Conférence de presse de M. Laurent Hénart
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Meurthe-et-Moselle (1ère circonscription)
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M. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et du commerce extérieur, chargé du budget, sur la taxe sur les spectacles. À l'heure actuelle, cette taxe, codifiée aux articles 1559 à 1566 du code général des impôts (CGI) et aux articles 124 à 125 de l'annexe IV du même code, est partagée entre la commune hôte et l'établissement public gestionnaire de l'équipement où le spectacle est donné. Du fait de nombreuses exonérations, elle s'applique essentiellement aux manifestations sportives. Or le rayonnement de certaines de ces manifestations, particulièrement les matchs du championnat professionnel de football de ligue 1, va aujourd'hui bien au-delà du seul périmètre de la commune d'accueil. Les flux de population générés, les activités commerciales induites et les problématiques de sécurité posées concernent souvent d'autres communes attenantes et parfois l'agglomération dans son ensemble. Cette situation mériterait que le législateur se saisisse de cette question et puisse y apporter les évolutions nécessaires, en concertation avec les communes d'accueil et les EPCI. Ce faisant, il souhaiterait connaître ses intentions en la matière.
Voir la questionM. Laurent Hénart souhaite attirer l'attention de M. le ministre de l'intérieur, sur les difficultés persistantes auxquelles sont confrontés les aveugles dans l'exercice de leurs droits civiques, et ce en dépit de la promulgation de la loi du 11 février 2005 qui contient plusieurs dispositions censées renforcer l'accessibilité des personnes handicapées au processus électoral. Les non ou malvoyants doivent s'en remettre le plus souvent à un proche, autorisé à les accompagner afin de glisser le bulletin souhaité dans l'urne. Sinon, ils doivent opérer leur choix en amont, à leur domicile, parmi les bulletins reçus avec les professions de foi des candidats. Ces méthodes ne sont pas satisfaisantes car elles ne garantissent pas l'autonomie civique des citoyens affectés par ce handicap. En conséquence, il lui demande les mesures qu'il entend mettre en œuvre afin d'améliorer l'accès des non et malvoyants au processus électoral.
Voir la questionM. Laurent Hénart souhaite attirer l'attention de M. le ministre du redressement productif sur les préoccupations de la profession des artisans du taxi, relayées notamment par la Fédération nationale des artisans du taxi. La FNAT rappelle que, dans le contexte actuel de crise économique, la profession subit une baisse de la fréquentation, avec un niveau de charges sans précédent, principalement du fait de la hausse du coût du carburant et de la baisse du remboursement de la taxe intérieure de consommation sur les carburants. En 2008, les organisations professionnelles du secteur ont signé un protocole avec le Gouvernement, visant la modernisation de la profession, un meilleur service aux consommateurs et des conditions de concurrence loyales dans le transport de moins de dix personnes. Or la profession se plaint de la multiplication des transporteurs offrant aux clients des services équivalents à ceux des taxis, sans être astreints aux mêmes contraintes, et qui de ce fait subit une distorsion de concurrence. Les taxis exerçant en milieu rural, qui offrent un service de proximité assurant le maillage fin des territoires et le lien social, expriment également leurs craintes pour le transport de malades assis. Les missions de réorganisation et de rationalisation des sorties d'hôpitaux confiées aux agences régionales de la santé ou aux plateformes de réservation dédiées pourraient les exclure de cette activité ; de même, sous couvert d'économies budgétaires, une politique de restriction des prescriptions médicales de transport pourrait menacer l'accès aux soins des patients. Ils déplorent également le manque d'accessibilité des marchés publics, lesquels ne sont pas adaptés à la dimension de leurs entreprises. Il lui demande sa position sur le sujet et les mesures envisagées pour pallier les difficultés de ces professionnels.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'application des dispositions relatives à la mensualisation des pensions de retraite, adoptées dans le cadre de la loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites. Le texte précité comporte en effet une mesure de mensualisation des pensions, ajoutée par voie d'amendement, et qui est prévue par l'article 10, ainsi rédigé : « à compter du 1er janvier 2013, tout assuré pensionné d'un régime de retraite de base ou complémentaire versant des prestations par trimestre à échoir peut demander à percevoir sa pension selon une périodicité mensuelle. Cette option ne peut lui être refusée. Une fois exercée, l'option est irrévocable. L'assuré est informé de cette possibilité dans des conditions définies par décret ». Cette disposition répondait à la fois à une demande formulée par les organisations représentatives durant la phase de concertation mais aussi à la nécessité de répondre à la hausse constatée des dossiers de surendettement pour les retraités les plus modestes. Aujourd'hui, alors que de nombreux retraités comptent sur la mise en oeuvre de ce dispositif aux dates prévues par la loi, certains organismes indiquent ne pas être en mesure de mettre en place cette mensualisation fautes d'instructions précises de la part de l'AGIRC et de l'ARCCO. Ce faisant, il lui demande quelles mesures le Gouvernement entend prendre pour remédier à cette situation.
Voir la questionM. Laurent Hénart souhaite attirer l'attention de Mme la ministre de l'égalité des territoires et du logement sur la question du temps partagé dans le secteur du tourisme. Ce système de propriété partagée entre des personnes, leur permettant l'accès à un appartement durant une à plusieurs semaines, présenterait des lacunes et serait entaché de dysfonctionnements chroniques. Les multipropriétaires dénoncent notamment les agissements de certains groupes immobiliers. Certains d'entre eux, disposant de liquidités, se portent acquéreur à bas prix des parts dont des associés de SC souhaitent se défaire. Dès qu'ils possèdent un nombre de parts égal aux deux tiers du total des parts, ils font convoquer une assemblée générale extraordinaire de la SC, et demandent sa dissolution. Comme la dissolution n'est pas causée par une faillite, ils font nommer le liquidateur de leur choix. Ce dernier met en vente le bâtiment à bas prix sans publicité excessive. Le groupe l'achète et, sans travaux coûteux, met en vente à la découpe en pleine propriété, réalisant une plus-value substantielle. Cette opération a d'importantes conséquences pour les multipropriétaires. Elle prive notamment ceux qui ne désiraient pas vendre de leur droit à jouissance. Or, à de rares exceptions près, les multipropriétaires actuels appartiennent aux classes moyennes, et ce système leur permettait à moindre coût de profiter, de temps à autre, des avantages de stations réputées, alors qu'ils ne peuvent envisager de devenir propriétaires d'un appartement à l'année dans ces stations. La transformation en pleine propriété de la résidence change la physionomie des usagers. Plus riches, moins nombreux, disposant déjà d'appartements ailleurs, ils ne viennent que rarement, ne louent pas, et on assiste au phénomène dit des lits froids, ou des volets fermés. Les commerces disparaissent, et les emplois sous-jacents aussi. Face à cette situation, nombre de multipropriétaires demandent l'interdiction pour un même associé de posséder plus d'un certain nombre d'appartements-périodes dans la même SC ou plus d'un certain pourcentage de parts. Il lui demande sa position sur le sujet et les mesures envisagées pour remédier à cette situation.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur les préoccupations et les revendications du monde combattant. Les associations représentatives du monde combattant ont pris acte des avancées positives adoptées par le Gouvernement et le Parlement en 2011, en l'occurrence le passage à l'indice 44 pour le calcul de la retraite du combattant, l'augmentation de la valeur du point des pensions militaires et d'invalidité et la nomination d'un secrétaire d'État spécifiquement chargé des anciens combattants. Toutefois, elles considèrent toujours comme prioritaire l'établissement d'un calendrier de rattrapage de la valeur du point des PMI à 19,725 euros, le plus rapidement possible, dans le respect du rapport Constant, les pensions militaires et la retraite du combattant étant en retard de 42,38 %. Ce faisant, il lui demande les mesures qu'il entend prendre pour satisfaire cette revendication.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur les préoccupations et les revendications du monde combattant. Les associations représentatives du monde combattant ont pris acte des avancées positives adoptées par le Gouvernement et le Parlement en 2011, en l'occurrence le passage à l'indice 44 pour le calcul de la retraite du combattant, l'augmentation de la valeur du point des pensions militaires et d'invalidité et la nomination d'un secrétaire d'État spécifiquement chargé des anciens combattants. Toutefois, elles demandent que le défilé du 14 juillet, jour de notre fête Nationale, reste en l'état. Ce faisant, il souhaiterait connaître les intentions du Gouvernement en la matière.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur les préoccupations et les revendications du monde combattant. Les associations représentatives du monde combattant ont pris acte des avancées positives adoptées par le Gouvernement et le Parlement en 2011, en l'occurrence le passage à l'indice 44 pour le calcul de la retraite du combattant, l'augmentation de la valeur du point des pensions militaires et d'invalidité et la nomination d'un secrétaire d'État spécifiquement chargé des anciens combattants. Toutefois, faisant référence aux engagements du Président de la République en 2007, et rappelant que cette mesure était annoncée pour janvier 2012, elles considèrent toujours comme prioritaire le passage à l'indice 48 au 1er juillet 2012. Ce faisant, il lui demande les mesures qu'il entend prendre pour satisfaire cette légitime revendication.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur les préoccupations et les revendications du monde combattant. Les associations représentatives du monde combattant ont pris acte des avancées positives adoptées par le Gouvernement et le Parlement en 2011, en l'occurrence le passage à l'indice 44 pour le calcul de la retraite du combattant, l'augmentation de la valeur du point des pensions militaires et d'invalidité et la nomination d'un secrétaire d'État spécifiquement chargé des anciens combattants. Toutefois, elles considèrent toujours comme prioritaire de porter le plafond majorable des rentes de la retraite mutualiste à 130 points, au lieu de 125 actuellement. Ce faisant, il lui demande les mesures qu'il entend prendre pour satisfaire cette légitime revendication.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur les préoccupations et les revendications du monde combattant. Les associations représentatives du monde combattant ont pris acte des avancées positives adoptées par le Gouvernement et le Parlement en 2011, en l'occurrence le passage à l'indice 44 pour le calcul de la retraite du combattant, l'augmentation de la valeur du point des pensions militaires et d'invalidité et la nomination d'un secrétaire d'État spécifiquement chargé des anciens combattants. Toutefois, elles demandent que soit reconnue officiellement l'égalité de traitement pour tous les orphelins de Guerre, fils et filles des Morts pour la France. Ce faisant, il lui demande les mesures que le Gouvernement entend prendre pour accéder à cette revendication.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de la défense et des anciens combattants sur les préoccupations et les revendications du monde combattant. Les associations représentatives du monde combattant ont pris acte des avancées positives adoptées par le Gouvernement et le Parlement en 2011, en l'occurrence le passage à l'indice 44 pour le calcul de la retraite du combattant, l'augmentation de la valeur du point des pensions militaires et d'invalidité et la nomination d'un secrétaire d'État spécifiquement chargé des anciens combattants. Toutefois, elles considèrent toujours comme prioritaire l'octroi de la carte du combattant aux militaires qui sont arrivés en AFN avant la date butoir du 2 juillet 1962 et dont le séjour chevauchait cette date, avec au moins 120 jours de présence sur le territoire algérien. Ce faisant, il lui demande les mesures qu'il entend prendre pour satisfaire cette légitime revendication.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les préoccupations de l'association des communes forestières de Meurthe-et-Moselle sur le bénéfice de la taxe additionnelle à la taxe foncière sur le non bâti (TFNB). La fédération nationale des communes forestières s'inquiète en effet des modalités de redistribution de la taxe additionnelle sur la TFNB perçues par les chambres d'agriculture. Elle estime en effet le système actuel imparfait et demande qu'un amendement à la loi de modernisation agricole fasse obligation de retourner aux organisations en charge de la gestion des forêts communales la part de la taxe additionnelle sur la TFNB qu'elles versent chaque année. Il lui demande quelles est la position du Gouvernement sur le sujet et s'il entend répondre favorablement à cette demande.
Voir la réponseM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche sur les inquiétudes des personnels des établissements publics à caractère scientifique et technologique (EPST) relatives au budget 2012. Notamment, le budget voté par le conseil d'administration de l'Institut national de recherche en informatique et en automatique (INRIA) révèlerait une baisse de 0,7 % au niveau national, et près de 6 % pour le centre de recherche de Nancy, en Meurthe-et-Moselle. Par ailleurs, les contractuels s'interrogent sur leur avenir professionnel. Embauchés en CDD, au-delà de trois ans et dix mois d'ancienneté, leurs contrats ne sont pas renouvelés. Ces professionnels perdent leur emploi malgré leur qualification et leurs compétences professionnelles. Les rotations de personnel qui en découlent nuiraient à l'effort de recherche, et plus généralement au travail des équipes. En effet, les personnels sont finalement peu rodés au fonctionnement des établissements et surtout peu motivés par ces contrats précaires. L'emploi stable deviendrait l'exception pour plusieurs corps de métier, notamment celui des ingénieurs assurant le support des activités de recherche ; 75 % des ingénieurs de l'INRIA de Nancy seraient en CDD. Il lui demande sa position sur le sujet.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les inquiétudes exprimées par la confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) à la suite des récentes mesures annoncées par le Gouvernement. Ce plan prévoit, entre autres, le relèvement de la TVA de 5,5 % à 7 % pour les travaux d'entretien-rénovation dans le bâtiment, la suppression du PTZ+ dans l'ancien, la diminution du crédit d'impôt développement durable (CIDD) et la disparition envisagée de la loi Scellier. L'ensemble de ces mesures fait craindre à tout ce secteur des conséquences importantes sur son activité. La CAPEB va jusqu'à estimer que leur application entraînerait une perte de près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires et la disparition directe et indirecte d'environ 10 000 emplois alors même que les entreprises artisanales du bâtiment participent de manière importante au maintien d'une économie de proximité et à la préservation des emplois salariés sur nos territoires. Enfin, la CAPEB redoute l'instauration d'une concurrence déloyale entre les auto-entrepreneurs et les entreprises au régime classique. Dans ce contexte, il souhaiterait connaître sa position sur ce dossier et les mesures qu'il envisage de prendre pour aménager le plan susmentionné.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur les préoccupations de la chambre régionale FEP Grand-est, membre de la Fédération des entreprises de propreté. Cette organisation patronale est représentative de 20 000 entreprises PME-TPE, qui emploient près de 430 000 salariés et qui a créé plus de 100 000 emplois en sept ans. Elle rappelle que les entreprises de propreté assurent depuis de nombreuses années un rôle de premier plan dans le domaine de l'emploi et de l'insertion professionnelle en permettant à des personnes disposant, pour la plupart, d'un faible niveau de qualification (70 % sont sans diplôme) d'accéder à des emplois durables (90 % en contrat à durée indéterminée). Par ailleurs, en dix ans, le taux d'accès à la formation a été doublé. Dans le dispositif conventionnel de la propreté existant depuis 1997, les compléments d'heures pour les salariés à temps partiel s'appliquent dès lors qu'ils choisissent d'effectuer au moins plus d'un tiers des heures définies dans le contrat de travail à temps partiel initial. Pour faciliter l'accès à ce dispositif conventionnel, les salariés remplissent des « fiches de souhait » qui leur permettent de solliciter l'accroissement de leur durée de travail. Elle souhaiterait : que des dispositions permettant aux salariés en CDI à temps partiel, sur la base du volontariat, d'effectuer des heures en sus de celles prévues dans le cadre contractuel puissent être prises ; que les heures faites dans la limite de ce nouvel horaire contractuel ne soient pas de heures complémentaires. Le complément d'heures pourrait être majoré dans les conditions définies par accord collectif de branche étendu ou d'entreprise. Cette proposition s'inscrit dans le cadre de la priorité d'emploi des salariés à temps partiel. Il lui demande sa position sur le sujet.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conséquences sanitaires liées à l'utilisation d'implants mammaires pré-remplis de gel silicone fabriqués par la société Poly implant prothèse (PIP). Cette société a commercialisé des produits frauduleux, dangereux pour la santé, dans le cadre de chirurgie esthétique ou reconstructrice de la poitrine. Ces produits ont fait l'objet d'incidents de rupture anormalement élevés, générant une diffusion dans le corps des femmes de produits impropres. Fort de ce constat préoccupant, l'Afssaps a requis le retrait et le rappel des produits PIP. Entre 30 000 et 40 000 femmes seraient concernées en France, conférant à ce dossier une dimension de santé publique. Il lui demande dès lors s'il entend prendre des mesures de remplacement préventif dans les plus brefs délais.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le matériel du diabète appelé « capteur de glucose » ; matériel qui a fait la preuve de son efficacité auprès de la population diabétique. Ces capteurs de glucose sont utilisés dans les unités cliniques hospitalières depuis l'année 2000 mais n'ont toujours pas obtenu à ce jour de remboursement. Or l'utilisation d'un capteur coûte environ 200 à 300 euros par mois aux patients. Il lui demande si le remboursement est envisagé et dans quels délais.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur la législation en matière de servitudes de vues. Les articles 678 et suivants du code civil obligent à au moins 19 décimètres de distance en cas de vue droite sur le voisin. Mais le code de l'urbanisme n'intègre pas cette obligation dans ses conditions d'obtention du permis de construire. Cette situation déclenche dès lors parfois des conflits entre les particuliers, les obligeant à recourir aux tribunaux. De plus, dans ce genre de litige différentes procédures coûteuses doivent être engagées devant des juridictions différentes (TGI et tribunal administratif). Il lui demande sa position sur le sujet et si des mesures sont envisagées pour permettre une homogénéisation de la législation.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les préoccupations de beaucoup de Français relatives aux paradis fiscaux. Il lui demande les mesures prises par la France et la communauté internationale, pour lutter contre les conséquences des paradis fiscaux sur notre économie.
Voir la questionM. Laurent Hénart attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur la redéfinition du diplôme de préparateur en pharmacie. Par la voix de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, les professionnels du secteur estiment en effet qu'une mise à jour du diplôme est nécessaire. Aujourd'hui, le référentiel du brevet professionnel de préparateur en pharmacie leur apparaît inadapté. En outre, depuis quelques années la Commission professionnelle consultative siégeant près le ministère de l'éducation nationale demande sa réévaluation. L'évolution des prises en charge des pathologies, la technicité de certaines pratiques, la population accueillie, la sortie des médicaments de la réserve hospitalière, la coopération avec l'équipe de soins... sont à l'origine de cette demande de réévaluation, tout comme les nouvelles missions du pharmacien prévues dans la loi HPST. Il s'agirait, à terme, pour les professionnels, de permettre à la pharmacie d'officine de se doter de collaborateurs qualifiés, au travers d'un renfort de l'apport de connaissances dans la formation initiale des préparateurs, associé aux points positifs d'une formation par apprentissage. Les points clefs de cette formation seraient les suivants : privilégier l'insertion professionnelle directe en faisant appel à l'apprentissage ; créer un partenariat avec le secteur professionnel et les organismes de formation existants ; organiser l'alternance avec du tutorat ; permettre la construction de parcours professionnels dans le cadre de la formation tout au long de la vie. Sur la base de cette proposition, la profession souhaite la création d'un diplôme d'État relevant du ministère de la santé, permettant à la fois de garantir la certification des compétences et l'adaptation du diplôme aux évolutions de l'officine. Dans ce contexte, il souhaiterait connaître ses intentions en la matière.
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