Commission des affaires étrangères : Monarchies du Golfe et printemps arabes : Mme Fatiha Dazi-Heni, M. Nabil Mouline
Accueil > Archives de la XIIIe législature > Les députés > M. Patrick Labaune
Drôme (1ère circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Union pour un Mouvement Populaire
DERNIÈRES VIDÉOS
Vidéo du 16 novembre 2011
Commission des affaires étrangères : Monarchies du Golfe et printemps arabes : Mme Fatiha Dazi-Heni, M. Nabil Mouline
Travaux récents
M. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé du budget, sur l'injustice exprimée par les parents d'enfant décédé avant l'âge de seize ans qui perdent le bénéfice de la demi-part supplémentaire dans le calcul de l'impôt sur le revenu. Seuls les parents d'enfants décédés après leur seize ans en bénéficient. Aussi, pour des raisons d'équité, il la remercie de bien vouloir lui indiquer ses intentions en la matière.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur la prise en compte de la rente accident de travail et handicap avec le RSA ou l'allocation aux adultes handicapés. En effet, suite à un accident de travail, un salarié peut percevoir une rente d'invalidité. Dans l'hypothèse où l'intéressé retrouve un travail, il peut cumuler son salaire avec sa rente d'invalidité. Dans l'hypothèse où il ne trouve pas de travail et demande le RSA, ce dernier sera imputé du montant de sa rente d'invalidité. Enfin dans l'hypothèse où il ne trouve pas de travail et bénéficie de l'AAH, cette dernière sera également imputée de sa rente d'invalidité. Il lui demande si le Gouvernement envisage de changer les règles pour rendre cumulable cette rente avec l'AAH ou le RSA.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de Mme la ministre de la culture et de la communication sur la question du dispositif de financement de la culture en France. En effet, le système de financement de la culture tel qu'il existe actuellement n'offre pas de visibilité sur l'ensemble des revenus prélevés sur les consommateurs, ni sur l'affectation exacte de ces recettes. En France, le consommateur participe activement au financement de la culture au moyen de différents prélèvements directs, comme la copie privée, mais aussi indirects, à l'instar des nombreuses taxes sur les opérateurs internet. Le montant de la redevance pour copie privée est de 2,60 € en France, contre 1,50 € en Allemagne et 0,67 € en moyenne dans l'Union européenne soit, pour la France, 70 % du prix de vente d'un CD ou d'un DVD vierge, comme le rappelle le collectif chere-copie-privee.org, dont fait partie l'UFC-Que choisir. Ce phénomène encourage les consommateurs à se tourner vers des modes d'approvisionnement permettant d'éviter cette redevance. De plus, les recettes sont affectées de manière très hétérogène et empruntent parfois des circuits complexes, jonchés de multiples guichets. La Commission permanente de contrôle des sociétés de perception et de répartition des droits dénonce régulièrement le peu de transparence de ces institutions. Pourtant, nombre de rapports continuent de proposer des taxes supplémentaires afin de financer les infrastructures ou la création. Ce constat appelle une évaluation rapide des dispositifs dans leur intégralité, afin de cerner l'ensemble des revenus prélevés sur le consommateur et le système économique, ainsi que la manière dont ils sont affectés. Cette question est essentielle dans la mesure où le consommateur accepte de moins en moins une surenchère fiscale sans contrepartie. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer comment le Gouvernement entend améliorer la transparence de ces dispositifs et développer ainsi une politique culturelle cohérente et ambitieuse.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur le calendrier de discussion du projet de loi renforçant les droits, la protection et l'information des consommateurs. En effet, le Fonds monétaire international a déploré, fin janvier 2012, le retard pris par ce texte qu'il estime bénéfique pour la concurrence dans les services. Le FMI relève notamment les avancées que permet le projet de loi en matière de commerce, d'énergie, de télécommunications et de logement. Alors que le projet de loi a été adopté au mois de juin 2011 par le conseil des ministres, il n'a toujours pas été débattu en deuxième lecture, ce qui lui laisse des chances réduites d'être adopté avant la fin de la législature. Or il serait regrettable qu'un texte qui fait significativement évoluer les droits des consommateurs et dynamise la concurrence dans de nombreux secteurs ne puisse arriver au terme de la procédure législative. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour faire aboutir rapidement les principales dispositions de ce projet de loi.
Voir la questionM. Patrick Labaune interroge M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur les prérogatives du Tribunal de commerce en matière de plan de sauvegarde pour les sociétés. Il suggère que le Tribunal de commerce puisse statuer pleinement comme un juge. À la validation du plan de sauvegarde, le Tribunal de commerce aura une compétence d'appui auprès des banques, qui seront sollicités directement sous son autorité de manière à les inciter à accorder les emprunts qui lui sembleront nécessaires à la continuation de l'entreprise.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur les termes des dispositions de l'article 902, alinéa 3 du Code de procédure civile. Il souhaite savoir si la formule "à peine de caducité de la déclaration d'appel" doit s'interpréter comme mettant une obligation à la charge du juge de prononcer la caducité de la déclaration d'appel en l'absence de signification par l'avoué de l'appelant de la déclaration d'appel à l'intimé ou comme une faculté laissée à son appréciation. Dans cette dernière hypothèse, il demande sur quels critères le juge doit se fonder pour prononcer ou non ladite caducité.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la possibilité de mettre à disposition des électeurs non voyants ou malvoyants des bulletins de vote en braille. L'article 3 de la Constitution précise le caractère universel, égal et secret du suffrage. L'article L. 64 du code électoral prévoit déjà la possibilité pour tout électeur atteint d'une infirmité certaine de se faire assister par un électeur de son choix pour introduire son bulletin dans l'enveloppe et glisser celle-ci dans l'urne. Or les non-voyants et les malvoyants ne bénéficient pas de la confidentialité du vote, dans la mesure où ils sont obligés de se faire assister par une tierce personne pour accomplir leur devoir civique. À l'heure où la lutte contre les inégalités, notamment celles touchant les personnes handicapées, est une priorité de la politique du Gouvernement, il souhaiterait donc savoir si des mesures peuvent être prises pour favoriser l'exercice complet du droit fondamental de suffrage des personnes non voyantes et malvoyantes.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie suite à sa réponse à la question écrite n° 98684 parue le 25 janvier 2011 sur la problématique que rencontrent les aménageurs au regard de l'application, avec effet rétroactif, de la loi du 11 mars 2010. En effet, dans le contenu de la réponse, il est essentiellement fait état de l'application de cette loi pour l'acquisition de terrains par une collectivité et non par un lotisseur pour des particuliers. Le budget général d'une acquisition de lotissement étant, a priori, fixé dès le départ, la date d'obtention (ou de dépôt) du permis d'aménager devrait pouvoir être prise en compte. C'est pourquoi il lui demande quelles sont les possibilités en vue de l'exonération rétroactive de cet impôt pour les particuliers.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la publication du décret portant code de déontologie des infirmiers. En vertu de la loi du 21 décembre 2006 et après confirmation par la loi du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients à la santé et aux territoires, il est prévu un code de déontologie des infirmiers préparé par le conseil national de l'ordre des infirmiers puis édicté sous la forme d'un décret en Conseil d'État. Ce code revêt une importance capitale pour la profession infirmière qui souhaite se doter de règles précises fixant les devoirs des infirmiers envers leurs patients mais également leurs devoirs entre eux-mêmes ou envers les autres professionnels de santé. Il est nécessaire que les règles actualisées soient établies car l'exercice infirmier a connu des évolutions majeures parallèlement à celles que notre système de soins a pu connaître depuis ces dernières années. Le code de déontologie permettra par ailleurs à l'ordre de remplir sa mission fondamentale de garantie du respect des principes éthiques de la profession infirmière en ouvrant aux professionnels la voie d'une procédure de conciliation ainsi que la possibilité que soient portées devant les chambres disciplinaires les affaires les concernant. Pourtant, à ce jour, et bien que le projet de code de déontologie des infirmiers ait été remis depuis plusieurs mois aux services du ministre de la santé, ce décret n'est toujours pas publié. Il lui demande, en conséquence, de bien vouloir lui indiquer les mesures que compte prendre le Gouvernement pour que soit publié dans les meilleurs délais ce décret d'application de la loi du 21 décembre 2006 édictant le code de déontologie des infirmiers.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur les personnes handicapées et/ou âgées qui ne bénéficient pas de remboursement de la Caisse primaire d'assurance maladie suite à des interventions d'urgence. Pour exemple, une personne handicapée maintenue à domicile, tombée au sol dans son logement et dans l'impossibilité de se relever, se trouve contrainte de faire appel aux secours. Or, elle se voit facturer l'intervention de l'ambulance, soit 86 €, prestation non remboursée par la CPAM, pourtant jugée nécessaire. Ce type de situation, pouvant se renouveler parfois plusieurs fois par mois, représente une lourde dépense pour la personne secourue. C'est la raison pour laquelle, à l'heure où l'on prône le maintien à domicile des personnes handicapées/âgées, il lui demande les mesures qu'il entend prendre pour faire en sorte que ne soit pas grevé le budget des personnes âgées/handicapées percevant de faibles retraites.
Voir la questionN'ayant pas eu de réponse à sa question parue au Journal officiel du 20 octobre 2009, M. Patrick Labaune attire, une nouvelle fois, l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la problématique relative aux agents hospitaliers contractuels, en activité depuis plus de quatre mois dans un établissement de santé, qui se trouvent en arrêt maladie ou en congés de maternité. Les centres hospitaliers concernés se subrogent dans les droits de ces personnes pour percevoir les indemnités journalières de la sécurité sociale et maintiennent la rémunération de ces agents. Ce salaire versé aux agents exclut les primes afférentes au travail effectué (nuit, dimanche, jours fériés, prime de contagion, mais aussi la prime de service le cas échéant). L'absence de "service fait" entraîne une réduction voire une suppression de ces primes (jurisprudence du Conseil d'État CE, 13 février 1974, Le Stir). Il s'avère cependant que la CPAM calcule les indemnités journalières sur la base des trois derniers bulletins de paie, ce qui inclut donc toutes les primes spécifiques au travail effectué qui ont pu être versées sur cette période. Il y a donc une différence parfois importante entre les deux versements (celui fait par l'hôpital à l'agent et celui fait par la CPAM à l'hôpital). Depuis peu, certains agents qui reçoivent les décomptes de la sécurité sociale contestent la somme versée par les centres hospitaliers et demandent à ce que leur soit versée la somme calculée par la CPAM. La Cour de cassation en 1993 (CC-7 juillet 93, société Larnaud-Cofeur c/Bernardin) indique que si les indemnités journalières sont plus importantes que le salaire versé, l'employeur doit rendre le différentiel de la rémunération à l'agent. Il serait nécessaire de savoir si ces données concernant le secteur privé sont applicables au secteur public et au secteur hospitalier en particulier. Une réponse dans l'affirmative contreviendrait donc à la règle du "service fait" et conduirait, dans certains cas, à ce que des agents perçoivent plusieurs fois la prime de service (notamment lorsque les indemnités journalières sont calculées sur la base des salaires perçus au cours d'un mois où la prime a été versée). C'est pourquoi il lui demande ce que le Gouvernement envisage pour clarifier cette situation.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer, en charge des technologies vertes et des négociations sur le climat, sur les gens du voyage qui bafouent l'environnement en répandant à foison excréments, papier toilette, bouteilles, emballages vides, etc. Aussi, il lui demande quels sont les pouvoirs d'un maire et d'un préfet pour préserver la salubrité publique lorsque ces populations nomades s'installent de façon sauvage sans respecter le périmètre de protection rapprochée d'une station de dénitrification.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur la reconnaissance de la pénibilité du travail dans la fonction publique pour les fonctionnaires et les agents publics chargés à titre principal de fonctions itinérantes, dans le cadre de la réforme du système des retraites. Il lui demande de définir, de délimiter et de circonscrire la spécificité de l'itinérance professionnelle grâce à des critères et des indicateurs. Il serait également nécessaire de justifier et de revoir le barème de bonification.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la problématique relative aux agents hospitaliers contractuels, en activité depuis plus de quatre mois dans un établissement de santé, qui se trouvent en arrêt maladie ou en congés de maternité. Les centres hospitaliers concernés se subrogent dans les droits de ces personnes pour percevoir les indemnités journalières de la sécurité sociale et maintiennent la rémunération de ces agents. Ce salaire versé aux agents exclut les primes afférentes au travail effectué (nuit, dimanche, jours fériés, prime de contagion, mais aussi la prime de service le cas échéant). L'absence de "service fait" entraîne une réduction voire une suppression de ces primes (jurisprudence du Conseil d'État CE, 13 février 1974, Le Stir). Il s'avère cependant que la CPAM calcule les indemnités journalières sur la base des trois derniers bulletins de paie, ce qui inclut donc toutes les primes spécifiques au travail effectué qui ont pu être versées sur cette période. Il y a donc une différence parfois importante entre les deux versements (celui fait par l'hôpital à l'agent et celui fait par la CPAM à l'hôpital). Depuis peu, certains agents qui reçoivent les décomptes de la sécurité sociale contestent la somme versée par les centres hospitaliers et demandent à ce que leur soit versée la somme calculée par la CPAM. La Cour de cassation en 1993 (CC-7 juillet 93, société Larnaud-Cofeur c/Bernardin) indique que si les indemnités journalières sont plus importantes que le salaire versé, l'employeur doit rendre le différentiel de la rémunération à l'agent. Il serait nécessaire de savoir si ces données concernant le secteur privé sont applicables au secteur public et au secteur hospitalier en particulier. Une réponse dans l'affirmative contreviendrait donc à la règle du "service fait" et conduirait, dans certains cas, à ce que des agents perçoivent plusieurs fois la prime de service (notamment lorsque les indemnités journalières sont calculées sur la base des salaires perçus au cours d'un mois où la prime a été versée). C'est pourquoi il lui demande ce que le Gouvernement envisage pour clarifier cette situation.
Voir la questionN'ayant jamais eu de réponse à sa question écrite posée le 21 septembre 2004, lors de la précédente législature, M. Patrick Labaune souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité sur les retraites dues aux Français ayant travaillé en Algérie après l'indépendance de ce pays. Le problème se pose d'ailleurs pour les Français ayant travaillé dans d'autres pays liés spécifiquement avec la France : outre des retards dans le versement trimestriel de ces retraites, préjudiciables aux intéressés qui perçoivent de faibles retraites, la dépréciation des monnaies locales, en l'occurrence du dinar, dévalorise considérablement le montant des pensions. C'est pourquoi il lui demande s'il n'estime pas qu'un examen de cette situation dans laquelle se trouvent nos compatriotes devrait conduire par exemple à la création d'un organisme de compensation permettant d'empêcher de tels aléas.
Voir la questionN'ayant jamais eu de réponse à sa question écrite posée le 4 janvier 2005, lors de la précédente législature, M. Patrick Labaune souhaite attirer l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur la situation des parents dont le fils ou la fille sont en maison d'enfants à caractère sanitaire. Ces établissements n'existent pas dans tous les départements, tels que la Drôme, ce qui oblige les parents à se déplacer souvent assez loin de leur domicile. Or, la CPAM de la Drôme ne prend en charge que partiellement les coûts de transports domicile-établissement (30 trajets annuels), malgré la fermeture de ces maisons d'enfants le week-end, les parents sont alors contraints de faire, avec leur véhicule personnel, les aller-retour le lundi matin et le vendredi après-midi et ne peuvent, de ce fait, exercer une activité professionnelle à temps plein. C'est pourquoi, devant le budget important que cela représente pour les familles, notamment les plus modestes, il souhaite savoir ce que compte faire le Gouvernement afin d'améliorer la prise en charge de leurs frais de transport, d'autant plus que les CPAM d'autres départements (Isère et Savoie) prennent en charge la totalité de ces trajets.
Voir la questionN'ayant jamais eu de réponse à la question écrite posée le 21 décembre 2004, lors de la précédente législature, M. Patrick Labaune souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité sur la situation des personnes qui ne peuvent bénéficier ni de l'assurance chômage ni du RMI, n'y étant pas éligibles. Il lui demande donc les aides auxquelles ils peuvent prétendre.
Voir la questionN'ayant jamais eu de réponse à la question écrite posée le 27 janvier 2004, lors de la précédente législature, M. Patrick Labaune souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité sur la situation des personnes âgées vivant seules et ayant de très faibles ressources financières. Cette situation place de nombreuses personnes qui ne peuvent compter sur le soutien d'une famille ou de connaissances dans des situations d'une grande précarité qui ne sont pas acceptables. Ces personnes sont appelées à devenir de plus en plus nombreuses, notamment dans les villes. C'est pourquoi il lui demande quelles mesures il entend prendre afin de garantir à ces personnes des conditions de vie satisfaisantes.
Voir la questionN'ayant jamais eu de réponse à sa question écrite posée le 15 mai 2007, lors de la précédente législature, M. Patrick Labaune souhaite attirer l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur l'activité des sections des assurances sociales chargées de traiter les contentieux entre médecins et assurance maladie. Le syndicat des médecins de la Drôme a récemment fait part de ses fortes inquiétudes, eu égard au nombre anormalement élevé des procédures en cours dans la Drôme, dix fois plus élevé que dans le Rhône. Les sanctions prises par ce tribunal ont déjà eu pour conséquence la fermeture de plusieurs cabinets de médecins libéraux, au risque d'exposer le département à une véritable désertification médicale. Devant une telle inégalité de traitement selon les territoires, il lui demande les mesures qu'elle entend prendre rapidement afin de réformer le fonctionnement des SAS.
Voir la questionM. Patrick Labaune attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé de la consommation et du tourisme sur les difficultés que rencontrent actuellement les gîtes de France face aux réglementations contraignantes et de plus en plus nombreuses qui touchent les propriétaires hébergeurs (piscine, ERP, diagnostic de performance énergétique, parfois constat de risques technologiques ou naturel dans le cadre de « l'information des acquéreurs et locataires, statut social et fiscal et bientôt constat de risque d'exposition au plomb). Les propriétaires de gîtes subissent cette pression législative et réglementaire. La qualification en ERP notamment, qui touche un grand nombre de gîtes, leur fait peser des risques financiers importants. La complexité et les contraintes de ces textes ne les encouragent pas et les démotivent, au risque de dévitaliser des zones déjà défavorisées classées ZRR. C'est pourquoi il lui demande les mesures qu'il compte prendre afin d'apporter de la souplesse dans la lecture, l'interprétation et l'application de cet arsenal juridique.
Voir la questionAssemblée nationale
126 Rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
158 Avenue Victor Hugo
Immeuble le Saint Joseph
26000 Valence
Téléphone : 09 64 23 81 69
Télécopie : 04 75 42 76 12
Numéro de la place occupée : 13
(la zone en rouge situe le banc)
Certaines fonctionnalités de ce site s'appuient sur des services proposés par des sites tiers. Ces fonctionnalités déposent des cookies, permettant notamment à ces sites de tracer votre navigation. Cette fenêtre vous permettra de contrôler ces cookies à l'aide de deux boutons "Autoriser" et "Refuser".
Pour en savoir plus sur les cookies (source : CNIL) :
Qu'est-ce qu'un cookie ?
Ces cookies nous permettent d'analyser l'audience de nos pages afin de mieux comprendre l'attente de nos visiteurs.
Concernant Google Analytics : En savoir plus - Site officiel