Commissions des affaires étrangères et de la défense : M. Alain Juppé, ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, et de M Gérard Longuet, ministre de la défense et des anciens combatants
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Val-d'Oise (2ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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1ère séance : Questions orales sans débat
Travaux récents
M. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur la gestion du produit des amendes de sécurité routière. Dans son rapport public pour 2010, la Cour des comptes constate l'absence d'un système d'information unifié sur l'ensemble du territoire permettant d'avoir une visibilité complète et précise du système des amendes. Les données sont approximatives, parcellaires, hétérogènes et ne peuvent faire l'objet d'une consolidation nationale qu'au prix de grandes difficultés. L'opacité d'un tel système limite donc considérablement les possibilités de contrôle. Dans le même temps, les forces de l'ordre consacrent une part de plus en plus importante de leur temps à la gestion administrative des amendes faute de disposer d'un outil moderne. En conséquence, la Cour recommande une amélioration du système qui permettrait de redéployer de nombreux personnels et de réaliser des économies significatives. Il lui demande de bien vouloir lui faire part de ses intentions à ce sujet.
Voir la réponseM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le ministre des sports sur la mise en oeuvre du décret du 14 novembre 2008 portant notamment promotion et nomination des membres de l'équipe nationale de Handball au grade de chevalier de la Légion d'honneur à la suite de l'obtention de la médaille d'or au Jeux Olympiques de Pékin. En effet, à ce jour, aucun des joueurs ne s'est vu remettre la médaille correspondant à cette distinction. Il lui demande de bien vouloir lui faire part de ses intentions à ce sujet.
Voir la réponseM. Axel Poniatowski appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les suites qu'elle entend donner aux recommandations faites par la Cour des comptes dans le domaine des aides publiques accordées aux familles monoparentales. Dans son rapport sur la sécurité sociale publiée en septembre 2010, elle relève que les dispositifs existants n'ont pas complètement fait la preuve de leur efficacité, la pauvreté se concentrant encore très largement sur ces familles. La Cour préconise donc de repenser la ventilation des dépenses, d'assurer un meilleur suivi des pensions fixées par les tribunaux, et de faciliter le retour à l'activité professionnelle des parents. Il lui demande de bien vouloir lui faire part de ses intentions pour mettre en oeuvre ces conseils.
Voir la réponseM. Axel Poniatowski interroge M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur la journée de solidarité mise en place en 2004 pour consolider le financement de la prise en charge des personnes privées d'autonomie. Il lui demande de bien vouloir lui dresser un bilan de ce dispositif depuis sa création.
Voir la réponseBilan d'activités de la commission des affaires étrangères sous la XIIIème législature
Voir le document Voir le dossier législatifM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur les conséquences délétères de la réforme de la Commission de la sécurité des consommateurs. Près d'un an après la date d'entrée en vigueur de la loi procédant au rapprochement de la Commission de la sécurité des consommateurs et de l'Institut National de la consommation, les membres de la commission viennent d'adopter en séance plénière une motion dressant les constats suivants : le nombre de conseillers techniques dont la compétence est cruciale pour l'instruction des dossiers est passé de six à quatre, l'Institut national de la consommation traverse actuellement une crise majeure de son existence qui le rend incapable d'assurer l'accueil de ces commissions indépendantes dans des conditions minimum de fonctionnement. Ainsi la commission va-t-elle être logée dans des locaux provisoires sans aucune visibilité sur d'éventuels projets de relogement futur. Face à ces constats, les membres de la commission s'interrogent légitimement sur la viabilité d'un rapprochement contre nature consistant à placer sous l'égide d'un établissement public à caractère industriel et commercial les services d'une autorité administrative dont l'indépendance est l'un des deux fondements essentiels, l'autre étant sa capacité pluridisciplinaire originale d'analyse des risques. Ils y voient un danger majeur de conflit d'intérêts entre les fonctions d'instructions des avis de la commission et les fonctions commerciales de l'Institut national de la consommation. Dans ce contexte, il apparaît évident aux membres de la commission que seules des mesures fortes et prises rapidement seraient susceptibles de garantir sa pérennité : reconstitution du nombre initial de conseillers avec maintien de leur niveau de qualification et de rémunération ; conditions de fonctionnement technique et de dotation budgétaire garantissant sans ambiguïté son indispensable autonomie. Il lui demande en conséquence les mesures que le Gouvernement compte prendre pour garantir le bon fonctionnement et l'autonomie de cette commission dont la mission participe activement au maintien de la sécurité des citoyens.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la prise en charge des frais d'hospitalisation. En principe, l'Assurance maladie rembourse 80 % des frais occasionnés par une hospitalisation dans un établissement public ou une clinique privée conventionnée. En revanche, les 20 % restant, le forfait hospitalier et les éventuels suppléments pour confort personnel comme une chambre individuelle, le téléphone la télévision ne sont pas pris en charge par la collectivité. Toutefois, si les ressources du patient sont insuffisantes pour régler les frais d'hospitalisation restant à sa charge, il peut déposer une demande de Couverture maladie universelle (CMU) complémentaire auprès de sa caisse d'assurance maladie ou déposer une demande de prise en charge au titre de l'action sanitaire et sociale. Il souhaite savoir si les suppléments pour confort personnel qui, faut-il le rappeler, sont la conséquence des exigences personnelles du patient et vont au delà de la prestation normale du service public de la santé, sont alors susceptibles d'être pris en charge.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'accompagnement des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer. Si plus de 850 000 personnes sont aujourd'hui directement touchées par cette maladie, elles seront au nombre de 1,3 million, en 2020 et de 2,1 millions en 2040. C'est dire l'importance de l'enjeu de l'accompagnement de ces malades qui ont souvent besoin d'une prise en charge complète dans des structures médicalisées. Dans ce contexte de progression de la maladie et alors que l'insuffisance de places en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes est soulignée par les familles des malades, il lui demande de bien vouloir lui dresser un point d'étape du plan Alzheimer 2008-2012, en particulier dans le département du Val-d'Oise.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur l'accompagnement des personnes autistes. Le plan autisme 2008-2011, doté de 187 millions d'euros, constitue un effort important des pouvoirs publics pour renforcer le niveau de connaissances sur le sujet, et améliorer l'orientation ainsi que l'accompagnement des malades. Si des progrès notables peuvent être constatés dans la connaissance et le diagnostic de l'autisme, l'insuffisance du nombre de places d'accueil reste particulièrement préoccupante, de nombreuses familles recherchant souvent, sans succès, une solution d'accompagnement pour leur enfant. Par conséquent, il lui demande de bien vouloir lui livrer un premier bilan d'étape du plan autisme en matière de places, mais aussi de lui faire part de ses ambitions pour en développer le nombre et aller au-delà des premiers objectifs.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les recommandations que la Cour des comptes formule dans son rapport sur l'application des lois de financements de la sécurité sociale de septembre 2010. Si la plus haute juridiction financière reconnaît les progrès considérables réalisés dans la lutte contre la fraude, elle relève qu'il existe encore des marges de progression notable. Ainsi, dans la seule branche famille, le montant des fraudes s'élève aujourd'hui à 3 milliards d'euros. Il lui demande par conséquent de bien vouloir lui préciser les suites qu'elle envisage de donner aux recommandations de la Cour des Comptes.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le secrétaire d'État à l'intérieur et aux collectivités territoriales sur la question du versement aux groupements et aux communes de moins de 10 000 habitants des sommes produites par les amendes relatives à la circulation routière. L'article R. 2334-11 du code général des collectivités territoriales dispose à cet égard que « les sommes revenant aux groupements de moins de 10 000 habitants ainsi qu'aux communes de moins de 10 000 habitants sont d'abord partagées entre les départements proportionnellement au nombre de contraventions dénombrées l'année précédente sur le territoire de ces communes et groupements, puis réparties dans chaque département entre les communes et groupements qui ont à faire face à des travaux mentionnés à l'article R. 2334-12. La répartition est faite par le conseil général qui arrête la liste des bénéficiaires et le montant des attributions à leur verser en fonction de l'urgence et du coût des opérations à réaliser ». Il lui demande de bien vouloir lui indiquer quels sont les voies et moyens dont disposent les communes et les groupements de moins de dix milles habitants pour contester la liste des bénéficiaires établie par le conseil général, l'appréciation des critères d'urgence et du coût des opérations n'étant pas toujours exempte de considérations politiques.
Voir la questionM. Axel Poniatowski interroge M. le ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire sur le coût financier des reconduites à la frontière. Il souhaite connaître pour chacune des années 2007 à 2009, la charge que représentent les achats de billets d'avions des expulsés ou de leurs escortes pour les opérations de reconduite à la frontière et d'expulsions.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire sur l'aide à la réinsertion économique. L'objectif de ce dispositif est d'accompagner les migrants qui souhaitent monter une activité économique génératrice de revenus et créatrice d'emplois dans leur pays et contribuer au développement de leur pays. Il lui demande de bien vouloir lui communiquer le nombre annuel de personnes qui ont bénéficié de cette aide depuis la création de ce dispositif.
Voir la questionM. Axel Poniatowski interroge M. le ministre de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire sur l'aide au retour volontaire. L'aide au retour volontaire concerne les étrangers en situation irrégulière qui se sont vu notifier un refus de délivrance ou de renouvellement de leur titre de séjour et qui ont fait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français ou d'un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière. Il lui demande de bien vouloir lui communiquer le nombre de personnes qui ont bénéficié de ces aides financières et matérielles pour chacune des années depuis la création de ce dispositif, ainsi que le coût total de ce dernier.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les modalités d'enregistrement de la déclaration du choix du médecin traitant auprès des organismes de sécurité sociale. Lorsque le patient se rend pour la première fois chez le praticien qu'il va choisir comme médecin traitant, ce dernier envoie par la voie postale une déclaration à la caisse d'assurance maladie. En revanche, la feuille de soins rédigée lors de cette première consultation est télétransmise. Il en résulte une différence dans le délai de traitement des deux documents qui peut parfois conduire la sécurité sociale à considérer que la première consultation a été réalisée hors parcours de soins, la déclaration de choix du médecin traitant n'ayant pas encore été prise en compte. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures envisagées par le ministère pour mettre fin à ce dysfonctionnement.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur la santé économique des activités touristiques en France. Il souhaite en particulier connaître le bilan comparé de l'activité touristique de cet été et de l'été 2008 afin de mesurer l'impact de la crise financière et économique sur ce secteur.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de l'écologie sur le bilan du développement de l'énergie solaire par les particuliers. Il souhaite mieux appréhender ce phénomène dans le département du Val-d'Oise, et lui demande, en conséquence, de lui indiquer le nombre de particuliers ayant acquis des panneaux photovoltaïques au cours des dernières années, le nombre de dispositifs installés, et la quantité d'électricité produite par cette technologie.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme et des services sur le bilan du statut de l'auto-entrepreneur. Il souhaite connaître le nombre de personnes qui se sont déclarées auto-entrepreneurs dans le département du Val-d'Oise depuis l'institution de ce dispositif ainsi que leur répartition par secteur d'activité.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les perspectives d'avenir et les conditions de l'exercice libéral de la pédiatrie. En effet, les pédiatres libéraux sont de moins en moins nombreux, découragés par une charge de travail très importante et des revenus insuffisants, inférieurs de 30 % au revenu moyen des spécialistes de secteur 1 pour une pénibilité et un temps de travail souvent supérieurs. Leurs conditions de travail se sont aussi profondément dégradées en raison de l'augmentation des pressions des familles et des administrations. Enfin, des projets sont à l'étude pour que les pédiatres deviennent des spécialistes de 2e recours, se repliant sur des tâches spécifiques au détriment du suivi régulier et global des enfants. Face à cette situation, ces médecins réclament une meilleure reconnaissance de leur spécialité, une cotation spécifique pédiatrique pour toutes les consultations des pédiatres et la réouverture du secteur 2 à honoraires libres pour les pédiatres qui le souhaitent. Il lui demande de lui faire part des intentions du Gouvernement face à ces propositions.
Voir la questionM. Axel Poniatowski appelle l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville sur le nouveau régime de cumul emploi-retraite, prévu par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2009. L'article 88 de cette loi prévoit en effet, l'application au 1er janvier 2009, d'un régime de cumul emploi-retraite libéralisé, puisqu'il sera désormais possible sans limitation, dès lors que l'assuré aura atteint l'âge de soixante-cinq ans, ou celui de soixante ans s'il justifie de la durée d'assurance nécessaire pour bénéficier d'une retraite à taux plein. Ces deux conditions préoccupent néanmoins de nombreuses femmes qui ont moins de soixante-cinq ans, et qui ne peuvent justifier de la durée d'assurance requise parce qu'elles ont interrompu leur activité professionnelle pour élever leurs enfants. Afin de faciliter leur accès au dispositif de cumul emploi-retraite, l'amplification de la majoration de durée d'assurance, par enfant élevé, ou l'abaissement de la durée d'assurance requise en fonction du nombre d'enfants élevés, lui semble constituer des axes de réflexion intéressants. Il lui demande de bien vouloir lui faire part de ses intentions à ce sujet.
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