1ère séance : Responsabilité civile des sportifs
Accueil > Archives de la XIIIe législature > Les députés > M. Jean-Pierre Door
Loiret (4ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Union pour un Mouvement Populaire
DERNIÈRES VIDÉOS
Vidéo du 6 février 2012
1ère séance : Responsabilité civile des sportifs
Vidéo du 6 février 2012
1ère séance : Responsabilité civile des sportifs
Vidéo du 24 janvier 2012
1ère séance : Questions au gouvernement; Article 68 de la constitution (vote solennel); prestation de serment d'un juge; rapprochement familiale pour les détenus condamnés; information des passagers dans les entreprises de transport aérien
Vidéo du 18 janvier 2012
1ère séance : Questions au Gouvernement ; Execrcice des professionnels de santé étrangers ; Éthique du sport et droits des sportifs
Vidéo du 22 juin 2011
Commission des affaires sociales : Médiator et la pharmacovigilance (rapport)
Travaux récents
Intervention en réunion de commission
Mercredi 7 mars 2012 - Séance de 10 heures
Intervention en réunion de commission
Mercredi 22 février 2012 - Séance de 10 heures
Intervention en réunion de commission
Mercredi 15 février 2012 - Séance de 10 heures
M. Jean-Pierre Door attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la situation de la filière oeufs après la mise en conformité des élevages de la filière aux normes relatives au bien-être animal. Cette filière représente près de 10 000 emplois directs et indirects. L'oeuf français mérite d'être défendu et promu. L'année dernière, nos compatriotes ont consommé 14,8 milliards d'oeufs, c'est un peu plus que le nombre d'oeufs produits en France : 14,4 milliards. Avec un chiffre d'affaires estimé à 1,1 milliard d'euros, notre pays est le premier producteur de l'Union européenne. Elle exporte et est génératrice de croissance. Son développement ne doit donc pas être freiné par la multiplication de réglementations toujours plus tatillonnes qui paralysent les éleveurs et découragent même les plus entreprenants et motivés d'entre eux. Cette profession a fait de la sécurité alimentaire un impératif. Cette exigence de qualité, de traçabilité, d'hygiène alimentaire, est une donnée essentielle pour nos concitoyens et le point fort de l'oeuf français. Il répond aussi aux attentes des consommateurs grâce à ses qualités et son prix accessibles à tous. Véritable cocktail d'acides aminés, de vitamines et de minéraux, l'oeuf connaît une augmentation de la consommation et représente la protéine animale la moins chère du marché. Le développement de la consommation peut soulager des éleveurs français qui viennent d'investir. Il est une chance pour notre pays qui a besoin d'une relance de l'activité. C'est pourquoi il lui demande de préciser les mesures concrètes envisagées par le Gouvernement pour soutenir cette filière.
Voir la réponseM. Jean-Pierre Door attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur l'accès au logement ainsi que les conditions de sortie des locataires. Alors que les locataires du secteur privé ont le taux d'effort financier le plus important pour se loger (23 % contre 20 % pour les accédants à la propriété et 18 % pour le logement social), l'UFC-Que choisir d'Orléans a rendu publique une enquête alarmante. Cette enquête visait à connaître les modalités pratiques d'accès à la location, vérifier la conformité des agences à leurs obligations légales, et apprécier le service offert au candidat à la location. Le constat est sans appel. Ainsi, en matière d'information, les agences ne jouent toujours pas le jeu de la transparence. Bien qu'obligatoires, de nombreuses informations ne sont pas affichées par les agences. Ainsi, dans trois cas sur quatorze, les honoraires n'étaient pas affichés ou pas visibles de l'extérieur. De même, près de six mois après l'entrée en vigueur de l'obligation légale d'affichage de l'étiquette énergétique, seulement huit sur dix des agences respectent la loi. En outre, dans six sur neuf des cas, les agences n'ont pas hésité à demander pour la constitution du dossier des documents strictement interdits : chèque de réservation de logement, copie de relevé de compte, photographie d'identité, attestation de l'employeur. Enfin, alors que l'essentiel des services proposés par l'agence sont principalement au profit du bailleur, les honoraires acquittés par les locataires sont prohibitifs : en moyenne, 1,3 mois de loyer, hors charges ! Or d'après une interprétation stricte de la loi par les tribunaux, notamment la Cour d'appel de Grenoble dans un arrêt de 2004, le locataire ne doit à l'agence que la seule rédaction de l'acte. Au-delà de l'accès, le logement locatif pose également problème aux locataires principalement en raison des conditions d'élaboration des états des lieux et bien évidemment des conditions de restitution de dépôt de garantie. Au vu de ce constat, il semble opportun que des mesures législatives et complémentaires simplifient l'accès au logement ainsi que des conditions de sortie des locataires, notamment via une limitation des honoraires des agences immobilières pour les locataires à la seule rédaction du bail, une meilleure information sur les états des lieux, ainsi que le placement sur un fonds des dépôts de garantie pour dégager des intérêts servant à la solidarité nationale en matière de logement. Il lui demande en conséquence quelles mesures il entend mettre oeuvre pour remédier aux dysfonctionnements constatés mais également quelles initiatives le Gouvernement entend prendre pour simplifier l'accès au logement et les conditions de sortie des locataires.
Voir la réponseM. Jean-Pierre Door attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la question des frais et de la mobilité bancaire des consommateurs. L'UFC-Que choisir association locale Loiret-est vient de rendre publique une enquête sur les frais et la mobilité bancaires. Les résultats démontrent que les établissements bancaires ne jouent pas le jeu de la concurrence, et opposent de nombreux obstacles lorsqu'un client souhaite changer de banque. En effet, l'UFC-Que choisir du Loiret a sollicité dix agences de l'agglomération montargoise pour vérifier le niveau de prix des services et tester l'effectivité du service d'aide à la mobilité bancaire mis en place au 1er novembre 2009. L'évolution des prix entre 2004 et 2010 de trois produits stratégiques (carte bleue classique, commission d'intervention par incident, retrait au distributeur) met en évidence une hausse très supérieure à l'inflation constatée sur cette période (8 %). Par exemple, la Banque postale, tout en étant la moins chère sur l'ensemble des huit services les plus utilisés, a augmenté la commission d'intervention par incident de 48,9 %. En outre, malgré l'engagement pris par les banques, le changement d'établissement s'avère particulièrement difficile pour les consommateurs. D'après l'enquête, 56 % des conseillers financiers n'en parlent pas spontanément à un client qui vient les solliciter pour changer de banque. Dans 20 % des établissements, le client doit effectuer toutes les démarches, et dans 50 %, le travail est partagé avec la banque. Quant au délai nécessaire avant activation du compte, le consommateur du département doit attendre plus d'un mois dans 60 % des cas, alors que les banques s'étaient engagées à cinq jours ouvrés. Au vu de l'échec de l'autorégulation, il lui demande dans quelle mesure le Gouvernement envisage une réforme d'ampleur du secteur bancaire qui soit susceptible de dynamiser la concurrence, et en particulier d'assurer une véritable mobilité bancaire.
Voir la réponseM. Jean-Pierre Door attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur les problèmes rencontrés quotidiennement par les usagers de la ligne SNCF Paris-Montargis-Nevers et concernent plus particulièrement les gares de Dordives et Ferrières-en-Gâtinais. En effet, la problématique de la desserte des gares de Dordives et Ferrières-Fontenay résulte de quais de gare trop courts par rapport aux rames, une voiture se trouvant hors quai ! Ces gares ne sont pas, de ce fait, desservies de façon optimale et les usagers, assez nombreux, entre 120 et 200 abonnés par jour, doivent aller prendre le train à Souppes (77) ou Montargis. Et surtout, cette problématique conduit la SNCF à envisager la suppression des arrêts en gare à l'horizon de 2012. Quelles sont les solutions évoquées ? Réduire la longueur des trains, ce qui n'est pas réaliste aux heures de pointe, ou allonger les quais de quelques mètres mais l'évaluation est estimée à environ 2 millions d'euros pour l'ensemble d'une gare par RFF. Il rappelle que cela a été réalisé - pour les mêmes raisons - dans l'Yonne et la Picardie et financé en partie par le CPER. Il y a urgence à solutionner ce problème car les commandes de sillons pour 2012 seront passées par la SNCF en supprimant ipso facto ces deux gares. C'est la désertification rurale assurée, alors que la croissance démographique est réelle. Il lui demande en conséquence quelles mesures le Gouvernement compte prendre afin de remédier à cette situation extrêmement difficile et pénalisante pour les usagers de ce beau territoire.
Voir la réponse publiée le 30 mars 2011Assemblée nationale
126 Rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
Hôtel de Ville
6 Rue Gambetta
45200 Montargis
Téléphone : 02 38 95 10 30
Numéro de la place occupée : 183
(la zone en rouge situe le banc)
Certaines fonctionnalités de ce site s'appuient sur des services proposés par des sites tiers. Ces fonctionnalités déposent des cookies, permettant notamment à ces sites de tracer votre navigation. Cette fenêtre vous permettra de contrôler ces cookies à l'aide de deux boutons "Autoriser" et "Refuser".
Pour en savoir plus sur les cookies (source : CNIL) :
Qu'est-ce qu'un cookie ?
Ces cookies nous permettent d'analyser l'audience de nos pages afin de mieux comprendre l'attente de nos visiteurs.
Concernant Google Analytics : En savoir plus - Site officiel