1ère séance : Questions orales sans débat
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Aube (1ère circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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Travaux récents
M. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur la mise en place d'abonnement étudiant préférentiel sur l'autoroute A 26 desservant Troyes- Reims. En effet, la majorité du réseau autoroutier français accorde des réductions de 50 % aux étudiants pour leur trajet domicile-école. Les troyens, qui étudient à Reims, n'ont qu'un seul choix utiliser leur voiture et l'autoroute A 26 car il n'existe pas d'infrastructure ferroviaire entre les deux villes. La société SANEF, société concessionnaire qui exploite l'A 26, pénalise les étudiants troyens en leur faisant bénéficier d'aucun tarif préférentiel d'abonnement pour leur trajet. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser ses intentions sur cette question.
Voir la questionM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur la question d'un accord cadre cantines pour les produits alimentaires, d'entretien, d'hygiène et de bazar qui vient d'être adopté dans les prisons françaises. Selon cet accord applicable au 2 avril 2012, les prisonniers bénéficient de prix avantageux sur des produits (la pâte à tartiner, les confiseries, les allumettes...) qui défient toute concurrence et c'est l'administration qui paiera la différence entre le prix d'achat auprès du fournisseur et la somme modeste que versera le prisonnier. Pour exemple, une barre de chocolat est revendu 0,20 € à un détenu contre 0,51 € dans le commerce, soit une différence de près de moitié entre le prix de vente national et le prix de vente harmonisé. De plus, au coût du produit s'ajoutent ceux de la gestion des stocks, de la préparation et de la distribution des commandes, de la gestion financière des comptes nominatifs des détenus. Cette mesure cadre est coûteuse pour les établissements et il paraît injuste que le contribuable paye les traitements de faveur accordés aux détenus. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui dire quelles mesures entend prendre le Gouvernement sur cette question.
Voir la questionM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur la question d'une solution alternative à l'instauration d'un 4e jour de carence dans le cadre des indemnités journalières concernant les accidentés de la vie. Au vu de l'ampleur du déficit de la branche maladie, il est nécessaire de trouver des recettes supplémentaires. Cependant la FNATH (association des accidentés de la vie) réclame une défiscalisation des indemnités journalières. Il paraît injuste de s'attaquer aux indemnités journalières des personnes en arrêt maladie ainsi que de faire supporter par les 35 % de salariés du secteur privé non couverts par un système d'assurance collective non plus trois jours mais quatre jours de carence. La FNATH propose deux solutions d'économie qui consistent, d'une part, à majorer de 80 millions d'euros le montant de la contribution de la branche ATMP à la branche maladie en restant en-dessous de la fourchette haute des travaux de la commission Diricq et, d'autre part, à réduire le montant des exonérations de cotisations sociales patronales non compensées et à la charge de la sécurité sociale. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser quelles mesures entend prendre le Gouvernement sur cette question.
Voir la questionIntervention en séance publique
M. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les conséquences de la hausse de la TVA à 7 % dans le secteur du livre. En effet, le livre était assujetti jusqu'à présent à une TVA de 5,5 %. Cette hausse de la TVA fragilisera un peu plus les professionnels d'un secteur déjà en difficulté, alors même que la rentabilité financière de ce secteur est autour de 0,3 % de son chiffre d'affaires avant impôt. C'est pourquoi il lui demande d'indiquer les mesures envisagées par le Gouvernement afin de soutenir ce secteur.
Voir la questionM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur les dispositions législatives et réglementaires qui régissent l'inscription sur les listes d'experts de justice. Il apparaît aujourd'hui que les dispositions de la loi n° 71-498 du 29 juin 1971 et du décret n° 2004-1463 du 23 décembre 2004 relatif aux experts judiciaires ne sont pas en conformité avec la jurisprudence européenne (Cour de justice de l'Union européenne du 17 mars 2011, affaire Penarroja). En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures que le Gouvernement entend prendre pour mettre en conformité la législation française avec les exigences posés par la Cour de justice de l'Union européenne applicable aux experts judiciaires.
Voir la questionM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche sur les difficultés que rencontrent les directeurs et présidents de conseils d'instituts universitaires de technologies (IUT), résultant de l'entrée en vigueur de la loi du 10 août 2007, dite LRU. Afin de mener à bien l'application de la loi LRU, la circulaire du 20 mars 2009 avait pour objectif la mise en place de contrats d'objectifs et de moyens (COM), d'un comité de suivi quadripartite et d'une charte de bonne conduite. Aujourd'hui les COM ne sont pas établis malgré les demandes répétées par la direction générale pour l'enseignement supérieur et les moyens alloués aux IUT par les universités sont en baisse portant préjudice à la cohérence nationale des diplômes. C'est pourquoi le réseau IUT estime que les mesures inscrites dans le cadre réglementaire ne garantissent pas le bon fonctionnement et la pérennité des IUT alors même que depuis leur création, les IUT ont obtenu d'excellents résultats. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui faire part de son sentiment sur le sujet et de lui indiquer quelles mesures entend prendre le Gouvernement pour remédier à cette situation.
Voir la questionM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur la réforme de la formation initiale des orthophonistes. En effet, les professionnels s'inquiètent de cette réforme qui démantèlerait la profession en créant un premier niveau en master 1 pour la majorité des orthophonistes qui se verraient ainsi attribuer des compétences limitées. Le second niveau en master 2 serait réservé à des praticiens qualifiés dans les soins aux patients victimes d'AVC, de démences type Alzheimer, de maladie de Parkinson, aphasiques ou encore aux enfants sourds. Les orthophonistes qui exercent actuellement deviendraient titulaires d'un diplôme d'exercice au niveau master 1 limitant par là-même leurs compétences. La profession craint ainsi une orthophonie à deux vitesses, dans un contexte de baisse de la démographie médicale, de difficultés d'accès aux soins de proximité surtout en zone rurale. Elle souhaite que soit reconnue au niveau de grade master la formation initiale de l'ensemble des orthophonistes. Un niveau unique de formation est en effet le seul moyen pour eux d'être en mesure de pouvoir offrir des soins de qualité identiques sur tout le territoire. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les intentions du Gouvernement sur cette question.
Voir la réponse publiée le 01 février 2012M. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre du travail, de la solidarité et de la fonction publique sur la situation des agents non titulaires ou contractuels de l'État, concernant leur départ obligatoire à la retraite à partir de 65 ans. La loi n° 2008-1330 du 17 décembre 2008 de financement de la sécurité sociale pour 2009 prévoit, sur la base du volontariat du salarié, que l'âge de la retraite puisse être repoussé jusqu'à 70 ans. Or, dans le cas des agents non titulaires de l'État, la loi n° 47-1465 du 8 août 1947, « relative à certaines dispositions d'ordre financier », prévoit que leurs contrats prennent fin à leurs 65 ans. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui dire si le Gouvernement comptait modifier la loi en ce sens.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur l'application d'une procédure administrative en matière fiscale. En effet, le formulaire n° 754 permet à l'administration de questionner un contribuable via une demande de renseignements contraignantes. L'administration fiscale s'engage à répondre dans les 60 jours après la réponse du contribuable. Cependant, la formulation utilisée pour garantir ce droit laisse la place à des lettres d'attente qui mentionnent que l'administration fiscale a bien reçu la réponse du contribuable et qu'elle s'engage à lui répondre sans indiquer si la réponse est complète, incomplète ou exige des investigations plus poussées. Ce courrier envoyé, il dédouane l'administration fiscale de respecter le délai de 60 jours. Il lui demande quelles mesures pourront être mises en oeuvre pour que ce dispositif puisse remplir efficacement sa mission.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur les inquiétudes de l'APEL de l'Aube concernant la suppression de postes dans l'enseignement associé par contrat à l'État pour la rentrée 2011. Lors de l'examen du projet de loi de finances pour 2011, les parlementaires ont adopté un amendement visant à rétablir 250 des 1 633 postes supprimés dans l'enseignement privé. Or le Gouvernement vient de décider de maintenir que 100 postes au lieu des 250 prévus. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les intentions du Gouvernement sur cette question.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur les préoccupations exprimées par les entreprises de propreté concernant les compléments d'heures pour les salariés à temps partiel. En effet, dans le dispositif conventionnel de la propreté existant depuis 1997, ces compléments s'appliquent dès lors que les salariés choisissent d'effectuer plus d'un tiers des heures définies dans le contrat de travail à temps partiel initial. Or la Fédération des entreprises de propreté souhaite que des dispositions permettant aux salariés en CDI à temps partiel, sur la base du volontariat, d'effectuer des heures en sus de celles prévues dans le cadre contractuel puissent être prises ; que les heures faites dans la limite de ce nouvel horaire contractuel ne soient pas des heures complémentaires. Le complément d'heures pourrait être majoré dans les conditions définies par accord collectif de branche étendu ou d'entreprise. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui faire part de son sentiment sur le sujet et de lui indiquer quelles mesures entend prendre le Gouvernement pour remédier à cette situation.
Voir la questionM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur l'application dans l'Aube de la "directive nitrates" voté par Commission européenne et plus particulièrement sur deux propositions qui concernent les capacités de stockage et les périodes d'interdiction d'épandage. En effet, l'Aube est placé en zone vulnérable ce qui signifie que les éleveurs doivent augmenter leurs capacités de stockage en investissant environs 8 000 euros par exploitation. De plus, en augmentant les périodes d'interdiction d'épandage cela engendrait des difficultés au niveaux des effluents d'industries agroalimentaires car le traitement est basé sur l'épandage en direct sur les sols agricoles sans stockage préalable. Cette situation, en l'absence de stockage, conduirait à l'arrêt des activités des sites industriels à mi-campagne. Il lui demande de bien vouloir lui préciser quelles mesures il compte prendre pour remédier à cette interrogation.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur la situation des colonies et centres de loisirs. En effet, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a, dans son arrêt du 14 octobre 2010, confirmé la validité du contrat d'engagement éducatif tout en considérant que le volontariat de l'animation occasionnelle n'est pas conforme à la législation européenne du travail. Aujourd'hui près de 7 millions d'enfants, d'adolescents et de personnes en situation de handicap partent en colonie, en mini-camps ou en séjours de vacances adaptés grâce à l'engagement éducatif des 500 000 jeunes qui les encadrent. Il lui demande de bien vouloir lui préciser quelles mesures il compte prendre pour remédier à cette interrogation.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur la suppression progressive de la demi-part fiscale supplémentaire attribuée aux personnes seules ayant élevé des enfants, et plus particulièrement les veuves et veufs. L'article 92 de la loi de finances pour 2009 a modifié l'article 195-1 A du code général des impôts. Désormais, les personnes divorcées, séparées ou veuves, vivant seules et ayant eu un enfant, ne pourront prétendre à une demi-part de quotient familial au titre de l'impôt sur le revenu qu'à condition d'avoir élevés seules un enfant pendant cinq ans. Nous avons soutenu cette réforme, car, comme lui, nous nous accordons à dire que le système du quotient familial se doit de préserver une neutralité par rapport à la situation maritale des contribuables. Ainsi, elle ne saurait inciter à la rupture de la vie conjugale. Cependant, il existe une différence entre la situation des parents isolés et celle de ceux subissant un veuvage. En effet, on ne peut considérer que cette demi-part supplémentaire puisse être une incitation au veuvage, une situation subie, où seul le conjoint survivant en est bénéficiaire. C'est pourquoi, sachant le Gouvernement ouvert à un examen des moyens permettant d'améliorer le dispositif adopté, il le remercie de bien vouloir lui faire connaître les orientations choisies dans ce domaine et ses intentions afin de répondre aux légitimes inquiétudes ainsi exprimées.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur les partenariats de coopération décentralisée des collectivités territoriales. Depuis la loi du 25 janvier 2007, nombreux ont été les partenariats noués entre des collectivités territoriales françaises et des pays hors OCDE. Les contribuables, qui versent des impôts à ces collectivités, financent ces partenariats. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui préciser le total des sommes qui ont été affectés à cet effet par ces collectivités territoriales au cours de l'année 2009.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés d'application du dispositif NACRE (nouvel accompagnement pour la création et la reprise d'entreprise) pour 2011. En effet, le dispositif NACRE a été mis en place en 2009 dans le cadre de la convention Agir pour l'emploi 2008-2012. Il a pour but d'accompagner les demandeurs d'emploi créateurs d'entreprise soit 20 000 créations par an. Le réseau des boutiques de gestion (BGE) s'est engagé et impliqué fortement dans ce dispositif. Elles ont été conventionnées en 2009, et ont assuré en 2010 un déploiement structuré sur l'ensemble du territoire. Or les conditions de reconventionnement des opérateurs pour cette année, avec un budget alloué limité à 23 millions d'euros, au lieu de 40 millions prévus, ne permettront pas de faire correspondre 20 000 nouvelles entrées aux 20 000 prêts prévus dans le protocole. Il lui demande quelles mesures pourront être mises en oeuvre pour que ce dispositif puisse remplir efficacement sa mission.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur les conséquences de la législation et la réglementation en matière d'archéologie préventive concernant les projets de développement local. Cette législation et cette réglementation, certes nécessaires, engendrent des lourdeurs administratives qui freinent considérablement les projets de développement local. La loi 2009-179 du 17 février 2009 pour l'accélération des programmes de construction et d'investissement publics et privés, a permis des progrès en ce sens. En effet les délais impartis à l'administration pour établir les diagnostics, l'engagement des fouilles et leur réalisation ont été raccourcis. Cependant, la situation reste confuse et parfois inégale entre les différents acteurs, à savoir l'Institut national de recherche archéologique préventive (INRAP), les collectivités territoriales et les éventuels services d'archéologie préventive initiés par des collectivités territoriales ou des personnes privées. Afin de concilier plus encore prévention du patrimoine et développement local, il semble nécessaire de véritablement hiérarchiser les niveaux d'intervention et de développer en parallèle les capacités d'intervention des services d'archéologiques existants. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser si le Gouvernement compte revenir sur la réglementation en vigueur, concernant ce sujet.
Voir la réponseM. Nicolas Dhuicq attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé des entreprises et du commerce extérieur sur les dispositions de l'article L. 132-8 du code du commerce qui précise que «la lettre de voiture forme un contrat entre l'expéditeur, le voiturier et le destinataire ou entre l'expéditeur, le destinataire, le commissionnaire et le voiturier». L'alinéa 2 ajoute que «le voiturier a ainsi une action directe en paiement de ses prestations à l'encontre de l'expéditeur et du destinataire, lesquels sont garants du paiement du prix du transport. Toute clause contraire est réputée non écrite». C'est pourquoi, les expéditeurs peuvent être exposés à un double paiement vis à vis du commissionnaire et de son voiturier. L'article L. 132-8 du code du commerce risque ainsi de mettre en grande difficulté financière les PME. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser si d'autres dispositions sont envisageables afin de remédier à cette situation.
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