2ème séance : Formation des maîtres
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Ille-et-Vilaine (7ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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Vidéo du 8 février 2012
2ème séance : Formation des maîtres
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M. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la situation des associations qui, répondant à l'obligation faite par la Convention 163 de l'OIT (ratifiée en 2004 par le Parlement français) oeuvrent au bien-être des gens de mer dans les ports en leur fournissant un ensemble de prestations et de services adaptés à leurs besoins et en apportant leur aide aux marins en difficulté. Le financement des ces actions provient à la fois de l'État (Association de gestion des institutions sociales maritimes, ports), des collectivités locales, des gens de mer et des armateurs. Or le système actuel d'une contribution volontaire des armateurs n'est pas satisfaisant. Inexistante dans certains ports, impayée dans d'autres et d'un montant qui varie selon les ports, elle ne permet pas d'assurer la pérennité du fonctionnement des associations. Il lui demande de lui indiquer s'il envisage une modification réglementaire de l'article 211-1 du code des ports maritimes, permettant ainsi une redevance "bien-être" à taux modulable et dont seraient redevables tous les navires en escale dans les ports français.
Voir la réponseIntervention en séance publique
M. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur l'augmentation constatée depuis quelques semaines de la taxe OFII liée à l'obtention d'un VLSTS pour les jeunes gens au pair venant d'un pays hors UE. Ces jeunes gens doivent désormais obtenir un visa visiteur en acquittant une taxe de 340 euros et non plus un visa étudiant à 55 euros. Ces jeunes étrangers ne devraient pas être assimilés à des visiteurs : en effet, ils sont tenus de suivre des cours de français obligatoires dans le cadre de leur placement en famille et viennent en France avec des contrats d'accueil validés par les Directions régionales des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE). Il lui demande de bien vouloir lui indiquer les raisons qui ont amené à un changement de taux aussi important.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les inquiétudes manifestées par les centres équestres et de tourisme équestre. Après la condamnation des Pays-Bas, de l'Allemagne et de l'Autriche, la France est également sous le coup d'une procédure devant la Cour de justice de l'Union européenne visant à faire passer à court terme la TVA du secteur cheval et activités équestres de 5,5 % à 19,6 %. Une telle mesure aurait des incidences désastreuses pour les cavaliers qui subiraient une hausse de la fiscalisation de 240 %. Pour les centres équestres, petites entreprises non délocalisables et qui ne disposent que d'une faible marge, cela se traduirait par des baisses des charges de fonctionnement et de nombreux licenciements avec à la clef de grosses difficultés pour retrouver un emploi. Il lui demande de lui indiquer quelles mesures le Gouvernement envisage de prendre pour maintenir un taux de TVA réduit pour les activités équestres et garantir ainsi l'avenir économique de la filière équine.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur les inquiétudes des candidats au Capes de langues régionales en particulier du breton. Le nombre de postes ouverts au concours est en nette diminution depuis 2000 même si le ministère est finalement revenu sur sa décision de supprimer le concours pour 2012. Il lui demande de lui indiquer s'il entend maintenir le Capes de langues régionales à l'avenir, conservant ainsi la pratique vivante de ces langues dans notre pays.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur l'accès au logement ainsi que les conditions de sortie des locataires. Une enquête publique qui visait à connaître les modalités pratiques d'accès à la location, vérifier la conformité des agences à leurs obligations légales et apprécier le service offert au candidat à la location s'est avérée très alarmante. Bien qu'obligatoires, de nombreuses informations ne sont pas affichées par les agences ou ne sont pas visibles de l'extérieur (affichage de l'étiquette énergétique par exemple). De plus, certaines agences n'hésitent pas à demander pour la constitution du dossier des documents strictement interdits (attestation du précédent bailleur, relevé de compte etc..). Les honoraires acquittés par les locataires sont de plus prohibitifs alors que le locataire ne doit à l'agence que la seule rédaction de l'acte. Enfin, se pose encore fréquemment la question des conditions de restitution du dépôt de garantie. Il lui demande les mesures qu'il entend mettre en oeuvre pour remédier aux dysfonctionnements constatés et de lui indiquer les initiatives que le Gouvernement entend prendre pour simplifier l'accès au logement et les conditions de sortie des locataires.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur les modalités d'ouverture des établissements d'enseignement privé. Il semble que certaines communes exigent pour l'ouverture d'un établissement d'enseignement privé une autorisation d'ouverture au public au lieu de la simple déclaration. Les maires de ces communes considéreraient qu'en l'absence de cette autorisation municipale, un établissement d'enseignement privé est "un établissement inexistant". Il lui demande de lui préciser l'état de la législation à cet égard.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés des assistantes sociales. Le métier d'assistante sociale a largement évolué et ceci est encore plus vrai à l'hôpital où sont hospitalisées de nombreuses personnes âgées, fragilisées par la maladie et la perte d'autonomie. La réorganisation des études d'assistante sociale (trois ans) en 2005 au niveau licence master LMD avec soutenance d'un mémoire de fin d'études et des blocs de formation à valider permettait d'espérer une intégration en catégorie A, ce qui n'est pas encore le cas. Il lui demande de lui indiquer s'il envisage, dans un délai proche, d'accorder la catégorie A à tous les titulaires du diplôme d'État d'assistant de service social, ainsi que la revalorisation de leurs salaires.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les préoccupations des producteurs de légumes après la décision de France AgriMer de suspendre, faute de crédits, son dispositif d'aide à la construction ou à l'aménagement de serres maraîchères. Ce coup d'arrêt à un moment crucial pour la filière qui vient d'enregistrer des résultats encourageants en 2010, va la fragiliser durement, à contretemps des politiques de nos voisins européens qui sont nos concurrents directs. Il lui demande donc quelles mesures le Gouvernement envisage de mettre en place afin de maintenir ce dispositif d'aide particulièrement utile dans un contexte concurrentiel tendu.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur le processus de désignation d'aires marines protégées (marine conservation zones) engagé par le Royaume-uni dans les eaux relevant de sa souveraineté. Les mesures de gestion au sein des ces AMP vont se traduire par des contraintes importantes pour l'exploitation des navires hauturiers français, essentiellement des chalutiers, pêchant dans ce secteur. La validation des zones proposées actuellement aurait un impact économique très grave à la fois directement pour les emplois en mer mais aussi pour les nombreux emplois à terre que ces derniers induisent. Il lui demande de bien vouloir lui indiquer comment il entend relayer auprès des autorités britanniques la forte inquiétude de nos marins-pêcheurs et tenter de limiter au maximum les contraintes découlant des mesures de gestion de ces AMP pour les navires français.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès du ministre du travail, de l'emploi et de la santé, chargée de la santé, sur les inquiétudes exprimées par les organisations syndicales représentatives à l'établissement français du sang quant à la politique engagée par le président de cet établissement. Un projet de regroupement de l'activité des laboratoires de qualification des dons devrait supprimer l'activité de dix laboratoires sur les quatorze existants, avec pour corollaire la perte d'environ deux cents emplois. Les quatorze sont dotés chacun d'un laboratoire régional effectuant les analyses de qualification biologique des dons dans le souci prioritaire de réduire au maximum le délai entre les dons de sang et la mise à disposition des produits dans les établissements de soins. Qu'en sera t'il s'il ne reste que quatre laboratoires pour toute la France et dans quelles conditions s'effectuera le transport des tubes de sang ? Il semblerait par ailleurs que le plasma pour fonctionnement vendu au laboratoire français des biotechnologies (LFB) le soit à perte. Il lui demande de lui indiquer la position du Gouvernement sur le projet EFS de regroupement des plateaux de qualification biologique des dons de sang.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés d'application du dispositif NACRE (Nouvel accompagnement pour la création et la reprise d'entreprise) pour 2011. Créé en 2009 par l'État, le dispositif NACRE constitue un outil renforcé d'appui à la création d'entreprise et d'emplois. Les conditions de re-conventionnement des opérateurs pour 2011 et le budget alloué de 23 millions d'euros ne semblent plus en adéquation avec le nombre très important de demandeurs d'emploi pour lesquels la création d'entreprise accompagnée peut être une réponse appropriée en terme d'insertion professionnelle. Il lui demande de lui indiquer les mesures qu'il envisage pour que les objectifs de la Convention "Agir pour l'emploi», notamment les objectifs visés par le dispositif NACRE soient atteints.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la question des frais de mobilité bancaire des consommateurs. Une section locale d'UFC-Que choisir vient de rendre publique une enquête sur les frais et la mobilité bancaire. Les résultats de cette enquête indiquent que les établissements bancaires ne semblent pas respecter le prix de la concurrence et opposent de nombreux obstacles lorsqu'un client souhaite changer de banque. UFC-Que choisir a en effet sollicité dix agences locales pour vérifier le niveau de prix des services et tester l'effectivité du service d'aide à la mobilité bancaire mis en place au 1er novembre 2009. L'évolution des prix entre 2004 et 2010 de trois produits stratégiques (carte bleue classique, commission d'intervention pour incident, retrait au distributeur) met en évidence une hausse très supérieure à l'inflation constatée sur cette période (8 %). Par exemple, dans une banque, les commissions d'intervention par incident ont augmenté sur la même période de 21,5 %. De plus, malgré l'engagement pris par les banques, le changement d'établissement s'avère particulièrement difficile pour les consommateurs. D'après l'enquête, 50 % des conseillers financiers n'en parlent pas spontanément à un client qui vient les solliciter pour changer de banque. Dans 33 % des établissements, le client doit effectuer toutes les démarches et dans 11 % le travail est partagé avec la banque. Quant au délai nécessaire avant activation du compte, le consommateur doit attendre plus d'un mois dans 62 % des cas, alors que les banques s'étaient engagées à cinq jours ouvrés. Il lui demande ses intentions à ce sujet, l'autorégulation ne fonctionnant pas à l'évidence au profit des consommateurs.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la situation difficile des éleveurs porcins. La production porcine connaît depuis plus de trois ans maintenant une crise sans précédent : 30 % des éleveurs bretons sont en grande difficulté et 10 000 emplois sont en péril sur les 31 000 que représente la filière porcine régionale. Malgré le déblocage d'une enveloppe DACS AGRI supplémentaire de 30 millions d'euros pour toutes les productions françaises, un certain nombre de producteurs ne pourront surmonter cette crise. Il lui demande, compte tenu de l'urgence de la situation, s'il envisage de mettre en place un accompagnement spécifique aux producteurs de porcs les plus en difficulté.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la nécessité soulignée par les syndicats d'exploitants agricoles d'un "label France" pour les entreprises agroalimentaires. À l'image des obligations d'étiquetage dans les secteurs de la viande bovine et des fruits et légumes frais, il paraît indispensable d'avoir un affichage clair du pays d'origine des produits agricoles et alimentaires qui permettrait au consommateur de choisir en toute connaissance de cause. Il lui demande de lui indiquer les mesures qu'il envisage de prendre afin de garantir aux consommateurs la traçabilité et la lisibilité requises.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur l'inquiétude générée par les fermetures des brigades de douane de Lannion et de Vannes et les menaces concernant les services douaniers en particulier de Saint-Brieuc, Saint-Malo, ou Quimper. En effet, 25 % des emplois douaniers ont déjà disparu ces dix dernières années en Bretagne, alors que partout les trafic illicites explosent, notamment celui des drogues dures, et que, dans le même temps, la direction générale augmente les objectifs en matière de saisies à réaliser et de montant des droits et taxes à percevoir ou récupérer. Il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures qu'il souhaite prendre pour permettre aux agents des douanes d'assurer leur rôle en matière de lutte contre la fraude et les trafics illicites dans les meilleures conditions de travail et d'autonomie.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur les conséquences de l'article 4 de la loi du 22 juillet 2009 de développement et de modernisation des services touristiques pour les artisans du taxi, particulièrement ceux d'Ille-et-Vilaine. La libéralisation du régime des "voitures de grande remise", les nouvelles conditions d'installation et de fonctionnement font craindre aux artisans du taxi une réglementation de la profession qui menacerait l'équilibre économique de l'industrie du taxi. La mise en place des "voitures de tourisme avec chauffeur" avec pour seule contrainte réelle d'accès à cette profession une simple obligation de stage pesant sur le conducteur suffira t'elle véritablement à garantir sécurité et professionnalisme alors que le champ d'activité de ces entreprises n'est pas défini? Il lui demande de lui indiquer les mesures qu'il envisage de prendre pour assurer une concurrence loyale entre les transporteurs.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche sur les inquiétudes manifestées par les jeunes agriculteurs d'Ille-et-Vilaine quant aux menaces qui pèseraient sur le crédit d'impôt pour congés. Créé par la loi d'orientation agricole de 2006, cette mesure qui a largement fait preuve de son efficacité et de sa nécessité pourrait ne pas être reconduite en 2011. Pourtant, en permettant aux agriculteurs de partir en toute tranquilité de leurs exploitations pendant quelques jours, cette disposition constitue une indéniable avancée sociale. Elle contribue en outre à l'attractivité du métier en étant un facteur essentiel pour favoriser l'installation et la transmission des exploitations. Il lui demande de bien vouloir lui faire connaître la position du Gouvernement sur cette question.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de Mme la ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi sur la question de l'opacité et de la cherté des frais bancaires. Une enquête rendue publique sur l'évolution des tarifs bancaires entre 2004 et 2009 a permis à l'association UFC- Que choisir de dresser un bilan sévère. Le manque de transparence des tarifs tend à s'aggraver. Les énormes brochures rendent malaisée la comparaison pourtant indispensable à la concurrence, d'autant que les libellés diffèrent d'un établissement à l'autre, que les tarifs concernent des périodicités différentes ou sont appliqués à l'opération. Par ailleurs, les banques ont multiplié les packages incluant des services à l'utilité parfois discutable. Mais surtout, l'inflation s'est concentrée sur les frais-sanction. En cinq ans, les frais d'incidents de paiement des chèques ont augmenté de 26 % au profit des banques. Or la qualité du service ne suit pas. Enfin les baisses des coûts ne sont pas répercutées : le prix de la carte bancaire a augmenté de 13 % alors que le coût d'un paiement par carte a diminué d'au moins 9 %. Il lui demande de lui indiquer les mesures qu'elle entend prendre pour faire évoluer ces pratiques et mettre fin à l'opacité et à la cherté des frais bancaires.
Voir la réponseM. René Couanau appelle l'attention de Mme la ministre de l'économie, des finances et de l'emploi sur la question des exonérations fiscales des heures travaillées sur les astreintes, en particulier celles des infirmières et infirmiers de bloc opératoire. Ces personnels sont en effet amenés à assurer des astreintes et à effectuer des heures de travail effectif sur ces temps, de jour comme de nuit. Ces astreintes sont basées sur le volontariat et les heures travaillées sur une astreinte sont considérées comme des heures supplémentaires et, comme telles, rémunérées à 200 %. Il lui demande donc de lui indiquer clairement si ces heures sont bien déductibles de charges patronales et salariales et exonérées d'impôt.
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(la zone en rouge situe le banc)
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