III.- DES INSTRUMENTS DE GESTION ÉPROUVÉS 5

IV.- UNE CROISSANCE MODÉRÉE POUR LA CHARGE DE LA DETTE 29

CHAPITRE II : LES CHARGES BUDGETAIRES COMMUNES

CHAPITRE III : LES DEPENSES D'INTERVENTION DU TRESOR (I et II) ; (III)

CHAPITRE IV : LES COMPTES SPECIAUX DU TRESOR RATTACHES AU BUDGET DES CHARGES COMMUNES

EXAMEN EN COMMISSION

(en milliards d'euros)

Sources : SROT, Compte de la dette publique, Situation mensuelle des opérations du Trésor au 31 décembre.

(en milliards d'euros)

(en millions d'euros)

Graphique établi d'après les données contenues dans les arrêtés mensuels récapitulatifs des émissions de valeurs du Trésor.

(en milliards d'euros)


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© Assemblée nationale

() Encours déterminés au 30 septembre 2002 ; source : Bulletin mensuel de l'Agence France Trésor.

() La duration d'une obligation est la valeur moyenne, exprimée en année, des flux (coupons et remboursement du principal) actualisés au taux du marché et pondérés par leur durée. La duration permet de mesurer la rapidité avec laquelle l'investisseur « récupère » son capital et de comparer, à cet égard, des titres de caractéristiques différentes (taux d'intérêt, échéance, remboursement in fine ou par tranche, remboursement au pair ou avec une prime, etc.).

() A l'exception des mois d'avril, août et décembre, depuis 2002.

() Ibid.

() Ibid.

() Les offres « non concurrentielles » s'entendent des offres qui sont présentées par les SVT en dehors de la procédure d'adjudication, en fin de séance. Ne participant pas au processus concurrentiel de détermination du prix des titres placés par le Trésor, elles interviennent en surnombre du volume plafond d'émission annoncé par celui-ci et sont servies au taux moyen pondéré des titres de même nature qui résulte de l'adjudication achevée.

() Dont 2,5 milliards d'euros en valeur nominale et 0,1 milliard d'euros au titre de l'indexation du capital.

() Ce déficit étant mesuré y compris opérations avec le FMI.

() Estimation effectuée à partir des données publiées par la Banque des règlements internationaux dans sa publication trimestrielle Activité bancaire et financière internationale (septembre 2002).

() Cette clarification du régime juridique a été opérée par la loi n° 93-1444 du 31 décembre 1993 portant diverses dispositions relatives à la Banque de France, à l'assurance, au crédit et aux marchés financiers. Les dispositions principales de cette loi sont désormais codifiées dans le Code monétaire et financier, pour ce qui concerne les pensions livrées.

() A l'exception notable de l'année 1993, où la charge nette de la dette ne s'était accrue que de 365 millions d'euros, grâce au niveau très élevé des recettes d'ordre : 840 millions d'euros d'intérêts d'avances, 365 millions d'euros représentant un résultat excédentaire du Fonds de soutien des rentes et 2,4 milliards d'euros de recettes de coupons courus.

() Du 15 juillet 1993 au 31 mai 1997, les taux de rendement actuariel brut s'établissaient à 4% à l'issue d'un délai de détention des bons d'un an, 4,5% au bout de 2 ans, 5% au bout de 3 ans, 5,5% au bout de 4 ans et 6% au bout de 5 ans.

() Au 31 décembre 1992, le montant des concours s'élevait à 5,49 milliards d'euros. Une partie a été apurée immédiatement par imputation de 1,83 milliard d'euros sur l'écart de réévaluation des réserves en or.