Commission du développement durable: Audition de M. Victor HAÏM, envisagé comme pdt de l'ACNUSA par le Président de la République
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Val-d'Oise (9ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Union pour un Mouvement Populaire
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2ème séance : Information des passagers dans les entreprises de transport aérien ; Exploitation numérique des livres indisponibles du XXe siècle ; Dispositions d'ordre cynégétique
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1ère séance : Questions au gouvernement; Article 68 de la constitution (vote solennel); prestation de serment d'un juge; rapprochement familiale pour les détenus condamnés; information des passagers dans les entreprises de transport aérien
Vidéo du 24 janvier 2012
2ème séance : Organisation du service et information des passagers dans les entreprises de transport aérien (suite) (Discussion générale suite)
Travaux récents
M. Yanick Paternotte appelle l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur le projet de décret relatif aux gares de voyageurs et autres infrastructures de services du réseau ferroviaire, prévu par l'article 1er, alinéa 25, de la loi n° 2009-1503 du 8 décembre 2009 relative à l'organisation et à la régulation des transports ferroviaires et portant diverses dispositions relatives aux transports. Rapporteur sur ce texte de la commission saisie au fond de l'Assemblée nationale, puis co-rapporteur de la mission d'information de la commission du développement durable et de l'aménagement territoire, créée en application de l'article 145-7 du Règlement de l'Assemblée nationale, sur la mise en application des dispositions de ce texte, il s'étonne, en premier lieu, de ne pas avoir été saisi pour avis du projet de décret alors qu'il en avait déploré le retard de parution dans son rapport d'information n° 3237 du 9 mars 2011. Il note, en outre, que les deux rapports au Parlement, appelés dans le texte précité, relatifs, respectivement, aux modalités et à l'impact d'un transfert à Réseau Ferré de France des gares de fret (article 6) et aux solutions proposées pour le remboursement de la dette de RFF (article 7) n'ont toujours pas été déposés, bien que les délais fixés dans la loi soient largement dépassés. Enfin, il souhaite connaître la date de parution prévisionnelle du décret précité et avoir des précisions sur les suites données par le Gouvernement à l'avis n° 2011-014 de l'Autorité de régulation des activités ferroviaires, en date du 15 juin 2011, en vue que soit strictement respecté le principe d'un accès équitable et sans discrimination de toutes les entreprises ferroviaires à l'ensemble du réseau ferroviaire, y compris pour ce qui concerne l'accès aux infrastructures de services.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Mardi 4 avril 2012 - Séance de 16 heures
Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
Alléger la procédure des parrainages pour l'élection présidentielle
Voir le document Voir le dossier législatifIntervention en réunion de commission
Mardi 21 février 2012 - Séance de 17 heures 30
Intervention en réunion de commission
Mercredi 8 février 2012 - Séance de 10 heures
Intervention en réunion de commission
Mercredi 8 février 2012 - Séance de 10 heures
Intervention en réunion de commission
Mercredi 1er janvier 2012 - Séance de 9 heures 30
M. Yanick Paternotte appelle l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur le fait que l'Apelna, association qu'il préside, a présenté 13 propositions pour un contrat de développement durable aéroportuaire de CDG en 2006. À la suite de l'intervention de M. le Président de la République et du travail de la mission Dermagne, la commission consultative de l'environnement, présidée par M. le préfet Canepa, a décidé, à une très large majorité, la mise en application de plusieurs propositions d'amélioration pour les riverains de l'aéroport de Roissy : les nouvelles trajectoires Plaine-de-France entre 0 heure et 5 heures, le relèvement de 1 000 pieds des approches ILS, un atterrissage préférentiel par l'Est (vente arrière par léger vent), le décollage en Plaine-de-France avec retour vers l'Est par le survol des communes de Fosses et Survilliers dans une trajectoire dite en "accent circonflexe", une généralisation de la descente continue dans le coeur de nuit (0 heure - 5 heures). Aujourd'hui, alors que la nouvelle saison aéronautique va s'appliquer dans les prochains jours, il constate que le compte n'y est pas : le relèvement de l'ILS, face à l'Est, ne semble pas garanti, le survol de Fosses-Survilliers par la trajectoire Nord semble abandonné pour cette saison aéronautique, la vente arrière ne sera appliquée que pour un vent supérieur ou égal à 1 noeud, enfin, aucune information sur la mise en oeuvre de la descente continue en coeur de nuit n'est actuellement disponible. Conformément aux dispositions de la dernière CCE de Roissy-CDG, il souhaite qu'il lui confirme le relèvement de l'ILS face à l'Est, qu'il exige de l'aviation civile la mise en oeuvre de la trajectoire Nord en dehors des zones urbanisées de Fosses et de Survilliers, qu'il exige que la vente arrière puisse être appliquée jusqu'à 5 noeuds de vent et qu'enfin, on puisse évaluer la descente continue sans palier en-deçà de 7 000 pieds (seuil de perception au sol du bruit de l'aéronef). Sans une application rapide de l'ensemble de ces mesures, il craint que les gains espérés par les élus et les riverains soient bien minimes voire peu audibles.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé des transports sur l'avenir du régime de retraite des navigants. Le personnel navigant de l'aéronautique civile relève en effet à la fois de la CNAV et de la Caisse de retraite du personnel navigant professionnel de l'aéronautique civile (la CRPNPAC) pour sa retraite complémentaire. Or ce régime s'essoufle. C'est ainsi qu'en 2008, il accusait un solde déficitaire de 96 M€. Et, en août 2009, le régime comptait 30 000 cotisants pour 17 000 retraités... La réforme de 2008, faisant suite au rapport Chertier qui soulignait que, bien qu'il n'y ait pas urgence, « une réforme [de la CRPNPAC] était indispensable, le déficit entre les recettes et les dépenses [étant] structurel et irréversible en l'état », répondait donc à une véritable nécessité. Or, à ce jour, les décrets d'application ne sont toujours pas pris. Aussi, il souhaite connaître les projets du Gouvernement en la matière.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le statut des chargés de la sécurité des établissements de soins. En effet, le règlement de sécurité des établissements de soins du 25 juin 1980 a établi les services de sécurité incendie comme clé de voûte de la protection des hôpitaux. Un arrêté du 22 décembre 2008 définit la manière dont doivent être constitués ces services. Ainsi pour un établissement de catégorie 1, un chef de service de sécurité incendie, un chef d'équipe de sécurité incendie et deux agents de sécurité incendie sont nécessaires. Alors que ces chargés de sécurité doivent répondre à un certain nombre d'exigences (recyclages et contrôles réguliers), il s'avère que leur profession n'est pas reconnue par la fonction publique. Ainsi, leur recrutement ne repose sur aucun critère précis et leur évolution de carrière n'en est que plus aléatoire. Aussi, il aimerait connaître la position du Gouvernement en la matière et savoir quelles mesures il compte prendre pour améliorer le statut des chargés de sécurité des établissements de soins.
Voir la questionM. Yanick Paternotte appelle l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'attitude de certaines caisses primaires d'assurance maladie qui demandent aux chirurgiens-dentistes appliquant la convention nationale signée en 2006, de ne pas appliquer la revalorisation de la lettre C accordée aux médecins pour leur consultation, alors même que le texte de cette convention stipule, dans son préambule que "les caisses s'engagent à ne faire aucune discrimination entre tous les chirurgiens-dentistes placés sous le régime de la présente convention et les médecins conventionnés qui dispensent les mêmes actes" (arrêté du 14 juin 2006 NOR : SANS0622496A, Journal officiel du 18 juin 2006). Or la valeur de la lettre-clé C, qui était fixée à 21 euros à la date de la signature, est passée à 22 euros au 1er juillet 2007, puis 23 euros au 1er janvier 2011. Ceci implique, selon les accords conventionnels passés, que le montant de la consultation des chirurgiens-dentistes évolue à la même valeur et à la même date que celle des médecins. Les chirurgiens-dentistes se trouvent donc dans une situation délicate, car certaines caisses primaires en arrivent à menacer des praticiens qui ne font que respecter à la lettre les dispositions de la convention. Il s'agit effectivement de "certaines caisses primaires", puisque nombreuses sont celles qui ne bougent pas, qui sanctionnent l'application d'un texte dont elles sont à l'origine. Le problème de l'alignement de la consultation des chirurgiens-dentistes sur celle des médecins est récurrent. Une telle négociation, à quelques mois de nouvelles négociations conventionnelles, n'est pas pour donner confiance aux partenaires professionnels face aux caisses qui ne respectent pas les engagements qu'elles prennent. En conséquence, il souhaite connaître les mesures que le Gouvernement entend prendre pour mettre fin à cette situation intenable pour les chirurgiens-dentistes.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Mercredi 22 février 2011 - Séance de 9 heures 30
M. Yanick Paternotte interroge Mme la ministre d'État, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur l'interpellation d'un docteur rwandais organisée le 26 mai 2010, dans sa ville de Sannois. Celui-ci, suspecté d'avoir activement participé au génocide rwandais et recherché par Interpol, venait assister, à Sannois, aux obsèques de l'ancien dirigeant rwandais Jean-Bosco Barayagwiza décédé alors qu'il purgeait, au Bénin, une peine de 32 ans pour sa participation au génocide. Suite à son interpellation, à sa demande et grâce à sa police municipale - à laquelle il souhaite ici rendre hommage - et en parfaite harmonie avec la police nationale, le docteur avait été placé sous écrou extraditionnel. L'on ne peut que se féliciter d'une telle arrestation qui répondait aux voeux formulés par le Président Nicolas Sarkozy en février dernier à Kigali : voir "les responsables du génocide retrouvés et punis, où qu'ils se trouvent". Aussi, au lendemain du sommet Afrique-France, il souhaite l'interroger sur la position précise de la France sur ce dossier du génocide rwandais - qui, rappelons-le, a fait au moins 800 000 morts - et notamment sur la question de la poursuite de ses auteurs sur notre territoire. Il appelle notamment son attention sur le fait que notre cadre légal ne favorise pas l'arrestation, sur notre sol, de personnes recherchées par Interpol mais ne résidant pas en France. Notons qu'une première étape, sensible, vient d'être franchie aujourd'hui avec la décision prise à Versailles du maintien en détention de ce docteur et, à Mamoudzou, du maintien en détention d'un autre génocidaire rwandais présumé. Aussi, alors que le projet de loi visant à adapter le droit pénal français à l'institution de la Cour pénale internationale devrait prochainement venir en discussion à l'Assemblée nationale, il espère que ce texte permettra, enfin, de donner aux juges français une compétence extraterritoriale. Dans cette attente, il l'interroge sur la manière dont la France envisage, à l'avenir, de participer effectivement à la poursuite des génocidaires rwandais, notamment sur son territoire, et plus généralement des criminels internationaux. Enfin il appelle son attention sur son étonnement quant au fait que les corps de ces criminels puissent être rapatriés sur notre sol - comme cela a été le cas à Sannois - pour y être inhumés et ceci sans que le maire, représentant de l'État - en l'occurence lui-même - n'en ait été préalablement informé.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte appelle l'attention de M. le secrétaire d'État chargé des transports sur les inquiétudes des loueurs de voitures à double commande. Ce système de location s'adresse notamment aux personnes voulant préparer leur permis, perfectionner leur conduite ou reprendre la conduite sans avoir à passer par une auto-école plus onéreuse et aux délais souvent fort longs. Or il est actuellement remis en cause par le décret n° 2009-1590 du 18 décembre 2009 qui contraint les tuteurs de ces automobilistes, obligatoirement titulaires du permis de conduire depuis au moins cinq ans, à suivre une formation s'élevant de 300 à 500 euros. Ceci induit bien sûr la perte de compétitivité de ce nouveau secteur de location qui craint pour son avenir alors même qu'il répond à une véritable demande et permet, en outre, d'alléger les auto-écoles confrontées, notamment, au manque de moniteurs. Aussi, il aimerait connaître les intentions du Gouvernement en la matière, et savoir si le Gouvernement souhaite effectivement, dans le cadre de la sécurité routière, conserver la formation des tuteurs, quelles mesures il compte prendre pour ne pas condamner dans le même temps ce nouveau secteur d'activité.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte appelle l'attention de Mme la ministre de la santé et des sports sur les fortes inquiétudes des infirmiers anesthésistes diplômés d'État (IADE). En effet, à la veille de l'examen du projet de loi relatif à la rénovation du dialogue social, ces derniers nous interpellent sur ce qu'ils considèrent comme un manque de reconnaissance de la pénibilité de leur travail, de leurs importantes responsabilités et de leur dévouement. Ainsi, ils déplorent aujourd'hui que leur niveau d'étude en master 2 ne soit pas reconnu, que leur grille indiciaire ne soit pas revalorisée et le fait que la FHP perde la catégorie active. Aussi, il aimerait connaître les dispositions que compte prendre le Gouvernement pour répondre aux incompréhensions des IADE.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte appelle l'attention de Mme la secrétaire d'État chargée de l'écologie sur le travail de concertation, mis en place il y a huit mois, en vue d'une révision de la réglementation de l'affichage publicitaire. L'affichage publicitaire occupe, en effet, une place importante dans la vie moderne en tant qu'élément de paysage urbain, qu'outil de communication économique et que moyen d'information de la société civile. Parallèlement, les enjeux environnementaux, économiques et sociaux impliquent une mise à jour sérieuse de cette réglementation qui date de près de trente ans. Ce travail de mise à jour entrepris par l'État, doit, pour être efficace, comprendre un moment de large concertation qui regroupe les différents secteurs concernés par l'affichage publicitaire : État, collectivités territoriales, afficheurs et publicitaires, fabricants et installateurs de dispositifs publicitaires, acteurs économiques, associations de défense de l'environnement. Les collectivités territoriales, en particulier les communes et communautés qui les regroupent, sont chargées, au quotidien, de la mise en oeuvre de la réglementation de l'affichage publicitaire. Aussi, il aimerait savoir si elle peut lui indiquer, d'une part, comment sont envisagées la consultation et la participation des élus locaux au sein des structures de concertation mises en place sur cette question et, d'autre part, compte tenu de la responsabilité des collectivités territoriales dans l'application de la réglementation de l'affichage publicitaire, quelles initiatives elle compte prendre, en liaison avec d'autres ministères concernés, pour que les collectivités locales puissent être dotées de personnels spécifiques, formés pour traiter, avec compétence, ces problèmes de l'affichage publicitaire.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte interroge Mme la ministre de la santé et des sports sur la traçabilité des couronnes dentaires. En effet, grâce aux nouvelles technologies et notamment à Internet, les dentistes ont acquis de nouvelles méthodes de travail qui leur permettent, notamment, de commander les prothèses dentaires directement à l'étranger dans des pays (Chine, Inde, Turquie, etc.) où les prix sont très compétitifs. Or ceci conduit à de sérieuses incertitudes quant à la qualité des produits utilisés dans les amalgames importés. En effet, malgré la directive européenne n° 93/42 CEE, applicable depuis juin 1998, et qui concerne la traçabilité des prothèses dentaires, le patient ne dispose que très rarement d'une information exacte sur les matériaux utilisés pour la fabrication des amalgames. De ce manque d'information découlent deux problèmes : en premier lieu, un problème de santé publique, certains matériaux utilisés à l'étranger pouvant provoquer des allergies, voire de sérieuses infections ; en second lieu, un problème économique. Alors que le prothésiste payera sa prothèse importée peu chère, le patient, lui, versera la même somme pour une prothèse étrangère que pour une prothèse fabriquée en France et, bien sûr, le taux de remboursement restera, quant à lui, invariable. Aussi, afin d'assurer une pleine et entière transparence dans ce domaine et, par là-même, garantir la santé des patients, il lui demande si des mesures pourraient être envisagées afin que, désormais, les dentistes se voient imposer de rédiger des devis très précis indiquant la nature et la provenance exacte des matériaux utilisés dans les prothèses importées.
Voir la réponseM. Yanick Paternotte attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé des transports sur le manque d'inspecteurs du permis de conduire. Ce manque lèse de nombreux candidats, notamment dans sa circonscription du Val-d'Oise, des candidats qui, après avoir été contraints d'attendre pour passer l'examen de conduite, voient leur réussite au code annulée, les délais autorisés entre les deux épreuves étant dépassés. Face à une situation plus que problématique pour de nombreux étudiants, employés ou personnes à la recherche d'un emploi qui ont un besoin impérieux du permis de conduire, il demande si des mesures pourraient être prises dans les meilleurs délais afin de réduire le temps d'attente entre les deux parties de l'examen.
Voir la réponseAssemblée nationale
126 Rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
Numéro de la place occupée : 305
(la zone en rouge situe le banc)
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