(en euros)


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© Assemblée nationale

() Le seuil de 1 % a été atteint, pour une part non négligeable, par le transfert des crédits de la Bibliothèque nationale (précédemment inscrits sur le budget de l'éducation nationale), des subventions aux bibliothèques municipales (venant du budget de l'intérieur) et des crédits de l'architecture (relevant jusqu'en 1995 de l'équipement).

() dont :7,6 millions d'euros de crédits de paiement sur le chapitre 36-60, 22,9 millions d'euros sur le titre IV, 48,8 millions d'euros sur le chapitre 56-20, 16,8 millions d'euros sur le chapitre 56-91 et 17,5 millions d'euros sur le titre VI.

() Rapport de M. Yann Gaillard sur l'action en matière de patrimoine, Doc. Sénat n° 378, 25 juillet 2002.

() Bibliothèque nationale de France (144,9 millions d'euros), Opéra national de Paris (92 millions d'euros), Cité des sciences et de l'industrie (46 millions d'euros), Louvre (69,7 millions d'euros) et Centre Pompidou (67 millions d'euros).

() 64 emplois de la filière bibliothèques, 71 emplois de la filière surveillance, 10 emplois de la filière métiers d'art et 5 emplois de la filière recherche.

() Sous réserve d'un plafond pour les dépenses de rémunération.

() L'existence d'un agrégat non ventilé s'explique par les modalités actuelles de gestion de crédits : la globalisation des dépenses de personnel et de fonctionnement (chapitre 34-97) a entraîné la suppression, au niveau des articles, de l'individualisation des directions sectorielles. Un même article ne pouvant pas être éclaté entre plusieurs agrégats, la totalité des dotations globalisées est imputée sur un agrégat prévu à cet effet.

() Notamment, les moyens des services départementaux du patrimoine et de l'architecture devraient être rattachés au programme relatif au patrimoine.