1ère séance : Répression de la contestation de l?existence de génocides reconnus par la loi.
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Val-d'Oise (3ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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Travaux récents
M. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur les conséquences de la réforme de l'article L. 213-4 du code de l'urbanisme. Ce texte prévoit que la date de référence en matière d'expropriation pour un terrain classé en ZAD n'est plus celle indiquée dans la dernière modification du PLU mais celle du classement des terrains au moment de la création de la ZAD, et ce même si le propriétaire dont le terrain était immobilisé par la ZAD avait usé de son droit de délaissement avant l'expropriation. Ainsi, dans la troisième circonscription du Val d'Oise, l'estimation de terrains expropriés en 2011, classés depuis 2006 en zone urbanisable à terme (AU), se fera sur une base de valeur de terrains agricoles, alors que dans quelques mois ils seront constructibles. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures qu'il entend prendre afin de garantir une juste indemnisation des propriétaires.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la mise en place d'un examen médical d'aptitude à la conduite. Cette question revêt en effet une importance majeure en termes de prévention des accidents de la route. Le comité interministériel de sécurité routière du 18 décembre 2002 avait prévu d'étendre le contrôle médical existant pour les conducteurs professionnels à tous les conducteurs de véhicules légers au moment de la délivrance du permis de conduire durant leur vie active et sous forme de visites régulières obligatoires. Alors que plusieurs pays européens comme l'Allemagne, l'Espagne ou l'Italie ont instauré l'obligation d'un examen médical obligatoire quel que soit l'âge du conducteur avant de délivrer le permis de conduire, il lui demande si une telle disposition pourrait être envisagée par le Gouvernement, et éventuellement selon quelles modalités. Que cela soit le cas ou non, il souhaiterait savoir si l'établissement d'autres examens médicaux au cours de la vie du conducteur était actuellement une mesure à l'étude.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur les délais d'obtention des cartes de stationnement attribuées aux personnes handicapées dans le département du Val-d'Oise. Dès réception, le dossier est étudié par le service évaluation, puis présenté devant la commission des droits et de l'autonomie qui doit notifier sa décision dans un délai maximum de quatre mois. Or ce délai n'est pratiquement pas respecté : certaines personnes attendent parfois un an, voire plus, pour avoir une réponse, et ne parviennent pas pendant ce temps à obtenir le moindre renseignement. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser les mesures qui pourraient être prises pour améliorer la situation, et si éventuellement ne pourrait être appliquée une règle simple : faute de réponse de l'administration dans les délais impartis, l'obtention est acquise.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur le devenir de l'entreprise SeaFrance, compagnie maritime assurant la liaison entre Calais et Douvres. Filiale de la SNCF, son activité génère 2 000 emplois directs et indirects. Alors qu'elle était largement bénéficiaire en 2006 et 2007, elle a subi de plein fouet les effets de la crise, et est aujourd'hui menacée de liquidation. Il lui demande donc de lui préciser les mesures qu'il entend prendre pour permettre à SeaFrance de passer ce cap difficile et ainsi sauvegarder l'emploi de plusieurs centaines de salariés.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur le dispositif de contrôle automatisé de franchissement au rouge des feux tricolores. Les radars, installés sur les feux tricolores ont pour but de verbaliser les usagers qui franchiraient le carrefour lorsque le feu est rouge. Il s'agit là d'une bonne mesure, comme toutes celles qui ont pour finalité d'inciter nos concitoyens à un plus grand respect du code de la route. Il semble cependant que certains automobilistes de bonne foi aient été détectés par ces nouveaux systèmes alors qu'ils avaient franchi le feu à l'orange. Ce dernier est passé du vert à l'orange au moment où ils étaient au milieu du carrefour. Or l'article R. 412-31 du code de la route précise que « tout conducteur doit marquer l'arrêt devant un feu de signalisation jaune fixe, sauf dans le cas où, lors de l'allumage dudit feu, le conducteur ne peut plus arrêter son véhicule dans des conditions de sécurité suffisantes ». En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les améliorations qu'il entend prendre pour que seuls les automobilistes passant le feu au rouge, et qui représentent ainsi un danger pour eux et les autres usagers, soient verbalisés.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Mercredi 29 février 2012 - Séance de 10 heures
M. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre de la culture et de la communication sur le statut de l'archéologie bénévole. En effet, les amateurs passionnés par la détection des métaux subissent depuis quelques années une véritable campagne de dénigrement, alors même qu'ils participent à la récupération en surface d'objets métalliques de toute nature voués à la disparition. Déjà marginalisés, les archéologues amateurs se voient maintenant restreints dans l'usage des détecteurs de métaux. Il lui demande donc de bien vouloir lui préciser les intentions du Gouvernement quant à l'utilisation de ces détecteurs par les particuliers.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur la hausse de la TVA sur le prix du livre. Ce taux devrait passer de 5,5 % à 7 % à compter du 1er janvier 2012. Cette décision inquiète vivement les libraires. Actuellement, c'est l'éditeur qui fixe un prix de vente au public. Or, du fait du prix unique du livre, la hausse de la TVA entraînera une baisse de la marge sur les livres que les libraires ont en stock, et ce à hauteur de 1,5 %. Leur bénéfice passera de 0,3 % du chiffre d'affaires en moyenne à 0,2 %. Il lui demande donc de lui préciser les mesures qu'il entend prendre pour soutenir cette filière.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, sur la situation des paysans indiens. En effet, ceux-ci se voient privés de leurs terres et donc de moyens de subsistance par des investisseurs. Le mouvement Ekta Parishad a refusé de baisser les bras et a lancé une marche d'un an à travers le pays. En octobre 2012, 100 000 réclameront un accès équitable à la terre pour toutes et tous. Des mouvements sociaux, partout dans le monde, soutiennent cette initiative pour faire entendre la voix des sans terre au gouvernement indien et défendre la souveraineté alimentaire pour tous. Il lui demande sa position sur le sujet.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conséquences défavorables aux retraités de la chambre de commerce et d'industrie de Paris (CCIP) dues à la suppression de leur régime spécial de retraite (RSAV). En effet, deux points n'ont pas été anticipés lors de l'intégration de ce RSAV au régime de retraite de droit commun : le premier est la non revalorisation de 1,8 % depuis le 1er janvier 2006 de la pension de CNAV, et le second est la cotisation supplémentaire de 1 % appliquée depuis le 1er janvier 2006 par les caisses complémentaires sur les pensions ARRGO-AGIRC. De ce fait, le montant net global cumulé des pensions attribuées le 1er janvier 2006 est inférieur à celui également net de la pension RSAV perçu au 31 décembre 2005. Or le Conseil d'État dans sa décision du 3 octobre 2008 a rappelé que "la CCIP doit assurer la compensation intégrale des avantages vieillesse dont bénéficiaient les agents au titre du régime spécial d'assurance vieillesse de l'établissement". Il lui demande donc de lui préciser les dispositions qui pourraient être envisagées pour répondre favorablement aux retraités de la CCIP.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur la question de la taxation des transactions financières. En effet, le 20 septembre 2010, le Président de la République a prôné à l'ONU une taxe mondiale sur les transactions financières, afin de trouver des moyens financiers pour atteindre les objectifs du millénaire sur le développement (lutte contre les maladies, contre la pauvreté...). La taxation sur les transactions financières proposée par la France et sur laquelle travaille un groupe pilote d'une soixantaine de pays, pourrait rapporter au total quelques 35 milliards de dollars par an (taux de 0,01 %). Elle aurait aussi cet autre avantage de pénaliser les mouvements financiers spéculatifs de court terme. Dans un contexte de crise financière aggravée, il lui demande de bien vouloir lui faire part de la position du Gouvernement sur ce sujet.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur le système de décote mis en place par la réforme de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et notamment sur les effets de seuil induits par le nouveau dispositif. Selon les nouvelles modalités de calcul de l'ISF, il apparaît qu'une personne possédant un patrimoine de moins de 1 300 000 euros sera exonérée de cet impôt, alors que celui dont le patrimoine est supérieur, même de 500 ou de 1 000 euros, au seuil de 1 300 000 euros sera imposé à hauteur de plus de 2 000 euros soit près de trois fois le montant du "dépassement" du patrimoine non imposable, ce qui peut paraître excessif. En conséquence, il lui demande s'il entend prendre des mesures visant à atténuer les effets de seuil relativement sensibles qui résultent de l'application du dispositif actuel.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'allocation solidarité aux personnes âgées (Aspa). Selon le livret d'accueil "Vivre en France", délivré par le ministère en charge de l'immigration, les étrangers pourraient toucher l'Aspa avec un simple permis de séjour dès 60 ans s'ils ne peuvent plus travailler, et dans tous les cas à partir de 65 ans. Il souhaiterait savoir si cela signifie que des personnes n'ayant jamais ou ayant très peu cotisé à une caisse de retraite de notre pays peuvent bénéficier de cette allocation et si le coût de cette dernière peut lui être précisé.
Voir la réponseM. Jean Bardet attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur certaines pratiques commerciales. Les sociétés de location de voiture demandent à tout client son permis de conduire, ce qui est tout à fait logique. Si celui qui loue est aussi celui qui paie, il n'y a pas de problème. Par contre, si ce n'est pas le cas, le payeur doit aussi présenter son permis alors qu'il ne sera pas le conducteur, et s'il ne peut le présenter, il ne peut louer le véhicule pour une autre personne. Il semble discriminatoire que la possibilité, par exemple, pour une femme de louer une voiture dépende du fait que son mari ait ou non son permis de conduire. Il lui demande donc, à une époque où les questions d'égalité et de parité sont souvent évoquées, les dispositions qui pourraient être prises pour mettre fin à cette situation.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le principe de l'obligation vaccinale en France. Actuellement, un certain nombre de vaccins sont obligatoires, d'autres ne le sont pas. Or le vaccin contre la diphtérie (D), le tétanos (T), et la poliomyélite (P) n'est plus disponible sur le marché sans adjonction d'autres vaccins facultatifs. Sans qu'aucune raison pharmaceutique ne justifie cet état de fait, l'administration sanitaire refuse d'imposer au fabricant concerné la disponibilité de cette simple association DTP, sans d'autres vaccins non obligatoires. Cela pose un problème de respect du choix et de la liberté des parents, mais aussi une question cruciale en cas de demande d'indemnisation. Cela ne semble pas compatible non plus avec l'article L. 122-1 du code de la consommation qui énonce qu'il « est interdit de refuser à un consommateur la vente d'un produit ou la prestation d'un service, sauf motif légitime, et de subordonner la vente à l'achat d'une quantité imposée ou à l'achat concomitant d'un autre produit ou d'un autre service ainsi que de subordonner la prestation d'un service à celle d'un autre service ou à l'achat d'un produit ». Il lui demande de bien vouloir lui préciser sa position à ce sujet.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur les préoccupations de beaucoup de Français au sujet des paradis fiscaux. Il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures prises pour lutter contre les conséquences de ces évasions fiscales sur notre économie.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur le document "Cartes sur table 2011 : pour une compétitivité équitable" élaboré par le Medef. Partant du constat que le taux de charges qui pèse sur les entreprises françaises est plus élevé que presque partout ailleurs, et par conséquent que leur taux de marge est plus faible que partout ailleurs, il souligne que les PME sont plus fragiles que les autres entreprises. C'est effectivement le ressenti de nombreux petits entrepreneurs qui ne parviennent même plus à prendre un salaire pour eux, et qui sont contraints de vendre à perte. Aussi, il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures envisagées pour soutenir les PME.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les inquiétudes des médecins pédiatres libéraux concernant l'avenir de leur profession. Ils estiment que leur statut est de plus en plus dévalorisé: baisse de la valeur de leur consultation, niveau de revenu nettement inférieur à celui des spécialistes et même des généralistes conventionnés, augmentation des contraintes administratives, diminution du nombre de leurs cabinets privés. Face à cette situation, ils réclament la revalorisation de leur statut. Cette dernière pourrait notamment passer selon eux par la possibilité de dépassements tarifaires, la réouverture du secteur 2 à honoraires libres, la mise en place d'une cotation spécifique pour toutes les consultations des pédiatres concernés et la simplification des relations entre l'administration et les médecins. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures qui pourraient être envisagées en faveur de cette profession.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les inquiétudes des médecins radiologues quant au devenir de leur profession au regard notamment de la baisse tarifaire des actes d'imagerie médicale décidée par la commission de hiérarchisation des actes professionnels. Cette décision vient s'ajouter à plusieurs plans successifs d'économie qui ont déjà touché les radiologues. Elle met en péril la survie de nombreux cabinets de proximité alors que cette profession multiplie les expériences innovantes et qu'elle est au centre du dépistage du cancer du sein. Elle risque de remettre en cause les projets de rapprochements des structures d'imagerie publics et privés, et surtout l'accès aux soins de qualité sur l'ensemble du territoire pour toute la population. Il lui demande donc de lui précisées les dispositions envisagées pour assurer la sauvegarde de la radiologie de proximité.
Voir la questionM. Jean Bardet attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du logement et de l'urbanisme sur les préoccupations de l'Union nationale des familles et amis de malades et/ou handicapés psychiques (UNAFAM) face à certaines conséquences de la loi Boutin. L'UNAFAM fait en effet valoir que beaucoup de leurs malades n'ont comme ressource que l'allocation aux adultes handicapés (AAH) d'un montant de 681 euros par mois. Avant cette loi, ces derniers pouvaient louer un logement si leurs parents acceptaient de se porter caution solidaire. Or la loi Boutin a supprimé l'obligation de caution dans le cas où le bailleur souscrit une assurance des loyers impayés. Cette souscription n'est possible que si le locataire gagne au moins trois fois le montant du loyer, ce qui de fait exclut les titulaires de l'AAH. Comme cette assurance concerne une très grande majorité des bailleurs, les malades se retrouvent dans l'impossibilité d'accéder à un logement. En conséquence, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures qui pourraient être envisagées pour remédier à cette situation.
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(la zone en rouge situe le banc)
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