CHAPITRE II : LES CHARGES BUDGÉTAIRES COMMUNES 4

I.- LES CRÉDITS DES POUVOIRS PUBLICS 4

II.- LES DÉPENSES RELATIVES À LA FONCTION PUBLIQUE : RÉMUNÉRATIONS, PENSIONS, CHARGES SOCIALES 6

III.- LES DÉPENSES ET « QUASI DÉPENSES » DE FONCTIONNEMENT COURANT DES ADMINISTRATIONS 25

CHAPITRE III : LES DÉPENSES D'INTERVENTION DU TRÉSOR 35

I.- LES INTERVENTIONS À CARACTÈRE SOCIAL : UNE MAJORATION SENSIBLE DES CRÉDITS EN 2003 35

II.- DES CRÉDITS D'INTERVENTION ÉCONOMIQUE MAJORÉS PAR UN TRANSFERT DU BUDGET DE LA DÉFENSE 47

(en millions d'euros)

(en millions d'euros)

   

(en millions d'euros)


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() Certaines sections budgétaires ne sont pas dotées : Aménagement du territoire, Environnement, Anciens combattants, Enseignement supérieur, Ville, Urbanisme et logement, Transports et sécurité routière, Mer, Tourisme, Sports, Outre-mer, Recherche, SGDN, Conseil économique et social, Plan.

() Il s'agit de La Poste, de France Télécom et de divers organismes publics et semi-publics employant des fonctionnaires.

() Source : rapport de la Commission des comptes de la sécurité sociale (septembre 2002).

() Le déflateur retenu pour calculer le pouvoir d'achat de l'unité monétaire entre les deux périodes considérées est extrait des informations fournies par l'INSEE sur son site Internet. Selon l'INSEE, une unité monétaire de 1990 « vaut » 1,205 unité monétaire de 2001.

() Rapport présenté par M. Yves Censi, député (annexe n° 42 au rapport général sur le projet de loi de finances pour 2003).

() Sur l'évolution du prélèvement effectué sur la C3S, votre Rapporteur spécial ne peut que renvoyer au commentaire de l'article 21 du présent projet de loi de finances, présenté par M. Gilles Carrez, Rapporteur général (Rapport général, n° 256, tome II, pages 265 et suivantes).

() Voir Bulletin de la Banque de France, n° 106, octobre 2002 (pages S20 et S21).

() Au 31 décembre 2001, les fonds libres ont atteint 201,5 milliards d'euros au lieu de 192,6 milliards d'euros au 31 décembre 2000, soit une augmentation de 4,6%, supérieure à celle constatée en 2000 (+ 2,9%).

() Cour des comptes, Rapport sur l'exécution des lois de finances pour 1997, juillet 1998 (p. 318).

() Cour des comptes, Rapport sur l'exécution des lois de finances pour 1999, juin 2000 (p. 379).

() Ce dispositif s'organise autour des dispositions suivantes : remplacement des trois produits proposés antérieurement par un produit unique articulé autour des principales caractéristiques de l'ancienne assurance-prospection simplifiée ; recentrage sur les petites et moyennes entreprises ; ouverture du dispositif à toutes les entreprises éligibles indépendamment du chiffre d'affaires du groupe auquel, éventuellement, elles appartiennent ; mise en place d'un mécanisme d'avances sur indemnités accessible aux seules entreprises dont le chiffre d'affaires n'excède pas 1,5 million d'euros.

() Garantie de l'État au profit du Comptoir des entrepreneurs et du Crédit foncier de France pour pallier les déficiences des emprunteurs bénéficiaires de prêts complémentaires aux fonctionnaires (encours garanti : 100,4 millions d'euros au 30 juin 2002). Garantie de l'État en faveur des sociétés immobilières d'investissement pour compenser les charges occasionnées par les limitations réglementaires de la hausse des loyers.

() Garantie de l'État pour les prêts accordés par le Crédit agricole aux jeunes agriculteurs.

() Garantie de l'État sur les prêts à long terme mis en place, à sa demande, par les établissements financiers en faveur des sociétés en cours de restructuration. L'encours garanti s'élève à 220 millions d'euros au 31 décembre 2001.