacité de la dépense publique. Elles porteront notamment sur le regroupement de structures ayant des activités proches et sur une simplification du fonctionnement de l’État et des normes. Les opérateurs de l’État seront également mis à contribution pour un montant d’économie par rapport au tendanciel de près de 1,5 Md€.
Des économies seront également réalisées par les administrations de sécurité sociale. Ainsi, l’évolution de l’ONDAM sera limitée à +2,8 %, grâce à près de 4 Md€ de mesures d’économies, tout en demeurant supérieure à l’inflation en 2025 qui est de 1,8 %. L’indexation des pensions de retraites sera décalée de janvier à juillet, après plusieurs revalorisations d’ampleur intervenues ces dernières années en raison de la forte inflation, notamment une revalorisation de 5,3 % en 2024, alors que l’inflation devrait se situer à 2,1 % pour cette même année. Des mesures seront également prises sur l’assurance chômage dans le cadre des négociations entre partenaires sociaux et dans l’objectif de favoriser l’emploi. Enfin, le dispositif des allègements généraux sera revu afin d’insuffler une plus grande dynamique salariale tout en modérant leur coût pour les finances publiques.
Enfin, les collectivités territoriales prendront leur juste part aux efforts de maîtrise du solde public. Cette contribution passera par différentes mesures mettant à contribution les collectivités territoriales, notamment les plus grandes d’entre elles, qui sont inscrites dans le PLF 2025. Ces mesures permettront également une plus grande résilience des finances publiques des collectivités territoriales, dans une logique d’auto-assurance pluriannuelle.
Un tiers de l’effort via des mesures de justice fiscale : les mesures de recettes, pour majorité exceptionnelles et temporaires, ont été ciblées pour ne pas pénaliser la croissance.
Les mesures sur les recettes représentent environ un tiers de l’effort total de consolidation des comptes publics, soit environ 20 Md€. Dans le cadre du partage de l’effort, une participation au redressement collectif sera demandée aux plus grandes entreprises qui réalisent des profits et aux plus hauts revenus. Ce seront des hausses de prélèvements obligatoires ciblées et temporaires afin de ne pas pénaliser la compétitivité, l’investissement et donc la croissance. Ces mesures se matérialiseront notamment par une contribution ciblée et temporaire des plus hauts revenus et un prélèvement exceptionnel et temporaire sur les bénéfices des plus grandes entreprises. Ces mesures exceptionnelles, portant sur les agents qui disposent des capacités contributives les plus importantes, visent à amorcer au plus vite une forte réduction du déficit public dans le respect du principe de justice fiscale.
Ces mesures de justice fiscale seront complétées par une réduction des niches fiscales et sociales pour lutter contre les effets d’aubaine. La fiscalité doit également avoir pour but de contribuer à favoriser la transition écologique. À cette fin, le PLF 2025 portera des mesures de verdissement de la fiscalité en incitant notamment à une plus grande sobriété énergétique.
Ces mesures auront pour effet une stabilisation du taux de prélèvement obligatoire qui avait baissé depuis 2022 : il s’établirait à 42,8 % en 2024 et 43,6 % en 2025 contre 45,0 % du PIB en 2022 et 43,2 % du PIB en 2023. En dépenses, le ratio de dépense publique (hors crédits d’impôts) s’établirait à 56,8 % du PIB en 2024, avant de reculer à 56,4 % de PIB en 2025, rejoignant son niveau de 2023.
Le Gouvernement proposera au Parlement de faire évoluer le texte initial
Le déficit cible du Gouvernement est fixé à 5,0 % du PIB pour 2025. A l’étape du projet de loi de finances et du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025, l’article liminaire affiche un déficit de 5,2 % du PIB, en cohérence d’une part avec les évaluations de recettes et les plafonds de dépenses prévus par le PLF pour l’État, et d’autre part avec les évaluations de recettes et les évaluations de dépenses présentées par le PLFSS. Le principe de sincérité sera ainsi respecté tout au long de la procédure d’examen du texte.
Cet écart de 0,2 pt de PIB a vocation à être résorbé au cours des débats. Il s’explique par les conditions inédites et très spécifiques de préparation des textes à la suite de la nomination du Gouvernement le 22 septembre 2024, et par la volonté du Gouvernement de faire évoluer, en cours de débat, le projet dont la préparation a été engagée par le précédent gouvernement afin d’atteindre un objectif de solde fixé, tout en respectant une date de dépôt permettant de préserver le temps du débat parlementaire, et le délai d’examen constitutionnel de 70 jours.
Pour assurer la clarté et l’intelligibilité du débat, le Gouvernement souhaite informer en toute transparence la représentation nationale dès le dépôt des textes des modifications qu’il souhaite apporter en cours de débat.
Concernant les dépenses de l’État, le Gouvernement a l’intention de proposer en cours de débats certains rehaussements de crédits. Cela concernera les crédits du ministère de la Justice, qui seront réévalués à l’initiative du Gouvernement, tout comme ceux du ministère de l’Intérieur et du Logement, pour maintenir la capacité d’action de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), en maintenant le rendement de la mesure de réduction de loyer de solidarité au même niveau qu’en 2024. L’ajustement de la dotation versée à la Poste et du niveau des crédits consacrés à la restauration de notre patrimoine sera proposé.
Par ailleurs, le Gouvernement soumettra au Parlement, au cours des débats, une économie additionnelle de 5 Md€. Cette mesure de diminution des plafonds de crédits, qui a vocation à être répartie entre les ministères, sera équivalente à l’annulation de près de la moitié des crédits qui constituent habituellement la mise en réserve de début de gestion. Elle portera ainsi sur une assiette de crédits large qui tiendra compte de la rigidité relative des dépenses, tout en emportant une capacité de modulation de l’effort et pourra être associée à une réduction du taux de mise en réserve en début de gestion. Des amendements de crédits minorant les plafonds de dépenses de l’état B seront ainsi déposés, améliorant le solde budgétaire et le solde de l’ensemble des administrations publiques pour atteindre le déficit cible présenté par le Gouvernement. Cette modification des plafonds ne pouvait pas être présentée dès le dépôt du projet de loi, en raison des délais inhérents à la répartition des annulations et de préparation des documents annexés au PLF dans le respect des délais constitutionnels.
En matière de recettes, le Gouvernement souhaitera voir ajoutés en cours de débat des amendements renforçant les signaux fiscaux en faveur de la transition environnementale et tendant à accroître les recettes fiscales de 1,5 Md€ de manière pérenne à compter de 2025. Les montants présentés à l’état A correspondent ainsi dans le texte initial aux seules évaluations de recettes de l’État et des mesures fiscales inscrites dans le projet de loi.
Au total, ces mesures améliorent le solde public de 6,5 Md€ (5 Md€ en dépenses et 1,5 Md€ en recettes), soit 0,2 point de PIB. Cette amélioration du solde est entièrement portée par l’État.
La trajectoire pluriannuelle vise un retour sous les 3 % de déficit en 2029 et une baisse de la dette
La trajectoire proposée dans le PSMT de la France avec un ajustement structurel primaire de 1,4 pt de PIB en 2025 et de 0,8 pt de PIB par an en moyenne sur le programme, respecte à la fois les exigences communiquées par la Commission le 21 juin et celles établies avec les hypothèses sous-jacentes au PLF 2025 et au PSMT 2025-2028. Ce niveau d’ajustement permet d’atteindre un déficit de 2,8 % en 2029, soit un retour sous le seuil de 3 % de déficit à cet horizon.
En 2025, le ratio de dette publique augmenterait, mais plus modérément qu’en 2024 en raison de l’amélioration du solde public. Il augmenterait de 1,8 point (contre 3 points en 2024) pour atteindre 114,7 % du PIB. Cette hausse plus modérée résulte d’un solde public qui bien que demeurant supérieur au solde stabilisant la dette, s’en rapproche à la faveur des efforts engagés dans le cadre du PLF 2025.
Projet de loi de finances |
1 |
II/ Sur le périmètre de l’État, le PLF pour 2025 met l’accent sur la maîtrise des dépenses, au service des priorités du Gouvernement, accompagnée de mesures ciblées, temporaires et exceptionnelles en recettes, dans un objectif de justice sociale, fiscale et écologique
Le Gouvernement se fixe un objectif d’amélioration ambitieuse du solde budgétaire, qui s’établirait à l’issue des débats à ‑135,6 Md€, soit une amélioration de 31 Md€ par rapport à 2024.
Le déficit budgétaire présenté dans le texte initial du PLF 2025 serait déjà en forte amélioration à ‑142,1 Md€ (+24,5 Md€ par rapport à 2024) grâce à l’effort réalisé sur les dépenses et aux mesures nouvelles en recettes.
Cette amélioration est d’autant plus significative que la dynamique constatée en cours d’année 2024 est peu favorable. Le solde budgétaire 2024 connaîtrait en effet une révision à la baisse de ‑19,7 Md€ par rapport aux prévisions de la loi de finance initiale pour 2024, pour s’établir à ‑166,6 Md€, sous l’effet d’un environnement macroéconomique défavorable, dont l’impact sur les recettes ne peut être compensé en dépit d’un effort significatif en dépense (annulation de 10 Md€ dès le mois de février ; doublement de la réserve de précaution, portée à 16 Md€).
En Md€ |
|
Exécution 2023 |
|
LFI 24 |
Révisé 2024 |
|
Écart Révisé 24 / LFI 2024 |
|
PLF 2025 initial |
PLF 2025 cible |
|
Écart PLF25 cible / Révisé 24 |
SOLDE ÉTAT - HORS FMI |
‑173,0 |
‑146,9 |
‑166,6 |
‑19,7 |
‑142,1 |
‑135,6 |
31,0 |
|||||
|
||||||||||||
DÉPENSES DU BUDGET GÉNÉRAL ET PSR |
|
516,2 |
|
512,5 |
507,2 |
|
‑5,3 |
|
518,8 |
513,8 |
|
6,6 |
DÉPENSES DU BUDGET GÉNÉRAL |
448,1 |
445,8 |
440,1 |
‑5,8 |
451,3 |
446,3 |
6,2 |
|||||
Crédits budgétaires des ministères (hors FdC) |
336,1 |
335,0 |
330,9 |
‑4,2 |
336,7 |
331,7 |
0,8 |
|||||
Charge de la dette (yc SNCF) |
54,8 |
52,2 |
50,9 |
‑1,3 |
54,9 |
54,9 |
4,0 |
|||||
Amortissement de la dette de l’État liée à la Covid‑19 |
6,6 |
6,5 |
6,5 |
0,0 |
5,2 |
5,2 |
‑1,3 |
|||||
Contributions du BG au CAS « Pensions » |
45,5 |
47,9 |
46,8 |
‑1,1 |
50,1 |
50,1 |
3,3 |
|||||
Remboursements et dégrèvements d’impôts locaux |
5,1 |
4,3 |
5,1 |
0,8 |
4,4 |
4,4 |
‑0,7 |
|||||
|
||||||||||||
PRÉLÈVEMENTS SUR RECETTES |
|
68,1 |
|
66,7 |
67,2 |
|
0,5 |
|
67,5 |
67,5 |
|
0,3 |
Prélèvement au profit des collectivités territoriales |
44,3 |
45,1 |
44,9 |
‑0,1 |
44,2 |
44,2 |
‑0,8 |
|||||
Prélèvement au profit de l’Union européenne |
23,9 |
21,6 |
22,3 |
0,6 |
23,3 |
23,3 |
1,1 |
|||||
|
||||||||||||
RECETTES FISCALES NETTES |
|
322,9 |
|
348,5 |
322,5 |
|
‑26,0 |
|
357,6 |
359,1 |
|
36,6 |
|
||||||||||||
RECETTES NON FISCALES |
|
25,1 |
|
22,7 |
23,4 |
|
0,7 |
|
20,5 |
20,5 |
|
‑2,8 |
|
||||||||||||
SOLDE COMPTES SPECIAUX - HORS FMI |
|
‑5,1 |
|
‑5,7 |
‑5,4 |
|
0,3 |
|
‑1,7 |
‑1,7 |
|
3,7 |
|
||||||||||||
SOLDE BUDGETS ANNEXES |
|
0,3 |
|
0,2 |
0,2 |
|
0,0 |
|
0,3 |
0,3 |
|
0,1 |
N.B : les chiffres présentés ci-dessus sont en format courant
1. Le PLF 2025 vise une baisse des dépenses primaires de l’État en volume, qui garantit le financement des politiques publiques prioritaires, et intègre l’extinction des dispositifs de crise
Le projet de loi de finances pour 2025 présente une dépense au périmètre des dépenses de l’État (PDE) de 490 Md€, soit une diminution de 2,4 Md€ à champ constant par rapport à la LFI 2024. En complément, le Gouvernement proposera 5 Md€ d’économies supplémentaires dans le cadre du débat parlementaire afin d’atteindre l’objectif fixé par le Premier ministre dans son discours de politique générale d’un déficit public à 5,0 % du PIB en 2025. Cette baisse totale de 7,4 Md€ illustre la volonté du Gouvernement d’une maîtrise forte de la dépense sur le champ de l’État pour redresser les comptes publics, tout en poursuivant le financement des politiques publiques prioritaires.
Le projet de loi de finances pour 2025 présente notamment des moyens en hausse pour les missions régaliennes de l’État. Parmi les missions présentées en texte initial, le budget du ministère des armées augmente de +3,3 Md€ par rapport à la LFI 2024, conformément à la trajectoire de la loi de programmation militaire. De même, le budget du ministère de l’Intérieur augmente significativement, de +0,8 Md€. L’effort budgétaire en faveur du ministère de la Justice se poursuit en 2025, avec une augmentation des moyens de +0,1 Md€ qui s’additionne aux hausses d’ampleur sur la période récente, qui ont conduit à augmenter le budget de la justice de 50 % depuis 2017.
De plus, le projet de budget présenté au Parlement maintient le cap en faveur de la transition écologique. Les moyens budgétaires du ministère de la transition écologique, de l’énergie, du climat et de la prévention des risques sont ainsi en hausse de +2,5 Md€. Cette progression intègre des mesures d’économies et le renforcement de l’efficience de certaines dépenses en faveur de la transition écologique avec, à titre d’exemple, la révision des modalités de soutien à l’acquisition de véhicules électriques, tout en conservant nos objectifs écologiques. Elle traduit également des dépenses en hausse significative sur certains champs : le soutien financier de l’État au développement des énergies renouvelables augmente ainsi de 4,6 Md€, en lien avec la croissance du nombre de projets soutenus et les baisses de prix de marché.
Ce travail de renforcement de l’efficience de la dépense est mené de manière transversale pour cibler les efforts et préserver la croissance. Grâce à la documentation d’économies présentées dans le cadre de revues de dépenses conduites en 2024, dans un contexte de baisse historique du taux de chômage, les dispositifs de soutien à l’emploi seront rationalisés, pour une économie de 2,3 Md€. Le Gouvernement porte également des mesures d’économies sur des dispositifs d’intervention discrétionnaires qui ont fortement augmenté sur ces dernières années, à l’image de l’aide publique au développement, avec une baisse de ‑1,3 Md€ par rapport à la LFI 2024 (les crédits alloués restent néanmoins supérieurs d’1,8 Md€ à leur niveau 2017).
De manière générale, dans un contexte d’inflation qui reste dynamique, la maîtrise des dépenses de l’État reflète un effort transversal significatif à l’égard de la dynamique naturelle de la dépense sur l’ensemble des budgets ministériels. Cela passe notamment par des mesures d’ajustement ciblées, dans un contexte de ralentissement de l’inflation. Dans un souci d’efficience de l’intervention publique, des rationalisations sont également envisagées, notamment au niveau des opérateurs de l’État (fusion des opérateurs Business France et Atout France).
Enfin, après un engagement massif de l’État au soutien des ménages et des entreprises au sortir de la crise sanitaire et face à la crise énergétique, la mise en extinction de ces dispositifs que les circonstances ne justifient plus est confortée, qu’il s’agisse de la sortie du bouclier tarifaire et de l’arrêt total des engagements nouveaux dans le cadre des actions rattachées au plan de relance, pour ne plus financer que les restes-à-payer, avec une baisse marquée des crédits de paiement.
En Md€ |
|
Exécution 2023 |
|
LFI 24 |
Révisé 2024 |
|
Écart Révisé 24 / LFI 2024 |
|
PLF 2025 initial |
PLF 2025 cible |
|
Écart PLF cible / Révisé 24 |
|
||||||||||||
Périmètre des dépenses de l’État (PDE) |
|
489,1 |
|
491,9 |
488,1 |
|
‑3,8 |
|
490,4 |
485,4 |
|
‑2,6 |
Crédits budgétaires des ministères (hors FdC) |
335,8 |
335,0 |
330,9 |
‑4,2 |
336,7 |
331,7 |
0,8 |
|||||
Taxes et recettes affectées |
20,5 |
21,9 |
21,4 |
‑0,4 |
21,1 |
21,1 |
‑0,3 |
|||||
Comptes spéciaux et budgets annexes sous norme |
70,7 |
74,3 |
74,6 |
0,3 |
71,4 |
71,4 |
‑3,2 |
|||||
dont CAS « Pensions » |
62,9 |
66,3 |
66,5 |
0,2 |
67,2 |
67,2 |
0,7 |
|||||
PSR-CT |
44,3 |
45,1 |
44,9 |
‑0,1 |
44,2 |
44,2 |
‑0,8 |
|||||
PSR-UE |
23,9 |
21,6 |
22,3 |
0,6 |
23,3 |
23,3 |
1,1 |
|||||
Retraitement des flux internes |
‑6,0 |
‑6,0 |
‑6,0 |
0,0 |
‑6,3 |
‑6,3 |
‑0,3 |
N.B : les chiffres présentés ci-dessus sont en format courant
2. La réserve de précaution contribuera à garantir la tenue des plafonds de crédits votés par le Parlement.
La vocation de la réserve de précaution est de faire face aux seuls aléas de gestion, avec un taux de mise en réserve commun à l’essentiel des crédits hors titre 2, exceptions faites des programmes dont les crédits portent très majoritairement des dépenses de prestations sociales, auxquels est appliqué un taux réduit de 0,5 %, à l’identique des dépenses de personnel (titre 2).
Ce mécanisme, associé à une responsabilisation forte des ministères sur la maîtrise de leurs dépenses et sur le respect des plafonds votés, vise à conforter le principe d’auto-assurance ministérielle et interministérielle et à préserver des marges pour assurer le pilotage global de la gestion et le respect des équilibres de la loi de finances initiale.
Pour 2025, le taux de mise en réserve retenu en texte initial est identique à 2024, à savoir 4 % globalement sur les crédits hors masse salariale, alors que sera maintenu un taux réduit adapté aux spécificités de certains programmes.
Ce taux pourra toutefois être minoré au titre de la mise à contribution complémentaire des budgets ministériels à hauteur de 5 Md€, qui sera proposée par le Gouvernement au cours des débats parlementaires sur le présent PLF. La circulaire de lancement de la gestion 2025 et mise en place de la réserve de précaution, comme chaque année, viendra en préciser les modalités exactes.
La mise en réserve théorique sur la base d’un taux global de 4 % permettrait un gel de précaution d’environ 9,4 Md€ sur le budget général en crédits de paiement, dont 8,6 Md€ portant sur les crédits hors titre 2 et 0,8 Md€ portant sur les dépenses de personnel.
Le Gouvernement s’engage par ailleurs à ce que les nouveaux programmes de la mission « Audiovisuel public » qui sont créés à la suite de la réforme du cadre organique des finances publiques soient exonérés de mise en réserve.
3. La trajectoire des emplois de l’État et de ses opérateurs est en diminution en 2025
Pour 2025, le solde des créations et des suppressions d’emplois de l’État et de ses opérateurs s’établit à ‑2 201 ETP. Cette trajectoire des emplois s’inscrit dans une logique de maîtrise de la dépense publique et de gains de productivité des services publics.
S’agissant des services de l’État (‑1 196 ETP), elle résulte principalement de l’évolution des effectifs sur le périmètre de l’Éducation nationale (‑2 000 ETP), qui permet néanmoins d’accroître le taux d’encadrement du fait de la tendance démographique décroissante de la population des élèves, ainsi que sur le périmètre du ministère du budget et des comptes publics (‑505 ETP) ; ces baisses sont partiellement compensées par des créations d’emplois au service des missions régaliennes, sur les périmètres Armées (+630 ETP) et Justice (+619 ETP).
En ce qui concerne les opérateurs de l’État, les effectifs diminuent de ‑1 005 ETP en 2025, dans le cadre d’un effort transversal auquel contribuent notamment les opérateurs du ministère en charge du travail (‑883 ETP) et du ministère « Partenariat avec les territoires et décentralisation » (‑209 ETP), tout en poursuivant la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche (+294 ETP). Un effort complémentaire de diminution des effectifs de l’État et de ses opérateurs sera documenté par le Gouvernement au cours des débats parlementaires.
4. En recettes, des mesures mettront à contribution de manière ciblée, temporaire et exceptionnelle les grandes entreprises qui réalisent des profits et les particuliers les plus à même de contribuer à l’effort tout en préservant les contribuables aux revenus moyens
a. Des mesures en recettes temporaires et ciblées
Les mesures en recettes exceptionnelles et temporaires représentent un tiers du redressement des comptes publics. Pour un partage équilibré de l’effort de redressement de nos comptes publics, le PLF 2025 demande une participation ciblée et limitée dans le temps aux contribuables aisés et aux grandes entreprises. Le Gouvernement entend ainsi répondre à l’urgence d’un rétablissement des comptes publics de manière volontaire et fiscalement juste. Ces mesures de recettes se répartissent entre deux tiers d’effort supporté par les grandes entreprises et un tiers par les particuliers.
La contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises cible les entreprises dont le chiffre d’affaires est supérieur à 1 Md€, proportionnellement à leur bénéfice, pour un rendement de 8 Md€ en 2025. Elle sera réduite de moitié en 2026 et prendra fin en 2027. Conformément aux annonces du Gouvernement, cette mesure temporaire ne remet pas en cause les baisses d’impôts sur les sociétés mises en place depuis 2017 et préserve notre compétitivité en ajustant l’effort sur les entreprises qui réalisent des profits importants. Une contribution similaire est mise en place pour les entreprises de fret maritime dont le chiffre d’affaires est supérieur à 1 Md€, avec un rendement de 0,5 Md€ en 2025 puis 0,3 Md€ en 2026.
Une contribution différentielle applicable aux particuliers disposant de très hauts revenus est proposé, visant à assurer une imposition minimale de 20 %. Ainsi, dès lors que le taux moyen d’imposition au titre de l’impôt sur le revenu et de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus (CEHR) est inférieur à 20 % des revenus, cette contribution permet d’atteindre ce niveau d’imposition minimal. Les contribuables concernés seront ceux dont le revenu fiscal de référence est supérieur à 250 000 € pour un célibataire et 500 000 € pour un couple, soit les mêmes seuils que ceux de la CEHR.
b. Un soutien du pouvoir d’achat
Afin de protéger le pouvoir d’achat des Français, le barème de l’impôt sur les revenus 2024 est indexé sur l’inflation et, à compter de février, les tarifs réglementés de l’électricité baisseront de 9 % durant l’année 2025. Compte tenu de la forte baisse des prix de l’énergie, le respect de cet objectif de baisse permettra avec la sortie des mesures prises pendant la crise des recettes d’accises complémentaires. Par ailleurs, seuls les ménages ayant des revenus dépassant 250 000 € pour une personne seule et 500 000 € pour un couple sans enfants seront concernés par les contributions exceptionnelles prévues.
c. Une concrétisation des engagements pour le secteur agricole
Conformément aux engagements déjà pris pour répondre aux demandes du secteur agricole, le PLF 2025 met en place des aménagements des dispositifs d’épargne de précaution et d’exonérations applicables au secteur agricole, ainsi que des mesures d’incitation à la transmission des exploitations agricoles au profit de jeunes agriculteurs. Il entérine la suppression de la hausse du tarif sur l’usage du gazole non routier pour l’utilisation agricole initialement prévue en 2024, et confirme la suppression de la hausse attendue en 2025.
En 2025, les recettes de l’État, portées par ces mesures nouvelles ainsi que par une croissance plus favorable aux recettes fiscales, seraient en hausse par rapport à la prévision révisé 2024, atteignant 378,2 Md€.
En Md€ |
|
Exécution 2023 |
|
LFI 24 |
Révisé 2024 |
|
Écart Révisé 24 / LFI 2024 |
|
PLF 2025 initial |
PLF 2025 cible |
|
Écart PLF25 cible / Révisé 24 |
|
||||||||||||
RECETTES DE L’ÉTAT |
|
348,0 |
|
371,2 |
345,9 |
|
‑25,3 |
|
378,2 |
379,7 |
|
33,8 |
|
||||||||||||
RECETTES FISCALES NETTES |
|
322,9 |
|
348,5 |
322,5 |
|
‑26,0 |
|
357,6 |
359,1 |
|
36,6 |
Impôt sur le revenu |
88,6 |
|
93,4 |
88,1 |
‑5,3 |
|
93,8 |
93,8 |
5,7 |
|||
Impôt sur les sociétés |
56,8 |
|
72,0 |
57,7 |
‑14,3 |
|
56,2 |
56,2 |
‑1,5 |
|||
TICPE |
16,8 |
|
15,4 |
15,5 |
0,1 |
|
16,5 |
16,5 |
1,0 |
|||
Taxe sur la valeur ajoutée |
95,2 |
|
100,8 |
96,1 |
‑4,8 |
|
106,2 |
106,2 |
10,2 |
|||
Autres recettes fiscales nettes |
65,5 |
|
66,9 |
65,1 |
‑1,7 |
|
84,8 |
86,3 |
21,2 |
|||
- dont contribution différentielle applicable à certains contribuables titulaires de très hauts revenus |
|
|
|
|
|
|
2,0 |
2,0 |
2,0 |
|||
- dont contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises |
|
|
|
|
|
|
8,0 |
8,0 |
8,0 |
|||
|
||||||||||||
RECETTES NON FISCALES |
|
25,1 |
|
22,7 |
23,4 |
|
0,7 |
|
20,5 |
20,5 |
|
‑2,8 |
Dividendes et recettes assimilées |
3,9 |
3,2 |
4,7 |
1,6 |
6,0 |
6,0 |
1,2 |
|||||
Produits du domaine de l’État |
1,2 |
1,7 |
1,6 |
‑0,2 |
1,6 |
1,6 |
0,1 |
|||||
Produits de la vente de biens et services |
3,1 |
3,5 |
2,6 |
‑0,9 |
2,5 |
2,5 |
‑0,1 |
|||||
Remboursements et intérêts des prêts, avances etc. |
0,7 |
1,2 |
1,2 |
0,0 |
1,3 |
1,3 |
0,1 |
|||||
Amendes, sanctions, pénalités et frais de poursuites |
2,2 |
2,9 |
2,7 |
‑0,2 |
2,7 |
2,7 |
0,0 |
|||||
Divers |
14,0 |
10,2 |
10,6 |
0,4 |
6,4 |
6,4 |
‑4,1 |
Concernant 2024, la détérioration du contexte macroéconomique par rapport au scénario de la loi de finances initiale entraîne une révision à la baisse des prévisions de recettes.
Cette diminution est principalement due à l’évolution des recettes fiscales nettes. Ainsi, le moindre dynamisme de l’emploi et des revenus en 2023 et en 2024 réduit les assiettes et les taux de prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu, dont la prévision est diminuée de ‑5,3 Md€, soit 88,1 Md€. L’impôt sur les sociétés connaît également un important reflux (‑14,3 Md€) en raison de la forte révision à la baisse de la prévision de croissance du bénéfice fiscal 2023 (de +14 % à +1 %) et 2024 (de +3 % à ‑2 %) : il devrait atteindre 57,7 Md€ à la fin de l’année. Enfin, la diminution de la prévision de TVA nette revenant à l’État à 96,1 Md€ s’explique principalement par une évolution défavorable des emplois taxables (‑4,8 Md€ par rapport à la prévision initiale).
Pour 2025, les recettes fiscales bénéficieraient d’une légère amélioration du contexte macroéconomique ainsi que des mesures d’ampleur, mais ponctuelles et ciblées, décidées par le nouveau Gouvernement, dans un objectif de justice sociale, fiscale et écologique. Cette amélioration serait principalement portée par la TVA (+10,2 Md€) et l’impôt sur les revenus (+5,7 Md€). Les « autres recettes fiscales nettes » seraient également en amélioration (+9,7 Md€ hors contributions exceptionnelles) principalement sous l’effet de la sortie du bouclier tarifaire sur les accises sur l’énergie et de la rebudgétisation des cotisations employeurs précédemment affectées au fonds national d’aide au logement (FNAL). Enfin, s’y ajoutent les contributions exceptionnelles et temporaires prévues sur certains titulaires de hauts revenus (2 Md€) et sur les bénéfices des plus grandes entreprises, dont le chiffre d’affaires est supérieur à 1 Md€ (8 Md€).
De surcroît, le Gouvernement souhaite voir adopté lors des débats parlementaires un effort complémentaire de verdissement de notre fiscalité qui permettrait d’améliorer les recettes fiscales nettes de +1,5 Md€ supplémentaires en 2025.
5. L’amélioration significative du solde des comptes spéciaux en 2025
En Md€ |
|
Exécution 2023 |
|
LFI 24 |
Révisé 2024 |
|
Écart Révisé 24 / LFI 2024 |
|
PLF 2025 initial |
PLF 2025 cible |
|
Écart PLF cible / Révisé 24 |
|
||||||||||||
SOLDE DES COMPTES SPECIAUX |
|
‑5,1 |
|
‑5,7 |
‑5,4 |
|
0,3 |
|
‑1,7 |
‑1,7 |
|
3,7 |
|
||||||||||||
COMPTES D’AFFECTATION SPECIALE |
|
‑3,3 |
|
‑2,5 |
‑5,3 |
|
‑2,8 |
|
‑1,0 |
‑1,0 |
|
4,2 |
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
0,1 |
0,0 |
0,1 |
0,1 |
0,0 |
0,0 |
‑0,1 |
|||||
Développement agricole et rural |
|
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
||||
Financement des aides aux collectivités pour l’électrification rurale |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
|||||
Gestion du patrimoine immobilier de l’État |
|
0,1 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
||||
Participation de la France au désendettement de la Grèce |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
|||||
Participations financières de l’État |
|
‑2,4 |
0,0 |
‑1,8 |
‑1,8 |
0,0 |
0,0 |
1,8 |
||||
Pensions |
|
‑1,1 |
‑2,5 |
‑3,5 |
‑1,0 |
‑1,1 |
‑1,1 |
2,5 |
||||
|
||||||||||||
COMPTES DE CONCOURS FINANCIERS |
|
‑2,1 |
|
‑3,2 |
‑0,3 |
|
2,9 |
|
‑0,2 |
‑0,2 |
|
0,0 |
Prêts et avances à divers services de l’État |
0,3 |
0,3 |
0,3 |
0,0 |
0,6 |
0,6 |
0,3 |
|||||
Avances à l’audiovisuel public |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
|||||
Avances aux collectivités territoriales |
‑3,6 |
‑2,4 |
0,5 |
2,9 |
‑0,4 |
‑0,4 |
‑0,8 |
|||||
Prêts à des États étrangers |
1,1 |
‑0,7 |
‑0,4 |
0,3 |
‑0,5 |
‑0,5 |
‑0,1 |
|||||
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
0,0 |
‑0,4 |
‑0,6 |
‑0,3 |
0,1 |
0,1 |
0,7 |
|||||
|
||||||||||||
COMPTES DE COMMERCE |
|
0,3 |
|
‑0,2 |
0,0 |
|
0,2 |
|
‑0,6 |
‑0,6 |
|
‑0,6 |
|
||||||||||||
COMPTES D’OPÉRATIONS MONETAIRES |
|
0,1 |
|
0,1 |
0,1 |
|
0,0 |
|
0,1 |
0,1 |
|
0,0 |
|
||||||||||||
SOLDE DES BUDGETS ANNEXES |
|
0,3 |
|
0,2 |
0,2 |
|
0,0 |
|
0,3 |
0,3 |
|
0,1 |
Contrôle et exploitation aériens |
0,2 |
0,1 |
0,2 |
0,0 |
0,3 |
0,3 |
0,1 |
|||||
Publications officielles et information administrative |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
0,0 |
En 2024, le solde des comptes spéciaux demeurerait stable par rapport à la prévision de la loi de finances initiale.
En effet, l’amélioration du solde du compte de concours financiers (CCF) « Avances aux collectivités territoriales » (+2,9 Md€), en lien avec l’augmentation des recettes d’accises dans le cadre de l’extinction du bouclier tarifaire, est contrebalancée en partie par la dégradation du solde du compte d’affectation spéciale (CAS) « Pensions » à la suite de moindres recettes provenant des ministères au titre des cotisations employeurs (‑1,0 Md€). Le solde du CAS « Participations financières de l’État » est également en dégradation (‑1,8 Md€), les opérations étant financées par un solde excédentaire accumulé sur les exercices précédents.
En 2025, le solde des comptes spéciaux serait en nette progression de +3,7 Md€ par rapport à 2024, pour atteindre ‑1,7 Md€.
L’amélioration est due au CAS « Participations financières de l’État » (+1,8 Md€) et au CAS « Pensions » (+2,5 Md€). Sur ce dernier, la dynamique masque une résorption du déséquilibre du CAS « Pensions » (déficit ramené à ‑1 Md€ après ‑3,5 Md€ prévu pour 2024), sous l’effet croisé du décalage de l’indexation des pensions et du relèvement de 4 points du taux des cotisations employeurs pour la fonction publique d’État. Ce mouvement n’est que partiellement atténué par la baisse du CCF « Avances aux collectivités » (‑0,8 Md€), le solde 2024 étant ponctuellement plus élevé sous l’effet d’un rattrapage des recouvrements au titre des années antérieures.
Projet de loi de finances |
1 |
Annexe 1. Application de la charte de budgétisation de la loi de programmation des finances publiques pour 2023-2027 au projet de loi de finances pour 2025
1. La définition du périmètre des dépenses de l’État
Le projet de loi de finances pour 2025 présente une dépense totale sous norme de 490 Md€ pour le périmètre des dépenses de l’État (PDE). Cette norme de dépense définie par la loi de programmation des finances publiques (LPFP) 2023-2027 correspond aux dépenses sur lesquelles le Gouvernement s’engage pour la maîtrise de la croissance des dépenses. Le PDE correspond aux dépenses du budget général, dont les crédits de la mission « Investir pour la France de 2030 », les prélèvements sur recettes en faveur des collectivités territoriales et de l’Union européenne, les dépenses de pensions des agents publics ainsi que les taxes affectées plafonnées.
Les budgets annexes, certains comptes spéciaux et le compte de concours financier « Avances à l’audiovisuel public » sont également intégrées dans le PDE.
Dans le détail, l’agrégat « Périmètre des dépenses de l’État » est composé :
1° Des crédits du budget général, hors dépenses de contribution aux pensions civiles et militaires, hors charge de la dette, hors amortissement de la dette de l’État liée à la Covid‑19 et hors remboursements et dégrèvements d’impôts ;
2° Des impositions de toutes natures plafonnées dans les conditions prévues à l’article 46 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 et par la loi de finances de l’année ;
3° Des budgets annexes ;
4° Des dépenses des comptes d’affectation spéciale, hors programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Gestion du patrimoine immobilier de l’État », hors compte d’affectation spéciale « Participations financières de l’État », hors programme « Désendettement de l’État » du compte d’affectation spéciale « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » et hors programme « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du compte d’affectation spéciale « Pensions » ;
5° Des dépenses du compte de concours financier « Avances à l’audiovisuel public » ;
6° Du prélèvement sur recettes au profit de l’Union européenne ;
7° Des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales ;
8° Des retraitements de flux internes au budget de l’État.
2. Les changements de périmètre affectant le projet de loi de finances pour 2025
Les mesures de périmètre concernent tous les mouvements budgétaires visant à transférer une charge ou une recette d’un secteur d’administration publique à un autre (APUC, APUL, ASSO), ainsi que les plafonnements et changement d’affectation de taxes. Conformément à la charte de budgétisation définie dans la LPFP 2023-2027, ces mouvements sont pérennes.
3. Typologie des changements de périmètre
a. Transfert d’une dépense à un autre secteur d’administration publique
Les transferts inscrits en PLF 2025 entre les administrations publiques restent limités pour un montant total de ‑0,4 M€. Deux mesures de périmètre concernent les collectivités territoriales avec la recentralisation de la compensation des départements Ardèche et Charente-Maritime des missions de vaccination (‑0,4 M€).
b. Débudgétisation et rebudgétisation d’une recette et d’une dépense au sein du périmètre des dépenses de l’État
Les principales mesures de périmètre du projet de loi de finances pour 2025 concernent les taxes affectées à l’exemple de la cotisation employeur au fonds national d’aide au logement (FNAL), du financement de la péréquation tarifaire zones non interconnectées (ZNI) :
- La rebudgétisation des cotisations employeurs affectées au FNAL (+3,0 Md€) ;
- Le financement par taxe affectée non plafonnée de la péréquation tarifaire zones non interconnectées (‑2,8 Md€).
Une mesure de périmètre de rebudgétisation du Fonds de financement des dossiers impécunieux (FFDI) est également prévue sur le programme 101 de la mission Justice pour un montant de 0,05 Md€ en 2025.
c. Plafonnement et changement d’affectataire de taxe
Le projet de loi de finances pour 2025 prévoit deux nouveaux plafonnements pour 0,7 Md€ :
-L’affectation de la contribution annuelle au fonds de développement pour l’insertion professionnelle des personnes handicapés (FIPH) (0,5 Md€)
- L’affectation d’une part de la taxe installations nucléaires de base (INB) au centre de recherche Jules Horowitz (RJH) pour 0,2 Md€.
(en millions d'euros) |
|||
Désignation des recettes |
Évaluations |
Évaluations |
Évaluations |
A. Recettes fiscales |
484 671 |
467 588 |
500 349 |
1. Impôt sur le revenu |
117 075 |
113 694 |
120 191 |
2. Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 632 |
2 848 |
2 899 |
3. Impôt sur les sociétés |
91 291 |
84 060 |
79 769 |
3bis. Contribution sociale sur les bénéfices |
1 742 |
1 591 |
1 575 |
3ter. Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
341 |
586 |
305 |
4. Autres impôts directs et taxes assimilées |
30 284 |
30 683 |
40 435 |
5. Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques |
17 380 |
17 583 |
18 058 |
6. Taxe sur la valeur ajoutée |
184 259 |
176 939 |
189 901 |
7. Enregistrement, timbre, autres contributions et taxes indirectes |
39 668 |
39 604 |
47 216 |
À déduire : Remboursements et dégrèvements |
136 189 |
|
142 742 |
A'. Recettes fiscales nettes |
348 482 |
467 588 |
357 607 |
B. Recettes non fiscales |
22 704 |
23 397 |
20 549 |
C. Prélèvements sur les recettes de l'État |
66 667 |
67 197 |
67 510 |
1. Prélèvements sur les recettes de l'État au profit des collectivités territoriales |
45 058 |
44 941 |
44 189 |
2. Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de l'Union européenne |
21 610 |
22 256 |
23 321 |
Recettes totales nettes des prélèvements (A’ + B – C) |
304 519 |
423 788 |
310 646 |
D. Fonds de concours et attributions de produits |
7 399 |
7 399 |
6 150 |
Recettes nettes totales du budget général, y compris fonds de concours (A' + B – C + D) |
311 917 |
431 186 |
316 797 |
Projet de loi de finances |
1 |
PROJET DE LOI
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de l’économie, des finances et l’industrie et du ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics ;
Vu l’article 39 de la Constitution ;
Vu la loi organique relative aux lois de finances ;
Décrète :
Le présent projet de loi, délibéré en Conseil des ministres, après avis du Conseil d’État, sera présenté à l’Assemblée nationale par le ministre de l’économie, des finances et de l’industrie et par le ministre auprès du Premier ministre, chargé du budget et des comptes publics, qui sont chargés d’en exposer les motifs et d’en soutenir la discussion.
ARTICLE liminaire :
|
|
2023 |
2024 |
2025 |
2025 |
Projet de loi de finances pour 2025 |
LPFP 2023-2027* |
|||
Ensemble des administrations publiques |
|
|||
Solde structurel (1) (en points de PIB potentiel) |
‑5,1 |
‑5,7 |
‑4,8 |
‑3,3 |
Solde conjoncturel (2) |
‑0,3 |
‑0,4 |
‑0,4 |
‑0,4 |
Solde des mesures ponctuelles et temporaires (3) (en points de PIB potentiel) |
‑0,1 |
‑0,1 |
‑0,1 |
‑0,1 |
Solde effectif (1 + 2 + 3) |
‑5,5 |
‑6,1 |
‑5,2 |
‑3,7 |
Dette au sens de Maastricht |
109,9 |
112,9 |
114,7 |
109,6 |
Taux de prélèvements obligatoires (y compris Union européenne, nets des crédits d’impôts) |
43,2 |
42,8 |
43,6 |
44,4 |
Dépense publique (hors crédits d’impôt) |
56,4 |
56,8 |
56,5 |
55,0 |
Dépense publique (hors crédits d’impôt, en milliards d’euros) |
1 591 |
1 658 |
1 699 |
1 668 |
Évolution de la dépense publique hors crédits d’impôts en volume (en %) 1 |
‑1,0 |
2,1 |
0,7 |
0,8 |
Principales dépenses d’investissement (en milliards d’euros)2 |
25 |
30 |
30 |
34 |
Administrations publiques centrales |
|
|||
Solde |
‑5,5 |
‑5,4 |
‑4,7 |
‑4,3 |
Dépense publique (hors crédits d’impôts en milliards d’euros) |
646 |
654 |
668 |
658 |
Évolution de la dépense publique en volume (en %)3 |
‑3,9 |
‑0,6 |
1,1 |
1,9 |
Administrations publiques locales |
|
|||
Solde |
‑0,4 |
‑0,7 |
‑0,7 |
‑0,2 |
Dépense publique (hors crédits d’impôt, en milliards d’euros) |
316 |
336 |
343 |
329 |
Évolution de la dépense publique hors crédits d’impôt en volume (en %)3 |
2,4 |
4,8 |
0,2 |
0,2 |
Administrations de sécurité sociale |
|
|||
Solde |
0,4 |
0,0 |
0,2 |
0,7 |
Dépense publique (hors crédits d’impôt, en milliards d’euros) |
738 |
776 |
795 |
779 |
Évolution de la dépense publique hors crédits d’impôt en volume (en %)3 |
‑0,1 |
3,2 |
0,6 |
0,3 |
Les chiffres en comptabilité nationale relatifs au projet de loi de finances pour 2025 se réfèrent, pour 2023, au compte publié par l’Insee en comptabilité nationale en base 2020, et pour 2024 et 2025, aux prévisions du Gouvernement dans la même base. Les prévisions relatives à la loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 en comptabilité nationale, antérieures au changement de base des comptes nationaux français, étaient relatives à la base antérieure des comptes nationaux, la base 2014.
* Loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027.
1À champ constant.
2Au sens de la loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027.
3À champ constant, hors transferts entre administrations publiques.
Exposé des motifs
Cet article présente, conformément à l’article 1 H de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la prévision de solde structurel et de solde effectif de l’ensemble des administrations publiques pour 2025. Il rappelle également la prévision, déclinée par sous-secteur d’administration publique, de l’objectif d’évolution en volume et de la prévision en milliards d’euros courants des dépenses des administrations publiques et celle de prélèvements obligatoires, de dépenses et d’endettement de l’ensemble des administrations publiques. Enfin, il présente l’état des prévisions portant sur les principales dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement, au sens du dernier alinéa de l’article 1er A et du 2° de l’article 1er E de la LOLF. Ces dernières sont définies dans le rapport annexé à la loi n° 2023-1195 de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 (LPFP 2023-2027). En 2024, le déficit public prévu s’établirait à 6,1 % du produit intérieur brut (PIB), après 5,5 % en 2023, soit une dégradation de ‑0,6 pt de PIB. Cette dégradation s’explique principalement par un infléchissement du solde structurel, le solde conjoncturel étant stable par rapport à 2023. En l’absence de mesures, le solde structurel se serait replié de ‑1 point de PIB en 2024 par rapport à 2023, en raison principalement (i) du dynamisme spontané des dépenses des collectivités territoriales tant en fonctionnement qu’en investissement, (ii) de l’évolution des prestations vieillesse soutenues par la revalorisation en 2024 fondée sur l’inflation 2023 et par une démographie défavorable, (iii) d’un dynamisme spontané des prélèvements obligatoires moindre que l’activité en valeur (iv) d’une hausse de la charge de la dette sous l’effet de la hausse passée des taux d’intérêt, et (v) d’une hausse des dépenses du programme d’investissements d’avenir. Ces effets seraient toutefois atténués par la sortie progressive des mesures exceptionnelles prises pour protéger les ménages et les entreprises face à la hausse des prix de l’énergie. Cette dégradation spontanée du solde structurel serait corrigée par la mesure prise en février 2024 par le Gouvernement d’annuler 10 Md€ de crédits sur l’État (décret n° 2024-124 du 21 février 2024 portant annulation de crédits) et la modération attendue en fin d’année des dépenses locales. En 2025, le solde public s’améliorerait fortement par rapport à 2024 et atteindrait ‑5,0 % du PIB (‑5,2 % avant dépôt des amendements). En effet, au-delà des mesures inscrites dans ce texte, le Gouvernement a l’intention de soumettre au Parlement, au cours des débats, une économie supplémentaire de 6,5 Md€, dont 5 Md€ de diminution des plafonds de crédits et 1,5 Md€ de recettes au titre du verdissement de la fiscalité. Prises dans leur ensemble, les mesures du Gouvernement conduiraient à une amélioration de 1,5 point de PIB du solde structurel en intégrant les économies et les recettes supplémentaires. Elles viseront principalement à :
Au total, ces mesures de redressement feraient porter principalement l’effort sur la réduction de la dépense publique qui représenterait environ les deux tiers des efforts réalisés. Ces mesures feraient plus que compenser la détérioration spontanée du solde structurel qui, en l’absence de ces mesures, se serait élevée en 2025 à ‑0,5 point de PIB en raison de la hausse de la charge de la dette, de l’hypothèse d’un dynamisme des prélèvements obligatoires légèrement inférieur à la croissance de l’activité en volume, de la croissance vigoureuse des investissements des collectivités territoriales en lien avec le cycle électoral et d’une persistance du dynamisme spontané des pensions de retraite. Ces effets négatifs sont en partie compensés par la dernière étape de l’extinction des boucliers énergétiques. Le scénario potentiel retenu dans ce projet de loi de finances a évolué depuis la loi de programmation de finances publiques pour les années 2023-2027, afin de tirer les conséquences de la révision de la chronique de PIB opérée par l’Institut national des statistiques et des études économiques (Insee) dans le cadre du passage des comptes nationaux en base 2020. La chronique de PIB ayant été revue à la hausse sur les années antérieures à 2024, le diagnostic sur la capacité de rebond de l’économie française et donc l’écart de production ont été révisés. Par ailleurs, la croissance potentielle est désormais estimée à 1,20 % par an en 2024 et 2025 contre 1,35 % en sous-jacent du programme de stabilité. Les incertitudes autour de ces prévisions restent importantes, au regard des aléas sur les évolutions macroéconomiques, et avec une incertitude particulièrement marquée sur l’atterrissage des dépenses locales en 2024. S’agissant de la comparaison avec les cibles de finances publiques de la LPFP 2023-2027, le passage en 2024 des comptes nationaux en base 2020 opéré en tout indépendance par l’Insee sous le contrôle d’Eurostat rend l’exercice plus complexe puisque ce changement de méthodologie a significativement affecté les ratios de finances publiques. Tout d’abord, le passage des comptes nationaux en base 2020 conduit à une hausse de 0,1 point de déficit. Cet impact sur le solde public est principalement dû à la sortie de l’Établissement de Retraite additionnelle de la Fonction Publique (ERAFP), structurellement excédentaire, du champ des administrations publiques. Ce seul reclassement a conduit à une dégradation du déficit public d’environ 2,6 Md€ en 2023. De plus, le passage en base 2020 des comptes nationaux induit également des changements méthodologiques affectant significativement les ratios de finances publiques sans impact sur le solde, avec notamment un niveau nettement plus élevé des dépenses publiques et des recettes hors prélèvements obligatoires. Deux principaux effets expliquent cette augmentation : (i) l’intégration du compte complet de SNCF Réseau (dont seul le solde était retracé précédemment) pour 10 Md€ environ de hausse des recettes hors prélèvements obligatoires (PO) et des dépenses en 2023, et (ii) un nouveau traitement des corrections liées à la recherche et développement pour 4 Md€ environ de hausse des recettes hors PO et des dépenses. Ainsi, s’agissant tout particulièrement de la dépense, ce sont donc les effets du changement de base qui expliquent très largement les écarts importants sur le montant en milliard d’euros et sur la part dans le PIB de la dépense publique. Au total, le solde public 2023 de ‑5,5 % du PIB présenté dans l’article liminaire est cohérent avec celui présenté dans le projet de loi relative aux résultats de la gestion et portant approbation des comptes de l’année 2023. La principale source d’écart négatif à la prévision de la LPFP 2023-2027 (‑4,9 % du PIB) correspondait à une moins-value sur les recettes de prélèvements obligatoires, dont les causes ont été analysées dans un rapport de l’Inspection générale des finances sur « Les prévisions de recettes de prélèvements obligatoires », daté de juillet 2024, qui a été publié. Le solde public révisé pour 2024, de ‑6,1 % du PIB s’écarte de la prévision de la loi de finances pour 2024 et de la LPFP 2023-2027 (‑4,4 % du PIB). En effet, après la constatation du solde public 2023, le programme de stabilité avait conduit à revoir la prévision de solde public pour 2024 à ‑5,1 % du PIB, essentiellement en raison de l’impact en 2024 de l’écart constaté sur les encaissements de recettes fiscales en fin d’année 2023. Depuis le programme de stabilité (PSTAB), les prévisions ont donc de nouveau été révisées à la baisse, en raison des principaux facteurs suivants :
|
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 1 :
|
Exposé des motifs
Cet article autorise la perception des impôts et produits existants pendant l’année 2025 et fixe les conditions de l’entrée en vigueur des dispositions de la présente loi qui ne comportent pas de date d’entrée en vigueur particulière. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 2 :
|
«
Base mensuelle de prélèvement |
Taux proportionnel |
Inférieure à 1 623 € |
0 % |
Supérieure ou égale à 1 623 € et inférieure à 1 686 € |
0,5 % |
Supérieure ou égale à 1 686 € et inférieure à 1 794 € |
1,3 % |
Supérieure ou égale à 1 794 € et inférieure à 1 915 € |
2,1 % |
Supérieure ou égale à 1 915 € et inférieure à 2 046 € |
2,9 % |
Supérieure ou égale à 2 046 € et inférieure à 2 155 € |
3,5 % |
Supérieure ou égale à 2 155 € et inférieure à 2 298 € |
4,1 % |
Supérieure ou égale à 2 298 € et inférieure à 2 719 € |
5,3 % |
Supérieure ou égale à 2 719 € et inférieure à 3 113 € |
7,5 % |
Supérieure ou égale à 3 113 € et inférieure à 3 546 € |
9,9 % |
Supérieure ou égale à 3 546 € et inférieure à 3 991 € |
11,9 % |
Supérieure ou égale à 3 991 € et inférieure à 4 657 € |
13,8 % |
Supérieure ou égale à 4 657 € et inférieure à 5 585 € |
15,8 % |
Supérieure ou égale à 5 585 € et inférieure à 6 988 € |
17,9 % |
Supérieure ou égale à 6 988 € et inférieure à 8 728 € |
20 % |
Supérieure ou égale à 8 728 € et inférieure à 12 115 € |
24 % |
Supérieure ou égale à 12 115 € et inférieure à 16 408 € |
28 % |
Supérieure ou égale à 16 408 € et inférieure à 25 756 € |
33 % |
Supérieure ou égale à 25 756 € et inférieure à 55 170 € |
38 % |
Supérieure ou égale à 55 170 € |
43 % |
» ;
«
Base mensuelle de prélèvement |
Taux proportionnel |
Inférieure à 1 862 € |
0 % |
Supérieure ou égale à 1 862 € et inférieure à 1 975 € |
0,5 % |
Supérieure ou égale à 1 975 € et inférieure à 2 176 € |
1,3 % |
Supérieure ou égale à 2 176 € et inférieure à 2 376 € |
2,1 % |
Supérieure ou égale à 2 376 € et inférieure à 2 623 € |
2,9 % |
Supérieure ou égale à 2 623 € et inférieure à 2 766 € |
3,5 % |
Supérieure ou égale à 2 766 € et inférieure à 2 861 € |
4,1 % |
Supérieure ou égale à 2 861 € et inférieure à 3 148 € |
5,3 % |
Supérieure ou égale à 3 148 € et inférieure à 3 892 € |
7,5 % |
Supérieure ou égale à 3 892 € et inférieure à 4 981 € |
9,9 % |
Supérieure ou égale à 4 981 € et inférieure à 5 657 € |
11,9 % |
Supérieure ou égale à 5 657 € et inférieure à 6 552 € |
13,8 % |
Supérieure ou égale à 6 552 € et inférieure à 7 851 € |
15,8 % |
Supérieure ou égale à 7 851 € et inférieure à 8 728 € |
17,9 % |
Supérieure ou égale à 8 728 € et inférieure à 9 920 € |
20 % |
Supérieure ou égale à 9 920 € et inférieure à 13 641 € |
24 % |
Supérieure ou égale à 13 641 € et inférieure à 18 125 € |
28 % |
Supérieure ou égale à 18 125 € et inférieure à 27 664 € |
33 % |
Supérieure ou égale à 27 664 € et inférieure à 60 469 € |
38 % |
Supérieure ou égale à 60 469 € |
43 % |
» ;
«
Base mensuelle de prélèvement |
Taux proportionnel |
Inférieure à 1 994 € |
0 % |
Supérieure ou égale à 1 994 € et inférieure à 2 155 € |
0,5 % |
Supérieure ou égale à 2 155 € et inférieure à 2 403 € |
1,3 % |
Supérieure ou égale à 2 403 € et inférieure à 2 709 € |
2,1 % |
Supérieure ou égale à 2 709 € et inférieure à 2 813 € |
2,9 % |
Supérieure ou égale à 2 813 € et inférieure à 2 910 € |
3,5 % |
Supérieure ou égale à 2 910 € et inférieure à 3 005 € |
4,1 % |
Supérieure ou égale à 3 005 € et inférieure à 3 338 € |
5,3 % |
Supérieure ou égale à 3 338 € et inférieure à 4 607 € |
7,5 % |
Supérieure ou égale à 4 607 € et inférieure à 5 963 € |
9,9 % |
Supérieure ou égale à 5 963 € et inférieure à 6 725 € |
11,9 % |
Supérieure ou égale à 6 725 € et inférieure à 7 803 € |
13,8 % |
Supérieure ou égale à 7 803 € et inférieure à 8 584 € |
15,8 % |
Supérieure ou égale à 8 584 € et inférieure à 9 510 € |
17,9 % |
Supérieure ou égale à 9 510 € et inférieure à 11 037 € |
20 % |
Supérieure ou égale à 11 037 € et inférieure à 14 849 € |
24 % |
Supérieure ou égale à 14 849 € et inférieure à 18 887 € |
28 % |
Supérieure ou égale à 18 887 € et inférieure à 30 270 € |
33 % |
Supérieure ou égale à 30 270 € et inférieure à 63 892 € |
38 % |
Supérieure ou égale à 63 892 € |
43 % |
».
Exposé des motifs
Le présent article prévoit d’indexer les tranches de revenus du barème de l’impôt sur le revenu (IR), ainsi que les seuils et limites qui lui sont associés, sur la prévision d’évolution de l’indice des prix à la consommation hors tabac de 2024 par rapport à 2023, soit 2 %. Il prévoit également, pour les revenus perçus ou réalisés à compter du 1er janvier 2025, d’ajuster les limites des tranches de revenus des grilles de taux par défaut du prélèvement à la source (PAS) en fonction de l’évolution du barème de l’IR. Ces dispositions permettront de neutraliser les effets de l’inflation sur le niveau d’imposition des ménages. L’indexation du barème de l’IR sur le niveau de l’inflation hors tabac maintient en effet un niveau d’imposition identique à revenus stables en euros constants. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 3 :
|
Exposé des motifs
Pour contribuer au redressement des comptes publics, le présent article instaure une contribution permettant d’assurer une imposition minimale de 20 % des plus hauts revenus. Ainsi, dès lors que le taux moyen d’imposition au titre de l’impôt sur le revenu, de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus (CEHR) sera inférieur à 20 % du revenu fiscal de référence (RFR), une contribution différentielle sera appliquée pour atteindre ce niveau d’imposition.
Cette contribution s’applique, parmi les foyers assujettis à la CEHR, à savoir ceux dont le revenu de référence dépasse 250 000 € pour un célibataire et 500 000 € pour un couple, à ceux dont le taux moyen d’imposition est inférieur à 20 %. Elle ne concerne que quelques dizaines de milliers de foyers aux revenus les plus élevés et n’affecte aucun foyer non imposable.
Cette mesure de justice fiscale correspond à un effort ciblé sur les foyers aux revenus élevés qui, notamment par un recours soutenu aux dispositifs fiscaux dérogatoires, voient leur taux effectif d’imposition diminuer. Afin d’atténuer l’effet de seuil lié à l’entrée dans le champ de cette nouvelle contribution, un mécanisme de décote est prévu. Cette contribution, dont le rendement est estimé à 2 Md€, s’appliquera à compter de l’imposition des revenus de l’année 2024 et jusqu’à l’imposition des revenus de l’année 2026 afin d’accompagner la trajectoire de redressement des comptes publics. |
Projet de loi de finances |
1 |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 4 :
|
«
FRACTION DES REVENUS TAXÉS |
TAUX (%) |
Inférieure ou égale au seuil de taxation |
0 |
Supérieure au seuil de taxation et inférieure ou égale au seuil d’écrêtement |
50 |
Supérieure au seuil d’écrêtement |
90 |
«
Article L. 131-2, sauf les 2e, 4e et 5e alinéas |
De l’ordonnance n° 2016-130 du 10 février 2016 portant adaptation des livres Ier et III du code de l’énergie au droit de l’Union européenne et relatif aux marchés intérieurs de l’électricité et du gaz |
»
«
Article L. 131-2, sauf les 2e, 4e et 5e alinéas |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 131-6 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 134-1, sauf les 5°, 7°, 8° et 9° |
De la loi n° 2017-1839 du 30 décembre 2017 mettant fin à la recherche ainsi qu’à l’exploitation des hydrocarbures et portant diverses dispositions relatives à l’énergie et à l’environnement |
»
«
Article L. 134-1, sauf les 5°, 8° et 9° |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
9° de l’article L. 134-3 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 134-10, sauf la seconde phrase |
De la loi n° 2017-1839 du 30 décembre 2017 mettant fin à la recherche ainsi qu’à l’exploitation des hydrocarbures et portant diverses dispositions relatives à l’énergie et à l’environnement |
»
«
Article L. 134-10 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 134-15 |
De l’ordonnance n° 2011-504 du 9 mai 2011 portant codification de la partie législative du code de l’énergie |
»,
«
Article L. 134-17-1 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 134-25, sauf les 2e et 3e alinéas |
De la loi n° 2013-312 du 15 avril 2013 visant à préparer la transition vers un système énergétique sobre et portant diverses dispositions sur la tarification de l’eau et sur les éoliennes |
»
«
Article L. 134-25, sauf les 2e et 3e alinéas |
|
» ;
«
Article L. 134-26, sauf la dernière phrase |
De la loi n° 2013-619 du 16 juillet 2013 portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne dans le domaine du développement durable |
»
«
Article L. 134-26 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
TITRE III |
|
»,
«
Article L. 333-1 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
Article L. 336-1 à L. 336-16 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 337-1 |
De l’ordonnance n° 2011-504 du 9 mai 2011 portant codification de la partie législative du code de l’énergie |
»
«
Article L. 337-1 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Articles L. 337-3 à L. 337-3-6 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 337-4 |
De l’ordonnance n° 2011-504 du 9 mai 2011 portant codification de la partie législative du code de l’énergie |
»
«
Article L. 337-4 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
» ;
«
Articles L. 337-5 et L. 337-6 |
De la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte |
»
«
Article L. 337-5 |
De la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte |
Article L. 337-6 |
De la loi n° xx du xx de finances pour 2025 |
».
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de mettre en place un dispositif de reversement aux consommateurs des revenus issus de l’exploitation des centrales électronucléaires historiques à compter du 1er janvier 2026, en remplacement du dispositif de l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (ARENH) qui arrive à échéance le 31 décembre 2025. Ce dispositif poursuit les mêmes objectifs que l’ARENH :
S’il en partage les objectifs, le dispositif proposé diffère de l’ARENH afin de ne pas en reproduire les défauts et les contraintes. Il écarte toute intermédiation commerciale dans la transmission des caractéristiques économiques de la production nucléaire : les consommateurs finals en bénéficieront ainsi directement sur leur facture, sans possibilité de captation par les acteurs intervenant sur les marchés de gros. Il permettra à EDF de réaliser une valorisation optimale de sa production électronucléaire sur les marchés. Il donnera lieu à une réévaluation périodique afin de tenir compte des évolutions techniques, économiques et financières. Il concernera l’ensemble de la production électronucléaire existante avant le 1er janvier 2026 et l’ensemble des consommations finales d’électricité. Enfin, parce qu’il conduit à un rabais ex post appliqué uniformément à tous les consommateurs, il mettra fin à toute désincitation des acteurs à la conclusion de contrats de long terme (ces contrats étant par ailleurs largement promus). À cette fin, le dispositif proposé repose sur l’articulation entre deux outils :
Les seuils de taxation et d’écrêtement seront déterminés par voie réglementaire, après avis de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), au sein de fourchettes de prix déterminées en fonction des coûts complets de la production électronucléaire historique constatés par cette autorité administrative indépendante. Ces seuils seront fixés par période triennale et réévalués régulièrement en tenant compte de différents facteurs définis par la loi : l’évolution des coûts complets de la production électronucléaire historique, les coûts d’investissement dans les nouvelles installations électronucléaires prévues et la situation financière d’EDF. L’enjeu de cette réévaluation est d’assurer que les revenus prélevés demeurent cohérents avec les coûts complets de production de l’électricité d’origine nucléaire, les trajectoires de productible, le développement du marché de moyen/long terme, ainsi qu’avec le schéma de régulation et le financement du programme du nouveau nucléaire. Ce dispositif sera géré et contrôlé par la direction générale des finances publiques (DGFiP) pour les aspects tenant à la déclaration et à la collecte de la taxe, et par la CRE pour la constatation des revenus de la production électronucléaire historique et la mise en œuvre par les fournisseurs de leurs obligations (les pouvoirs de recueil d’information et de sanctions de la CRE sont complétés à cette fin). Des échanges symétriques d’informations entre la DGFiP et la CRE seront organisés afin de permettre à chacune d’exercer efficacement ses missions. S’agissant de la constatation des revenus, une comptabilité appropriée assurera, d’une part, une allocation pertinente des revenus tirés des cessions d’électricité à la technologie électronucléaire et, d’autre part, une valorisation adéquate, au sein des ventes directes entre EDF et les consommateurs finals, de la fraction des revenus imputables à l’activité de production électronucléaire. En conclusion, ce nouveau mécanisme permettra :
|
Projet de loi de finances |
1 |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 5 :
|
«
LIMITES MINIMALE ET MAXIMALE DE CHAQUE TARIF ANNUEL (en M€) |
|||||
CATÉGORIE DE L’INSTALLA- TION |
TARIF DE BASE, EN ACTIVITÉ |
TARIF DE BASE, À L’ARRÊT |
TARIF DE RECHERCHE |
TARIF D’ACCOMPA-GNEMENT |
TARIF DE CONCEPTION |
Production d’énergie, autre que la recherche |
de 0,02 à 19 |
de 0,002 à 1,9 |
de 0,005 à 3 |
de 0,001 à 1,4 |
de 0,005 à 4,1 |
Production d’énergie, recherche |
de 1,7 à 3,6 |
de 0,2 à 1 |
de 0,1 à 1,7 |
de 0,1 à 0,8 |
de 1 à 3 |
Autre que production d’énergie |
de 0,4 à 1,3 |
de 0,2 à 0,4 |
de 0,1 à 1,7 |
de 0,1 à 0,8 |
de 1 à 3 |
Retraitement du combustible nucléaire usé |
de 2,1 à 6,4 |
de 0,8 à 2,7 |
de 0,1 à 1,9 |
de 0,1 à 0,9 |
de 1 à 3 |
.
«
LIMITES MINIMALE ET MAXIMALE DU TARIF DE BASE (en M€) |
||
CATÉGORIE DE L’INSTALLATION |
EN ACTIVITÉ |
À L’ARRÊT |
Usines de conversion en hexafluorure d’uranium |
de 0,5 à 2,3 |
de 0,4 à 1,7 |
Installations de séparation des isotopes des combustibles nucléaires |
de 0,7 à 2,2 |
de 0,2 à 0,7 |
Installations de fabrication de combustibles nucléaires |
de 0,7 à 2,3 |
de 0,5 à 1,8 |
Accélérateurs de particules et irradiateurs |
de 0,01 à 0,2 |
de 0,01 à 0,2 |
Usines de préparation et de transformation des substances radioactives |
de 0,3 à 1,5 |
de 0,2 à 0,9 |
Laboratoires et ateliers de maintenance ou d’expertise de pièces radioactives |
de 0,2 à 0,9 |
de 0,1 à 0,5 |
.
«
LIMITES MINIMALE ET MAXIMALE DU TARIF DE BASE (en M€) |
||
CATÉGORIE DE L’INSTALLATION |
EN ACTIVITÉ |
À L’ARRÊT |
Anciens réacteurs nucléaires transformés en installation entreposant leurs propres déchets radioactifs |
de 0,1 à 0,5 |
de 0,01 à 0,3 |
Autres installations d’entreposage de substances radioactives |
de 0,1 à 0,5 |
de 0,01 à 0,3 |
Installations de stockage de déchets radioactifs |
de 2,2 à 6,8 |
de 0,2 à 0,7 |
Installations de traitement d’effluents liquides radioactifs ou de déchets solides radioactifs autres que les combustibles nucléaires usés |
de 0,4 à 1,9 |
de 0,2 à 1,1 |
.
«
Taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité prévue à l’article 266 quinquies C du code des douanes |
|
Fraction perçue sur l’électricité |
»,
«
Taxe sur les installations nucléaires de base prévue à l’article 43 de la loi n° 99-1172 du 30 décembre 1999 de finances pour 2000, perçue sur les réacteurs nucléaires, les installations concourant à la production du combustible nucléaire, les installations de retraitement du combustible nucléaire usé, les accélérateurs de particules et les irradiateurs, les usines de préparation et de transformation de substances radioactives, les laboratoires et les ateliers de maintenance ou d’expertise de pièces radioactives |
Taxe sur les installations nucléaires de base relevant du secteur énergétique et assimilées mentionnée à l’article L. 322‑39 |
Tarif de base prévu au 1° de l’article L. 322-49 |
Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base, dite « de recherche », prévue au V de l’article 43 de la loi n° 99-1172 du 30 décembre 1999 de finances pour 2000 |
Taxe sur les installations nucléaires de base relevant du secteur énergétique et assimilées mentionnée à l’article L. 322‑39 |
Tarif de recherche prévu au a du 2° de l’article L. 322-49 |
Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base, dite « d’accompagnement », prévue au V de l’article 43 de la loi n° 99-1172 du 30 décembre 1999 de finances pour 2000 |
Tarif d’accompagnement prévu au b du 2° de l’article L. 322-49 |
|
Contribution spéciale au profit de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs prévue à l’article 58 de la loi n° 2013-1279 du 29 décembre 2013 de finances rectificative pour 2013 |
Tarif de conception prévu au c du 2° de l’article L. 322-49 |
» ;
«
Taxe due par les entreprises de transport public maritime prévue à l’article 1599 vicies du code général des impôts |
Taxe sur le transport maritime de passagers dans certains territoires côtiers mentionnés à l’article L. 423-57 |
|
»,
«
Sûreté et déchets |
||
Taxe sur les installations nucléaires de base prévue à l’article 43 de la loi n° 99‑1172 du 30 décembre 1999 de finances pour 2000, perçue sur les installations de traitements d’effluents liquides radioactifs ou de t solides radioactifs autres que les combustibles nucléaires usés et les installations d’entreposage ou de stockage de déchets radioactifs |
Taxe sur les installations nucléaires de base concourant à la gestion des substances radioactives mentionnée à l’article L. 433‑1 |
Tarif de base prévu au 1° de l’article L. 433-9 |
Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base, dite « de stockage », prévue au VI de l’article 43 de la loi n° 99-1172 du 30 décembre 1999 de finances pour 2000 |
Tarif de stockage prévu au 2° de l’article L. 433-9 |
».
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de sécuriser, sur le plan juridique et budgétaire, les six taxes sur les installations nucléaires de base dans le contexte du regroupement, au 1er janvier 2025, de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et de l’avancement de la procédure d’autorisation de création, en Meuse et Haute‑Marne, d’un centre de stockage en couche géologique profonde de déchets radioactifs (projet « Cigéo », pour lequel l’IRSN a rendu un premier avis les 24 et 25 avril 2024). À cette fin :
En outre, dans un souci de lisibilité sur les règles relatives à ces six taxes non codifiées et éparpillées entre trois textes, le présent article les regroupe au sein du code des impositions et des services (CIBS), en cohérence avec la création, au sein de ce code, d’une nouvelle taxe sur l’utilisation de combustible nucléaire pour la production d’électricité proposée à l’article 4 du projet de loi de finances pour 2025. |
Projet de loi de finances |
1 |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 6 :
|
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de créer, en remplacement de l’obligation d’achat de capacités actuellement en vigueur, un prélèvement pesant sur les fournisseurs d’électricité pour financer l’achat, par le gestionnaire de réseau de transport, des engagements de disponibilités des producteurs assurant la sécurité d’approvisionnement. Le mécanisme existant est fondé sur l’obligation pour les fournisseurs d’électricité d’acquérir des certificats de capacité, que les producteurs dont les capacités de production ont été certifiées par le gestionnaire de réseau peuvent émettre. La cession de ces certificats rémunère ainsi l’investissement consenti par ces producteurs pour assurer la sécurité d’approvisionnement du réseau. Ce mécanisme, qui a le caractère d’une aide d’État, est autorisé par la Commission européenne jusqu’au 7 novembre 2026. Le retour d’expérience du mécanisme existant a montré son efficacité pour assurer la sécurité d’approvisionnement du réseau à un coût minime (entre 0,9 et 2 €/MWh). En revanche, son caractère décentralisé et son assise sur un marché d’échanges de certificats nuisent à la bonne adéquation entre les besoins du gestionnaire de réseau et l’offre disponible. Afin de répondre à ces défauts, il est proposé que le nouveau dispositif, qui sera applicable à compter de novembre 2026, repose sur une acquisition directe, par le gestionnaire de réseau, des capacités correspondant à ses besoins auprès des producteurs. Le gestionnaire couvrira ses coûts par un prélèvement pesant sur les actuels obligés du mécanisme de capacité, à savoir les fournisseurs d’électricité. Cette nouvelle approche renforcera l’efficacité du dispositif, en permettant d’ajuster la détermination des heures de pointe de manière plus dynamique et cohérente avec les enjeux de sécurité d’approvisionnement d’un système amené à intégrer davantage de moyens de production fatale (ex : solaire et éolien). Cette mesure assurera aussi de manière pérenne la faculté de soutenir le stockage et l’effacement par des enchères pluriannuelles de capacité. Pour ces raisons, le présent article prévoit l’institution d’un prélèvement par le gestionnaire de réseau sur les fournisseurs d’électricité. Le montant de ce prélèvement sera égal aux coûts supportés par le gestionnaire de réseau pour l’acquisition de capacités, réparti entre chaque fournisseur à hauteur des consommations de son parc. Ce prélèvement a ainsi le caractère d’un impôt de répartition. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 7 :
|
«
CATÉGORIE FISCALE (COMBUSTIBLE) |
TARIF NORMAL EN 2025 (€/MWh) |
Charbons |
10,54 |
Fiouls lourds |
10,54 |
Fiouls domestiques |
10,54 |
Pétroles lampants |
10,54 |
Gaz de pétrole liquéfiés combustible |
0,30 |
Gaz naturels combustible |
10,54 |
» ;
«
CATÉGORIE FISCALE (ÉLECTRICITÉ) |
TARIF NORMAL EN 2025 (€/MWh) |
Ménages et assimilés |
25,09 |
Petites et moyennes entreprises |
20,90 |
Haute puissance |
20,90 |
» ;
«
CATÉGORIE FISCALE (COMBUSTIBLE ET ÉLECTRICITÉ) |
TARIF DE RÉFÉRENCE (€/MWh) |
Charbons |
14,62 |
Fiouls lourds |
12,555 |
Fiouls domestiques |
15,62 |
Pétroles lampants |
15,686 |
Gaz de pétrole liquéfiés combustible |
5,189 |
Gaz naturels combustible |
8,37 |
Électricité |
22,5 |
«
Les 2° à 4° de l’article L. 121-6 |
De la loi n° 2015-1786 du 29 décembre 2015 de finances rectificative pour 2015 |
»
«
Article L. 121-6 |
De la loi n° xxxx-xxx du xx décembre 2024 de finances pour 2025 |
» ;
«
Article L. 121-9 |
De la loi n° 2015-1786 du 29 décembre 2015 de finances rectificative pour 2015 |
Article L. 121-16 |
De la loi n° 2015-1786 du 29 décembre 2015 de finances rectificative pour 2015 |
»
«
Article L. 121-9 |
De la loi n° xxxx-xxx du xx décembre 2024 de finances pour 2025 |
Article L. 121‑16 |
De la loi n° xxxx-xxx du xx décembre 2024 de finances pour 2025 |
».
Exposé des motifs
Le présent article adapte les tarifs normaux d’accise en sortie de bouclier tarifaire afin de garantir au consommateur une baisse de 9 % du tarif réglementé de vente en 2025 à partir du 1er février. Pour tenir compte de la forte incertitude sur les prix hors-taxe qui perdurera jusqu’à fin décembre 2024, il est renvoyé à un arrêté déterminant le montant de l’accise. Le montant pourra ainsi être ajusté en fonction de l’évolution des prix sur les marchés de gros et compte tenu de la réforme du tarif d’utilisation des réseaux public d’acheminement de l’électricité (TURPE) dont les modalités ne sont pas intégralement définies. Le présent article permet également de simplifier et de sécuriser quatre dispositifs :
Par ailleurs, pour éviter une remise en cause brutale de la pérennité économique des activités industrielles électro-intensives, qui ont moins bénéficié des dispositifs de crise, l’application du minimum de taxation européen pour ces activités est maintenue jusqu’au 31 décembre 2025, date d’entrée en vigueur du dispositif de partage avec les consommateurs des revenus de la production d’électricité d’origine nucléaire. Il permet en outre, à des fins de cohérence des signaux économiques, d’aligner à la baisse le tarif de l’électricité supporté par les petites et moyennes entreprises sur celui des entreprises de taille plus importante. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 8 :
|
«
BARÈME CO2, MÉTHODE DITE WLTP, POUR LES ANNÉES À COMPTER DE 2027 |
|||||
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Inférieures à 99 |
0 |
126 |
1 504 |
154 |
11 803 |
99 |
50 |
127 |
1 629 |
155 |
13 014 |
100 |
75 |
128 |
1 761 |
156 |
14 325 |
101 |
100 |
129 |
1 901 |
157 |
15 736 |
102 |
125 |
130 |
2 049 |
158 |
17 247 |
103 |
150 |
131 |
2 205 |
159 |
18 858 |
104 |
170 |
132 |
2 370 |
160 |
20 569 |
105 |
190 |
133 |
2 544 |
161 |
22 380 |
106 |
210 |
134 |
2 726 |
162 |
24 291 |
107 |
230 |
135 |
2 918 |
163 |
26 302 |
108 |
240 |
136 |
3 119 |
164 |
28 413 |
109 |
260 |
137 |
3 331 |
165 |
30 624 |
110 |
280 |
138 |
3 552 |
166 |
32 935 |
111 |
310 |
139 |
3 784 |
167 |
35 346 |
112 |
330 |
140 |
4 026 |
168 |
37 857 |
113 |
360 |
141 |
4 279 |
169 |
40 468 |
114 |
400 |
142 |
4 543 |
170 |
43 179 |
115 |
450 |
143 |
4 818 |
171 |
45 990 |
116 |
540 |
144 |
5 105 |
172 |
48 901 |
117 |
650 |
145 |
5 404 |
173 |
51 912 |
118 |
740 |
146 |
5 715 |
174 |
55 023 |
119 |
818 |
147 |
6 126 |
175 |
58 134 |
120 |
898 |
148 |
6 637 |
176 |
61 245 |
121 |
983 |
149 |
7 248 |
177 |
64 356 |
122 |
1 074 |
150 |
7 959 |
178 |
67 467 |
123 |
1 172 |
151 |
8 770 |
179 |
70 578 |
124 |
1 276 |
152 |
9 681 |
180 |
73 689 |
125 |
1 386 |
153 |
10 692 |
181 |
76 800 |
|
|
|
|
182 |
79 911 |
|
|
|
|
183 |
83 022 |
|
|
|
|
184 |
86 133 |
|
|
|
|
185 |
89 244 |
|
|
|
|
Supérieures à 185 |
90 000 |
«
BARÈME CO2, MÉTHODE DITE WLTP, POUR L’ANNÉE 2026 |
|||||
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Inférieures à 106 |
0 |
133 |
1 504 |
161 |
11 803 |
106 |
50 |
134 |
1 629 |
162 |
13 014 |
107 |
75 |
135 |
1 761 |
163 |
14 325 |
108 |
100 |
136 |
1 901 |
164 |
15 736 |
109 |
125 |
137 |
2 049 |
165 |
17 247 |
110 |
150 |
138 |
2 205 |
166 |
18 858 |
111 |
170 |
139 |
2 370 |
167 |
20 569 |
112 |
190 |
140 |
2 544 |
168 |
22 380 |
113 |
210 |
141 |
2 726 |
169 |
24 291 |
114 |
230 |
142 |
2 918 |
170 |
26 302 |
115 |
240 |
143 |
3 119 |
171 |
28 413 |
116 |
260 |
144 |
3 331 |
172 |
30 624 |
117 |
280 |
145 |
3 552 |
173 |
32 935 |
118 |
310 |
146 |
3 784 |
174 |
35 935 |
119 |
330 |
147 |
4 026 |
175 |
37 857 |
120 |
360 |
148 |
4 279 |
176 |
40 468 |
121 |
400 |
149 |
4 543 |
177 |
43 179 |
122 |
450 |
150 |
4 818 |
178 |
45 990 |
123 |
540 |
151 |
5 105 |
179 |
48 901 |
124 |
650 |
152 |
5 404 |
180 |
51 912 |
125 |
740 |
153 |
5 715 |
181 |
55 023 |
126 |
818 |
154 |
6 126 |
182 |
58 134 |
127 |
898 |
155 |
6 637 |
183 |
61 245 |
128 |
983 |
156 |
7 248 |
184 |
64 356 |
129 |
1 074 |
157 |
7 959 |
185 |
67 467 |
130 |
1 172 |
158 |
8 770 |
186 |
70 578 |
131 |
1 276 |
159 |
9 681 |
187 |
73 689 |
132 |
1 386 |
160 |
10 692 |
188 |
76 800 |
|
|
|
|
189 |
79 911 |
|
|
|
|
Supérieures à 189 |
80 000 |
«
BARÈME CO2, MÉTHODE DITE WLTP, POUR L’ANNÉE 2025 |
|||||
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Émissions de CO2 (g/km) |
Tarif |
Inférieures à 113 |
0 |
147 |
2 544 |
182 |
37 857 |
113 |
50 |
148 |
2 726 |
183 |
40 468 |
114 |
75 |
149 |
2 918 |
184 |
43 179 |
115 |
100 |
150 |
3 119 |
185 |
45 990 |
116 |
125 |
151 |
3 331 |
186 |
48 901 |
117 |
150 |
152 |
3 552 |
187 |
51 912 |
118 |
170 |
153 |
3 784 |
188 |
55 023 |
119 |
190 |
154 |
4 026 |
189 |
58 134 |
120 |
210 |
155 |
4 279 |
190 |
61 245 |
121 |
230 |
156 |
4 543 |
191 |
64 356 |
122 |
240 |
157 |
4 818 |
192 |
67 467 |
123 |
260 |
158 |
5 105 |
Supérieures à 192 |
70 000 |
124 |
280 |
159 |
5 404 |
|
|
125 |
310 |
160 |
5 715 |
|
|
126 |
330 |
161 |
6 126 |
|
|
127 |
360 |
162 |
6 637 |
|
|
128 |
400 |
163 |
7 248 |
|
|
129 |
450 |
164 |
7 959 |
|
|
130 |
540 |
165 |
8 770 |
|
|
131 |
650 |
166 |
9 681 |
|
|
132 |
740 |
167 |
10 692 |
|
|
133 |
818 |
168 |
11 803 |
|
|
134 |
898 |
169 |
13 014 |
|
|
135 |
983 |
170 |
14 325 |
|
|
136 |
1 074 |
171 |
15 736 |
|
|
137 |
1 172 |
172 |
17 247 |
|
|
138 |
1 276 |
173 |
18 858 |
|
|
139 |
1 386 |
174 |
20 569 |
|
|
140 |
1 504 |
175 |
22 380 |
|
|
141 |
1 629 |
176 |
24 291 |
|
|
142 |
1 761 |
177 |
26 302 |
|
|
143 |
1 901 |
178 |
28 413 |
|
|
144 |
2 049 |
179 |
30 624 |
|
|
145 |
2 205 |
180 |
32 935 |
|
|
146 |
2 370 |
181 |
35 346 |
|
|
» ;
«
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE POUR LES ANNÉES À COMPTER DE 2027 |
|
Puissance administrative (CV) |
Tarif 2027 (€) |
Inférieure à 3 |
250 |
3 |
750 |
4 |
2 500 |
5 |
6 000 |
6 |
9 250 |
7 |
13 000 |
8 |
19 000 |
9 |
26 000 |
10 |
34 750 |
11 |
42 250 |
12 |
51 250 |
13 |
61 000 |
14 |
71 750 |
15 et plus |
90 000 |
«
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE POUR L’ANNÉE 2026 |
|
Puissance administrative (CV) |
Tarif 2026 (€) |
Inférieure à 3 |
0 |
3 |
500 |
4 |
2 000 |
5 |
5 000 |
6 |
7 750 |
7 |
10 750 |
8 |
16 000 |
9 |
22 250 |
10 |
30 250 |
11 |
37 250 |
12 |
45 500 |
13 |
54 500 |
14 |
64 500 |
15 et plus |
80 000 |
«
BARÈME EN PUISSANCE ADMINISTRATIVE POUR L’ANNÉE 2025 |
|
Puissance administrative (CV) |
Tarif 2025 (€) |
Inférieure à 3 |
0 |
3 |
250 |
4 |
1 500 |
5 |
4 000 |
6 |
6 250 |
7 |
8 500 |
8 |
13 000 |
9 |
18 500 |
10 |
25 750 |
11 |
32 250 |
12 |
39 750 |
13 |
48 000 |
14 |
57 250 |
15 et plus |
70 000 |
» ;
«
BARÈME POUR LES ANNÉES À COMPTER DE 2026 |
|
Fraction de la masse en ordre de marche (en kg) |
Tarif marginal (en €) |
Jusqu’à 1 499 |
0 |
De 1 500 et 1 699 |
10 |
De 1 700 à 1 799 |
15 |
De 1 800 à 1 899 |
20 |
De 1 900 à 1 999 |
25 |
A partir de 2 000 |
30 |
» ;
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de renforcer le caractère incitatif à la transition énergétique du malus sur les émissions de CO2 applicable aux véhicules de tourisme des particuliers et des entreprises. À cette fin, il prévoit :
Parallèlement, conformément à l’objectif de transition énergétique, les abattements pour les personnes morales acquérant des véhicules d’au moins 8 places prévus aux articles L. 421-66 (pour le malus CO2) et L. 421‑77 (pour le malus masse) sont adaptés afin de ne pas pénaliser les véhicules servant au transport collectif. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 9 :
|
«
ANCIENNETÉ DU VÉHICULE (en mois) |
COEFFICIENT FORFAITAIRE DE DÉCOTE (%) |
De 1 à 3 |
3 |
De 4 à 6 |
6 |
De 7 à 9 |
9 |
De 10 à 12 |
12 |
De 13 à 18 |
16 |
De 19 à 24 |
20 |
De 25 à 36 |
28 |
De 37 à 48 |
33 |
De 49 à 60 |
38 |
De 61 à 72 |
43 |
De 73 à 84 |
48 |
De 85 à 96 |
53 |
De 97 à 108 |
58 |
De 109 à 120 |
64 |
De 121 à 132 |
70 |
De 133 à 144 |
76 |
De 145 à 156 |
82 |
De 157 à 168 |
88 |
De 169 à 180 |
94 |
À partir de 181 |
100 |
» ;
«
DISTANCE MOYENNE ANNUELLE PARCOURUE (en km) |
COEFFICIENT D’USAGE (%) |
Jusqu’à 20 000 |
0 |
De 20 001 jusqu’à 25 000 |
1 |
De 25 001 jusqu’à 30 000 |
1,5 |
De 30 001 jusqu’à 35 000 |
2 |
De 35 001 jusqu’à 40 000 |
2,5 |
De 40 001 jusqu’à 45 000 |
3 |
A partir de 45 001 |
3,5 |
.
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de mieux tenir compte, pour l’application des taxes sur l’immatriculation, de la perte de valeur des véhicules de tourisme lorsque ce sont des véhicules d’occasion, notamment lorsque le véhicule a été immatriculé pour la première fois à l’étranger avant d’être introduit en France. Cette meilleure prise en compte a été sollicitée par la Commission européenne auprès des autorités françaises et permettra d’éviter l’ouverture d’une procédure d’infraction contre la législation actuelle. Alors que le dispositif actuel permet aux véhicules d’occasion de bénéficier d’une réfaction de 10 % par année d’ancienneté, à compter du septième mois suivant la date de première immatriculation, il est proposé de le remplacer par une disposition qui comprend deux volets :
La réforme s’appliquera uniquement aux véhicules d’occasion nouvellement immatriculés à compter du 1er janvier 2025, sous réserve qu’ils n’aient pas fait l’objet d’une première immatriculation antérieure au 1er janvier 2015. En outre, afin d’éviter les contournements et les distorsions sur le marché intérieur, le présent article prévoit, à compter du 1er janvier 2026, que tous les véhicules d’occasion pour lesquels le malus CO2 ou le malus masse n’a pas été prélevé lors de la première immatriculation seront soumis au malus s’ils font ultérieurement l’objet d’une immatriculation alors que les conditions de non taxation ne sont plus remplies. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 10 :
|
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de mettre en conformité le champ du taux réduit de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur la chaleur et le froid avec les évolutions du droit de l’Union européenne, notamment la directive (UE) 2024/1275 du Parlement européen et du Conseil du 24 avril 2024 sur la performance énergétique des bâtiments :
Ces mesures, outre qu’elles assurent la conformité du droit français au droit de l’Union, mettent en cohérence les taux réduits de TVA avec l’objectif de décarbonation des modes de chauffage. En plus de contribuer à réduire la dépendance aux énergies fossiles de la France, elles s’inscrivent, avec d’autres dispositifs incitatifs, comme le dispositif « MaPrimeRénov’ », dans un objectif global de réponse aux problématiques de qualité énergétique du parc de logements et aux enjeux liés aux changements climatiques. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 11 :
|
Exposé des motifs
Pour contribuer au redressement de nos comptes publics, le présent article prévoit une contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises au titre des deux premiers exercices consécutifs clos à compter du 31 décembre 2024, dont le montant serait réduit de moitié au titre du second exercice. Cette contribution exceptionnelle est ciblée sur les plus grandes entreprises, à savoir celles dont le chiffre d’affaires réalisé en France est supérieur ou égal à 1 Md€ et qui sont redevables de l’impôt sur les sociétés, de sorte qu’elle ne concernera pas la grande majorité des entreprises. La contribution exceptionnelle sera assise sur l’impôt sur les sociétés calculé sur l’ensemble des résultats imposables aux taux prévus à l’article 219 du code général des impôts, déterminé avant imputation des réductions et crédits d’impôt et des créances fiscales de toute nature. Afin de répartir équitablement l’effort entre les grandes entreprises, la présente contribution prévoit deux niveaux d’imposition, en fonction du chiffre d’affaires. Pour les redevables dont le chiffre d’affaires est supérieur ou égal à 1 Md€ et inférieur à 3 Md€, le taux de la contribution exceptionnelle sera fixé à 20,6 % pour le premier exercice clos à compter du 31 décembre 2024 et à 10,3 % pour le second exercice clos à compter du 31 décembre 2024. Pour les redevables dont le chiffre d’affaires est supérieur ou égal à 3 Md€, ces taux sont respectivement portés à 41,2 % et à 20,6 %. Un mécanisme de lissage est également prévu pour les entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse les seuils d’assujettissement aux différents taux de moins de 100 M€. À l’instar des précédentes contributions exceptionnelles ou additionnelles à l’impôt sur les sociétés, elle ne sera pas déductible du résultat imposable des entreprises redevables. Par ailleurs ni les réductions et crédits d’impôt applicables à l’impôt sur les sociétés, ni les autres créances fiscales, comme les créances de report en arrière des déficits, ne seront imputables sur la contribution exceptionnelle. La contribution exceptionnelle devra être payée spontanément au comptable public compétent, au plus tard au versement du solde de liquidation de l’impôt sur les sociétés. Elle ne donnera pas lieu au paiement d’acomptes. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 12 :
|
Exposé des motifs
Pour contribuer au redressement des comptes publics, le présent article prévoit, comme pour l’ensemble des plus grandes entreprises, une taxation exceptionnelle des grandes entreprises de transport maritime. En effet, les modalités spécifiques d’imposition du résultat de ces entreprises (en fonction du tonnage) réduisent pour elles l’effet de la contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises prévue par ailleurs par le projet de loi de finances pour 2025. Cette taxe, qui sera assise sur le résultat d’exploitation de l’entreprise déclaré au titre de l’exercice, constitue ainsi un dispositif complémentaire à la contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises et en reprend les caractéristiques. Elle concernera les entreprises dont le chiffre d’affaires est supérieur à 1 Md€ et s’appliquera au titre des deux exercices consécutifs clos à compter du 31 décembre 2024. Son taux sera fixé à 9 % pour le premier exercice et réduit à 5,5 % pour le second. Afin de préserver les recettes supplémentaires dégagées par cette taxe et à l’instar des précédentes contributions exceptionnelles ou additionnelles à l’impôt sur les sociétés, elle ne sera pas déductible du résultat imposable des entreprises redevables. Par ailleurs, ni les réductions et crédits d’impôt applicables à l’impôt sur les sociétés, ni les autres créances fiscales (comme les créances de report en arrière des déficits) ne seront imputables sur la taxe exceptionnelle. La taxe exceptionnelle devra être payée spontanément au comptable public compétent, au plus tard au versement du solde de liquidation de l’impôt sur les sociétés |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 13 :
|
Exposé des motifs
Le présent article vise à compléter le dispositif d’imposition minimale mondiale des groupes, codifié aux articles 223 VJ à 223 WZ du code général des impôts (CGI), afin d’y intégrer les règles négociées et adoptées à l’échelle internationale, en transposant les instructions administratives publiées par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), dont l’objet est de préciser ou de clarifier les modalités d’application des dispositifs prévus dans le modèle de règles globales anti-érosion de la base d’imposition (dit « modèle de règles GloBE – Pilier 2 »), approuvé le 14 décembre 2021 par le Cadre inclusif de l’OCDE/G20. L’article 33 de la loi n° 2023‑1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024 a transposé en droit interne la directive (UE) 2022/2523 visant à assurer un niveau minimum d’imposition mondial pour les groupes d’entreprises multinationales et les groupes nationaux de grande envergure dans l’Union, le Conseil de l’Union européenne ayant soutenu l’accord conclu par le Cadre inclusif de l’OCDE/G20 et s’étant engagé à le mettre en œuvre en tenant compte des spécificités de la législation de l’Union. La transposition de ces règles en droit interne a ainsi conduit à instaurer un niveau minimum d’imposition fixé à 15 % pour les bénéfices des groupes d’entreprises multinationales disposant d’une implantation en France, ainsi que des grands groupes nationaux qui développent leurs activités sur le seul territoire français. En parallèle, l’OCDE poursuit ses travaux de commentaires du modèle de règles et adopte régulièrement des orientations administratives afin de le clarifier ou de le compléter. Ainsi, elle a publié de telles orientations les 2 février, 17 juillet et 18 décembre 2023 et continue ses travaux de négociation et de publication. Conformément à ses engagements internationaux et européens (considérant 24 de la directive (UE) 2022/2523), la France doit intégrer, au niveau de norme pertinent en fonction de son système juridique, les dispositions de ces orientations administratives dans son droit national pour s’assurer que le système d’imposition minimale mis en place est conforme au corpus OCDE et ainsi reconnu par nos partenaires. C’est la raison pour laquelle les dispositions régissant en France le dispositif d’imposition minimale mondiale des groupes doivent être complétées, corrigées ou précisées, afin d’assurer la conformité de ces règles aux principes adoptés à l’échelle internationale et appliqués par l’ensemble des États parties à l’accord. La France sera d’ailleurs conduite, comme ses partenaires, à poursuivre l’exercice de transposition des règles issues du corpus OCDE tant que dureront les négociations. Compte-tenu des délais contraints encadrant la préparation du projet de loi de finances, les dispositions qui seraient issues de l’instruction administrative du 17 juin 2024 ne sont pas intégrées dans le présent article. Ces dispositions seront néanmoins transposées dans un prochain projet de loi de finances ou, s’agissant de dispositions ne relevant pas du domaine de la loi, pourront être insérées dans les commentaires qui seront publiés au Bulletin officiel des finances publiques (Bofip). Le présent article prévoit donc l’insertion de plusieurs dispositions, ou la modification de dispositions déjà en vigueur, à la suite de la publication des instructions administratives publiées par l’OCDE en 2023, qui n’avaient pas pu être intégrées, pour des raisons de délai de transposition, à l’article 33 de la loi de finances pour 2024. Elles concernent, notamment, les modalités de détermination de la déduction fondée sur la substance, les règles d’application de l’impôt national complémentaire et du régime de protection relatif à cet impôt et les modalités d’application du régime de protection transitoire codifié aux articles 223 VZ et suivants du CGI. Le présent article modifie également les règles de répartition de l’impôt national complémentaire dû au titre des entités constitutives situées en France appartenant à un même groupe. En outre, le présent article introduit deux nouvelles catégories de crédits d’impôt, les crédits d’impôt transférables négociables et les crédits d’impôt transférables non négociables, et prévoit leur traitement pour le calcul du taux effectif d’imposition. Enfin, les modifications proposées à l’article 1679 decies du CGI visent à créer une solidarité de paiement lorsque l’option dérogatoire prévue aux 2° et 3° du I de l’article 1679 decies dans sa rédaction actuelle est exercée par les entités constitutives d’un groupe redevables de l’impôt complémentaire. |
Projet de loi de finances |
1 |
Exposé des motifs
La France est tenue à la transposition de la directive (UE) 2023/2226 du Conseil du 17 octobre 2023 modifiant la directive 2011/16/UE en ce qui concerne l’échange automatique et obligatoire d’informations dans le domaine fiscal relativement aux actifs numériques au plus tard le 31 décembre 2025, pour une application à partir du 1er janvier 2026. Pour autant, une transposition des règles législatives est dès à présent souhaitable pour permettre l’appropriation de ces nouvelles règles par les prestataires de services et opérateurs d’actifs numériques l’adaptation des infrastructures informatiques idoines et l’obtention de l’autorisation de la CNIL. Les nouvelles obligations de déclaration s’appliqueront aux prestataires de services sur crypto-actifs aussi dénommés actifs numériques, régis par le règlement (UE) 2023/1114. Les prestataires de services et les opérateurs seront tenus d’assurer la collecte et la déclaration d’informations permettant d’identifier les transactions sur actifs numériques, les comptes utilisés pour les détenir et les titulaires de ces comptes. L’article proposé prévoit également des mesures de sanction de ces nouvelles obligations. Par ailleurs, le présent projet d’article introduit un nouvel article L. 80 R au livre des procédures fiscales afin de prévoir la supervision par la DGFIP du respect de leurs obligations de diligences par :
De plus, est institué une amende, à la main de la DGFiP, en cas de constatations de manquements par les institutions financières dites « non régulées » à leurs obligations relatives à l’échange automatique d’informations sur les comptes financiers. En parallèle, le présent projet modifie les dispositions relatives à l’obligation de déclaration des dispositifs fiscaux :
En outre, concernant l’échange d’informations sur les plateformes en ligne, il précise les conditions dans lesquelles un opérateur de plateforme situé hors de l’Union européenne pourrait être déchargé de ses obligations déclaratives en France. Enfin, le présent projet transpose les dispositions étendant l’utilisation des informations fiscales échangées par les États européens entre eux à l’application de la législation en matière de droits de douane et à la lutte contre les activités de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme, En effet, il existe un lien étroit entre la fraude et l’évasion fiscale, la fraude aux droits de douane et les activités de blanchiment et financement du terrorisme. En conséquence, le présent projet de loi modifie les dispositions du livre des procédures fiscales afin de permettre, d’une part, que les informations communiquées par la France aux autres États membres de l’UE puissent être utilisées par ces derniers pour les besoins de ces deux objectifs, et d’autre part, s’agissant des informations reçues par la France, qu’elles puissent être communiquées aux autorités chargées de la lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme et à la Direction générale des douanes et droits indirects pour sa mission de contrôle des droits de douane. |
ARTICLE 15 :
|
Exposé des motifs
Afin de renforcer la compétitivité des entreprises, une baisse des impôts de production a été initiée depuis 2021, conduisant à leur réduction de plus de 15 Md€ depuis cette date. Dès 2021, les impôts fonciers des établissements industriels ont été divisés par deux et l’imposition à la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) a également été diminuée de moitié. Initialement engagée en 2023, la suppression progressive de la CVAE a ensuite été aménagée en 2024 afin de l’échelonner sur quatre années, c’est-à-dire jusqu’en 2027, dans un objectif de conciliation avec la maîtrise des finances publiques. Parallèlement, la CVAE avait été supprimée pour 300 000 entreprises redevables de la cotisation minimum. Tout en conservant les mêmes objectifs de maîtrise des finances publiques et de poursuite de la réduction des impôts de production, le présent article prévoit de reporter de trois années la poursuite de la trajectoire de suppression définitive de la CVAE, d’ici à 2030. Ainsi, la trajectoire initiale de baisse des taux prévue de 2025 à 2027 est décalée de trois ans, soit de 2028 à 2030, et le taux de 2024 est reconduit pour les années 2025 à 2027. Les taux d’imposition à la CVAE sont ainsi maintenus pour les années 2025 à 2027 à leur niveau de 2024, soit, pour le taux maximal, 0,28 %. Ce taux sera ensuite abaissé à 0,19 % en 2028, 0,09 % en 2029, et la CVAE sera totalement supprimée en 2030. L’abaissement du taux du plafonnement de la contribution économique territoriale en fonction de la valeur ajoutée et l’évolution du taux de la taxe additionnelle à la CVAE affectée à CCI France sont reportés et ajustés en conséquence. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 16 :
|
Exposé des motifs
Depuis le 1er janvier 2017, tous les locaux entrant dans le champ de la révision des valeurs locatives des locaux professionnels disposent d’une valeur locative mise à jour, déterminée en fonction de l’état du marché locatif. Lors de la mise en œuvre de la révision, le législateur a prévu, afin d’atténuer les effets induits, pour les contribuables, par la révision, la mise en place de mécanismes amortisseurs, entrés en vigueur en 2017 :
Par deux décisions du 3 avril 2024, n° 474735 et 474736, le Conseil d’État a considéré que ce dernier mécanisme, dont bénéficie chaque local existant au 1er janvier 2017, n’est pas figé à cette date, mais que la valeur locative révisée employée pour le déterminer doit être recalculée chaque année. Le présent article apporte donc une modification technique à l’article 1518 A quinquies du code général des impôts, afin de le mettre en conformité avec l’intention du Gouvernement lors de la conception du mécanisme du « planchonnement ». Il rétablit à compter des impositions dues au titre de 2023, un « planchonnement » figé calculé selon la situation des locaux au 1er janvier 2017, ce qui préserve la stabilité du cadre fiscal de la révision et garantit les recettes des collectivités territoriales. |
Exposé des motifs
L’ordonnance n° 2023-393 du 24 mai 2023 portant réforme du régime des fusions, scissions, apports partiels d’actifs et opérations transfrontalières des sociétés commerciales, ratifiée par l’article 4 de la loi n° 2024-364 du 22 avril 2024 portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière d’économie, de finances, de transition écologique, de droit pénal, de droit social et en matière agricole, modifie les dispositions du code de commerce régissant les opérations de restructuration économique. Cette ordonnance introduit en droit français : un nouveau cas de fusion ou scission réalisée sans échange de titres ; une nouvelle définition de l’apport partiel d’actifs ; et une modalité particulière de mise en œuvre de l’apport partiel d’actifs consistant à attribuer directement aux associés de la société apporteuse les titres représentant l’apport (opération dénommée « scission partielle »). Le présent article tire les conséquences de cette ordonnance et procède aux ajustements techniques nécessaires pour insérer ces nouvelles opérations dans les différents régimes fiscaux applicables aux opérations de fusion ou de scission d’entreprises, mettant ainsi à jour le droit fiscal de l’évolution du droit commercial. |
Projet de loi de finances |
1 |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 18 :
|
Exposé des motifs
Les dispositions du présent article aménagent les modalités d’application de deux dispositifs de déduction du revenu imposable prévus au bénéfice des exploitants agricoles : la déduction pour épargne de précaution (DEP), codifiée à l’article 73 du code général des impôts (CGI), et la déduction pour augmentation de la valeur des stocks de vaches laitières et allaitantes, prévue par l’article 70 de la loi de finances pour 2024. Il relève par ailleurs de 20 % à 30 % l’exonération de taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) en faveur des terres agricoles prévue à l’article 1394 B bis du CGI. Ces ajustements visent à améliorer la compétitivité et la résilience des exploitations agricoles, dans un contexte inflationniste d’une part et de multiplication des évènements exceptionnels, notamment climatiques, fragilisant significativement et durablement le secteur, d’autre part. À cet effet, le présent article prévoit d’abord une modification des modalités d’imposition de la réintégration de la DEP, dispositif qui vise à encourager les exploitants agricoles à constituer une réserve de précaution en vue de faire face aux dépenses nécessitées par l’activité professionnelle, et leur permettre de couvrir les dépenses nées de la survenance de certains aléas. En l’état, en cas d’utilisation de sommes épargnées en vue de faire face aux conséquences d’un tel aléa, l’exploitant est tenu de réintégrer la déduction précédemment pratiquée, et acquitte ainsi une charge d’impôt correspondante, y compris donc à raison des sommes utilisées pour répondre aux sinistres survenus sur les récoltes ou le cheptel. Il est ainsi proposé d’exonérer partiellement la reprise de DEP, à hauteur de 30 % du montant des sommes utilisées, en cas de survenance d’un aléa climatique, sanitaire ou environnemental mentionné à l’article L. 361-3 du code rural et de la pêche maritime entraînant des pertes économiques remplissant les conditions pour ouvrir droit à une indemnisation par un fonds de mutualisation prévu par le même article, c’est-à-dire les risques liés aux épizooties ainsi qu’aux infestations d’organismes nuisibles, à une indemnisation en application d’un contrat d’assurance contre les risques climatiques en agriculture bénéficiant de l’aide prévue au deuxième alinéa de l’article L. 361-4 du code rural et de la pêche maritime, à une indemnisation fondée sur la solidarité nationale prévue par l’article L. 361-4 A du même code, ou à une indemnisation des calamités agricoles visées à l’article L. 361-5 du code rural et de la pêche maritime. Ensuite, une évolution des paramètres de la déduction en faveur des stocks de vaches laitières et allaitantes, instituée par la loi de finances pour 2024, est proposée. La déduction fiscale prévue par l’article 70 de la loi précitée avait pour objectif de limiter les effets sur la détermination du résultat imposable des méthodes de valorisation de ces stocks en période de forte inflation (hausse importante des prix des matières premières agricoles et du cours de la viande constatée ces deux dernières années). À cet égard, conformément aux engagements pris auprès des fédérations représentatives du secteur au début d’année 2024, les modalités d’application du dispositif font l’objet des modifications suivantes :
Ainsi modifié, le dispositif incitera à l’accroissement du cheptel bovin français, gage de la souveraineté alimentaire nationale. Ce dispositif modifié a vocation à s’appliquer au titre des exercices clos à compter du 1er janvier 2024 et jusqu’au 31 décembre 2027. L’article 73 A du CGI, rétabli à cet effet, fixe les conditions d’éligibilité et modalités d’application de cette nouvelle provision pour augmentation de la valeur des stocks de vaches laitières et allaitantes. Enfin, le relèvement de moitié du taux d’exonération de TFPNB en faveur des terres agricoles proposé par le présent article s’inscrit également dans l’objectif de compétitivité des exploitations agricoles. Cette mesure, qui modifie par ailleurs la législation rurale pour prévoir le maintien de la répercussion de l’exonération sur les fermiers pour les terres prises à bail, bénéficiera à tous les exploitants. Les pertes de recettes supportées par les communes et les établissements public de coopération intercommunale à fiscalité propre seront compensées comme c’est le cas pour l’exonération actuelle. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 19 :
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Exposé des motifs
La transmission des exploitations agricoles constitue un enjeu essentiel pour notre souveraineté alimentaire. Au cours de ces dix dernières années, en moyenne 20 000 chefs d’exploitation cessent leur activité tandis que 14 000 s’installent. Les dix prochaines années seront cruciales, étant donné que 43 % des exploitants sont aujourd’hui âgés de plus de 55 ans. Aussi, pour encourager la transmission des exploitations agricoles au profit de jeunes agriculteurs s’installant pour la première fois et fluidifier le marché des transmissions d’exploitations, le présent projet prévoit plusieurs mesures annoncées les 1er février et 27 avril 2024 :
Par ailleurs, l’article 94 de la loi de finances pour 2024 a revalorisé de façon exceptionnelle le seuil du régime des micro-exploitations (régime « micro-BA ») prévu à l’article 69 du CGI, en portant la limite de recettes de 91 900 € à 120 000 €. Pour autant, pour les groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC), la limite de 367 000 € relative à la moyenne des recettes du groupement prévu au 1° de l’article 71 du CGI, qui détermine le régime fiscal applicable, n’a pas fait l’objet d’une revalorisation à cette occasion. Par cohérence, le présent article procède donc au rehaussement du seuil spécifique aux GAEC, dans la même proportion que celle prévue par la loi de finances pour 2024 pour le régime micro-‑BA, portant ainsi celui-ci à 480 000 €. Enfin, une modification est prévue à l’article 73 B du CGI afin d’actualiser les références juridiques se rapportant à l’attribution des aides à l’installation des jeunes agriculteurs. |
ARTICLE 20 :
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Exposé des motifs
Le présent article maintient le tarif d’accise applicable au gazole non routier (GNR) utilisé pour les besoins des travaux agricoles et forestiers à son niveau applicable jusqu’au 31 décembre 2023. L’article 94 de la loi n° 2023‑1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024 prévoyait une hausse progressive du tarif réduit d’accise applicable au gazole consommé pour les besoins des travaux agricoles et forestiers de 2,85 c€/L/an à compter du 1er janvier 2024. Ce tarif réduit devait ainsi passer de 3,86 c€/L à 23,86 c€/L en 2030. Conformément à la présentation des mesures d’urgence en faveur des exploitants agricoles le 26 janvier 2024, l’entrée en vigueur de cette mesure est rétroactive et ne remet pas en cause les mesures prévues par la loi de finances pour 2024 pour accompagner le secteur agricole dans la transition énergétique. Cette mesure complète les aides d’urgence à la trésorerie des agriculteurs relatives au gazole agricole instaurées au cours du premier semestre 2024 :
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Projet de loi de finances |
1 |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 21 :
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«
TARIF EN 2024 POUR LES FACES DES DISPOSITIFS ET DES PRÉENSEIGNES NON NUMÉRIQUES (€/m²) |
POPULATION DE L’AUTORITÉ COMPÉTENTE (en milliers d’habitants) |
||
Inférieure à 50 |
Supérieure ou égale à 50 et inférieure à 200 |
Supérieure ou égale à 200 |
|
Superficie inférieure ou égale à 50 m² |
17,70 |
23,30 |
35,30 |
Superficie supérieure à 50 m² |
35,40 |
46,60 |
70,60 |
«
TARIF EN 2024 POUR LES FACES DES DISPOSITIFS ET PRÉENSEIGNES NUMÉRIQUES (€/m²) |
POPULATION DE L’AUTORITÉ COMPÉTENTE (en milliers d’habitants) |
||
Inférieure à 50 |
Supérieure ou égale à 50 et inférieure à 200 |
Supérieure ou égale à 200 |
|
Superficie inférieure ou égale à 50 m² |
53,10 |
69,90 |
105,90 |
Superficie supérieure à 50 m² |
106,20 |
139,80 |
211,80 |
«
TARIF EN 2024 POUR LES ENSEMBLES DE FACES D’ENSEIGNES (€/m²) |
POPULATION DE L’AUTORITÉ COMPÉTENTE (en milliers d’habitants) |
||
Inférieure à 50 |
Supérieure ou égale à 50 et inférieure à 200 |
Supérieure ou égale à 200 |
|
Superficie inférieure ou égale à 12 m² |
17,70 |
23,30 |
35,30 |
Superficie supérieure à 12 m² et inférieure ou égale à 50 m² |
35,40 |
46,60 |
70,60 |
Superficie supérieure à 50 m² |
70,80 |
93,20 |
141,20 |
» ;
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet de poursuivre l’exercice de rationalisation de l’écriture de la fiscalité des biens et services :
[1] Ordonnance n° 2021‑1843 du 22 décembre 2021 portant partie législative du code des impositions sur les biens et services et transposant diverses normes du droit de l’Union européenne, ordonnance n° 2023‑661 du 26 juillet 2023 prise en application des dispositions de l’article 137 de la loi du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets et de l’article 128 de la loi du 30 décembre 2021 de finances pour 2022 et ordonnance n° 2023‑1210 du 20 décembre 2023 portant création du titre V du livre IV du code des impositions sur les biens et services et portant diverses autres mesures de recodification de mesures non fiscales. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 22 :
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Exposé des motifs
Afin de tenir compte des dernières évolutions de la réglementation européenne en matière d’aides d’État, le présent article procède à une mise à jour des références au règlement dit « de minimis » (UE) n° 1407/2013 de la Commission du 18 décembre 2013 ainsi qu’au régime cadre relatif aux aides d’État à la recherche, au développement et à l’innovation (n° SA. 58995) contenues dans le code général des impôts (CGI), le code des impositions sur les biens et services (CIBS), les lois de finances et la loi n° 2021‑1104 du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets. En effet, tout financement public qui remplit les critères énoncés à l’article 107, paragraphe 1, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) constitue une aide d’État et doit être notifié à la Commission européenne en vertu de l’article 108, paragraphe 3, du traité. Toutefois, en vertu de l’article 109 du traité, le Conseil de l’Union européenne peut déterminer les catégories d’aides qui sont exemptées de cette obligation de notification. Ainsi, le règlement d’habilitation (UE) 2015/1588 du 13 juillet 2015 autorise la Commission à déclarer que certaines catégories d’aides d’État sont compatibles avec le marché unique et sont exemptées de l’obligation de notification prévue par le traité. Tel est le cas d’une part, des aides octroyées dans le cadre du règlement dit de minimis, c’est-à-dire des aides octroyées aux entreprises qui ne dépassent pas un montant fixe déterminé et d’autre part, des aides octroyées conformément aux règlements dits « d’exemption » qui permettent aux États membres d’accorder certaines catégories d’aides aux entreprises sans notification préalable, lorsque celles-ci remplissent des critères précis. Le présent article procède donc à l’actualisation des références contenues pour l’application des différents mécanismes fiscaux relevant du règlement de minimis et du règlement général d’exemption par catégorie (RGEC). |
ARTICLE 23 :
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Exposé des motifs
À la suite d’une décision du Conseil d’État du 5 février 2024, le présent article confirme la stabilité du cadre fiscal applicable aux personnes qui, par application des conventions internationales, ne sont pas résidentes fiscales de France en précisant qu’elles ne sont pas considérées comme ayant leur domicile fiscal en France au sens des dispositions du code général des impôts. |
Projet de loi de finances |
1 |
Exposé des motifs
Le présent article vise à corriger une spécificité du régime fiscal de la location meublée non professionnelle (LMNP) qui contribue aux tensions sur le marché locatif. La diversité des régimes fiscaux applicables aux revenus tirés de la location de logements, selon le mode de location (nu ou meublé) et, pour le meublé, selon les modalités d’exercice de l’activité (exercice à titre professionnel ou non), contribue, au-delà de la complexité qui en résulte, à créer ou renforcer des distorsions peu compatibles avec les objectifs de la politique publique du logement, en particulier dans les zones touristiques ou caractérisées par un fort déséquilibre entre l’offre et la demande de logements. Le biais fiscal en faveur du régime de la LMNP concourt à renforcer les incitations économiques en faveur de la location de courte durée et à accroître les tensions sur le marché locatif. Les contribuables relevant du régime de la LMNP peuvent en effet, sous certaines conditions, déduire de leurs recettes locatives imposables les amortissements afférents au logement loué sans que ceux-ci ne soient pris en compte dans le calcul de la plus‑value lors de la cession dudit logement. Ils disposent ainsi d’un avantage fiscal spécifique, susceptible d’entretenir un déport des loueurs nus vers la location meublée et, ainsi, l’attrition de l’offre de logements affectés à la résidence principale, en incitant à la location meublée de courte durée et à vocation touristique. Afin d’assurer une plus grande égalité de traitement entre les loueurs professionnels et non professionnels, le présent article prévoit que les amortissements déduits pendant la période de location d’un bien soient effectivement pris en compte lors de sa cession pour le calcul de la plus‑value immobilière afférente. Ces dispositions s’appliqueront aux plus‑values réalisées à raison des cessions intervenant à compter du 1er janvier 2025. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 25 :
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Exposé des motifs
Le présent article tire les conséquences de deux décisions récentes du Conseil d’État ayant pour effet de fragiliser l’équilibre général du régime des droits ou bons de souscription ou d’attribution et des titres acquis en exercice de ceux-ci. Avant son abrogation consécutive aux décisions du Conseil d’État, la doctrine administrative interdisait respectivement d’inscrire des titres souscrits en exercice de bons de souscription de parts de créateur d’entreprise (BSPCE) sur un plan d’épargne en actions (PEA) et de bénéficier du sursis d’imposition pour le gain constaté en cas d’apport de titres pareillement souscrits à une société non contrôlée par le bénéficiaire. Afin de clarifier les règles applicables et d’éviter le cumul d’avantages fiscaux, le présent article :
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Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 26 :
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Exposé des motifs
Le présent article prévoit d’introduire une taxe sur les réductions de capital des grandes entreprises, qu’elles effectuent en annulant leurs propres actions rachetées. Les réductions de capital résultant d’annulations d’actions rachetées par les sociétés sont en constante augmentation depuis plusieurs années. En 2023, les sociétés cotées du CAC 40 ont distribué plus de 97 Md€ à leurs actionnaires dont 30,1 Md€ sous forme de rachats d’actions, contre 23,7 Md€ en 2022 et 23,8 Md€ en 2021. Pour tenir compte de ce phénomène, les États-Unis ont instauré, depuis le 1er janvier 2023, une taxe de 1 % pour les entreprises qui rachètent leurs propres actions. Les opérations de rachat annulation de titres constituent des emplois de trésorerie excédentaire et traduisent la capacité des entreprises les réalisant à contribuer au budget de l’État. Afin d’appréhender cette capacité, le présent article propose d’établir une taxe sur les réductions de capital par annulation d’actions rachetées par les plus grandes entreprises, à savoir celles réalisant un chiffre d’affaires individuel ou consolidé de plus d’1 Md€. Cette taxe poursuit un objectif de rendement. |
Projet de loi de finances |
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Projet de loi de finances |
1 |
Exposé des motifs
Afin de construire un zonage plus adapté et plus efficace pour les incitations fiscales à l’activité économique dans la ruralité, l’article 73 de la loi de finances pour 2024 a notamment remplacé, à compter du 1er juillet 2024, l’ancien dispositif des zones de revitalisation rurale (ZRR) par un nouveau zonage unique, dénommé France ruralités revitalisation (FRR), auquel sont adossées des aides fiscales et non fiscales élargies et simplifiées. Cette réforme des dispositifs de soutien aux territoires ruraux en difficulté s’est traduite par l’intégration de plus de 2 000 communes supplémentaires dans la liste des communes éligibles au zonage, établie au regard des freins structurels (dépeuplement, désertification, enclavement routier et numérique, accès réduits aux services, etc.) dont elles souffrent. Toutefois, l’instauration des nouveaux critères de classement en zonage FRR a eu pour conséquence de faire sortir des dispositifs de soutien à l’activité économique dans la ruralité, au 1er juillet 2024, 2 168 communes, qui bénéficiaient jusque-là du classement en ZRR, alors que leur situation reste caractérisée par des fragilités géographiques, économiques et sociales. Entendant l’attachement à ce dispositif des populations et des élus des territoires concernés, le Gouvernement a souhaité que ces communes continueraient à bénéficier des effets du dispositif de soutien aux zones rurales en difficulté. Le présent article permet donc aux 2 168 communes perdant le bénéfice du régime des ZRR au 1er juillet 2024 de bénéficier en contrepartie, à cette même date et jusqu’au 31 décembre 2027, des effets du dispositif des zones FRR. En complément du niveau « socle » du zonage FRR, le zonage dénommé France ruralités revitalisation « plus », vise les communes les plus vulnérables, pour lesquelles le soutien de l’État est accru. Afin de cibler au mieux les communes concernées, le présent article modifie les modalités de classement en FRR +. Ainsi, il est notamment proposé pour le classement en FRR + de prendre en compte les communes rurales au sens de l’INSEE et de permettre le classement en FRR + d’une commune dont le bassin de vie, et non uniquement l’intercommunalité, présente des vulnérabilités caractérisées. Ces dispositions relatives au classement en FRR + s’appliqueront à compter du 1er janvier 2025. En dernier lieu, afin de soutenir l’emploi dans les communes concernées, le présent article proroge jusqu’au 31 décembre 2027 le dispositif des exonérations dans les bassins d’emploi à redynamiser. Cette mesure permettra de renforcer le soutien à la création d’entreprises et à l’emploi dans ces territoires et de donner de la visibilité aux créateurs d’entreprises. |
ARTICLE 28 :
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Exposé des motifs
La loi n° 2017‑257 du 28 février 2017 a abrogé le régime des cercles de jeux depuis le 1er janvier 2018 et a engagé l’expérimentation relative au régime juridique des clubs de jeux, pour une durée d’un an à Paris, ainsi que les modes de prélèvement fiscal qui y sont adossés. Cette expérimentation a, par la suite, été prolongée à deux reprises de deux années pour la porter à sept ans, dans la mesure où l’épidémie de Covid‑19 et la fermeture des clubs de jeux durant presque une année n’ont pas permis de réaliser le bilan de cette expérimentation. Toutefois, le bilan de l’expérimentation des clubs de jeux reste difficile à établir en 2024. En effet, compte tenu de l’impact de la crise sanitaire sur l’activité de ces établissements au cours des années 2020 et 2021, l’évaluation l’activité et des recettes fiscales générées par ces clubs de jeux n’est pas significative. Seules les données de recettes fiscales des années 2022 et 2023 sont représentatives de l’activité du secteur, tandis que les données de l’année 2024 n’étant pas disponibles. L’expérimentation n’a donc pas pu être réalisée de manière satisfaisante sur une durée de trois années, hors crises et conséquences de celles-ci, comme prévu initialement. Une prorogation de l’expérimentation permettrait une évaluation dans des conditions satisfaisantes du régime fiscal temporaire dont bénéficient les clubs de jeux en vue d’adopter une réforme plus équilibrée de cette fiscalité. C’est pourquoi le présent article a pour objet de proroger l’expérimentation d’un an. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 29 :
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Exposé des motifs
Le présent article fixe le montant de la dotation globale de fonctionnement (DGF) ainsi que le niveau des dotations et compensations d’exonération entrant dans le périmètre des variables d’ajustement pour 2025. S’agissant de la DGF, le projet de loi de finances pour 2025 pérennise les deux hausses successives de +320 M€ en 2023 et +320 M€ en 2024 par lesquelles l’État a pris majoritairement à sa charge la poursuite de la dynamique des dotations « péréquatrices » qui bénéficient aux collectivités les plus fragiles. S’agissant des variables d’ajustement, mentionnées au II du présent article, elles permettront en 2025 de maîtriser la hausse des concours inclus dans le périmètre des dépenses de l’État. En 2025, le montant de la minoration atteint ainsi 487 M€. Ce montant revient à un niveau ante crise, conformément aux recommandations de la Cour des comptes. Ce redéploiement de crédits au sein de l’enveloppe permet notamment de maîtriser le dynamisme des prélèvements sur les recettes de l’État et, en particulier, celui assurant la compensation d’exonérations fiscales. Au titre du gage en 2025, les parts communale, intercommunale, régionale et départementale de la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), ainsi que le Fonds départemental de péréquation de la taxe professionnelle (FDPTP), font l’objet d’une minoration. En revanche, les parts départementale et régionale de la dotation pour transfert des compensations d’exonérations de fiscalité directe locale (DTCE-FDL ou DOT), de même que le prélèvement sur les recettes de l’État compensant aux autorités organisatrices de la mobilité la perte de recettes résultant de la réduction du champ des employeurs assujettis au versement transport (VT), sont reconduits à un montant identique à celui versé au titre de 2024. Le III du présent dispositif précise les modalités de minoration des variables d’ajustement pour 2025. Dans un souci d’équité, comme les années précédentes, la minoration des variables d’ajustement est effectuée au prorata des recettes réelles de fonctionnement de leurs bénéficiaires. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 30 :
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Exposé des motifs
Le dispositif procède à un abaissement du taux et exclut les dépenses de fonctionnement de l’assiette éligible. L’objectif du fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée est de soutenir l’investissement public local en compensant une partie de la taxe sur la valeur ajoutée payée sur les dépenses d’investissement des collectivités territoriales. L’assiette des dépenses éligibles a été élargie au-delà des dépenses d’investissement pour intégrer des dépenses de fonctionnement, notamment des dépenses d’entretien et d’informatique en nuage. Le présent article propose de recentrer le fonds sur son objectif initial : le soutien à l’investissement. À cette fin, il prévoit de supprimer les exceptions que constituent l’intégration des dépenses d’entretien des bâtiments publics, de la voirie, des réseaux payés et des prestations de solutions relevant de l’informatique en nuage pour revenir au régime commun historique du fonds. En outre, par souci de maîtrise des dépenses publiques à la fois du champ État et du champ administrations publiques locales, le taux de compensation forfaitaire est fixé à 14,850 % (contre 16,404 % en 2024) pour les attributions versées à partir du 1er janvier 2025. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 31 :
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Exposé des motifs
Le présent article reconduit exceptionnellement pour l’exercice 2025 les montants de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) versés en 2024 aux collectivités locales qui en sont affectataires, en prenant pour valeur de référence la dynamique fiscale de l’année précédente, en lieu et place de celle de l’année en cours. Par conséquent, cette mesure garantit la stabilité des transferts de TVA aux collectivités locales en 2025. Elle améliore également la prévisibilité des recettes : les régularisations en cours d’année, parfois tardives, ne seront donc pas nécessaires en 2025. Elle permet également une participation temporaire des collectivités locales à l’effort d’assainissement des comptes publics, avec une maîtrise de la dynamique de la fiscalité nationale partagée, au titre de la TVA, pour l’exercice 2025. Le fonds de sauvegarde des départements n’est toutefois pas affecté par la mesure. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 32 :
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Intitulé du prélèvement |
Montant |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la dotation globale de fonctionnement |
27 244 686 833 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la dotation spéciale pour le logement des instituteurs |
4 253 232 |
Dotation de compensation des pertes de bases de la taxe professionnelle et de redevance des mines des communes et de leurs groupements |
30 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au profit du Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) |
6 846 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation d’exonérations relatives à la fiscalité locale |
710 856 803 |
Dotation pour transferts de compensations d’exonérations de fiscalité directe locale |
378 003 970 |
Dotation élu local |
123 506 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au profit de la collectivité territoriale de Corse |
42 946 742 |
Fonds de mobilisation départementale pour l’insertion |
431 738 376 |
Dotation départementale d’équipement des collèges |
326 317 000 |
Dotation régionale d’équipement scolaire |
661 186 000 |
Dotation globale de construction et d’équipement scolaire |
2 686 000 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les EPCI percevant la taxe d’habitation sur les logements vacants |
4 000 000 |
Dotation de compensation liée au processus de départementalisation de Mayotte |
107 000 000 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (communes) |
187 975 518 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (EPCI) |
740 565 262 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (départements) |
1 204 315 500 |
Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (régions) |
278 463 770 |
Dotation de garantie des reversements des fonds départementaux de taxe professionnelle |
214 278 401 |
Fonds de compensation des nuisances aéroportuaires |
6 822 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation des pertes de recettes liées au relèvement du seuil d’assujettissement des entreprises au versement transport |
48 020 650 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au profit de la collectivité territoriale de Guyane |
27 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au profit des régions au titre de la neutralisation financière de la réforme de l’apprentissage |
122 559 085 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la dotation globale d’autonomie de la Polynésie française |
90 552 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation de la réduction de 50 % des valeurs locatives de TFPB et de CFE des locaux industriels |
4 291 098 809 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation des communes et EPCI contributeurs au Fonds national de garantie individuelle des ressources (FNGIR) subissant une perte de base de cotisation foncière des entreprises |
3 000 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation de la réforme 2023 de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les EPCI percevant la taxe d’habitation sur les logements vacants |
33 366 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État en faveur des communes nouvelles |
24 400 000 |
Prélèvement sur les recettes de l’État au titre de la compensation et du lissage des pertes exceptionnelles de recettes de taxe foncière sur les propriétés bâties |
3 300 000 |
Prélèvements sur les recettes de l’État au profit des collectivités territoriales |
44 188 897 951 |
Exposé des motifs
Le présent article évalue les prélèvements sur les recettes de l’État (PSR) au profit des collectivités territoriales en 2025 à un montant de 44,189 Md€. L’évolution par rapport à 2024 s’explique principalement par :
Cet article tire par ailleurs les conséquences de l’extinction, dans un contexte où les prix de l’énergie reviennent à la normale, de deux dispositifs de soutien exceptionnel aux collectivités territoriales créés lors de la crise de l’inflation et des prix de l’énergie :
Les décaissements des soldes dus aux collectivités bénéficiaires étant intervenus respectivement en 2023 et 2024, ces lignes n’ont plus de raison de figurer au sein du tableau d’évaluation présenté au I du présent article pour l’exercice 2025. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 33 :
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A. – Impositions de toutes natures |
B. - Bénéficiaire actuel |
C. - Nouveau bénéficiaire éventuel |
D. - Rendement prévisionnel total 2025* |
Contribution spécifique pour le développement de la formation professionnelle initiale et continue dans les métiers des professions du bâtiment et des travaux publics. |
3CABTP et OPCO Constructys |
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130 983 111 |
Participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) |
Action Logement Services |
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1 870 000 000 |
Fraction affectée du produit du relèvement du tarif de taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) sur le carburant gazole |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
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1 281 042 970 |
Taxe de solidarité sur les billets d’avion |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
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268 000 000 |
Taxe due par les concessionnaires d’autoroutes |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
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751 000 000 |
Taxe sur les exploitants d’infrastructures de transports |
AFITF - Agence de financement des infrastructures de transport de France |
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600 000 000 |
Taxe destinée à financer le développement des actions de formation professionnelle dans les transports routiers |
AFT - Association pour le développement de la formation professionnelle dans les transports |
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62 000 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des " 50 pas géométriques " en Guadeloupe |
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997 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des " 50 pas géométriques " en Martinique |
|
975 000 |
Redevance pour obstacle sur les cours d’eau, redevance pour stockage d’eau en période d’étiage, redevance pour la protection du milieu aquatique, redevance pour pollutions diffuses, redevances pour prélèvement sur la ressource en eau, redevances pour pollution de l’eau, redevances pour modernisation des réseaux de collecte, redevances cynégétiques, droit de validation du permis de chasse |
Agences de l’eau |
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2 161 212 060 |
Contribution patronale au dialogue social (0,016 %) |
FPN – Fonds paritaire national |
AGFPN - Association de Gestion du Fonds Paritaire National |
123 656 000 |
Fraction des produits annuels de la vente de biens confisqués |
AGRASC |
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105 000 000 |
Contribution des employeurs à l’association pour la gestion du régime d’assurance des créances des salariés (AGS) |
AGS - Association pour la gestion du régime d’assurance des créances des salariés |
|
1 747 000 000 |
Droits et contributions pour frais de contrôle |
AMF - Autorité des marchés financiers |
|
132 389 000 |
Recettes issues de la mise aux enchères des « quotas carbone » |
ANAH - Agence nationale de l’habitat |
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1 440 000 000 |
Cotisation versée par les organismes HLM |
ANCOLS - Agence nationale de contrôle du logement social |
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11 334 000 |
Prélèvement sur la participation des employeurs à l’effort de construction (PEEC) |
ANCOLS - Agence nationale de contrôle du logement social |
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6 450 000 |
Contribution spéciale pour la gestion des déchets radioactifs - Conception |
ANDRA - Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs |
|
79 300 000 |
Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base - Recherche |
ANDRA - Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs |
|
63 237 400 |
Taxe pour le développement de la formation professionnelle dans les métiers de la réparation de l’automobile, du cycle et du motocycle |
ANFA - Association nationale pour la formation automobile |
|
28 000 000 |
Contribution sur la cession à un service de télévision des droits de diffusion de manifestations ou de compétitions sportives |
ANS - Agence nationale du sport |
|
59 665 000 |
Prélèvement sur les jeux exploités par la FdJ hors paris sportifs |
ANS - Agence nationale du sport |
État |
289 792 867 |
Prélèvement sur les paris sportifs en ligne de la FdJ et des nouveaux opérateurs agréés |
ANS - Agence nationale du sport |
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213 882 392 |
Redevance sur les produits biocides |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
3 341 000 |
Taxe annuelle portant sur les autorisations de médicaments vétérinaires et les autorisations d’établissements pharmaceutiques vétérinaires |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
4 400 000 |
Taxe annuelle sur la vente des produits phytopharmaceutiques |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
4 179 000 |
Taxe liée aux dossiers de demande concernant les médicaments vétérinaires ou leur publicité |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
5 107 000 |
Taxe relative à la mise sur le marché des produits phytopharmaceutiques et de leurs adjuvants, des matières fertilisantes et de leurs adjuvants et des supports de culture |
ANSéS - Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail |
|
10 000 000 |
Fraction des Prélèvements sociaux sur les jeux prévus aux art. L137-20 à L137-22 du code de la sécurité sociale |
ANSP - Agence nationale de santé publique |
|
5 000 000 |
Droit de timbre pour la délivrance du permis de conduire en cas de perte ou de vol |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
9 000 000 |
Fraction des droits de timbre sur les cartes nationales d’identité |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
26 000 000 |
Fraction des droits de timbre sur les passeports sécurisés |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
359 800 000 |
Taxe pour la gestion des certificats d’immatriculation des véhicules |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
43 400 000 |
Taxe sur les Titres de séjour et de voyage électroniques |
ANTS - Agence nationale des titres sécurisés |
|
21 000 000 |
Taxe sur les exploitants de plateformes de mises en relation par voie électronique en vue de fournir certaines prestations de transport |
ARPE - Autorité des relations sociales des plateformes d’emploi |
|
1 500 000 |
Indemnité de défrichement |
ASP - Agence de services et de paiement |
|
2 000 000 |
Taxe sur la cession à titre onéreux des terrains nus ou des droits relatifs à des terrains nus rendus constructibles du fait de leur classement |
ASP - Agence de services et de paiement |
|
12 000 000 |
Contribution annuelle au fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (FIPH) |
Association de gestion du fonds de développement pour l’insertion professionnelle des handicapés (AGEFIPH) |
|
507 000 000 |
Taxe sur les spectacles perçue au profit de l’Association pour le soutien du théâtre privé |
Association pour le soutien du théâtre privé |
|
8 500 000 |
Contributions pour frais de contrôle |
Banque de France |
|
240 925 000 |
Solde de la taxe d’apprentissage après prise en compte des versements directs des entreprises mentionnés au II de l’article L. 6241-2 du code du travail |
Caisse des dépôts et des consignations |
|
506 048 823 |
Tarif de base de la taxe sur les installations nucléaires concourant à la production d’énergie et assimilées |
État |
CEA – Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives |
830 000 000 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) |
CELRL - Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres |
|
40 000 000 |
Cotisation obligatoire |
Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT) |
|
396 980 060 |
Taxe pour le développement des industries de fabrication du papier, du carton et de la pâte de cellulose. |
Centre technique de l’industrie des papiers, cartons et celluloses |
|
2 800 000 |
Taxe affectée au financement d’un nouveau Centre Technique Industriel de la plasturgie et des composites |
Centres techniques industriels de la plasturgie et des composites |
|
7 440 000 |
Cotisation additionnelle versée par les organismes HLM et les SEM |
CGLLS - Caisse de garantie du logement locatif social |
|
55 000 000 |
Cotisation versée par les organismes HLM et les SEM |
CGLLS - Caisse de garantie du logement locatif social |
|
307 500 000 |
TA-CFE - fraction CCI-R de la Taxe additionnelle à la cotisation foncière des entreprises pour frais de chambres de commerce et d’industrie de région |
Chambres de commerce et d’industrie de région (CCI-R) |
|
280 000 000 |
TA-CVAE - Taxe additionnelle à la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises pour frais de chambres de commerce et d’industrie de région |
Chambres de commerce et d’industrie de région (CCI-R) |
|
245 117 000 |
Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties, pour frais de chambres d’agriculture (TCA-TFPNB) |
Chambres départementales d’agriculture |
|
322 156 800 |
Cotisations (normale et supplémentaire) des entreprises cinématographiques |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
Non chiffrable |
Taxe sur la publicité des vidéos en ligne |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
21 300 000 |
Taxe sur les services d’accès à des contenus audiovisuels à la demande |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
113 500 000 |
Taxe sur les vidéogrammes |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
4 700 000 |
Taxe sur les spectacles cinématographiques |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
150 000 000 |
Taxe sur les services de télévision |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
214 000 000 |
Taxe sur la publicité télévisuelle et autres ressources liées à la diffusion de services de télévision |
CNC - Centre national du cinéma et de l’image animée |
|
265 000 000 |
Taxe sur la diffusion en ligne d’enregistrements phonographiques musicaux ou de vidéomusiques |
CNM - Centre national de la musique |
|
18 000 000 |
Taxe sur les spectacles de variétés |
CNM - Centre national de la musique |
|
53 150 000 |
Taxe pour le développement des industries de l’habillement |
Comité de développement et de promotion de l’habillement - DEFI |
|
9 950 000 |
Cotisation obligatoire |
Comité de gestion des œuvres sociales des personnels hospitaliers (CGOS) |
|
498 330 000 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Comité national des pêches maritimes et des élevages marins |
|
4 402 832 |
Rémunération pour services rendus au comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers |
Comité professionnel des stocks stratégiques pétroliers |
|
596 610 000 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Comités départementaux et interdépartementaux des pêches maritimes et des élevages marins |
Comités régionaux des pêches maritimes et des élevages marins |
1 945 451 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Comités régionaux des pêches maritimes et des élevages marins |
|
3 924 991 |
TA-CFE - fraction CRMA de la Taxe additionnelle à la cotisation foncière des entreprises pour frais de chambre régionale de métiers et d’artisanat |
CRMA (incl. Alsace et Moselle) |
|
229 280 090 |
Taxe pour le développement des industries du cuir, de la maroquinerie, de la ganterie et de la chaussure |
CTC - Comité professionnel de développement Cuir, Chaussure, Maroquinerie |
|
18 781 000 |
Taxe pour le développement de l’industrie de la conservation des produits agricoles (CTCPA) |
CTCPA - Centre technique de la conservation des produits agricoles |
|
Non chiffrable |
Taxe pour le développement des industries de la mécanique et de la construction métallique, des matériels et consommables de soudage et produits du décolletage, de construction métallique et des matériels aérauliques et thermiques |
CTI de l’Industrie : CT des indus. mécaniques (CETIM), CT de l’industrie du décolletage (CTDEC), CTI de la construction métallique (CTICM), CT des indus. aérauliques et thermiques (CETIAT), et Institut de Soudure |
|
115 100 000 |
Taxe sur les produits de la fonderie |
CTI de l’Industrie : CT des indus. mécaniques (CETIM), CT de l’industrie du décolletage (CTDEC), CTI de la construction métallique (CTICM), CT des indus. aérauliques et thermiques (CETIAT), et Institut de Soudure |
|
7 440 000 |
Taxe pour le développement des industries de l’ameublement ainsi que des industries du bois |
CTI de la filière Bois - Comité professionnel de développement des industries françaises de l’ameublement et du bois (CODIFAB); Institut technologique FCBA (Filière cellulose, bois, ameublement); Centre technique de la mécanique (CETIM) |
|
13 070 000 |
Taxe pour le développement des industries des matériaux de construction regroupant les industries du béton, de la terre cuite et des roches ornementales et de construction |
CTI des matériaux : Centre d’étude et de recherche de l’industrie du béton (CERIB); Centre technique de matériaux naturels de construction (CTMNC) |
|
15 000 000 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public d’aménagement en Guyane |
|
4 292 420 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier d’Occitanie |
|
34 984 640 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Bretagne |
|
9 088 420 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Grand-Est |
|
13 113 790 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de l’Ouest Rhône-Alpes |
|
21 589 630 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de la région Île-de-France |
|
151 658 240 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Mayotte |
|
3 059 630 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Normandie |
|
11 609 590 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Nouvelle-Aquitaine |
|
25 878 780 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Provence-Alpes-Côte d’Azur |
|
47 152 310 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier de Vendée |
|
8 578 300 |
Taxes spéciales d’équipement |
Établissement public foncier des Hauts de France |
|
18 872 260 |
Contribution vie étudiante et campus |
Établissements publics d’enseignement supérieur, établissements mentionnés aux articles L. 443-1 et L. 753-1 du code de l’éducation ou à l’article L. 1431-1 du code général des collectivités territoriales dispensant des formations initiales d’enseignement supérieur, établissements d’enseignement supérieur privés d’intérêt général et centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires |
|
176 283 341 |
Contribution des assurés |
FGAO - Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages |
|
109 506 698 |
Contribution annuelle à la charge des professionnels de santé |
FAPDS – Fonds de garantie des dommages consécutifs à des actes de prévention, de diagnostic ou de soins |
Caisse centrale de réassurance ou une de ses filiales |
Non chiffrable |
Prélèvement sur les contrats d’assurance de biens |
FGTI - Fonds de garantie des victimes d’actes terroristes et autres infractions |
|
672 336 479 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) |
Filière de responsabilité élargie du producteur (REP) relative aux navires de plaisance et de sport hors d’usage (NPSHU) |
|
900 000 |
Contribution employeurs |
FNAL – Fonds national d’aide au logement |
État |
2 985 000 000 |
Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement |
FNAL – Fonds national d’aide au logement |
État |
24 200 000 |
Contributions additionnelles aux primes ou cotisations afférentes à certaines conventions d’assurance |
FNGRA - Fonds national de gestion des risques en agriculture et fonds de calamités agricoles dans les départements d’outre-mer |
Caisse centrale de réassurance ou une de ses filiales |
Non chiffrable |
Contribution annuelle au fonds de développement pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) |
FIPHP – Fonds pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique |
|
130 000 000 |
Fraction du prélèvement sur les jeux de loterie correspondant aux jeux dédiés au patrimoine |
Fondation du patrimoine |
|
27 854 454 |
Droit affecté au fonds d’indemnisation de la profession d’avoués près les cours d’appel |
Fonds d’indemnisation de la profession d’avoués près les cours d’appel |
|
26 200 000 |
Quote-part des intérêts servis par la Caisse des dépôts et consignations sur les fonds déposés en application des articles L. 622-18, L. 626-25 et L. 641-8 du code de commerce |
FFDI - Fonds de financement des dossiers impécunieux |
État |
54 000 000 |
Tarif de solidarité de la taxe sur les billets d’avion |
FSD – Fonds de solidarité pour le développement |
État |
210 000 000 |
Taxe sur les transactions financières |
FSD – Fonds de solidarité pour le développement |
État |
1 868 000 000 |
IFER éoliennes |
Fonds national de compensation de l’énergie éolienne en mer (Communes, Comité national de la pêche, activités maritimes) |
|
Non chiffrable |
Contribution conventionnelle à la formation pour les entreprises de travail temporaire |
Fonds pour l’emploi du travail temporaire |
|
68 500 000 |
Contribution spécifique à la formation professionnelle pour Saint-Pierre et Miquelon |
France compétences |
|
344 906 |
Contribution supplémentaire à l’apprentissage |
France compétences |
|
190 917 674 |
Contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance |
France compétences |
|
10 620 466 270 |
PEFPC : CPF CDD (ex-CIF-CDD) : 1 % des salaires versés, ou moins en cas d’accord de branche |
France compétences |
|
317 152 282 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des intermittents correspondant au minimum à 2 % des rémunérations versées |
France compétences |
|
67 872 543 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (à l’exception des artisans et des exploitants agricoles) correspondant à 0,25 % du montant annuel du plafond de la sécurité sociale |
France compétences |
|
202 978 558 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (artisans) correspondant à 0,29 % du montant annuel du plafond de la sécurité sociale, dont micro entrepreneurs |
France compétences |
|
94 534 025 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Artistes auteurs) correspondant au minimum à 0,1 % au du montant annuel du plafond de la SS |
France compétences |
|
13 068 864 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Entreprises du Vivant, agriculture) correspondant à 0,30 % des revenus professionnels ou de l’assiette forfaitaire déterminés à l’article L. 731-16 du code rural et de la pêche maritime |
France compétences |
|
60 364 108 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Particuliers employeurs) correspondant au minimum à 0,15 % au du montant annuel du plafond de la SS |
France compétences |
|
18 801 437 |
PEFPC : Participation au financement de la formation des professions non salariées (Pêche et culture) correspondant au minimum à 0,15 % au du montant annuel du plafond de la SS |
France compétences |
|
485 833 |
Redevances sur les paris hippiques |
France Galop et la société d’encouragement à l’élevage du cheval français (SECF) |
|
62 419 969 |
Certificats sanitaires et phytosanitaires |
FranceAgriMer |
|
840 000 |
Taxe pour le développement des industries de l’horlogerie, bijouterie, joaillerie, orfèvrerie et arts de la table |
Francéclat |
|
19 500 000 |
Contribution sociale généralisée (CSG) |
FSV |
|
22 619 971 948 |
TA-TINB - Taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base dite « Accompagnement » |
Groupements d’intérêt public « Objectif Meuse » et « Haute-Marne » et Communes concernées |
|
Non chiffrable |
Contribution annuelle acquittée par les personnes inscrites comme commissaires aux comptes, et droit fixe sur chaque rapport de certification des comptes, et contribution de la compagnie nationale des commissaires aux comptes |
H2A - Haute autorité de l’audit |
|
17 200 000 |
Droit sur les produits bénéficiant d’une appellation d’origine ou d’une indication géographique protégée (INAO) |
INAO - Institut national de l’origine et de la qualité |
|
6 800 000 |
Redevances perçues à l’occasion des procédures et formalités en matière de propriété industrielle ainsi que de registre du commerce et des sociétés, établies par divers textes |
INPI - Institut national de la propriété industrielle |
|
170 000 000 |
Contribution annuelle au profit de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire |
IRSN - Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire |
État |
Non chiffrable |
Taxe affectée au financement de l’institut des corps gras |
ITERG - Institut des corps gras |
|
602 515 |
Contribution annuelle des agences de l’eau |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
Entre 417 600 000 et 464 600 000 |
Droit d’examen du permis de chasse |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
600 000 |
Redevance pour délivrance initiale du permis de chasse |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
900 000 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
OFB - Office français de la biodiversité |
|
2 935 221 |
Redevance perçue à l’occasion de l’introduction des familles étrangères en France |
OFII - Office français de l’immigration et de l’intégration |
|
800 000 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) |
Organismes de secours et de sauvetage en mer agréés (art. L. 742-9 code de la sécurité intérieure) |
|
4 000 000 |
Taxe annuelle sur les engins maritimes à usage personnel (TAEMUP) – Fraction perçue sur les engins ne battant pas pavillon français |
Organismes de secours et de sauvetage en mer agréés (art. L. 742-9 code de la sécurité intérieure) |
|
160 000 |
Taxe sur les installations de production d’électricité utilisant l’énergie mécanique du vent situées dans les eaux intérieures ou la mer territoriale |
Organismes de secours et de sauvetage en mer agréés (art. L742-9 code de la sécurité intérieure) |
|
1 467 611 |
Taxe sur les passagers maritimes embarqués à destination d’espaces naturels protégés |
Personne publique assurant la gestion de l’espace naturel protégé concerné ou la commune d’implantation de l’espace naturel protégé |
|
4 500 000 |
Taxe sur les nuisances sonores aériennes |
Personnes publiques ou privées exploitant des aérodromes pour lesquels : - le nombre annuel des mouvements d’aéronefs de masse maximale au décollage supérieure ou égale à 20 tonnes a dépassé 20 000 lors de l’une des cinq années civiles précédentes, - ou le nombre annuel des mouvements d’aéronef de masse maximale au décollage supérieure ou égale à 2 tonnes a dépassé 50 000 lors de l’une des 5 années civiles précédentes, si les plans d’exposition au bruit ou de gêne sonore de cet aérodrome possèdent un domaine d’intersection avec les plans d’exposition au bruit ou de gêne sonore d’un aérodrome présentant les caractéristiques définies au tiret précédent. |
|
50 160 000 |
Imposition forfaitaire sur le matériel roulant circulant sur le réseau de transport ferroviaire et guidé géré par la RATP - IFER-STIF RATP |
SGP - Société des Grands projets |
|
85 358 674 |
Taxe additionnelle régionale de 15 % à la taxe de séjour IDF |
SGP - Société des Grands projets |
|
20 000 000 |
Taxe annuelle sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux, les locaux de stockage et les surfaces de stationnement annexées à ces catégories de locaux perçue dans la région Île-de-France |
SGP - Société des Grands projets |
|
782 000 000 |
Taxe spéciale d’équipement au profit de l’établissement public Société des Grand Projets |
SGP - Société des Grands projets |
|
67 100 000 |
Taxe sur les surfaces de stationnement |
SGP - Société des Grands projets |
|
18 025 440 |
Cotisation BTP intempéries |
UCF CIBTP - Union des caisses de France |
|
128 325 577 |
Contribution sociale généralisée (CSG) |
UNEDIC |
|
18 100 000 000 |
Redevance hydraulique |
VNF - Voies navigables de France |
|
143 100 000 |
A. - Impositions de toutes natures ou ressources affectées |
B. - Bénéficiaire |
C. - Plafond |
Articles L. 312-1 à L. 312-107 du code des impositions sur les biens et services (création) et article L. 1512-20 du code des transports (affectation) |
Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) |
1 281 042 970 |
2° de l’article L. 422-20 et article L. 422-22 du code des impositions sur les biens et services (création) et article L. 1512-20 du code des transports (affectation) |
AFITF |
270 000 000 |
Article L. 421-175 du code des impositions sur les biens et services (création) et article L. 1512-20 du code des transports (affectation) |
AFITF |
566 667 000 |
Articles L. 425-1 (création) et L. 425-20 (affectation) du code des impositions sur les biens et services |
AFITF |
600 000 000 |
Article 1609 C du code général des impôts |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des cinquante pas géométriques en Guadeloupe |
997 000 |
Article 1609 D du code général des impôts |
Agence pour la mise en valeur des espaces urbains de la zone dite des cinquante pas géométriques en Martinique |
975 000 |
Articles L. 213-10 à L. 213-10-12 du code de l’environnement, articles L. 423-19 et L. 423-20 du même code et article 1635 bis N du code général des impôts |
Agences de l’eau |
2 347 620 000 |
Article 706-163 du code de procédure pénale |
Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC) |
9 900 000 |
Articles L. 621-5-3 et L. 621-5-4 du code monétaire et financier |
Autorité des marchés financiers (AMF) |
126 000 000 |
Article 43 de la loi n° 2012-1509 du 29 décembre 2012 de finances pour 2013 |
Agence nationale de l’habitat (ANAH) |
700 000 000 |
Article L. 313-3 du code de la construction et de l’habitation (création) et 1° de l’article L. 342-21 du même code (affectation) |
Agence nationale de contrôle du logement social (ANCOLS) |
6 450 000 |
2° de l’article L. 342-21 du code de la construction et de l’habitation |
ANCOLS |
11 334 000 |
V de l’article 43 de la loi de finances pour 2000 (n° 99-1172 du 30 décembre 1999) |
Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (ANDRA) |
55 000 000 |
Article 302 bis ZE du code général des impôts (création) et article 59 de la loi de finances pour 2000 (n° 99-1172 du 30 décembre 1999) (affectation) |
Agence nationale du sport (ANS) |
59 665 000 |
Article 1609 tricies du code général des impôts |
ANS |
100 444 000 |
II de l’article L. 5141-8 du code de la santé publique |
Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) |
5 000 000 |
Article L. 253-8-2 du code rural et de la pêche maritime |
ANSES |
4 200 000 |
I de l’article L. 5141-8 du code de la santé publique |
ANSES |
6 000 000 |
Article 130 de la loi n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 de finances pour 2007 |
ANSES |
15 000 000 |
Article L. 137-24 du code de la sécurité sociale |
Agence nationale de santé publique (ANSP) |
5 000 000 |
Articles L. 421-168 à L. 421-174 du code des impositions sur les biens et services |
Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) |
7 000 000 |
Article 46-1 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 (article 1628 bis du code général des impôts) |
ANTS |
12 000 000 |
Article 46-1 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 (I de l’article 953 du code général des impôts) |
ANTS |
217 043 000 |
VI de l’article 135 de la loi n° 2008-1425 du 27 décembre 2008 de finances pour 2009 |
ANTS |
36 200 000 |
Article 46-1 de la loi n° 2011-1977 du 28 décembre 2011 de finances pour 2012 (IV de l’article 953 du code général des impôts et article L. 436-7 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile) |
ANTS |
14 490 000 |
Article L. 5212-9 du code du travail |
Association de gestion du fonds pour l’insertion professionnelle des personnes handicapées (FIPH) |
457 000 000 |
Article 300 bis du code général des impôts |
Autorité des relations sociales des plateformes d’emploi (ARPE) |
1 500 000 |
Article L. 341-6 du code forestier |
Agence de services et de paiement (ASP) |
2 000 000 |
Article 1605 nonies du code général des impôts |
ASP |
12 000 000 |
Article 77 de la loi de finances rectificative pour 2003 (n° 2003-1312 du 30 décembre 2003) |
Association pour le soutien du théâtre privé |
8 000 000 |
Article L. 612-20 du code monétaire et financier |
Banque de France |
220 000 000 |
Article L. 361-2 du code rural et de la pêche maritime. |
Caisse centrale de réassurance ou une de ses filiales |
120 000 000 |
Article XX de la loi n° XXXX-XXX du XXXX de finances pour 2025 |
Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) |
240 000 000 |
Article L. 423-4 du code des impositions sur les biens et services et article L. 322-15 du code de l’environnement |
Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres (CELRL) |
40 000 000 |
II de l’article 1600 du code général des impôts |
CCI France |
280 000 000 |
2 du III de l’article 1600 du code général des impôts |
CCI France |
205 117 000 |
Article 1604 du code général des impôts |
Chambres d’agriculture |
322 156 800 |
Article 1609 sexdecies C du code général des impôts |
Centre national de la musique (CNM) |
18 000 000 |
Article 76 de la loi de finances rectificative pour 2003 (n° 2003-1312 du 30 décembre 2003) |
CNM |
50 000 000 |
Article 1601 du code général des impôts et article 3 de la loi n° 48-977 du 16 juin 1948 relative à la taxe pour frais de chambre de métiers applicable dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle |
Chambres de métiers et de l’artisanat |
162 899 000 |
Article 72 de la loi de finances rectificative pour 2003 (n° 2003-1312 du 30 décembre 2003) |
Centre technique de la conservation des produits agricoles (CTCPA) |
2 900 000 |
Article 1609 B du code général des impôts |
Établissement public foncier et d’aménagement de Guyane |
3 938 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier d’Occitanie |
32 096 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Bretagne |
8 338 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Grand-Est |
12 031 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de l’Ouest Rhône-Alpes |
19 807 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier d’Île-de-France |
139 136 000 |
Article 1609 B du code général des impôts |
Établissement public foncier et d’aménagement de Mayotte |
2 807 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Normandie |
10 651 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Nouvelle-Aquitaine |
23 742 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Provence-Alpes-Côte d’Azur |
43 259 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Vendée |
7 870 000 |
Articles 1607 ter du code général des impôts (création) et L. 321-1 du code de l’urbanisme (affectation) |
Établissement public foncier de Hauts-de-France |
17 314 000 |
Article L. 841-5 du code de l’éducation |
Établissements mentionnés au I de l’article L. 841-5 du code de l’éducation |
178 000 000 |
Article L. 6131-2 du code du travail |
France compétences |
10 620 466 270 |
2° de l’article L. 6331-48 du code du travail |
France compétences |
105 000 000 |
Article L. 236-2 du code rural et de la pêche maritime |
FranceAgriMer |
2 000 000 |
Article L. 820-10 du code de commerce |
Haute autorité de l’audit (H2A) |
19 400 000 |
Article L. 642-13 du code rural et de la pêche maritime |
Institut national de l’origine et de la qualité (INAO) |
7 500 000 |
Premier alinéa de l’article L. 411-2 du code de la propriété intellectuelle |
Institut national de la propriété industrielle (INPI) |
94 000 000 |
Articles L. 423-5 et L. 423-37 du code des impositions sur les biens et services et 1° de l’article L. 742-11-2 du code de la sécurité intérieure |
Organismes mentionnés à l’article L. 742-9 du code de la sécurité intérieure |
4 000 000 |
Articles L. 423-5 et L. 423-37 du code des impositions sur les biens et services et 2° de l’article L. 742-11-2 du code de la sécurité intérieure |
Organismes mentionnés à l’article L. 742-9 du code de la sécurité intérieure |
4 000 000 |
Article L. 422-49 du code des impositions sur les biens et services (création) et article L. 422-57 du même code (affectation) |
Personnes publiques ou privées exploitant des aérodromes |
55 000 000 |
Article 1599 quater A bis du code général des impôts |
Société des Grand projets (SGP) |
90 000 000 |
Article L. 2531-17 du code général des collectivités territoriales |
SGP |
20 000 000 |
Article 231 ter du code général des impôts (création) et 2° du A du XI de l’article 36 de la loi n° 2016-1917 du 29 décembre 2016 de finances pour 2017 (affectation) |
SGP |
782 000 000 |
Article 1609 G du code général des impôts |
SGP |
67 100 000 |
Article 1599 quater C du code général des impôts |
SGP |
30 000 000 |
1° de l’article L. 4316-1 du code des transports |
Voies navigables de France (VNF) |
143 100 000 |
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet d’assurer le contrôle et le suivi des ressources publiques affectées à des personnes morales distinctes de l’État. En effet, de nombreux opérateurs de l’État et organismes chargés de missions de service public sont financés, partiellement ou intégralement, par des impositions de toutes natures qui leur ont été directement affectées en application des articles 2 et 36 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF). Pour ce faire, le présent article :
Après prise en compte des dispositions du présent article, le total des ressources affectées plafonnées s’établit pour 2025 à 21,1 Md€. Dans le cadre du budget 2025, les ressources affectées et plafonnées diminuent de 719,3 M€. Cette modulation découle :
Par ailleurs, l’article prévoit une normalisation de la trésorerie du Centre national du cinéma au titre de l’année 2025. Enfin, la loi organique n° 2021-1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a renforcé les règles applicables aux affectations d’impositions de toutes natures de la LOLF. L’article 2 de la LOLF modifiée introduit de nouveaux critères : le tiers affectataire doit désormais être doté de la personnalité morale et il doit exister un lien entre sa mission de service public et l’imposition qui lui est affectée. Ces dispositions entrent en vigueur à compter du dépôt du projet de loi de finances pour 2025. À cet effet, sont mises en conformité les affectations de taxes suivantes :
|
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 34 :
|
Exposé des motifs
L’article 16 de la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances dispose que « [c]ertaines recettes peuvent être directement affectées à certaines dépenses. Ces affectations prennent la forme de budgets annexes, de comptes spéciaux ou de procédures comptables particulières au sein du budget général, d’un budget annexe ou d’un compte spécial. » Le 3° du I de l’article 34 de la même loi organique prévoit que la loi de finances de l’année comporte « toutes dispositions relatives aux affectations de recettes au sein du budget de l’État ». En conséquence, l’objet de cet article est de confirmer pour 2025 les affectations résultant des lois de finances antérieures, sous réserve des dispositions de la présente loi. |
ARTICLE 35 :
|
Exposé des motifs
Le présent article vise à instaurer un mécanisme d’avances remboursables pour les collectivités régies par les articles 73, 74 et 76 de la Constitution. Le versement de ces avances est subordonné à la conclusion d’une convention avec les administrations concernées des ministères en charge des finances et de l’outre-mer voire des collectivités territoriales prévoyant les modalités de remboursement encadrées et, le cas échéant, un protocole d’accompagnement. Ces avances permettront notamment d’aider par le versement de subventions des organismes gérant des services publics situés sur le territoire de ces collectivités et qui ne peuvent, en vertu des textes qui les régissent, recourir à l’emprunt. Comme les avances du régime qui existait sous l’empire de l’article 34 de la loi n° 53-1336 du 31 décembre 1953 relative aux comptes spéciaux du Trésor pour l’année 1954, ces concours financiers de l’État sont retracés au sein du programme 832 désormais intitulé « Avances aux collectivités et établissements publics, à la Nouvelle-Calédonie et aux collectivités régies par l’article 74 de la Constitution », tel qu’établi par le II de l’article 46 de la loi n° 2005-1719 du 30 décembre 2005 de finances pour 2006. Il abroge également l’article 34 de la loi du 31 décembre 1953 dont la majeure partie des dispositions était devenue caduque après l’adoption de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (notamment son article 24). |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 36 :
|
Exposé des motifs
Cet article constitue le volet budgétaire de la réforme du financement du compte d’affectation spéciale (CAS) Financement des aides aux collectivités pour l’électrification rurale (Facé). Cette réforme fait également l’objet de mesures fiscales dédiées, prévoyant, à des fins de simplification, la suppression de la contribution dite « Facé », ainsi que la majoration de l’accise sur l’électricité. Afin de permettre la poursuite du financement du CAS Facé, l’article présenté ici remplace donc la référence à la contribution devant être supprimée par la mention de la fraction du produit de l’accise sur l’électricité qui le financera désormais. Le montant des recettes du CAS Facé est défini en loi de finances (377 M€ en 2024). Les modalités de versement (chronique, échéances, etc.) seront précisées par voie réglementaire. |
ARTICLE 37 :
|
Exposé des motifs
Le présent article a pour objectif d’affecter une partie des recettes de la première section du compte d’affectation spéciale (CAS) « Contrôle de la circulation et du stationnement routier » à l’Agence nationale du traitement automatisé des infractions (ANTAI). Cette affectation vise à financer les dépenses supportées par l’ANTAI liées à la mise en œuvre de l’article 53 de la loi n° 2022-217 du 21 février 2022 relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l’action publique (dite loi « 3DS »), qui ouvre aux collectivités et à leurs groupements la possibilité d’installer des dispositifs de contrôle automatisé. Afin de rendre effective cette disposition, la délégation à la sécurité routière (DSR) prépare un marché qui permettra à toutes les collectivités d’acheter un service complet comprenant la mise à disposition des équipements de terrain, les travaux de génie civil, les services permettant l’acheminement des messages d’infraction à l’ANTAI et au centre national de traitement. La mise en œuvre des dispositifs de contrôle impliquera que l’ANTAI supporte des coûts, liés notamment au développement d’une chaîne dédiée de traitement informatique des messages d’infraction en vue d’adresser les contraventions aux titulaires du certificat d’immatriculation, ainsi qu’à la hausse des dépenses d’éditique et d’affranchissement imputables à la production et l’envoi des avis des contraventions. La fraction des produits des amendes forfaitaires revenant aux collectivités reste inchangée. Par ailleurs, le présent article diminue le plafond de recettes affectées à la section 1 du CAS, afin de l’ajuster au niveau du plafond de dépenses prévu en projet de loi de finances pour 2025 et ainsi éviter tout report systématique de crédits. Enfin, il supprime une disposition traitant du solde de la fin de l’année 2010 du CAS tel qu’il résultait de la rédaction de l’article avant la loi n° 2010-1657 du 29 décembre 2010 de finances pour 2011, dans un objectif d’intelligibilité et de lisibilité de la norme. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 38 :
|
Exposé des motifs
Le présent article ajuste la fraction de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) affectée à la sécurité sociale afin de garantir la neutralité financière de plusieurs mouvements entre l’État et la sécurité sociale en 2025. La fraction de TVA affectée à la sécurité sociale s’élève ainsi à 28,14 % pour 2025, correspondant à un montant prévisionnel de 60,52 Md€. Cette fraction intègre la prise en compte de la réforme des allègements généraux de cotisations patronales, en cohérence avec la réforme paramétrique portée dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 et qui aura vocation à préfigurer une réforme plus structurelle du dispositif en 2026. Cette réforme devrait entraîner, toutes choses égales par ailleurs, un rendement brut de 5 Md€ pour les régimes obligatoires de base de la sécurité sociale avec des effets de bord pour le budget général, liés notamment à la baisse des recettes attendues au titre de l’impôt sur les sociétés, évaluées à 1 Md€. Le présent article procède à une minoration de la TVA transférée aux administrations de sécurité sociale à due concurrence de cette perte de recettes afin de neutraliser l’effet de la réforme pour le budget général, portant à 4 Md€ le rendement net de la réforme pour les régimes obligatoires de base de la sécurité sociale en 2025. Ces gains sont attribués aux branches vieillesse, maladie et famille. La fraction de TVA affectée à la sécurité sociale pour 2025 intègre également des mesures de périmètre pour un montant de 84 M€ :
Cette fraction de TVA est par ailleurs minorée d’un montant de 3,35 Md€ afin de traduire, pour 2025, la reprise de ce montant au titre des excédents de l’Unedic, conformément à la chronique pluriannuelle de reprise fixée dans l’arrêté du 27 décembre 2023. Cette reprise est due à la situation excédentaire du régime d’assurance chômage dès 2022 et pour les années suivantes, liée à la politique de baisse du coût du travail dont procèdent les allègements généraux instaurés en 2019, ainsi qu’aux réformes du régime mises en place depuis 2021 concernant notamment le mode de calcul et la durée de l’allocation d’aide au retour de l’emploi. Ainsi, l’ensemble de ces politiques et réformes ont permis une amélioration du marché de l’emploi, avec 1,7 million de création d’emplois entre 2017 et 2023. Le montant total de la TVA transférée s’élèvera au total à 57,2 Md€ en intégrant cette minoration. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 39 :
|
Exposé des motifs
Les missions régaliennes de sûreté-sécurité dans les aéroports français sont réalisées par les exploitants d’aéroports ; à ce titre ceux-ci perçoivent des recettes fiscales dédiées, afin de couvrir le coût du financement de leurs missions régaliennes de sécurité et sûreté (services de sécurité-incendie-sauvetage, de lutte contre le péril animalier, sûreté ainsi que contrôles environnementaux), conformément à l’article L. 6328-3 du code des transports. Ces recettes fiscales résultent du tarif de sûreté-sécurité (T2S) de la taxe sur le transport aérien de passagers (TTAP)[1] et de la taxe sur le transport aérien de marchandises (TTAM)[2], ainsi que du tarif de péréquation aéroportuaire, pour certains aérodromes de classe 3 en complément de leurs recettes, et pour l’ensemble des aérodromes de classe 4 (unique ressource)[3]. Le montant du tarif de sûreté-sécurité est défini annuellement pour chaque aéroport, à partir des coûts des missions régaliennes éligibles à un financement via ce dispositif et des prévisions de trafic au départ pour chaque aéroport. Le tarif de péréquation est identique pour l’ensemble des aéroports, il s’élevait à 1 € par passager à compter du 1er avril 2024.
Dans le cadre de ce dispositif de financement, les aérodromes ou groupements d’aérodromes sont classés en 4 classes, déterminées selon leur volume de trafic, conformément à l’article L. 6328-2 du code des transports :
Avant la période de la crise sanitaire liée à l’épidémie de COVID‑19, la hausse des recettes portée par la croissance du trafic restait supérieure à celle du coût des activités régaliennes, ce qui permettait de contenir le niveau de taxation rapporté au passager et d’assurer l’équilibre du dispositif, équilibre fortement perturbé par la crise sanitaire et la chute du trafic. Durant la crise sanitaire, l’État a consenti aux aéroports trois séries d’avances remboursables entre 2020 et 2022, pour un montant total de 700 M€, afin de leur permettre d’assurer la continuité de l’exploitation, et notamment le maintien de mesures minimales de sûreté. Le remboursement du capital de ces avances débute en 2024, dans un contexte d’inflation des dépenses de sûreté-sécurité, et alors que certains aéroports n’ont pas retrouvé un niveau de trafic égal à celui d’avant la crise COVID.
C’est dans ce contexte de déséquilibre du financement des missions régaliennes des aérodromes que sont proposées dans le projet de loi de finances pour 2025 deux mesures relatives au dispositif de financement via le T2S.
Il est ainsi proposé de modifier deux articles du code des transports (articles L. 6328-3 et L. 6328-7), afin d’inciter les exploitants d’aérodromes ou de groupements d’aérodromes à une meilleure maîtrise de leurs coûts de sécurité et de sûreté par :
Le présent article modifie en premier lieu le taux des dépenses éligibles par des recettes fiscales prévu par l’article L. 6328-3 du code des transports pour les aérodromes des classes 1 et 2 dont le coût par passager dépasse 9 € au titre de chacune des quatre dernières années civiles connues, afin de le réduire de 94 % à 90 %. La baisse de la couverture par des recettes du T2S des dépenses de sécurité et sûreté à 90 % des coûts éligibles vise d’une part à renforcer l’incitation pour les exploitants aéroportuaires concernés à la maîtrise des coûts des missions d’intérêt général qui leur sont confiées. En l’absence de cette mesure, le tarif T2S devrait être augmenté pour les aéroports concernés. Le présent article conduit donc à limiter ce rehaussement.
Le présent article modifie également, à compter du 1er janvier 2027, les règles en matière de règlement du solde du T2S lors du changement d’exploitant (notamment en fin de concession) afin d’aligner le régime des aérodromes de la classe 3 sur celui des aérodromes des classes 1 et 2. Actuellement (conformément à l’article L.6328-7 du code des transports) l’apurement des soldes négatifs accumulés sur le financement des missions régaliennes pour les aéroports de classes 3 et 4 est financé par le compte de réserve (alimenté par une fraction du produit du tarif de péréquation aéroportuaire). Après la modification proposée, le déficit accumulé serait repris par l’exploitant entrant, et l’affectation du compte de réserve serait restreinte à la reprise du déficit de T2S des aéroports de classe 4. Cette mesure a pour but de réduire la charge pour le dispositif T2S en cas de changement d’exploitant pour un aérodrome de classe 3 (déficit transféré à l’exploitant entrant). Parallèlement, cet alignement de la gestion des changements de concession entre les aérodromes de classes 1 et 2 et classe 3 serait de nature à inciter les exploitants à une meilleure maîtrise des coûts, dans un contexte de déséquilibre des comptes de T2S depuis la crise sanitaire. Une entrée en vigueur différée au 1er janvier 2027 est prévue afin de donner de la visibilité sur les règles applicables aux personnes publiques délégantes d’aérodromes et aux exploitants d’aérodromes (privés et publics) et pour éviter une modification des conditions de la nouvelle concession alors que des dossiers de remise en concession d’aérodromes ont été initiés.
[1] 3° de l’article L. 422-20 du code des impositions sur les biens et les services (CIBS). [2] Article L. 422-45 CIBS. [3] 4° de l’article L. 422-20 CIBS. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 40 :
|
Exposé des motifs
Pour 2025, la contribution de la France au budget de l’Union européenne est évaluée à 23 321 M€. Cette contribution prend la forme d’un prélèvement sur les recettes de l’État (PSR). Le budget de l’Union est financé par quatre types de ressources : les ressources propres dites traditionnelles (droits de douane), collectées par les États membres pour le compte de l’Union ; une ressource assise sur une assiette de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) harmonisée ; une contribution assise sur la part d’emballages plastiques non recyclés, introduite dans le cadre de la programmation 2021-2027 ; et enfin une ressource, qualifiée d’équilibre, fonction du revenu national brut (RNB) de chaque État membre. Le budget européen pour 2025 est le cinquième du cadre financier pluriannuel (CFP) portant sur les années 2021 à 2027. Le CFP 2021-2027 a fait l’objet d’une révision à mi-parcours adoptée le 29 février 2024, afin de renforcer le financement de priorités telles que le soutien à l’Ukraine, les technologies stratégiques et les migrations. Ce cadre prévoit désormais un plafond global de dépenses de 1 221 Md€ courants en crédits d’engagement sur sept ans. Ce montant est revu annuellement sous l’effet des rehaussements d’engagement introduits par l’article 5 du règlement 2020/2093 du Conseil du 17 décembre 2020 fixant le cadre financier pluriannuel pour les années 2021 à 2027. Le PSR-UE est évalué en fonction des prévisions de recettes et de dépenses du projet de budget de l’Union européenne pour 2025. S’agissant des dépenses, l’estimation repose sur la prévision de dépenses du budget de l’Union européenne pour 2025, fondée notamment sur le niveau de crédits de paiement inscrits dans le projet de budget 2025 présenté par la Commission européenne le 19 juin 2024 qui intègre les effets de la révision à mi-parcours du CFP 2021-2027. S’agissant des recettes, les montants des ressources assises sur la TVA, le revenu national brut et les déchets plastiques non recyclés, reposent sur les données prévisionnelles de la Commission issues du comité consultatif des ressources propres de mai 2024. Les différents mécanismes de correction, qu’il s’agisse de ceux introduits pour la ressource plastique ou des corrections forfaitaires sur les contributions de l’Autriche, de l’Allemagne, du Danemark, des Pays-Bas et de la Suède, sont intégrés à l’estimation. Celle-ci intègre enfin l’hypothèse que le Royaume-Uni s’acquittera de ses obligations financières, ainsi que le prévoit l’accord de retrait entré en vigueur le 31 janvier 2020. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 41 :
|
(en millions d'euros*) |
RESSOURCES dont fonctionnement dont investissement |
CHARGES dont fonctionnement dont investissement |
SOLDE |
||||
Budget général |
|
|
|
|
|
|
|
Recettes fiscales** / dépenses*** |
357 607 |
357 607 |
|
451 294 |
421 628 |
29 667 |
|
Recettes non fiscales |
20 549 |
13 328 |
7 220 |
|
|
|
|
Recettes totales / dépenses totales |
378 156 |
370 936 |
7 220 |
451 294 |
421 628 |
29 667 |
|
À déduire : Prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l'Union européenne |
67 510 |
67 510 |
|
|
|
|
|
Montants nets pour le budget général |
310 646 |
303 426 |
7 220 |
451 294 |
421 628 |
29 667 |
-140 648 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits |
6 150 |
4 446 |
1 704 |
6 150 |
4 446 |
1 704 |
|
Montants nets pour le budget général, y compris fonds de concours |
316 797 |
307 872 |
8 924 |
457 445 |
426 074 |
31 371 |
|
Budgets annexes |
|
|
|
|
|
|
|
Contrôle et exploitation aériens |
2 656 |
2 656 |
|
2 364 |
2 089 |
276 |
+292 |
Publications officielles et information administrative |
181 |
181 |
|
151 |
135 |
15 |
+30 |
Totaux pour les budgets annexes |
2 837 |
2 837 |
|
2 515 |
2 224 |
291 |
+323 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits : |
|
|
|
|
|
|
|
- Contrôle et exploitation aériens |
19 |
15 |
4 |
19 |
15 |
4 |
|
- Publications officielles et information |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
|
Totaux pour les budgets annexes y compris fonds de concours |
2 857 |
2 853 |
4 |
2 534 |
2 239 |
295 |
|
Comptes spéciaux |
|
|
|
|
|
|
|
Comptes d'affectation spéciale |
79 718 |
70 149 |
9 569 |
80 763 |
70 905 |
9 858 |
-1 045 |
Comptes de concours financiers |
145 499 |
0 |
145 499 |
145 730 |
0 |
145 730 |
-232 |
Comptes de commerce (solde) |
|
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|
|
|
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-564 |
Comptes d'opérations monétaires (solde) |
|
|
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|
|
+96 |
Solde pour les comptes spéciaux |
|
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|
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|
-1 745 |
Solde général |
|
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-142 070 |
* Les montants figurant dans le présent tableau sont arrondis au million d'euros le plus proche ; il résulte de l'application de ce principe que le montant arrondi des totaux et sous-totaux peut ne pas être égal à la somme des montants arrondis entrant dans son calcul.
** Recettes fiscales brutes, minorées des remboursements et dégrèvements d’impôts d’État (cf. état B, mission « Remboursements et dégrèvements », programme 200).
*** Dépenses budgétaires brutes, minorées des remboursements et dégrèvements d’impôts d’État (cf. état B, mission « Remboursements et dégrèvements », programme 200).
Besoin de financement |
|
Amortissement de la dette à moyen et long termes |
174,8 |
dont remboursement du nominal à valeur faciale |
172,7 |
dont suppléments d’indexation versés à l’échéance (titres indexés) |
2,1 |
Amortissement de la dette reprise de SNCF Réseau |
1,1 |
Amortissement des autres dettes reprises |
0,0 |
Déficit à financer |
142,1 |
Autres besoins de trésorerie |
‑4,8 |
Total |
313,2 |
Ressources de financement |
|
Émission de dette à moyen et long termes, nette des rachats |
300,0 |
Ressources affectées à la Caisse de la dette publique et consacrées au désendettement |
5,2 |
Variation nette de l’encours des titres d’État à court terme |
5,0 |
Variation des dépôts des correspondants |
0,0 |
Variation des disponibilités du Trésor à la Banque de France et des placements de trésorerie de l’État |
0,0 |
Autres ressources de trésorerie |
3,0 |
Total |
313,2 |
Exposé des motifs
L’article d’équilibre comporte, en application de l’article 34 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF), un certain nombre de dispositions.
Le I présente le tableau d’équilibre prévu à l’article 34 de la LOLF. Le solde budgétaire de l’État est prévu à ‑142,1 Md€. Le détail des évaluations des recettes brutes du budget général figure dans l’annexe relative aux voies et moyens. Les recettes des budgets annexes et des comptes spéciaux font l’objet d’un développement dans l’annexe propre à chaque budget annexe ou compte spécial. Pour l’évaluation des dépenses brutes, les renseignements figurent dans l’exposé général des motifs du présent projet de loi de finances, dans les « Informations annexes », ainsi que dans les annexes propres à chaque mission. Le montant des remboursements et dégrèvements d’impôts d’État est déduit des recettes brutes comme des dépenses brutes du budget général. En outre, la présentation du tableau d’équilibre prend en compte l’inscription des montants des prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne.
Le II de l’article énonce les autorisations relatives aux emprunts et à la trésorerie de l’État prévues à l’article 26 de la LOLF, évalue les ressources et les charges de trésorerie qui concourent à la réalisation de l’équilibre financier, présentées dans le tableau de financement, et fixe le plafond de l’encours total de dette autorisé de chaque budget annexe, ainsi que le plafond de la variation nette, appréciée en fin d’année, de la dette négociable de l’État d’une durée supérieure à un an. Outre le renouvellement des autorisations données au ministre chargé des finances nécessaires à la gestion de la dette et de la trésorerie de l’État, ainsi qu’à la réalisation d’opérations d’échange de taux d’intérêt, il prévoit une autorisation relative aux instruments à terme destinée à permettre la réalisation des opérations de couverture financière des variations de change ou de coûts de matières premières. Le ministre chargé des finances est également autorisé à effectuer des opérations de trésorerie avec les institutions et agences financières de l’Union européenne, ainsi qu’avec les établissements publics nationaux et les organisations internationales. L’élargissement des contreparties permettra d’optimiser les placements quotidiens de la trésorerie. Le tableau de financement présente les évaluations du besoin de financement de l’État et précise les ressources qui seront mobilisées pour en assurer la couverture. Cette année, en raison du contexte inédit de la préparation du projet de loi de finances pour 2025, le déficit à financer cible du Gouvernement, cohérent avec un solde public à ‑5 %, est différent du déficit à financer présenté dans le projet de loi de finances. Ce déficit cible, qui résulte des amendements qui seront déposés au cours de la procédure parlementaire visant à améliorant le solde de 6,5 milliards d’euros, modifiera le besoin de financement, et par voie de conséquence les ressources de financement à mobiliser pour le couvrir. Le tableau ci-dessous présente l’équilibre cible recherché par le Gouvernement.
En 2025, dans le tableau de financement du projet de loi de finances déposé, le besoin de financement s’établit à 313,2 Md€ (306,7 Md€ selon le déficit à financer cible). Il comprend les amortissements de dette à moyen et long terme, pour un montant prévisionnel total de 172,7 Md€ en valeur nominale, ainsi que l’indexation du capital des titres indexés sur l’inflation arrivant à échéance (2,1 Md€). Le déficit à financer dans l’article d’équilibre est de 142,1 Md€ (le déficit à financer cible est de 135,6 Md€). L’amortissement des dettes reprises représente 1,1 Md€. Les autres besoins de trésorerie (‑4,8 Md€) se composent de décaissements au titre des programmes d’investissements d’avenir (1,0 Md€) et de l’annulation des opérations budgétaires sans impact en trésorerie (‑5,8 Md€), soit principalement la neutralisation de la provision annuelle pour indexation du capital des titres indexés, inscrite en dépense dans le déficit budgétaire à financer alors qu’elle ne génère pas de besoin en trésorerie. Les ressources de financement proviennent principalement des émissions nouvelles de dette à moyen et long termes nettes des rachats (300,0 Md€), d’une hausse des emprunts de court terme de 5,0 Md€ (en baisse de – 1,5 Md€ selon le déficit à financer cible) et de la dotation de la caisse de la dette publique consacrée à l’amortissement de la dette covid (5,2 Md€). Le besoin de financement sera couvert à titre subsidiaire par d’autres ressources, dont le supplément d’indexation reçu à la réémission de titres indexés (estimé à 3,0 Md€). Le plafond de la variation nette de la dette négociable d’une durée supérieure à un an, demandé au Parlement, est fixé à 127,3 Md€. Ce plafond correspond, pour les titres à moyen et long terme, à la différence entre les émissions nettes des rachats et les amortissements, tels qu’ils figurent dans le tableau de financement pour leur valeur faciale (c’est-à-dire hors suppléments d’indexation versés lors des remboursements ou des rachats et hors suppléments d’indexation perçus lors des émissions).
Le III de l’article fixe le plafond des autorisations des emplois pour 2025, exprimé en équivalents temps plein travaillé, rémunérés par l’État. |
ARTICLE 42 :
|
Exposé des motifs
Les demandes de crédits sont établies dans le cadre du projet annuel de performances de chaque programme. Ces projets figurent dans les annexes par mission relatives au budget général. Les tableaux de comparaison, par mission et programme, des crédits ouverts en 2024 et de ceux prévus pour 2025, figurent dans la partie « Informations annexes » du présent document. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la discussion des crédits du budget général donne lieu à un vote par mission ; les votes portent à la fois sur les autorisations d’engagement et sur les crédits de paiement. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 43 :
|
Exposé des motifs
Les demandes de crédits sont établies dans le cadre du projet annuel de performances de chaque programme. Ces projets figurent dans les annexes par mission relatives aux budgets annexes. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les crédits des budgets annexes sont votés par budget annexe. |
ARTICLE 44 :
|
Exposé des motifs
Les demandes de crédits sont établies dans le cadre du projet annuel de performance de chaque programme. Ces projets, relatifs aux comptes d’affectation spéciale et aux comptes de concours financiers, figurent dans les annexes par mission relatives aux comptes spéciaux. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les crédits des comptes spéciaux sont votés par compte spécial. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 45 :
|
Exposé des motifs
Le 4° bis de l’article 34 de la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances dispose que « [dans la seconde partie, la loi de finances de l’année] définit, pour chaque mission du budget général, chaque budget annexe et chaque compte spécial, des objectifs de performance et des indicateurs associés à ces objectifs ». En conséquence, l’objet de cet article est de renvoyer à l’état G qui regroupe l’ensemble des objectifs et indicateurs présentés dans le cadre des projets annuels de performances (PAP) pour 2025 annexés à la présente loi. |
ARTICLE 46 :
|
Exposé des motifs
Les autorisations de découvert au titre des comptes de commerce et des comptes d’opérations monétaires sont établies dans les annexes relatives à ces comptes. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, les découverts sont votés par compte spécial. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 47 :
|
Désignation du ministère ou du budget annexe |
Plafond |
Budget général |
1 995 994 |
Agriculture, souveraineté alimentaire et forêt |
30 531 |
Armées et anciens combattants |
271 117 |
Budget et comptes publics |
114 133 |
Culture |
9 159 |
Économie, finances et industrie |
10 903 |
Éducation nationale |
1 077 652 |
Enseignement supérieur et recherche |
5 104 |
Europe et affaires étrangères |
13 892 |
Fonction publique, simplification et transformation de l'action publique |
540 |
Intérieur |
298 689 |
Justice |
95 599 |
Logement et rénovation urbaine |
291 |
Outre-Mer |
5 708 |
Partenariat avec les collectivités territoriales et décentralisation |
35 114 |
Services du Premier ministre |
10 477 |
Sports, jeunesse et vie associative |
2 301 |
Transition écologique, énergie, climat et prévention des risques |
2 027 |
Travail et emploi |
12 758 |
Budgets annexes |
11 011 |
Contrôle et exploitation aériens |
10 525 |
Publications officielles et information administrative |
486 |
Total général |
2 007 005 |
Exposé des motifs
Le présent article fixe le plafond des autorisations d’emplois de l’État à 2 007 005 équivalents temps plein travaillé (ETPT). Le plafond des autorisations d’emplois de l’État augmente au total de +21 698 ETPT par rapport au plafond autorisé par la loi de finances pour 2024, du fait :
Pour 2025, le schéma d’emplois, c’est-à-dire le solde global des créations et des suppressions d’emplois sur l’État, s’élève à ‑1 196 ETP. Il résulte du schéma d’emplois du ministère de l’Éducation nationale (‑2 000 ETP), à mettre en lien avec la baisse tendancielle du nombre d’élèves, tout en améliorant le taux d’encadrement, de celui du ministère du Budget et des comptes publics (‑505 ETP) ainsi que du reste du périmètre de l’État (‑150 ETP). Ces effets sont partiellement compensés par des créations sur le périmètre de la Justice (+619 ETP), des Armées (+630 ETP) ainsi que des autres ministères (+210 ETP). Le plafond des autorisations d’emplois est détaillé dans les projets annuels de performances de chaque programme. Le respect du plafond s’évalue en moyenne sur l’ensemble de l’année. Conformément aux dispositions de l’article 43 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, le plafond des autorisations d’emplois fait l’objet d’un vote unique. |
Projet de loi de finances |
1 |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 48 :
|
Mission / Programme |
Plafond |
Action extérieure de l'État |
5 965 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
5 965 |
Administration générale et territoriale de l'État |
456 |
Administration territoriale de l'État |
163 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
293 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
13 224 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
11 884 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
1 334 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
6 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 205 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 205 |
Cohésion des territoires |
802 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
452 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
350 |
Culture |
16 872 |
Patrimoines |
9 931 |
Création |
3 756 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
3 056 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
129 |
Défense |
12 284 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
5 317 |
Préparation et emploi des forces |
670 |
Soutien de la politique de la défense |
1 154 |
Équipement des forces |
5 143 |
Direction de l'action du Gouvernement |
914 |
Coordination du travail gouvernemental |
914 |
Écologie, développement et mobilité durables |
19 752 |
Infrastructures et services de transports |
5 087 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
244 |
Paysages, eau et biodiversité |
5 381 |
Expertise, information géographique et météorologie |
6 572 |
Prévention des risques |
1 594 |
Énergie, climat et après-mines |
378 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
496 |
Économie |
2 727 |
Développement des entreprises et régulations |
2 727 |
Enseignement scolaire |
2 830 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 830 |
Immigration, asile et intégration |
2 258 |
Immigration et asile |
1 065 |
Intégration et accès à la nationalité française |
1 193 |
Justice |
796 |
Justice judiciaire |
283 |
Administration pénitentiaire |
275 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
238 |
Médias, livre et industries culturelles |
3 109 |
Livre et industries culturelles |
3 109 |
Outre-mer |
140 |
Emploi outre-mer |
140 |
Recherche et enseignement supérieur |
251 894 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
167 627 |
Vie étudiante |
12 833 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
62 825 |
Recherche spatiale |
2 404 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 696 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
3 372 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
1 137 |
Régimes sociaux et de retraite |
287 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
287 |
Santé |
131 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
131 |
Sécurités |
313 |
Police nationale |
290 |
Sécurité civile |
23 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
0 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
|
Sport, jeunesse et vie associative |
671 |
Sport |
569 |
Jeunesse et vie associative |
69 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
33 |
Transformation et fonction publiques |
749 |
Fonction publique |
749 |
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
63 982 |
Accès et retour à l'emploi |
49 824 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
5 529 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
265 |
Soutien des ministères sociaux |
8 364 |
Contrôle et exploitation aériens |
796 |
Soutien aux prestations de l'aviation civile |
796 |
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
61 |
Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers |
61 |
|
0 |
|
|
Total |
402 218 |
Exposé des motifs
Le présent article fixe le plafond d’autorisation des emplois des opérateurs de l’État pour 2025, en application de l’article 34-II‑2° bis de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances. Pour 2025, le schéma d’emplois des opérateurs de l’État (solde global des créations et des suppressions d’emplois) s’établit à ‑1 005 équivalents temps plein (ETP). L’évolution courante des autorisations d’emplois des opérateurs entre la loi de finances initiale pour 2024 et le projet de loi de finances pour 2025 est de ‑2 712 emplois, en équivalents temps plein travaillé (ETPT). Cette évolution intègre :
|
ARTICLE 49 :
|
MISSION / PROGRAMME |
PLAFOND |
Diplomatie culturelle et d’influence |
3 411 |
TOTAL |
3 411 |
Exposé des motifs
Le présent article fixe, pour 2025, le plafond d’autorisation des emplois des établissements à autonomie financière (EAF), en application du 2° bis de l’article 34 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances. Les EAF sont des établissements et organismes de diffusion culturelle ou de recherche situés à l’étranger et dépendant du ministère de l’Europe et des affaires étrangères. Ils ne disposent pas de la personnalité morale mais perçoivent des recettes propres (cours de langues, certifications de français, droits de participation aux activités culturelles, mécénat, etc.) ainsi que, pour la part restante de leurs ressources, des dotations publiques. Comme en 2024, ce plafond s’applique aux seuls agents de droit local recrutés à durée indéterminée. Le plafond d’autorisation des emplois des EAF est maintenu en 2025 au niveau de 2024. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 50 :
|
|
PLAFOND |
Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) |
50 |
Autorité de régulation des transports (ART) |
102 |
Autorité des marchés financiers (AMF) |
545 |
Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) |
380 |
Haut Conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) |
128 |
Haute autorité de l’audit (H2A) |
78 |
Haute Autorité de santé (HAS) |
452 |
Médiateur national de l’énergie (MNE) |
46 |
TOTAL |
1 781 |
Exposé des motifs
En application des dispositions du 2° bis du II de l’article 34 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, le présent article fixe pour 2025 le plafond d’autorisation des emplois des autorités publiques indépendantes dotées de la personnalité morale. Ce plafond prend en compte tous les emplois rémunérés par ces autorités, à l’exception des emplois faisant l’objet d’un remboursement par exemple dans le cadre de mises à disposition. Pour 2025, ce plafond s’établit à 1 781 ETPT soit une hausse de +37 ETPT par rapport au plafond fixé par la loi de finances pour 2024. Cette augmentation du plafond s’explique par les évolutions suivantes : • ‑2 ETPT pour l’Agence française de lutte contre le dopage compte tenu de la fin des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris ; • +39 ETPT en faveur de l’Autorité des marchés financiers (+25 ETPT), de la Haute Autorité de santé (+9 ETPT) et de la Haute autorité de l’audit (+5 ETPT) dont les missions évoluent. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 51 :
|
INTITULE DU PROGRAMME 2024 |
INTITULE DE LA MISSION DE RATTACHEMENT 2024 |
INTITULE DU PROGRAMME 2025 |
INTITULE DE LA MISSION DE RATTACHEMENT 2025 |
Vie politique |
Administration générale et territoriale de l’État |
Vie politique |
Administration générale et territoriale de l’État |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
Conseil et contrôle de l’État |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
Conseil et contrôle de l’État |
Conseil d’État et autres juridictions administratives |
Conseil et contrôle de l’État |
Conseil d’État et autres juridictions administratives |
Conseil et contrôle de l’État |
Conseil supérieur de la magistrature |
Justice |
Conseil supérieur de la magistrature |
Justice |
Écologie |
Plan de relance |
Écologie |
Plan de relance |
Compétitivité |
Plan de relance |
Compétitivité |
Plan de relance |
Concours spécifiques et administration |
Relations avec les collectivités territoriales |
Concours spécifiques et administration |
Relations avec les collectivités territoriales |
Conditions de vie outre-mer |
Outre-mer |
Conditions de vie Outre-mer |
Outre-mer |
Exposé des motifs
L’article 15 de la loi organique aux lois de finances (LOLF) prévoit que les crédits de paiement disponibles à la fin de l’année peuvent être reportés, dans la limite de 3 % des crédits initiaux inscrits sur le même programme, et que ce plafond peut être majoré par une disposition de loi de finances. Le présent article fixe la liste des programmes dont les crédits bénéficieront d’une telle exception en 2025. Il est ainsi proposé de déroger au plafond de l’article 15 de la LOLF pour les 8 programmes suivants :
|
ARTICLE 52 :
|
Exposé des motifs
Le présent article a pour objet d’autoriser le ministre chargé de l’économie à octroyer, à titre gratuit, la garantie de l’État à l’Unédic pour les emprunts obligataires que l’association pourrait contracter au cours de l’année 2025 en cas d’apparition d’un besoin de financement pour assurer la continuité de l’indemnisation du chômage en 2025. Il autorise le ministre chargé de l’économie à accorder la garantie de l’État à l’Unédic dans la limite de 4 milliards d’euros en principal pour l’année 2025. Ce plafond est fixé de manière à pouvoir couvrir, si cela s’avérait nécessaire, le remboursement de 3 milliards d’euros de dettes de moyen et long terme arrivant à échéance en 2025, tout en réduisant l’encours de dette à court terme de l’Unédic. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 53 :
|
Exposé des motifs
Le montant des dégâts matériels des émeutes ayant éclaté en Nouvelle-Calédonie le 13 mai 2024 est aujourd’hui estimé à entre 15 % et 30 % du produit intérieur brut (PIB) néocalédonien. La baisse de l’activité économique néocalédonienne qui en a résulté a entraîné des besoins importants de soutien public alors même que la collectivité assistait à une baisse de ses recettes fiscales. Pour répondre à l’urgence, l’État a apporté son soutien aux entreprises néo-calédoniennes et à la Nouvelle-Calédonie à travers la mise en place de plusieurs dispositifs, pour un montant total de plus de 400 M€. Ces soutiens sont de deux natures différentes : d’une part des subventions, l’État ayant fait le choix de cofinancer avec le territoire certains dispositifs (chômage partiel) ; d’autre part des prêts d’urgence, destinés à couvrir sur le court terme une partie des dispositifs de crise mais également des impasses de trésorerie correspondant à des dépenses que le territoire devrait être en capacité de financer par lui-même sur le long terme en faisant les réformes appropriées, puisqu’un certain nombre de déséquilibres préexistaient aux émeutes du 13 mai 2024. En l’absence de véhicule financier de moyen ou long terme disponible pour porter ces prêts d’urgence, plusieurs prêts ont été octroyés : un prêt de la Banque des Territoires (50 M€) permettant aux collectivités d’engager au plus vite des travaux de reconstruction, et une avance du Trésor (100 M€), dont l’objectif était de couvrir les besoins de trésorerie urgents des différentes collectivités. Une seconde avance du Trésor d’un montant de 86 M€ est en cours de décaissement pour couvrir une partie des besoins financiers pour le mois de septembre, et d’autres concours seront appelés pour couvrir les besoins de la période octobre-décembre 2024. Ces prêts-relais, de court terme, ont vocation à être refinancés par un prêt de long terme consenti par l’Agence française de développement à la Nouvelle-Calédonie au premier semestre 2025. Ce refinancement à horizon 2025 est explicitement prévu par les conventions de crédit associées aux avances du Trésor. Par courrier du 15 juillet 2024, le Ministre de l’économie et des finances s’est également engagé auprès de la Banque des Territoires à ce que ce concours issu du fonds d’épargne soit remboursé prioritairement en 2025. Par ailleurs, d’autres prêts pourront être mobilisés en 2025 pour couvrir une partie des besoins de financement, qu’il s’agisse d’un soutien à la trésorerie des collectivités, du financement d’un programme de réformes ou d’investissements de reconstruction de l’économie calédonienne. L’article donne également la possibilité d’éventuellement garantir ses prêts. Compte tenu du niveau de risque (qualité dégradée de la contrepartie, même si elle n’est pas en cessation de paiement) et du montant élevé (jusqu’à 500 M€ en cumulé sur les différents prêts), l’Agence française de développement ne peut intervenir en Nouvelle-Calédonie sans la garantie de l’État. Le présent article autorise le ministre de l’économie à accorder à ces prêts la garantie de l’État. Pour maîtriser son risque et permettre un redressement pérenne de l’économie du territoire, l’État a engagé avec le Gouvernement de Nouvelle-Calédonie des négociations autour d’un programme de réformes à moyen terme. Il devra permettre un rééquilibrage de la situation financière des collectivités du territoire (réformes fiscales et sociales, réformes de gestion, apurement des passifs du Gouvernement de Nouvelle-Calédonie à l’encontre de différents organismes publics) et poser les bases d’une diversification progressive du modèle économique aujourd’hui quasi exclusivement dépendant des exportations de nickel. Ces réformes permettront à moyen terme de restaurer la situation financière des diverses collectivités et assurer la soutenabilité de la dette ainsi contractée. Cette garantie s’inscrit dans une politique plus large de soutien au territoire, mobilisant une palette d’instruments (dotations budgétaires, assistance technique, avances de court terme, prêt de long terme) adaptés aux besoins des contreparties calédoniennes. |
Projet de loi de finances |
1 |
ARTICLE 54 :
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Exposé des motifs
À la suite de l’attribution officielle par le Comité international olympique (CIO), le 24 juillet 2024, de l’organisation de l’édition 2030 des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver dans les Alpes françaises, le présent article vise à traduire un des engagements pris par le Gouvernement dans le cadre de la candidature de la France. Signataire du « contrat hôte olympique » avec le CIO et chargé de la planification et de la livraison des opérations des jeux, le Comité d’organisation des jeux olympiques et paralympiques (COJOP) 2030 doit faire l’objet d’un financement à titre principal par le CIO à hauteur de 500 millions de dollars américains, soit environ 430 M€, arrondis à 500 M€ pour assurer le niveau de la garantie. La garantie que l’État accorderait se décompose en trois parties distinctes : en premier lieu, une garantie de remboursement, en cas d’annulation des jeux, des avances versées par le CIO au titre des médias ; en second lieu une garantie portant sur des emprunts de trésorerie ; enfin, en troisième lieu, une garantie portant sur un « déficit budgétaire » du COJOP. Seules les deux premières garanties sont cependant concernées par cet article. La troisième (garantie globale de couverture d’un éventuel déficit) interviendra plus tard, une fois le budget du COJOP précisé et la structure créée. Ce dispositif de garanties financières est le même que celui mis en œuvre pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Le premier dispositif de garantie a pour objectif de prémunir le CIO contre les risques de non-remboursement par le COJOP des sommes perçues en cas d’annulation totale ou partielle associées à l’organisation de l’évènement. Cette partie de la garantie est circonscrite en montant et dans le temps dans la mesure où : - les sommes garanties sont limitées à la contribution du CIO liée aux revenus de télédiffusion des accords de diffusion des jeux olympiques et paralympiques ; - la garantie est plafonnée à un montant global de 500 millions d’euros et ne peut courir au-delà du 31 décembre 2030. Le second dispositif de garantie a pour objectif de prévenir les risques associés à la souscription par le COJOP d’emprunts bancaires. Il a été convenu entre les parties prenantes au projet que l’engagement de l’État à garantir, en cas d’obtention de l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver, le financement de tout déficit budgétaire du COJOP, s’entendrait comme une garantie d’emprunts bancaires en cas de décalages temporaires de trésorerie entre les recettes et les dépenses du COJOP. Deux outils différents permettent d’encadrer ce dispositif dans une perspective de préservation des finances publiques : - la garantie est plafonnée, les emprunts sur lesquels elle porte sont également limités en montant et en durée ; - un mécanisme de suivi et de contrôle est prévu sous la forme d’une convention entre le COJOP, le ministre chargé des sports, le ministre chargé de l’économie et le ministre chargé du budget. Ce dispositif est limité à un montant global de 70 millions d’euros et à des montants d’emprunts individuels de 50 millions d’euros. Ces montants pourront, si cela s’avère nécessaire, faire l’objet d’une réévaluation par modification du présent article une fois le budget prévisionnel pluriannuel du COJOP stabilisé. |
Projet de loi de finances |
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Exposé des motifs
La Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) est l’une des cinq institutions constituant le Groupe Banque mondiale. Elle a été créée en 1944 lors de la Conférence de Bretton Woods avec pour mission principale de financer la reconstruction des pays après la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, son rôle a évolué pour inclure le financement du développement économique des pays à revenus intermédiaires et en développement. Le sommet pour un Nouveau pacte financier mondial qui s’est tenu à Paris en juin 2023 a mis en avant la nécessité de faire évoluer les missions des banques multilatérales de développement pour mieux intégrer la réponse aux défis mondiaux (objectifs de développement durable et climatiques) dans leur mandat sans préjudice de la lutte contre la pauvreté. Pour pouvoir répondre à ces défis, il est nécessaire d’accroître les capacités de financement des banques multilatérales de développement, notamment grâce au recours à des instruments financiers innovants, et de revoir les critères d’éligibilité et d’allocation des ressources concessionnelles. En cohérence avec ce constat, le Groupe Banque mondiale s’est engagé dans un processus d’évolution qui doit lui permettre de mieux répondre à huit défis mondiaux identifiés : atténuation et adaptation face au changement climatique, prévention et préparation aux pandémies, fragilité et conflits, sécurité alimentaire, accès à l’eau, accès à l’énergie, protection de la biodiversité et de la nature, digitalisation. Pour faire face aux besoins de financements découlant de cette orientation, la Banque mondiale a proposé à ses actionnaires d’augmenter les capacités financières de la BIRD, via le recours à des instruments financiers innovants comme le capital hybride et les garanties de portefeuille. Ces contributions permettront à la BIRD de proposer plus de volumes ou des termes plus favorables aux pays émergents et à revenus intermédiaires pour les inciter à financer des projets répondant aux huit défis mondiaux. La France a affirmé son soutien au processus d’évolution de la Banque à travers l’octroi d’une garantie de portefeuille pour démultiplier les financements en faveur des défis globaux, lors du G7 finances d’avril 2024, à l’occasion des Assemblées de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale. Cette garantie de portefeuille française complète les contributions annoncées par onze autres actionnaires, permettant d’augmenter les capacités financières de la BIRD d’un montant de 70 milliards de dollars sur les dix prochaines années. La garantie française sera levée à la réalisation de l’une des trois échéances suivantes : une augmentation générale de capital de la Banque mondiale, l’utilisation du montant complet de la garantie ou le 50e anniversaire de la garantie. |
ARTICLE 56 :
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Exposé des motifs
La Banque africaine de développement (BAD), créée en 1964, est la seule banque régionale de développement entièrement dédiée au financement de l’Afrique. La Banque compte aujourd’hui 81 actionnaires. Le capital est partagé entre les 54 États africains (représentant ensemble 60 % du capital et des droits de vote), ainsi que des États non-africains dits « non-régionaux ». La France est actionnaire de la BAD depuis l’ouverture du capital à des États non africains. Avec 3,602 % des voix, elle est le cinquième actionnaire non régional derrière les États-Unis, le Japon, l’Allemagne et le Canada. La BAD vise à :
La notation AAA de la BAD est garantie par ses actionnaires. Cependant, la dégradation de la situation économique mondiale a eu une forte incidence sur les actionnaires de la Banque et surtout sur ses pays d’opération. Pour que la Banque continue de jouer son rôle contracyclique et de stabilisateur dans la région, un soutien des actionnaires est nécessaire. Le Conseil des Gouverneurs de la BAD a ainsi décidé d’approuver, le 29 mai 2024, une augmentation de capital appelable d’un montant de 109 milliards d’euros. Il s’agit d’un signal de soutien clair mais n’entraînant à lui seul aucune nouvelle libération de capital. L’objectif est ainsi de maintenir la trajectoire de prêts de la Banque et de garantir qu’elle dispose d’une marge de manœuvre suffisante pour la prémunir d’un éventuel déclassement d’un autre actionnaire noté AAA. La France étant actionnaire de la BAD à 3,602 %, la hausse de son capital appelable proposée s’établirait à 3,9 milliards d’euros, portant le montant total d’engagement de la France à 10,554 milliards d’euros (dont 254 millions d’euros de capital versé et 10,3 milliards d’euros de capital appelable). Sauf en cas d’appel du capital appelable nouvellement souscrit, cette hausse n’aura d’impact ni sur le solde ni sur la dette publique mais augmentera les engagements hors bilan de la France à l’égard de la Banque. |
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ARTICLE 57 :
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Exposé des motifs
Les quotes-parts du Fonds monétaire international (FMI) sont les ressources sur lesquelles est fondée l’activité régulière du FMI. La quote-part de chacun des pays membres du FMI est calculée en fonction d’une formule qui tient notamment compte de la taille et de l’ouverture de son économie. Les ressources du FMI sont composées de ces quotes-parts, ainsi que de ressources temporaires empruntées à des pays membres (dites « Nouveaux accords d’emprunt » et « Accords d’emprunt bilatéral »). Les statuts du FMI prévoient qu’il doit être procédé, tous les cinq ans au moins, à une revue générale des quotes-parts des pays membres de cette institution. Le 15 décembre 2023, les gouverneurs du FMI ont ainsi adopté les conclusions de la 16e revue des quotes-parts, prévoyant une augmentation de 50 % des quotes-parts (et une réduction à due concurrence des ressources temporaires empruntées, de sorte que le Fonds maintiendra une capacité de prêt inchangée mais avec des ressources plus pérennes). Le présent article met en œuvre cet engagement en autorisant l’augmentation de la quote-part de la France au FMI. Cette augmentation se fait de manière proportionnelle entre les pays membres : les quotes-parts relatives demeurent inchangées et celle de la France restera fixée à 4,23 %. La quote-part française s’élève actuellement à 20 155,1 millions de droits de tirage spéciaux (soit environ 24,4 milliards d’euros au taux de 1,21 euros par DTS en vigueur au 30 septembre 2024). Ce montant sera porté à 30 232,7 millions de droits de tirage spéciaux (soit environ 36,6 milliards d’euros au taux de 1,21 euros par DTS en vigueur au 30 septembre 2024). Enfin, les membres du FMI se sont engagés à opérer ultérieurement, à l’occasion de la prochaine revue des quotes-parts, un réalignement de ces dernières pour mieux refléter les nouveaux équilibres de l’économie mondiale. |
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ARTICLE 58 :
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Exposé des motifs
Cet article modifie la date à partir de laquelle les employeurs publics de l’État seront tenus de participer au financement des garanties de protection sociale complémentaire (PSC) santé de leurs agents, fixée à l’article 4 de l’ordonnance n° 2021-175 du 17 février 2021 relative à la protection sociale complémentaire dans la fonction publique. En vertu de l’accord interministériel du 26 janvier 2022 relatif à la protection sociale complémentaire en matière de couverture des frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident dans la fonction publique de l’État, cette obligation de financement s’est traduite par l’obligation de mettre en place des contrats collectifs « frais de santé à adhésion obligatoire » pour lesquels les employeurs sont tenus de prendre en charge 50 % de la cotisation. Cette obligation devait entrer en vigueur au terme des contrats dits « référencés », éventuellement prolongés d’une année, ou à compter du 1er janvier 2025 pour les ministères ne disposant pas d’offre référencée. Compte tenu des démarches qu’implique la mise en œuvre de la réforme, notamment en raison de la conduite de négociations, la passation d’appels d’offres, et la réalisation des affiliations, un délai supplémentaire apparaît nécessaire pour la mise en œuvre du nouveau régime de PSC en santé. Actuellement, lorsqu’une convention référencée est en cours au 1er janvier 2022, les employeurs peuvent prolonger cette dernière d’une année seulement. Le présent article prévoit d’étendre la période d’entrée en vigueur de la participation de l’employeur à la moitié du financement de ces nouveaux contrats de protection sociale complémentaire en santé, pour que les ministères puissent prolonger au maximum de deux ans leur référencement, dans la limite du 31 décembre 2026 ou, pour ceux qui ne disposent pas de référencement, que la participation de l’employeur à 50 % dans le cadre des nouveaux contrats s’applique au plus tard au 1er janvier 2026. En outre, il demeure au sein de l’article 4 de l’ordonnance du 17 février 2021 susmentionnée plusieurs références à des dispositions non codifiées, notamment au sein de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires et de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, alors que celles-ci sont depuis codifiées au sein du code général de la fonction publique. Le présent article permet donc de faire référence, au sein dudit article 4, aux dispositions du code général de la fonction publique. Cet article, en décalant l’obligation de prise en charge à hauteur de 50 % de la cotisation de PSC en santé pour les employeurs publics de la fonction publique de l’État, conduit à une économie de 97 millions d’euros en 2025 et 86 millions d’euros en 2026. |
ARTICLE 59 :
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Exposé des motifs
Cet article a pour objet de créer un remboursement d’une partie des cotisations de protection sociale complémentaire (PSC) santé pour les agents publics affectés dans ces territoires et qui ne bénéficieront pas du nouveau régime de PSC santé mis en place dans la fonction publique de l’État (FPE). En effet, le nouveau régime de PSC santé dans la FPE couvre à titre complémentaire les agents soumis à la législation française de sécurité sociale (régime de base métropolitain) et pour lesquels l’application de la réglementation des contrats solidaires et responsables est pertinente. Or, à Saint-Pierre-et-Miquelon, Wallis et Futuna et en Nouvelle-Calédonie, ainsi qu’en Polynésie française pour les agents contractuels, il existe des caisses de droit local en complément desquelles le régime des contrats solidaires et responsables ne trouve pas à s’appliquer. La mise en place d’une participation forfaitaire de l’employeur permettra d’encourager les agents à souscrire à une couverture complémentaire individuelle, dans la continuité de la participation financière de 15 euros mise en place dans l’attente du nouveau régime de contrat de protection sociale complémentaire dans la fonction publique de l’État. |
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ARTICLE 60 :
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Exposé des motifs
Le chèque énergie est une aide de l’État attribuée aux ménages modestes visant à les aider à payer les factures d’énergie de leur logement ou leurs travaux de rénovation énergétique. A partir de 2025, de nouvelles modalités d’établissement de la liste des bénéficiaires du chèque énergie doivent être définies afin de proposer une solution pérenne et ne plus se fonder sur une liste obsolète. Les nouvelles dispositions visent à fonder les conditions d’éligibilité des bénéficiaires sur le double critère de leur situation financière et de leur occupation d’un logement identifié comme étant leur résidence principale. L’unité à analyser n’est donc plus le foyer TH mais un foyer fiscal à l’IR du titulaire d’un contrat de fourniture d’électricité. Afin de croiser ces deux informations (revenus et logement), l’éligibilité au chèque énergie s’appuiera sur le croisement du numéro de point de livraison d’électricité du logement – qui est plus fiable et aisé à traiter que l’adresse postale – et sur les paramètres fiscaux (revenu fiscal de référence et rattachés) du foyer fiscal, dont un des déclarants est titulaire du contrat de fourniture d’électricité. Un logement ne disposant que d’un point de livraison, ces modalités visent à garantir qu’un seul chèque soit émis par logement. L’établissement de la liste des bénéficiaires est confié à l’Agence de service et de paiement qui procédera au traitement des données qu’elle obtiendra d’une part auprès des fournisseurs et gestionnaires de réseaux et d’autre part auprès de l’administration fiscale. Afin de recueillir ces données, les bénéficiaires potentiels seront identifiés par ses soins de deux manières :
Les dispositions proposées :
Il est également proposé de réduire la liste des signataires des arrêtés relatifs au chèque énergie. |
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ARTICLE 61 :
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Exposé des motifs
Le présent article comprend plusieurs évolutions des modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement (DGF) des communes, des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre et des départements, ainsi que des ajustements relatifs aux autres dotations de l’État et aux dispositifs de péréquation horizontale.
1. Augmentation du niveau des dotations de péréquation au sein de la DGF Le présent article prévoit de majorer de 290 M€ les dotations de péréquation des communes (140 M€ pour la dotation de solidarité urbaine et de cohésion sociale (DSU) et 150 M€ pour la dotation de solidarité rurale (DSR)). Afin que le plus grand nombre de communes bénéficie de la hausse du niveau de la péréquation de la DGF, le présent article prévoit que la hausse de la DSR en 2025 sera répartie au minimum à 60 % sur sa deuxième fraction dite « péréquation », dont la quasi-totalité des communes de moins de 10 000 habitants bénéficie. Enfin, comme les années précédentes, la péréquation verticale des départements est augmentée de 10 M€, par redéploiement depuis la dotation forfaitaire des départements.
2. Renforcement de la transparence des critères utilisés pour la répartition des dotations de l’État aux collectivités territoriales Le présent article poursuit enfin la simplification de la dotation de compensation entamée par la loi n° 2023-1322 du 29 décembre 2023 de finances pour 2024 qui prévoyait l’intégration au sein de cette dotation de l’ensemble des part « CPS » (compensation part salaire) de la dotation forfaitaire des communes membres d’un EPCI à fiscalité propre. Le présent article propose donc un traitement simplifié des mouvements de communes entre EPCI, en prévoyant que lorsqu’une commune change d’EPCI, la dotation de compensation de son ancien EPCI est minorée d’une part correspondant au poids de cette commune dans la population de l’EPCI, la dotation de compensation du nouvel EPCI étant majorée du même montant. Cette mesure doit ainsi permettre de renforcer la prévisibilité de l’évolution de cette dotation en cas d’adhésion ou de retrait d’une commune.
3. Autres ajustements des modalités de répartition des dotations de l’État aux collectivités territoriales Le présent article met en œuvre les conséquences sur le calcul des indicateurs financiers des collectivités de la création de deux dotations nouvelles par la loi de finances pour 2024 : le reversement obligatoire aux communes, par leur EPCI à fiscalité propre d’appartenance, de la compensation de la part « salaires » de la taxe professionnelle (CPS) lorsqu’elles appartiennent à un EPCI à fiscalité additionnelle, et la dotation en faveur des communes nouvelles. Le reversement obligatoire de la CPS est intégré au potentiel fiscal des communes, ce qui est neutre pour les communes concernées dans la mesure où cette CPS était déjà intégrée au potentiel fiscal lorsqu’elle était perçue directement par ces communes. Elle est, par parallélisme, explicitement exclue du potentiel fiscal des EPCI concernés, de façon à ce que cet indicateur ne soit pas majoré d’un montant que les EPCI ont l’obligation légale de reverser à leurs communes membres. La dotation en faveur des communes nouvelles, qui peut être assimilée à une part de DGF dans la mesure où elle a notamment pour objet de compenser les éventuelles pertes de DGF consécutives à la fusion de communes, est quant à elle intégrée au potentiel financier ainsi qu’au potentiel financier agrégé.
Le présent article précise les modalités de prise en compte des données relatives aux unités urbaines, utilisées pour la répartition de la fraction « bourg-centre » de la DSR. L’article fige la liste des unités urbaines utilisée au 1er janvier de l’année de répartition telle qu’elle est publiée sur le site de l’INSEE. Cette précision permet d’accentuer la prévisibilité des données prises en compte pour le calcul de la DSR et de renforcer la sécurité juridique de cette donnée de calcul. Le présent article précise aussi les modalités de calcul du rapport entre la moyenne sur trois ans du revenu par habitant moyen des communes appartenant au même groupe démographique et la moyenne sur trois ans du revenu par habitant de la commune, utilisé dans le cadre de l’éligibilité à la fraction « cible » de la DSR. Ainsi, dans le cas où le revenu fiscal de référence de la commune ne serait pas disponible sur l’une des trois dernières années pour calculer ce rapport au niveau communal, le présent article propose de remplacer la moyenne sur trois ans du revenu par habitant de la commune par la moyenne sur trois ans du revenu par habitant moyen du groupe démographique de la commune. Cette précision vise à mieux encadrer le cas des communes sous secret fiscal, pour lesquelles le revenu n’est pas communiqué par l’administration fiscale ou le cas des communes issues d’une défusion, pour lesquelles il n’est pas possible de reconstituer un revenu sur les trois années précédant la défusion. Il supprime l’indexation de la dotation des groupements touristiques (DGT) sur l’évolution de la DGF, dans la mesure où cette indexation, financée par écrêtement de la dotation forfaitaire des communes (ainsi que de la dotation de compensation des EPCI), se traduit par la minoration d’une dotation qui évolue en fonction de critères actualisés de population, au bénéfice d’une dotation figée depuis 1993. Il prévoit l’application au fonds de solidarité régional, créé par la loi n° 2021-1900 du 30 décembre 2021 de finances pour 2022, des modalités spécifiques d’actualisation de la population, notamment par âge, des collectivités de Mayotte, afin de ne pas pénaliser le département de Mayotte dans la répartition de ce fonds de péréquation. Il instaure aussi une garantie ponctuelle destinée à prémunir les baisses de DGF en 2026 pour les communes de Mayotte qui connaîtraient une baisse de leur population DGF en raison du passage en 2026 aux modalités de recensement de droit commun. Enfin, le présent article propose l’extension à la dotation particulière relative aux conditions d’exercice des mandats locaux (DPEL), à la dotation pour les titres sécurisés (DTS), à la dotation aménités rurales, au fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales (FPIC) et au fonds de solidarité des communes de la région d’Île-de-France (FSRIF) des modalités de calcul introduites pour la DGF par loi de finances pour 2024 s’agissant des critères de répartition qui ne sont pas disponibles au périmètre des communes issues de la division d’une commune nouvelle. Il procède par ailleurs à la suppression de dispositions obsolètes et au rétablissement de dispositions supprimées accidentellement lors de l’examen de la loi de finances pour 2024. |
Projet de loi de finances |
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ARTICLE 62 :
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Exposé des motifs
Le présent article tire les conséquences de l’article 240 de la loi de finances pour 2024 qui a remplacé dans le calcul des indicateurs financiers utilisés pour la répartition du fonds de péréquation des ressources intercommunales et communales (FPIC) le produit perçu par le bloc communal au titre de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) par la fraction de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) perçue en compensation de la suppression de cet impôt. Le présent article inclut cette même fraction de TVA dans les ressources fiscales agrégées prises en compte comme référence pour l’application éventuelle d’un plafonnement du prélèvement du FPIC, et rend cette mesure applicable à la répartition du fonds effectuée en 2024. Il tire également les conséquences de la décision n° 2024-1085 QPC du Conseil constitutionnel, qui a déclaré contraires à la Constitution les modalités dérogatoires de répartition du FPIC entre les communes membres d’un même établissement public territorial (EPT) de la Métropole du Grand Paris (MGP). La disposition censurée prévoyait que la répartition du prélèvement entre les communes membres d’un même EPT était effectuée au prorata des montants prélevés sur chaque commune en 2015, année précédant la création de la MGP. La répartition du reversement du FPIC entre communes membres de chaque EPT est également effectuée en fonction des montants perçus par les communes en 2015. Le Conseil constitutionnel ayant fixé au 1er janvier 2025 la date d’abrogation des dispositions censurées, le présent article en tire toutes les conséquences et abroge les modalités dérogatoires de répartition interne, tant du prélèvement que du reversement au titre du FPIC, entre les communes membres d’un même EPT. Il prévoit qu’à compter de 2025, cette répartition sera effectuée selon les modalités de droit commun, c’est-à-dire en fonction du potentiel financier par habitant et de la population des communes. La part du prélèvement et du reversement imputée à l’EPT continuera à être calculée selon les modalités dérogatoires en vigueur, qui n’ont pas été censurées par le Conseil constitutionnel. En effet, en raison de l’architecture financière particulière de la MGP, il n’est pas possible de calculer un coefficient d’intégration fiscale (CIF) reflétant de manière pertinente le niveau d’intégration des EPT, et donc de leur calculer un montant de prélèvement et de reversement au titre du FPIC dans les conditions de droit commun, c’est-à-dire en fonction du CIF. Enfin, et conformément au considérant 15 de la décision susmentionnée du Conseil constitutionnel, il rend ces nouvelles dispositions applicables aux contentieux en cours à la date de publication de la loi de finances. |
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Exposé des motifs
Le projet de centre industriel de stockage géologique, dit projet Cigéo, met en œuvre le stockage en couche géologique profonde des déchets radioactifs de haute activité (HA) et de moyenne activité à vie longue (MA-VL), qui constitue la solution de référence pour ces catégories de déchets retenue par la loi n° 2006-739 du 28 juin 2006 de programme relative à la gestion durable des matières et des déchets radioactifs. Ce projet porté par l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) implique la construction et l’exploitation d’un laboratoire sous-terrain de recherche géologique et d’un centre de stockage géologique profond sur le territoire de la commune de Bure, située dans le département de la Meuse. Le laboratoire est en service depuis 2000. L’Andra a déposé en janvier 2023 son dossier de demande d’autorisation de création au titre de la réglementation des installations nucléaires de base (INB) pour engager la construction du centre de stockage. La fiscalité actuelle du projet repose sur une taxe spécifique d’accompagnement liée à la présence du laboratoire souterrain, dont le produit de 58 M€ par an est versé aux deux groupements d’intérêt public (GIP) de Meuse et de Haute-Marne créés au moment de son implantation. La fiscalité de droit commun, essentiellement foncière, appliquée au projet Cigéo générerait, une fois le centre de stockage mis en service, des retombées fiscales pour les collectivités territoriales à hauteur de 43 M€ par an En l’absence de modification des règles de répartition de droit commun, les produits de fiscalité de Cigéo bénéficieraient à un nombre limité de collectivités territoriales peu peuplées alors que le projet de territoire sera plus large. C’est pourquoi, au regard du caractère élevé des produits fiscaux considérés, une mission conjointe de l’Inspection générale de l’administration et de l’Inspection générale des finances (IGA-IGF) a rendu un rapport en mars 2017 visant notamment à les répartir de façon plus équilibrée entre les collectivités concernées. La mission avait alors estimé que l’utilisation de la taxe de stockage, taxe additionnelle à la taxe sur les installations nucléaires de base, pouvait permettre une péréquation efficace pour équilibrer les retombées fiscales de Cigéo sans modifier les dispositions de droit commun. L’article 127 de la loi de finances pour 2021 a instauré un régime fiscal spécifique pour le projet Cigéo inspiré des recommandations du rapport IGA-IGF. Ces dispositions de l’article 127 de la loi de finances pour 2021 nécessitent néanmoins des compléments pour permettre leur application, notamment par une mesure fiscale présentée dans un article de première partie du projet de loi de finances pour 2025, mais également par la présente mesure. Elle vise à créer un dispositif de répartition du produit de la taxe de stockage entre les collectivités concernées tenant compte des résultats de la concertation locale menée par la préfecture de la Meuse, conformément à l’esprit des recommandations du rapport IGA-IGF de mars 2017. Elle propose également de sécuriser, au plan juridique, les modalités existantes d’affectation du produit de la taxe de stockage acquittée par le centre de stockage de l’Aube (CSA) des déchets radioactifs de faible et moyenne activité à vie courte, en adoptant une rédaction cohérente avec celle proposée pour définir les modalités de répartition du produit de la future taxe de stockage acquittée par Cigéo. Elle propose enfin d’adapter les modalités d’affectation du produit de la taxe d’accompagnement aux collectivités concernées avant la publication du décret d’autorisation de création de Cigéo, afin de pouvoir répondre aux enjeux posés localement par la présence du laboratoire de l’Andra avant l’entrée en vigueur de la taxe de stockage au moment de l’obtention de l’autorisation de création de Cigéo. |
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ARTICLE 64 :
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Exposé des motifs
Afin d’associer les collectivités territoriales à l’effort de redressement des finances publiques, notamment prévu au I de l’article 17 de la loi n° 2023-1195 du 18 décembre 2023 de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027, le présent article, tend à instituer un mécanisme de mise en réserve pour les finances locales. Celui-ci prend la forme d’un fonds abondé par les prélèvements sur le montant des impositions revenant aux communes, aux départements, aux régions et à leurs établissements publics à fiscalité propre, et dont les dépenses réelles de fonctionnement sont supérieures à 40 millions d’euros. Il est également prévu une règle d’exonération pour les collectivités dont les indicateurs de ressources et de charges tels que mesurés dans le cadre des dispositifs de péréquation (dotation de solidarité urbaine, dotation de solidarité rurale, dotation d’intercommunalité, fonds de sauvegarde des départements, fonds de solidarité régional) sont les plus dégradés. L’abondement de ce fonds serait conditionné au relevé d’un écart entre un solde de référence des collectivités territoriales et de leurs établissements publics et le solde effectivement réalisé au cours de l’année précédente. L’abondement du fonds est réparti entre les collectivités territoriales et les établissements contributeurs au prorata de la somme des ressources nettes qui leur a été versée sur l’année civile précédente. Les produits fiscaux constitutionnellement dus au titre du droit à compensation, de même les établissements publics fonciers locaux, sont formellement exclus du champ d’application du prélèvement. Ce dispositif se rapproche de mécanismes déjà prévus par la loi. Il existe au moins trois catégories de prélèvements sur les avances de fiscalité locale : les prélèvements réalisés au titre de dégrèvements d’impôts mis à la charge des collectivités ; les prélèvements effectués en application d’un mécanisme de péréquation visant à réduire des écarts de ressources entre les collectivités ; les prélèvements appliqués en vertu d’un principe général de participation des collectivités à l’équilibre des finances publiques. Les sommes prélevées en application du présent article sont reversées sur un fonds de réserve des collectivités territoriales. Par ailleurs, cet article dispose que les sommes mises en réserve une année donnée, abondent les trois années suivantes, à hauteur d’un tiers par année, les montants mis en répartition au titre de la péréquation horizontale. Le Comité des finances locales (CFL) peut chaque année majorer ou minorer cet abondement dans la limite de 10 %, la différence étant régularisée l’année suivante. L’abondement est réparti par le comité des finances locales entre les trois instruments nationaux de péréquation horizontale du bloc communal (fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales), des départements (fonds national de péréquation des droits de mutation à titre onéreux perçus par les départements) et des régions (fonds de solidarité régionale). Afin de tenir compte des délais de répartition des différents fonds de péréquation, en particulier les délais laissés aux collectivités pour adopter une répartition dérogatoire du fonds de péréquation des ressources intercommunales et communales (FPIC), les décisions du comité des finances locales doivent intervenir avant le 28 février de chaque année. Enfin, et à titre de coordination légistique, cet article modifie les articles du code général des collectivités territoriales relatifs aux trois fonds susmentionnés, afin de prévoir leur possible abondement par ce mécanisme. |
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Projet de loi de finances |
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BUDGET GÉNÉRAL
(en euros) |
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Intitulé de la recette |
Évaluation |
Recettes fiscales |
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1. Impôt net sur le revenu |
93 797 255 283 |
1101-Net Impôt net sur le revenu |
93 797 255 283 |
2. Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 898 900 000 |
1201 Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 898 900 000 |
3. Impôt net sur les sociétés |
56 245 626 067 |
1301-Net Impôt net sur les sociétés |
56 245 626 067 |
3bis. Contribution sociale sur les bénéfices des sociétés |
1 575 000 000 |
1302 Contribution sociale sur les bénéfices des sociétés |
1 575 000 000 |
3ter. Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
305 000 000 |
1303 Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
305 000 000 |
4. Autres impôts directs et taxes assimilées |
40 434 826 658 |
1401 Retenues à la source sur certains bénéfices non commerciaux et de l'impôt sur le revenu |
1 129 220 099 |
1402 Retenues à la source et prélèvements sur les revenus de capitaux mobiliers et le prélèvement sur les bons anonymes |
5 100 000 000 |
1403 Prélèvements sur les bénéfices tirés de la construction immobilière (loi n°63-254 du 15 mars 1963 art 28-IV) |
0 |
1404 Précompte dû par les sociétés au titre de certains bénéfices distribués (loi n°65-566 du 12 juillet 1965 art 3) |
0 |
1405 Prélèvement exceptionnel de 25% sur les distributions de bénéfices |
1 135 409 |
1406 Impôt sur la fortune immobilière |
2 440 168 282 |
1407 Taxe sur les locaux à usage de bureaux, les locaux commerciaux et de stockage |
17 109 309 |
1408 Prélèvements sur les entreprises d'assurance |
158 744 849 |
1409 Taxe sur les salaires |
0 |
1410 Cotisation minimale de taxe professionnelle |
822 828 |
1411 Cotisations perçues au titre de la participation des employeurs à l'effort de construction |
27 125 061 |
1412 Taxe de participation des employeurs au financement de la formation professionnelle continue |
45 424 898 |
1413 Taxe forfaitaire sur les métaux précieux, les bijoux, les objets d'art, de collection et d'antiquité |
118 765 117 |
1415 Contribution des institutions financières |
0 |
1416 Taxe sur les surfaces commerciales |
235 548 971 |
1421 Cotisation nationale de péréquation de taxe professionnelle |
1 204 927 |
1427 Prélèvements de solidarité |
15 143 897 939 |
1429 Taxe sur les gestionnaires d'infrastructures de transport (écrêtement) |
0 |
1430 Taxe sur les services numériques |
774 000 000 |
1431 Taxe d’habitation sur les résidences principales |
0 |
1440 Contribution différentielle applicable à certains contribuables titulaires de très hauts revenus |
2 000 000 000 |
1441 Contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises |
8 000 000 000 |
1497 Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises |
4 024 859 056 |
1498 Cotisation foncière des entreprises |
2 292 405 |
1499 Recettes diverses |
1 214 507 508 |
5. Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques nette |
16 495 914 417 |
1501-Net Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques nette |
16 495 914 417 |
6. Taxe sur la valeur ajoutée nette |
106 222 580 696 |
1601-Net Taxe sur la valeur ajoutée nette |
106 222 580 696 |
7. Enregistrement, timbre, autres contributions et taxes indirectes |
47 216 397 701 |
1701 Mutations à titre onéreux de créances, rentes, prix d'offices |
556 019 250 |
1702 Mutations à titre onéreux de fonds de commerce |
257 224 977 |
1703 Mutations à titre onéreux de meubles corporels |
767 182 |
1704 Mutations à titre onéreux d'immeubles et droits immobiliers |
97 184 782 |
1705 Mutations à titre gratuit entre vifs (donations) |
4 133 191 843 |
1706 Mutations à titre gratuit par décès |
15 652 012 042 |
1707 Contribution de sécurité immobilière |
736 945 916 |
1711 Autres conventions et actes civils |
478 961 752 |
1712 Actes judiciaires et extrajudiciaires |
0 |
1713 Taxe de publicité foncière |
652 831 584 |
1714 Prélèvement sur les sommes versées par les organismes d'assurances et assimilés à raison des contrats d'assurances en cas de décès |
432 276 113 |
1715 Taxe additionnelle au droit de bail |
0 |
1716 Recettes diverses et pénalités |
203 337 545 |
1721 Timbre unique |
519 574 167 |
1722 Taxe sur les véhicules de société |
0 |
1723 Actes et écrits assujettis au timbre de dimension |
0 |
1725 Permis de chasser |
0 |
1726 Produit de la taxe additionnelle à la taxe sur les certifications d'immatriculation des véhicules |
1 386 347 815 |
1751 Droits d'importation |
0 |
1752 Contribution sur la rente infra-marginale de la production d'électricité |
40 000 000 |
1753 Autres taxes intérieures |
7 813 755 967 |
1754 Autres droits et recettes accessoires |
4 563 414 |
1755 Amendes et confiscations |
42 491 019 |
1756 Taxe générale sur les activités polluantes |
1 294 000 000 |
1757 Cotisation à la production sur les sucres |
0 |
1758 Droit de licence sur la rémunération des débitants de tabac |
0 |
1761 Taxe et droits de consommation sur les tabacs |
67 000 000 |
1766 Garantie des matières d'or et d'argent |
0 |
1768 Taxe spéciale sur certains véhicules routiers |
179 916 298 |
1769 Autres droits et recettes à différents titres |
117 846 375 |
1773 Taxe sur les achats de viande |
0 |
1774 Taxe spéciale sur la publicité télévisée |
0 |
1776 Redevances sanitaires d'abattage et de découpage |
50 590 568 |
1777 Taxe sur certaines dépenses de publicité |
17 912 746 |
1780 Taxe de l'aviation civile |
0 |
1781 Taxe sur les installations nucléaires de base |
559 619 337 |
1782 Taxes sur les stations et liaisons radioélectriques privées |
25 381 183 |
1785 Produits des jeux exploités par la Française des jeux (hors paris sportifs) |
2 966 713 149 |
1786 Prélèvements sur le produit des jeux dans les casinos |
973 694 127 |
1787 Prélèvement sur le produit brut des paris hippiques |
402 004 649 |
1788 Prélèvement sur les paris sportifs |
954 511 690 |
1789 Prélèvement sur les jeux de cercle en ligne |
125 722 211 |
1790 Redevance sur les paris hippiques en ligne |
0 |
1796 Taxe sur les rachats d'actions |
200 000 000 |
1797 Taxe sur les transactions financières |
1 868 000 000 |
1798 Impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (affectation temporaire à l'Etat en 2010) |
0 |
1799 Autres taxes |
4 406 000 000 |
8. Autres remboursements et dégrèvements d'impôts d'État |
-7 584 018 197 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État, autres que ceux s'appliquant à l'impôt sur le revenu, l'impôt sur les sociétés, la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques et la taxe sur la valeur ajoutée |
-7 584 018 197 |
Recettes non fiscales |
|
1. Dividendes et recettes assimilées |
5 952 958 135 |
2110 Produits des participations de l'État dans des entreprises financières |
1 466 600 000 |
2116 Produits des participations de l'État dans des entreprises non financières et bénéfices des établissements publics non financiers |
4 471 576 000 |
2199 Autres dividendes et recettes assimilées |
14 782 135 |
2. Produits du domaine de l'État |
1 623 680 928 |
2201 Revenus du domaine public non militaire |
911 048 926 |
2202 Autres revenus du domaine public |
10 663 417 |
2203 Revenus du domaine privé |
381 550 885 |
2204 Redevances d'usage des fréquences radioélectriques |
319 000 000 |
2211 Produit de la cession d'éléments du patrimoine immobilier de l'État |
0 |
2212 Autres produits de cessions d'actifs |
0 |
2299 Autres revenus du Domaine |
1 417 700 |
3. Produits de la vente de biens et services |
2 540 556 234 |
2301 Remboursement par l'Union européenne des frais d'assiette et de perception des impôts et taxes perçus au profit de son budget |
666 601 658 |
2303 Autres frais d'assiette et de recouvrement |
1 086 406 723 |
2304 Rémunération des prestations assurées par les services du Trésor Public au titre de la collecte de l'épargne |
37 271 523 |
2305 Produits de la vente de divers biens |
17 197 |
2306 Produits de la vente de divers services |
3 584 747 |
2399 Autres recettes diverses |
746 674 386 |
4. Remboursements et intérêts des prêts, avances et autres immobilisations financières |
1 267 251 719 |
2401 Intérêts des prêts à des banques et à des États étrangers |
352 000 000 |
2402 Intérêts des prêts du fonds de développement économique et social |
37 681 547 |
2403 Prêts et avances à divers services de l’État ou organismes gérant des services publics |
73 055 824 |
2409 Intérêts des autres prêts et avances |
130 000 000 |
2411 Avances remboursables sous conditions consenties à l'aviation civile |
100 900 000 |
2412 Autres avances remboursables sous conditions |
0 |
2413 Reversement au titre des créances garanties par l'État |
6 814 348 |
2499 Autres remboursements d'avances, de prêts et d'autres créances immobilisées |
566 800 000 |
5. Amendes, sanctions, pénalités et frais de poursuites |
2 737 663 409 |
2501 Produits des amendes de la police de la circulation et du stationnement routiers |
769 878 190 |
2502 Produits des amendes prononcées par les autorités de la concurrence |
727 988 735 |
2503 Produits des amendes prononcées par les autres autorités administratives indépendantes |
116 389 224 |
2504 Recouvrements poursuivis à l'initiative de l'agence judiciaire de l'Etat |
13 132 803 |
2505 Produit des autres amendes et condamnations pécuniaires |
1 092 052 409 |
2510 Frais de poursuite |
6 702 896 |
2511 Frais de justice et d'instance |
8 324 591 |
2512 Intérêts moratoires |
2 462 |
2513 Pénalités |
3 192 099 |
6. Divers |
6 426 437 787 |
2601 Reversements de Natixis |
1 879 848 |
2602 Reversements au titre des procédures de soutien financier au commerce extérieur |
697 800 000 |
2603 Prélèvements sur les fonds d'épargne gérés par la Caisse des Dépôts et Consignations |
200 000 000 |
2604 Divers produits de la rémunération de la garantie de l'État |
287 883 000 |
2611 Produits des chancelleries diplomatiques et consulaires |
289 355 000 |
2612 Redevances et divers produits pour frais de contrôle et de gestion |
13 891 205 |
2613 Prélèvement effectué sur les salaires des conservateurs des hypothèques |
0 |
2614 Prélèvements effectués dans le cadre de la directive épargne |
0 |
2615 Commissions et frais de trésorerie perçus par l'État dans le cadre de son activité régalienne |
51 438 |
2616 Frais d'inscription |
6 862 538 |
2617 Recouvrement des indemnisations versées par l'État au titre des expulsions locatives |
6 793 774 |
2618 Remboursement des frais de scolarité et accessoires |
5 820 497 |
2620 Récupération d'indus |
62 606 602 |
2621 Recouvrements après admission en non-valeur |
118 369 920 |
2622 Divers versements de l'Union européenne |
3 262 000 000 |
2623 Reversements de fonds sur les dépenses des ministères ne donnant pas lieu à rétablissement de crédits |
52 771 551 |
2624 Intérêts divers (hors immobilisations financières) |
40 036 983 |
2625 Recettes diverses en provenance de l'étranger |
2 894 148 |
2626 Remboursement de certaines exonérations de taxe foncière sur les propriétés non bâties (art.109 de la loi de finances pour 1992) |
3 670 958 |
2627 Soulte sur reprise de dette et recettes assimilées |
0 |
2697 Recettes accidentelles |
412 162 094 |
2698 Produits divers |
497 741 018 |
2699 Autres produits divers |
463 847 213 |
Prélèvements sur les recettes de l'État |
|
1. Prélèvements sur les recettes de l'État au profit des collectivités territoriales |
44 188 897 951 |
3101 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation globale de fonctionnement |
27 244 686 833 |
3103 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation spéciale pour le logement des instituteurs |
4 253 232 |
3104 Dotation de compensation des pertes de bases de la taxe professionnelle et de redevance des mines des communes et de leurs groupements |
30 000 000 |
3106 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit du Fonds de compensation pour la taxe sur la valeur ajoutée (FCTVA) |
6 846 000 000 |
3107 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation d'exonérations relatives à la fiscalité locale |
710 856 803 |
3108 Dotation élu local |
123 506 000 |
3109 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de la collectivité de Corse |
42 946 742 |
3111 Fonds de mobilisation départementale pour l'insertion |
431 738 376 |
3112 Dotation départementale d'équipement des collèges |
326 317 000 |
3113 Dotation régionale d'équipement scolaire |
661 186 000 |
3118 Dotation globale de construction et d'équipement scolaire |
2 686 000 |
3119 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (régions) |
278 463 770 |
3120 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (départements) |
1 204 315 500 |
3121 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (établissements publics de coopération intercommunale) |
740 565 262 |
3122 Dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (communes) |
187 975 518 |
3123 Dotation pour transferts de compensations d'exonérations de fiscalité directe locale |
378 003 970 |
3130 Dotation de compensation de la réforme de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale percevant la taxe d'habitation sur les logements vacants |
4 000 000 |
3131 Dotation de compensation liée au processus de départementalisation de Mayotte |
107 000 000 |
3133 Fonds de compensation des nuisances aéroportuaires |
6 822 000 |
3134 Dotation de garantie des reversements des fonds départementaux de taxe professionnelle |
214 278 401 |
3135 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation des pertes de recettes liées au relèvement du seuil d'assujettissement des entreprises au versement transport |
48 020 650 |
3136 Prélèvement sur les recettes de l’État au profit de la collectivité territoriale de Guyane |
27 000 000 |
3137 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit des régions au titre de la neutralisation financière de la réforme de l'apprentissage |
122 559 085 |
3138 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la dotation globale d'autonomie de la Polynésie française |
90 552 000 |
3145 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation de la réduction de 50 % des valeurs locatives de taxe foncière sur les propriétés bâties et de cotisation foncière des entreprises des locaux industriels |
4 291 098 809 |
3146 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation des communes et des établissements publics de coopération intercommunale contributeurs au fonds national de garantie individuelle des ressources (FNGIR) subissant une perte de base de cotisation foncière des entreprises |
3 000 000 |
3158 Prélèvement sur les recettes de l’État au titre du soutien exceptionnel, au titre de l’année 2023, pour les collectivités territoriales face à la croissance des prix de l’énergie |
0 |
3159 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation de la réforme de 2023 de la taxe sur les logements vacants pour les communes et les établissements publics de coopération intercommunale percevant la taxe d'habitation sur les logements vacants |
33 366 000 |
3160 Prélèvement sur les recettes de l'État en faveur des communes nouvelles |
24 400 000 |
3161 Prélèvement sur les recettes de l'État visant à abonder le fonds de sauvegarde des départements pour l'année 2024 |
0 |
3162 Prélèvement sur les recettes de l'État destiné à compenser les pertes de recettes résultant de l'exonération de taxe foncière sur les propriétés bâties |
0 |
3163 Prélèvement sur les recettes de l'État au titre de la compensation et du lissage des pertes exceptionnelles de recettes de taxe foncière sur les propriétés bâties |
3 300 000 |
2. Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de l'Union européenne |
23 320 855 052 |
3201 Prélèvement sur les recettes de l'État au profit du budget de l'Union européenne |
23 320 855 052 |
Fonds de concours et attributions de produits |
6 150 298 778 |
Récapitulation des recettes du budget général
(en euros) |
|
Intitulé de la recette |
Évaluation |
Recettes fiscales |
357 607 482 625 |
Impôt net sur le revenu |
93 797 255 283 |
Autres impôts directs perçus par voie d'émission de rôles |
2 898 900 000 |
Impôt net sur les sociétés |
56 245 626 067 |
Contribution sociale sur les bénéfices des sociétés |
1 575 000 000 |
Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés |
305 000 000 |
Autres impôts directs et taxes assimilées |
40 434 826 658 |
Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques nette |
16 495 914 417 |
Taxe sur la valeur ajoutée nette |
106 222 580 696 |
Enregistrement, timbre, autres contributions et taxes indirectes |
47 216 397 701 |
Autres remboursements et dégrèvements d'impôts d'État |
-7 584 018 197 |
Recettes non fiscales |
20 548 548 212 |
Dividendes et recettes assimilées |
5 952 958 135 |
Produits du domaine de l'État |
1 623 680 928 |
Produits de la vente de biens et services |
2 540 556 234 |
Remboursements et intérêts des prêts, avances et autres immobilisations financières |
1 267 251 719 |
Amendes, sanctions, pénalités et frais de poursuites |
2 737 663 409 |
Divers |
6 426 437 787 |
Total des recettes fiscales et non fiscales (I) |
378 156 030 837 |
Prélèvements sur les recettes de l'État |
67 509 753 003 |
Prélèvements sur les recettes de l'État au profit des collectivités territoriales |
44 188 897 951 |
Prélèvement sur les recettes de l'État au profit de l'Union européenne |
23 320 855 052 |
Total des recettes (I), nettes des prélèvements |
310 646 277 834 |
Fonds de concours et attributions de produits |
6 150 298 778 |
BUDGETS ANNEXES
(en euros) |
|
Intitulé de la recette |
Évaluation |
Contrôle et exploitation aériens |
2 675 744 821 |
Redevances de route |
1 741 033 840 |
Redevances pour services terminaux de la circulation aérienne pour la métropole |
273 116 182 |
Redevance océanique et redevances pour services terminaux de la circulation aérienne en outre-mer |
46 700 000 |
Redevances de surveillance et de certification |
28 850 000 |
Tarif de l'aviation civile (part de la taxe sur le transport aérien de marchandises et de la taxe sur le transport aérien de passagers) |
545 790 968 |
Contribution Bâle-Mulhouse |
9 057 935 |
Frais d'assiette et recouvrement sur taxes perçues pour le compte de tiers |
6 376 512 |
Recettes diverses |
3 500 000 |
Produit de cession d'actif |
2 000 000 |
Total des recettes et des ressources de financement |
2 656 425 437 |
Fonds de concours et attributions de produits |
19 319 384 |
Publications officielles et information administrative |
181 000 000 |
Bulletin officiel des annonces des marchés publics |
71 100 000 |
Bulletin des annonces légales et obligatoires |
6 600 000 |
Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales |
100 000 000 |
Journal officiel de la République française - Lois et Décrets |
0 |
Vente de publications et abonnements |
1 000 000 |
Prestations et travaux d'édition |
1 800 000 |
Autres activités |
500 000 |
Produit de cession d'actif |
0 |
Total des recettes et des ressources de financement |
181 000 000 |
Fonds de concours et attributions de produits |
0 |
COMPTES D'AFFECTATION SPÉCIALE
(en euros) |
||
Numéro de ligne |
Intitulé de la recette |
Évaluation |
|
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
1 864 195 831 |
|
Contrôle automatisé |
336 340 107 |
01 |
Amendes perçues par la voie du système de contrôle-sanction automatisé |
336 340 107 |
02 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Circulation et stationnement routiers |
1 527 855 724 |
03 |
Amendes perçues par la voie du système de contrôle-sanction automatisé |
170 000 000 |
04 |
Amendes forfaitaires de la police de la circulation et amendes forfaitaires majorées issues des infractions constatées par la voie du système de contrôle-sanction automatisé et des infractions aux règles de la police de la circulation |
1 357 855 724 |
05 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Développement agricole et rural |
153 600 000 |
01 |
Taxe sur le chiffre d'affaires des exploitations agricoles |
153 600 000 |
03 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale |
377 000 000 |
01 |
Fraction du produit de l’accise sur l’électricité affectée au financement des aides aux collectivités pour l’électrification rurale |
377 000 000 |
02 |
Recettes diverses ou accidentelles |
|
|
Gestion du patrimoine immobilier de l'État |
340 000 000 |
01 |
Produits des cessions immobilières |
230 000 000 |
02 |
Produits de redevances domaniales |
110 000 000 |
|
Participations financières de l'État |
9 568 980 084 |
01 |
Produit des cessions, par l'État, de titres, parts ou droits de sociétés détenus directement |
728 000 000 |
02 |
Reversement de produits, sous toutes formes, résultant des cessions de titres, parts ou droits de sociétés détenus indirectement par l'État |
|
03 |
Reversement de dotations en capital et de produits de réduction de capital ou de liquidation |
|
04 |
Remboursement de créances rattachées à des participations financières |
|
05 |
Remboursements de créances liées à d'autres investissements, de l'État, de nature patrimoniale |
185 500 000 |
06 |
Versement du budget général |
8 655 480 084 |
|
Pensions |
67 413 970 700 |
|
Pensions civiles et militaires de retraite et allocations temporaires d'invalidité |
64 036 580 716 |
01 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension |
4 870 568 312 |
02 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension |
6 058 898 |
03 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
892 311 492 |
04 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
27 725 143 |
05 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
70 207 079 |
06 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de France Télécom et agents détachés à France Télécom |
51 380 728 |
07 |
Personnels civils : retenues pour pensions : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
324 799 773 |
08 |
Personnels civils : retenues pour pensions : validation des services auxiliaires : part agent : retenues rétroactives, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
7 599 189 |
09 |
Personnels civils : retenues pour pensions : rachat des années d'études |
4 300 000 |
10 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État : surcotisations salariales du temps partiel et des cessations progressives d'activité |
15 528 929 |
11 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres des établissements publics et agents détachés hors l'État : surcotisations salariales du temps partiel et des cessations progressives d'activité |
|
12 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres de La Poste et agents détachés à La Poste |
132 116 692 |
14 |
Personnels civils : retenues pour pensions : agents propres et détachés des budgets annexes |
39 509 771 |
21 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension (hors allocation temporaire d'invalidité) |
35 077 620 585 |
22 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors allocation temporaire d'invalidité) |
41 963 089 |
23 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
6 170 439 800 |
24 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
114 994 511 |
25 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
394 009 552 |
26 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres de France Télécom et agents détachés à France Télécom |
239 616 269 |
27 |
Personnels civils : contributions des employeurs : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
1 263 756 745 |
28 |
Personnels civils : contributions des employeurs : validation des services auxiliaires : part employeur : complément patronal, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
6 075 508 |
32 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres de La Poste et agents détachés à La Poste |
224 541 126 |
33 |
Personnels civils : contributions des employeurs : allocation temporaire d'invalidité |
177 174 917 |
34 |
Personnels civils : contributions des employeurs : agents propres et détachés des budgets annexes |
278 629 836 |
41 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension |
998 538 020 |
42 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension |
104 477 |
43 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
2 613 652 |
44 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
1 052 061 |
45 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
860 743 |
47 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
62 998 030 |
48 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : validation des services auxiliaires : part agent : retenues rétroactives, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
6 109 |
49 |
Personnels militaires : retenues pour pensions : rachat des années d'études |
1 500 000 |
51 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents propres de l'État et agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi conduisant à pension |
10 468 105 721 |
52 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents détachés dans une administration de l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension |
1 205 508 |
53 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents propres des établissements publics et agents détachés en établissement public sur un emploi conduisant à pension |
18 596 648 |
54 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents détachés dans les collectivités et établissements publics locaux sur un emploi conduisant à pension |
7 229 218 |
55 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : agents détachés hors l'État sur un emploi ne conduisant pas à pension (hors France Télécom et hors La Poste) |
3 154 629 |
57 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : primes et indemnités ouvrant droit à pension |
782 487 956 |
58 |
Personnels militaires : contributions des employeurs : validation des services auxiliaires : part employeur : complément patronal, versements du régime général, des autres régimes de base et de l'IRCANTEC |
|
61 |
Recettes diverses (administration centrale) : Caisse nationale de retraite des agents des collectivités locales (CNRACL) : transfert au titre de l'article 59 de la loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 |
356 000 000 |
62 |
Recettes diverses (administration centrale) : La Poste : versement de la contribution exceptionnelle de l'Établissement public national de financement des retraites de La Poste |
|
63 |
Recettes diverses (administration centrale) : versement du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) au titre de la majoration du minimum vieillesse : personnels civils |
1 200 000 |
64 |
Recettes diverses (administration centrale) : versement du Fonds de solidarité vieillesse (FSV) au titre de la majoration du minimum vieillesse : personnels militaires |
|
65 |
Recettes diverses (administration centrale) : compensation démographique généralisée : personnels civils |
867 000 000 |
66 |
Recettes diverses (administration centrale) : compensation démographique généralisée : personnels militaires |
|
67 |
Recettes diverses : récupération des indus sur pensions : personnels civils |
15 000 000 |
68 |
Recettes diverses : récupération des indus sur pensions : personnels militaires |
9 000 000 |
69 |
Autres recettes diverses |
9 000 000 |
|
Ouvriers des établissements industriels de l'État |
2 127 428 293 |
71 |
Cotisations salariales et patronales |
290 794 505 |
72 |
Contribution au Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l'État (FSPOEIE) et au Fonds des rentes d'accident du travail des ouvriers civils des établissements militaires (RATOCEM) |
1 714 802 697 |
73 |
Compensations inter-régimes généralisée et spécifique |
108 000 000 |
74 |
Recettes diverses |
13 682 053 |
75 |
Autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
149 038 |
|
Pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre et autres pensions |
1 249 961 691 |
81 |
Financement de la retraite du combattant : participation du budget général |
505 049 999 |
82 |
Financement de la retraite du combattant : autres moyens |
|
83 |
Financement du traitement de membres de la Légion d'honneur : participation du budget général |
160 000 |
84 |
Financement du traitement de membres de la Légion d'honneur : autres moyens |
|
85 |
Financement du traitement de personnes décorées de la Médaille militaire : participation du budget général |
603 500 |
86 |
Financement du traitement de personnes décorées de la Médaille militaire : autres moyens |
|
87 |
Financement des pensions militaires d'invalidité : participation du budget général |
662 080 762 |
88 |
Financement des pensions militaires d'invalidité : autres moyens |
|
89 |
Financement des pensions d'Alsace-Lorraine : participation du budget général |
17 000 000 |
90 |
Financement des pensions d'Alsace-Lorraine : autres moyens |
|
91 |
Financement des allocations de reconnaissance des anciens supplétifs : participation du budget général |
52 789 530 |
92 |
Financement des pensions des anciens agents du chemin de fer franco-éthiopien : participation du budget général |
27 206 |
93 |
Financement des pensions des sapeurs-pompiers et anciens agents de la défense passive victimes d'accident : participation du budget général |
12 188 694 |
94 |
Financement des pensions de l'ORTF : participation du budget général |
62 000 |
95 |
Financement des pensions des anciens agents du chemin de fer franco-éthiopien : autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
|
96 |
Financement des pensions des sapeurs-pompiers et anciens agents de la défense passive victimes d'accident : autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
|
97 |
Financement des pensions de l'ORTF : autres financements : Fonds de solidarité vieillesse (FSV), Fonds de solidarité invalidité (FSI) et cotisations rétroactives |
|
98 |
Financement des pensions de l'ORTF : recettes diverses |
|
|
Total des recettes |
79 717 746 615 |
COMPTES DE CONCOURS FINANCIERS
(en euros) |
||
Numéro de ligne |
Intitulé de la recette |
Évaluation |
|
Accords monétaires internationaux |
0 |
01 |
Remboursements des appels en garantie de convertibilité concernant l'Union monétaire ouest-africaine |
|
02 |
Remboursements des appels en garantie de convertibilité concernant l'Union monétaire d'Afrique centrale |
|
03 |
Remboursements des appels en garantie de convertibilité concernant l'Union des Comores |
|
|
Avances à l'audiovisuel public |
0 |
01 |
Recettes |
|
|
Avances aux collectivités territoriales et aux collectivités régies par les articles 73, 74 et 76 de la Constitution |
133 724 525 070 |
|
Avances aux collectivités et établissements publics, et aux collectivités régies par l’article 74 de la Constitution |
0 |
01 |
Remboursement des avances de l’article 70 de la loi du 31 mars 1932 et de l’article L. 2336-1 du code général des collectivités territoriales |
|
02 |
Remboursement des avances de l’article 14 de la loi n° 46-2921 du 23 décembre 1946 et de l’article L. 2336-2 du code général des collectivités territoriales |
|
03 |
Remboursement des avances de l’article 34 de la loi n° 53-1336 du 31 décembre 1953 (avances spéciales sur recettes budgétaires) |
|
04 |
Avances à la Nouvelle-Calédonie (fiscalité nickel) |
|
|
Avances sur le montant des impositions revenant aux régions, départements, communes, établissements et divers organismes |
133 724 525 070 |
05 |
Recettes diverses |
62 542 989 684 |
09 |
Taxe d’habitation et taxes annexes |
3 796 970 187 |
10 |
Taxes foncières et taxes annexes |
55 355 126 308 |
11 |
Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises |
341 000 000 |
12 |
Cotisation foncière des entreprises et taxes annexes |
11 688 438 891 |
|
Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d’autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l’épidémie de covid-19 |
0 |
13 |
Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d’autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l’épidémie de covid-19 |
|
|
Prêts à des États étrangers |
480 481 801 |
|
Prêts à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France |
262 393 839 |
01 |
Remboursement des prêts accordés à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France |
262 393 839 |
|
Prêts à des États étrangers pour consolidation de dettes envers la France |
51 587 962 |
02 |
Remboursement de prêts du Trésor |
51 587 962 |
|
Prêts à l'Agence française de développement en vue de favoriser le développement économique et social dans des États étrangers |
166 500 000 |
03 |
Remboursement de prêts octroyés par l'Agence française de développement |
166 500 000 |
|
Prêts aux États membres de la zone euro |
0 |
04 |
Remboursement des prêts consentis aux États membres de l'Union européenne dont la monnaie est l'euro |
0 |
|
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
322 408 754 |
|
Prêts et avances pour le logement des agents de l'État |
0 |
02 |
Avances aux agents de l'État pour l'amélioration de l'habitat |
|
04 |
Avances aux agents de l'État à l'étranger pour la prise en location d'un logement |
|
|
Prêts pour le développement économique et social |
322 408 754 |
05 |
Prêts accordés au titre du soutien à la filière nickel |
0 |
06 |
Prêts pour le développement économique et social |
305 408 754 |
07 |
Prêts à la filière automobile |
|
09 |
Prêts aux petites et moyennes entreprises |
|
12 |
Prêts octroyés dans le cadre des programmes d’investissement d’avenir |
17 000 000 |
|
Prêts à la société concessionnaire de la liaison express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle |
0 |
10 |
Prêts à la société concessionnaire de la liaison express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle |
|
|
Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine |
0 |
11 |
Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine |
|
|
Prêts et avances à divers services de l'État ou organismes gérant des services publics |
10 971 275 696 |
01 |
Remboursement des avances octroyées au titre du préfinancement des aides communautaires de la politique agricole commune |
10 000 000 000 |
03 |
Remboursement des avances octroyées à des organismes distincts de l'État et gérant des services publics |
472 708 881 |
04 |
Remboursement des prêts et avances octroyés à des services de l'État |
365 471 365 |
05 |
Remboursement des avances octroyées au titre de l'indemnisation des victimes du Benfluorex |
15 000 000 |
06 |
Remboursement des prêts octroyés aux exploitants d'aéroports touchés par la crise de covid-19 au titre des dépenses de sûreté-sécurité |
78 095 450 |
07 |
Remboursement des prêts octroyés à Île-de-France Mobilités à la suite des conséquences de l’épidémie de covid-19 |
40 000 000 |
08 |
Remboursement des prêts destinés à soutenir les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) à la suite des conséquences de l'épidémie de Covid-19 |
|
10 |
Remboursement des prêts octroyés à FranceAgriMer au titre des préfinancements de fonds européens |
0 |
|
Total des recettes |
145 498 691 321 |
Projet de loi de finances |
1 |
BUDGET GÉNÉRAL
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Action extérieure de l'État |
3 527 537 701 |
3 532 510 413 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
2 695 075 107 |
2 699 644 119 |
dont titre 2 |
1 343 764 707 |
1 343 764 707 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
675 935 494 |
675 935 494 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
156 527 100 |
156 930 800 |
Administration générale et territoriale de l'État |
4 709 255 596 |
4 960 943 626 |
Administration territoriale de l'État |
2 746 226 114 |
2 665 652 606 |
dont titre 2 |
2 084 720 131 |
2 084 720 131 |
Vie politique |
98 342 852 |
100 262 544 |
dont titre 2 |
5 363 296 |
5 363 296 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
1 864 686 630 |
2 195 028 476 |
dont titre 2 |
880 967 454 |
880 967 454 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
4 619 627 841 |
4 435 643 789 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
2 511 950 264 |
2 458 472 665 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
926 923 512 |
860 481 527 |
dont titre 2 |
358 779 499 |
358 779 499 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
732 254 065 |
668 189 597 |
dont titre 2 |
575 250 295 |
575 250 295 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
448 500 000 |
448 500 000 |
Aide publique au développement |
5 673 705 220 |
5 153 965 943 |
Aide économique et financière au développement |
2 519 229 419 |
1 720 674 817 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
145 000 000 |
145 000 000 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
2 131 148 051 |
2 409 963 376 |
Restitution des « biens mal acquis » |
140 327 750 |
140 327 750 |
Fonds de solidarité pour le développement |
738 000 000 |
738 000 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 901 882 102 |
1 905 972 102 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 816 528 043 |
1 820 618 043 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
85 354 059 |
85 354 059 |
dont titre 2 |
1 589 256 |
1 589 256 |
Audiovisuel public |
4 029 162 945 |
4 029 162 945 |
France Télévisions |
2 548 827 000 |
2 548 827 000 |
ARTE France |
298 114 886 |
298 114 886 |
Radio France |
660 133 908 |
660 133 908 |
France Médias Monde |
302 883 551 |
302 883 551 |
Institut national de l'audiovisuel |
104 961 144 |
104 961 144 |
TV5 Monde |
84 242 456 |
84 242 456 |
Programme de transformation |
30 000 000 |
30 000 000 |
Cohésion des territoires |
23 485 036 733 |
23 781 229 009 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 906 145 925 |
2 930 899 369 |
Aide à l'accès au logement |
17 015 584 000 |
17 015 584 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
2 688 068 963 |
2 995 823 013 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
248 332 912 |
211 745 312 |
dont titre 2 |
8 107 239 |
8 107 239 |
Politique de la ville |
549 579 643 |
549 579 643 |
dont titre 2 |
19 143 320 |
19 143 320 |
Interventions territoriales de l'État |
77 325 290 |
77 597 672 |
Conseil et contrôle de l'État |
816 742 637 |
899 725 973 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
516 240 801 |
603 980 812 |
dont titre 2 |
458 302 398 |
458 302 398 |
Conseil économique, social et environnemental |
34 855 389 |
34 855 389 |
dont titre 2 |
27 777 882 |
27 777 882 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
265 646 447 |
260 889 772 |
dont titre 2 |
234 744 739 |
234 744 739 |
Crédits non répartis |
495 000 000 |
195 000 000 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
70 000 000 |
70 000 000 |
dont titre 2 |
70 000 000 |
70 000 000 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
425 000 000 |
125 000 000 |
Culture |
3 933 535 690 |
3 919 074 364 |
Patrimoines |
1 138 293 548 |
1 201 068 066 |
Création |
1 066 308 911 |
1 041 181 797 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
857 666 310 |
807 484 029 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
871 266 921 |
869 340 472 |
dont titre 2 |
756 540 635 |
756 540 635 |
Défense |
93 579 690 162 |
60 003 543 448 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
2 173 138 952 |
2 076 223 248 |
Préparation et emploi des forces |
15 265 976 430 |
14 318 070 053 |
Soutien de la politique de la défense |
24 766 940 323 |
24 919 730 428 |
dont titre 2 |
23 226 544 707 |
23 226 544 707 |
Équipement des forces |
51 373 634 457 |
18 689 519 719 |
Direction de l'action du Gouvernement |
1 062 977 398 |
1 065 784 558 |
Coordination du travail gouvernemental |
909 249 251 |
924 329 528 |
dont titre 2 |
300 025 769 |
300 025 769 |
Protection des droits et libertés |
153 728 147 |
141 455 030 |
dont titre 2 |
68 055 039 |
68 055 039 |
Écologie, développement et mobilité durables |
21 809 488 238 |
20 504 444 099 |
Infrastructures et services de transports |
4 980 741 444 |
4 475 237 369 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
245 125 721 |
260 671 777 |
Paysages, eau et biodiversité |
441 266 254 |
445 589 709 |
Expertise, information géographique et météorologie |
519 344 473 |
519 344 473 |
Prévention des risques |
1 311 727 135 |
1 308 665 346 |
Énergie, climat et après-mines |
2 393 423 297 |
2 108 014 491 |
Service public de l'énergie |
7 331 000 000 |
6 663 500 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
3 226 365 690 |
3 215 309 878 |
dont titre 2 |
2 939 683 384 |
2 939 683 384 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
1 000 000 000 |
1 142 916 832 |
Sûreté nucléaire et radioprotection |
360 494 224 |
365 194 224 |
dont titre 2 |
226 472 116 |
226 472 116 |
Économie |
3 650 489 740 |
3 884 818 906 |
Développement des entreprises et régulations |
2 427 573 916 |
2 457 738 414 |
dont titre 2 |
414 056 802 |
414 056 802 |
Plan France Très haut débit |
47 684 965 |
247 829 602 |
Statistiques et études économiques |
472 449 316 |
473 331 347 |
dont titre 2 |
401 700 930 |
401 700 930 |
Stratégies économiques |
702 781 543 |
705 919 543 |
dont titre 2 |
149 262 543 |
149 262 543 |
Financement des opérations patrimoniales en 2025 sur le compte d'affectation spéciale « Participations financières de l'État » |
0 |
0 |
Engagements financiers de l'État |
56 003 647 646 |
61 338 164 329 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
54 207 000 000 |
54 207 000 000 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
985 272 597 |
985 272 597 |
Épargne |
119 375 049 |
119 375 049 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
692 000 000 |
692 000 000 |
Dotation du Mécanisme européen de stabilité |
0 |
0 |
Augmentation de capital de la Banque européenne d'investissement |
0 |
0 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
181 036 599 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
5 153 480 084 |
Enseignement scolaire |
88 828 111 773 |
88 817 133 670 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
27 490 907 364 |
27 490 907 364 |
dont titre 2 |
27 428 576 946 |
27 428 576 946 |
Enseignement scolaire public du second degré |
39 523 106 898 |
39 523 106 898 |
dont titre 2 |
39 045 257 381 |
39 045 257 381 |
Vie de l'élève |
8 143 063 307 |
8 153 063 307 |
dont titre 2 |
5 482 672 727 |
5 482 672 727 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
8 938 183 839 |
8 938 183 839 |
dont titre 2 |
8 015 747 441 |
8 015 747 441 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 999 997 231 |
2 980 819 128 |
dont titre 2 |
2 147 483 298 |
2 147 483 298 |
Enseignement technique agricole |
1 732 853 134 |
1 731 053 134 |
dont titre 2 |
1 176 320 275 |
1 176 320 275 |
Gestion des finances publiques |
11 064 944 738 |
10 971 512 721 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
8 255 484 171 |
8 209 484 171 |
dont titre 2 |
6 971 364 631 |
6 971 364 631 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
999 272 686 |
983 840 667 |
dont titre 2 |
528 087 085 |
528 087 085 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 810 187 881 |
1 778 187 883 |
dont titre 2 |
1 375 492 598 |
1 375 492 598 |
Immigration, asile et intégration |
1 730 054 850 |
2 047 753 910 |
Immigration et asile |
1 360 646 008 |
1 681 331 079 |
Intégration et accès à la nationalité française |
369 408 842 |
366 422 831 |
Investir pour la France de 2030 |
0 |
5 800 000 000 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
219 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
243 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
185 760 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
4 373 405 899 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
778 634 101 |
Justice |
11 928 334 167 |
12 459 092 589 |
Justice judiciaire |
4 584 616 923 |
4 567 111 867 |
dont titre 2 |
3 033 479 792 |
3 033 479 792 |
Administration pénitentiaire |
4 739 613 495 |
5 242 413 691 |
dont titre 2 |
3 347 629 537 |
3 347 629 537 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
1 160 648 380 |
1 140 954 285 |
dont titre 2 |
686 414 310 |
686 414 310 |
Accès au droit et à la justice |
798 130 559 |
798 130 559 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
640 492 354 |
704 566 938 |
dont titre 2 |
247 631 536 |
247 631 536 |
Conseil supérieur de la magistrature |
4 832 456 |
5 915 249 |
dont titre 2 |
3 469 933 |
3 469 933 |
Médias, livre et industries culturelles |
728 039 494 |
723 659 374 |
Presse et médias |
366 704 756 |
365 664 636 |
Livre et industries culturelles |
361 334 738 |
357 994 738 |
Outre-mer |
2 782 713 740 |
2 555 056 198 |
Emploi outre-mer |
1 971 896 828 |
1 949 296 450 |
dont titre 2 |
212 678 303 |
212 678 303 |
Conditions de vie outre-mer |
810 816 912 |
605 759 748 |
Plan de relance |
0 |
169 000 000 |
Écologie |
0 |
100 000 000 |
Compétitivité |
0 |
69 000 000 |
Pouvoirs publics |
1 156 506 686 |
1 156 506 686 |
Présidence de la République |
125 662 386 |
125 662 386 |
Assemblée nationale |
617 977 578 |
617 977 578 |
Sénat |
359 479 900 |
359 479 900 |
La Chaîne parlementaire |
35 552 822 |
35 552 822 |
Indemnités des représentants français au Parlement européen |
0 |
0 |
Conseil constitutionnel |
16 850 000 |
16 850 000 |
Haute Cour |
0 |
0 |
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
Recherche et enseignement supérieur |
31 703 608 602 |
31 285 707 922 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
15 217 011 402 |
15 279 678 402 |
dont titre 2 |
438 692 629 |
438 692 629 |
Vie étudiante |
3 280 409 211 |
3 249 641 878 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
8 701 105 312 |
8 259 807 441 |
Recherche spatiale |
1 915 679 541 |
1 915 679 541 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 638 605 399 |
1 628 195 137 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
367 158 599 |
371 158 599 |
Recherche duale (civile et militaire) |
150 019 167 |
150 019 167 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
433 619 971 |
431 527 757 |
dont titre 2 |
261 080 027 |
261 080 027 |
Régimes sociaux et de retraite |
5 995 017 245 |
5 995 017 245 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 182 014 643 |
4 182 014 643 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
778 862 981 |
778 862 981 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA, et divers |
1 034 139 621 |
1 034 139 621 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 011 433 015 |
4 060 628 302 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
3 799 207 080 |
3 746 208 204 |
Concours spécifiques et administration |
212 225 935 |
314 420 098 |
Remboursements et dégrèvements |
147 140 795 835 |
147 140 795 835 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
142 741 970 844 |
142 741 970 844 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 398 824 991 |
4 398 824 991 |
Santé |
1 651 091 790 |
1 643 321 770 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
229 499 664 |
221 729 644 |
dont titre 2 |
700 000 |
700 000 |
Protection maladie |
1 327 592 126 |
1 327 592 126 |
Reversement à la sécurité sociale des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
94 000 000 |
94 000 000 |
Sécurités |
26 057 166 585 |
25 215 409 206 |
Police nationale |
13 745 268 791 |
13 370 101 484 |
dont titre 2 |
11 608 296 295 |
11 608 296 295 |
Gendarmerie nationale |
11 366 321 344 |
10 930 839 118 |
dont titre 2 |
9 006 701 998 |
9 006 701 998 |
Sécurité et éducation routières |
84 622 634 |
83 115 152 |
Sécurité civile |
860 953 816 |
831 353 452 |
dont titre 2 |
241 518 727 |
241 518 727 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
30 377 240 010 |
30 373 601 344 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
14 261 751 831 |
14 262 913 165 |
dont titre 2 |
3 400 000 |
3 400 000 |
Handicap et dépendance |
16 030 371 412 |
16 025 571 412 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
85 116 767 |
85 116 767 |
Sport, jeunesse et vie associative |
1 635 213 286 |
1 578 656 919 |
Sport |
694 658 299 |
593 149 632 |
dont titre 2 |
132 382 134 |
132 382 134 |
Jeunesse et vie associative |
937 301 987 |
937 301 987 |
dont titre 2 |
27 324 000 |
27 324 000 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
3 253 000 |
48 205 300 |
Transformation et fonction publiques |
1 081 446 081 |
800 578 998 |
Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs |
674 956 624 |
360 300 105 |
Transformation publique |
77 478 806 |
109 570 076 |
dont titre 2 |
1 500 000 |
1 500 000 |
Fonction publique |
275 081 997 |
276 780 163 |
dont titre 2 |
290 000 |
290 000 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
53 928 654 |
53 928 654 |
dont titre 2 |
53 928 654 |
53 928 654 |
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
21 479 929 506 |
21 632 987 399 |
Accès et retour à l'emploi |
7 773 609 038 |
7 208 705 543 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
11 721 830 930 |
12 318 671 994 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
44 232 043 |
83 580 596 |
Soutien des ministères sociaux |
1 940 257 495 |
2 022 029 266 |
dont titre 2 |
1 072 069 934 |
1 072 069 934 |
Total |
618 649 427 052 |
594 036 403 592 |
Projet de loi de finances |
1 |
BUDGETS ANNEXES
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Contrôle et exploitation aériens |
2 396 133 867 |
2 364 118 242 |
Soutien aux prestations de l'aviation civile |
1 715 884 679 |
1 635 908 782 |
dont titre 2 |
1 397 995 251 |
1 397 995 251 |
Navigation aérienne |
629 160 132 |
675 584 168 |
Transports aériens, surveillance et certification |
51 089 056 |
52 625 292 |
Publications officielles et information administrative |
147 021 085 |
150 582 108 |
Édition et diffusion |
40 984 784 |
42 753 257 |
Pilotage et ressources humaines |
106 036 301 |
107 828 851 |
dont titre 2 |
66 778 694 |
66 778 694 |
Total |
2 543 154 952 |
2 514 700 350 |
Projet de loi de finances |
1 |
COMPTES D'AFFECTATION SPÉCIALE
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers |
1 864 195 831 |
1 864 195 831 |
Structures et dispositifs de sécurité routière |
336 340 107 |
336 340 107 |
Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers |
26 200 000 |
26 200 000 |
Contribution à l'équipement des collectivités territoriales pour l'amélioration des transports en commun, de la sécurité et de la circulation routières |
776 777 533 |
776 777 533 |
Désendettement de l'État |
724 878 191 |
724 878 191 |
Développement agricole et rural |
146 000 000 |
146 000 000 |
Développement et transfert en agriculture |
67 930 000 |
67 930 000 |
Recherche appliquée et innovation en agriculture |
78 070 000 |
78 070 000 |
Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale |
360 000 000 |
360 000 000 |
Électrification rurale |
357 000 000 |
357 000 000 |
Opérations de maîtrise de la demande d'électricité, de production d'électricité par des énergies renouvelables ou de production de proximité dans les zones non interconnectées |
3 000 000 |
3 000 000 |
Gestion du patrimoine immobilier de l'État |
340 000 000 |
340 000 000 |
Contribution des cessions immobilières au désendettement de l'État |
0 |
0 |
Opérations immobilières et entretien des bâtiments de l'État |
340 000 000 |
340 000 000 |
Participations financières de l'État |
9 568 980 084 |
9 568 980 084 |
Opérations en capital intéressant les participations financières de l'État |
4 415 500 000 |
4 415 500 000 |
Désendettement de l'État et d'établissements publics de l'État |
5 153 480 084 |
5 153 480 084 |
Pensions |
68 483 628 839 |
68 483 628 839 |
Pensions civiles et militaires de retraite et allocations temporaires d'invalidité |
65 143 656 244 |
65 143 656 244 |
dont titre 2 |
65 140 406 244 |
65 140 406 244 |
Ouvriers des établissements industriels de l'État |
2 090 010 904 |
2 090 010 904 |
dont titre 2 |
2 082 609 533 |
2 082 609 533 |
Pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre et autres pensions |
1 249 961 691 |
1 249 961 691 |
dont titre 2 |
17 000 000 |
17 000 000 |
Total |
80 762 804 754 |
80 762 804 754 |
COMPTES DE CONCOURS FINANCIERS
(en euros) |
||
Mission / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Accords monétaires internationaux |
0 |
0 |
Relations avec l'Union monétaire ouest-africaine |
0 |
0 |
Relations avec l'Union monétaire d'Afrique centrale |
0 |
0 |
Relations avec l'Union des Comores |
0 |
0 |
Avances à l'audiovisuel public |
0 |
0 |
France Télévisions |
0 |
0 |
ARTE France |
0 |
0 |
Radio France |
0 |
0 |
France Médias Monde |
0 |
0 |
Institut national de l'audiovisuel |
0 |
0 |
TV5 Monde |
0 |
0 |
Programme de transformation |
0 |
0 |
Avances aux collectivités territoriales et aux collectivités régies par les articles 73, 74 et 76 de la Constitution |
134 093 586 081 |
134 093 586 081 |
Avances aux collectivités et établissements publics, à la Nouvelle-Calédonie et aux collectivités régies par l’article 74 de la Constitution |
6 000 000 |
6 000 000 |
Avances sur le montant des impositions revenant aux régions, départements, communes, établissements et divers organismes |
134 087 586 081 |
134 087 586 081 |
Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d'autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l'épidémie de covid-19 |
0 |
0 |
Prêts à des États étrangers |
1 064 884 785 |
968 187 336 |
Prêts du Trésor à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France |
1 000 000 000 |
758 302 551 |
Prêts à des États étrangers pour consolidation de dettes envers la France |
64 884 785 |
64 884 785 |
Prêts à l'Agence française de développement en vue de favoriser le développement économique et social dans des États étrangers |
0 |
145 000 000 |
Prêts aux États membres de l'Union européenne dont la monnaie est l'euro |
0 |
0 |
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés |
25 050 000 |
250 550 000 |
Prêts et avances pour le logement des agents de l'État |
50 000 |
50 000 |
Prêts pour le développement économique et social |
25 000 000 |
25 000 000 |
Soutien à la filière nickel en Nouvelle Calédonie |
0 |
0 |
Prêts octroyés dans le cadre des programmes des investissements d'avenir |
0 |
0 |
Prêts à la société concessionnaire de la liaison express entre Paris et l'aéroport Paris-Charles de Gaulle |
0 |
225 500 000 |
Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine |
0 |
0 |
Prêts et avances à divers services de l'État ou organismes gérant des services publics |
10 418 164 171 |
10 418 164 171 |
Avances à l'Agence de services et de paiement, au titre du préfinancement des aides communautaires de la politique agricole commune |
10 000 000 000 |
10 000 000 000 |
Avances à des organismes distincts de l'État et gérant des services publics |
260 000 000 |
260 000 000 |
Prêts et avances à des services de l'État |
73 164 171 |
73 164 171 |
Avances à l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM) au titre de l'indemnisation des victimes du Benfluorex |
15 000 000 |
15 000 000 |
Prêts aux exploitants d'aéroports touchés par la crise de covid-19 au titre des dépenses de sûreté-sécurité |
0 |
0 |
Prêts destinés à soutenir Île-de-France Mobilités à la suite des conséquences de l'épidémie de la covid-19 |
0 |
0 |
Prêts destinés à soutenir les autorités organisatrices de la mobilité à la suite des conséquences de l'épidémie de la covid-19 |
0 |
0 |
Prêts à FranceAgriMer au titre des préfinancements de fonds européens |
70 000 000 |
70 000 000 |
Total |
145 601 685 037 |
145 730 487 588 |
Projet de loi de finances |
1 |
COMPTES DE COMMERCE
(en euros) |
||
Numéro |
Intitulé du compte |
Autorisation |
901 |
Approvisionnement de l'État et des forces armées en produits pétroliers et énergies alternatives, biens et services complémentaires |
125 000 000 |
912 |
Cantine et travail des détenus dans le cadre pénitentiaire |
23 000 000 |
910 |
Couverture des risques financiers de l'État |
481 000 000 |
902 |
Exploitations industrielles des ateliers aéronautiques de l'État |
0 |
903 |
Gestion de la dette et de la trésorerie de l'État |
19 200 000 000 |
|
Section 1 Opérations relatives à la dette primaire et gestion de la trésorerie |
17 500 000 000 |
|
Section 2 Opérations de gestion active de la dette au moyen d'instruments financiers à terme |
1 700 000 000 |
904 |
Lancement de certains matériels de guerre et matériels assimilés |
0 |
907 |
Opérations commerciales des domaines |
0 |
909 |
Régie industrielle des établissements pénitentiaires |
609 800 |
915 |
Soutien financier au commerce extérieur |
0 |
|
Total |
19 829 609 800 |
COMPTES D'OPÉRATIONS MONÉTAIRES
(en euros) |
||
Numéro |
Intitulé du compte |
Autorisation |
951 |
Émission des monnaies métalliques |
0 |
952 |
Opérations avec le Fonds monétaire international |
0 |
953 |
Pertes et bénéfices de change |
175 000 000 |
|
Total |
175 000 000 |
Projet de loi de finances |
1 |
BUDGET GÉNÉRAL
Action extérieure de l'État |
26 860 675 465 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
26 389 941 982 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
3 061 776 930 |
dont dépenses d'investissement |
103 427 070 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
50 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
7 260 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Prélèvements sur recettes |
23 320 855 052 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
470 733 483 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
470 733 483 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
470 733 483 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Administration générale et territoriale de l'État |
5 309 586 042 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
4 939 122 416 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 877 213 000 |
dont dépenses d'investissement |
732 078 777 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
61 909 416 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
370 463 626 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
83 730 626 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
33 943 029 |
dont subventions pour charges d'investissement |
49 787 597 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
286 733 000 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
17 643 791 308 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
16 511 089 094 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
3 801 698 375 |
dont dépenses d'investissement |
43 474 979 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
10 216 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
13 390 719 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
2 480 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
1 132 702 214 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
633 945 414 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
577 720 156 |
dont subventions pour charges d'investissement |
56 225 258 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
498 756 800 |
Aide publique au développement |
6 123 153 279 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
6 123 153 279 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
5 153 965 943 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
968 187 336 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
1 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
2 517 955 102 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
2 424 120 567 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 812 137 567 |
dont dépenses d'investissement |
180 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
13 983 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
598 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
93 834 535 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
93 834 535 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
81 894 535 |
dont subventions pour charges d'investissement |
11 940 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Audiovisuel public |
4 029 162 945 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
4 029 162 945 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 029 162 945 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Cohésion des territoires |
36 255 593 969 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
35 107 087 534 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
23 673 467 574 |
dont dépenses d'investissement |
3 198 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
546 619 960 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
10 887 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
1 148 506 435 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
107 761 435 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
104 761 435 |
dont subventions pour charges d'investissement |
3 000 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
1 040 745 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
905 825 973 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
905 825 973 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
899 725 973 |
dont dépenses d'investissement |
65 798 437 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
6 100 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Crédits non répartis |
195 000 000 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
195 000 000 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
195 000 000 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Culture |
4 970 074 364 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
3 663 991 883 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 620 991 883 |
dont dépenses d'investissement |
288 774 194 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
1 000 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
1 042 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
1 306 082 481 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
1 298 082 481 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
1 143 146 677 |
dont subventions pour charges d'investissement |
152 180 875 |
dont dotation en fonds propres |
2 754 929 |
Ressources affectées*** |
8 000 000 |
Défense |
60 991 933 051 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
60 385 398 206 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
59 397 008 603 |
dont dépenses d'investissement |
17 941 194 716 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
871 389 603 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
117 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
606 534 845 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
606 534 845 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
517 643 333 |
dont subventions pour charges d'investissement |
88 891 512 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Direction de l'action du Gouvernement |
1 124 066 558 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
1 041 464 197 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
983 182 197 |
dont dépenses d'investissement |
133 820 797 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
57 282 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
1 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
82 602 361 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
82 602 361 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
79 609 054 |
dont subventions pour charges d'investissement |
2 993 307 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Écologie, développement et mobilité durables |
39 944 439 798 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
31 573 263 796 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
18 488 798 067 |
dont dépenses d'investissement |
156 777 404 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
585 500 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
3 872 965 729 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
8 626 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
8 371 176 002 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
2 015 646 032 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
2 007 607 618 |
dont subventions pour charges d'investissement |
8 038 414 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
6 355 529 970 |
Économie |
23 895 216 238 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
22 649 028 302 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
3 726 646 970 |
dont dépenses d'investissement |
200 000 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
9 593 980 084 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
8 401 248 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
9 320 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
1 246 187 936 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
158 171 936 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
158 171 936 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
1 088 016 000 |
Engagements financiers de l'État |
69 412 542 520 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
64 259 062 436 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
56 184 684 245 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
984 878 191 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
11 500 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
7 078 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
5 153 480 084 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
5 153 480 084 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
5 153 480 084 |
Ressources affectées*** |
0 |
Enseignement scolaire |
89 052 183 670 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
88 895 677 409 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
88 660 627 409 |
dont dépenses d'investissement |
155 196 805 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
11 050 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
224 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
156 506 261 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
156 506 261 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
154 429 911 |
dont subventions pour charges d'investissement |
1 354 850 |
dont dotation en fonds propres |
721 500 |
Ressources affectées*** |
0 |
Gestion des finances publiques |
11 501 663 286 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
11 501 663 286 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
10 971 512 721 |
dont dépenses d'investissement |
286 364 648 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
340 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
32 150 565 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
158 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Immigration, asile et intégration |
2 152 604 455 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
1 790 689 767 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 685 839 222 |
dont dépenses d'investissement |
77 148 427 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
104 850 545 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
361 914 688 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
361 914 688 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
351 622 637 |
dont subventions pour charges d'investissement |
10 292 051 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Investir pour la France de 2030 |
5 800 000 000 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
5 800 000 000 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
5 800 000 000 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Justice |
12 501 645 804 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
12 355 724 217 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
12 342 471 002 |
dont dépenses d'investissement |
967 297 361 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
8 253 215 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
5 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
145 921 587 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
116 621 587 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
115 701 587 |
dont subventions pour charges d'investissement |
920 000 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
29 300 000 |
Médias, livre et industries culturelles |
1 593 659 374 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
1 210 173 707 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
408 173 707 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
802 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
383 485 667 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
315 485 667 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
279 256 632 |
dont subventions pour charges d'investissement |
36 229 035 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
68 000 000 |
Outre-mer |
8 101 387 698 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
8 095 104 625 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 548 773 125 |
dont dépenses d'investissement |
14 421 598 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
40 331 500 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
5 506 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
6 283 073 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
6 283 073 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
6 283 073 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Plan de relance |
169 000 000 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
169 000 000 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
169 000 000 |
dont dépenses d'investissement |
48 422 488 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Pouvoirs publics |
1 156 506 686 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
1 156 506 686 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 156 506 686 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Recherche et enseignement supérieur |
40 438 005 005 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
15 360 074 353 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
6 625 777 270 |
dont dépenses d'investissement |
56 180 365 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
44 297 083 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
8 690 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
25 077 930 652 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
24 659 930 652 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
24 059 365 537 |
dont subventions pour charges d'investissement |
545 139 881 |
dont dotation en fonds propres |
55 425 234 |
Ressources affectées*** |
418 000 000 |
Régimes sociaux et de retraite |
74 478 646 084 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
74 465 651 019 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
5 982 022 180 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
68 483 628 839 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
12 995 065 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
12 995 065 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
12 995 065 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Relations avec les collectivités territoriales |
183 120 099 867 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
183 120 099 867 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
4 060 628 302 |
dont dépenses d'investissement |
10 544 673 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
134 870 363 614 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
210 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Prélèvements sur recettes |
44 188 897 951 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Remboursements et dégrèvements |
147 140 795 835 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
147 140 795 835 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
147 140 795 835 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Santé |
2 929 321 770 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
2 864 800 765 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
1 583 800 765 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
15 000 000 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
1 266 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
64 521 005 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
59 521 005 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
59 521 005 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
5 000 000 |
Sécurités |
26 081 053 508 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
26 031 469 599 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
25 165 825 297 |
dont dépenses d'investissement |
924 282 278 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
362 540 107 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
384 104 195 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
119 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
49 583 909 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
49 583 909 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
44 615 364 |
dont subventions pour charges d'investissement |
2 300 000 |
dont dotation en fonds propres |
2 668 545 |
Ressources affectées*** |
0 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
43 231 601 344 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
43 223 143 219 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
30 365 143 219 |
dont dépenses d'investissement |
0 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
12 858 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
8 458 125 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
8 458 125 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
8 458 125 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
6 137 780 919 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
5 313 859 059 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
914 844 059 |
dont dépenses d'investissement |
13 472 582 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
35 015 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
4 364 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
823 921 860 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
663 812 860 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
660 616 110 |
dont subventions pour charges d'investissement |
3 196 750 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
160 109 000 |
Transformation et fonction publiques |
806 613 998 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
701 035 166 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
695 000 166 |
dont dépenses d'investissement |
317 503 180 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
6 035 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
105 578 832 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
105 578 832 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
51 374 368 |
dont subventions pour charges d'investissement |
54 204 464 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
43 785 153 669 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
28 253 421 261 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
17 285 221 261 |
dont dépenses d'investissement |
66 023 015 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
12 200 000 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
10 956 000 000 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
15 531 732 408 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
4 347 766 138 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
4 307 308 171 |
dont subventions pour charges d'investissement |
40 457 967 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
11 183 966 270 |
BUDGETS ANNEXES
Contrôle et exploitation aériens |
2 456 601 797 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
2 345 862 554 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
2 253 378 999 |
dont dépenses d'investissement |
270 715 787 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
73 164 171 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
19 319 384 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
110 739 243 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
110 739 243 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
105 915 000 |
dont subventions pour charges d'investissement |
4 824 243 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
Publications officielles et information administrative |
150 582 108 |
Moyens alloués à la mission, hors opérateurs de l'État |
150 582 108 |
Crédits budgétaires de la mission, hors moyens consacrés aux opérateurs |
150 582 108 |
dont dépenses d'investissement |
15 225 211 |
Dépenses des comptes spéciaux concourant aux politiques publiques visées par la mission |
0 |
Évaluation des fonds de concours et des attributions de produits* |
0 |
Dépenses fiscales concourant à la mission** |
0 |
Moyens alloués aux opérateurs de l’État et autres organismes en charge de services publics |
0 |
Crédits budgétaires revenant aux opérateurs |
0 |
dont subventions aux opérateurs pour charge de service public |
0 |
dont subventions pour charges d'investissement |
0 |
dont dotation en fonds propres |
0 |
Ressources affectées*** |
0 |
* Les fonds de concours et attributions de produits correspondent à des données estimatives pour 2025. Ces données sont calculées au regard des informations connues avant le dépôt du projet de loi de finances.
** Le niveau de fiabilité des chiffrages de dépenses fiscales dépend de la disponibilité des données nécessaires à la reconstitution de l’impôt qui serait dû en l’absence des dépenses fiscales considérées. Par ailleurs, les chiffrages des dépenses fiscales ne peuvent intégrer ni les modifications des comportements fiscaux des contribuables qu’elles induisent, ni les interactions entre dépenses fiscales.
Les chiffrages présentés pour 2025 ont été réalisés sur la base des seules mesures votées avant le dépôt du projet de loi de finances pour 2025. L'impact des dispositions fiscales de ce dernier sur les recettes 2025 est, pour sa part, présenté dans les tomes I et II de l'annexe « Évaluation des Voies et Moyens ». Ces chiffrages sont établis au moment du dépôt du projet de loi de finances à l’Assemblée nationale, et ne sont pas actualisés au cours des débats.
Le « Coût total des dépenses fiscales » constitue une somme de dépenses fiscales dont les niveaux de fiabilité peuvent ne pas être identiques (cf. caractéristique « Fiabilité » indiquée pour chaque dépense fiscale). Il ne prend pas en compte les dispositifs inférieurs à 0,5 million d’euros (« ε »).
Par ailleurs, afin d’assurer une comparabilité d’une année sur l’autre, lorsqu’une dépense fiscale est non chiffrable (« nc ») en 2025, le montant pris en compte dans le total 2025 correspond au dernier chiffrage connu (montant 2024 ou 2023) ; si aucun montant n’est connu, la valeur nulle est retenue dans le total. La portée du total s’avère toutefois limitée en raison des interactions éventuelles entre dépenses fiscales. Il n’est donc indiqué qu’à titre d’ordre de grandeur et ne saurait être considéré comme une véritable sommation des dépenses fiscales du programme.
*** Les ressources affectées prises en compte dans le présent état législatif sont constituées de l’ensemble des taxes affectées plafonnées affectées à des opérateurs de l’État ou à des tiers en charge de missions de service public.
Projet de loi de finances |
1 |
Un objectif de niveau mission qui est aussi un objectif de niveau programme, s’accompagne du numéro de programme indiqué entre parenthèses et la mention « [Stratégique] » est adjointe à l'objectif du programme. Idem pour les indicateurs.
Action extérieure de l'État
Promouvoir le multilatéralisme et agir pour une Europe souveraine, unie, démocratique (105)
Optimiser l'effort français en faveur du maintien de la paix (105)
Renforcer la qualité et l'efficience du service consulaire (151)
Délais de traitement des documents administratifs et des demandes de titres, de la prise de rendez-vous jusqu’à la délivrance au demandeur (151)
105 – Action de la France en Europe et dans le monde
Assurer un service diplomatique efficient et de qualité
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Poursuivre les efforts en faveur de l'égalité femme/homme
Respect des coûts et délais des grands projets d'investissement
Promouvoir le multilatéralisme et agir pour une Europe souveraine, unie, démocratique [Stratégique]
Dossiers préparés dans le cadre des échéances européennes et des échanges bilatéraux
Optimiser l'effort français en faveur du maintien de la paix [Stratégique]
Position de la France dans le classement mondial des contributeurs financiers des organisations internationales
Promouvoir les objectifs environnementaux à l'international
Renforcer la sécurité internationale et la sécurité des Français
Accroître la sécurité de la France au travers de celle de nos partenaires
Lutte contre la désinformation et communication stratégique
Veiller à la sécurité des Français à l'étranger
151 – Français à l'étranger et affaires consulaires
Renforcer la qualité et l'efficience du service consulaire [Stratégique]
Délai de transcription des actes d'état civil en consulat
Délais de traitement des documents administratifs et des demandes de titres, de la prise de rendez-vous jusqu’à la délivrance au demandeur [Stratégique]
Nombre de documents délivrés par ETPT
Simplifier les démarches administratives
Dématérialisation des services consulaires
185 – Diplomatie culturelle et d'influence
Accroître la performance du dispositif d'aide à l'export
Accompagnement des acteurs économiques
Développer l'attractivité de la France
Attractivité de l'enseignement supérieur et de la recherche
Attractivité de la France en termes d'investissements
Bourses du gouvernement français
Dynamiser les ressources externes
Autofinancement et partenariats
Renforcer l'influence culturelle, linguistique et éducative de la France
Diffusion de la langue française
Établissements homologués du réseau de l’enseignement français à l’étranger
Établissements scolaires labellisés LabelFrancEducation
Nombre de professeurs formés par le réseau dans les systèmes éducatifs locaux
Présence de la culture et des idées françaises à l'étranger
Administration générale et territoriale de l'État
Accompagner les missions liées à l'entrée et au séjour des étrangers en France dans un contexte de dématérialisation des procédures (354)
Délai d'enregistrement des demandes d'asile au guichet unique des demandeurs d'asile (GUDA) (354)
Délai de traitement des demandes de passeports talents (354)
Délai moyen de traitement des demandes de renouvellement de titre séjour (354)
Améliorer l'efficience de l'administration territoriale de l'État (354)
Optimisation de l'occupation de l'immobilier de bureau (354)
Taux de sites en multi-occupation sur le périmètre de l'ATE (354)
Taux de véhicules mutualisés entre au moins deux services de l'État sur le périmètre de l'ATE (354)
Assurer la parité des emplois de la filière préfectorale et territoriale de l'État (354)
Taux de féminisation dans les primo-nominations (354)
Assurer le pilotage stratégique et opérationnel des crises et des politiques de sécurité (354)
Nombre d'exercices territoriaux de gestion de crise réalisés avec activation du COD (354)
Taux d'exercices PPI réalisés dans les délais réglementaires (354)
Taux de contrôle des armureries (354)
Elargir et diversifier les conditions d'accueil du public (354)
Taux de connexions au site internet départemental de l'État (354)
Taux de sites labellisés sur le référentiel qualité de l'administration territoriale de l’État (ATE) (354)
Optimiser la fonction juridique du ministère (216)
Taux de réussite de l'État (SGAMI et préfectures) devant les juridictions administratives et judiciaires (216)
Réaffirmer les préfectures en tant que garantes des libertés publiques et du respect de la loi (354)
Délais moyens d'instruction des titres (354)
Taux d'actes transmis via le système d'information @CTES (354)
Taux de contrôle des actes des collectivités locales et établissements publics (354)
216 – Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur
Améliorer la performance des fonctions supports
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion des ressources humaines
Efficience immobilière
Engager une transformation du numérique
Efficience numérique
Optimiser la fonction juridique du ministère [Stratégique]
Coût moyen de la fonction juridique du ministère de l'Intérieur
Taux de réussite de l'État (SGAMI et préfectures) devant les juridictions administratives et judiciaires [Stratégique]
232 – Vie politique
Améliorer l'information des citoyens
Amélioration de l'acheminement de la propagande à l'électeur à la bonne adresse
Optimiser le délai de remboursement des candidats
Délai moyen du remboursement de la propagande électorale
Délai moyen du remboursement forfaitaire des dépenses de campagne
Organiser les élections au meilleur coût
Coût moyen de l'élection par électeur inscrit sur les listes électorales
354 – Administration territoriale de l'État
Accompagner les missions liées à l'entrée et au séjour des étrangers en France dans un contexte de dématérialisation des procédures [Stratégique]
Délai d'enregistrement des demandes d'asile au guichet unique des demandeurs d'asile (GUDA) [Stratégique]
Délai de traitement des demandes de passeports talents [Stratégique]
Délai moyen de traitement des demandes de renouvellement de séjour à compter de la prise de rendez-vous jusqu'à la délivrance du titre de séjour au demandeur
Délai moyen de traitement des demandes de renouvellement de titre séjour [Stratégique]
Délai moyen de traitement des premières demandes d'admission au séjour
Améliorer l'efficience de l'administration territoriale de l'État [Stratégique]
Optimisation de l'occupation de l'immobilier de bureau [Stratégique]
Taux de sites en multi-occupation sur le périmètre de l'ATE [Stratégique]
Taux de véhicules mutualisés entre au moins deux services de l'État sur le périmètre de l'ATE [Stratégique]
Assurer la parité des emplois de la filière préfectorale et territoriale de l'État [Stratégique]
Taux de féminisation dans les primo-nominations [Stratégique]
Assurer le pilotage stratégique et opérationnel des crises et des politiques de sécurité [Stratégique]
Nombre d'exercices territoriaux de gestion de crise réalisés avec activation du COD [Stratégique]
Taux d'exercices PPI réalisés dans les délais réglementaires [Stratégique]
Taux de contrôle des armureries [Stratégique]
Taux de respect de la périodicité des visites de contrôle obligatoires par la commission de sécurité des établissements recevant du public et d'immeubles de grande hauteur
Elargir et diversifier les conditions d'accueil du public [Stratégique]
Taux de connexions au site internet départemental de l'État [Stratégique]
Taux de sites labellisés sur le référentiel qualité de l'administration territoriale de l’État (ATE) [Stratégique]
Réaffirmer les préfectures en tant que garantes des libertés publiques et du respect de la loi [Stratégique]
Délai moyen de mise à disposition des cartes nationales d'identité et passeports
Délais moyens d'instruction des titres [Stratégique]
Taux d'actes transmis via le système d'information @CTES [Stratégique]
Taux de contrôle des actes des collectivités locales et établissements publics [Stratégique]
Taux de dossiers de fraude documentaire et à l'identité détectés par les centres d'expertise et de ressources titres (CERT) pour la CNI, le passeport, le permis de conduire et le certificat d'immatriculation d'une part et les préfectures pour les titres de séjour d'autre part
Renforcer l'attractivité de l'administration territoriale de l’État
Nombre de préfectures dont le nombre de postes non pourvus est supérieur à 3%
Nombre et pourcentage de postes non pourvus au niveau national
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales
Combiner la performance économique et environnementale des exploitations agricoles, des filières agroalimentaires et forestières (149)
Concours publics à l'agriculture / Excédent brut d'exploitation des entreprises agricoles (149)
Part des superficies cultivées en agriculture biologique dans la superficie agricole utilisée (S.A.U.) (149)
Favoriser le changement de pratiques afin de préserver la santé publique et l'environnement (206)
Maîtrise de l'utilisation des pesticides et des antibiotiques (206)
149 – Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt
Combiner la performance économique et environnementale des exploitations agricoles, des filières agroalimentaires et forestières [Stratégique]
Concours publics à l'agriculture / Excédent brut d'exploitation des entreprises agricoles [Stratégique]
Evolution des parts de marché françaises à l'international pour les produits agricoles et agro-alimentaires, forêt-bois, bio-sources et le machinisme agricole
Part des superficies cultivées en agriculture biologique dans la superficie agricole utilisée (S.A.U.) [Stratégique]
Récolte de bois rapportée à la production naturelle
Investir dans les territoires ruraux et les filières d'avenir
Part des bénéficiaires d'ICHN dans l'ensemble des demandeurs des aides PAC
Part des surfaces forestières gérées de façon durable
Taux de bois contractualisés en forêt domaniale
Renforcer la qualité du service et maîtriser les coûts de gestion des politiques publiques
Taux de dossiers (1er pilier, ICHN, MAEC-BIO) payés dans les délais prévus
206 – Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation
Evaluer, prévenir et réduire les risques sanitaires à tous les stades de la production
Suivi de l'activité de l'ANSES
Suivi des non-conformités constatées lors des inspections
Favoriser le changement de pratiques afin de préserver la santé publique et l'environnement [Stratégique]
Maîtrise de l'utilisation des pesticides et des antibiotiques [Stratégique]
Promotion de l'ancrage territorial de l'alimentation
S'assurer de la réactivité et de l'efficience du système de contrôle sanitaire
Efficacité des services de contrôle sanitaire
Préparation à la gestion de risques sanitaires
215 – Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture
Mettre en oeuvre les actions ministérielles dans des conditions optimales de coût et de qualité de service
Efficience de la fonction achat
Efficience de la fonction immobilière
Efficience de la fonction informatique
Sécuriser et simplifier l'accès des usagers au droit, aux données et procédures du ministère
Taux d'utilisation des téléprocédures
Taux de dématérialisation des enquêtes statistiques régulières
381 – Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG)
Allègement du coût du travail de la main-d’œuvre saisonnière
Impact des exonérations de cotisations et contributions sociales patronales sur l’emploi de la main-d’œuvre saisonnière agricole
Aide publique au développement
Renforcer l'évaluation et la redevabilité de l'action en matière de développement
Efficience de l'aide bilatérale
110 – Aide économique et financière au développement
Assurer une gestion efficace et rigoureuse des crédits octroyés à l'aide au développement
Capacité des fonds multilatéraux à mener avec succès des projets compatibles avec la réalisation de leurs objectifs de développement
Effet de levier de l'activité de prêts de l'AFD
Frais de gestion du programme 110
Contribuer à la mise en œuvre des ODD, en concentrant l'aide sur les zones prioritaires et les priorités stratégiques françaises
Part (en montant) de l'effort financier de l'Etat pour les pays les moins avancés puis les pays vulnérables
Part des prêts de l'AFD qui sont affectés aux priorités thématiques du CICID
Part des ressources subventionnées des fonds multilatéraux qui sont affectées aux priorités thématiques du CICID
Part des ressources subventionnées des fonds multilatéraux qui sont affectées aux zones géographiques prioritaires
209 – Solidarité à l'égard des pays en développement
Améliorer la redevabilité et l'efficacité de l'aide
Frais de gestion du programme 209
Contribuer à la mise en oeuvre des ODD, en renforçant la composante bilatérale et en concentrant l'aide sur les pays prioritaires
Part des crédits bilatéraux du programme et des taxes dédiés aux priorités du CICID
Part des crédits du programme et des taxes destinés à des pays prioritaires
Part des crédits multilatéraux du programme et des taxes dédiés aux priorités sectorielles du CICID
Faire valoir les priorités stratégiques françaises dans l'aide publique acheminée par les canaux européens
Part des versements du FED sur les priorités stratégiques françaises
Renforcer les partenariats
Evolution de l'APD support transitant par les collectivités territoriales françaises
Part de l'APD bilatérale française transitant par la société civile dans l'APD bilatérale française totale
Volume de l'activité des opérateurs AFD et Expertise France en gestion déléguée par l'Union européenne
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation
Liquider les dossiers avec la meilleure efficacité et la meilleure qualité possibles (169)
Délai moyen de traitement du flux des dossiers de pension militaire d'invalidité (169)
Sensibiliser chaque classe d'âge à l'esprit de défense par une JDC de qualité et pour un coût maîtrisé (169)
Taux de satisfaction des jeunes au regard de la JDC (169)
158 – Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale
Améliorer le délai de paiement des dossiers d'indemnisation des victimes de spoliations après l'émission des recommandations favorables
Délai moyen de paiement des dossiers d'indemnisation des victimes de spoliations (résidents français et non résidents) après émission de la recommandation
169 – Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation
Favoriser l'insertion professionnelle des jeunes éloignés de l'emploi
Taux d'insertion professionnelle des volontaires du SMV (service militaire volontaire)
Taux de volontaires stagiaires ayant achevé leur parcours SMV
Fournir les prestations de l'ONAC-VG avec la meilleure efficacité possible
Délai moyen de traitement des dossiers
Nombre de titres/cartes anciens combattants traités et délai moyen des dossiers
Fournir les prestations médicales, paramédicales et hôtelières aux pensionnaires de l'Institution nationale des Invalides au meilleur rapport qualité-coût
Coût de la journée d'un pensionnaire de l'INI
Liquider les dossiers avec la meilleure efficacité et la meilleure qualité possibles [Stratégique]
Délai moyen de traitement du flux des dossiers de pension militaire d'invalidité [Stratégique]
Régler les prestations de soins médicaux gratuits avec la meilleure efficience possible
Coût moyen de gestion d'un dossier de soins
Sensibiliser chaque classe d'âge à l'esprit de défense par une JDC de qualité et pour un coût maîtrisé [Stratégique]
Coût moyen par participant
Intérêt des jeunes pour les métiers de la défense
Taux de satisfaction des jeunes au regard de la JDC [Stratégique]
Audiovisuel public
372 – France Télévisions
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Ressources propres
Résultat d'exploitation
Proposer une offre de service public, axée sur la création française et européenne dans un univers de média global
Part des dépenses de programmes dans les dépenses totales
Qualité des programmes de fiction et d'information
S'adresser au public le plus large dans un environnement numérique
Audiences de France Télévisions
373 – ARTE France
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Diffuser cette offre de programmes au public le plus large, sur tous les supports, partout en Europe
Audiences linéaire et non linéaire
Offrir des programmes culturels français et européens de qualité en donnant la priorité à la création et aux inédits
Part des investissements dans les programmes dans les dépenses totales
Volume horaire de programmes inédits engagés par ARTE France
374 – Radio France
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Charges de personnel
Index égalité femmes-hommes
Ressources propres
Résultat d'exploitation
Proposer une offre radiophonique de service public, axée sur la culture, dans un univers de média global
Nombre de concerts donnés par les formations musicales
Proposer une offre radiophonique et culturelle de service public
S'adresser au public le plus large dans un environnement numérique
Audience des antennes de Radio France
Audience des offres numériques
Fréquentation des évènements produits à la Maison de la radio
375 – France Médias Monde
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Ressources propres
Résultat opérationnel récurrent
Développer la présence française et francophone dans le paysage audiovisuel mondial
Audience des offres numériques
Audience linéaire
Volume de contacts pour France Médias Monde (audience linéaire et numérique)
Proposer une offre reflet de la culture et des valeurs françaises et francophones dans un univers de média global
Opinions favorables évaluant les valeurs d'expertise, d'objectivité et de référence
Part des dépenses de programmes dans les charges d'exploitation
376 – Institut national de l'audiovisuel
Assurer la conservation et la valorisation du patrimoine audiovisuel
Nombre de vidéos vues en ligne par le grand public
Taux de migration sur robotique des contenus du dépôt légal encore stockés sur supports physiques
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Ressources propres
Constituer et transmettre les savoirs et les compétences
Taux d'insertion professionnelle des diplômés
377 – TV5 Monde
Assurer la maîtrise de la masse salariale, optimiser la gestion et être une entreprise de média exemplaire
Evolution des ressources propres
Index égalité femmes-hommes
Maîtrise des charges
Développer la présence française et francophone dans le paysage audiovisuel mondial
Audience des offres numériques
Audience réelle
Proposer une offre reflet de la culture et des valeurs françaises et francophones dans un univers de média global
Part des dépenses de programmes dans les charges d'exploitation totales
383 – Programme de transformation
Contribuer à la transformation de l’audiovisuel public
Avancement des projets de transformation prioritaires
Avances aux collectivités territoriales et aux collectivités régies par les articles 73, 74 et 76 de la Constitution (Compte de concours financiers)
833 – Avances sur le montant des impositions revenant aux régions, départements, communes, établissements et divers organismes
Mettre les avances de TICPE et de frais de gestion à disposition des départements et des régions à une date certaine
Taux de versement des avances de TICPE (taxe intérieure de consommation des produits énergétiques) et de frais de gestion aux départements et aux régions
Mettre les avances sur contributions directes locales à disposition des collectivités territoriales à une date certaine
Taux de versement des avances aux collectivités sur contributions directes locales
834 – Avances remboursables de droits de mutation à titre onéreux destinées à soutenir les départements et d'autres collectivités affectés par les conséquences économiques de l'épidémie de covid-19
Assurer l'accès rapide des départements au mécanisme d'avances remboursables
Taux de remboursement des crédits par les collectivités bénéficiaires
Cohésion des territoires
Aider les ménages modestes à faire face à leurs dépenses de logement (109)
Taux d'effort net médian
Améliorer l'encadrement éducatif et les chances de réussite scolaire des élèves les plus en difficulté
Évolution des chances de réussite scolaire des élèves scolarisés dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV)
Améliorer la qualité de l'offre de services pour les personnes les plus vulnérables (177)
Part de logements sociaux attribués à des ménages sans domicile (177)
Taux de réponse positive du SIAO (service intégré d'accueil et d'orientation) aux demandeurs d'hébergement (177)
Lutter contre les concentrations de pauvreté et favoriser l'accès et le retour à l'emploi des habitants des QPV
Écart de revenu et d'emploi entre les QPV et celui des agglomérations environnantes
Promouvoir le développement durable dans le logement et, plus généralement, dans la construction
Consommation énergétique globale des logements
Satisfaire dans les meilleurs délais la demande de logements locatifs, en particulier dans les zones tendues et pour les demandeurs aux ressources les plus faibles (135)
Fluidité du parc de logements sociaux
Performance du dispositif DALO
Soutenir la compétitivité et l'attractivité des territoires
Ecart du taux de création d'entreprises dans les zones prioritaires d'aménagement du territoire par rapport à la moyenne nationale
109 – Aide à l'accès au logement
Aider les ménages modestes à faire face à leurs dépenses de logement [Stratégique]
Taux d'effort net médian des ménages en locatif ordinaire ou en accession selon la configuration familiale
Taux d'effort net médian des ménages en locatif ordinaire ou en accession selon le type de parc
112 – Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire
Renforcer la cohésion sociale et territoriale
Impact des crédits FNADT dans les dispositifs contractuels entre l’État et les collectivités locales
Réduction du temps d'accès des usagers à une maison "France Services" et amélioration du service rendu
Renforcer les capacités stratégiques et techniques des collectivités territoriales et des acteurs dans les territoires
Soutenir efficacement les collectivités en demande d’ingénierie pour accélérer leurs projets spécifiques
135 – Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat
Améliorer et adapter la qualité du parc privé
Concours de l'ANAH à la résorption des passoires thermiques dans le parc privé
Couverture des enjeux de l'habitat privé liés à l’habitat indigne et aux copropriétés dégradées par les dispositifs de l’ANAH
Part des aides de l'ANAH à destination des ménages aux revenus modestes ou très modestes
Promouvoir la mixité sociale au sein des agglomérations au travers de la mixité de l'offre
Atteinte des objectifs annuels de financement de logements locatifs sociaux (LLS) dans les communes soumises à l'article 55 de la loi du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU)
Promouvoir la planification, la connaissance et le développement des territoires
Développement des pôles urbains d'intérêt national
Intervention des établissements publics fonciers (EPF) d’État et locaux en recyclage de friches
Taux de couverture de la planification urbaine intercommunale
Promouvoir le développement durable dans le logement et, plus généralement, dans la construction
Consommation énergétique des logements sociaux
Économies d’énergie et performance environnementale grâce à MaPrimeRénov par geste
Satisfaire dans les meilleurs délais la demande de logements locatifs, en particulier dans les zones tendues et pour les demandeurs aux ressources les plus faibles [Stratégique]
Part des attributions de logements sociaux hors QPV dédiées aux demandeurs de logements sociaux du premier quartile de ressources ou à des personnes relogées dans le cadre d'une opération de renouvellement urbain ou d’une opération de requalification de copropriétés dégradées
Pourcentage de logements locatifs sociaux agréés
147 – Politique de la ville
Améliorer la qualité de l'habitat pour les habitants des quartiers concernés dans le cadre des programmes de rénovation urbaine
Suivi de l’amélioration de la qualité des logements locatifs sociaux dans le cadre du NPNRU
Suivi de la reconstitution de l'offre de logements locatifs sociaux NPNRU
Renforcer l'activité et la mixité fonctionnelle des territoires urbains prioritaires
Écart entre la densité d'établissements exerçant une activité d'industrie et de commerce dans les territoires entrepreneurs et celle constatée dans les unités urbaines correspondantes
162 – Interventions territoriales de l'État
Améliorer les conditions de vie de la population guyanaise
Nombre de personnes bénéficiant de l'amélioration du niveau d'équipement
Assurer une remise à niveau des équipements structurants de la Corse
Qualité des équipements structurants de la Corse
Reconquérir la qualité de l'eau en Bretagne
Concentration moyenne en nitrates des cours d'eau des baies du plan algues vertes
Réduire l'exposition des populations de Martinique et de Guadeloupe à la chlordécone
Exposition des populations de Martinique et de Guadeloupe à la chlordécone via les denrées alimentaires consommées ou mises sur le marché
177 – Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables
Améliorer l'efficience de l'offre de services pour les personnes les plus vulnérables
Suivi de la contractualisation pluriannuelle entre les opérateurs locaux et l'État
Améliorer la qualité de l'offre de services pour les personnes les plus vulnérables [Stratégique]
Part de logements sociaux attribués à des ménages sans domicile [Stratégique]
Taux de réponse positive du SIAO (service intégré d'accueil et d'orientation) aux demandeurs d'hébergement [Stratégique]
Conseil et contrôle de l'État
Contribuer à l'amélioration de la gestion publique et des politiques publiques (164)
Suites données aux recommandations de la Cour et des chambres régionales et territoriales des comptes (164)
Réduire les délais de jugement (165)
Délai moyen constaté de jugement des affaires devant le Conseil d’Etat, les cours administratives d’appel, les tribunaux administratifs et la Cour nationale du droit d’asile et délai prévisible moyen de jugement devant la Commission du contentieux du stationnement payant (165)
126 – Conseil économique, social et environnemental
Conseiller les pouvoirs publics
Origine des saisines
Participation citoyenne
Visibilité du CESE
Dialoguer et coopérer avec les instances consultatives créées auprès des collectivités
Interagir avec les territoires
Participer à la transition sociale, écologique et éducative
Gestion environnementale du CESE
164 – Cour des comptes et autres juridictions financières
Assister les pouvoirs publics
Avis rendus par le Haut-Conseil des Finances publiques
Nombre d'auditions au Parlement
Contribuer à l'amélioration de la gestion publique et des politiques publiques [Stratégique]
Délais des travaux d'examen de la gestion
Suites données aux recommandations de la Cour et des chambres régionales et territoriales des comptes [Stratégique]
Informer les citoyens
Publication des rapports
Sanctionner les irrégularités et les fautes de gestion
Suites données aux irrégularités
165 – Conseil d'État et autres juridictions administratives
Améliorer l'efficience des juridictions
Nombre d'affaires réglées par agent de greffe
Nombre d'affaires réglées par membre du Conseil d'État, par magistrat des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, ou par rapporteur de la Cour nationale du droit d'asile
Assurer l'efficacité du travail consultatif
Proportion des textes examinés en moins de deux mois par les sections administratives du Conseil d'État
Maintenir la qualité des décisions juridictionnelles
Taux d'annulation des décisions juridictionnelles
Réduire les délais de jugement [Stratégique]
Délai moyen constaté de jugement des affaires devant le Conseil d’Etat, les cours administratives d’appel, les tribunaux administratifs et la Cour nationale du droit d’asile et délai prévisible moyen de jugement devant la Commission du contentieux du stationnement payant [Stratégique]
Proportion d'affaires en stock enregistrées depuis plus de 2 ans au Conseil d'État, dans les cours administratives d'appel et dans les tribunaux administratifs et depuis plus d'un an à la Cour nationale du droit d'asile et à la Commission du contentieux du stationnement payant
Contrôle de la circulation et du stationnement routiers (Compte d'affectation spéciale)
751 – Structures et dispositifs de sécurité routière
Assurer l'efficacité du système de contrôle automatisé, en termes de respect des règles du code de la route et en termes de gestion
Disponibilité des radars
Évolution des vitesses moyennes
Taux de transformation des messages d'infraction émis par les dispositifs de contrôle automatisé des vitesses en avis de contravention
753 – Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers
Assurer l'efficacité du procès-verbal électronique au sein des services de l'Etat
Taux de transformation des infractions relevées par les dispositifs de verbalisation électronique de l’Etat en avis de contravention
Contrôle et exploitation aériens (Budget annexe)
Assurer un haut niveau de sécurité de la navigation aérienne (612)
Rapprochements inférieurs à 50% de la norme de séparation entre aéronefs pour 100 000 vols contrôlés (avec responsabilité DSNA engagée) (612)
Concourir à la sécurité et à la sûreté de l'aviation civile (614)
Réduction des écarts à la réglementation grâce à des contrôles appropriés (614)
Limiter les impacts environnementaux du transport aérien (614)
Respect de la réglementation environnementale (614)
Respect des marchés carbone appliqués à l’aviation (614)
Maîtriser l'équilibre recettes / dépenses et l'endettement du budget annexe (613)
Évolution de la dette brute (613)
612 – Navigation aérienne
Améliorer l'efficacité économique des services de navigation aérienne
Niveau des coûts unitaires des redevances métropolitaines de navigation aérienne
Améliorer la ponctualité des vols
Retard ATFM moyen par vol
Améliorer le taux de couverture des coûts des services de navigation aérienne outre-mer par les redevances
Taux de couverture des coûts des services de navigation aérienne outre-mer par la redevance pour services terminaux et la redevance océanique
Assurer un haut niveau de sécurité de la navigation aérienne [Stratégique]
Rapprochements inférieurs à 50% de la norme de séparation entre aéronefs pour 100 000 vols contrôlés (avec responsabilité DSNA engagée) [Stratégique]
Maîtriser l'impact environnemental du trafic aérien
Efficacité horizontale des vols (écart entre la trajectoire parcourue et la trajectoire directe des vols)
613 – Soutien aux prestations de l'aviation civile
Assurer la formation des élèves ingénieurs aux meilleures conditions économiques
Coût de la formation des élèves
Egalité entre les femmes et les hommes
Taux de femmes admises aux concours ENAC
Maîtriser l'équilibre recettes / dépenses et l'endettement du budget annexe [Stratégique]
Évolution de la dette brute [Stratégique]
S'assurer du recouvrement optimum des recettes du budget annexe
Taux de recouvrement des recettes du budget annexe
614 – Transports aériens, surveillance et certification
Concourir à la sécurité et à la sûreté de l'aviation civile [Stratégique]
Efficacité dans la conduite des enquêtes techniques de sécurité et dans l'exploitation de leurs résultats
Pourcentage d’inspections au sol réalisées sur des exploitants aériens étrangers priorisés et opérant de manière régulière sur les aéroports français
Réduction des écarts à la réglementation grâce à des contrôles appropriés [Stratégique]
Limiter les impacts environnementaux du transport aérien [Stratégique]
Respect de la réglementation environnementale [Stratégique]
Respect des marchés carbone appliqués à l’aviation [Stratégique]
Culture
Accroître l'accès du public au patrimoine national (175)
Fréquentation des institutions patrimoniales et architecturales (175)
Améliorer l'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur (361)
Taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur Culture (361)
Augmenter la fréquentation du public dans les lieux culturels sur l'ensemble du territoire (131)
Fréquentation des lieux subventionnés (131)
Favoriser un accès équitable à la culture notamment grâce au développement de l'éducation artistique et culturelle (361)
Part des enfants et adolescents ayant bénéficié d'une action d'éducation artistique et culturelle (361)
131 – Création
Augmenter la fréquentation du public dans les lieux culturels sur l'ensemble du territoire [Stratégique]
Fréquentation des lieux subventionnés [Stratégique]
Diffuser davantage les oeuvres et les productions culturelles en France et à l'étranger
Allongement de la diffusion des spectacles
Effort d'irrigation territoriale
Donner des bases économiques et professionnelles solides à la création
Équilibre financier des structures
Promotion de l'emploi artistique
Inciter à l'innovation et à la diversité de la création
Place de la création dans la programmation des structures de production subventionnées
175 – Patrimoines
Accroître l'accès du public au patrimoine national [Stratégique]
Accessibilité des collections au public
Fréquentation des institutions patrimoniales et architecturales [Stratégique]
Taux de satisfaction du public des institutions et des sites patrimoniaux
Améliorer la connaissance et la conservation des patrimoines
Archéologie préventive : Proportion des dossiers d'aménagement reçus faisant l'objet d'un arrêté de prescription de diagnostic et/ou d'un arrêté de prescription de fouilles préventives
Part des crédits de conservation préventive par rapport aux crédits de restauration des monuments historiques
Qualité de la maîtrise d'ouvrage État
Elargir les sources d'enrichissement des patrimoines publics
Effet de levier de la participation financière de l’État dans les travaux de restauration des monuments historiques qui ne lui appartiennent pas
Taux de ressources propres des institutions patrimoniales et architecturales
224 – Soutien aux politiques du ministère de la culture
Optimiser l'utilisation des crédits dédiés aux fonctions soutien
Délais de paiement
Taux de dématérialisation des démarches de subvention et taux de satisfaction usager sur les démarches en ligne
Taux de féminisation dans les nominations
361 – Transmission des savoirs et démocratisation de la culture
Améliorer l'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur [Stratégique]
Taux d'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur Culture [Stratégique]
Favoriser un accès équitable à la culture notamment grâce au développement de l'éducation artistique et culturelle [Stratégique]
Mesure de l'effort en faveur des territoires prioritaires (% des crédits)
Part des enfants et adolescents ayant bénéficié d'une action d'éducation artistique et culturelle [Stratégique]
Taux d’inscription au pass Culture
Promouvoir, auprès du public le plus large, la recherche culturelle et la culture scientifique et technique
Évolution du nombre annuel de visiteurs physiques d'Universcience, opérateur de la culture scientifique et technique
Taux de satisfaction des visiteurs d'Universcience
Renforcer l'autonomie financière des établissements publics diffusant la culture scientifique et technique notamment par l'amélioration de la part de leurs ressources propres
Part des ressources propres d'Universcience, opérateur de la culture scientifique et technique
Défense
Mettre à la disposition des armées les armements et matériels nécessaires au succès des opérations des forces armées (146)
Taux de réalisation des équipements (146)
144 – Environnement et prospective de la politique de défense
Améliorer le niveau de sécurité des forces et du patrimoine industriel et économique lié à la défense (DRSD)
Taux d'avis émis dans les délais prescrits
Taux des sites du domaine militaire et des sites industriels et économiques liés à la défense inspectés dans les délais prescrits
Contribuer à l'autorisation et au contrôle des transferts des biens et technologies sensibles
Délai de traitement des dossiers d'exportation de matériels de guerre
Développer des capacités spatiales et de défense souveraines
Taux de progression des études
Taux de réalisation des études
Développer les capacités scientifiques technologiques et industrielles nécessaires à la défense
Taux de progression des technologies spécifiques nécessaires à la défense
146 – Équipement des forces
Assurer une efficience maximale de la dépense d'équipement des forces
Efficience du processus de paiement
Evolution annuelle moyenne des devis à terminaison des opérations d'armement principales
Mettre à la disposition des armées les armements et matériels nécessaires au succès des opérations des forces armées [Stratégique]
Evolution annuelle moyenne des délais de réalisation des opérations d'armement principales
Taux de progression du lancement des nouveaux programmes en coopération
Taux de réalisation des équipements [Stratégique]
178 – Préparation et emploi des forces
Commander des forces, aptes à comprendre et influencer
Efficacité du pré-positionnement des forces
États-majors tactiques
Exercices impliquant les états-majors
Signalements stratégiques
Volume de personnel militaire déployé
Entraîner les forces
Entrainement du domaine Cyber
Entrainements du domaine spatial
Niveau de réalisation des activités et de l’entraînement
Préparer l'avenir
Réserve opérationnelle
Verdissement du parc des véhicules du ministère
Soutenir les forces
Améliorer le soutien du combattant
Coût de la fonction « restauration-hébergement »
Coût de la fonction maintien en condition opérationnelle par milieu
Disponibilité des matériels
Soutien des opérations par la DIRISI
Soutien du SSA aux opérations
212 – Soutien de la politique de la défense
Accompagner la politique d'égalité entre les femmes et les hommes
Index égalité professionnelle au sein du ministère des armées
Mettre les infrastructures à la disposition des forces armées en maîtrisant les coûts et les délais.
Respect des délais et des coûts des grands projets d'infrastructure
Rationaliser le développement des projets informatiques
Respect des délais et des coûts des projets informatiques
Renforcer l'efficience du soutien sur des fonctions cibles
Efficience de la fonction achat
Efficience immobilière du site de Balard
Réussir la transformation du ministère et garantir les grands équilibres portés par la LPM
Taux de reclassement du personnel militaire
Taux de renouvellement des emplois primo-contractuels - Armées
Développement agricole et rural (Compte d'affectation spéciale)
775 – Développement et transfert en agriculture
Orienter l’action des structures chargées du conseil aux agriculteurs et de l'accompagnement des démarches collectives de développement, en cohérence avec les objectifs principaux du PNDAR : accompagner les transitions des exploitations agricoles vers des systèmes plus résilients et sobres en intrants, tenant compte des besoins des agriculteurs, des consommateurs et des attentes des citoyens, par le conseil dans le cadre de démarches collectives, le transfert de connaissances, de méthodes et d'outils actionnables par les agriculteurs, le développement des compétences
Nombre d'agriculteurs impliqués dans des groupes en transition agro-écologique (GIEE- 30 000)
Nombre de documents de diffusion de connaissances inscrits dans la base de données RD-Agri par le réseau des chambres d’agriculture, le réseau des ONVAR et les GIEE
776 – Recherche appliquée et innovation en agriculture
Renforcer le continuum entre recherche et innovation agricole pour accélérer l'émergence et l'appropriation d'innovations répondant aux enjeux d'une quadruple performance sociale, économique, sanitaire et environnementale
Audience des actions de diffusion et formation organisées par le réseau des instituts techniques agricoles
Capacité des instituts techniques agricoles à développer des partenariats multi-acteurs au niveau européen
Capacité des ITA à diffuser leurs résultats auprès de différents publics (professionnel, grand public, français et international) via les médias traditionnels et numériques
Direction de l'action du Gouvernement
Améliorer la sécurité et la performance des systèmes d'information de l'État (129)
Niveau de sécurité des systèmes d'information de l'État (129)
Favoriser l'adoption, dans les meilleurs délais, des décrets d'application des lois et des mesures de transposition des directives européennes (129)
Taux d'application des lois (129)
Taux de déficit de transposition des directives européennes (129)
Optimiser le recrutement et la formation initiale des Hauts fonctionnaires (129)
Dépenses consacrées au recrutement et à la formation initiale à l'INSP (129)
129 – Coordination du travail gouvernemental
Accompagner les administrations dans leur transformation et la simplification de leurs relations avec les usagers
Ouverture et diffusion des données publiques
Qualité des démarches en ligne
Améliorer l'information du citoyen sur les actions du Gouvernement
Niveau d'information sur l'action du gouvernement
Niveau de connaissance des citoyens sur le danger des drogues
Améliorer la coordination des actions interministérielles de lutte contre les drogues et les toxicomanies
Niveau de mobilisation des partenaires locaux dans la lutte contre les drogues
Améliorer la sécurité et la performance des systèmes d'information de l'État [Stratégique]
Niveau de sécurité des systèmes d'information de l'État [Stratégique]
Taux de sites sensibles ayant subi un incident dont la durée globale est supérieure à 4h
Améliorer le délai d'instruction des demandes d'indemnisation des victimes des essais nucléaires
Délais moyens d’instruction et de paiement des demandes d’indemnisation des victimes des essais nucléaires
Eclairer la décision politique en offrant une expertise reconnue
Apport des travaux stratégiques et prospectifs pour éclairer l'action des pouvoirs publics et préparer les réformes
Favoriser l'adoption, dans les meilleurs délais, des décrets d'application des lois et des mesures de transposition des directives européennes [Stratégique]
Taux d'application des lois [Stratégique]
Taux de déficit de transposition des directives européennes [Stratégique]
Optimiser le coût et la gestion des fonctions support
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Respect des coûts et délais des grands projets d'investissement
Optimiser le recrutement et la formation initiale des Hauts fonctionnaires [Stratégique]
Dépenses consacrées au recrutement et à la formation initiale à l'INSP [Stratégique]
S’assurer de l’efficacité du financement des produits des ministères
Nombre de produits devenus des services public à impact national majeur au cours de l'année
Taux de projets financés par des fonds affectés à la DINUM ayant atteint leurs objectifs
308 – Protection des droits et libertés
Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM)
Contribution de l'ARCOM aux rapports gouvernementaux, aux projets de loi et au débat public
Délai moyen d'instruction des dossiers
Efficience de la gestion immobilière
Nombre de fréquences nouvelles autorisées et de nouveaux services conventionnés et notifiés
Nombre de modifications administratives et de modifications de fréquences réalisées
Nombre de saisine et d'avertissement traité par agent
Pourcentage de personnes ayant reçu une recommandation qui ne se voient pas reprocher de nouveaux comportements de consommation illicite sur les réseaux pair à pair
Autres autorités administratives indépendantes
Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE)
Commission du secret de la défense nationale (CSDN)
Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH)
Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR)
Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL)
Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP)
Commission d’accès aux documents administratifs (CADA)
Délai moyen d'instruction des dossiers
Nombre de dossiers et de réclamations traités par an et par ETP d'agent traitant
Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL)
Délai moyen d'instruction des dossiers et de transmission d'un avis au gouvernement par la CNIL
Efficience de la gestion des dossiers
Suivi des mises en demeure de la CNIL
Défenseur des droits
Efficience de la gestion des dossiers traités
Taux d'effectivité du suivi des prises de position
Écologie, développement et mobilité durables
Limiter l'exposition aux risques technologiques et réduire l'impact des pollutions industrielles et agricoles sur les personnes, les biens et l'environnement (181)
Nombre total de contrôles des installations classées sur effectif de l'inspection (en ETPT) (181)
Réduire les émissions de gaz à effet de serre (174)
Emissions de gaz à effet de serre par habitant (174)
113 – Paysages, eau et biodiversité
Assurer la gestion intégrée de la ressource en eau
Masses d'eau en bon état
Plan eau - Réduction des fuites et sécurisation de l'approvisionnement en eau potable
Préserver et restaurer la biodiversité
Effort de protection des espaces naturels terrestres et maritimes
Préservation de la biodiversité ordinaire
Retour à la conformité en police de l'eau et de la nature
SNB2030 - Réduction des pressions - Lutter contre les espèces exotiques envahissantes
159 – Expertise, information géographique et météorologie
IGN : élaborer une description du territoire faisant autorité
Appétence pour les données de l'IGN
Météo-France : disposer d'un système performant de prévision météorologique et d'avertissement des risques météorologiques
Performance des modèles de prévision numérique du temps et de la procédure de vigilance météorologique
Mobiliser les pouvoirs publics et la société civile en faveur de la transition écologique
Contribuer à l’information publique relative à l’environnement et au développement durable
Veiller aux retombées collectives des activités techniques, scientifiques et économiques
Financement de l'établissement par des ressources propres
Production et diffusion des connaissances scientifiques et techniques
174 – Énergie, climat et après-mines
Apporter une aide aux ménages en situation de précarité énergétique pour payer leurs factures d'énergie
Impact de l'usage du chèque énergie sur l’indicateur de précarité énergétique
Taux d'usage du chèque énergie
Maîtriser l'énergie en réduisant la consommation et en développant l'usage des énergies renouvelables
Économies d'énergie via le système CEE
Efficience du fonds chaleur renouvelable de l'ADEME
Suivi du développement de la chaleur EnR&R en lien avec l’atteinte des objectifs européens de part renouvelable dans la consommation d’énergie finale
Réduction des émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
Émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
Nombre d'infrastructures de recharge installées dans les locaux à usage d'habitation
Nombre de contribuables ayant bénéficié d'un crédit d'impôt sur le revenu au titre des dépenses effectivement supportées pour l'acquisition et la pose d'un système de recharge pour véhicule électrique
Part des voitures électriques dans les ventes de voitures neuves
Réduire les émissions de gaz à effet de serre [Stratégique]
Emissions de gaz à effet de serre par habitant [Stratégique]
181 – Prévention des risques
Limiter l'exposition aux risques technologiques et réduire l'impact des pollutions industrielles et agricoles sur les personnes, les biens et l'environnement [Stratégique]
Nombre total de contrôles des installations classées sur effectif de l'inspection (en ETPT) [Stratégique]
Réduire l'impact des déchets et des produits sur les personnes, les biens et l'environnement
Efficacité du fonds économie circulaire
Réduire la vulnérabilité des personnes, des biens et de l'environnement aux risques naturels majeurs et hydrauliques
Prévention des inondations
Prévision des inondations
203 – Infrastructures et services de transports
Améliorer l'efficacité, l'attractivité, la régularité et la qualité des services nationaux de transport conventionnés de voyageurs
Contribution à l'exploitation ramenée aux trains-kilomètres
Pourcentage de trains en grand retard (>30 minutes)
Pourcentage de trains supprimés
Régularité des services nationaux de transport conventionnés à 5 minutes
Taux de remplissage
Améliorer la qualité des infrastructures de transports
Coût des opérations de régénération et d'entretien du réseau ferré
État des réseaux routier, ferroviaire et fluvial
Améliorer la régulation dans les transports routiers et développer la part des modes alternatifs à la route
Contrôle des transports routiers
Part de marché des grands ports maritimes
Part modale des transports non routiers
Contribuer à la compensation de la pénibilité des conditions de travail des conducteurs routiers, avec un objectif de développement de l'emploi
Niveau des embauches de conducteurs en contrepartie des départs en CFA
Réaliser au meilleur coût pour la collectivité les projets de desserte planifiés et moderniser efficacement les réseaux de transports
Intérêt socio-économique des opérations
205 – Affaires maritimes, pêche et aquaculture
Mieux contrôler les activités de pêche
Contrôles menés par le dispositif de contrôle et de surveillance des affaires maritimes (DCS) dans le cadre de la politique commune des pêches
Contrôles menés par les administrations de l’État dans le cadre de la politique commune des pêches
Efficacité des contrôles des pêches réalisés
Promouvoir la flotte de commerce et l'emploi maritime
Evolution de l'emploi et de la flotte de commerce maritime
Taux d'emploi des anciens élèves des établissements d'enseignement maritime 6 mois après leur sortie de formation
Renforcer la sécurité maritime et la protection de l'environnement
Contrôle des navires
Contrôles menés par le dispositif de contrôle et de surveillance (DCS) des affaires maritimes dans le cadre des politiques publiques relatives à l'environnement marin
Ratio entre le nombre de personnes sauvées et le nombre de personnes impliquées dans un accident maritime après une opération de sauvetage coordonnée par les CROSS
Taux de vérification des signalements de pollutions marines par moyens habilités
217 – Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables
Être une administration exemplaire, au regard du développement durable, dans la maîtrise des moyens de fonctionnement
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
235 – Sûreté nucléaire et radioprotection
Assurer un contrôle performant de la sûreté nucléaire et de la radioprotection et renforcer l’information du public
Maîtrise des délais de délivrance des décisions de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR)
Développer l’excellence de la recherche au niveau européen et international dans le domaine de la sûreté nucléaire et de la radioprotection
Production scientifique de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR)
345 – Service public de l'énergie
Contribuer à la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées
Ratio du montant pris en charge par la CSPE par rapport au coût total de production par ZNI
Contribuer à porter à 10% la part des énergies renouvelables dans la consommation de gaz d'ici 2030
Part des énergies renouvelables dans la consommation de gaz
Rémunération de référence moyenne des nouveaux contrats de soutien pour l'injection de gaz (€/MWh)
Volume de biométhane injecté
Contribuer à porter à 40% la part des énergies renouvelables dans la production d'électricité en 2030
Part des énergies renouvelables dans la production d'électricité
Puissance installée des principales filières de production d'électricité à partir d'énergie renouvelable : éolien terrestre, éolien en mer, photovoltaïque (MW)
Rémunération de référence moyenne des nouveaux contrats de soutien pour les principales filières de production d'électricité à partir d'énergie renouvelable : éolien terrestre, éolien en mer, photovoltaïque (€/MWh)
Contribuer à porter à au moins 6,5 gigawatts les capacités installées d'effacements en 2028
Capacités d'effacements installées
Prix de clearing de l'appel d'offres effacements (AOE) contractualisé pour l'année par le gestionnaire du réseau public de transport public d'électricité (€/MW)
Développer une filière de l'hydrogène renouvelable et décarbonée
Compensation du différentiel entre les coûts de production de l'hydrogène décarboné et les coûts de production de l'hydrogène fossile (€/kg)
380 – Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires
Efficacité des crédits mobilisés dans le cadre du Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires
Effet de levier exprimé sur la totalité du fonds
Qualité du cadre de vie
Surface de friches recyclées
Surface de friches recyclées par million d'euros dépensé
Rénovation énergétique
Taux moyen d'économies d'énergie
Économie
Faciliter le développement des sites industriels
Nombre net de nouveaux sites industriels et d'extensions significatives de sites industriels
Renforcer l'efficacité des aides aux entreprises (134)
Écart de prix moyen de l’électricité pour les entreprises les plus consommatrices d’électricité entre la France et des pays tiers (134)
Écart entre le taux de croissance des entreprises aidées par Bpifrance et celui des entreprises comparables (134)
134 – Développement des entreprises et régulations
Améliorer l'efficacité du soutien public à l'internationalisation des entreprises
Effet de levier de la subvention pour charges de service public (SCSP) sur le chiffre d’affaires à l’export généré par les entreprises accompagnées par Business France
Assurer le fonctionnement loyal et sécurisé des marchés
Part des visites ayant donné lieu à des constats d'anomalie
Taux de suite opérationnelle des enquêtes en matière de pratiques anticoncurrentielles
Développer l'attractivité touristique de la France
Évolution des recettes issues du tourisme
Renforcer l'efficacité des aides aux entreprises [Stratégique]
Écart de prix moyen de l’électricité pour les entreprises les plus consommatrices d’électricité entre la France et des pays tiers [Stratégique]
Écart de taux de pérennité à 3 ans des entreprises aidées
Écart entre le taux de croissance des entreprises aidées par Bpifrance et celui des entreprises comparables [Stratégique]
Effets de levier et d’entraînement des dispositifs de garantie
220 – Statistiques et études économiques
Développer la dématérialisation des enquêtes, dans le but d'alléger la charge de réponse des enquêtés, de gagner en qualité et de réduire les coûts
Dématérialisation des enquêtes
Faire parler les chiffres de l'Insee et aller au-devant de tous les publics
Pertinence de l'Insee du point de vue des utilisateurs du site Insee.fr
Respecter les engagements de la France par rapport à l'Europe en termes de délais de diffusion des résultats économiques
Nombre de jours de retard cumulés entre les dates de diffusion et les dates prévues dans les engagements européens
305 – Stratégies économiques
Assurer l'efficacité du réseau international de la Direction générale du Trésor
Taux de réponse de la DG Trésor aux demandes d'avis adressées aux services économiques par la représentation permanente de la France auprès de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et par le bureau de l'administrateur pour la France au Fonds monétaire international (FMI)
Taux de satisfaction des acteurs économiques locaux sur l'action des services économiques
Assurer la qualité de l'analyse et des prévisions présentées dans le projet de loi de finances, dans le domaine des évolutions économiques et dans celui des recettes fiscales
Fiabilité comparée, au vu des réalisations, des prévisions du Gouvernement présentées dans le RESF et de celles des instituts de conjoncture
Fiabilité des prévisions de recettes fiscales nettes
Assurer un traitement efficace du surendettement
Capacité de la Banque de France à traiter dans les meilleurs délais un dossier de surendettement
Efficience du traitement des dossiers de surendettement
343 – Plan France Très haut débit
Accompagner la montée en compétences numériques de la population française
Déployer le dispositif des conseillers numériques
Généralisation de la couverture en fibre optique sur l’ensemble du territoire à l'horizon 2025
Nombre cumulé de locaux (foyers et entreprises) éligibles à la FttH au titre de l’année N dans la zone d’initiative publique France entière
Engagements financiers de l'État
Couvrir le programme d'émission dans les meilleures conditions d'efficience et de sécurité (117)
Taux de couverture moyen des adjudications (117)
Favoriser l'investissement dans le logement en préservant l'équilibre financier du fonds d'épargne (145)
Efficience du fléchage de l'épargne réglementée vers le financement du logement social (145)
Prélèvement effectué par l'État sur le fonds d'épargne (145)
114 – Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs)
Assurer l'équilibre à moyen terme des procédures publiques d'assurance-crédit, notamment en maintenant une dispersion suffisante des catégories de risques garantis
Indice moyen pondéré du portefeuille des risques de l'assurance-crédit (risque pays)
Encourager les PME à prospecter les marchés extérieurs
Taux de retour en fin de période de garantie
Qualité de gestion des prêts garantis par l'État (PGE) par Bpifrance
Délais d’indemnisation des banques et de paiement des commissions
Part de dossiers PGE contrôlés
Répondre aux besoins des entreprises en garanties du risque exportateur, tout en respectant le principe de subsidiarité et en limitant l'exposition de l'Etat sur les moins bons risques
Pourcentage des bons risques et des moins bons risques parmi les entreprises bénéficiaires des garanties du risque exportateur
Satisfaire la demande des entreprises en couverture de risque de change, sous la contrainte de la gestion à l'équilibre de la procédure
Nombre de PME ayant bénéficié d'une garantie de change
Position nette réévaluée (valeur du portefeuille risque/couverture au 31/12 de l'année)
117 – Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs)
Améliorer l'information préalable par les correspondants du Trésor de leurs opérations financières affectant le compte du Trésor
Taux d'annonce des correspondants du Trésor
Couvrir le programme d'émission dans les meilleures conditions d'efficience et de sécurité [Stratégique]
Adjudications non couvertes
Taux de couverture moyen des adjudications [Stratégique]
Obtenir un niveau de contrôle des risques de qualité constante et qui minimise la survenance d'incidents
Incidents d'exécution des opérations de dette et de trésorerie
Qualité du système de contrôle
Optimiser la gestion de la trésorerie en fonction des conditions de marché
Rémunération des placements de trésorerie
Solde du compte de l'Etat à la Banque de France en fin de journée
145 – Épargne
Encourager le développement de l'épargne individuelle à long terme afin de contribuer au financement de l'économie
Rapport des placements finançant les entreprises sur le total des placements des compagnies d'assurance dans le cadre des contrats d'assurance vie gérés
Favoriser l'investissement dans le logement en préservant l'équilibre financier du fonds d'épargne [Stratégique]
Efficience du fléchage de l'épargne réglementée vers le financement du logement social [Stratégique]
Prélèvement effectué par l'État sur le fonds d'épargne [Stratégique]
Taux de clôtures de PEL donnant lieu à un prêt d'épargne logement
344 – Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque
Assurer un versement efficient des aides aux collectivités territoriales, groupements, établissements publics locaux et services départementaux d'incendie et de secours dans le cadre de la sortie des emprunts à risque
Part (en nombre) des rejets de virement
369 – Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19
Retracer l'amortissement de la dette de l'Etat en 2020 et 2021 liée à la covid-19
Taux de réalisation de l'objectif annuel inscrit dans l'échéancier
Enseignement scolaire
Conduire le maximum de jeunes aux niveaux de compétences attendues en fin de formation initiale et à l'obtention des diplômes correspondants
Proportion de jeunes âgés de 18 à 24 ans ne possédant ni CAP, ni BEP, ni diplôme plus élevé et qui ne poursuivent ni études, ni formation (champs public et privé)
Taux d'accès au baccalauréat (champs public et privé)
Taux d'accès au diplôme correspondant des élèves ou apprentis inscrits en première année d'un cycle de formation
Taux d'accès au diplôme national du brevet (DNB)
Conduire tous les élèves à l'acquisition des connaissances et compétences attendues à l'entrée de 6ème.
Proportion d'élèves les plus performants et score moyen de l'ensemble des élèves en français à l'entrée en 6e
Proportion d'élèves les plus performants et score moyen de l'ensemble des élèves en mathématiques à l'entrée en 6e
Favoriser la poursuite d'études des jeunes à l'issue de la scolarité secondaire
Poursuite d'études des nouveaux bacheliers issus de l'enseignement public et privé
139 – Enseignement privé du premier et du second degrés
Conduire le maximum de jeunes aux niveaux de compétences attendues en fin de formation initiale et à l'obtention des diplômes correspondants
Mixité des filles et des garçons en terminale
Proportion d'élèves entrant en 3ème avec au moins un an de retard
Résultats des élèves aux épreuves écrites de français et de mathématiques au DNB
Conduire tous les élèves à la maîtrise des connaissances et compétences du socle commun au terme de la scolarité primaire
Proportion d'élèves venant du privé et entrant en sixième avec au moins un an de retard
Proportion d’élèves ayant une maîtrise satisfaisante des savoirs fondamentaux à l’entrée en 6e
Proportion d’élèves ayant une maîtrise satisfaisante des savoirs fondamentaux à l’entrée en CM1
Proportion d’élèves ayant une maîtrise satisfaisante des savoirs fondamentaux à l’entrée en CP
Favoriser la poursuite d'études ou l'insertion professionnelle des jeunes à l'issue de leur scolarité secondaire
Poursuite d'études des nouveaux bacheliers
Taux d’emploi 6 mois après la sortie de formation selon le diplôme préparé
Répondre aux besoins éducatifs de tous les élèves sur l'ensemble du territoire
Nombre d'académies bénéficiant d'une dotation globale équilibrée parmi les 30 académies
Scolarisation des élèves en situation de handicap dans l'enseignement primaire et secondaire
140 – Enseignement scolaire public du premier degré
Conduire tous les élèves à la maîtrise des connaissances et compétences du socle commun exigibles au terme de la scolarité primaire
Proportion d'élèves entrant en sixième avec au moins un an de retard
Proportion d’élèves ayant une maîtrise satisfaisante des savoirs fondamentaux à l’entrée en CM1
Proportion d’élèves ayant une maîtrise satisfaisante des savoirs fondamentaux à l’entrée en CP
Scolarisation des élèves du 1er degré en situation de handicap
Promouvoir un aménagement équilibré du territoire éducatif en optimisant les moyens alloués
Écarts de taux d'encadrement à l'école primaire entre éducation prioritaire (EP) et hors EP et proportion d'enseignants avec 5 ans et plus d'ancienneté en EP
Nombre d'académies bénéficiant d'une dotation globale équilibrée parmi les 30 académies
141 – Enseignement scolaire public du second degré
Conduire le maximum de jeunes aux niveaux de compétences attendues en fin de formation initiale et à l'obtention des diplômes correspondants
Écart de taux de réussite au diplôme national du brevet (DNB) entre éducation prioritaire (EP) et hors EP
Mixité des filles et des garçons en terminale
Proportion d'élèves entrant en 3ème avec au moins un an de retard
Proportion d’élèves ayant une maîtrise satisfaisante des savoirs fondamentaux à l’entrée en 6e
Résultats des élèves aux épreuves écrites de français et de mathématiques au DNB
Scolarisation des élèves du second degré en situation de handicap
Favoriser la poursuite d'études ou l'insertion professionnelle des jeunes à l'issue de leur scolarité secondaire
Poursuite d'études des nouveaux bacheliers
Taux d’emploi 6 mois après la sortie de formation selon le diplôme préparé
Promouvoir un aménagement équilibré du territoire éducatif en optimisant les moyens alloués
Écart de taux d'encadrement au collège entre éducation prioritaire (EP) et hors EP et proportion des enseignants avec 5 ans d'ancienneté et plus en EP
Nombre d'académies bénéficiant d'une dotation équilibrée parmi les 30 académies
Pourcentage d'heures d'enseignement délivrées devant des groupes de dix élèves ou moins
Pourcentage d'heures d'enseignement non assurées (pour indisponibilité des locaux, absence d'enseignants non remplacés)
143 – Enseignement technique agricole
Assurer un enseignement général, technologique et professionnel conduisant à la réussite scolaire et à une bonne insertion sociale et professionnelle
Nombre de personnes diplômées chaque année dans les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire
Taux d'emploi après la sortie de formation selon le diplôme préparé
Taux de réussite aux examens
Optimiser la gestion de la formation initiale scolaire
Dépense de l’État pour la formation d’un élève de l’enseignement agricole technique
214 – Soutien de la politique de l'éducation nationale
Améliorer la qualité de la gestion des ressources humaines
Efficacité et efficience du remplacement des personnels enseignants des premier et second degrés publics
Efficience de la gestion des ressources humaines
Index égalité femmes-hommes
Part des surnombres disciplinaires
Optimiser les moyens des fonctions support
Dépense de fonctionnement par agent
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Ratio d'efficience bureautique
Respect des coûts et délais des grands projets
Réussir la programmation et la gestion des grands rendez-vous de l'année scolaire
Coût des examens des élèves et des concours de personnels enseignants par candidat présent
Nombre de postes d'enseignants non pourvus à la rentrée scolaire et durée moyenne des vacances de postes (enseignement public)
230 – Vie de l'élève
Faire respecter l'école, améliorer le climat scolaire et favoriser l'apprentissage de la responsabilité et de la citoyenneté
Taux d'absentéisme des élèves
Taux d'incidents graves pour 1 000 élèves
Taux de participation des lycéens aux élections des "Conseils des délégués pour la vie lycéenne" (CVL)
Promouvoir la santé des élèves et contribuer à améliorer leur qualité de vie
Proportion d'élèves considérés comme harcelés
Proportion d’élèves ayant bénéficié de visites médicales et de dépistage obligatoires
Taux de couverture des prescriptions des commissions des droits et de l'autonomie des personnes handicapées pour la scolarisation des élèves en situation de handicap
Financement des aides aux collectivités pour l'électrification rurale (Compte d'affectation spéciale)
Améliorer le rythme de décaissement des subventions attribuées aux AODE
Stock de subventions attribuées restant à décaisser par les AODE
793 – Électrification rurale
Amélioration de la qualité des réseaux de distribution
Résorption des départs mal alimentés (DMA)
Sécurisation des réseaux basse tension en fils nus
Gestion des finances publiques
Améliorer l'efficacité de la lutte contre la fraude fiscale et du traitement des dépenses publiques et contribuer à l'accessibilité et à la clarté de la norme fiscale (156)
Recouvrement des amendes et des produits locaux
Taux de déclaration spontanée (civisme)
Taux de recouvrement spontané (civisme)
Renforcer la qualité de service aux usagers et l'efficience des réseaux du recouvrement fiscal
Coût de collecte des recettes douanières et fiscales
Taux de réponse de la DGDDI et de la DGFiP aux demandes de rescrit dans les délais réglementaires
156 – Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local
Améliorer l'efficacité de la lutte contre la fraude fiscale et du traitement des dépenses publiques et contribuer à l'accessibilité et à la clarté de la norme fiscale [Stratégique]
Délais de production de la doctrine fiscale opposable à l'administration
Déployer un cadre rénové de la gestion publique
Efficacité de la lutte contre la fraude fiscale
Etre exemplaire en matière de responsabilité sociale et environnementale
Promouvoir l'égalité femmes-hommes
Réduire les émissions de gaz à effets de serre
Maîtriser les coûts de gestion de la DGFiP au profit d'une efficience accrue
Taux d'intervention et d'évolution de la productivité
Renforcer la qualité de service au profit des usagers et des partenaires
Délai de paiement des dépenses publiques
Dématérialisation
Proximité de l'administration, relation de confiance, rapidité
Qualité des comptes publics
Taux de satisfaction des usagers
218 – Conduite et pilotage des politiques économiques et financières
Améliorer l'action interministérielle et la qualité des services rendus
Qualité de service des prestations de service numériques de l'AIFE
Qualité des objectifs, des indicateurs et de la JPE des programmes du budget de l'Etat
Satisfaction des agents par rapport à leur environnement de travail numérique
Améliorer les conditions d'emploi des personnels
Part des agents bénéficiant de prestations d'action sociale dans les secteurs de la restauration, de l'aide au logement et des séjours vacances pour enfants et adolescents
Renforcer la qualité de la formation professionnelle
Moderniser les fonctions support et maîtriser leur coût
Accompagner la transition écologique
Efficience de la gestion immobilière
Gains relatifs aux actions achat des ministères et des établissements publics et organismes de l’État
302 – Facilitation et sécurisation des échanges
Amplifier la lutte contre les trafics et la criminalité organisée et garantir la conformité des marchandises sur l'ensemble de la chaîne logistique
Amplifier la lutte contre les trafics et la criminalité organisée
Garantir la conformité des marchandises sur l'ensemble de la chaîne logistique
Faire de la douane une administration moderne et innovante
Faire de la donnée un outil central de la douane
Optimiser et moderniser le traitement des flux de marchandises en frontière et consolider l'accompagnement des entreprises
Accompagner les entreprises en sécurisant leurs opérations douanières
Consolider l'accompagnement des entreprises
Gestion du patrimoine immobilier de l'État (Compte d'affectation spéciale)
Optimiser le parc immobilier de l'État
Rendement d'occupation des surfaces
723 – Opérations immobilières et entretien des bâtiments de l'État
Optimiser le parc immobilier de l'Etat
Surfaces de bureaux remis au Domaine, inoccupées depuis 36 mois ou plus
Immigration, asile et intégration
Améliorer l'efficacité de la lutte contre l'immigration irrégulière (303)
Nombre de retours forcés exécutés (303)
Améliorer les conditions d'accueil et d'intégration des étrangers (104)
Efficience de la formation linguistique dans le cadre du CIR (contrat d'intégration républicaine) (104)
Réduire les délais de traitement de la demande d'asile (303)
Délai de l'examen d'une demande d'asile par l'OFPRA (303)
104 – Intégration et accès à la nationalité française
Améliorer l'efficacité du traitement des dossiers de naturalisation
Efficacité de la procédure d'instruction d'un dossier de naturalisation
Améliorer les conditions d'accueil et d'intégration des étrangers [Stratégique]
Efficience de la formation linguistique dans le cadre du CIR (contrat d'intégration républicaine) [Stratégique]
Part des signataires du CIR ayant accédé à un emploi d'une durée au moins égale à un mois au cours du semestre suivant le semestre de leur inscription à France Travail
Part des signataires du CIR ayant déclaré rechercher un emploi lors du premier entretien à l'OFII, inscrits à France Travail la même année (calendaire) que la signature du CIR
Programme AGIR : taux de sortie positive en logement et en emploi ou en formation des bénéficiaires de la protection internationale
303 – Immigration et asile
Améliorer l'efficacité de la lutte contre l'immigration irrégulière [Stratégique]
Nombre d'éloignements et de départs aidés exécutés
Nombre de retours forcés exécutés [Stratégique]
Optimiser la prise en charge des demandeurs d'asile
Part des demandeurs d'asile hébergés
Part des places occupées par des demandeurs d'asile et autres personnes autorisées
Réduire les délais de traitement de la demande d'asile [Stratégique]
Délai de l'examen d'une demande d'asile par l'OFPRA [Stratégique]
Taux de transfert des demandeurs d'asile placés sous procédure Dublin
Investir pour la France de 2030
Augmenter l'effort national de R&D
Contribution de France 2030 à l'effort de R&D national
421 – Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche
Développer l'innovation pédagogique
Part de la population étudiante et enseignante impliquée dans des projets financés par le PIA
Ouvrir les établissements à de nouveaux modes de gestion
Part des cofinancements dans la gestion des équipements structurants soutenus par le PIA
422 – Valorisation de la recherche
Faciliter l'appropriation de l'innovation
Capacité des Sociétés d'accélération du transfert de technologies (SATT) à générer leurs ressources propres et à accompagner les start-ups
Evolution du nombre d'essais cliniques réalisés par les écosystèmes de santé soutenus par le PIA
Soutenir les investissements dans le parc industriel concourant au renforcement de la performance environnementale
Taux de réussite commerciale des actions concourant à la performance environnementale
423 – Accélération de la modernisation des entreprises
Accélérer la croissance des PME et des ETI
Investissements en capital innovation en proportion du PIB
Qualité du soutien à l'innovation
Soutenir la modernisation des entreprises françaises
Evolution du nombre de partenaires privés impliqués dans des projets d'innovation collaborative (PSPC et I-DEMO)
424 – Financement des investissements stratégiques
Accélérer les démonstrateurs et le déploiement des innovations technologiques
Taux de réussite commerciale des projets soutenus
Adapter le capital humain aux filières d'avenir
Mobiliser la recherche sur les innovations
Préparer les métiers de demain
Favoriser les transferts de technologies et la valorisation de la recherche dans les filières d'avenir
Transfert de technologies dans les filières d'avenir
Soutenir l'industrialisation dans les filières d'avenir
Emplois industriels
425 – Financement structurel des écosystèmes d'innovation
S’appuyer sur l’excellence des écosystèmes de l’ESR et contribuer à son rayonnement dans un contexte international compétitif
Evolution des établissements d’enseignement supérieur français les mieux classés dans le classement de l’Université de Leiden
Soutenir l'émergence et le développement des start-ups et nouveaux sites industriels
Financement des start-ups industrielles
Performance des start-ups lauréates de France 2030
Justice
Améliorer les conditions de détention des personnes sous main de justice ainsi que les conditions de travail des personnels pénitentiaires (107)
Taux d'occupation des établissements pénitentiaires (107)
Favoriser la réinsertion (107)
Pourcentage de personnes placées sous écrou et condamnées bénéficiant d'une mesure sous écrou de DDSE, PE ou SL (107)
Garantir une aide à la décision efficace et améliorer la qualité des prises en charge éducatives (182)
Délais moyens de prise en charge (imputables aux services du secteur public et du secteur associatif habilité) (182)
Durée de placement (182)
Nombre de jeunes (hors investigation, TIG, réparations et stages) scolarisés, en situation d’emploi, inscrits dans un dispositifs d’insertion hors PJJ, inscrits en UEAJ PJJ / nombre total de jeunes en fin de mesure (182)
Rendre une justice de qualité (en première instance) (166)
Proportion d'affaires civiles terminées en moins de douze mois sur les douze derniers mois en première instance (166)
101 – Accès au droit et à la justice
Améliorer l'accompagnement des victimes d'infraction(s)
Taux de prise en charge des victimes d'infractions pénales
Favoriser l'accès de tous au droit et à la justice
Délai de traitement des demandes d'aide juridictionnelle après réception d'un dossier complet
Part de la population à moins de 30 minutes d'un point justice ou d'un espace de rencontre
Part des demandes d'aide juridictionnelle déposées et traitées par voie dématérialisée
Garantir l'efficience du dispositif d'aide juridictionnelle
Coût de traitement d'une décision d'aide juridictionnelle
Taux de mise en recouvrement des frais avancés par l'Etat au titre de l'aide juridictionnelle
107 – Administration pénitentiaire
Améliorer les conditions de détention des personnes sous main de justice ainsi que les conditions de travail des personnels pénitentiaires [Stratégique]
Taux d'établissements pénitentiaires labellisés dans le processus de "prise en charge et accompagnement des personnes détenues"
Taux d'occupation des établissements pénitentiaires [Stratégique]
Taux d'occupation des structures dédiées au maintien des liens familiaux
Taux de personnes détenues benéficiant d'une cellule individuelle
Taux de recours à la visioconférence dans le cadre des extractions judiciaires
Favoriser la réinsertion [Stratégique]
Evolution du TIG
Impact sur la population carcérale du développement des peines courtes alternatives à l'incarcération
Mesure de l'activité des services pénitentiaires d'insertion et de probation
Part des prévenus en attente de jugement sur l'ensemble de la population pénale
Pourcentage de détenus bénéficiant d'une formation générale
Pourcentage de personnes détenues bénéficiant d'une activité rémunérée à l'intérieur des établissements pénitentiaires
Pourcentage de personnes placées sous écrou et condamnées bénéficiant d'une mesure sous écrou de DDSE, PE ou SL [Stratégique]
Renforcer la sécurité des établissements pénitentiaires
Nombre d'actes de violence pour 1000 personnes détenues
Nombre d'évasions pour 10 000 détenus (sous garde pénitentiaire directe/hors de l'établissement)
Taux de détenus radicalisés ayant suivi un programme de prévention de la radicalisation violente
166 – Justice judiciaire
Adapter et moderniser la justice
Dépense moyenne de frais de justice par affaire faisant l'objet d'une réponse pénale
Part des conciliations réussies
Satisfaction sur la qualité de l'accueil dans les tribunaux
Transformation numérique de la justice
Rendre une justice de qualité (en appel)
Délai théorique d'écoulement du stock des procédures
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par magistrat
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par personnel de greffe
Taux de cassation (affaires civiles et pénales)
Rendre une justice de qualité (en cassation)
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par magistrat
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par personnel de greffe
Rendre une justice de qualité (en première instance) [Stratégique]
Délai théorique d'écoulement du stock des procédures
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par magistrat
Nombre d'affaires civiles et pénales traitées par personnel de greffe
Proportion d'affaires civiles terminées en moins de douze mois sur les douze derniers mois en première instance [Stratégique]
Proportion d'affaires pénales terminées en moins de douze mois sur les douze derniers mois en première instance
Renforcer l'efficacité de la réponse pénale, le sens et l'efficacité de la peine
Alternatives aux poursuites (TJ)
Délai de mise à exécution des peines d'emprisonnement ferme ou en partie ferme
Taux de mise à exécution des peines d'emprisonnement ferme ou en partie ferme
Taux de peines alternatives à l'emprisonnement ferme
182 – Protection judiciaire de la jeunesse
Garantir une aide à la décision efficace et améliorer la qualité des prises en charge éducatives [Stratégique]
Délais moyens de prise en charge (imputables aux services du secteur public et du secteur associatif habilité) [Stratégique]
Durée de placement [Stratégique]
Nombre de jeunes (hors investigation, TIG, réparations et stages) scolarisés, en situation d’emploi, inscrits dans un dispositifs d’insertion hors PJJ, inscrits en UEAJ PJJ / nombre total de jeunes en fin de mesure [Stratégique]
Proportion de jeunes en détention provisoire parmi les jeunes détenus
Optimiser l'emploi des moyens humains, financiers et matériels
Taux d'occupation et de prescription des établissements
310 – Conduite et pilotage de la politique de la justice
Egalité professionnelle entre les femmes et les hommes
Égalité professionnelle au sein du ministère de la Justice
Optimiser la qualité et l'efficience des fonctions de soutien
Efficience de la fonction achat
Performance des SIC
Performance énergétique du parc occupé en année N-1
Respect des coûts et des délais des grands projets immobiliers
Respect des coûts et des délais des grands projets informatiques
335 – Conseil supérieur de la magistrature
Contribuer à la continuité du fonctionnement de l'institution judiciaire
Délai utile d'examen des propositions de nomination du garde des Sceaux
Médias, livre et industries culturelles
Favoriser l'accès du public aux bibliothèques et le développement de la lecture (334)
Fréquentation des bibliothèques (334)
Veiller au maintien du pluralisme de la presse (180)
Diffusion de la presse (180)
180 – Presse et médias
Améliorer le ciblage et l'efficacité des dispositifs d'aide
Effet de levier des aides directes d'investissement à la presse
Part de l'aide publique globale accordée à la presse d'information politique et générale
Taux de portage de la presse d'abonnés
Contribuer au développement de l'Agence France-Presse et à la qualité de sa gestion
Croissance des charges
Développement de produits et de marchés à fort potentiel de croissance
Soutenir les efforts des radios associatives dans leurs missions sociales de proximité
Part des subventions sélectives au sein du Fonds de soutien à l'expression radiophonique
Veiller au maintien du pluralisme de la presse [Stratégique]
Diffusion de la presse [Stratégique]
334 – Livre et industries culturelles
Favoriser l'accès du public aux bibliothèques et le développement de la lecture [Stratégique]
Amélioration de l'accès au document écrit
Fréquentation des bibliothèques [Stratégique]
Soutenir la création et la diffusion du livre
Part de marché des librairies indépendantes
Renouvellement de la création éditoriale
Outre-mer
Encourager la création et la sauvegarde d'emplois durables dans le secteur marchand (138)
Impact des exonérations de cotisations patronales de sécurité sociale sur l'évolution des effectifs salariés dans les DOM (138)
Lutter contre l'exclusion du marché du travail des publics les plus éloignés de l'emploi par des actions de formation professionnelle adaptées (138)
Taux d'insertion des volontaires du SMA en fin de contrat (138)
Mieux répondre au besoin de logement social (123)
Fluidité du parc de logements sociaux (123)
123 – Conditions de vie outre-mer
Accompagner les collectivités d'outre-mer dans leur action en faveur de l'aménagement et du développement durable
Taux de réalisation des projets d'investissement du programme 123
Mieux répondre au besoin de logement social [Stratégique]
Fluidité du parc de logements sociaux [Stratégique]
138 – Emploi outre-mer
Encourager la création et la sauvegarde d'emplois durables dans le secteur marchand [Stratégique]
Impact des exonérations de cotisations patronales de sécurité sociale sur l'évolution des effectifs salariés dans les DOM [Stratégique]
Lutter contre l'exclusion du marché du travail des publics les plus éloignés de l'emploi par des actions de formation professionnelle adaptées [Stratégique]
Taux d'insertion des volontaires du SMA en fin de contrat [Stratégique]
Taux d'insertion professionnelle des jeunes ayant bénéficié d'une mesure de formation professionnelle en mobilité, 6 mois après la sortie de la mesure
Participations financières de l'État (Compte d'affectation spéciale)
731 – Opérations en capital intéressant les participations financières de l'État
Assurer la performance des entreprises du périmètre APE en matière de responsabilité sociale et environnementale
Entreprises ayant au moins 25% de femmes dans les instances dirigeantes
Entreprises réalisant un bilan GES complet
Assurer le succès des opérations de cessions des participations financières
Écart entre les recettes de cessions et la valeur boursière des participations cédées
Taux des commissions versées par l'État à ses conseils
Veiller à l'augmentation de la valeur des participations financières de l'État
Rentabilité opérationnelle des capitaux employés (ROCE)
Suivi et maîtrise de l'endettement
Taux de rendement de l'actionnaire
732 – Désendettement de l'État et d'établissements publics de l'État
Contribuer au désendettement de l'État et d'administrations publiques (APU)
Part des ressources consacrées au désendettement de l'État et d'administrations publiques
Réduction de la dette des entités entrant dans le périmètre des administrations publiques
Pensions (Compte d'affectation spéciale)
741 – Pensions civiles et militaires de retraite et allocations temporaires d'invalidité
Maîtriser le coût de la gestion des pensions civiles et militaires de retraite (PCMR)
Coût de gestion d'un ressortissant du régime des pensions civiles et militaires de retraite
Coût de gestion des pensions civiles et militaires de retraite pour 100€ de pensions versés
Optimiser la prévision de dépenses et recettes des pensions
Dépenses de pensions civiles et militaires de retraites et allocations temporaires d'invalidité : écart entre la prévision et l'exécution
742 – Ouvriers des établissements industriels de l'État
Maîtriser les coûts de la gestion administrative inclus dans la dépense totale
Coût du processus de contrôle d'une liquidation
Dépenses de gestion pour 100€ de pension
Optimiser la prévision de dépenses et recettes des pensions
Dépenses de pensions des ouvriers des établissements industriels de l'État : écart entre la prévision et l'exécution
Optimiser le taux de recouvrement
Taux de récupération des indus et trop-versés
Plan de relance
Assurer la mise en oeuvre rapide du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Soutenir et transformer l'économie française
Créations d'emplois liées aux mesures de relance
Réduction des émissions de CO2 en France
362 – Écologie
Assurer la mise en œuvre rapide du volet Écologie du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Assurer la transition énergétique des bâtiments publics
Economie d’énergie attendue
Développer la part des modes alternatifs à la route
Part modale des transports non routiers
Réduction des émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
Émissions moyennes de CO2 des véhicules neufs
363 – Compétitivité
Accompagner les entreprises dans la transition numérique et moderniser l’Etat
Rang de la France au sein de l’UE en matière d’intégration des technologies dans les entreprises
Assurer la contribution des garanties publiques au soutien de la compétitivité
Écart de taux de pérennité à 3 ans des entreprises aidées
Suivi des volumes de capitaux déployés par les véhicules d’investissement bénéficiant de la garantie Bpifrance
Assurer la mise en œuvre rapide du volet Compétitivité du plan de relance
Taux de consommation des crédits
Sécuriser nos approvisionnements dans les secteurs stratégiques et soutenir l’emploi industriel
Nombre d’emplois créés ou confortés grâce aux dispositifs de relocalisations sectorielles ou territoriales
Soutenir les entreprises à l’export
Nombre de missions VIE engagées dans les PME et ETI
Taux d’impact en termes de courant d’affaire du chèque export
Prêts à des États étrangers (Compte de concours financiers)
851 – Prêts du Trésor à des États étrangers en vue de faciliter la vente de biens et de services concourant au développement du commerce extérieur de la France
Engager au moins 55 % de financements climat chaque année
Pourcentage de projets engagés qui répondent à un objectif climatique (atténuation et/ou adaptation au changement climatique) au sens des marqueurs de Rio (en % des engagements totaux hors projets militaires)
Permettre la réalisation de projets de développement durable dans les pays étrangers, faisant appel au savoir-faire français
Pourcentage de protocoles de prêt signés au cours de l'année n-2 ayant donné lieu à l'imputation d'un contrat dans les deux ans après la signature.
852 – Prêts à des États étrangers pour consolidation de dettes envers la France
Participer au rétablissement de la stabilité macroéconomique et à la création des conditions de la croissance des pays en développement
Pourcentage de pays dont la soutenabilité de la dette a été rétablie par l'initiative en faveur des pays pauvres très endettés
Prêts et avances à des particuliers ou à des organismes privés (Compte de concours financiers)
862 – Prêts pour le développement économique et social
Appuyer les dispositifs de sauvegarde des entreprises
Effet de levier sur les capitaux privés d'un prêt pour le développement économique et social
Pérennité des entreprises soutenues, à n+3, mesurée par le taux de remboursement des prêts pour le développement économique et social accordés en n-3
877 – Avances remboursables et prêts bonifiés aux entreprises touchées par la crise de la covid-19 ou par le conflit en Ukraine
Apporter une réponse ciblée et efficace pour les entreprises stratégiques présentant de réelles possibilités de reprise
Taux de défaillance des entreprises soutenues au 31/12/2020, au 31/12/2021, au 31/12/2022
Taux de recouvrement
Prêts et avances à divers services de l'État ou organismes gérant des services publics (Compte de concours financiers)
Assurer le respect des conditions de financement et de durée des prêts et avances du Trésor
Respect de la règle de neutralité budgétaire des opérations, pour l'Etat
Respect des conditions de durée des prêts et avances du Trésor
828 – Prêts destinés à soutenir les autorités organisatrices de la mobilité à la suite des conséquences de l'épidémie de la covid-19
Assurer l'accès rapide des autorités organisatrices de la mobilité (AOM) au mécanisme de l'avance remboursable
Taux de consommation des crédits budgétaires dédiés au 30/06/2021
Taux de remboursement des crédits par les AOM bénéficiaires au 31/12/2021, 31/12/2022 et suivant jusqu'à la date limite de remboursement du 31/12/2030
Publications officielles et information administrative (Budget annexe)
Améliorer l'accès à l'information légale et administrative et l'offre de services aux usagers
Accès aux informations et aux démarches administratives
Diffusion de la norme juridique
Transparence du débat public
623 – Édition et diffusion
Optimiser la production et développer la diffusion des données
Améliorer la productivité et réduire l'impact environnemental
Contribution au développement de l'accès à la commande publique
Optimiser et sécuriser la production du Journal officiel (JO)
624 – Pilotage et ressources humaines
Optimiser les fonctions soutien
Efficience de la gestion immobilière
Recherche et enseignement supérieur
Accroître la production scientifique des opérateurs de recherche et leur dynamisme autour des priorités nationales de recherche
Performance de la production scientifique française mesurée par la part dans le décile des publications les plus citées au monde (Top 10%) des corpus thématiques définis par les clusters du pilier 2 du programme-cadre européen Horizon Europe (part mondiale)
Performance de la production scientifique française mesurée par la part dans le décile des publications les plus citées au monde (Top 10%) des corpus thématiques définis par les clusters du pilier 2 du programme-cadre européen Horizon Europe (part espace FR/ALL/RU)
Performance de la production scientifique française mesurée par la part dans le décile des publications les plus citées au monde (Top 10%) des corpus thématiques définis par les clusters du pilier 2 du programme-cadre européen Horizon Europe (part UE 27)
Production scientifique des opérateurs de la mission
Améliorer la part de la R&D des entreprises françaises dans l'effort national de recherche
Effort de la recherche de la France
Intensifier le rayonnement international et parfaire l'intégration européenne de la recherche spatiale française
Production scientifique des opérateurs du programme
Participer activement à la construction de l'Europe de la recherche
Présence des opérateurs de la mission dans les projets financés par le PCRI de l'Union européenne
Répondre aux besoins de qualification supérieure par la formation tout au long de la vie
Accès à l'enseignement supérieur des jeunes de 20/21 ans selon leur origine sociale
Admission dans l'enseignement supérieur
Insertion professionnelle des diplômés en formation initiale
Part des étudiants étrangers en mobilité internationale inscrits en Licence, en Master et en Doctorat sur l'ensemble des inscrits de ces mêmes formations
Pourcentage d'une classe d'âge obtenant un diplôme de l'enseignement supérieur en formation initiale
142 – Enseignement supérieur et recherche agricoles
Développer la valorisation de la recherche vers les secteurs professionnels et l'appui aux politiques publiques
Nombre d’opérations collectives portées par INRAE mobilisant une expertise scientifique en appui aux politiques publiques par an
Former des ingénieurs, des vétérinaires et des paysagistes répondant aux besoins des milieux économiques, formés aux pratiques de la recherche et ouverts sur l'international
Taux d'insertion des diplômés
Organiser les formations dans des conditions optimales de coût et de qualité de service
Dépense de l'Etat pour la formation d'un étudiant de l'enseignement supérieur agricole
150 – Formations supérieures et recherche universitaire
Améliorer l'efficience des opérateurs
Accès aux services et ressources documentaires de l'ESR
Efficience environnementale
Part des mentions à faibles effectifs (L et M)
Qualité de la gestion immobilière
Taux de recettes propres des établissements
Améliorer la réussite des étudiants
Assiduité
Mesures de la réussite étudiante
Améliorer le transfert et la valorisation des résultats de la recherche
Montant des contrats de recherche passés avec les entreprises dans les ressources des opérateurs
Montant des redevances sur titre de propriété intellectuelle dans les ressources des opérateurs
Produire des connaissances scientifiques au meilleur niveau international
Production scientifique des établissements de l'enseignement supérieur
Renforcer l'ouverture européenne et internationale des établissements
Coopération internationale
Présence des opérateurs du programme dans les projets financés par le PCRI de l'Union Européenne
Proportion d'étrangers dans les recrutements d'enseignants-chercheurs
Répondre aux besoins de qualification supérieure par la formation tout au long de la vie
Formation continue
172 – Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires
Développer le rayonnement international de la recherche française
Chercheurs étrangers recrutés ou accueillis temporairement dans les laboratoires
Part des co-publications réalisées avec des partenaires de pays du Sud parmi les publications des opérateurs du programme
Participer activement à la construction de l'Europe de la recherche
Part des articles co-publiés avec un pays membre de l'Union européenne (UE 27) dans les articles des opérateurs du programme
Part du PCRI attribuée à des équipes françaises
Présence des opérateurs dans le programme ERC du PCRI Horizon Europe
Présence des opérateurs du programme dans les projets financés par le PCRI de l'Union européenne
Produire des connaissances scientifiques au meilleur niveau international
Production scientifique des opérateurs du programme
Promouvoir le transfert et l'innovation
Mesure de l'impact du dispositif CIFRE
Mesures de l'impact du crédit d'impôt recherche (CIR)
Part des redevances et des contrats de recherche dans les ressources des opérateurs
190 – Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables
Accroître, par la recherche, la compétitivité et la sécurité nucléaire sur l'ensemble du cycle
Maîtrise du déroulement de certains grands projets du CEA
Développer l'excellence des instituts de recherche au niveau européen et international
Production scientifique des instituts de recherche du programme
Développer les recherches partenariales entre acteurs publics et entre acteurs publics et privés et valoriser les résultats de la recherche
Part des contrats passés avec les industriels et les partenaires dans les ressources des instituts de recherche
Part des ressources apportées aux opérateurs par les redevances sur titre de propriété intellectuelle
Soutenir l’effort de R&D de la filière aéronautique civile et orienter prioritairement cet effort vers la transition écologique de l’aviation
Montant d’autofinancement des dépenses de R&T de la filière aéronautique civile
Nombre de brevets déposés dans le cadre des projets de R&D soutenus
Part des crédits dédiés à la préparation technologique et au développement des avions de transport zéro émission ou ultra sobres
Soutenir par la recherche, le développement des nouvelles technologies de l'énergie (NTE) et de l'efficacité énergétique
Mesure des transferts des technologies NTE auprès des industriels à partir des travaux du CEA et de l'IFP EN
191 – Recherche duale (civile et militaire)
Améliorer la qualité et l'orientation des programmes de recherche civile répondant à des besoins de la défense
Proportion du montant de projets dont des retombées potentielles pour la défense ont été précisément identifiées
192 – Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle
Optimiser la valorisation de la recherche et développer l'efficience des formations des écoles du programme
Bibliométrie des écoles
Coût unitaire de formation par étudiant
Nombre d'élèves en formation d'ingénieurs au GENES et au GMT
Part du montant des contrats de recherche et des partenariats rapporté à l'ensemble des ressources consacrées à la recherche
Taux d'insertion des diplômés dans les 6 mois suivant l'obtention du diplôme
193 – Recherche spatiale
Garantir à la France la maîtrise des technologies spatiales et un accès à l'espace autonome, compétitif et fiable
Adéquation de l'offre de lancement européenne avec les besoins européens
Chiffre d'affaires à l'export de l'industrie spatiale française rapporté aux investissements des cinq dernières années
Tenue des coûts, des délais et des performances pour les 10 projets phares du CNES
Intensifier le rayonnement international et parfaire l'intégration européenne de la recherche spatiale française
Production scientifique des opérateurs du programme
Taux de présence des projets européens dans les projets avec une participation financière française
Intensifier les efforts de valorisation de la recherche spatiale dans le but de répondre aux attentes de la société
Accompagnement des start-up
Financement de la préparation du futur
231 – Vie étudiante
Améliorer les conditions de vie et de travail des étudiants en optimisant les coûts
Bilan des enquêtes de satisfaction sur le logement et la restauration relevant du réseau des oeuvres
Couverture des besoins en logements pour les étudiants boursiers
Taux de couverture des dépenses d'hébergement et de restauration par des ressources propres
Contribuer à promouvoir l'égalité des chances pour l'accès aux formations de l'enseignement supérieur des différentes classes sociales
Evolution de la représentation des origines socio-professionnelles des étudiants selon le niveau de formation
Pourcentage d'étudiants boursiers en Classes Préparatoires aux Grandes Ecoles
Ratio de réussite comparé des étudiants boursiers par rapport aux étudiants non boursiers
Favoriser l’inclusion, le bien-être et la santé de tous les étudiants
Nombre moyen de consultations en SSE par étudiant inscrit à l'université
Ratio entre le nombre d'étudiants en situation de handicap inscrits à l’université et le nombre d’étudiants inscrits à l’université
Régimes sociaux et de retraite
Optimiser la gestion des régimes
Coût unitaire d'une primo-liquidation de pensions de retraite
195 – Régimes de retraite des mines, de la SEITA, et divers
Optimiser la gestion des régimes
Coût unitaire d'une primo liquidation de pensions (tous droits)
Dépenses de gestion pour 100€ de prestations servies (caisse des mines)
Dépenses de gestion pour 100€ de prestations servies (CRCF)
Dépenses de gestion pour 100€ de prestations servies (CROPERA)
Dépenses de gestion pour 100€ de prestations servies (régime SEITA)
Optimiser le taux de recouvrement
Taux de récupération des indus et trop versés
197 – Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins
Optimiser le régime de protection sociale des marins
Coût unitaire d'une primo liquidation de pension retraite
Dépenses de gestion pour 100 € de prestations servies
Taux de recouvrement « global »
198 – Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres
Contribuer à l'équilibre du régime de retraite de la RATP, avec un objectif d'efficacité de gestion
Coût unitaire d'une primo liquidation de pension de retraite
Dépenses de gestion pour 100 € de prestations servies
Taux de récupération des "indus"
Contribuer à l'équilibre du régime de retraite de la SNCF, avec un objectif d'efficacité de gestion
Coût unitaire d'une primo liquidation de pension de retraite
Dépenses de gestion pour 100 € de prestations servies
Taux de récupération des "indus"
Relations avec les collectivités territoriales
Assurer la péréquation des ressources entre collectivités
Contribution de la péréquation verticale à la réduction des écarts de richesses
Volumes financiers relatifs consacrés à la péréquation horizontale
Volumes financiers relatifs consacrés à la péréquation verticale
Promouvoir les projets de développement local, en assurant un équilibre entre maximisation de l'effet de levier et concentration des fonds sur des projets structurants pour les collectivités (119)
Pourcentage des dotations d'investissement concourant à la transition écologique
119 – Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements
Promouvoir les projets de développement local, en assurant un équilibre entre maximisation de l'effet de levier et concentration des fonds sur des projets structurants pour les collectivités [Stratégique]
Délai séparant la décision de subvention de la fin de réalisation du projet
Effet de levier des dotations de soutien à l'investissement des collectivités territoriales
Pourcentage de projets financés par les dotations d'investissement bénéficiant d'un taux de subvention optimisé
122 – Concours spécifiques et administration
Garantir un traitement rapide des demandes d'indemnisation pour les collectivités touchées par une catastrophe naturelle
Délai moyen de versement de l'aide aux collectivités locales pour leurs biens non assurables dans le cadre de la procédure d'indemnisation pour les dommages causés par les intempéries
Remboursements et dégrèvements
200 – Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs)
Permettre aux usagers de bénéficier de leurs droits le plus rapidement possible
Ancienneté des demandes de remboursement de crédit de TVA non imputable qui ont fait l'objet d'un remboursement (partiel ou total) dans un délai strictement supérieur à 30 jours
Part des demandes de remboursement de crédit de TVA et des restitutions de trop versé d'IS, ayant reçu une suite favorable ou partiellement favorable, traitées dans un délai égal ou inférieur à 30 jours
Taux net de réclamations contentieuses en matière d'IR, de prélèvement à la source (PAS) et de contribution à l'audiovisuel public des particuliers traitées dans un délai de 30 jours par les services locaux
201 – Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs)
Permettre aux usagers de bénéficier de leurs droits le plus rapidement possible
Taux net de réclamations contentieuses relatives à la taxe d'habitation traitées dans le délai de 30 jours par les services locaux
Santé
Améliorer l'état de santé de la population et réduire les inégalités territoriales et sociales de santé
Espérance de vie en bonne santé
État de santé perçue - Pourcentage de la population de 16 ans et plus se déclarant en bonne ou très bonne santé générale
183 – Protection maladie
Assurer la délivrance de l'aide médicale de l'Etat dans des conditions appropriées de délais et de contrôles
Délai moyen d'instruction des demandes d'AME
Pourcentage des dossiers d'aide médicale de l'Etat contrôlés
Réduire les délais de présentation et de paiement des offres d'indemnisation du FIVA
Pourcentage des décisions présentées aux victimes de pathologies graves dans le délai légal de six mois
Pourcentage des offres payées dans le délai réglementaire de deux mois
204 – Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins
Améliorer l'état de santé de la population et réduire les inégalités territoriales et sociales de santé
Prévalence du tabagisme quotidien en population de 18 ans à 75 ans
Taux de couverture vaccinale contre la grippe chez les personnes de 65 ans et plus
Taux de participation au dépistage organisé du cancer colorectal pour les personnes de 50 ans à 74 ans
Prévenir et maîtriser les risques sanitaires
Pourcentage d'unités de distribution d'eau potable présentant des dépassements des limites de qualité microbiologique
Pourcentage de signalements traités en 1h
379 – Reversement à la sécurité sociale des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR)
Assurer le déploiement du volet « médico-social » du Ségur Investissement en cohérence avec le plan national de relance et de résilience
Nombre de places construites ou rénovées en établissement d’hébergement pour personnes âgées
Assurer le déploiement du volet « sanitaire » du Ségur Investissement en cohérence avec le plan national de relance et de résilience
Nombre d'établissements de santé soutenus dans leurs investissements "du quotidien"
Nombre de projets d’investissement dans la construction, la rénovation énergétique et la modernisation d’établissements de santé > 20 millions d’euros
Sécurités
(P176.1/P152.1) Évaluer objectivement la prévention de la délinquance
Evolution du nombre de crimes et délits en matière d'atteintes aux biens (AAB) constatés
Evolution du nombre de crimes et délits et de victimes en matière d'atteintes volontaires à l'intégrité physique (AVIP) constatés
(P176.2/P152.2) Renforcer l'activité des services pour mieux combattre la délinquance
Nombre d'heures de patrouille de voie publique rapporté à l'activité totale
Taux d'élucidation ciblés
(P176.4/P152.4) Renforcer l'efficacité dans la lutte contre l'insécurité routière
Nombre de tués
Assurer l'efficacité et l'efficience des dispositifs de lutte contre les feux de forêt (161)
Efficacité du dispositif de protection des forêts pendant la campagne "saison feux" (161)
Assurer la disponibilité des moyens aériens et leur conformité aux besoins opérationnels (161)
Taux de disponibilité de la flotte d’hélicoptères de la sécurité civile (161)
152 – Gendarmerie nationale
Assurer la disponibilité des moyens aériens et leur conformité aux besoins opérationnels
Taux de disponibilité des flottes d’hélicoptères de la gendarmerie nationale
Evaluer la prévention et l'activité répressive des forces de sécurité
Évolution du nombre de crimes et délits commis à l'encontre des personnes dépositaires de l'autorité publique
Evolution du nombre de crimes et délits en matière d'atteintes aux biens (AAB) constatés en zone gendarmerie
Evolution du nombre de crimes et délits et de victimes en matière d'atteintes volontaires à l'intégrité physique (AVIP) constatés en zone gendarmerie
Optimiser l'emploi des forces mobiles
Engagement des forces mobiles
Maintien en condition opérationnelle des escadrons de gendarmerie mobile
Renforcer l'activité des services pour mieux combattre la délinquance
Délai moyen d'intervention
Effort de formation dans la lutte contre la délinquance
Généralisation de la police technique et scientifique
Lutte contre les filières, l'économie souterraine et les profits illicites
Recentrage des forces sur le coeur de métier
Réserve opérationnelle
Taux d'élucidation ciblés
Taux de présence de voie publique
Renforcer l'efficacité dans la lutte contre l'insécurité routière
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l'usage des stupéfiants
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l’alcoolémie
Renforcer la transparence du service public de sécurité intérieure
Efficacité de la compagnie numérique
Signalements par les usagers de comportements perçus comme non déontologiques
Taux de satisfaction des usagers
161 – Sécurité civile
Assurer l'efficacité et l'efficience des dispositifs de lutte contre les feux de forêt [Stratégique]
Efficacité du dispositif de protection des forêts pendant la campagne "saison feux" [Stratégique]
Assurer la disponibilité des moyens aériens et leur conformité aux besoins opérationnels [Stratégique]
Taux de disponibilité de la flotte d’hélicoptères de la sécurité civile [Stratégique]
Taux de disponibilité opérationnelle des avions de la sécurité civile
Faire évoluer la cartographie des centres de déminage pour éliminer les munitions historiques et faire face à la menace terroriste
Interventions sur objets suspects dans les délais (Improvised Explosive Devices Disposal ou IEDD)
Taux d'évolution des stocks collectés de munitions anciennes (Explosive Ordonnance Disposal ou EOD)
Harmoniser les moyens des services départementaux d'incendie et de secours
Taux de déploiement du système NEXSIS 18-112 au sein des SIS
176 – Police nationale
Évaluer la dépense fiscale
Nombre de bénéficiaires de l’indemnité journalière d’absence temporaire (IJAT)
Réserve opérationnelle
Evaluer la prévention et l'activité répressive des forces de sécurité
Évolution du nombre de crimes et délits commis à l’encontre des personnes dépositaires de l’autorité publique
Évolution du nombre de crimes et délits en matière d'atteintes aux biens (AAB) constatés en zone police
Évolution du nombre de crimes et délits et de victimes en matière d'atteintes volontaires à l'intégrité physique (AVIP) constatés en zone police
Optimiser l'emploi des forces mobiles
Engagement des forces mobiles
Renforcer l'activité des services pour mieux combattre la délinquance
Délai moyen d'intervention
Effort de formation dans la lutte contre la délinquance
Généralisation de la police technique et scientifique
Lutte contre les filières, l'économie souterraine et les profits illicites
Nombre d’heures de patrouille de voie publique effectuées par la police nationale
Recentrage des forces sur leur coeur de métier
Taux d'élucidation ciblés
Renforcer l'efficacité dans la lutte contre l'insécurité routière
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l’alcoolémie
Accidentologie, infractions et dépistages liés à l’usage de stupéfiants
Renforcer la transparence du service public de sécurité intérieure
Délai de prise en charge de l'usager après l'arrivée au commissariat
Nombre de signalements externes reçus par l’IGPN via la plateforme dédiée
Taux d'obtention d'un rendez-vous dans les 10 jours après une pré-plainte en ligne
207 – Sécurité et éducation routières
Améliorer le service du permis de conduire dans le cadre du développement de l'éducation routière tout au long de la vie
Délai d'attente médian aux examens et coût unitaire d'obtention du permis de conduire
Mobiliser l'ensemble de la société sur la sécurité routière pour réduire le nombre d'accidents et de tués sur les routes
Nombre annuel des tués (France métropolitaine et départements d'outre-mer)
Solidarité, insertion et égalité des chances
Accompagner le retour vers l'emploi pour développer la part du revenu du travail dans les ressources des allocataires de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) (157)
Part des allocataires de l'AAH percevant une rémunération d'activité (157)
Garantir aux adultes vulnérables une protection juridique adaptée à leurs besoins (304)
Coût moyen des mesures de protection exercées par les services tutélaires (304)
Inciter à l'activité et au maintien dans l'emploi (304)
Part des foyers allocataires du RSA en reprise d'activité qui accèdent à la prime d'activité et se maintiennent dans l'emploi (304)
137 – Égalité entre les femmes et les hommes
Aider à la sortie de la prostitution et lutter contre son développement
Déploiement des parcours de sortie de prostitution (PSP)
Améliorer la qualité de service en matière d'aide aux personnes victimes de violence
Accompagnement offert par les centres d'information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF)
Taux d'appels traités par la permanence téléphonique nationale de référence
Mesurer l’engagement financier du ministère de l’Egalité en faveur de l’égalité professionnelle et l’insertion économique et l’effet levier des crédits du programme 137 sur cette politique
Part des crédits du programme 137 dédiée aux projets en faveur de l'égalité professionnelle
157 – Handicap et dépendance
Accompagner le retour vers l'emploi pour développer la part du revenu du travail dans les ressources des allocataires de l'allocation aux adultes handicapés (AAH) [Stratégique]
Part des allocataires de l'AAH percevant une rémunération d'activité [Stratégique]
Accroître l'effectivité et la qualité des décisions prises au sein des MDPH
Qualité des décisions de la commission des droits et de l'autonomie (CDAPH) des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) dans le cadre d'un renouvellement
Qualité des décisions de la commission des droits et de l'autonomie (CDAPH) des maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) dans le cadre d'une première demande
Développer l'insertion professionnelle des travailleurs handicapés
Qualité de l'accueil, de la formation et de l'accompagnement en ESAT
304 – Inclusion sociale et protection des personnes
Améliorer le repérage des enfants en danger ou en risque de danger
Taux d'appels traités par le Service national téléphonique de l'enfance en danger (SNATED)
Garantir aux adultes vulnérables une protection juridique adaptée à leurs besoins [Stratégique]
Coût moyen des mesures de protection exercées par les services tutélaires [Stratégique]
Garantir l'égal accès des enfants à la cantine de l'école
Nombre d’élèves bénéficiant de repas à la cantine à un tarif inférieur ou égal à 1€
Inciter à l'activité et au maintien dans l'emploi [Stratégique]
Part des foyers allocataires du RSA en reprise d'activité qui accèdent à la prime d'activité et se maintiennent dans l'emploi [Stratégique]
Part des foyers bénéficiaires de la prime d'activité percevant un montant de prime bonifié
Taux de sortie de la prime d'activité pour dépassement de ressources
Sport, jeunesse et vie associative
Conforter le rang de la France parmi les grandes nations sportives et favoriser l'insertion professionnelle des sportifs de haut niveau (219)
Rang sportif de la France (219)
Favoriser l'engagement et la mobilité de tous les jeunes (163)
Part des jeunes considérés comme éloignés parmi les jeunes engagés dans une mission de service civique (163)
Réduire les inégalités d'accès à la pratique sportive et promouvoir l'insertion du sport dans les différentes politiques publiques (219)
Pratique sportive des publics prioritaires (219)
163 – Jeunesse et vie associative
Favoriser l'engagement et la mobilité de tous les jeunes [Stratégique]
Part des jeunes ayant moins d'opportunité (JAMO) parmi les jeunes bénéficiaires d'un soutien de l'Office franco-allemand pour la jeunesse (OFAJ), de l'Office franco-québécois pour la jeunesse (OFQJ) et de l'Agence ERASMUS + France Jeunesse & Sport (AEFJS)
Part des jeunes considérés comme éloignés parmi les jeunes engagés dans une mission de service civique [Stratégique]
Taux de représentativité des jeunes en QPV
Renforcer le contrôle et le suivi des risques au sein des accueils collectifs de mineurs (ACM)
Rapport entre le nombre de contrôles effectués et le nombre d'accueils
Soutenir le développement de la vie associative
Ciblage des associations avec un nombre de salariés moins élevé pour l'attribution d'une subvention versée par l'intermédiaire du FONJEP ou au titre du FDVA
219 – Sport
Adapter la formation aux évolutions des métiers
Proportion de diplômés qui occupent un emploi en rapport avec la qualification obtenue après la délivrance du diplôme
Conforter le rang de la France parmi les grandes nations sportives et favoriser l'insertion professionnelle des sportifs de haut niveau [Stratégique]
Rang sportif de la France [Stratégique]
Taux d'insertion professionnelle des sportif(ve)s de haut niveau
Promouvoir la rigueur financière et l'efficacité des fédérations sportives
Indépendance financière des fédérations sportives
Nombre de fédérations sportives présentant une situation financière fragile ou dégradée
Réduire les inégalités d'accès à la pratique sportive et promouvoir l'insertion du sport dans les différentes politiques publiques [Stratégique]
Pratique sportive des publics prioritaires [Stratégique]
Proportion des crédits déconcentrés de l'agence nationale du sport (instruits au plan local et dans le cadre des projets sportifs fédéraux) affectée aux publics, territoires ou thématiques prioritaires
Renforcer le respect de l'éthique dans le sport et préserver la santé des sportifs
Proportion de sportifs de haut niveau, des collectifs nationaux et espoirs ayant satisfait aux obligations de suivi médical complet
Répartition des prélèvements recueillis dans le cadre du programme annuel de contrôles de l'AFLD par type de sportifs
350 – Jeux olympiques et paralympiques 2024
Garantir la livraison des ouvrages olympiques dans les délais requis tout en maîtrisant les coûts associés
Nombre d’ouvrages financés par la SOLIDEO dont l’équilibre budgétaire est préservé
Taux d'opérations ayant atteint un jalon essentiel dans le processus de livraison des ouvrages olympiques
Transformation et fonction publiques
148 – Fonction publique
Développer et promouvoir l'adaptation des règles actuelles aux exigences d'une gestion modernisée des ressources humaines de la fonction publique
Nombre de corps de fonctionnaires relevant de l'Etat ou des établissements publics administratifs après des mesures de fusion ou de mise en extinction - ou par un alignement sur des dispositions statutaires communes
Egalité professionnelle
Le pourcentage d’écart global de rémunération entre les femmes et les hommes dans la FPE en équivalent temps plein
Optimiser la réponse aux besoins des agents en matière d'action sociale
Taux de satisfaction des bénéficiaires de certaines prestations d’action sociale
Optimiser le recrutement et la formation initiale des fonctionnaires
Dépenses consacrées au recrutement et à la formation initiale dans les IRA
Transformation de la fonction publique - Politique RH
Recrutement dans la fonction publique
Recrutement des apprentis
Taux de mobilité structurelle : changement d'employeur
348 – Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs
Assurer la transition énergétique dans le cadre de la PIE
Économie d'énergie attendue
Optimisation de la surface occupée
S'assurer de l'efficience des projets financés
Efficience énergétique - Coût du kwhep économisé
349 – Transformation publique
Assurer la transparence auprès des citoyens et usagers des résultats des services publics
Nombre annuel de visiteurs uniques du site internet et mobile Services Publics +
Développer un pilotage territorialisé et plus efficace de l'action publique par la donnée et en rendre compte au citoyen
Nombre annuel de visiteurs uniques sur le baromètre des résultats de l’action publique
Taux de complétude des éléments d’appréciation qualitative de la mise en œuvre des politiques prioritaires dans l'outil interne de pilotage territorialisé de l’État (PILOTE)
Proposer une offre de service de conseil interne à l’Etat adaptée aux besoins des administrations
Note d’appréciation des interventions mises en œuvre par les consultants internes de la DITP auprès des autres administrations
S'assurer d'un fonctionnement efficient du fonds pour la transformation de l'action publique
Efficience du fonds pour la transformation de l'action publique
S'assurer de l'efficacité des projets financés
Mise en œuvre des projets financés par le FTAP
Part des projets ayant un impact direct sur la qualité de service aux usagers ou sur la qualité de travail des agents
Travail, emploi et administration des ministères sociaux
Dynamiser la négociation collective et améliorer les conditions du dialogue social (111)
Part des entreprises et des salariés concernés par une négociation collective dans l'enquête annuelle "dialogue social" (111)
Mobiliser au mieux les outils d'insertion professionnelle
Taux d'emploi en France et dans l'Union européenne par tranches d'âge
102 – Accès et retour à l'emploi
Améliorer l'efficacité du service rendu à l'usager par France Travail
Part des offres d'emploi pourvues
Taux d'accès à l'emploi 6 mois après la fin d'une formation prescrite par France Travail
Taux de satisfaction des services rendus par France Travail aux usagers
Favoriser l'accès et le retour à l'emploi
Nombre de retours à l'emploi
Taux de retour à l'emploi de tous les publics
Mobiliser au mieux les outils d'insertion professionnelle au bénéfice des personnes les plus éloignées du marché du travail
Part des travailleurs handicapés éligibles aux aides dans les entreprises adaptées et dans les entreprises adaptées de travail temporaire sortis en emploi durable
Taux d'insertion dans l'emploi 6 mois après la sortie d'un contrat aidé
Taux d'insertion dans l'emploi à la sortie des structures d'insertion par l'activité économique
Taux de retour à l'emploi des travailleurs handicapés
Taux de sortie vers l'emploi ou l'alternance des jeunes ayant bénéficié d'un parcours d'accompagnement
103 – Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi
Assurer l'effectivité du contrôle de la formation professionnelle (objectif transversal)
Part des contrôles engagés parmi les organismes actifs en formation professionnelle
Edifier une société de compétences : contribution du Programme d'investissements dans les compétences (PIC)
Part des personnes en recherche d'emploi bénéficiaires de la formation professionnelle
Taux de formation certifiante
Taux de sorties positives 6 mois après la fin de la formation
Faciliter l'insertion dans l'emploi par le développement de l'alternance
Contrats d'apprentissage conclus au 31 décembre de l'année considérée
Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat d'apprentissage
Taux d'insertion dans l'emploi des salariés ayant bénéficié d'un contrat de professionnalisation
Favoriser l'accès à l'emploi des résidents dans les quartiers prioritaires
Nombre d'emplois francs signés au 31 décembre de l'année considérée
Sécuriser l'emploi par l'anticipation des mutations économiques
Nombre d'accords d'engagements pour le développement de l'emploi et des compétences (EDEC) en cours
Nombre d'actions de formation avec accord de prise en charge au titre du FNE-Formation
Part des entreprises de moins de 50 salariés parmi celles ayant eu recours à l'activité partielle et à l'activité partielle de longue durée
111 – Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail
Agir pour la réduction des inégalités professionnelles entre les femmes et les hommes
Part des entreprises qui déclarent l'index égalité femmes-hommes
Contribuer à la prévention et à la réduction des risques professionnels
Part des interventions des services de l'inspection du travail sur les chantiers du bâtiment, sur l'ensemble des interventions
Part du temps opérationnel consacré à la mise en oeuvre des actions relevant du PST4 et des PRST
Dynamiser la négociation collective et améliorer les conditions du dialogue social [Stratégique]
Délai d'extension par l'administration du travail des accords de branche
Part des entreprises et des salariés concernés par une négociation collective dans l'enquête annuelle "dialogue social" [Stratégique]
Renforcer la présence de l'inspection du travail sur les lieux de travail
Part des interventions annuelles des inspecteurs du travail sur les lieux de travail
155 – Soutien des ministères sociaux
Accroître l'efficience de la gestion des moyens
Efficience de la fonction achat
Efficience de la gestion immobilière
Améliorer la qualité du service rendu dans les autres fonctions transversales
Notoriété des travaux d'études, statistiques, recherche et évaluation de la DARES
Notoriété des travaux d'études, statistiques, recherche et évaluation de la DREES
Développer la gestion des emplois, des effectifs et des compétences
Part des bénéficiaires de l'obligation d'emploi prévue par la loi n° 87-517 du 10 juillet 1987
I. Section de fonctionnement (en Md€) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Charges |
477,9 |
|
Produits |
477,9 |
Dépenses de fonctionnement |
67,8 |
|
Produits de gestion courante (recettes non fiscales) |
19,4 |
Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel |
32,5 |
|
|
|
Subventions pour charges de services publics |
35,3 |
|
|
|
Charges de personnel |
157,1 |
|
Impôts et taxes (recettes fiscales) |
353,2 |
Rémunérations d’activité |
90,7 |
|
|
|
Cotisations et contributions sociales |
65,1 |
|
|
|
Prestations sociales et allocations diverses |
1,3 |
|
|
|
Autres charges de gestion courante |
137,4 |
|
Autres produits courants |
‑1,4 |
Pouvoirs publics |
1,2 |
|
Solde des budgets annexes et comptes spéciaux |
‑1,4 |
Interventions |
135,3 |
|
|
|
Appels en garantie |
1,0 |
|
|
|
Charges financières : charge nette de la dette |
54,9 |
|
Produits financiers |
1,2 |
|
|
|
Intérêt des prêts du Trésor |
1,2 |
Charges exceptionnelles |
- |
|
Produits exceptionnels |
- |
Dotations aux amortissements et provisions |
- |
|
Reprise sur amortissements et provisions |
- |
Reversements sur recettes |
60,7 |
|
|
|
Prélèvement au profit de l’Union européenne |
23,3 |
|
|
|
Prélèvements au profit des collectivités territoriales (hors FCTVA) |
37,3 |
|
|
|
Bénéfice de la section de fonctionnement |
- |
|
Déficit de la section de fonctionnement |
105,6 |
|
|
|
|
|
II. Section d’investissement (en Md€) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Emplois |
314,1 |
|
Ressources |
314,1 |
Insuffisance d’autofinancement |
105,6 |
|
Capacité d’autofinancement |
- |
Dépenses d’investissement |
30,3 |
|
Cessions d’immobilisations financières |
0,9 |
Dépenses d’opérations financières |
183,0 |
|
Ressources de financement |
313,2 |
Remboursements d’emprunts et autres charges de trésorerie |
175,9 |
|
Émission de dette à moyen terme et long terme nettes des rachats |
300,0 |
Opérations financières (CAS PFE) |
0,9 |
|
Autres ressources de financement |
13,2 |
Opérations financières (hors CAS PFE) |
6,2 |
|
|
|
Neutralisation des opérations sans impact en trésorerie |
‑4,8 |
|
|
|
|
|
|
|
|
Solde général |
|
|
|
‑142,1 |
Projet de loi de finances |
1 |
(en euros) |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Crédits non répartis |
810 526 298 |
495 000 000 |
510 526 298 |
195 000 000 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
285 526 298 |
70 000 000 |
285 526 298 |
70 000 000 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
525 000 000 |
425 000 000 |
225 000 000 |
125 000 000 |
Pouvoirs publics |
1 137 842 143 |
1 156 506 686 |
1 137 842 143 |
1 156 506 686 |
Présidence de la République |
122 563 852 |
125 662 386 |
122 563 852 |
125 662 386 |
Assemblée nationale |
607 647 569 |
617 977 578 |
607 647 569 |
617 977 578 |
Sénat |
353 470 900 |
359 479 900 |
353 470 900 |
359 479 900 |
La Chaîne parlementaire |
35 245 822 |
35 552 822 |
35 245 822 |
35 552 822 |
Indemnités des représentants français au Parlement européen |
|
|
|
|
Conseil constitutionnel |
17 930 000 |
16 850 000 |
17 930 000 |
16 850 000 |
Haute Cour |
|
|
|
|
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
1 253 548 322 |
1 081 446 081 |
1 095 721 681 |
800 578 998 |
Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs |
709 843 385 |
674 956 624 |
527 867 705 |
360 300 105 |
Transformation publique |
145 463 360 |
77 478 806 |
162 824 233 |
109 570 076 |
Innovation et transformation numériques (ancien) |
74 100 000 |
|
74 100 000 |
|
Fonction publique |
275 775 829 |
275 081 997 |
282 563 995 |
276 780 163 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
48 365 748 |
53 928 654 |
48 365 748 |
53 928 654 |
Aide publique au développement |
6 123 166 601 |
5 673 705 220 |
5 759 474 418 |
5 153 965 943 |
Aide économique et financière au développement |
2 787 128 248 |
2 519 229 419 |
2 337 910 235 |
1 720 674 817 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
150 000 000 |
145 000 000 |
150 000 000 |
145 000 000 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
3 179 937 547 |
2 131 148 051 |
3 265 463 377 |
2 409 963 376 |
Restitution des « biens mal acquis » |
6 100 806 |
140 327 750 |
6 100 806 |
140 327 750 |
Fonds de solidarité pour le développement (nouveau) |
|
738 000 000 |
|
738 000 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 918 297 459 |
1 901 882 102 |
1 927 457 459 |
1 905 972 102 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 830 156 624 |
1 816 528 043 |
1 839 316 624 |
1 820 618 043 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
88 140 835 |
85 354 059 |
88 140 835 |
85 354 059 |
Cohésion des territoires |
19 593 284 365 |
23 485 036 733 |
19 186 932 077 |
23 781 229 009 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 900 915 926 |
2 906 145 925 |
2 925 669 370 |
2 930 899 369 |
Aide à l'accès au logement |
13 656 400 000 |
17 015 584 000 |
13 656 400 000 |
17 015 584 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
1 917 861 469 |
2 688 068 963 |
1 583 661 469 |
2 995 823 013 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
397 931 467 |
248 332 912 |
348 520 529 |
211 745 312 |
Politique de la ville |
639 529 153 |
549 579 643 |
639 529 153 |
549 579 643 |
Interventions territoriales de l'État |
80 646 350 |
77 325 290 |
33 151 556 |
77 597 672 |
Écologie, développement et mobilité durables |
24 103 112 477 |
21 809 488 238 |
21 618 029 487 |
20 504 444 099 |
Infrastructures et services de transports |
4 344 085 635 |
4 980 741 444 |
4 381 048 913 |
4 475 237 369 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
349 883 004 |
245 125 721 |
312 085 103 |
260 671 777 |
Paysages, eau et biodiversité |
577 954 847 |
441 266 254 |
511 972 615 |
445 589 709 |
Expertise, information géographique et météorologie |
515 548 889 |
519 344 473 |
515 548 889 |
519 344 473 |
Prévention des risques |
1 356 945 490 |
1 311 727 135 |
1 358 583 701 |
1 308 665 346 |
Énergie, climat et après-mines |
5 817 177 062 |
2 393 423 297 |
5 435 154 925 |
2 108 014 491 |
Service public de l'énergie |
5 539 000 000 |
7 331 000 000 |
4 884 000 000 |
6 663 500 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
3 103 517 550 |
3 226 365 690 |
3 095 635 341 |
3 215 309 878 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
2 499 000 000 |
1 000 000 000 |
1 124 000 000 |
1 142 916 832 |
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
|
360 494 224 |
|
365 194 224 |
Enseignement scolaire |
87 105 630 888 |
88 828 111 773 |
87 002 150 228 |
88 817 133 670 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
26 873 758 249 |
27 490 907 364 |
26 873 758 249 |
27 490 907 364 |
Enseignement scolaire public du second degré |
38 424 611 769 |
39 523 106 898 |
38 424 611 769 |
39 523 106 898 |
Vie de l'élève |
8 129 021 922 |
8 143 063 307 |
8 099 021 922 |
8 153 063 307 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
9 035 305 069 |
8 938 183 839 |
9 035 305 069 |
8 938 183 839 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 945 548 985 |
2 999 997 231 |
2 873 784 793 |
2 980 819 128 |
Enseignement technique agricole |
1 697 384 894 |
1 732 853 134 |
1 695 668 426 |
1 731 053 134 |
Recherche et enseignement supérieur |
32 339 177 321 |
31 703 608 602 |
31 839 150 903 |
31 285 707 922 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
15 277 052 720 |
15 217 011 402 |
15 180 783 720 |
15 279 678 402 |
Vie étudiante |
3 357 406 410 |
3 280 409 211 |
3 326 639 077 |
3 249 641 878 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
8 642 699 505 |
8 701 105 312 |
8 201 401 634 |
8 259 807 441 |
Recherche spatiale |
1 900 179 541 |
1 915 679 541 |
1 900 179 541 |
1 915 679 541 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 888 583 219 |
1 638 605 399 |
1 948 483 219 |
1 628 195 137 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
678 136 541 |
367 158 599 |
688 636 541 |
371 158 599 |
Recherche duale (civile et militaire) |
150 019 167 |
150 019 167 |
150 019 167 |
150 019 167 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
445 100 218 |
433 619 971 |
443 008 004 |
431 527 757 |
Régimes sociaux et de retraite |
5 178 108 134 |
5 995 017 245 |
5 178 108 134 |
5 995 017 245 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 365 695 818 |
4 182 014 643 |
4 365 695 818 |
4 182 014 643 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
787 337 160 |
778 862 981 |
787 337 160 |
778 862 981 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA, et divers |
25 075 156 |
1 034 139 621 |
25 075 156 |
1 034 139 621 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
0 |
0 |
7 701 710 000 |
5 800 000 000 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
|
|
255 000 000 |
219 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
|
88 200 000 |
243 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
|
14 260 000 |
185 760 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
|
5 691 750 000 |
4 373 405 899 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
|
1 652 500 000 |
778 634 101 |
Plan de relance |
0 |
0 |
1 413 961 042 |
169 000 000 |
Écologie |
0 |
|
1 169 075 442 |
100 000 000 |
Compétitivité |
0 |
|
65 985 600 |
69 000 000 |
Cohésion (ancien) |
0 |
|
178 900 000 |
|
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
22 954 942 206 |
21 479 929 506 |
22 649 222 425 |
21 632 987 399 |
Accès et retour à l'emploi |
7 536 866 323 |
7 773 609 038 |
7 543 175 317 |
7 208 705 543 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
14 544 906 927 |
11 721 830 930 |
14 308 732 364 |
12 318 671 994 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
184 617 840 |
44 232 043 |
110 036 293 |
83 580 596 |
Soutien des ministères sociaux |
688 551 116 |
1 940 257 495 |
687 278 451 |
2 022 029 266 |
Action extérieure de l'État |
3 678 282 889 |
3 527 537 701 |
3 676 077 102 |
3 532 510 413 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
2 791 478 363 |
2 695 075 107 |
2 789 672 576 |
2 699 644 119 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
721 177 779 |
675 935 494 |
721 177 779 |
675 935 494 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
165 626 747 |
156 527 100 |
165 226 747 |
156 930 800 |
Administration générale et territoriale de l'État |
5 595 601 895 |
4 709 255 596 |
4 657 119 598 |
4 960 943 626 |
Administration territoriale de l'État |
2 633 243 134 |
2 746 226 114 |
2 583 169 626 |
2 665 652 606 |
Vie politique |
257 725 252 |
98 342 852 |
257 621 749 |
100 262 544 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
2 704 633 509 |
1 864 686 630 |
1 816 328 223 |
2 195 028 476 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
5 337 916 271 |
4 619 627 841 |
4 746 929 504 |
4 435 643 789 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
3 176 627 486 |
2 511 950 264 |
2 735 854 589 |
2 458 472 665 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
1 036 116 696 |
926 923 512 |
905 703 711 |
860 481 527 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
702 172 089 |
732 254 065 |
682 371 204 |
668 189 597 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
423 000 000 |
448 500 000 |
423 000 000 |
448 500 000 |
Audiovisuel public (nouvelle) |
4 026 728 395 |
4 029 162 945 |
4 026 728 395 |
4 029 162 945 |
France Télévisions (nouveau) |
2 523 106 868 |
2 548 827 000 |
2 523 106 868 |
2 548 827 000 |
ARTE France (nouveau) |
295 102 353 |
298 114 886 |
295 102 353 |
298 114 886 |
Radio France (nouveau) |
652 954 400 |
660 133 908 |
652 954 400 |
660 133 908 |
France Médias Monde (nouveau) |
299 202 200 |
302 883 551 |
299 202 200 |
302 883 551 |
Institut national de l'audiovisuel (nouveau) |
103 913 354 |
104 961 144 |
103 913 354 |
104 961 144 |
TV5 Monde (nouveau) |
83 449 220 |
84 242 456 |
83 449 220 |
84 242 456 |
Programme de transformation (nouveau) |
69 000 000 |
30 000 000 |
69 000 000 |
30 000 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
818 520 324 |
816 742 637 |
883 557 109 |
899 725 973 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
519 133 207 |
516 240 801 |
583 402 714 |
603 980 812 |
Conseil économique, social et environnemental |
44 907 172 |
34 855 389 |
44 907 172 |
34 855 389 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
254 479 945 |
265 646 447 |
255 247 223 |
260 889 772 |
Culture |
4 188 062 087 |
3 933 535 690 |
3 905 119 894 |
3 919 074 364 |
Patrimoines |
1 479 417 348 |
1 138 293 548 |
1 193 810 999 |
1 201 068 066 |
Création |
1 032 880 129 |
1 066 308 911 |
1 042 653 016 |
1 041 181 797 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
829 582 796 |
857 666 310 |
824 400 514 |
807 484 029 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
846 181 814 |
871 266 921 |
844 255 365 |
869 340 472 |
Défense |
67 841 121 341 |
93 579 690 162 |
56 755 730 543 |
60 003 543 448 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
2 198 423 067 |
2 173 138 952 |
1 967 619 198 |
2 076 223 248 |
Préparation et emploi des forces |
16 569 476 955 |
15 265 976 430 |
13 562 508 731 |
14 318 070 053 |
Soutien de la politique de la défense |
24 680 312 287 |
24 766 940 323 |
24 634 250 116 |
24 919 730 428 |
Équipement des forces |
24 392 909 032 |
51 373 634 457 |
16 591 352 498 |
18 689 519 719 |
Direction de l'action du Gouvernement |
1 021 145 510 |
1 062 977 398 |
1 052 836 714 |
1 065 784 558 |
Coordination du travail gouvernemental |
881 693 809 |
909 249 251 |
917 433 848 |
924 329 528 |
Protection des droits et libertés |
139 451 701 |
153 728 147 |
135 402 866 |
141 455 030 |
Économie |
4 233 376 247 |
3 650 489 740 |
4 293 248 047 |
3 884 818 906 |
Développement des entreprises et régulations |
2 946 947 565 |
2 427 573 916 |
2 656 729 661 |
2 457 738 414 |
Plan France Très haut débit |
96 935 000 |
47 684 965 |
464 470 090 |
247 829 602 |
Statistiques et études économiques |
485 760 309 |
472 449 316 |
473 471 923 |
473 331 347 |
Stratégies économiques |
703 733 373 |
702 781 543 |
698 576 373 |
705 919 543 |
Financement des opérations patrimoniales en 2025 sur le compte d'affectation spéciale « Participations financières de l'État » |
|
|
|
|
Engagements financiers de l'État |
54 155 502 785 |
56 003 647 646 |
60 818 123 694 |
61 338 164 329 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
51 375 000 000 |
54 207 000 000 |
51 375 000 000 |
54 207 000 000 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
1 902 436 463 |
985 272 597 |
1 902 436 463 |
985 272 597 |
Épargne |
71 066 322 |
119 375 049 |
71 066 322 |
119 375 049 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
807 000 000 |
692 000 000 |
807 000 000 |
692 000 000 |
Dotation du Mécanisme européen de stabilité |
|
|
|
|
Augmentation de capital de la Banque européenne d'investissement |
|
|
|
|
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
0 |
187 669 310 |
181 036 599 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
0 |
6 474 951 599 |
5 153 480 084 |
Gestion des finances publiques |
10 811 377 220 |
11 064 944 738 |
10 899 839 683 |
10 971 512 721 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
8 080 622 306 |
8 255 484 171 |
8 138 123 940 |
8 209 484 171 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
991 367 039 |
999 272 686 |
1 054 761 167 |
983 840 667 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 739 387 875 |
1 810 187 881 |
1 706 954 576 |
1 778 187 883 |
Immigration, asile et intégration |
1 764 838 061 |
1 730 054 850 |
2 156 502 672 |
2 047 753 910 |
Immigration et asile |
1 333 426 696 |
1 360 646 008 |
1 725 143 750 |
1 681 331 079 |
Intégration et accès à la nationalité française |
431 411 365 |
369 408 842 |
431 358 922 |
366 422 831 |
Justice |
14 237 842 974 |
11 928 334 167 |
12 161 946 765 |
12 459 092 589 |
Justice judiciaire |
4 753 946 619 |
4 584 616 923 |
4 544 008 245 |
4 567 111 867 |
Administration pénitentiaire |
6 813 981 632 |
4 739 613 495 |
5 002 950 814 |
5 242 413 691 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
1 160 761 152 |
1 160 648 380 |
1 125 947 340 |
1 140 954 285 |
Accès au droit et à la justice |
736 234 297 |
798 130 559 |
736 234 297 |
798 130 559 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
768 281 245 |
640 492 354 |
747 085 247 |
704 566 938 |
Conseil supérieur de la magistrature |
4 638 029 |
4 832 456 |
5 720 822 |
5 915 249 |
Médias, livre et industries culturelles |
741 875 375 |
728 039 494 |
735 947 922 |
723 659 374 |
Presse et médias |
377 705 399 |
366 704 756 |
376 665 279 |
365 664 636 |
Livre et industries culturelles |
364 169 976 |
361 334 738 |
359 282 643 |
357 994 738 |
Outre-mer |
3 181 076 717 |
2 782 713 740 |
2 804 463 991 |
2 555 056 198 |
Emploi outre-mer |
1 899 452 874 |
1 971 896 828 |
1 884 690 019 |
1 949 296 450 |
Conditions de vie outre-mer |
1 281 623 843 |
810 816 912 |
919 773 972 |
605 759 748 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 095 743 144 |
4 011 433 015 |
3 961 389 661 |
4 060 628 302 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
3 798 201 744 |
3 799 207 080 |
3 711 788 506 |
3 746 208 204 |
Concours spécifiques et administration |
297 541 400 |
212 225 935 |
249 601 155 |
314 420 098 |
Remboursements et dégrèvements |
140 480 146 022 |
147 140 795 835 |
140 480 146 022 |
147 140 795 835 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
136 189 146 022 |
142 741 970 844 |
136 189 146 022 |
142 741 970 844 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 291 000 000 |
4 398 824 991 |
4 291 000 000 |
4 398 824 991 |
Santé |
2 732 481 268 |
1 651 091 790 |
2 735 781 268 |
1 643 321 770 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
267 281 268 |
229 499 664 |
270 581 268 |
221 729 644 |
Protection maladie |
1 216 300 000 |
1 327 592 126 |
1 216 300 000 |
1 327 592 126 |
Reversement à la sécurité sociale des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
1 248 900 000 |
94 000 000 |
1 248 900 000 |
94 000 000 |
Sécurités |
25 405 638 869 |
26 057 166 585 |
24 315 078 253 |
25 215 409 206 |
Police nationale |
13 362 033 907 |
13 745 268 791 |
12 932 725 125 |
13 370 101 484 |
Gendarmerie nationale |
11 031 544 631 |
11 366 321 344 |
10 392 977 945 |
10 930 839 118 |
Sécurité et éducation routières |
110 387 203 |
84 622 634 |
108 879 721 |
83 115 152 |
Sécurité civile |
901 673 128 |
860 953 816 |
880 495 462 |
831 353 452 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
30 379 215 216 |
30 377 240 010 |
30 477 105 347 |
30 373 601 344 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
14 283 897 514 |
14 261 751 831 |
14 285 058 848 |
14 262 913 165 |
Handicap et dépendance |
15 381 767 027 |
16 030 371 412 |
15 381 767 027 |
16 025 571 412 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
77 408 682 |
85 116 767 |
77 408 682 |
85 116 767 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales (ancien) |
636 141 993 |
0 |
732 870 790 |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
1 719 082 843 |
1 635 213 286 |
1 809 794 180 |
1 578 656 919 |
Sport |
775 102 002 |
694 658 299 |
775 073 339 |
593 149 632 |
Jeunesse et vie associative |
901 070 841 |
937 301 987 |
901 070 841 |
937 301 987 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
42 910 000 |
3 253 000 |
133 650 000 |
48 205 300 |
Projet de loi de finances |
1 |
(en euros) |
||||
Titre 1. Dotations des pouvoirs publics |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Pouvoirs publics |
1 137 842 143 |
1 156 506 686 |
1 137 842 143 |
1 156 506 686 |
Présidence de la République |
122 563 852 |
125 662 386 |
122 563 852 |
125 662 386 |
Assemblée nationale |
607 647 569 |
617 977 578 |
607 647 569 |
617 977 578 |
Sénat |
353 470 900 |
359 479 900 |
353 470 900 |
359 479 900 |
La Chaîne parlementaire |
35 245 822 |
35 552 822 |
35 245 822 |
35 552 822 |
Conseil constitutionnel |
17 930 000 |
16 850 000 |
17 930 000 |
16 850 000 |
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
984 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Missions ministérielles |
|
|
|
|
(en euros) |
||||
Titre 2. Dépenses de personnel |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Crédits non répartis |
285 526 298 |
70 000 000 |
285 526 298 |
70 000 000 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
285 526 298 |
70 000 000 |
285 526 298 |
70 000 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
53 155 748 |
55 718 654 |
53 155 748 |
55 718 654 |
Transformation publique |
1 500 000 |
1 500 000 |
1 500 000 |
1 500 000 |
Innovation et transformation numériques (ancien) |
3 000 000 |
0 |
3 000 000 |
0 |
Fonction publique |
290 000 |
290 000 |
290 000 |
290 000 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
48 365 748 |
53 928 654 |
48 365 748 |
53 928 654 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 467 031 |
1 589 256 |
1 467 031 |
1 589 256 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
1 467 031 |
1 589 256 |
1 467 031 |
1 589 256 |
Cohésion des territoires |
26 871 649 |
27 250 559 |
26 871 649 |
27 250 559 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
8 000 000 |
8 107 239 |
8 000 000 |
8 107 239 |
Politique de la ville |
18 871 649 |
19 143 320 |
18 871 649 |
19 143 320 |
Écologie, développement et mobilité durables |
2 888 136 495 |
3 166 155 500 |
2 888 136 495 |
3 166 155 500 |
Prévention des risques |
57 036 316 |
0 |
57 036 316 |
0 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
2 831 100 179 |
2 939 683 384 |
2 831 100 179 |
2 939 683 384 |
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
0 |
226 472 116 |
0 |
226 472 116 |
Enseignement scolaire |
80 744 718 559 |
83 296 058 068 |
80 744 718 559 |
83 296 058 068 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
26 774 187 832 |
27 428 576 946 |
26 774 187 832 |
27 428 576 946 |
Enseignement scolaire public du second degré |
37 957 464 193 |
39 045 257 381 |
37 957 464 193 |
39 045 257 381 |
Vie de l'élève |
4 734 342 900 |
5 482 672 727 |
4 734 342 900 |
5 482 672 727 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
8 133 539 453 |
8 015 747 441 |
8 133 539 453 |
8 015 747 441 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 030 419 956 |
2 147 483 298 |
2 030 419 956 |
2 147 483 298 |
Enseignement technique agricole |
1 114 764 225 |
1 176 320 275 |
1 114 764 225 |
1 176 320 275 |
Recherche et enseignement supérieur |
698 212 840 |
699 772 656 |
698 212 840 |
699 772 656 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
431 823 270 |
438 692 629 |
431 823 270 |
438 692 629 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
266 389 570 |
261 080 027 |
266 389 570 |
261 080 027 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
597 633 990 |
1 072 069 934 |
597 633 990 |
1 072 069 934 |
Soutien des ministères sociaux |
597 633 990 |
1 072 069 934 |
597 633 990 |
1 072 069 934 |
Action extérieure de l'État |
1 315 124 734 |
1 343 764 707 |
1 315 124 734 |
1 343 764 707 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
1 315 124 734 |
1 343 764 707 |
1 315 124 734 |
1 343 764 707 |
Administration générale et territoriale de l'État |
2 918 635 105 |
2 971 050 881 |
2 918 635 105 |
2 971 050 881 |
Administration territoriale de l'État |
2 033 587 883 |
2 084 720 131 |
2 033 587 883 |
2 084 720 131 |
Vie politique |
23 844 604 |
5 363 296 |
23 844 604 |
5 363 296 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
861 202 618 |
880 967 454 |
861 202 618 |
880 967 454 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
982 860 059 |
934 029 794 |
982 860 059 |
934 029 794 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
390 422 289 |
358 779 499 |
390 422 289 |
358 779 499 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
592 437 770 |
575 250 295 |
592 437 770 |
575 250 295 |
Conseil et contrôle de l'État |
700 428 621 |
720 825 019 |
700 428 621 |
720 825 019 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
436 743 672 |
458 302 398 |
436 743 672 |
458 302 398 |
Conseil économique, social et environnemental |
35 829 665 |
27 777 882 |
35 829 665 |
27 777 882 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
227 855 284 |
234 744 739 |
227 855 284 |
234 744 739 |
Culture |
733 781 426 |
756 540 635 |
733 781 426 |
756 540 635 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
733 781 426 |
756 540 635 |
733 781 426 |
756 540 635 |
Défense |
23 205 361 658 |
23 226 544 707 |
23 205 361 658 |
23 226 544 707 |
Soutien de la politique de la défense |
23 205 361 658 |
23 226 544 707 |
23 205 361 658 |
23 226 544 707 |
Direction de l'action du Gouvernement |
357 060 873 |
368 080 808 |
357 060 873 |
368 080 808 |
Coordination du travail gouvernemental |
293 331 006 |
300 025 769 |
293 331 006 |
300 025 769 |
Protection des droits et libertés |
63 729 867 |
68 055 039 |
63 729 867 |
68 055 039 |
Économie |
959 928 566 |
965 020 275 |
959 928 566 |
965 020 275 |
Développement des entreprises et régulations |
413 728 612 |
414 056 802 |
413 728 612 |
414 056 802 |
Statistiques et études économiques |
395 926 581 |
401 700 930 |
395 926 581 |
401 700 930 |
Stratégies économiques |
150 273 373 |
149 262 543 |
150 273 373 |
149 262 543 |
Gestion des finances publiques |
8 762 465 510 |
8 874 944 314 |
8 762 465 510 |
8 874 944 314 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
6 903 431 646 |
6 971 364 631 |
6 903 431 646 |
6 971 364 631 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
529 654 750 |
528 087 085 |
529 654 750 |
528 087 085 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 329 379 114 |
1 375 492 598 |
1 329 379 114 |
1 375 492 598 |
Justice |
7 131 056 610 |
7 318 625 108 |
7 131 056 610 |
7 318 625 108 |
Justice judiciaire |
2 986 657 137 |
3 033 479 792 |
2 986 657 137 |
3 033 479 792 |
Administration pénitentiaire |
3 225 380 273 |
3 347 629 537 |
3 225 380 273 |
3 347 629 537 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
670 006 160 |
686 414 310 |
670 006 160 |
686 414 310 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
245 737 534 |
247 631 536 |
245 737 534 |
247 631 536 |
Conseil supérieur de la magistrature |
3 275 506 |
3 469 933 |
3 275 506 |
3 469 933 |
Outre-mer |
210 822 902 |
212 678 303 |
210 822 902 |
212 678 303 |
Emploi outre-mer |
210 822 902 |
212 678 303 |
210 822 902 |
212 678 303 |
Santé |
1 300 000 |
700 000 |
1 300 000 |
700 000 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
1 300 000 |
700 000 |
1 300 000 |
700 000 |
Sécurités |
20 343 191 177 |
20 856 517 020 |
20 343 191 177 |
20 856 517 020 |
Police nationale |
11 205 346 827 |
11 608 296 295 |
11 205 346 827 |
11 608 296 295 |
Gendarmerie nationale |
8 906 783 640 |
9 006 701 998 |
8 906 783 640 |
9 006 701 998 |
Sécurité civile |
231 060 710 |
241 518 727 |
231 060 710 |
241 518 727 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
454 023 197 |
3 400 000 |
454 023 197 |
3 400 000 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
3 400 000 |
3 400 000 |
3 400 000 |
3 400 000 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales (ancien) |
450 623 197 |
0 |
450 623 197 |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
170 441 029 |
159 706 134 |
170 441 029 |
159 706 134 |
Sport |
129 488 048 |
132 382 134 |
129 488 048 |
132 382 134 |
Jeunesse et vie associative |
40 952 981 |
27 324 000 |
40 952 981 |
27 324 000 |
(en euros) |
||||
Titre 3. Dépenses de fonctionnement |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Crédits non répartis |
525 000 000 |
425 000 000 |
225 000 000 |
125 000 000 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
525 000 000 |
425 000 000 |
225 000 000 |
125 000 000 |
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
357 022 805 |
290 318 196 |
367 772 104 |
295 197 139 |
Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs |
13 000 000 |
21 000 000 |
12 000 000 |
21 500 000 |
Transformation publique |
71 975 531 |
52 054 754 |
83 447 993 |
56 246 860 |
Innovation et transformation numériques (ancien) |
71 100 000 |
0 |
71 100 000 |
0 |
Fonction publique |
200 947 274 |
217 263 442 |
201 224 111 |
217 450 279 |
Aide publique au développement |
9 697 133 |
12 480 000 |
15 612 735 |
18 730 000 |
Aide économique et financière au développement |
8 930 000 |
8 930 000 |
8 930 000 |
8 930 000 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
767 133 |
3 550 000 |
6 682 735 |
9 800 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
131 719 872 |
140 336 312 |
131 719 872 |
140 336 312 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
131 245 794 |
139 871 428 |
131 245 794 |
139 871 428 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
474 078 |
464 884 |
474 078 |
464 884 |
Cohésion des territoires |
228 738 116 |
222 893 477 |
229 472 969 |
222 758 338 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 759 000 |
2 859 000 |
2 759 000 |
2 859 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
91 746 000 |
110 314 000 |
92 446 000 |
110 314 000 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
94 261 442 |
68 461 442 |
94 261 442 |
68 461 442 |
Politique de la ville |
35 915 928 |
37 954 993 |
35 915 928 |
37 954 993 |
Interventions territoriales de l'État |
4 055 746 |
3 304 042 |
4 090 599 |
3 168 903 |
Écologie, développement et mobilité durables |
2 779 293 940 |
2 974 917 891 |
2 771 162 035 |
3 000 337 922 |
Infrastructures et services de transports |
554 864 913 |
567 637 122 |
565 514 913 |
567 901 065 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
78 322 075 |
77 177 919 |
78 914 424 |
77 940 076 |
Paysages, eau et biodiversité |
178 898 866 |
169 316 453 |
170 994 040 |
169 700 308 |
Expertise, information géographique et météorologie |
509 482 243 |
513 025 051 |
509 482 243 |
513 025 051 |
Prévention des risques |
1 052 718 844 |
1 072 386 805 |
1 050 468 844 |
1 077 786 805 |
Énergie, climat et après-mines |
205 407 187 |
245 453 076 |
188 751 616 |
235 744 270 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
189 599 812 |
209 794 357 |
204 535 955 |
233 413 239 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
10 000 000 |
5 000 000 |
2 500 000 |
5 000 000 |
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
0 |
115 127 108 |
0 |
119 827 108 |
Enseignement scolaire |
928 323 676 |
855 450 255 |
903 888 421 |
852 659 812 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
91 113 474 |
53 444 448 |
91 113 474 |
53 444 448 |
Enseignement scolaire public du second degré |
73 347 414 |
65 947 414 |
73 347 414 |
65 947 414 |
Vie de l'élève |
54 797 218 |
51 797 218 |
54 797 218 |
51 797 218 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
5 139 875 |
5 139 875 |
5 139 875 |
5 139 875 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
688 585 898 |
668 150 883 |
664 150 643 |
665 360 440 |
Enseignement technique agricole |
15 339 797 |
10 970 417 |
15 339 797 |
10 970 417 |
Recherche et enseignement supérieur |
24 238 262 598 |
24 109 319 104 |
24 233 591 678 |
24 108 739 101 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
14 299 157 582 |
14 391 182 905 |
14 299 157 582 |
14 391 182 905 |
Vie étudiante |
584 949 668 |
603 549 668 |
584 949 668 |
603 549 668 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
6 284 875 395 |
6 277 592 322 |
6 280 204 475 |
6 277 012 319 |
Recherche spatiale |
692 933 593 |
713 325 373 |
692 933 593 |
713 325 373 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 802 359 816 |
1 557 381 996 |
1 802 359 816 |
1 557 381 996 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
357 256 000 |
351 727 000 |
357 256 000 |
351 727 000 |
Recherche duale (civile et militaire) |
137 249 053 |
137 249 053 |
137 249 053 |
137 249 053 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
79 481 491 |
77 310 787 |
79 481 491 |
77 310 787 |
Régimes sociaux et de retraite |
17 906 839 |
17 928 861 |
17 906 839 |
17 928 861 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
12 995 065 |
12 995 065 |
12 995 065 |
12 995 065 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA, et divers |
4 911 774 |
4 933 796 |
4 911 774 |
4 933 796 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
0 |
0 |
965 000 000 |
1 305 005 899 |
Valorisation de la recherche |
0 |
0 |
50 000 000 |
200 000 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
0 |
0 |
100 000 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
0 |
210 000 000 |
810 005 899 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
0 |
705 000 000 |
195 000 000 |
Plan de relance |
0 |
0 |
231 982 |
7 040 176 |
Compétitivité |
0 |
0 |
231 982 |
7 040 176 |
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
4 245 286 285 |
4 534 726 142 |
4 242 072 099 |
4 559 548 379 |
Accès et retour à l'emploi |
1 483 005 786 |
1 497 648 120 |
1 483 005 786 |
1 497 648 120 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
2 622 943 938 |
2 153 990 051 |
2 622 943 938 |
2 153 990 051 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
50 223 648 |
24 345 335 |
48 282 101 |
27 223 891 |
Soutien des ministères sociaux |
89 112 913 |
858 742 636 |
87 840 274 |
880 686 317 |
Action extérieure de l'État |
943 389 434 |
934 617 565 |
951 621 483 |
941 055 880 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
383 835 155 |
391 684 977 |
392 467 204 |
397 777 792 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
536 447 532 |
520 325 488 |
536 447 532 |
520 325 488 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
23 106 747 |
22 607 100 |
22 706 747 |
22 952 600 |
Administration générale et territoriale de l'État |
1 171 557 738 |
1 146 440 253 |
1 175 226 064 |
1 042 776 982 |
Administration territoriale de l'État |
511 421 374 |
549 923 874 |
480 095 259 |
493 914 924 |
Vie politique |
156 633 708 |
23 858 884 |
156 410 296 |
25 778 576 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
503 502 656 |
572 657 495 |
538 720 509 |
523 083 482 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
872 048 465 |
961 283 907 |
877 522 236 |
965 269 870 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
631 046 106 |
639 217 806 |
631 046 106 |
639 217 806 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
190 941 647 |
255 124 946 |
189 471 865 |
259 127 741 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
50 060 712 |
66 941 155 |
57 004 265 |
66 924 323 |
Conseil et contrôle de l'État |
104 941 240 |
90 145 948 |
122 305 407 |
113 028 617 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
69 661 072 |
52 615 633 |
86 257 961 |
80 254 977 |
Conseil économique, social et environnemental |
9 077 507 |
7 077 507 |
9 077 507 |
7 077 507 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
26 202 661 |
30 452 808 |
26 969 939 |
25 696 133 |
Culture |
1 270 915 110 |
1 281 875 886 |
1 271 145 922 |
1 282 106 699 |
Patrimoines |
591 317 730 |
591 899 557 |
594 036 969 |
594 618 797 |
Création |
327 923 199 |
331 243 200 |
327 923 199 |
331 243 200 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
262 997 965 |
269 231 015 |
262 435 987 |
268 669 037 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
88 676 216 |
89 502 114 |
86 749 767 |
87 575 665 |
Défense |
18 106 412 604 |
25 246 403 881 |
16 879 715 250 |
17 823 663 258 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
1 668 951 029 |
1 787 825 314 |
1 556 320 129 |
1 645 627 477 |
Préparation et emploi des forces |
14 198 606 486 |
11 405 554 726 |
11 446 108 429 |
11 387 477 742 |
Soutien de la politique de la défense |
819 831 693 |
858 389 152 |
760 314 201 |
832 811 802 |
Équipement des forces |
1 419 023 396 |
11 194 634 689 |
3 116 972 491 |
3 957 746 237 |
Direction de l'action du Gouvernement |
407 669 293 |
443 356 264 |
437 436 536 |
453 462 150 |
Coordination du travail gouvernemental |
383 311 559 |
409 024 035 |
417 127 637 |
431 403 038 |
Protection des droits et libertés |
24 357 734 |
34 332 229 |
20 308 899 |
22 059 112 |
Économie |
1 138 746 227 |
514 724 350 |
869 627 937 |
597 357 308 |
Développement des entreprises et régulations |
552 856 183 |
196 242 280 |
294 823 279 |
276 708 049 |
Statistiques et études économiques |
67 870 044 |
50 748 386 |
55 681 658 |
51 530 417 |
Stratégies économiques |
518 020 000 |
267 733 684 |
519 123 000 |
269 118 842 |
Engagements financiers de l'État |
1 200 000 |
1 320 000 |
1 290 000 |
1 410 000 |
Épargne |
1 200 000 |
1 320 000 |
1 200 000 |
1 320 000 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
0 |
90 000 |
90 000 |
Gestion des finances publiques |
1 687 923 794 |
1 834 461 181 |
1 758 944 571 |
1 744 102 755 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
1 030 779 434 |
1 141 325 777 |
1 098 603 498 |
1 088 146 479 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
398 664 635 |
432 307 811 |
430 737 551 |
407 691 587 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
258 479 725 |
260 827 593 |
229 603 522 |
248 264 689 |
Immigration, asile et intégration |
576 284 292 |
565 479 170 |
583 685 194 |
567 981 861 |
Immigration et asile |
255 273 115 |
269 216 109 |
262 726 460 |
271 271 243 |
Intégration et accès à la nationalité française |
321 011 177 |
296 263 061 |
320 958 734 |
296 710 618 |
Justice |
4 739 502 748 |
2 873 894 957 |
2 966 642 934 |
3 054 053 473 |
Justice judiciaire |
1 307 262 078 |
1 374 904 106 |
1 191 742 449 |
1 260 677 266 |
Administration pénitentiaire |
2 860 632 729 |
971 458 019 |
1 243 851 312 |
1 257 321 939 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
114 540 551 |
124 128 313 |
100 323 227 |
104 146 872 |
Accès au droit et à la justice |
12 402 585 |
13 065 021 |
12 402 585 |
13 065 021 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
443 302 282 |
388 976 975 |
415 878 045 |
416 397 059 |
Conseil supérieur de la magistrature |
1 362 523 |
1 362 523 |
2 445 316 |
2 445 316 |
Médias, livre et industries culturelles |
309 461 394 |
313 593 538 |
309 461 394 |
313 593 538 |
Presse et médias |
22 865 143 |
23 092 525 |
22 865 143 |
23 092 525 |
Livre et industries culturelles |
286 596 251 |
290 501 013 |
286 596 251 |
290 501 013 |
Outre-mer |
60 898 658 |
58 730 174 |
59 782 487 |
57 614 003 |
Emploi outre-mer |
57 512 073 |
54 748 073 |
56 395 902 |
53 631 902 |
Conditions de vie outre-mer |
3 386 585 |
3 982 101 |
3 386 585 |
3 982 101 |
Relations avec les collectivités territoriales |
600 751 |
600 751 |
599 751 |
599 751 |
Concours spécifiques et administration |
600 751 |
600 751 |
599 751 |
599 751 |
Remboursements et dégrèvements |
3 313 799 369 |
3 657 999 724 |
3 313 799 369 |
3 657 999 724 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
3 313 799 369 |
3 657 999 724 |
3 313 799 369 |
3 657 999 724 |
Santé |
1 426 512 995 |
220 838 967 |
1 428 512 995 |
220 868 947 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
177 612 995 |
126 838 967 |
179 612 995 |
126 868 947 |
Reversement à la sécurité sociale des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
1 248 900 000 |
94 000 000 |
1 248 900 000 |
94 000 000 |
Sécurités |
3 629 058 832 |
3 972 874 815 |
2 860 242 838 |
3 163 524 748 |
Police nationale |
1 346 488 692 |
1 562 162 862 |
1 238 805 823 |
1 264 995 356 |
Gendarmerie nationale |
1 928 432 491 |
1 936 747 446 |
1 297 342 171 |
1 592 983 843 |
Sécurité et éducation routières |
78 961 302 |
65 688 941 |
78 066 302 |
64 596 128 |
Sécurité civile |
275 176 347 |
408 275 566 |
246 028 542 |
240 949 421 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
181 698 494 |
16 142 185 |
207 737 975 |
16 142 185 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
12 165 605 |
12 957 828 |
12 165 605 |
12 957 828 |
Handicap et dépendance |
999 329 |
1 700 000 |
999 329 |
1 700 000 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
1 484 357 |
1 484 357 |
1 484 357 |
1 484 357 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales (ancien) |
167 049 203 |
0 |
193 088 684 |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
738 468 774 |
786 823 612 |
738 306 274 |
786 986 112 |
Sport |
76 067 157 |
76 969 243 |
75 904 657 |
77 131 743 |
Jeunesse et vie associative |
643 901 617 |
706 601 369 |
643 901 617 |
706 601 369 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
18 500 000 |
3 253 000 |
18 500 000 |
3 253 000 |
(en euros) |
||||
Titre 4. Charges de la dette de l’État |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Engagements financiers de l'État |
52 182 000 000 |
54 899 000 000 |
52 182 000 000 |
54 899 000 000 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
51 375 000 000 |
54 207 000 000 |
51 375 000 000 |
54 207 000 000 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
807 000 000 |
692 000 000 |
807 000 000 |
692 000 000 |
(en euros) |
||||
Titre 5. Dépenses d’investissement |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
757 151 021 |
670 453 626 |
583 855 339 |
371 707 644 |
Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs |
696 843 385 |
653 956 624 |
515 867 705 |
338 800 105 |
Transformation publique |
31 364 686 |
6 274 052 |
32 533 311 |
21 173 216 |
Fonction publique |
28 942 950 |
10 222 950 |
35 454 323 |
11 734 323 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
220 000 |
8 030 000 |
9 380 000 |
12 120 000 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
220 000 |
8 030 000 |
9 380 000 |
12 120 000 |
Cohésion des territoires |
27 078 491 |
6 198 000 |
26 339 239 |
6 198 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
21 100 000 |
3 198 000 |
20 400 000 |
3 198 000 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
3 800 000 |
3 000 000 |
3 800 000 |
3 000 000 |
Interventions territoriales de l'État |
2 178 491 |
0 |
2 139 239 |
0 |
Écologie, développement et mobilité durables |
196 949 712 |
193 584 611 |
165 694 294 |
164 815 818 |
Infrastructures et services de transports |
47 288 132 |
63 343 460 |
61 233 174 |
49 417 460 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
51 675 905 |
34 038 778 |
28 076 086 |
42 568 471 |
Paysages, eau et biodiversité |
9 430 618 |
3 999 026 |
7 948 329 |
3 001 234 |
Prévention des risques |
13 236 034 |
4 986 034 |
15 936 034 |
17 286 034 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
75 319 023 |
69 917 313 |
52 500 671 |
35 242 619 |
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
0 |
17 300 000 |
0 |
17 300 000 |
Enseignement scolaire |
215 982 298 |
175 939 315 |
167 053 361 |
156 551 655 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
215 982 298 |
175 939 315 |
167 053 361 |
156 551 655 |
Recherche et enseignement supérieur |
800 802 921 |
642 577 321 |
526 471 032 |
601 320 246 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
370 173 000 |
204 364 340 |
225 117 680 |
248 721 995 |
Vie étudiante |
137 920 000 |
137 920 000 |
107 152 667 |
107 152 667 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
176 172 903 |
180 895 701 |
79 755 881 |
124 140 518 |
Recherche spatiale |
76 825 955 |
83 686 217 |
76 825 955 |
83 686 217 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
6 476 908 |
2 476 908 |
6 476 908 |
6 476 908 |
Recherche duale (civile et militaire) |
12 770 114 |
12 770 114 |
12 770 114 |
12 770 114 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
20 464 041 |
20 464 041 |
18 371 827 |
18 371 827 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Plan de relance |
0 |
0 |
299 731 880 |
48 422 488 |
Écologie |
0 |
0 |
271 040 395 |
0 |
Compétitivité |
0 |
0 |
28 691 485 |
48 422 488 |
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
27 691 407 |
30 394 544 |
27 691 407 |
106 480 982 |
Accès et retour à l'emploi |
26 080 500 |
24 199 619 |
26 080 500 |
40 457 967 |
Soutien des ministères sociaux |
1 610 907 |
6 194 925 |
1 610 907 |
66 023 015 |
Action extérieure de l'État |
124 153 080 |
104 950 873 |
113 715 244 |
103 427 070 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
124 153 080 |
104 950 873 |
113 715 244 |
103 427 070 |
Administration générale et territoriale de l'État |
1 339 113 753 |
426 515 073 |
396 963 130 |
781 866 374 |
Administration territoriale de l'État |
88 233 877 |
111 582 109 |
69 486 484 |
87 017 551 |
Vie politique |
191 268 |
0 |
311 177 |
0 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
1 250 688 608 |
314 932 964 |
327 165 469 |
694 848 823 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
130 338 800 |
174 403 205 |
106 179 030 |
99 700 237 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
57 515 193 |
64 340 590 |
60 499 861 |
67 325 258 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
13 600 000 |
20 500 000 |
13 200 000 |
6 860 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
59 223 607 |
89 562 615 |
32 479 169 |
25 514 979 |
Conseil et contrôle de l'État |
13 103 463 |
5 697 770 |
60 776 081 |
65 798 437 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
12 728 463 |
5 322 770 |
60 401 081 |
65 423 437 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
375 000 |
375 000 |
375 000 |
375 000 |
Culture |
703 762 795 |
438 020 591 |
433 313 729 |
440 955 069 |
Patrimoines |
571 506 949 |
241 703 601 |
284 341 137 |
296 953 696 |
Création |
68 637 892 |
103 066 672 |
82 310 781 |
81 839 562 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
49 868 677 |
79 501 041 |
52 912 534 |
48 412 534 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
13 749 277 |
13 749 277 |
13 749 277 |
13 749 277 |
Défense |
26 023 041 706 |
43 530 105 644 |
16 212 112 415 |
18 030 086 228 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
424 382 647 |
231 149 460 |
306 209 678 |
297 998 840 |
Préparation et emploi des forces |
1 979 919 218 |
3 434 930 482 |
1 781 510 959 |
2 510 347 541 |
Soutien de la politique de la défense |
648 631 773 |
671 041 452 |
662 327 250 |
842 077 645 |
Équipement des forces |
22 970 108 068 |
39 192 984 250 |
13 462 064 528 |
14 379 662 202 |
Direction de l'action du Gouvernement |
148 278 501 |
144 230 876 |
150 202 462 |
136 814 104 |
Coordination du travail gouvernemental |
147 938 501 |
144 210 876 |
149 862 462 |
136 794 104 |
Protection des droits et libertés |
340 000 |
20 000 |
340 000 |
20 000 |
Économie |
3 950 000 |
200 000 |
3 950 000 |
200 000 |
Développement des entreprises et régulations |
3 950 000 |
200 000 |
3 950 000 |
200 000 |
Gestion des finances publiques |
293 090 705 |
289 455 644 |
310 531 944 |
286 364 648 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
145 951 226 |
142 333 763 |
135 628 796 |
149 495 657 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
62 315 121 |
38 079 503 |
93 636 333 |
47 263 708 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
84 824 358 |
109 042 378 |
81 266 815 |
89 605 283 |
Immigration, asile et intégration |
197 285 666 |
74 548 501 |
149 977 780 |
87 440 478 |
Immigration et asile |
187 285 666 |
65 098 501 |
139 977 780 |
77 990 478 |
Intégration et accès à la nationalité française |
10 000 000 |
9 450 000 |
10 000 000 |
9 450 000 |
Justice |
1 300 348 775 |
616 472 478 |
997 312 380 |
968 217 361 |
Justice judiciaire |
456 307 104 |
171 878 732 |
361 888 359 |
268 600 516 |
Administration pénitentiaire |
712 946 000 |
405 503 309 |
518 696 599 |
622 439 585 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
53 857 242 |
36 732 937 |
33 260 754 |
38 165 260 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
77 238 429 |
2 357 500 |
83 466 668 |
39 012 000 |
Médias, livre et industries culturelles |
46 139 035 |
32 229 035 |
40 481 702 |
36 229 035 |
Livre et industries culturelles |
46 139 035 |
32 229 035 |
40 481 702 |
36 229 035 |
Outre-mer |
29 020 100 |
28 260 396 |
25 681 302 |
14 421 598 |
Emploi outre-mer |
29 020 100 |
28 260 396 |
25 681 302 |
14 421 598 |
Relations avec les collectivités territoriales |
7 699 710 |
10 138 423 |
8 110 162 |
10 544 673 |
Concours spécifiques et administration |
7 699 710 |
10 138 423 |
8 110 162 |
10 544 673 |
Sécurités |
1 211 346 959 |
1 007 418 677 |
852 137 094 |
926 582 278 |
Police nationale |
776 428 220 |
540 031 033 |
454 802 307 |
462 031 232 |
Gendarmerie nationale |
192 728 500 |
410 271 900 |
180 570 784 |
319 153 277 |
Sécurité et éducation routières |
19 008 158 |
7 115 950 |
18 395 676 |
6 701 281 |
Sécurité civile |
223 182 081 |
49 999 794 |
198 368 327 |
138 696 488 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
12 007 593 |
0 |
44 133 909 |
0 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales (ancien) |
12 007 593 |
0 |
44 133 909 |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
4 700 000 |
5 360 632 |
8 160 904 |
16 669 332 |
Sport |
4 700 000 |
5 360 632 |
8 160 904 |
7 669 332 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
0 |
0 |
0 |
9 000 000 |
(en euros) |
||||
Titre 6. Dépenses d’intervention |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
86 218 748 |
64 955 605 |
90 938 490 |
77 955 561 |
Transformation publique |
40 623 143 |
17 650 000 |
45 342 929 |
30 650 000 |
Fonction publique |
45 595 605 |
47 305 605 |
45 595 561 |
47 305 561 |
Aide publique au développement |
5 782 263 920 |
4 266 225 220 |
4 777 832 156 |
4 217 007 449 |
Aide économique et financière au développement |
2 596 992 700 |
1 260 299 419 |
1 512 950 708 |
938 516 323 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
3 179 170 414 |
2 127 598 051 |
3 258 780 642 |
2 400 163 376 |
Restitution des « biens mal acquis » |
6 100 806 |
140 327 750 |
6 100 806 |
140 327 750 |
Fonds de solidarité pour le développement (nouveau) |
0 |
738 000 000 |
0 |
738 000 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
1 784 890 556 |
1 751 926 534 |
1 784 890 556 |
1 751 926 534 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 698 690 830 |
1 668 626 615 |
1 698 690 830 |
1 668 626 615 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
86 199 726 |
83 299 919 |
86 199 726 |
83 299 919 |
Cohésion des territoires |
19 310 596 109 |
23 228 694 697 |
18 904 248 220 |
23 525 022 112 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 898 156 926 |
2 903 286 925 |
2 922 910 370 |
2 928 040 369 |
Aide à l'accès au logement |
13 656 400 000 |
17 015 584 000 |
13 656 400 000 |
17 015 584 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
1 805 015 469 |
2 574 556 963 |
1 470 815 469 |
2 882 311 013 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
291 870 025 |
168 764 231 |
242 459 087 |
132 176 631 |
Politique de la ville |
584 741 576 |
492 481 330 |
584 741 576 |
492 481 330 |
Interventions territoriales de l'État |
74 412 113 |
74 021 248 |
26 921 718 |
74 428 769 |
Écologie, développement et mobilité durables |
18 238 732 330 |
15 474 830 236 |
15 793 036 663 |
14 173 134 859 |
Infrastructures et services de transports |
3 741 932 590 |
4 349 760 862 |
3 754 300 826 |
3 857 918 844 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
219 885 024 |
133 909 024 |
205 094 593 |
140 163 230 |
Paysages, eau et biodiversité |
389 625 363 |
267 950 775 |
333 030 246 |
272 888 167 |
Expertise, information géographique et météorologie |
6 066 646 |
6 319 422 |
6 066 646 |
6 319 422 |
Prévention des risques |
233 954 296 |
234 354 296 |
235 142 507 |
213 592 507 |
Énergie, climat et après-mines |
5 611 769 875 |
2 147 970 221 |
5 246 403 309 |
1 872 270 221 |
Service public de l'énergie |
5 539 000 000 |
7 331 000 000 |
4 884 000 000 |
6 663 500 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
7 498 536 |
6 970 636 |
7 498 536 |
6 970 636 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
2 489 000 000 |
995 000 000 |
1 121 500 000 |
1 137 916 832 |
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
0 |
1 595 000 |
0 |
1 595 000 |
Enseignement scolaire |
5 215 884 855 |
4 499 942 635 |
5 185 768 387 |
4 511 142 635 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
8 456 943 |
8 885 970 |
8 456 943 |
8 885 970 |
Enseignement scolaire public du second degré |
393 800 162 |
411 902 103 |
393 800 162 |
411 902 103 |
Vie de l'élève |
3 339 881 804 |
2 608 593 362 |
3 309 881 804 |
2 618 593 362 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
896 625 741 |
917 296 523 |
896 625 741 |
917 296 523 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
10 560 833 |
8 423 735 |
12 160 833 |
11 423 735 |
Enseignement technique agricole |
566 559 372 |
544 840 942 |
564 842 904 |
543 040 942 |
Recherche et enseignement supérieur |
6 561 155 733 |
6 198 305 113 |
6 262 360 804 |
5 801 287 174 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
161 879 042 |
161 879 042 |
161 879 042 |
161 879 042 |
Vie étudiante |
2 634 536 742 |
2 538 939 543 |
2 634 536 742 |
2 538 939 543 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
2 181 651 207 |
2 242 617 289 |
1 821 441 278 |
1 858 654 604 |
Recherche spatiale |
1 130 419 993 |
1 118 667 951 |
1 130 419 993 |
1 118 667 951 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
59 500 000 |
48 481 481 |
110 415 000 |
35 426 227 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
314 403 633 |
12 954 691 |
324 903 633 |
12 954 691 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
78 765 116 |
74 765 116 |
78 765 116 |
74 765 116 |
Régimes sociaux et de retraite |
5 160 201 295 |
5 977 088 384 |
5 160 201 295 |
5 977 088 384 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 365 695 818 |
4 182 014 643 |
4 365 695 818 |
4 182 014 643 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
774 342 095 |
765 867 916 |
774 342 095 |
765 867 916 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA, et divers |
20 163 382 |
1 029 205 825 |
20 163 382 |
1 029 205 825 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
0 |
0 |
6 736 710 000 |
4 454 244 101 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
0 |
255 000 000 |
219 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
0 |
38 200 000 |
38 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
0 |
14 260 000 |
50 010 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
0 |
5 481 750 000 |
3 563 400 000 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
0 |
947 500 000 |
583 634 101 |
Plan de relance |
0 |
0 |
1 011 180 489 |
113 537 336 |
Écologie |
0 |
0 |
795 218 356 |
100 000 000 |
Compétitivité |
0 |
0 |
37 062 133 |
13 537 336 |
Cohésion (ancien) |
0 |
0 |
178 900 000 |
0 |
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
18 084 330 524 |
15 842 738 886 |
17 781 824 929 |
15 894 888 104 |
Accès et retour à l'emploi |
6 027 780 037 |
6 251 761 299 |
6 034 089 031 |
5 670 599 456 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
11 921 962 989 |
9 567 840 879 |
11 685 788 426 |
10 164 681 943 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
134 394 192 |
19 886 708 |
61 754 192 |
56 356 705 |
Soutien des ministères sociaux |
193 306 |
3 250 000 |
193 280 |
3 250 000 |
Action extérieure de l'État |
1 295 615 641 |
1 144 204 556 |
1 295 615 641 |
1 144 262 756 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
968 365 394 |
854 674 550 |
968 365 394 |
854 674 550 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
184 730 247 |
155 610 006 |
184 730 247 |
155 610 006 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
142 520 000 |
133 920 000 |
142 520 000 |
133 978 200 |
Administration générale et territoriale de l'État |
166 295 299 |
165 249 389 |
166 295 299 |
165 249 389 |
Vie politique |
77 055 672 |
69 120 672 |
77 055 672 |
69 120 672 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
89 239 627 |
96 128 717 |
89 239 627 |
96 128 717 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
3 352 468 947 |
2 549 910 935 |
2 779 238 179 |
2 436 643 888 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
2 488 066 187 |
1 808 391 868 |
2 044 308 622 |
1 751 929 601 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
440 952 760 |
292 519 067 |
311 479 557 |
235 714 287 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
450 000 |
500 000 |
450 000 |
500 000 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
423 000 000 |
448 500 000 |
423 000 000 |
448 500 000 |
Audiovisuel public (nouvelle) |
4 026 728 395 |
4 029 162 945 |
4 026 728 395 |
4 029 162 945 |
France Télévisions (nouveau) |
2 523 106 868 |
2 548 827 000 |
2 523 106 868 |
2 548 827 000 |
ARTE France (nouveau) |
295 102 353 |
298 114 886 |
295 102 353 |
298 114 886 |
Radio France (nouveau) |
652 954 400 |
660 133 908 |
652 954 400 |
660 133 908 |
France Médias Monde (nouveau) |
299 202 200 |
302 883 551 |
299 202 200 |
302 883 551 |
Institut national de l'audiovisuel (nouveau) |
103 913 354 |
104 961 144 |
103 913 354 |
104 961 144 |
TV5 Monde (nouveau) |
83 449 220 |
84 242 456 |
83 449 220 |
84 242 456 |
Programme de transformation (nouveau) |
69 000 000 |
30 000 000 |
69 000 000 |
30 000 000 |
Conseil et contrôle de l'État |
47 000 |
73 900 |
47 000 |
73 900 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
47 000 |
73 900 |
47 000 |
73 900 |
Culture |
1 477 202 756 |
1 454 343 649 |
1 464 478 817 |
1 436 717 032 |
Patrimoines |
314 192 669 |
301 935 461 |
313 032 893 |
306 740 644 |
Création |
636 319 038 |
631 999 039 |
632 419 036 |
628 099 035 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
516 716 154 |
508 934 254 |
509 051 993 |
490 402 458 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
9 974 895 |
11 474 895 |
9 974 895 |
11 474 895 |
Défense |
506 305 373 |
1 576 635 930 |
458 541 220 |
923 249 255 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
105 089 391 |
154 164 178 |
105 089 391 |
132 596 931 |
Préparation et emploi des forces |
390 951 251 |
425 491 222 |
334 889 343 |
420 244 770 |
Soutien de la politique de la défense |
6 487 163 |
10 965 012 |
6 247 007 |
18 296 274 |
Équipement des forces |
3 777 568 |
986 015 518 |
12 315 479 |
352 111 280 |
Direction de l'action du Gouvernement |
108 136 843 |
107 309 450 |
108 136 843 |
107 427 496 |
Coordination du travail gouvernemental |
57 112 743 |
55 988 571 |
57 112 743 |
56 106 617 |
Protection des droits et libertés |
51 024 100 |
51 320 879 |
51 024 100 |
51 320 879 |
Économie |
2 130 727 454 |
2 170 526 115 |
2 459 717 544 |
2 322 222 323 |
Développement des entreprises et régulations |
1 976 388 770 |
1 817 055 834 |
1 944 203 770 |
1 766 754 563 |
Plan France Très haut débit |
96 935 000 |
47 684 965 |
464 470 090 |
247 829 602 |
Statistiques et études économiques |
21 963 684 |
20 000 000 |
21 863 684 |
20 100 000 |
Stratégies économiques |
35 440 000 |
285 785 316 |
29 180 000 |
287 538 158 |
Engagements financiers de l'État |
1 972 302 785 |
1 103 327 646 |
2 159 882 095 |
1 284 274 245 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
1 902 436 463 |
985 272 597 |
1 902 436 463 |
985 272 597 |
Épargne |
69 866 322 |
118 055 049 |
69 866 322 |
118 055 049 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
0 |
187 579 310 |
180 946 599 |
Gestion des finances publiques |
67 455 984 |
65 635 312 |
67 456 431 |
65 652 717 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
460 000 |
460 000 |
460 000 |
477 404 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
291 306 |
350 000 |
291 306 |
350 000 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
66 704 678 |
64 825 312 |
66 705 125 |
64 825 313 |
Immigration, asile et intégration |
991 268 103 |
1 090 027 179 |
1 422 839 698 |
1 392 331 571 |
Immigration et asile |
890 867 915 |
1 026 331 398 |
1 322 439 510 |
1 332 069 358 |
Intégration et accès à la nationalité française |
100 400 188 |
63 695 781 |
100 400 188 |
60 262 213 |
Justice |
1 066 934 841 |
1 119 341 624 |
1 066 934 841 |
1 118 196 647 |
Justice judiciaire |
3 720 300 |
4 354 293 |
3 720 300 |
4 354 293 |
Administration pénitentiaire |
15 022 630 |
15 022 630 |
15 022 630 |
15 022 630 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
322 357 199 |
313 372 820 |
322 357 199 |
312 227 843 |
Accès au droit et à la justice |
723 831 712 |
785 065 538 |
723 831 712 |
785 065 538 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
2 003 000 |
1 526 343 |
2 003 000 |
1 526 343 |
Médias, livre et industries culturelles |
386 274 946 |
382 216 921 |
386 004 826 |
373 836 801 |
Presse et médias |
354 840 256 |
343 612 231 |
353 800 136 |
342 572 111 |
Livre et industries culturelles |
31 434 690 |
38 604 690 |
32 204 690 |
31 264 690 |
Outre-mer |
2 880 335 057 |
2 483 044 867 |
2 508 177 300 |
2 270 342 294 |
Emploi outre-mer |
1 602 097 799 |
1 676 210 056 |
1 591 789 913 |
1 668 564 647 |
Conditions de vie outre-mer |
1 278 237 258 |
806 834 811 |
916 387 387 |
601 777 647 |
Relations avec les collectivités territoriales |
4 087 442 683 |
4 000 693 841 |
3 952 679 748 |
4 049 483 878 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
3 798 201 744 |
3 799 207 080 |
3 711 788 506 |
3 746 208 204 |
Concours spécifiques et administration |
289 240 939 |
201 486 761 |
240 891 242 |
303 275 674 |
Remboursements et dégrèvements |
137 166 346 653 |
143 482 796 111 |
137 166 346 653 |
143 482 796 111 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
132 875 346 653 |
139 083 971 120 |
132 875 346 653 |
139 083 971 120 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 291 000 000 |
4 398 824 991 |
4 291 000 000 |
4 398 824 991 |
Santé |
1 304 668 273 |
1 429 552 823 |
1 305 968 273 |
1 421 752 823 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
88 368 273 |
101 960 697 |
89 668 273 |
94 160 697 |
Protection maladie |
1 216 300 000 |
1 327 592 126 |
1 216 300 000 |
1 327 592 126 |
Sécurités |
219 716 138 |
217 687 528 |
257 181 381 |
266 116 615 |
Police nationale |
33 770 168 |
34 778 601 |
33 770 168 |
34 778 601 |
Gendarmerie nationale |
3 600 000 |
12 600 000 |
8 281 350 |
12 000 000 |
Sécurité et éducation routières |
12 417 743 |
11 817 743 |
12 417 743 |
11 817 743 |
Sécurité civile |
169 928 227 |
158 491 184 |
202 712 120 |
207 520 271 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
29 731 485 932 |
30 357 697 825 |
29 771 210 266 |
30 354 059 159 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
14 268 331 909 |
14 245 394 003 |
14 269 493 243 |
14 246 555 337 |
Handicap et dépendance |
15 380 767 698 |
16 028 671 412 |
15 380 767 698 |
16 023 871 412 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
75 924 325 |
83 632 410 |
75 924 325 |
83 632 410 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales (ancien) |
6 462 000 |
0 |
45 025 000 |
0 |
Sport, jeunesse et vie associative |
805 473 040 |
683 322 908 |
892 233 173 |
615 295 341 |
Sport |
564 846 797 |
479 946 290 |
560 866 930 |
375 966 423 |
Jeunesse et vie associative |
216 216 243 |
203 376 618 |
216 216 243 |
203 376 618 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
24 410 000 |
0 |
115 150 000 |
35 952 300 |
(en euros) |
||||
Titre 7. Dépenses d’opérations financières |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Aide publique au développement |
331 205 548 |
1 395 000 000 |
966 029 527 |
918 228 494 |
Aide économique et financière au développement |
181 205 548 |
1 250 000 000 |
816 029 527 |
773 228 494 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
150 000 000 |
145 000 000 |
150 000 000 |
145 000 000 |
Enseignement scolaire |
721 500 |
721 500 |
721 500 |
721 500 |
Enseignement technique agricole |
721 500 |
721 500 |
721 500 |
721 500 |
Recherche et enseignement supérieur |
40 743 229 |
53 634 408 |
118 514 549 |
74 588 745 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
14 019 826 |
20 892 486 |
62 806 146 |
39 201 831 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
0 |
0 |
20 000 000 |
0 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
26 723 403 |
32 741 922 |
35 708 403 |
35 386 914 |
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Investir pour la France de 2030 |
0 |
0 |
0 |
40 750 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
0 |
0 |
5 000 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
0 |
0 |
35 750 000 |
Plan de relance |
0 |
0 |
102 816 691 |
0 |
Écologie |
0 |
0 |
102 816 691 |
0 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
200 000 |
0 |
1 130 000 |
0 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
200 000 |
0 |
1 130 000 |
0 |
Culture |
2 400 000 |
2 754 929 |
2 400 000 |
2 754 929 |
Patrimoines |
2 400 000 |
2 754 929 |
2 400 000 |
2 754 929 |
Économie |
24 000 |
19 000 |
24 000 |
19 000 |
Développement des entreprises et régulations |
24 000 |
19 000 |
24 000 |
19 000 |
Engagements financiers de l'État |
0 |
0 |
6 474 951 599 |
5 153 480 084 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
0 |
6 474 951 599 |
5 153 480 084 |
Gestion des finances publiques |
441 227 |
448 287 |
441 227 |
448 287 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
441 227 |
448 287 |
441 227 |
448 287 |
Sécurités |
2 325 763 |
2 668 545 |
2 325 763 |
2 668 545 |
Sécurité civile |
2 325 763 |
2 668 545 |
2 325 763 |
2 668 545 |
Sport, jeunesse et vie associative |
0 |
0 |
652 800 |
0 |
Sport |
0 |
0 |
652 800 |
0 |
(en euros) |
||||
Titre / Catégorie |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Titre. 1er. Dotations des pouvoirs publics |
1 137 842 143 |
1 156 506 686 |
1 137 842 143 |
1 156 506 686 |
Titre. 2. Dépenses de personnel |
153 542 204 077 |
157 101 042 332 |
153 542 204 077 |
157 101 042 332 |
Rémunérations d’activité |
90 117 937 967 |
90 680 332 421 |
90 117 937 967 |
90 680 332 421 |
Cotisations et contributions sociales |
62 274 318 985 |
65 075 328 709 |
62 274 318 985 |
65 075 328 709 |
Prestations sociales et allocations diverses |
1 149 947 125 |
1 345 381 202 |
1 149 947 125 |
1 345 381 202 |
Titre. 3. Dépenses de fonctionnement |
74 142 341 476 |
78 504 977 366 |
70 917 037 351 |
71 456 879 800 |
Dépenses de fonctionnement autres que celles de personnel |
39 042 707 748 |
43 218 198 525 |
35 817 403 623 |
36 170 100 959 |
Subventions pour charges de service public |
35 099 633 728 |
35 286 778 841 |
35 099 633 728 |
35 286 778 841 |
Titre. 4. Charges de la dette de l’État |
52 182 000 000 |
54 899 000 000 |
52 182 000 000 |
54 899 000 000 |
Intérêt de la dette financière négociable |
50 863 000 000 |
53 536 000 000 |
50 863 000 000 |
53 536 000 000 |
Charges financières diverses |
1 319 000 000 |
1 363 000 000 |
1 319 000 000 |
1 363 000 000 |
Titre. 5. Dépenses d’investissement |
33 613 256 491 |
48 615 185 235 |
21 719 955 820 |
23 472 933 755 |
Dépenses pour immobilisations corporelles de l’État |
31 550 122 094 |
47 219 618 368 |
20 222 707 689 |
22 053 231 135 |
Dépenses pour immobilisations incorporelles de l’État |
478 161 050 |
375 007 120 |
404 369 837 |
352 550 659 |
Subventions pour charges d'investissement |
1 584 973 347 |
1 020 559 747 |
1 092 878 294 |
1 067 151 961 |
Titre. 6. Dépenses d’intervention |
273 967 506 213 |
276 917 468 764 |
277 204 705 612 |
279 756 381 435 |
Transferts aux ménages |
85 362 380 915 |
89 012 607 709 |
84 872 099 182 |
88 934 505 338 |
Transferts aux entreprises |
140 559 691 160 |
144 702 211 627 |
144 421 431 682 |
147 644 890 814 |
Transferts aux collectivités territoriales |
15 302 141 462 |
12 565 368 782 |
15 137 077 443 |
12 879 601 225 |
Transferts aux autres collectivités |
30 840 856 213 |
29 652 008 049 |
30 871 660 842 |
29 312 111 461 |
Appels en garantie |
1 902 436 463 |
985 272 597 |
1 902 436 463 |
985 272 597 |
Titre. 7. Dépenses d’opérations financières |
378 061 267 |
1 455 246 669 |
7 670 007 656 |
6 193 659 584 |
Prêts et avances |
160 965 227 |
161 985 806 |
169 950 227 |
205 380 798 |
Dotations en fonds propres |
35 890 492 |
43 260 863 |
6 681 647 257 |
5 215 050 292 |
Dépenses de participations financières |
181 205 548 |
1 250 000 000 |
818 410 172 |
773 228 494 |
Total |
588 963 211 667 |
618 649 427 052 |
584 373 752 659 |
594 036 403 592 |
Projet de loi de finances |
1 |
(en ETPT) |
||
Ministère ou budget annexe / Programme |
Emplois |
Emplois |
Budget général |
1 969 310 |
1 995 994 |
Agriculture, souveraineté alimentaire et forêt |
30 263 |
30 531 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
6 655 |
6 641 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
2 845 |
2 845 |
Enseignement technique agricole |
15 605 |
15 887 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
5 158 |
5 158 |
Armées et anciens combattants |
270 554 |
271 117 |
Soutien de la politique de la défense |
270 554 |
271 117 |
Budget et comptes publics |
114 282 |
114 133 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
4 996 |
5 040 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
16 464 |
16 531 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
92 822 |
92 562 |
Culture |
9 161 |
9 159 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
9 161 |
9 159 |
Économie, finances et industrie |
10 930 |
10 903 |
Développement des entreprises et régulations |
4 603 |
4 587 |
Statistiques et études économiques |
5 040 |
5 035 |
Stratégies économiques |
1 287 |
1 281 |
Éducation nationale |
1 059 644 |
1 077 652 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
132 960 |
132 393 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
342 947 |
340 645 |
Enseignement scolaire public du second degré |
451 353 |
450 915 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
28 670 |
28 941 |
Vie de l'élève |
103 714 |
124 758 |
Enseignement supérieur et recherche |
5 119 |
5 104 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
5 119 |
5 104 |
Europe et affaires étrangères |
13 761 |
13 892 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
8 214 |
13 892 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
800 |
|
Français à l'étranger et affaires consulaires |
3 275 |
|
Solidarité à l'égard des pays en développement |
1 472 |
|
Fonction publique, simplification et transformation de l'action publique |
514 |
540 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
514 |
540 |
Intérieur |
297 873 |
298 689 |
Administration territoriale de l'État |
29 448 |
29 266 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
11 113 |
10 941 |
Gendarmerie nationale |
102 623 |
103 077 |
Police nationale |
151 959 |
152 690 |
Sécurité civile |
2 675 |
2 662 |
Vie politique |
55 |
54 |
Justice |
94 698 |
95 599 |
Administration pénitentiaire |
44 870 |
45 245 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
2 766 |
2 793 |
Conseil supérieur de la magistrature |
24 |
24 |
Justice judiciaire |
37 522 |
37 982 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
9 515 |
9 555 |
Logement et rénovation urbaine |
291 |
291 |
Politique de la ville |
291 |
291 |
Outre-Mer |
6 168 |
5 708 |
Emploi outre-mer |
6 168 |
5 708 |
Partenariat avec les collectivités territoriales et décentralisation |
35 090 |
35 114 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
34 990 |
35 014 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
100 |
100 |
Services du Premier ministre |
10 405 |
10 477 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
4 503 |
4 506 |
Conseil économique, social et environnemental |
154 |
155 |
Coordination du travail gouvernemental |
3 173 |
3 221 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
1 827 |
1 825 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
17 |
17 |
Protection des droits et libertés |
731 |
753 |
Sports, jeunesse et vie associative |
2 301 |
2 301 |
Jeunesse et vie associative |
859 |
859 |
Sport |
1 442 |
1 442 |
Transition écologique, énergie, climat et prévention des risques |
470 |
2 027 |
Prévention des risques |
470 |
|
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
|
2 027 |
Travail et emploi |
7 787 |
12 758 |
Soutien des ministères sociaux |
7 787 |
12 758 |
Budget annexes |
10 923 |
11 011 |
Contrôle et exploitation aériens |
10 439 |
10 525 |
Soutien aux prestations de l'aviation civile |
10 439 |
10 525 |
Publications officielles et information administrative |
484 |
486 |
Pilotage et ressources humaines |
484 |
486 |
Total |
1 980 233 |
2 007 005 |
Projet de loi de finances |
1 |
(en euros) |
||||
Mission / Programme |
Autorisations d’engagement |
Crédits de paiement |
||
LFI 2024 |
PLF 2025 |
LFI 2024 |
PLF 2025 |
|
Missions constituées de dotations |
|
|
|
|
Missions interministérielles |
|
|
|
|
Transformation et fonction publiques |
6 785 000 |
6 035 000 |
6 785 000 |
6 035 000 |
Innovation et transformation numériques |
750 000 |
|
750 000 |
|
Fonction publique |
6 035 000 |
6 035 000 |
6 035 000 |
6 035 000 |
Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation |
21 874 000 |
13 983 000 |
21 874 000 |
13 983 000 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
21 874 000 |
13 983 000 |
21 874 000 |
13 983 000 |
Cohésion des territoires |
609 140 780 |
564 730 956 |
351 548 457 |
546 619 960 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
0 |
150 000 |
0 |
|
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
541 670 380 |
493 458 271 |
284 078 057 |
403 060 891 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
46 970 400 |
47 977 685 |
46 970 400 |
47 977 685 |
Politique de la ville |
500 000 |
500 000 |
500 000 |
500 000 |
Interventions territoriales de l'État |
20 000 000 |
22 645 000 |
20 000 000 |
95 081 384 |
Écologie, développement et mobilité durables |
4 235 565 033 |
3 347 501 900 |
4 094 973 671 |
3 872 965 729 |
Infrastructures et services de transports |
4 195 323 333 |
3 284 350 000 |
4 053 622 371 |
3 808 837 229 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
12 250 000 |
12 250 000 |
12 250 000 |
12 250 000 |
Paysages, eau et biodiversité |
5 972 700 |
5 000 000 |
5 972 700 |
5 000 000 |
Expertise, information géographique et météorologie |
40 000 |
|
40 000 |
|
Prévention des risques |
4 379 000 |
5 599 200 |
5 488 600 |
6 575 800 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
17 600 000 |
15 052 700 |
17 600 000 |
15 052 700 |
Sûreté nucléaire et radioprotection (nouveau) |
|
25 250 000 |
|
25 250 000 |
Enseignement scolaire |
22 545 000 |
11 050 000 |
22 545 000 |
11 050 000 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
5 290 000 |
230 000 |
5 290 000 |
230 000 |
Enseignement scolaire public du second degré |
3 560 000 |
1 730 000 |
3 560 000 |
1 730 000 |
Vie de l'élève |
2 020 000 |
1 500 000 |
2 020 000 |
1 500 000 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
65 000 |
|
65 000 |
|
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
11 610 000 |
7 590 000 |
11 610 000 |
7 590 000 |
Recherche et enseignement supérieur |
11 400 000 |
25 220 000 |
40 353 969 |
44 297 083 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
10 000 000 |
25 220 000 |
39 453 969 |
44 297 083 |
Vie étudiante |
1 400 000 |
|
900 000 |
|
Missions ministérielles |
|
|
|
|
Travail, emploi et administration des ministères sociaux |
861 992 000 |
12 200 000 |
941 992 000 |
12 200 000 |
Accès et retour à l'emploi |
50 000 000 |
|
50 000 000 |
|
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
800 000 000 |
|
880 000 000 |
|
Soutien des ministères sociaux |
11 992 000 |
12 200 000 |
11 992 000 |
12 200 000 |
Action extérieure de l'État |
7 304 795 |
7 260 000 |
7 304 795 |
7 260 000 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
5 304 795 |
5 260 000 |
5 304 795 |
5 260 000 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
2 000 000 |
2 000 000 |
2 000 000 |
2 000 000 |
Administration générale et territoriale de l'État |
51 889 543 |
61 909 416 |
51 889 543 |
61 909 416 |
Administration territoriale de l'État |
39 040 000 |
43 040 000 |
39 040 000 |
43 040 000 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
12 849 543 |
18 869 416 |
12 849 543 |
18 869 416 |
Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales |
14 230 307 |
13 390 719 |
14 230 307 |
13 390 719 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
8 243 188 |
6 568 267 |
8 243 188 |
6 568 267 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
5 987 119 |
6 822 452 |
5 987 119 |
6 822 452 |
Conseil et contrôle de l'État |
6 530 000 |
6 100 000 |
6 530 000 |
6 100 000 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
200 000 |
200 000 |
200 000 |
200 000 |
Conseil économique, social et environnemental |
1 700 000 |
1 700 000 |
1 700 000 |
1 700 000 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
4 630 000 |
4 200 000 |
4 630 000 |
4 200 000 |
Culture |
0 |
1 000 000 |
1 000 000 |
1 000 000 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
0 |
1 000 000 |
1 000 000 |
1 000 000 |
Défense |
734 510 000 |
721 389 603 |
1 234 510 000 |
871 389 603 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
320 000 |
320 000 |
320 000 |
320 000 |
Préparation et emploi des forces |
415 329 970 |
407 080 654 |
415 329 970 |
407 080 654 |
Soutien de la politique de la défense |
264 357 610 |
259 483 933 |
264 357 610 |
259 483 933 |
Équipement des forces |
54 502 420 |
54 505 016 |
554 502 420 |
204 505 016 |
Direction de l'action du Gouvernement |
37 572 397 |
57 282 000 |
37 572 397 |
57 282 000 |
Coordination du travail gouvernemental |
37 572 397 |
57 282 000 |
37 572 397 |
57 282 000 |
Économie |
8 391 848 |
8 401 248 |
8 391 848 |
8 401 248 |
Développement des entreprises et régulations |
91 848 |
101 248 |
91 848 |
101 248 |
Statistiques et études économiques |
6 800 000 |
6 800 000 |
6 800 000 |
6 800 000 |
Stratégies économiques |
1 500 000 |
1 500 000 |
1 500 000 |
1 500 000 |
Engagements financiers de l'État |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
11 500 000 |
Gestion des finances publiques |
34 974 350 |
32 150 565 |
34 974 350 |
32 150 565 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
18 550 000 |
19 120 000 |
18 550 000 |
19 120 000 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
5 947 426 |
4 381 816 |
5 947 426 |
4 381 816 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
10 476 924 |
8 648 749 |
10 476 924 |
8 648 749 |
Immigration, asile et intégration |
94 589 553 |
104 850 545 |
94 589 553 |
104 850 545 |
Immigration et asile |
83 913 660 |
83 698 038 |
83 913 660 |
83 698 038 |
Intégration et accès à la nationalité française |
10 675 893 |
21 152 507 |
10 675 893 |
21 152 507 |
Justice |
9 806 146 |
8 253 215 |
9 806 146 |
8 253 215 |
Justice judiciaire |
4 749 000 |
3 917 899 |
4 749 000 |
3 917 899 |
Administration pénitentiaire |
2 419 033 |
1 615 600 |
2 419 033 |
1 615 600 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
893 113 |
974 716 |
893 113 |
974 716 |
Accès au droit et à la justice |
25 000 |
25 000 |
25 000 |
25 000 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
1 720 000 |
1 720 000 |
1 720 000 |
1 720 000 |
Outre-mer |
40 331 500 |
40 331 500 |
40 331 500 |
40 331 500 |
Emploi outre-mer |
40 000 000 |
40 000 000 |
40 000 000 |
40 000 000 |
Conditions de vie outre-mer |
331 500 |
331 500 |
331 500 |
331 500 |
Relations avec les collectivités territoriales |
235 000 |
210 000 |
235 000 |
210 000 |
Concours spécifiques et administration |
235 000 |
210 000 |
235 000 |
210 000 |
Sécurités |
304 118 601 |
367 113 541 |
328 060 447 |
384 104 195 |
Police nationale |
47 585 793 |
52 128 331 |
71 527 639 |
69 118 985 |
Gendarmerie nationale |
241 683 918 |
298 185 210 |
241 683 918 |
298 185 210 |
Sécurité et éducation routières |
120 000 |
|
120 000 |
|
Sécurité civile |
14 728 890 |
16 800 000 |
14 728 890 |
16 800 000 |
Solidarité, insertion et égalité des chances |
120 000 |
0 |
120 000 |
0 |
Conduite et soutien des politiques sanitaires et sociales |
120 000 |
|
120 000 |
|
Sport, jeunesse et vie associative |
37 515 000 |
35 015 000 |
37 515 000 |
35 015 000 |
Sport |
15 000 |
15 000 |
15 000 |
15 000 |
Jeunesse et vie associative |
37 500 000 |
35 000 000 |
37 500 000 |
35 000 000 |
Projet de loi de finances |
1 |
(en euros) |
||
Ministère / Programme |
Autorisations |
Crédits |
Agriculture, souveraineté alimentaire et forêt |
6 786 100 946 |
6 598 224 680 |
Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt |
2 511 950 264 |
2 458 472 665 |
Sécurité et qualité sanitaires de l'alimentation |
926 923 512 |
860 481 527 |
Conduite et pilotage des politiques de l'agriculture |
732 254 065 |
668 189 597 |
Allègements du coût du travail en agriculture (TODE-AG) |
448 500 000 |
448 500 000 |
Enseignement technique agricole |
1 732 853 134 |
1 731 053 134 |
Enseignement supérieur et recherche agricoles |
433 619 971 |
431 527 757 |
Armées et anciens combattants |
95 546 237 372 |
61 974 180 658 |
Reconnaissance et réparation en faveur du monde combattant, mémoire et liens avec la Nation |
1 816 528 043 |
1 820 618 043 |
Environnement et prospective de la politique de défense |
2 173 138 952 |
2 076 223 248 |
Préparation et emploi des forces |
15 265 976 430 |
14 318 070 053 |
Soutien de la politique de la défense |
24 766 940 323 |
24 919 730 428 |
Équipement des forces |
51 373 634 457 |
18 689 519 719 |
Recherche duale (civile et militaire) |
150 019 167 |
150 019 167 |
Budget et comptes publics |
165 748 358 147 |
165 209 269 611 |
Écologie |
0 |
100 000 000 |
Gestion fiscale et financière de l'État et du secteur public local |
8 255 484 171 |
8 209 484 171 |
Conduite et pilotage des politiques économiques et financières |
999 272 686 |
983 840 667 |
Facilitation et sécurisation des échanges |
1 810 187 881 |
1 778 187 883 |
Régimes sociaux et de retraite des transports terrestres |
4 182 014 643 |
4 182 014 643 |
Régimes de retraite des mines, de la SEITA, et divers |
1 034 139 621 |
1 034 139 621 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts d'État (crédits évaluatifs) |
142 741 970 844 |
142 741 970 844 |
Remboursements et dégrèvements d'impôts locaux (crédits évaluatifs) |
4 398 824 991 |
4 398 824 991 |
Compétitivité |
0 |
69 000 000 |
Présidence de la République |
125 662 386 |
125 662 386 |
Assemblée nationale |
617 977 578 |
617 977 578 |
Sénat |
359 479 900 |
359 479 900 |
La Chaîne parlementaire |
35 552 822 |
35 552 822 |
Conseil constitutionnel |
16 850 000 |
16 850 000 |
Cour de justice de la République |
984 000 |
984 000 |
Provision relative aux rémunérations publiques |
70 000 000 |
70 000 000 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles |
425 000 000 |
125 000 000 |
Performance et résilience des bâtiments de l'État et de ses opérateurs |
674 956 624 |
360 300 105 |
Culture |
8 690 738 129 |
8 671 896 683 |
France Télévisions |
2 548 827 000 |
2 548 827 000 |
ARTE France |
298 114 886 |
298 114 886 |
Radio France |
660 133 908 |
660 133 908 |
France Médias Monde |
302 883 551 |
302 883 551 |
Institut national de l'audiovisuel |
104 961 144 |
104 961 144 |
Patrimoines |
1 138 293 548 |
1 201 068 066 |
Création |
1 066 308 911 |
1 041 181 797 |
Transmission des savoirs et démocratisation de la culture |
857 666 310 |
807 484 029 |
Soutien aux politiques du ministère de la culture |
871 266 921 |
869 340 472 |
TV5 Monde |
84 242 456 |
84 242 456 |
Presse et médias |
366 704 756 |
365 664 636 |
Livre et industries culturelles |
361 334 738 |
357 994 738 |
Programme de transformation |
30 000 000 |
30 000 000 |
Économie, finances et industrie |
64 601 204 945 |
69 375 496 192 |
Aide économique et financière au développement |
2 519 229 419 |
1 720 674 817 |
Renforcement des fonds propres de l'Agence française de développement |
145 000 000 |
145 000 000 |
Développement des entreprises et régulations |
2 427 573 916 |
2 457 738 414 |
Plan France Très haut débit |
47 684 965 |
247 829 602 |
Charge de la dette et trésorerie de l'État (crédits évaluatifs) |
54 207 000 000 |
54 207 000 000 |
Appels en garantie de l'État (crédits évaluatifs) |
985 272 597 |
985 272 597 |
Épargne |
119 375 049 |
119 375 049 |
Statistiques et études économiques |
472 449 316 |
473 331 347 |
Stratégies économiques |
702 781 543 |
705 919 543 |
Recherche spatiale |
1 915 679 541 |
1 915 679 541 |
Recherche et enseignement supérieur en matière économique et industrielle |
367 158 599 |
371 158 599 |
Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l'État (crédits évaluatifs) |
692 000 000 |
692 000 000 |
Fonds de soutien relatif aux prêts et contrats financiers structurés à risque |
0 |
181 036 599 |
Amortissement de la dette de l'État liée à la covid-19 |
0 |
5 153 480 084 |
Éducation nationale |
87 095 258 639 |
87 086 080 536 |
Enseignement scolaire public du premier degré |
27 490 907 364 |
27 490 907 364 |
Enseignement scolaire public du second degré |
39 523 106 898 |
39 523 106 898 |
Vie de l'élève |
8 143 063 307 |
8 153 063 307 |
Enseignement privé du premier et du second degrés |
8 938 183 839 |
8 938 183 839 |
Soutien de la politique de l'éducation nationale |
2 999 997 231 |
2 980 819 128 |
Enseignement supérieur et recherche |
27 198 525 925 |
26 789 127 721 |
Formations supérieures et recherche universitaire |
15 217 011 402 |
15 279 678 402 |
Vie étudiante |
3 280 409 211 |
3 249 641 878 |
Recherches scientifiques et technologiques pluridisciplinaires |
8 701 105 312 |
8 259 807 441 |
Europe et affaires étrangères |
6 537 013 502 |
6 820 801 539 |
Action de la France en Europe et dans le monde |
2 695 075 107 |
2 699 644 119 |
Diplomatie culturelle et d'influence |
675 935 494 |
675 935 494 |
Français à l'étranger et affaires consulaires |
156 527 100 |
156 930 800 |
Solidarité à l'égard des pays en développement |
2 131 148 051 |
2 409 963 376 |
Restitution des « biens mal acquis » |
140 327 750 |
140 327 750 |
Fonds de solidarité pour le développement |
738 000 000 |
738 000 000 |
Fonction publique, simplification et transformation de l'action publique |
406 489 457 |
440 278 893 |
Transformation publique |
77 478 806 |
109 570 076 |
Fonction publique |
275 081 997 |
276 780 163 |
Conduite et pilotage de la transformation et de la fonction publiques |
53 928 654 |
53 928 654 |
Intérieur |
32 496 477 031 |
32 224 106 742 |
Administration territoriale de l'État |
2 746 226 114 |
2 665 652 606 |
Vie politique |
98 342 852 |
100 262 544 |
Conduite et pilotage des politiques de l'intérieur |
1 864 686 630 |
2 195 028 476 |
Immigration et asile |
1 360 646 008 |
1 681 331 079 |
Intégration et accès à la nationalité française |
369 408 842 |
366 422 831 |
Police nationale |
13 745 268 791 |
13 370 101 484 |
Gendarmerie nationale |
11 366 321 344 |
10 930 839 118 |
Sécurité et éducation routières |
84 622 634 |
83 115 152 |
Sécurité civile |
860 953 816 |
831 353 452 |
Justice |
11 928 334 167 |
12 459 092 589 |
Justice judiciaire |
4 584 616 923 |
4 567 111 867 |
Administration pénitentiaire |
4 739 613 495 |
5 242 413 691 |
Protection judiciaire de la jeunesse |
1 160 648 380 |
1 140 954 285 |
Accès au droit et à la justice |
798 130 559 |
798 130 559 |
Conduite et pilotage de la politique de la justice |
640 492 354 |
704 566 938 |
Conseil supérieur de la magistrature |
4 832 456 |
5 915 249 |
Logement et rénovation urbaine |
23 159 378 531 |
23 491 886 025 |
Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables |
2 906 145 925 |
2 930 899 369 |
Aide à l'accès au logement |
17 015 584 000 |
17 015 584 000 |
Urbanisme, territoires et amélioration de l'habitat |
2 688 068 963 |
2 995 823 013 |
Politique de la ville |
549 579 643 |
549 579 643 |
Outre-Mer |
2 782 713 740 |
2 555 056 198 |
Emploi outre-mer |
1 971 896 828 |
1 949 296 450 |
Conditions de vie outre-mer |
810 816 912 |
605 759 748 |
Partenariat avec les collectivités territoriales et décentralisation |
14 490 861 763 |
14 145 372 451 |
Infrastructures et services de transports |
4 980 741 444 |
4 475 237 369 |
Affaires maritimes, pêche et aquaculture |
245 125 721 |
260 671 777 |
Conduite et pilotage des politiques de l'écologie, du développement et de la mobilité durables |
3 226 365 690 |
3 215 309 878 |
Régimes de retraite et de sécurité sociale des marins |
778 862 981 |
778 862 981 |
Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements |
3 799 207 080 |
3 746 208 204 |
Concours spécifiques et administration |
212 225 935 |
314 420 098 |
Impulsion et coordination de la politique d'aménagement du territoire |
248 332 912 |
211 745 312 |
Fonds d'accélération de la transition écologique dans les territoires |
1 000 000 000 |
1 142 916 832 |
Santé et accès aux soins |
1 651 091 790 |
1 643 321 770 |
Prévention, sécurité sanitaire et offre de soins |
229 499 664 |
221 729 644 |
Protection maladie |
1 327 592 126 |
1 327 592 126 |
Reversement à la sécurité sociale des recettes de la Facilité pour la Relance et la Résilience (FRR) européenne au titre du volet « Ségur investissement » du plan national de relance et de résilience (PNRR) |
94 000 000 |
94 000 000 |
Services du Premier ministre |
2 042 399 384 |
7 928 462 262 |
Indemnisation des victimes des persécutions antisémites et des actes de barbarie pendant la seconde guerre mondiale |
85 354 059 |
85 354 059 |
Conseil d'État et autres juridictions administratives |
516 240 801 |
603 980 812 |
Conseil économique, social et environnemental |
34 855 389 |
34 855 389 |
Cour des comptes et autres juridictions financières |
265 646 447 |
260 889 772 |
Coordination du travail gouvernemental |
909 249 251 |
924 329 528 |
Interventions territoriales de l'État |
77 325 290 |
77 597 672 |
Protection des droits et libertés |
153 728 147 |
141 455 030 |
Soutien des progrès de l'enseignement et de la recherche |
0 |
219 000 000 |
Valorisation de la recherche |
0 |
243 200 000 |
Accélération de la modernisation des entreprises |
0 |
185 760 000 |
Financement des investissements stratégiques |
0 |
4 373 405 899 |
Financement structurel des écosystèmes d'innovation |
0 |
778 634 101 |
Solidarités, autonomie et égalité entre les femmes et les hommes |
30 377 240 010 |
30 373 601 344 |
Inclusion sociale et protection des personnes |
14 261 751 831 |
14 262 913 165 |
Handicap et dépendance |
16 030 371 412 |
16 025 571 412 |
Égalité entre les femmes et les hommes |
85 116 767 |
85 116 767 |
Sports, jeunesse et vie associative |
1 635 213 286 |
1 578 656 919 |
Sport |
694 658 299 |
593 149 632 |
Jeunesse et vie associative |
937 301 987 |
937 301 987 |
Jeux olympiques et paralympiques 2024 |
3 253 000 |
48 205 300 |
Transition écologique, énergie, climat et prévention des risques |
13 995 860 782 |
13 038 503 380 |
Paysages, eau et biodiversité |
441 266 254 |
445 589 709 |
Expertise, information géographique et météorologie |
519 344 473 |
519 344 473 |
Prévention des risques |
1 311 727 135 |
1 308 665 346 |
Énergie, climat et après-mines |
2 393 423 297 |
2 108 014 491 |
Service public de l'énergie |
7 331 000 000 |
6 663 500 000 |
Recherche dans les domaines de l'énergie, du développement et de la mobilité durables |
1 638 605 399 |
1 628 195 137 |
Sûreté nucléaire et radioprotection |
360 494 224 |
365 194 224 |
Travail et emploi |
21 479 929 506 |
21 632 987 399 |
Accès et retour à l'emploi |
7 773 609 038 |
7 208 705 543 |
Accompagnement des mutations économiques et développement de l'emploi |
11 721 830 930 |
12 318 671 994 |
Amélioration de la qualité de l'emploi et des relations du travail |
44 232 043 |
83 580 596 |
Soutien des ministères sociaux |
1 940 257 495 |
2 022 029 266 |
Projet de loi de finances |
1 |
Solde des comptes spéciaux |
||
(en euros) |
||
|
LFI 2024 |
PLF 2025 |
Comptes d'affectation spéciale : |
|
|
Recettes |
77 481 210 645 |
79 717 746 615 |
Crédits de paiement |
79 951 731 473 |
80 762 804 754 |
Solde |
-2 470 520 828 |
-1 045 058 139 |
Comptes de concours financiers : |
|
|
Recettes |
145 918 454 013 |
145 498 691 321 |
Crédits de paiement |
149 112 673 279 |
145 730 487 588 |
Solde |
-3 194 219 266 |
-231 796 267 |
Solde des comptes de commerce |
-172 997 283 |
-563 693 311 |
Solde des comptes d'opérations monétaires |
+109 900 000 |
+95 900 000 |
Solde de l'ensemble des comptes spéciaux |
-5 727 837 377 |
-1 744 647 717 |
(+ : excédent ; - : charge) |
||
Autorisations de découvert des comptes spéciaux |
||
(en euros) |
||
|
LFI 2024 |
PLF 2025 |
Comptes de commerce |
19 982 609 800 |
19 829 609 800 |
Comptes d'opérations monétaires |
175 000 000 |
175 000 000 |
Total pour l'ensemble des comptes spéciaux |
20 157 609 800 |
20 004 609 800 |