1ère séance : Majoration des droits à construire (nouvelle lecture)
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Paris (13ème circonscription)
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Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
M. Jean-François Lamour appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur l'absence de réglementation spécifique du secteur des loueurs de véhicules. Les loueurs professionnels de véhicules s'inquiètent de l'absence de réglementation de ce secteur d'activité, et de ce que cette situation favoriserait des agissements délictueux, notamment à travers des sous-locations réglées en espèces. Pour prévenir ces dérives, il lui demande s'il est envisagé d'instituer une autorisation d'entreprise de location de véhicules qui reposerait notamment sur l'honorabilité, la capacité professionnelle et la capacité financière.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Lundi 27 février 2012 - Séance de 17 heures
Intervention en séance publique
M. Jean-François Lamour appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur la réglementation en vigueur pour l'implantation d'établissements d'accueil du jeune enfant (EAJE) dans des locaux (habitations, commerces ou bureaux) affectés à d'autres usages que ceux des équipements publics ou collectifs. Les EAJE contribuent à répondre aux besoins de la population en matière d'augmentation et de diversification des modes de garde. Dans le même temps, leur implantation représente une opération complexe pour les gestionnaires de crèches, à cause de la réglementation relative au changement de destination des locaux. La procédure de changement d'affectation dissuade en effet souvent les propriétaires qui souhaitent conserver l'affectation de leurs locaux de les donner à bail pour l'installation d'un EAJE. Il souhaite savoir si dans ce cas précis, une disposition pourrait être prise pour permettre le maintien de l'affectation originelle.
Voir la questionM. Jean-François Lamour appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur la réglementation en vigueur pour l'implantation d'établissements d'accueil du jeune enfant (EAJE) dans des locaux (habitations, commerces ou bureaux) affectés à d'autres usages que ceux des équipements publics ou collectifs. Les EAJE contribuent à répondre aux besoins de la population en matière d'augmentation et de diversification des modes de garde. Dans le même temps, leur implantation représente une opération complexe pour les gestionnaires de crèches, à cause de la réglementation relative au changement de destination des locaux. Lorsqu'ils font l'objet de travaux ayant pour effet de modifier les structures porteuses de la construction ou la façade de l'immeuble qu'ils occupent, ces établissements doivent donner lieu à une demande de permis de construire, le contrôle du changement de destination étant effectué sur la base de cette demande. Il souhaite avoir la confirmation qu'en cas de travaux légers ne modifiant pas les structures porteuses, l'instruction a lieu sur la base d'un dossier de déclaration préalable, et non pas d'une demande de permis de construire.
Voir la questionIntervention en séance publique
M. Jean-François Lamour attire l'attention de M. le ministre de la défense et des anciens combattants sur les modalités d'attribution de la médaille d'outre-mer. Cette décoration, anciennement dénommée médaille coloniale, créée par la loi du 26 juillet 1893, récompense les militaires ayant servi outre-mer. L'Afrique du nord française ne compte pas au nombre des zones désignées par la législation et la réglementation, les personnels étant éligibles à la médaille commémorative des opérations de sécurité et de maintien de l'ordre. Cependant, la loi du 18 octobre 1999 a substitué à l'expression opérations en Afrique du nord les expressions guerre d'Algérie et combats en Tunisie et au Maroc. Compte tenu de cette évolution législative, il y a lieu de s'interroger sur l'éligibilité des personnels engagés dans ces conflits à la médaille d'outre-mer sur la base du titre de reconnaissance de la Nation ou de la carte du combattant.
Voir la questionM. Jean-François Lamour appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur la méthode de calcul de la valeur du point de pension militaire d'invalidité (PMI). Certaines associations d'anciens combattants font valoir que, compte tenu des derniers dispositifs mis en place, le point PMI accuse un retard de 42,38 % par rapport à la valeur qui devrait être la sienne en application des lois de 1948, 1951 et 1953. Il lui demande s'il est prévu de faire évoluer cette méthode de calcul pour assurer un rattrapage de la valeur du point.
Voir la questionM. Jean-François Lamour appelle l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur l'intransférabilité des contrats d'assurance vie. La transférabilité d'un contrat d'assurance vie est impossible entre deux compagnies différentes, alors même que les placements comme le livret A sont transférables d'une banque à une autre. Pour ouvrir un contrat plus rémunérateur auprès d'une autre compagnie, les souscripteurs sont donc contraints de clore leur ancien contrat, perdant ainsi l'antériorité fiscale qui s'y attachait. Il lui demande s'il est prévu d'autoriser la transférabilité des contrats d'assurance vie.
Voir la questionM. Jean-François Lamour appelle l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur l'importation de l'huile de palme. L'huile de palme, riche en acides gras saturés et dénoncée par certains spécialistes comme favorisant les maladies cardio-vasculaires, contribue en outre à la déforestation massive des forêts tropicales. Il lui demande s'il est envisagé, aux niveaux français ou européen, de limiter l'importation de ce produit.
Voir la questionM. Jean-François Lamour appelle l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur les dispositifs de lutte contre l'usurpation des plaques d'immatriculation. Nombre de nos concitoyens ont été les victimes d'une usurpation de plaque d'immatriculation, situation qui peut avoir des conséquences dommageables, tant pour le règlement des contraventions que pour les éventuelles conséquences pénales d'un comportement inadapté sur la route. S'il existe, depuis la loi du 9 mars 2004, un délit de mise en circulation de fausse plaque, aucun dispositif ne permet à ce jour de s'assurer dans un délai raisonnable de cette concordance entre la plaque, le véhicule et son conducteur. Il lui demande si une solution technique est envisagée pour détecter les plaques falsifiées avant le recouvrement des contraventions.
Voir la questionM. Jean-François Lamour alerte M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'impact physiologique des ampoules à basse consommation d'énergie. Un récent rapport de la Commission de sécurité du consommateur révèle que les ampoules à basse consommation d'énergie émettent des ondes pouvant avoir un impact physiologique en cas d'exposition proche et prolongée. Soucieux de la complète information du public et de la détection d'éventuels risques sanitaires, il souhaiterait savoir quelles mesures seront prises par le Gouvernement pour déterminer si les ampoules à basse consommation d'énergie ont ou non un impact sur la santé humaine.
Voir la questionM. Jean-François Lamour appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'activité d'accompagnateur à la mobilité. L'accompagnateur à la mobilité, qui assiste les personnes à mobilité réduite dans leurs déplacements, fait désormais l'objet d'une fiche-métier auprès de l'Agence nationale des services à la personne. Il souhaiterait s'assurer que l'existence d'un métier « accompagnateur à la mobilité » ne remet pas en cause le rôle des bénévoles qui s'investissent dans cette action indispensable pour l'amélioration de la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite.
Voir la questionM. Jean-François Lamour attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité sur les conséquences de l'accord national interprofessionnel sur la modernisation du marché du travail. Cet accord, sur le fond et la procédure, pose deux questions, et tout d'abord les suites qui seront données à ce dernier. Sur la procédure, les modalités d'adoption ont relancé le débat sur l'actualisation des critères de représentativité. En effet, si l'adoption des motions par le vote à bulletin secret lors des assemblées générales a certainement permis de renforcer les résultats de ceux-ci et donc a fortiori la représentativité des organisations qui en sont porteuses, un certain nombre de critères définis dans le code du travail pourrait peut-être faire l'objet d'une nouvelle définition. C'est notamment le cas du critère portant sur l'attitude patriotique durant l'occupation. Il serait en effet possible de conditionner les prérogatives, dont la qualité de syndicat représentatif dispose, à des critères tenant compte de l'audience électorale lors des élections professionnelles ou prud'homales. C'est la raison pour laquelle il souhaiterait savoir si le Gouvernement entend préciser et inscrire dans la loi deux dispositions, présentes dans la jurisprudence, concernant l'activité du syndicat, en termes d'ampleur et d'efficacité, et sa capacité à mobiliser. Il souhaiterait également connaître le suivi qui sera donné à l'accord sur la modernisation du marché du travail.
Voir la questionM. Jean-François Lamour attire l'attention de M. le Premier ministre sur le calendrier de la réforme des institutions. En effet, il a annoncé à la mi-octobre qu'un projet de loi serait examiné en première lecture au Parlement d'ici les prochains mois. Les conclusions du rapport de la commission présidée par M. Edouard Balladur ont été publiées, traçant de nouvelles perspectives sur la définition et le fonctionnement des institutions. C'est notamment le cas des relations entre le Parlement et le Gouvernement d'une part, et les attributions institutionnelles des citoyens d'autre part. La question de développer les procédures de contrôle des députés vis-à-vis du Gouvernement et d'avoir une meilleure maîtrise de l'ordre du jour des assemblées a clairement été posée. Dans le même esprit, l'ouverture de la saisine du Conseil constitutionnel aux citoyens serait un changement tout à fait remarquable dans la pratique de nos institutions. C'est la raison pour laquelle il souhaiterait connaître la position du Gouvernement sur un éventuel calendrier de la réforme des institutions, par rapport aux engagements initiaux, mais également l'étendue de cette réforme telle qu'elle sera présentée à la représentation nationale.
Voir la questionM. Jean-François Lamour attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique sur la simplification administrative et la déclaration de taxe d'apprentissage. Alors qu'il a annoncé sa volonté de présenter un projet de loi supprimant la déclaration spécifique de la taxe d'apprentissage pour les entreprises, les petites et moyennes entreprises continuent à faire face à des obligations administratives qui ont un coût financier et sont chronophages. La question de l'apprentissage pour ces structures est essentielle et c'est une approche d'ensemble de toutes les difficultés rencontrées qui doit être envisagée. Le 15e arrondissement de Paris représente, par sa densité de population et sa structuration économique, une zone où les PME, notamment les artisans et les commerçants, ont besoin de pouvoir évoluer et travailler dans des conditions optimales. Fort de ce constat, l'apprentissage représente pour ces professionnels un défi spécifique à leur croissance. Il souhaiterait donc savoir quelles mesures le Gouvernement entend prendre en parallèle de cette simplification remarquable, pour que le dispositif d'apprentissage, en termes administratifs, financiers et de personnels, puisse voir son efficacité renforcée. Il souhaiterait également connaître le détail du plan d'évaluation des procédures administratives. En effet, sur les 250 procédures déjà évaluées, le coût de 2 milliards d'euros ne donne pas de précisions sur les économies d'échelle qu'il est possible d'envisager. Les petites et moyennes entreprises seront donc concernées au premier plan car ces économies pourraient pour partie favoriser l'instauration d'un plan financier en faveur de l'apprentissage.
Voir la questionM. Jean-François Lamour attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse et des sports sur les problèmes de réseaux de santé dans le 15e arrondissement de Paris. Alors que le 15e arrondissement est le plus peuplé de Paris avec près de 240 000 habitants, de nombreux professionnels de santé, ainsi qu'une majorité de la patientèle, se plaignent des carences afférentes aux liens entre structures hospitalières et structures de soins à domicile. La situation est d'autant plus préoccupante que certaines structures comme l'hôpital Saint-Michel sont bloquées dans leurs projets pour des raisons financières et par manque d'effectifs, alors que d'un autre côté de nouvelles entités médicales privées se développent. Le principe des vases communicants entre secteur public et secteur privé n'est malheureusement pas respecté puisqu'il existe un hiatus flagrant entre ces derniers. Au surplus, les professionnels médicaux exerçant en libéral, et qui pourraient assurer ce lien professionnel, structurel et humain, ne parviennent pas à satisfaire la demande de soins, notamment à domicile. Le 15e arrondissement, dans sa diversité et sa richesse, présente toutes les caractéristiques d'une sociologie médicale et professionnelle en attente d'une vision globale et cohérente. Fort de ces atouts, il est prêt à jouer un rôle de pilote pour créer des relais entre tous les professionnels de santé présents sur ce territoire parisien et mettre en place une gouvernance médicale innovante sur l'arrondissement et à sa périphérie. Il souhaiterait donc savoir ce que le Gouvernement, qui doit être ici un interlocuteur privilégié, entend faire à l'avenir pour rationaliser l'offre de soins en milieu urbain et si un travail de fond peut être envisagé en ce domaine.
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