2ème séance : Questions au gouvernement ; Gens du voyage (vote) ; Politique de la ville (débat)
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Meurthe-et-Moselle (3ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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Mme Valérie Rosso-Debord interroge M. le secrétaire d'État chargé des transports sur la sécurité des motards. Les infrastructures ne semblent pas suffisamment adaptées pour leur garantir une sécurité effective. De plus un meilleur partage de la route, notamment par la reconnaissance de la circulation entre les files sur les rocades, est devenu aujourd'hui indispensable. Aussi, elle lui demande de lui indiquer quelles mesures il entend prendre en faveur de la protection des motards.
Voir la réponseMme Valérie Rosso-Debord interroge Mme la ministre des sports sur la lutte contre le dopage. Un spécialiste du dopage vient de publier un livre intitulé Dopage dans le football, la loi du silence. Il y explique que le sport le plus populaire de la planète est le moins actif en matière de lutte contre le dopage. De plus, la fédération de football est la fédération sportive dans laquelle, par rapport au nombre de pratiquants, il est pratiqué le moins de contrôle antidopage. Les footballeurs français sont bien souvent un véritable modèle pour les plus jeunes, qui les regardent, les admirent et souvent les imitent. Aussi, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures de lutte contre le dopage dans le football français seront mises en oeuvre.
Voir la réponseMme Valérie Rosso-Debord interroge Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur la prescription infirmière du sérum physiologique et des antiseptiques en vente libre. Depuis 2007, les infirmières se sont vues conférer le droit de prescrire certains dispositifs médicaux, notamment les articles pour pansement et les dispositifs médicaux pour perfusion à domicile. Pourtant, ces dispositions limitant la prescription à des dispositifs médicaux, les infirmiers ne peuvent, dans le même temps, prescrire les solutions et produits antiseptiques indispensables au nettoyage des plaies et à la désinfection des tissus lors de la pose de ces dispositifs, comme le sérum physiologique et antiseptiques en vente libre. Cette limitation entraîne la nécessité d'obtenir une ordonnance du médecin pour ces produits, ce qui pose des problèmes pratiques, puisque de plus en plus les pharmacies délivrent des sets complets comprenant les pansements et le produit antiseptique. Cela va surtout à contresens de la logique qui présidait à l'adoption du texte, dont le motif exposé était de permettre aux infirmiers « d'exercer leur activité sans que le patient n'ait à retourner consulter son médecin traitant » afin que ce soit « source de simplification pour les professionnels, médecins et infirmiers, et pour les patients, et source potentielle d'économies pour l'assurance maladie ». Aussi, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer si l'autorisation de prescrire du sérum physiologique et des antiseptiques en vente libre est envisageable.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la question de l'assujettissement des contrats d'épargne handicap aux prélèvements sociaux lors d'un rachat partiel ou de leur dénouement. En effet, dans le dispositif initial, le rachat partiel était exonéré de CSG et de prélèvements sociaux (seule la CRDS était due) dans la limite d'une franchise annuelle sur les intérêts de 4 600 euros pour une personne seule et de 9 200 euros pour un couple. Toutefois, depuis la loi de finances de 2010, ces rachats seraient soumis à la CSG. Elle lui demande donc de bien vouloir lui indiquer quelles sont les dispositions en vigueur concernant les contrats d'épargne handicap et quel est leur régime d'assujettissement aux prélèvements sociaux.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur le projet de révision de la nomenclature et des conditions tarifaires de prise en charge des véhicules pour personnes handicapées, inscrits sur la liste des produits et prestations remboursables prévues à l'article L. 165-1 du code de la sécurité sociale. Il permettra une amélioration substantielle de la prise en charge de ces matériels, avec notamment, dans la mesure du possible, la fixation de prix limites de vente qui éviteront tout reste à charge. Aussi, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer la date d'entrée en vigueur effective de ce dispositif et ses modalités de mise en oeuvre. S'agissant plus précisément du parcours d'acquisition prévu dans le projet (évaluation, prescription, devis, mise en service), elle demande si la rétribution des équipes en charge des phases d'évaluation et de préconisation est prévue.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur la situation de l'hébergement et de l'accès au logement et plus particulièrement sur l'état d'avancement du chantier national prioritaire 2008-2012 de prise en charge des personnes sans abri ou mal logées.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur les règles à respecter pour l'inscription des élèves à la cantine. Plusieurs règlements municipaux relatifs à la restauration scolaire ont été contestés ces dernières années. La fréquentation de la cantine scolaire par un nombre d'élèves croissant remet en cause la capacité d'accueil de certaines communes qui sont alors amenées à établir des priorités d'accès dans les règlements intérieurs. La jurisprudence est très vigilante sur l'appréciation de la légalité des critères d'accès pouvant être établis par les collectivités territoriales gestionnaires d'un service de restauration scolaire lorsque les capacités d'accueil sont insuffisantes. Afin de garantir et de concilier tant le principe de sécurité juridique de ces règlements que le principe constitutionnel d'égalité des usagers devant le service public, elle lui demande de lui indiquer quels critères peuvent être retenus par les collectivités territoriales sans qu'elles n'encourent l'annulation de leur règlement par le juge administratif.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur l'instauration d'une contribution sur les boissons contenant des sucres ajoutés. La lutte contre l'obésité doit être une priorité puisque de plus en plus de personnes et d'enfants en sont atteints chaque année. Néanmoins, le sucre n'est pas à lui seul la cause de l'obésité. En effet, d'autres aliments, et plus particulièrement les produits industriels provoquent cette maladie et les risques qui l'entourent. Ainsi, un aliment peut tout à fait contenir très peu de sucres mais beaucoup de graisses saturées et, par conséquent, être bien plus calorique qu'un verre de boisson sucrée. De plus, certains produits comme la soupe sont exclus de cette contribution alors même que les soupes toutes préparées contiennent une dose de sucre non négligeable pour certaines d'entre elles. Elle lui demande donc de lui indiquer dans quelle mesure la contribution pourrait être étendue à d'autres produits afin d'atteindre l'objectif de celle-ci à savoir une lutte effective contre l'obésité.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur l'accompagnement des collectivités territoriales dans la conduite de leur projet d'amélioration de la performance énergétique de leur patrimoine. Elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quels outils seront mis à disposition pour permettre aux maître d'ouvrage d'identifier les principaux enjeux de la maîtrise énergétique et pour définir la conduite de leurs actions.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration, chargé des collectivités territoriales, sur les difficultés dans l'élaboration des schémas départementaux de coopération intercommunale, dues, notamment, à une concertation insuffisante entre les élus et les services de l'État. De plus l'élaboration du schéma et sa mise en oeuvre sont largement conditionnées par les prochaines échéances électorales. En effet, certaines communes ne souhaitent pas prendre le risque de modifier leur appartenance à un syndicat ou à leur EPCI d'origine voire d'en intégrer un, alors que les élections municipales de 2014 sont proches. Les élus craignent que leur population, très peu informée de cette réforme, ne comprenne pas ces changements. Les citoyens sont particulièrement attachés à leur commune, cellule de base de l'organisation administrative française. Si la mise en oeuvre de la réforme de l'intercommunalité ne remet en cause ni l'existence ni le rôle des communes, il n'en demeure pas moins que les populations concernées ne sont pas suffisamment informées. Aussi, elle lui demande de lui indiquer, d'une part, dans quelle mesure les citoyens pourraient être mieux informés des enjeux que représente l'intercommunalité et, d'autre part, dans quelle mesure un délai supplémentaire pourrait être accordé à l'élaboration des schémas départementaux de coopération intercommunale afin d'éviter que celle-ci ne soit conditionnée essentiellement que par la crainte des échéances électorales.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la sécurité des maisons de retraite. En effet, de plus en plus de pensionnaires sont victimes des pratiques de certains démarcheurs qui profitent de leur vulnérabilité pour leur vendre des produits parfois très coûteux. Il est alors très difficile d'obtenir un recours contre ces ventes lorsque l'acheteur n'est pas placé sous tutelle ou curatelle et lorsque l'intention de nuire du vendeur n'est pas suffisamment caractérisée. Le délai de rétractation est, quant à lui, bien souvent expiré. Aussi, elle lui demande de lui indiquer dans quelle mesure l'accès des maisons de retraite pourrait être davantage sécurisé et contrôlé afin d'éviter la pratique de ces ventes.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur la disparité entre d'une part le manque de logements dans les grandes métropoles et les zones touristiques, et, d'autres part, le surplus de logements vacants dans d'autres zones d'habitation. Elle lui demande de bien vouloir lui indiquer les dispositifs qu'il envisage afin d'atténuer cette disparité.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur l'application de l'article 1 389 du code général des impôts. Cet article accorde un dégrèvement temporaire des logements vacants. Néanmoins, il est rarement mis en application. Aussi, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures seront prises afin d'inciter l'administration fiscale à mettre davantage en oeuvre ce dispositif exonératoire.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord alerte M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur la vacance de logements locatifs privés dans les zones souffrant de désindustrialisation et de perte d'emplois. C'est le cas dans la région Lorraine. En effet, une étude menée par le Filicom en 2007 constate qu'il existe 216 988 logements locatifs privés dont 50 083 ne sont pas occupés. Cette situation peut se révéler préjudiciable pour les propriétaires qui doivent cependant en assumer toutes les charges. Aussi, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures qu'il entend mettre en oeuvre pour favoriser l'accès aux logements vacants afin d'éviter qu'ils ne deviennent une charge financière insupportable pour les propriétaires.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord appelle l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur le calcul de la base d'imposition de l'auto-entrepreneur. En effet, pour bénéficier totalement du régime fiscal réservé aux auto-entrepreneurs, il convient de ne pas dépasser le seuil de 25 926 euros de revenu global l'année précédente de l'exercice. Or certains auto-entrepreneurs étaient salariés à plein temps et leurs revenus étaient donc supérieurs au seuil fixé. Aussi, elle lui demande de lui indiquer s'il ne serait pas plus logique de prendre en compte le revenu global de l'année de l'exercice pour calculer sur la même année tous les revenus perçus.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur les délais de jugement trop importants en cas de procédure contentieuse engagée par des entreprises. En effet, certaines entreprises sont confrontées à des procédures d'expertise très longues en cas de litige sans que les assurances ne prennent en charge les sommes concernées. Aussi, dans l'attente d'un jugement définitif, des sommes considérables sont parfois en jeu, ce qui peut conduire à une faillite de l'entreprise. Elle lui demande donc de bien vouloir lui indiquer d'une part, dans quelle mesure les assurances ne pourraient-elles pas prendre préalablement en charge ces sommes dans l'attente d'un jugement définitif et d'autre part, si une solution peut-être envisagée afin de réduire les délais de jugement dans ces affaires.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur le manque de mesures d'accompagnement des entreprises lorsque celles-ci traversent des difficultés. En effet, aujourd'hui, afin de protéger l'entreprise contre la défaillance, seules des mesures de licenciement économique permettent à ces dernières d'éviter une liquidation judiciaire. Cependant, ces licenciements ont un coût réel pour l'entreprise et ne sont pas favorables aux salariés qui les subissent puisqu'ils se retrouvent sans emploi. Le coût parfois exorbitant d'une telle mesure a donc un effet dissuasif et conduit le plus souvent à la faillite de l'entreprise et, par voie de conséquence, le fonds de garantie des salaires intervient à fonds perdus. Aussi, pour les petites entreprises, il y aurait un intérêt à créer un fonds de solidarité qui pourrait permettre de prêter, pour une courte durée n'excédant pas une année, les montants à engager à un taux préférentiel qui seraient remboursés par l'entreprise qui en bénéficie. Cette procédure serait juridiquement encadrée, soit par un expert comptable ou un professionnel du droit de l'entreprise, ce qui éviterait toute dérive. Cette aide permettrait d'éviter le dépôt de bilan et l'intervention du fond de garantie à perte. 95 % des entreprises qui font l'objet d'une mesure de redressement finissent par déposer le bilan. Le licenciement économique censé alléger la structure s'avère donc une mesure peu efficace. Une intervention a priori permettrait donc de sauvegarder des emplois, de continuer de s'acquitter des montants de la TVA et des charges sociales notamment. Elle lui demande donc de bien vouloir lui indiquer dans quelle mesure une telle aide, afin de mieux répondre aux besoins réels des entreprises pour qu'elles puissent faire face à leurs difficultés passagères en évitant la procédure de licenciement économique, est envisageable.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le statut des consultants ou intervenants en activité libérale qui interviennent dans des organismes de formation avec le statut de formateur occasionnel. L'URSSAF considère que ces personnes ont un lien de subordination avec l'organisme formateur et doivent être rémunérées à ce titre avec un bulletin de salaire en cotisant au régime général. Ces intervenants cotisent déjà au régime des indépendants (RSI) pour des prestations qu'ils rendent directement à leurs clients et ne veulent en aucune manière devenir salariés des structures de formation pour quelques heures d'intervention par an. De plus, le seul lien de subordination entre ces intervenants et l'organisme de formation réside dans le fait qu'un intervenant se voit confier des objectifs pédagogiques à atteindre en se référant à des éléments de programme. Il n'a cependant qu'une obligation de résultat. Il reste libre sur les méthodes et supports employés. Aussi, elle lui demande de lui indiquer l'évolution future des statuts de ces intervenants.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord interroge Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur la lutte contre les fraudes aux aides sociales. Selon un rapport confidentiel de la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF), quelque 200 000 personnes, soit 2,15 % du total des allocataires auraient frauduleusement reçu des aides sociales en 2009. Cette fraude représenterait de 540 à 808 millions d'euros, soit « entre 0,91 et 1,36 % du montant total des prestations versées en 2009 » selon le document. Pour l'année 2009, pas moins de 11 733 cas de fraude ont été repérés, pour un montant total estimé à 86,6 millions d'euros, dont près de 60 millions pour le seul RSA. La situation des comptes de l'État et des collectivités territoriales est chaque année dégradée en raison de ces fraudes. Ainsi, elle lui demande de bien vouloir lui indiquer quelles solutions de lutte contre les fraudes aux aides sociales seront mises en oeuvre.
Voir la questionMme Valérie Rosso-Debord attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le maintien des ventes de tabac en France malgré la hausse des prix. En effet, la dernière hausse, de plus de 6 %, du prix des cigarettes, n'a pas découragé les fumeurs. Aussi, il semblerait que le prix ne soit pas un facteur déterminant dans la consommation de tabac. Ce constat est particulièrement alarmant en ce qui concerne les jeunes fumeurs qui sont de plus en plus nombreux malgré l'interdiction de fumer dans les lieux publics. Sans remettre en cause la liberté de chacun, il est néanmoins constant que la consommation de cigarettes, dès l'adolescence, est un véritable problème de santé publique. Elle lui demande donc de bien vouloir lui indiquer dans quelle mesure le Gouvernement compte lutter contre le tabagisme des plus jeunes et s'il compte mettre en place des mesures de communication sur les méfaits du tabac, notamment dans les établissements scolaires dès le primaire jusqu'au secondaire, afin de sensibiliser les plus jeunes aux effets nocifs de la consommation de tabac.
Voir la questionAssemblée nationale
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