Commission d'enquête RER Ile-de-France : auditions de M. Pierre Mongin, Pdt de la RATP et de M. Guillaume Pepy, Pdt de la SNCF.
Accueil > Archives de la XIIIe législature > Les députés > M. François Pupponi
Val-d'Oise (8ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Socialiste, radical, citoyen et divers gauche
DERNIÈRES VIDÉOS
Vidéo du 18 janvier 2012
Commission d'enquête RER Ile-de-France : auditions de M. Pierre Mongin, Pdt de la RATP et de M. Guillaume Pepy, Pdt de la SNCF.
Vidéo du 18 janvier 2012
Commission d'enquête RER Ile-de-France : auditions de M. Pierre Mongin, Pdt de la RATP et de M. Guillaume Pepy, Pdt de la SNCF.
Vidéo du 18 janvier 2012
Commission d'enquête RER Ile-de-France : auditions de M. Pierre Mongin, Pdt de la RATP et de M. Guillaume Pepy, Pdt de la SNCF.
Vidéo du 22 décembre 2011
1ère séance : Répression de la contestation de l?existence de génocides reconnus par la loi.
Vidéo du 3 novembre 2011
3ème séance : PLF 2012 : - Anciens combattants (suite)
Travaux récents
Intervention en séance publique
Intervention en réunion de commission
Mercredi 15 février 2012 - Séance de 16 heures 30
Intervention en séance publique
Intervention en réunion de commission
Mercredi 1er février 2012 - Séance de 18 heures 30
Intervention en réunion de commission
Mercredi 1er février 2012 - Séance de 17 heures
Intervention en réunion de commission
Jeudi 19 janvier 2012 - Séance de 10 heures
Intervention en réunion de commission
Mercredi 18 janvier 2012 - Séance de 18 heures 30
Intervention en réunion de commission
Mercredi 18 janvier 2012 - Séance de 17 heures
M. François Pupponi alerte Mme la ministre des sports sur les deux rapports qui ont pointé du doigt le déficit criant de notre pays en matière de salles multifonctionnelles à même d'accueillir de grands évènements sportifs. Il souhaite donc l'interroger sur l'état d'avancement de la constitution de la commission Arena, sur le montant d'investissement prévu par l'État et sur le processus de délivrance des certifications d'intérêt général, dans le meilleur respect des équilibres de l'aménagement du territoire.
Voir la réponse publiée le 04 mars 2011M. François Pupponi interroge M. le ministre de la ville sur la possibilité d'introduire, sous conditions, plus de souplesse à l'article L. 147-5 du code de l'urbanisme, qui régit les contraintes réglementaires sous PEB. Cet assouplissement serait formalisé dans les contrats de développement territorial actuellement en cours d'élaboration dans le cadre du grand Paris. La situation démographique, sociale et urbaine a en effet fortement évolué dans les territoires sous PEB, dont l'extension contraint toujours un peu plus le développement des quartiers concernés : en vingt ans, la surface des zones A, B et C du PEB de Roissy-CDG est passée de 146 à 223 km², soit une augmentation de 53 %, quand la population concernée était multipliée par 9,5. Il souligne qu'il ne s'agit pas de remettre en cause les règles de prévention de l'urbanisme aux environs des aérodromes et le principe même des PEB. Mais il conviendrait d'autoriser, spécialement dans le contexte de l'arrivée d'une gare du grand Paris, des opérations d'aménagement, de réhabilitation et de rénovation urbaine dans les secteurs qui sont déjà urbanisés et desservis par des équipements publics dans la zone C des plans d'exposition au bruit. Car permettre le renouvellement urbain, c'est éviter la dégradation et la paupérisation de quartiers déjà en difficulté. C'est aussi parer, avec ces constructions neuves, l'absence de phénomène observé de desserrement des ménages dans ces communes ou ces territoires intercommunaux contraints par le PEB. Il n'est pas acceptable que l'interdiction totale de construction détériore la qualité de cadre de vie de ces populations, qui n'auraient alors plus d'autre choix que de quitter la commune. Face à cette situation, et afin de permettre le maintien de la population exposée aux nuisances sonores aériennes tout en préservant leur cadre de vie, il lui demande son avis sur la possibilité de réfléchir à ces modalités d'assouplissement des règles de construction l'intérieur du secteur C du PEB, dans l'unique objectif de renouvellement urbain permis par l'arrivée du grand Paris et de desserrement des ménages. Cet assouplissement réglementaire serait strictement encadré au sein des contrats de développement territorial, notamment par une convention entre l'État et la collectivité locale ou l'EPCI, qui limiterait par exemple l'augmentation annuelle du nombre de logements à 1 % du parc de logements existants. Ce taux de desserrement s'appliquerait sur le secteur de renouvellement urbain, tel que défini à l'intérieur du territoire communal.
Voir la questionM. François Pupponi alerte M. le secrétaire d'État à la défense et aux anciens combattants sur l'immense émotion suscitée par la décision prise du Gouvernement d'inscrire sur la colonne centrale du mémorial du quai Branly les noms des victimes civiles de la manifestation appelée par l'OAS, rue d'Isly, à Alger, le 26 mars 1962, à l'occasion du 48e anniversaire de ce tragique évènement. Les organisations d'anciens combattants de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie (Fnaca, Ufac, Arac...), les associations de victimes de l'OAS (comme l'Anpromevo) et la Ligue des droits de l'Homme protestent vivement contre l'inscription de ces seules victimes civiles, d'un mouvement insurrectionnel armé contre les autorités de la République, sur un monument érigé pour les seuls militaires et supplétifs morts pour la France, durant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie (de 1952 à 1962). Il rappelle qu'il existe également à proximité du mémorial national une plaque qui associe toutes les victimes civiles à l'hommage rendu, et qu'un monument, voué aux rapatriés, a été inauguré le 11 novembre 2003 au square de la Butte au Chapeau Rouge, boulevard d'Algérie à Paris. Il souhaite donc connaître les motifs de cette décision qui bouleverse le monde combattant, et demande quelle solution il entend mettre en oeuvre pour réparer ce qui est ressenti comme un préjudice moral.
Voir la réponseM. François Pupponi, après avoir pris connaissance du PLF 2009, attire l'attention de M. le secrétaire d'État à la défense et aux anciens combattants sur les promesses du Président de la République pendant la campagne présidentielle. En effet, certaines ne sont pour l'instant toujours pas tenues : suppression des deux points de retraite du combattant, relèvement à 817 euros de l'allocation différentielle pour les conjoints survivants les plus démunis. Il lui est demandé ce qu'il compte faire pour intégrer ces engagements dans le budget 2009 avant le vote par l'Assemblée nationale, afin que celui-ci intègre les demandes des anciens combattants et celles de la FNACA en particulier.
Voir la réponseM. François Pupponi attire l'attention de Mme la ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités territoriales sur l'obtention des badges d'accès à la zone réservée de l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Le code de l'aviation civile précise aux articles R. 213-4 et suivants que l'accès à une zone réservée, tel que l'aérodrome, est soumis à la possession d'une habilitation valable sur l'ensemble du territoire national et d'un titre de circulation valable dans la zone. Cette habilitation est une des conditions de délivrance du titre de circulation à l'intérieur de la zone. Les refus d'habilitation doivent être fondés sur des motifs d'ordre public et de sécurité. Or, depuis 2004, plus de 3 000 personnes se sont vues refuser l'obtention de ce titre de circulation, pour des raisons de sûreté non liées à des risques terroristes. D'une part, cela est lié à la présence de certains des candidats sur les fichiers de police et de gendarmerie, dès leur mise en cause dans des affaires délictuelles ou criminelles. Depuis 2005, la CNIL dénonce les « risques graves d'exclusion sociale et d'atteinte aux libertés individuelles » que comporte un tel fichage. D'autre part, il a été allégué que des candidats présentaient « un risque de vulnérabilité ou de dangerosité » incompatibles avec les règles de sûreté de l'aéroport, ou qu'ils étaient « insusceptibles de démontrer qu'ils ne représentaient pas une menace pour la sécurité aéroportuaire ». Pour des raisons plus que discutables, ces décisions font obstacle à ce que des milliers d'actifs dans le département accèdent à l'emploi. Il lui demande donc quelles mesures concrètes elle entend prendre pour mettre un terme à ces méthodes de recrutement au moins contraires au principe de non-discrimination à l'embauche.
Voir la réponseM. François Pupponi attire l'attention de M. le secrétaire d'État chargé de l'emploi sur les graves difficultés de budget et de trésorerie auxquelles se trouvent confrontés les PLIE d'Île-de-France. Ces difficultés sont liées, d'une part, à la baisse des fonds européens pour la programmation 2007-2013, et, d'autre part, aux retards considérables pris dans la mise en place des nouvelles procédures. Si, lors de son intervention le 13 mai dernier, il a clairement affirmé son soutien aux maisons de l'emploi et aux PLIE, « outils irremplaçables pour l'insertion durable des personnes les plus en difficulté », les contacts pris par l'Union Régionale des PLIE n'ont pas permis, à ce jour, d'obtenir des résultats satisfaisants. Aussi, il lui est demandé les mesures concrètes qu'il entend mettre en oeuvre pour permettre l'augmentation de l'enveloppe affectée aux PLIE en 2007-2013, la mise en oeuvre des programmations 2007 et 2008, le versement rapide des avances sur subvention de 2007 et 2008, ainsi que le versement des acomptes 2007.
Voir la réponseM. François Pupponi attire l'attention de Mme la ministre de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative sur l'entrée future des investisseurs non professionnels dans le capital des sociétés d'exercice libéral (SEL). Si cette mesure répond à une injonction de la Commission européenne de mettre un terme à l'atteinte actuellement portée à la liberté d'établissement, il apparaît au demeurant que de telles dispositions seraient sources de graves dangers pour notre système de santé publique : aggravation des inégalités d'accès aux soins, disparition progressive de l'exercice libéral des professions de santé et atteintes au secret médical, ainsi qu'à l'indépendance de ces professions. C'est pourquoi il lui est demandé les mesures qu'elle entend mettre en place, afin d'encadrer l'arrivée de ces nouveaux financements.
Voir la réponseM. François Pupponi attire l'attention de M. le secrétaire d'État à la défense et aux anciens combattants sur le contenu du projet de budget 2009 des anciens combattants et victimes de guerre. La promesse présidentielle de revalorisation à l'indice 130 du plafond majorable des rentes mutualistes d'ancien combattant n'est toujours pas tenue à ce jour, même si la loi du 24 décembre 2007 de finances pour 2008 a permis une augmentation de la dotation consacrée aux rentes mutualistes de 4 %. Il lui demande, par conséquent, les mesures significatives qu'il entend mettre en oeuvre pour achever le rattrapage du solde.
Voir la réponseAssemblée nationale
126 Rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
Téléphone : 01 40 63 68 57
Télécopie : 01 40 63 56 03
Cabinet du Député-Maire
4 Place de Navarre
95200 Sarcelles
Téléphone : 01 34 38 21 22
Télécopie : 01 39 90 27 10
Numéro de la place occupée : 440
(la zone en rouge situe le banc)
Certaines fonctionnalités de ce site s'appuient sur des services proposés par des sites tiers. Ces fonctionnalités déposent des cookies, permettant notamment à ces sites de tracer votre navigation. Cette fenêtre vous permettra de contrôler ces cookies à l'aide de deux boutons "Autoriser" et "Refuser".
Pour en savoir plus sur les cookies (source : CNIL) :
Qu'est-ce qu'un cookie ?
Ces cookies nous permettent d'analyser l'audience de nos pages afin de mieux comprendre l'attente de nos visiteurs.
Concernant Google Analytics : En savoir plus - Site officiel