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M. Joseph Bossé

Maine-et-Loire (7ème circonscription)

Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)

Commission
  • Membre de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire
Biographie
  • Né le 14 février 1946 au Tremblay (Maine-et-Loire)
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Joseph Bossé

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  • Réponse à la question écrite n° 130215 publiée le 19 juin 2012
    déchets, pollution et nuisances - hydrocarbures - Nigeria. attitude de la France

    M. Joseph Bossé attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, sur la très grave pollution par hydrocarbures qui touche le delta du Niger, et dont les conséquences en termes de santé, d'accès à l'alimentation et à l'eau, sont dramatiques pour les populations locales. Les Nations-unies, par le biais de leur programme pour l'environnement (PNUE), préconisent la mise en place d'un fonds spécial pour nettoyer le pays ogoni, le fonds de restauration, et suggèrent que les compagnies pétrolières y participent. Des sociétés françaises participant à l'exploitation pétrolière dans le delta du Niger, il souhaite connaître la position du Gouvernement à ce sujet, et savoir s'il compte appuyer la mise en oeuvre de ce fonds de restauration.

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  • Question écrite n° 132557 publiée le 08 mai 2012
    santé - allergies - ambroisie. prolifération. lutte et prévention

    M. Joseph Bossé attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les moyens mis en œuvre pour lutter contre l'ambroisie. Cette plante invasive et hautement allergène, représente un réel danger sanitaire. Plusieurs initiatives ont été prises ces dernières années pour tenter d'enrayer le phénomène comme par exemple l'inscription de l'ambroisie au PNSE 2 ou encore la création de l'Observatoire de l'ambroisie. Malgré cela, aucune politique de lutte concertée et globale n'a été mise en œuvre. L'ambroisie poursuit donc son expansion et se manifeste violemment auprès des populations avec des allergies respiratoires graves. Par exemple, en Rhône-Alpes, l'envahissement de l'ambroisie a un coût : plus de 10 millions d'euros sont dépensés chaque année en remboursements de soins et d'arrêts maladies par les différentes caisses d'assurance maladie de la région. À ce jour, il n'existe aucun moyen de vérifier sérieusement l'efficacité des actions mises en place auprès des populations à protéger. Les indicateurs techniques qui ont été définis ne permettent de mesurer ni la destruction de l'ambroisie, ni la réduction de la densité de pollen d'ambroisie dans l'air. Pourtant des outils de mesure existent et ont été mis en place notamment par le RNSA (Réseau national de surveillance aérobiologique) depuis plus de 20 ans. La satisfaction de résultats techniques partiels ne doit pas masquer l'objectif majeur qui est de venir en aide aux personnes allergiques. Celles-ci sont en effet handicapées dans leur vie quotidienne par les effets de l'ambroisie. Seule la diminution de la quantité de pollen d'ambroisie libéré dans l'air, peut les soulager. Par ailleurs, les agriculteurs qui sont les premiers concernés par l'ambroisie, doivent pouvoir accéder à des moyens efficaces pour gérer cette plante invasive très urticante, ce qui n'est pas toujours le cas. Il lui demande quels moyens le Gouvernement compte mettre en œuvre pour d'une part, mesurer l'efficacité réelle de la lutte contre l'ambroisie auprès des populations touchées, par exemple en utilisant les outils existants de comptage du pollen d'ambroisie et d'autre part, en apportant un soutien aux agriculteurs dans les zones touchées par l'ambroisie.

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  • Question écrite n° 130505 publiée le 13 mars 2012
    plus-values : imposition - exonération - cessions immobilières. réforme. terrains constructibles. définition

    M. Joseph Bossé attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la question des plus-values immobilières et plus particulièrement sur un amendement voté au projet de loi de finances rectificative pour 2011, qui avait pour objet de prendre en compte le problème des terrains constructibles pour lesquels une promesse de vente avait été signée avant le 25 août 2011, et qui ne pouvaient pas faire l'objet d'une vente avant le 1er février 2011, tombant ainsi dans le régime de taxation des plus-values immobilières pour des raisons indépendantes de la volonté du vendeur comme de l'acquéreur. Cet amendement visait aussi à prendre en compte le risque de blocage de nouvelles transactions sur les terrains constructibles lié à l'entrée en vigueur de la réforme des plus-values immobilières. L'article 13 septies a donc été intégré après l'article 13, et rédigé comme suit : « le premier alinéa du II de l'article 1er de la loi n° 2011-1117 du 19 septembre 2011 de finances rectificative pour 2011 est complété par les mots : « à l'exception des cessions de terrains nus, constructibles du fait de leur classement, par un plan local d'urbanisme ou par un autre document d'urbanisme en tenant lieu, en zone urbaine ou à urbaniser ouverte à l'urbanisation ou, par une carte communale, dans une zone où les constructions sont autorisées, pour lesquelles une promesse de vente a été enregistrée avant le 25 août 2011 et la vente est conclue avant le 1er janvier 2013 ». Depuis l'entrée en vigueur de cette disposition, des difficultés d'interprétation sont apparues, notamment sur le champ d'application de la mesure. Certains entendent par cessions de terrains nus constructibles, la seule notion de terrains nus. D'autres considèrent les terrains nus constructibles comme des terrains à bâtir, c'est-à-dire des terrains sur lesquels des constructions sont édifiées au moment de la vente, mais destinées à être démolies par l'acquéreur qui entamera ensuite un programme de construction. Or l'esprit du texte ne devait pas pénaliser les projets de construction déjà entamés avant la réforme des plus-values, notamment ceux qui nécessitent du temps à se concrétiser. C'est la raison pour laquelle, il lui demande de bien vouloir lui donner des précisions sur le champ d'application réel de cette nouvelle disposition, pour savoir si les terrains nus sont seuls concernés par cette mesure, ou si les terrains à bâtir sont aussi à prendre en compte.

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  • Question écrite n° 130183 publiée le 13 mars 2012
    commerce extérieur - Coface - procédures. transparence

    M. Joseph Bossé appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce extérieur, sur le fonctionnement de la Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur (Coface), qui a pour mission de faciliter les échanges entre les entreprises installées de par le monde, et de gérer pour le compte de l'État et, avec la garantie de l'État, les garanties destinées à développer les exportations françaises - garanties qui portent sur des risques qui ne sont pas assurables par le marché privé -. Des organisations intergouvernementales déplorent que certains projets soutenus financièrement par la Coface ne respectent pas les droits humains. Or des entreprises qui bénéficient d'un soutien financier de la Coface, et qui engagent indirectement la responsabilité de l'État, doivent respecter dans la conduite de leur projet, un certain nombre de critères, au premier rang desquels le respect des normes internationales des Nations-unies en matière de droits humains. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui donner des précisions sur la manière dont la Coface prend en compte ces critères au-delà du respect des critères sociaux et environnementaux, et si elle a notamment intégré les nouvelles normes internationales élaborées par les Nations-unies ? Par ailleurs, il lui demande de lui indiquer si le rapport annuel faisant état des activités de la Coface et des projets qu'elle soutient, fera l'objet d'une mesure de publicité à l'égard de la société civile, ce afin de renforcer la transparence de son fonctionnement.

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  • Réponse à la question écrite n° 125509 publiée le 06 mars 2012
    professions de santé - orthophonistes - diplôme. revendications

    M. Joseph Bossé appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les préoccupations des professionnels de l'orthophonie concernant le processus en cours de réingénierie de leur formation. Associées à la recherche d'un équilibre entre reconnaissance de la formation initiale et niveau de formation nécessaire au regard des besoins de prise en charge de la population, toutes les composantes de la profession ont oeuvré à l'élaboration de référentiels répondant ainsi au cadre fixé par le ministère de la santé. Ces travaux concourraient à la reconnaissance de la formation des orthophonistes au niveau de grade master permettant une pratique généraliste visant à garantir une qualité de soins sur tout le territoire. À défaut d'une formation unique, une solution visant à segmenter leur activité a été annoncée à la profession orthophoniste, avec un premier niveau en master pour une activité généraliste et un second niveau en master 2 pour des praticiens qualifiés pour prendre en charge notamment des patients victimes d'accidents vasculaires cérébraux, les patients atteints de la maladie d'Alzheimer, de la maladie de Parkinson, les personnes aphasiques. Les orthophonistes craignent un démantèlement de leur profession. Ils souhaitent que soit reconnue au niveau de grade master la formation initiale de l'ensemble des orthophonistes appelés à intervenir sur tout le territoire. Un niveau unique de formation est le seul moyen pour eux d'être en mesure de pouvoir offrir des soins de qualité identiques sur tout le territoire. Aussi, il souhaite connaître sa position en la matière.

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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mercredi 29 février 2012 - Séance de 9 heures 30

    • En application de l'article 13 de la Constitution :
    • - audition, ouverte à la presse, de M. François Jacq, président-directeur général de Météo-France, dont le renouvellement du mandat est envisagé par le Président de la République
    • - Vote sur la nomination de M. François Jacq
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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mercredi 1er janvier 2012 - Séance de 9 heures 30

    • - Audition, ouverte à la presse, de M. Christian de Boissieu, président du Conseil d'analyse économique, sur le financement du développement durable
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  • Question au Gouvernement
    politique sociale - lutte contre l'exclusion - prime de Noël. bénéficiaires

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  • Deuxième séance du mercredi 21 décembre 2011

    • 1. Questions au Gouvernement
    • 2. Loi de finances pour 2012 (lecture définitive) (n° 4108)
    • 3. Accord France-Panama sur les doubles impositions (lecture définitive) (n° 4114)
    • 4. Approbation de conventions et accords internationaux (procédure d'examen simplifiée)
    • 5. Loi de finances rectificative pour 2011 (n° 4116) (lecture définitive)
    • 6. Ordre du jour de la prochaine séance
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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mercredi 30 novembre 2011 - Séance de 9 heures 30

    • - Audition, ouverte à la presse, de M. Martial Saddier en qualité de président du Conseil national de l'air
    • - Nomination d'un rapporteur sur la proposition de résolution de M. Pierre Morange, et plusieurs de ses collègues, tendant à la création d'une commission d'enquête relative aux modalités de fonctionnement, au financement ainsi qu'à l'impact sur l'environnement du projet de rénovation du réseau express régional d'Île-de-France et notamment la ligne A du RER (n° 3259) et examen de la proposition de résolution
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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mardi 22 novembre 2011 - Séance de 17 heures

    • - Audition de MM. Bernard Deflesselles et Jérôme Lambert sur le rapport d'information sur les négociations internationales relatives au changement climatique, présenté au nom de la Commission des affaires européennes
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  • Troisième séance du mercredi 2 novembre 2011

    • 1. Projet de loi de finances pour 2012 (seconde partie) (suite) (n° 3775-II)
    • 2. Ordre du jour de la prochaine séance
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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mercredi 2 novembre 2011 - Séance de 9 heures 30

    • - Audition, ouverte à la presse, de M. Serge Lepeltier, ambassadeur en charge des négociations internationales sur le changement climatique
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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mercredi 12 octobre 2011 - Séance de 9 heures 30

    • - Table ronde, ouverte à la presse, sur la valorisation des biodéchets, avec la participation de M. Antoine Jacob, président du Club Biogaz, M. Yves Coppin, Veolia environnement, M. Nicolas Garnier, délégué général d'AMORCE (Association nationale des collectivités, associations et entreprises pour la gestion des déchets, de l'énergie et des réseaux de chaleur), M. Marc Cheverry, chef du service prévention et gestion des déchets de l'ADEME, MM. Loïc Beroud, chef du département déchets et Olivier David, chef du bureau planification des déchets (ministère de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement)
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  • Compte rendu de réunion de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

    Mercredi 22 février 2011 - Séance de 9 heures 30

    • - Examen, au titre de l'article 88, des amendements restant en discussion sur la proposition de loi, modifiée par le Sénat, portant diverses dispositions d'ordre cynégétique (n° 4329) (M. Jérôme Bignon, rapporteur)
    • - Présentation, ouverte à la presse, du rapport du Comité d'évaluation et de contrôle des politiques publiques sur l'évaluation de la politique d'aménagement du territoire en milieu rural (n° 4301) (MM. Jérôme Bignon et Germinal Peiro, rapporteurs)
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Fonctions

  • Mandat

    • Élu le 10/06/2007 (Date de début de mandat : 30/07/2011 (remplacement d'un député nommé au Gouvernement : M. Marc Laffineur))
  • Commissions

    • Membre de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire

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