2ème séance : Information des passagers dans les entreprises de transport aérien ; Exploitation numérique des livres indisponibles du XXe siècle ; Dispositions d'ordre cynégétique
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Bouches-du-Rhône (11ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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1ère séance : Commémoration de tous les morts pour la France (C.M.P.); Reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés
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Mission d?information sur l'audiovisuel extérieur de la France : audition de Mme Christine Ockrent, directrice générale déléguée de la société Audiovisuel extérieur de la France (AEF)
Travaux récents
M. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de la fonction publique sur le décret n° 2010-676 du 21 juin 2010 relatif à la fonction publique et qui prévoit la possibilité de prendre en charge de façon partielle les frais occasionnés par les fonctionnaires pour leurs déplacements entre leur résidence habituelle et leur lieu de travail. Si l'article L. 3261-2 du code du travail est bien repris dans le décret concernant le remboursement des titres d'abonnements aux transports publics, il s'avère que l'article L. 3261-3 du code du travail visant le remboursement des frais de carburant sous certaines conditions ne soit pas repris, empêchant de ce fait les collectivités territoriales ou autre employeurs publics de couvrir partiellement ces frais de carburant. C'est pourquoi il lui demande quelles sont ses intentions sur cette situation et si il est possible d'envisager une nouvelle rédaction de ce décret afin de permettre cette possibilité de remboursement.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les entreprises utilisatrices d'oeufs qui sont actuellement touchées de plein fouet par une pénurie et une forte hausse du prix de ce produit. Le retard de la mise en conformité d'une partie des exploitations d'élevage à la directive Bien-être, rendue obligatoire au 1er janvier 2012, provoque actuellement une pénurie d'œufs sur le marché européen. Le déficit de production est aujourd'hui estimé à 21 millions d'œufs par semaine, soit une baisse de production de 10 % par rapport à 2011, selon le SNIPO. Cette pénurie a pour conséquence une envolée des prix : entre octobre 2011 et février 2012, le prix de l'œuf a augmenté de 75 %. Cette situation de déséquilibre significatif pourrait perdurer pour la plus grande partie de l'année 2012. Or les œufs sont des ingrédients incontournables dans la fabrication de nombreux produits et sont utilisés en quantités significatives par les entreprises de transformation de produits alimentaires : biscuits cuiller 30 %, quatre quart : 25 %, pâtes alimentaires jusqu'à 30 %, brioches : 15 %, quenelles : 27 %. Cette situation a donc des répercussions considérables, certaines entreprises pourraient prochainement procéder à des fermetures de lignes de production, tant que les volumes feront défaut, avec comme conséquence la mise en chômage technique d'une grande partie du personnel et l'impossibilité d'honorer les livraisons auprès de leurs clients. C'est pourquoi, compte tenu de cette situation, il lui demande si les différentes autorités concernées peuvent prendre des mesures urgentes, exceptionnelles et temporaires pour accroître les disponibilités à court terme. De telles mesures permettraient également d'atténuer l'impact économique pour les consommateurs d'œufs et d'aliments en contenant.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur la demande de plus en plus soutenue de nombreuses associations environnementales et concernant la nécessaire maîtrise pérenne du sol et du sous-sol de notre territoire. Sachant qu'un rapport sur l'articulation du droit minier et du droit de l'environnement vient d'être rendu, il lui demande quelle est la position de son ministère sur l'évolution à prendre dans ce domaine et quelles en sont les principales lignes directrices.
Voir la réponseMise en oeuvre de la réforme de l'audiovisuel extérieur de la France
Voir le document Voir le dossier législatifM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de la culture et de la communication sur la taxe sur les spectacles vivants au profit de l'association pour le soutien au théâtre privé. Modifiées lors de la loi de finances rectificative pour 2003, les modalités de versement de cette taxe paraissent de plus en plus difficilement acceptables pour les amateurs bénévoles membres d'associations sans but lucratif. En effet, ce sont de petites structures qui en reversant 3,5 % de leur recette de billetterie abondent un fond qui regroupent des théâtres qui sont des entités commerciales et qui souvent reçoivent des subventions. Ces recettes de billetterie qui représentent une sorte de participation aux frais des représentations (costumes, décors, location de salles...) sont donc amputées d'un pourcentage totalement perdu par ces associations puisqu'elles ne peuvent prétendre à une redistribution de la taxe n'étant pas membre de l'association pour le soutien au théâtre privé. Il existe donc un véritable déséquilibre entre le secteur associatif et le secteur commercial. Doit-on relever la différence de prix entre une participation aux frais aux alentours de 10 euros et ceux proposés par les grands théâtres dont les prix de places peuvent aller au delà de 40 euros ! Aussi, il lui demande d'engager une réflexion sur la différence qui doit être opérée entre pratiques amateurs du théâtre et théâtre professionnel ainsi que sur les modalités de perception de la taxe sur les spectacles vivants qui doivent prendre en considération le fait que les associations amateurs ne peuvent bénéficier de la redistribution de cette taxe.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Mardi 6 mars 2012 - Séance de 18 heures 30
Intervention en réunion de commission
Mardi 6 mars 2012 - Séance de 18 h 30
Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
M. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les difficultés que rencontrent de plus en plus les assurés lorsqu'ils sont victimes d'accrochages avec leur voiture sans qu'aucun constat amiable n'ait pu être réalisé pour cause de délit de fuite de la part de l'autre véhicule. En effet, ce type de situation semble se banaliser alors que les conséquences financières peuvent être lourdes pour celui qui en subit les conséquences : non-prise en charge des frais de réparation, perte d'un bonus. C'est pourquoi il lui demande, d'une part, de faire un état des lieux de la réglementation opposable aux assurés qui sont confrontés à cette situation et, d'autre part, si cet état des lieux s'avère défavorable aux assurés, d'envisager la création d'un fonds de garantie qui permettrait de pallier les conséquences financières d'un délit de fuite dûment constaté.
Voir la questionM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les atouts du patrimoine forestier français tant sur le plan économique qu'environnemental et sur sa nécessaire pérennisation. Il paraît donc nécessaire de se mobiliser pour préserver la forêt et ses ressources. Aussi à l'occasion d'un déplacement en Corrèze le 28 avril dernier, M. le Président de la République a annoncé un certain nombre de mesures attendues par l'ensemble des forestiers de France. Or, à ce jour, alors que certaines de ces mesures doivent être appliquées avant la fin de l'année 2011 et en dépit des objectifs ainsi assignés par M. le Président de la République, aucune des mesures annoncées ne bénéficie d'un début d'application. C'est pourquoi il lui demande quelles seront les premières dispositions mises en place et dans quel délai.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les difficultés rencontrées pour attribuer à la formation initiale des orthophonistes le niveau du grade master. Alors que le ministère de l'éducation, à qui revient de déterminer le niveau des formations universitaires, a attribué à cette formation le niveau grade master le 31 mars dernier, le ministère de la santé, co-signataire du diplôme, n'a toujours pas donné sa position et semble même réticent à lui accorder ce niveau. Aussi, sachant que les critères objectifs nécessaires à l'évaluation du diplôme et définis par le ministère de la santé ont été largement dépassés, il lui demande dans quel délai raisonnable, une décision sera prise en faveur du grade master. Il lui rappelle que la France est le seul pays francophone à ne pas voir la formation initiale des orthophonistes reconnu au grade master, ce qui empêche par exemple la reconnaissance du diplôme au Québec et l'essentiel de cette profession étant libérale que le coût financier de cette graduation sera négligeable pour les finances publiques.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur les différentes taxes locales apparaissant sur les factures d'EDF. En effet, à la rubrique « taxe et contribution », une ligne « taxe sur la consommation finale d'électricité », une ligne « taxe locale consommation » et enfin une ligne « taxe locale abonnement » sont dorénavant présentes. Si nous savons pourquoi ces différentes taxes ont vu le jour, puisqu'il faut entretenir localement les réseaux électriques, il semble en revanche que les consommateurs se demandent si la TVA est dès à présent calculée sur ces taxes locales, au regard de leur facture EDF, et si c'est le cas, il souhaiterait connaître les finalités de cette démarche qui consiste à taxer une taxe.
Voir la questionM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, sur les revendications exprimées par l'Association des Français de Chine, concernant l'indemnisation des biens privés spoliés à partir de 1949 ou perdus en Chine et notamment à Shanghai où la présence française a été importante. En effet, suite aux engagements pris par les différents gouvernements français depuis plus de cinquante ans, aucune décision n'a jamais été prise pour la France alors que tous les autres pays ont bénéficié de la part du Gouvernement chinois d'un remboursement significatif depuis 1979, au moment où la Chine s'ouvrait au monde (Grande-Bretagne, États-unis, Canada, Belgique, Allemagne, pour ne citer que les principales puissances présentes en Chine à cette époque). Il est rappelé que la France n'a jamais été un pays colonisateur en Chine, les concessions ont toujours été un lieu d'accueil et de modernité. La France en n'exigeant pas une indemnisation se met aujourd'hui au même rang que le Japon, pays qui a beaucoup, malheureusement, à se faire pardonner. La demande d'indemnisation porte essentiellement sur des immeubles appartenant à des Français ou à des sociétés françaises ayant une présence séculaire ; le cercle sportif français, le Picardie, l'université Aurore, la centrale électrique, les bâtiments municipaux en sont encore le témoignage. Il y aurait une centaine de dossiers déposés au sein du ministère des affaires étrangères depuis les années 1960. Ils représentent plusieurs milliards d'euros sachant que l'ancienne concession française de Shanghai reste le centre historique de Shanghai et le quartier résidentiel le plus recherché aujourd'hui.La majorité de ces immeubles ont été construits entre 1920 et 1935 et sont d'un style art déco. Beaucoup ont été restaurés, notamment en préparation de l'exposition universelle de Shanghaï en 2010, ils font l'objet d'une grande attention des autorités chinoises, certains sont classés au patrimoine historique, et constituent un des lieux de visite très recherché par les touristes. Dans les années 50, après l'arrivée des communistes, tous les immeubles ont été expropriés, sans indemnisation, et cela en contradiction avec le traité franco-chinois du 28 février 1946. Alors que le gouvernement français est en train de liquider les derniers dossiers des rapatriés d'Afrique du nord, d'Afrique et d'Indochine, cette page de notre histoire ne pourra être définitivement tournée qu'avec le règlement par la Chine des biens français abandonnés. La Chine est devenue aujourd'hui une des premières puissances mondiales, elle a plus de 2 000 milliards de dollars américains en réserve monétaire ; elle peut et souhaite assumer ses responsabilités de 2e puissance mondiale, respectueuse des règles de l'OMC, en indemnisant au juste prix ces spoliations. C'est pourquoi il lui demande de lui faire savoir si le Gouvernement a toujours l'intention de régler ce contentieux des biens privés et de faire appliquer le traité de 1946.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, sur la mise en oeuvre du « rapport Goldstone » suite aux récents événements survenu dans la bande de Gaza . En effet, très prochainement et dans le cadre de la 16e session du conseil des droits de l'Homme des Nations-unies, il sera décidé des suites à donner aux recommandations formulées dans ce rapport. Après différentes séquences et rapports d'étapes , il semble que les autorités israéliennes et palestiniennes n'ont pas suffisamment répondu aux demandes d'enquêtes formulées par l'assemblée générale des Nations-unies. Aussi, sachant dans la résolution du 10 mars 2010, que le Parlement européen a appelé les États membres de l'Union européenne « à surveiller l'application des recommandations du rapport Goldstone » afin d'aboutir à une « forte position commune, demandant publiquement l'application de ses recommandations et la poursuite des responsables de toutes les violations des droits de l'Homme », il souhaite connaître la position de la France dans le cas où le comité d'experts indépendants, chargé par le conseil des droits de l'Homme des Nations-unies du suivi des enquêtes menées par les autorités israéliennes et palestiniennes, établirait que ces enquêtes ne répondent pas aux conditions d'indépendance, de crédibilité et de respect du droit international.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de Mme la ministre des sports sur le projet de décret relatif aux manifestations sportives sur la voie publique. En effet, il apparaît qu'il existe une certaine opposition à la suppression prévue des inscriptions des manifestations sportives au calendrier fédéral. Grâce à cette inscription, les fédérations avaient connaissance des différentes manifestations organisées et pouvaient ainsi maîtriser le calendrier et les coordonner. Cela semble également signifier qu'une personne physique ou morale pourrait organiser une manifestation ouverte aux licenciés, hors de tout cadre fédéral. D'autres dispositions contenues dans le projet de décret semblent aussi ne pas rencontrer une totale adhésion. C'est pourquoi il lui demande si des modifications sont déjà envisagées par ses services en fonction des remarques ainsi exprimées et, si tel n'est pas le cas, une consultation est prévue avant la publication du décret au Journal officiel.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la loi de modernisation de la sécurité civile qui a reconnu l'ensemble des acteurs de la sécurité civile. Ainsi les associations visées en son article 35 ainsi que les associations agréées bénéficient depuis la loi de finances rectificative pour 2009 d'une exonération de la redevance annuelle domaniale prévue aux articles L. 41-1, L. 42-1 et L. 42-2 du code des postes et des communications électroniques. En effet, il est apparu nécessaire, pour toutes les associations qui concourent à l'ensemble des missions de prévention, de secours ou de soutien à la population, de les libérer du paiement de la redevance de mise à disposition de fréquences radioélectriques qui représentait un coût élevé pour ces structures. Or il semblerait que, dans l'application de cette exonération, les réserves communales de sécurité civile en sont écartées alors que leurs missions sont identiques et qu'elles ne peuvent en assumer financièrement la charge. C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir, conformément à la loi de modernisation de la sécurité civile, faire reconnaître par ses services le rôle des réserves communales de sécurité afin de les faire bénéficier, comme les autres associations, de cette exonération.
Voir la questionM. Christian Kert attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur le ressenti des associations oeuvrant pour le don bénévole du sang suite à l'annonce par le LFB (Laboratoire français du fractionnement et des biotechnologies) de racheter un groupe autrichien qui collecte du plasma sanguin moyennant rétribution. L'éthique qui a toujours prévalu dans la filière de prélèvement sanguin en France risque ainsi d'être remise en cause face à cette notion de rémunération. C'est pourquoi, sachant que le LFB est une SA à capital public, il lui demande quelle est la position de son ministère face à ce projet d'achat. Il lui rappelle qu'une telle opération créera une faille dans le système transfusionnel français pourtant modèle international d'éthique, de sécurité sanitaire et interdit de profit.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les conséquences de la publication du décret n° 2010-332 du 24 mars 2010 relatif à la prise en charge de certains appareillages médicaux. En effet, ce décret limite les médecins prescripteurs des prothèses externes plus connues sous l'appellation commune de "membres artificiels" à seulement trois spécialistes (médecin spécialiste en médecine physique et réadaptation fonctionnelle, médecin en orthopédie ou rhumatologie) ce qui entrave lourdement la chaîne d'appareillage de nombreux patients handicapés. Comment, par exemple, envisager une première mise par un de ces trois spécialistes dans les zones de désert médicaux ? De même comment envisager l'appareillage dans les cas d'urgence en cas d'absences de ces spécialistes ? Il s'agit bien d'appareillage de compensation du handicap et non de confort. Ainsi, depuis la publication de ce décret, il est constaté de nombreux retards des prises en charge, un accroissement considérable des déplacements en ambulance et des rejets de prise en charge pour les cas d'urgence. C'est pourquoi, tout en comprenant le souci d'économie qui a dû initier la rédaction de ce décret, il lui demande d'envisager une modification du texte en élargissant à d'autres spécialités (neurochirurgiens, cancérologues, pédiatres qui sont souvent référents d'enfants polyhandicapés...) la possibilité de prescrire les prothèses externes qui ne sont pas de confort.
Voir la réponseM. Christian Kert attire l'attention de M. le ministre des affaires étrangères et européennes sur les récentes déclarations de son ministère visant à une éventuelle suppression de la démarche individuelle comme mode d'adoption internationale en France. Aujourd'hui près de 37 % des adoptions en France ont été réalisées grâce à cette procédure ce qui la place au deuxième rang après les OAA et devant l'AFA. En effet, les OAA ainsi que l'AFA ne peuvent répondre aux demandes des nombreuses familles. C'est pourquoi celles-ci se tournent vers la démarche individuelle. Elles ne le font donc pas par choix mais uniquement parce que cette démarche est la seule qui leur reste accessible. Aussi, il lui demande quelle est l'analyse actuelle de son ministère sur la démarche individuelle et si réellement il envisage sa suppression.
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