OPECST : audition sur l'organisation de la sécurité nucléaire
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Meurthe-et-Moselle (6ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Socialiste, radical, citoyen et divers gauche
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Travaux récents
M. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur le calendrier de discussion du projet de loi renforçant les droits, la protection et l'information des consommateurs. En effet, le Fonds monétaire international (FMI) a déploré, fin janvier 2012, le retard pris par ce texte qu'il estime bénéfique pour la concurrence dans les services. Le FMI relève notamment les avancées que permet le projet de loi en matière de commerce, d'énergie, de télécommunications et de logement. Alors que le projet de loi a été adopté au mois de juin 2011 par le conseil des ministres, il n'a toujours pas été débattu en deuxième lecture, ce qui lui laisse des chances réduites d'être adopté avant la fin de la législature. Or il serait regrettable qu'un texte qui fait significativement évoluer les droits des consommateurs et dynamise la concurrence dans de nombreux secteurs ne puisse arriver au terme de la procédure législative. Aussi lui demande-t-il de bien vouloir lui indiquer quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour faire aboutir rapidement les principales dispositions de ce projet de loi.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur le coût de la volaille pour les consommateurs. Une association de défense des consommateurs a récemment dénoncé une hausse ces derniers mois des prix de la volaille. Pour cette association, cette hausse est injustifiée et démesurée puisqu'en cumulé depuis cinq ans, elle représente une augmentation de 26 %. Il lui demande quelle analyse il fait de cette hausse et plus précisément qui, selon lui, en tire profit.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur l'obligation de travail pour les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA). Le Président de la République, à l'occasion d'un déplacement récent, a affirmé que l'obligation de travail pour les bénéficiaires du RSA serait bientôt testée dans plusieurs départements. Il lui demande de bien vouloir lui indiquer quels départements seront concernés par cette expérimentation.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur l'étiquetage des produits alimentaires. Une proposition législative adoptée en juillet 2011 par le Parlement européen prévoit un renforcement de l'information pour les consommateurs, ce dont bon nombre de nos concitoyens se réjouissent. Désormais, les étiquettes devront indiquer de façon précise et détaillée l'origine de tous les ingrédients, leurs qualités nutritionnelles, ainsi que la date de congélation et l'éventuelle addition d'eau ou de protéines dans les aliments vendus. La liste des ingrédients devra en outre signaler la présence de « produits d'imitation » comme les substituts de fromage et mentionner la présence éventuelle de substances allergènes. Le pays d'origine sera indiqué sur les étiquettes pour les viandes fraîches (porc, volaille, mouton et chèvre) comme c'est déjà le cas pour le boeuf. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer quel jugement porte le Gouvernement sur cette proposition législative.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la nomination de l'Italien Mario Draghi à la tête de la BCE. M. Draghi a en effet été officiellement nommé vendredi futur président de la Banque centrale européenne (BCE) par les dirigeants européens pour la période 2011-2019. Il remplacera le Français Jean-Claude Trichet, à la tête de l'institution depuis le 1er novembre 2003. Il lui demande si le fait que M. Draghi ait été, de 2002 à 2005, vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs, établissement contre lequel le département de la justice des États-Unis a ouvert une enquête pénale au sujet de vente de titres adossés à des crédits hypothécaires à risque, peut poser problème. Si non, il lui demande pourquoi cela ne pose pas de problème.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique, sur la question du tarif social de l'internet. Récemment, l'autorité de la concurrence s'est déclarée favorable à la mise en place d'un tarif social de l'internet haut débit et a suggéré d'étendre la réduction sociale du service universel téléphonique aux offres dites triple play des fournisseurs d'accès à internet. Elle suggère notamment que le Gouvernement étende l'éligibilité de la réduction sociale, actuellement réservée aux offres fournissant uniquement le service téléphonique, aux offres multiservices. Il lui demande quelle est sa position sur cette question et s'il suivra cette recommandation de l'autorité de la concurrence.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le Premier ministre sur les propos d'un député de la majorité selon lequel le dernier rapport de la Cour des comptes, terrible pour le bilan de la majorité présidentielle en matière de sécurité, serait « un tract PS plus qu'une étude objective », dénonçant également « une politisation de plus en plus prononcée de la Cour des comptes qui risque de conduire à des dérives dommageables en termes de crédibilité de l'institution ». Il lui demande s'il partage cette analyse, c'est-à-dire si, comme cet élu de la majorité, il remet en question l'excellent travail de la Cour des comptes ainsi que son indépendance.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la mise à disposition des greffons aux établissements attributaires. Le septième alinéa de l'article L. 1418-1 du code de la santé publique ne confie pas à l'agence de la biomédecine la mission de mise à disposition des greffons aux établissements attributaires. Dès lors, la logistique de l'acheminement est organisée par chaque établissement, ce qui entraîne une perte d'efficacité liée à l'absence de supervision nationale et de choix optimal du mode d'acheminement et un surcroît de dépenses publiques (notamment pour les transports aériens qui sont les plus coûteux). Ainsi, confier officiellement la mission de mise à disposition des greffons à l'agence de la biomédecine, comme elle le fait déjà pour les cellules souches hématopoïétiques, permettrait de réaliser une économie de deniers publics et d'anticiper la transposition de la directive n° 2010-45-UE du 7 juillet 2010 relative aux normes de qualité et de sécurité des organes humains destinés à la transplantation. Aussi lui demande-t-il de bien vouloir le renseigner sur les mesures envisagées pour organiser la supervision nationale de la logistique d'acheminement des greffons.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur la question très préoccupante de la solitude dans la société française. Consacrée grande cause nationale 2011 par le Premier ministre, la solitude touche quatre millions de personnes de plus de 18 ans en France. Selon une étude publiée mercredi 6 juillet par la Fondation de France, être pauvre accentue d'autant plus le risque d'isolement. Ainsi, selon l'étude, 18 % des personnes déclarant des revenus inférieurs à 1 000 euros par mois sont en situation objective d'isolement, contre 9 % dans l'ensemble de la population française. Et entre 30 et 39 ans, 20 % des personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté sont en situation d'isolement relationnel, contre 3 % en moyenne. La solitude, qui est donc souvent accompagnée de la pauvreté, touche également beaucoup les personnes âgées et doit être combattue avec énergie. Aussi lui demande-t-il de bien vouloir lui indiquer quelles mesures ont été mises en place par le Gouvernement pour lutter contre la solitude et quel bilan elle dresse des premiers résultats observés.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les agences de notation. Les agences de notation ont pour tâche d'évaluer en toute indépendance le risque de faillite ou de non remboursement d'un acteur économique émettant des titres de dette, comme des obligations. Leur travail consiste donc à informer les investisseurs du risque qu'ils courent s'ils prêtent à telle société ou à tel État. Suite aux manifestes abus des agences de notation, toutes trois américaines, qui ne justifient pas suffisamment leurs perspectives, certaines voix s'élèvent pour réclamer la création d'une agence de notation européenne indépendante. Il lui demande quel est son avis sur cette proposition.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le Premier ministre sur la question du périmètre des ministères et plus précisément ici sur la question de l'emploi. Il lui demande pourquoi l'emploi a-t-il été rattaché à Bercy pendant trois ans et n'y est désormais plus.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur une mesure préoccupante que vient de faire voter le Gouvernement. Soucieux de compenser le manque à gagner fiscal dû à l'allègement de l'impôt sur les grandes fortunes, le Gouvernement, épaulé par les parlementaires UMP, vient de faire voter le plus que doublement (de 1,1 % à 2,5 %) du « droit de partage », taxe prélevée quand, en cas de divorce notamment, un conjoint rachète la part du logement de l'autre. Au regard des 130 000 divorces prononcés chaque année, la manne est budgétairement prometteuse puisqu'on l'estime à 323 millions par an, mais elle est aussi socialement ciblée. Selon le ministère de la justice, 57 % des couples qui divorcent ont des enfants mineurs et la garde des trois quarts d'entre eux revient aux mères, qui tentent souvent de conserver le logement familial. Or, vu les prix de l'immobilier, l'affaire est ruineuse pour le conjoint qui conserve le logement. Par exemple, un appartement acheté en commun il y a dix ans au prix de 300 000 euros peut, aujourd'hui, valoir 600 000 euros. Ainsi, en plus du rachat de la part qui lui manque, l'acheteur, qui est souvent une femme, devra désormais payer une taxe de 15 000 euros au lieu de 6 600 euros. Considérant que cette mesure va surtout pénaliser des femmes, il lui demande de bien vouloir lui indiquer pourquoi le Gouvernement a voulu la faire voter. Il lui demande en outre si, compte tenu de cet éclairage sur les conséquences sociales de cette mesure, le Gouvernement envisage de revenir sur sa décision.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique, sur le prix des carburants. De très nombreux concitoyens lui ont fait part de leur mécontentement à ce sujet, dans la mesure où ils savent que le prix du pétrole diminue fortement et ne voient pourtant pas baisser le prix du carburant à la pompe. Les prix des carburants atteignent en effet aujourd'hui les sommets de l'été 2008, alors que le prix du brut était 50 % supérieur à ce qu'il est aujourd'hui. Sur la courte période, le prix du baril est passé de 121 à 90 dollars, soit une diminution de - 25 % depuis le 4 mai dernier. Le débat actuel d'une baisse des prix à la pompe autour de 2 centimes le litre (soit de 1,3 %) ne semble donc pas à la hauteur des variations du prix du brut. De manière générale, nos concitoyens ont l'impression que les répercussions à la hausse sont toujours rapides et conséquentes, tandis que les répercussions à la baisse sont insignifiantes quand elles ont lieu. Il lui demande donc pourquoi le prix du carburant à la pompe ne baisse pas de 25 % quand le prix du baril diminue de 25 %.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'accompagnement vers l'emploi. Dans une note récente, le Centre d'analyse stratégique préconise au Gouvernement de différencier davantage la nature et l'intensité de l'offre de services (suivi mensuel personnalisé plus souple, e-services et « budget de placement » à la disposition des conseillers) pour renforcer la personnalisation de l'accompagnement. Il lui demande quel est son avis sur cette proposition et si le Gouvernement la mettra en oeuvre.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur la lutte contre la prolifération des algues vertes. À l'occasion d'un déplacement du Président de la République sur la presqu'île de Crozon, dans le Finistère, sur le territoire du parc naturel marin d'Iroise, il a été question de la lutte contre ces terribles algues vertes dans le cadre notamment de la protection du littoral et de la mer. Nos concitoyens se rappellent que le Gouvernement avait lancé en 2010 un plan de lutte contre les marées vertes à la suite de la mort d'un cheval, intoxiqué par les effluves toxiques, sur une plage bretonne à l'été 2009. Il prévoyait une enveloppe de 134 millions d'euros sur cinq ans pour nettoyer et préserver les zones les plus touchées. Pourtant, sur les côtes du Finistère et des Côtes-d'Armor, 25 000 mètres cubes d'algues ont été ramassés depuis le début de l'année, soit près du double par rapport à juin 2010. Récemment, la plate-forme de traitement de Lantic, dans les Côtes-d'Armor, a même dû momentanément fermer ses portes car elle était saturée. Il lui demande si cette situation est due au fait que le Gouvernement ait sous-estimé le problème et si elle entend prendre de nouvelles mesures en vue de lutter plus efficacement contre ce fléau.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique, sur la production de batteries destinées aux futurs véhicules électriques de Renault. Prévue initialement mi-2012 sur le site de Flins, la production ne débutera finalement qu'en 2014, avec plusieurs mois de retard. Or à cette date, la capacité de l'usine devait atteindre 250 000 batteries par an contre 100 000 en 2012. C'est une grosse déception à la fois pour les travailleurs de l'usine de Flins, mais aussi pour tous ceux qui espéraient voir avancer le dossier des voitures électriques en France. Le 7 juillet 201,1 le ministre s'est longuement entretenu avec Carlos Ghosn, pdg de Renault, sur ce sujet. Il aimerait connaître les principales conclusions de cet entretien.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le Premier ministre sur les engagements financiers pris par le Président de la République à l'occasion de la réunion des pays du G 8 à Deauville. À cette occasion, les pays du G 8 se sont engagés vendredi à déployer un plan d'aide de dizaines de milliards de dollars pour accompagner l'instauration de la démocratie en Tunisie et en Égypte et à maintenir les efforts d'aide aux pays africains. Aux peuples tunisiens et égyptiens, après la chute des présidents Ben Ali et Moubarak, ils promettent désormais un plan d'aide de 40 milliards de dollars, dont 20 milliards provenant de banques multilatérales de développement, une dizaine de milliards de dollars d'engagement bilatéraux et une autre dizaine des pays du Golfe. La France accorderait pour sa part un milliard d'euros d'aide à l'Égypte et à la Tunisie. Il lui demande de bien vouloir lui confirmer cette information et lui donner davantage de précisions sur cette question.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur la mise en place de manière obligatoire d'une prime d'au moins 1 000 euros pour les salariés d'entreprises dont les dividendes progressent d'une année sur l'autre. Cette promesse du Gouvernement a suscité de nombreux espoirs et déjà cette prime se fait attendre. Aussi, lui demande-t-il si cette prime sera bien versée dès la clôture de l'exercice 2011.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur les allocations familiales suspendues ou supprimées en cas d'absentéisme scolaire. La loi n° 2010-1127 du 28 septembre 2010 visant à lutter contre l'absentéisme scolaire vient de mettre en place une nouvelle procédure de sanctions à l'égard des parents en cas d'absentéisme scolaire de leur enfant pouvant aller jusqu'à la suspension d'une part des allocations familiales. La suspension d'une part des allocations familiales est une mesure injuste, arbitraire, inefficace, faisant fi d'un accompagnement de parents parfois défaillants ou confrontés à des conditions de vie extrêmement difficiles (mal logement, précarité, chômage). Un décret publié au Journal officiel le 23 janvier 2011 précise les modalités de calcul de cette suspension. Or il apparaît clairement que plus les familles ont d'enfants plus elles sont pénalisées. Qu'en est-il également des familles qui n'ont qu'un seul enfant, puisque celles-ci ne perçoivent pas d'allocations familiales ? Ces modalités entraînent donc par ailleurs une inacceptable rupture d'égalité de traitement selon la taille de la famille. Il lui demande donc s'il compte revenir sur cette mesure dont les effets ne peuvent être que contre-productifs, fragilisant encore davantage des familles qui le sont déjà.
Voir la questionM. Jean-Yves Le Déaut appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la remise en question, par la loi HPST, de l'organisation des services psychiatriques qui permet à un secteur de constituer un pôle. En effet, la loi du 21 juillet 2009 portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires (HPST) prévoit la disparition de la référence au secteur, alors même que les soins sans consentement sont sous la responsabilité des psychiatres au sein de ceux-ci. Le projet de réforme de la loi de 1990 en faisant disparaître cette référence au secteur (L. 3211-1 et L. 3211-11 du CSP) fragilise la continuité des soins et menace leur efficacité. Il lui demande donc si le Gouvernement envisage le rétablissement de la référence au secteur psychiatrique supprimé des articles L. 3211-1 et L. 3211-11 du CSP et la fin des directives données aux établissements remettant en cause l'organisation selon laquelle un secteur peut constituer un pôle.
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