La crise porte d’abord sur les institutions, conçues pour fonctionner à 12 et non pas à 27.

Elle porte aussi sur la légitimité démocratique, comme l’ont rappelé les « non » des Néerlandais et des Français aux référendums sur la Constitution.

Elle porte enfin sur la suite à donner aux élargissements.

À l’heure actuelle, l’Europe ne dispose ni des institutions, ni des ressources budgétaires lui permettant de supporter un nouvel élargissement.