(En millions d'euros)

Source : Ministère de l'Équipement, des transports, du logement, du tourisme et de la mer.

Source : Ministère de l'Équipement, des transports, du logement, du tourisme et de la mer.


- Cliquer ici pour retourner au sommaire général

- Cliquez ici pour retourner à la liste des rapports et avis budgétaires



© Assemblée nationale

(1) Trains express régionaux (TER).

(2) Contrats de plan État-régions ou projets approuvés en comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire.

() Il n'existe pas actuellement en France, comme en Suisse par exemple, de services de « route roulante » dans lesquels des véhicules routiers complets (tracteur + semi-remorque) sont transportés sur des wagons adaptés. Néanmoins, une expérimentation aura lieu en 2003 pour assurer la traversée les Alpes.

() RFF a été créé par la loi n°97-135 du 13 février 1997 avec effet rétroactif au 1er janvier 1997. Ses missions, son statut, son patrimoine et les redevances que RFF est autorisé à percevoir ont été définis par trois décrets du 5 mai 1997. RFF est un établissement public à caractère industriel et commercial de l'État.

() Cour des comptes . Rapport particulier relatif aux comptes et à la gestion de RFF pour les exercices 1997 à 2000.

() Notamment grâce au produit de la redevance France Télécom sur les emprunts longitudinaux et les traversées (+ 37,5 millions d'euros) couvrant la période 1997 à 2001, qui n'avait pas été budgétée.

() Triages, chantiers de transport combiné, voies de stationnement, etc.

() Le DA est une forme d'abonnement facturé au mois (il représente 5 % environ du total des redevances) ; le DR est facturé sur chaque sillon réservé. Il est, dans ses deux composantes (DR-S et DR-AG), fonction de la période horaire de réservation et du trafic sur chaque ligne, à travers une carte tarifaire comprenant 12 catégories tarifaires. Toutefois, sur le tiers du réseau ferré national (catégories « D » et « E »), le DR-S n'est pas facturé ; le DR-AG ne l'est qu'en catégorie « A » (régions parisienne et lyonnaise). Le DC est facturé sur toutes les circulations et traduit un droit marginal d'usage. Enfin, parmi les différentes prestations complémentaires, la plus importante est la RCE, facturée sur toutes les circulations à traction électrique.

() Il comporte un tronc commun à partir de Connerré à l'Est du Mans, puis une branche vers la Bretagne (jusqu'à Rennes) et une branche vers Nantes (se raccordant au réseau existant au nord de Sablé-sur-Sarthe).

() L'État en financera un tiers, soit 22,5 millions d'euros en première phase et 14 millions d'euros en deuxième phase.

() À l'issue des études en février 2002, le ministre a retenu, entre Tours et Poitiers, le fuseau Ouest A 10, le fuseau « Centre » dans le département de l'Indre et Loire ainsi que le jumelage à l'autoroute A 10 jusqu'à Poitiers.

() Ce plan s'élève à 243 millions d'euros aux conditions économiques de 1998, dont 92 millions d'euros pour la modernisation des infrastructures ferroviaires et 151 millions d'euros pour la partie matériel roulant et entretien des rames.

() Calculée en application de l'article 4 du décret n°97-444.

() La mise en _uvre de la première phase du projet a été confiée à la société Lyon Turin Ferroviaire (LTF), constituée, à part égales, par les gestionnaires d'infrastructures ferroviaires français et italien, RFF et RFI. Les travaux des ouvrages de reconnaissance en territoire français ont commencé au printemps 2002. LTF a également engagé des études sur les perspectives de montage financier du projet, et en particulier le partenariat public/privé.

() Cette nouvelle liaison permettra de supprimer les contraintes actuelles liées à la différence d'écartement entre les réseaux ferroviaires français et espagnol, d'offrir des temps de parcours performants pour les voyageurs et de développer le transport ferroviaire de fret entre les deux pays.

() La réalisation complète du TGV sud-européen doit permettre de relier Barcelone à Montpellier en 1 heure 30, à Lyon en 3 heures, à Paris en 4 heures 30.

() Sur la section française, le décret d'utilité publique entre Perpignan et Le Perthus a été signé le 8 octobre 2001.

() C'est-à-dire le Fonds pour le développement de l'intermodalité, en application de la loi n°2002-3 du 3 janvier 2002 relative à la sécurité des infrastructures et systèmes de transport et du décret d'application n°2002-470 du 5 avril 2002.

() Soit un linéaire de 300 kilomètres.

() La gare « Champagne-Ardennes » au sud de Reims, la gare « Meuse » au sud de Verdun, et la gare « Lorraine » entre Metz et Nancy.

() Hors électrification des lignes des Vosges qui fait l'objet d'un financement spécifique. Les investissements en matériel roulant, qui seront financés par la SNCF, ne sont pas compris dans ces coûts.

() L'État s'est engagé à apporter à RFF, sous forme de dotations en capital, un montant total de 5,6 milliards d'euros sur la période 1999-2001. De plus, le niveau global des redevances d'utilisation de l'infrastructure a été porté à environ 1,5 milliard d'euros en 1999 (contre 0,9 milliard d'euros perçus en 1998). En outre, l'État a également apporté une dotation en capital de 1,8 milliards d'euros à RFF en 2002.

() Composé des directives 2001-12 (développement des chemins de fer et droits d'accès), 2001-13 (licences ferroviaires) et 2001-14 (capacités d'infrastructures, redevances et certificats de sécurité).

() Dont le principe a été retenu et les contours fixés, sous forme de cartes et de ports, par l'article 1-12 de la directive 2001-12.

() Actuellement, il s'agit de l'Association européenne pour l'interopérabilité ferroviaire (AEIF) regroupant des représentants d'entreprises ferroviaires, des gestionnaires d'infrastructure et des industries ferroviaires.

() Trois types d'actions sont prévus : les actions de transfert modal qui visent au transfert immédiat d'une partie du trafic routier vers d'autres modes de transport, par une aide au démarrage de nouveaux services de fret non routier ; les actions à effet catalyseur qui portent sur des projets innovateurs visant à pallier les insuffisances structurelles des marchés ; les actions d'apprentissage en commun dont l'objectif est de renforcer la coopération et le savoir-faire entre les opérateurs des marchés de la logistique du fret en vue d'améliorer les performances environnementales du secteur.

() Par exemple, la construction d'un tramway conduit souvent l'autorité organisatrice de transports urbains à passer le versement transport au taux de 1,75 % dès la prise en considération de l'État, avant le début des travaux. Dans ce cas, il y a un excédent de recettes qui permet à l'autorité organisatrice d'épargner.

() Elles sont affectées à la couverture (partielle) des charges d'exploitation du réseau.

() Par le transfert de ressources au titre des transports scolaires et par la dotation globale de décentralisation notamment, et à l'investissement, par le versement (le cas échéant) de subventions à l'autorité organisatrice et par le fonds de compensation de la TVA.

() D'une part pour le renouvellement du parc (en général par les exploitants), d'autre part pour la réalisation d'infrastructures de transports (par les autorités organisatrices et leurs concessionnaires). La charge de la dette est ensuite répercutée les années suivantes sur les dépenses de fonctionnement (intérêts) et d'investissement (remboursement du capital). En cas de réalisation d'infrastructures de transport en site propre subventionnées par l'État, le versement transport peut être augmenté jusqu'à 1,75% : ce complément de ressources sert en règle générale à assurer le remboursement de la charge de l'emprunt.

() Loi n°96-1181 du 30 décembre 1996 portant loi de finances pour 1997.

() Loi n°2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbains.

() Loi n°2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité.

() 1ère ligne de tramway de l'agglomération niçoise, 1ère phase du réseau urbain de tramway de l'agglomération mulhousienne, 3ème ligne de tramway de l'agglomération grenobloise et 2ème phase du site propre bus de Rennes.

() L'extension de la ligne 1 de métro de la Timone à la Fourragère et l'extension du métro ligne 2 entre Sainte Marguerite et St Loup.

() La ligne 1 de Bougainville aux Caillols puis jusqu'à St Antoine et la ligne 2 de Quatre septembre à La Blancarde.

() Cette réforme s'est opérée par la modification de l'ordonnance n° 59-151 du 7 janvier 1959 par la loi du 13 décembre 2000.

() La répartition de la recette directe de la carte orange entre RATP et SNCF reste assise sur les enquêtes de trafic mais le STIF calcule une recette totale de trafic due aux entreprises en application des contrats et la compensation tarifaire versée est ensuite calculée par différence entre cette recette totale et les recettes directes.

() Cette croissance inclut le prolongement de la ligne de tramway T1 Noisy-le-sec, prévu fin juin 2003, le prolongement de la ligne 14 du métro à Saint Lazare, prévu le 15 décembre 2003, et l'impact des championnats du monde d'athlétisme prévu en août 2003.

() Le protocole d'accord relatif au droit syndical et à l'amélioration du dialogue social (signé le 23 octobre 2001 et entré en vigueur le 1er janvier 2002) renouvelle un accord de 1996, qui comportait le dispositif novateur « d'alarme social », en décentralisant encore davantage la négociation.

() Le montant de l'intéressement correspond à la somme des deux montants suivants : 50 % de la valeur du bonus malus et 25 % du résultat après neutralisation du solde bonus-malus, cette part se déclenchant au-delà d'un seuil de résultat fixé à 3.048.980,30 euros.

() Premièrement, une rocade de tramway sera créée en première couronne. La première étape de cette opération consiste, à l'est, à achever la liaison entre Bobigny et Noisy-le-Sec et à poursuivre sa réalisation vers le Val de Fontenay. Au Nord-Ouest, le tramway sera prolongé de Saint-Denis vers Colombes et le tramway Val de Seine sera poursuivi de la Défense jusqu'à Bezons et d'Issy-les-Moulineaux à la Porte de Versailles. Deuxièmement, des tangentielles ferrées seront crées en grande couronne. La tangentielle nord entre Sartrouville et Noisy-le-Sec sera engagée. L'opération Ermont-Saint-Lazare permettra d'améliorer la qualité du service dans le Nord-Ouest de la région tout en préparant, en complément du raccordement d'Epinay, la poursuite de la tangentielle nord vers Pontoise. La tangentielle sud entre Versailles et Corbeil-Essonne sera aussi engagée ainsi que les travaux de la tangentielle ouest. Enfin, les études de la tangentielle Est seront poursuivies. Troisièmement, le maillage du réseau sera amélioré. À cette fin, deux grandes rocades d'intérêt régional, l'une en tramway, l'autre ferroviaire seront réalisées, en correspondance avec des lignes complémentaires, ce qui multipliera les possibilités de trajet offertes aux usagers. Les lignes de métro n° 4, 8, 12, 13 et 14 seront par ailleurs prolongées, ainsi que la ligne E du RER jusqu'à Tournan-en-Brie. Une première section de tramway sera réalisée sur l'arc sud des boulevards des Maréchaux à Paris et le tram Val de Seine sera prolongé d'Issy-les-Moulineaux à la Porte de Versailles. Quatrièmement, des grands pôles intermodaux seront créés comme la gare Bibliothèque François Mitterrand, déjà achevée, ou les sites Pompadour ou Évangile (Paris). Cinquièmement, les liaisons interrégionales seront développées comme la liaison rapide dans la vallée de la Seine, en direction de la Normandie.

() Ce montant n'incluant pas la tranche optionnelle de 26 millions d'euros concernant l'acquisition de matériel roulant (MI2N et tramway).

() A ceux ayant choisi de quitter la profession dans le cadre du plan de déchirage de la cale mis en _uvre jusqu'en 1999.

() Cet effectif autorisé tient compte de la création de 13 emplois supplémentaires dans le cadre de l'accord sur l'aménagement et la réduction du temps de travail signé le 23 mai 2000. Les recrutements correspondants ont été effectués au cours des exercices budgétaires 2000 et 2001.

() Plan Loire Grandeur Nature, Programme Seine-Oise, Projet de territoire Saône-Rhin.

() Selon les hypothèses retenues, la croissance du produit intérieur brut ralentirait en 2002 (+ 1,9 % après + 2,1 % en 2001) et la dépense de consommation des ménages ralentirait aussi (+ 1,9 % après + 2,8 % en 2001). De même, assisterait-on à un recul des échanges extérieurs et en particulier, les exportations et les importations progresseraient moins en 2002.

() En même temps que sept autres schémas de services collectifs destinés à expliciter la politique d'aménagement et de développement durable du territoire.

() Orientations et mesures générales de l'État en matière d'évolutions réglementaires ou fiscales visant à adapter le cadre général d'organisation des transports ; objectifs et cadre dans lequel sera conduit le processus d'élaboration et d'instruction des grands projets d'infrastructure ; inscription du principe de certains grands projets d'infrastructure susceptibles d'être mis en _uvre dans les vingt ans à venir.

() Suite à la convention du 31 décembre 1961 passée avec le ministre des Transports.

() Décret n° 2000-1336 du 26 décembre 2000 instituant une taxe parafiscale en vue du développement de la formation professionnelle dans les transports routiers. En accord avec la profession, ce décret couvre la période courant du 1er janvier 2001 au 31 décembre 2005.

() Arrêté du 16 octobre 2001 fixant les montants de la taxe parafiscale instituée en vue du développement de la formation professionnelle dans les transports routiers.

() Association pour la promotion sociale et la formation professionnelle dans les transports routiers, liée à l'UNOSTRA.

() École du transport et de la logistique, École de direction du transport et de la logistique, Institut de gestion comptable et informatique du transport, École pratique du tourisme.

() Les CFA régionaux de l'AFT sont actuellement implantés dans dix-sept régions : Aquitaine, Bourgogne, Bretagne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Ile-de-France, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord - Pas de Calais, Basse Normandie, Haute Normandie, Provence-Alpes-Côte d'Azur, Pays de la Loire, Picardie, Poitou-Charentes, Rhône-Alpes.

() BEP logistique et commercialisation, BEP et CAP de conduite, BEP et CAP de maintenance de véhicules industriels, Baccalauréats professionnels « exploitation des transports, maintenance, logistique », Brevet de technicien supérieur du transport, Diplôme universitaire de technologie « gestion logistique et transport ».

() Diplômes des instituts universitaires professionnalisés et de l'Ecole supérieure des transports, maîtrise, diplômes d'études supérieures spécialisées (DESS), diplômes d'études approfondies (DEA), doctorat, mastères, grandes écoles d'ingénieurs et de gestion.

() Sur 23.500 conducteurs formés en 2001 au plan national, les conducteurs formés directement par l'AFT avec l'AFT-FC représentent 11.413 personnes, soit environ 48 % des nouveaux conducteurs routiers.

() Rencontres pédagogiques dans les collèges et les lycées professionnels, journées portes ouvertes organisées avec la profession sur l'ensemble du territoire, campagnes d'information destinées à sensibiliser les jeunes et les demandeurs d'emploi aux métiers du transport et de la logistique, sensibilisation des services d'orientation et du service public de l'emploi, mise en place des Services emploi formation information - transport logistique (SEFITL), à destination des entreprises, des jeunes et des demandeurs d'emploi.

() Ministère chargé des Transports et ministère chargé de l'Économie, des finances et de l'industrie, qui sont représentés auprès de l'AFT par un commissaire du Gouvernement et un contrôleur d'État ; ministère chargé de l'Éducation nationale dans le cadre d'une convention générale de coopération, pour la formation initiale des jeunes ; ministère de la Défense dans le cadre de conventions avec chacune des armées et avec la gendarmerie, pour la reconversion des personnels militaires ; Association pour la formation professionnelle des adultes (AFPA) dans le cadre d'une convention de coopération, pour la formation des demandeurs d'emploi.

() C'est dans ce cadre qu'ont été mises en place, à partir de 1995, les formations obligatoires des conducteurs salariés du transport routier public de marchandises : la formation initiale minimale obligatoire (FIMO) d'une durée de quatre semaines pour les nouveaux conducteurs et la formation continue obligatoire de sécurité (FCOS) d'une durée de trois jours au cours de toute période de cinq ans d'activité professionnelle.

() Cette obligation législative, prévue par l'article 1er de la loi n°98-69 du 6 février 1998 tendant à améliorer les conditions d'exercice de la profession de transporteur routier, concerne plus particulièrement les conducteurs non salariés du transport routier public de marchandises ainsi que les conducteurs salariés du transport routier de marchandises pour compte propre et du transport routier de voyageurs. Elle a notamment pour objectifs de renforcer la sécurité et de favoriser l'insertion professionnelle et l'emploi qualifié.

() Notamment en ce qui concerne le transport routier de marchandises, soit dans le cadre du transport pour compte d'autrui (transporteurs), soit dans le cadre du transport pour compte propre (autres entreprises).