1ère séance : Questions au Gouvernement ; Mise en oeuvre du principe de précaution ; protection de l'identité (Nouvelle lecture)
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Somme (3ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
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M. Jérôme Bignon attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur le rapport de la Cour des comptes présenté le 8 février 2012 et plus particulièrement sur la critique que le rapport fait de la prime à l'aménagement du territoire, appelée couramment PAT. La Cour, qui dit avoir procédé au contrôle de la totalité des quelques 400 dossiers instruits par la DATAR entre le 1er janvier 2005 et juin 2010, pointe de nombreuses négligences et anomalies qui remettent, selon elle, en cause le maintien du dispositif dans son ensemble. La faiblesse des crédits budgétaires accordés (relativement aux objectifs censés justifier son affectation), les redondances avec d'autres mécanismes, le caractère inéquitable de son octroi sont autant d'arguments présentés par la Cour relevant de l'inefficacité et de l'inadéquation de cette prime. Il ressort dans un rapport d'information intitulé « Territoires ruraux, territoires d'avenir » présenté au Comité de contrôle et d'évaluation de l'Assemblée nationale le 2 février 2012, que de nombreux échanges avec les différents acteurs locaux rencontrés sur le territoire, ont permis de dégager plusieurs réserves quant à l'efficacité de cette prime : ce type de dispositif est jugé complexe et souffre d'un déficit d'information et d'animation ce qui explique qu'il soit, par conséquence, peu mobilisé. Ce dispositif a eu son heure de gloire en raison de son efficacité. La rareté de l'argent public impose, semble-t-il de le revisiter; il souhaiterait savoir quelle est la position du Gouvernement, si la PAT a actuellement un avenir ou s'il peut être envisagé de lui substituer un instrument plus efficace.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la maladie de Schmallenberg, dont sept cas ont été confirmés dans la Somme au début de l'année. Ce virus apparu à l'été 2011 dans les pays du nord de l'Europe, transmis par des insectes, des culicoïdes, des moustiques, s'attaque aux ruminants chez qui il provoque des malformations affectant le système nerveux et musculo-squelettique. Dans les foyers de la Somme, on compte jusqu'à 30 % d'agneaux anormaux. De nombreuses suspicions sont en cours d'investigation y compris chez des veaux. Il rappelle qu'il n'existe actuellement aucun vaccin contre ce virus. Néanmoins, l'ANSES a été saisie afin de faire une évaluation des impacts directs et indirects de cette affectation sur l'élevage de ruminants et du risque de disséminations. Au-delà de cette évaluation, il souhaite savoir si des recherches ont été mises en oeuvre en France et en Europe pour un éventuel vaccin et quelles sont les autres mesures envisagées à la fois pour éviter la propagation de la maladie et la fermeture des marchés étrangers à l'export français.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la maladie de Schmallenberg, dont sept cas ont été confirmés dans la Somme au début de l'année. Ce virus apparu à l'été 2011 dans les pays du nord de l'Europe, transmis par des insectes, des culicoïdes, des moustiques s'attaque aux ruminants chez qui, il provoque des malformations affectant le système nerveux et musculo squelettique. Dans les foyers de la Somme, on compte jusqu'à 30 % d'agneaux anormaux. De nombreuses suspicions sont en cours d'investigation y compris chez des veaux. Il rappelle qu'il n'existe actuellement aucun vaccin conter ce virus. Néanmoins, l'Anses a été saisie afin de faire une évaluation des impacts directs et indirects de cette affectation sur l'élevage de ruminants et du risque de disséminations. Au-delà de cette évaluation, il souhaite savoir si des recherches ont été mises en oeuvre en France et en Europe pour un éventuel vaccin et quelles sont les autres mesures envisagées à la fois pour éviter la propagation de la maladie et la fermeture des marchés étrangers à l'export français.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur la maladie de Schmallenberg, dont 7 cas ont été confirmés dans la Somme au début de l'année. Ce virus apparu à l'été 2011 dans les pays du nord de l'Europe, transmis par des insectes, des culicoïdes, des moustiques s'attaque aux ruminants chez qui il provoque des malformations affectant le système nerveux et musculo-squelettique. Dans les foyers de la Somme, on compte jusqu'à 30 % d'agneaux anormaux. De nombreuses suspicions sont en cours d'investigation y compris chez des veaux. Il rappelle qu'il n'existe actuellement aucun vaccin conter ce virus. Néanmoins, l'Anses a été saisie afin de faire une évaluation des impacts directs et indirects de cette affectation sur l'élevage de ruminants et du risque de disséminations. Au-delà de cette évaluation, il souhaite savoir si des recherches ont été mises en oeuvre en France et en Europe pour un éventuel vaccin et quelles sont les autres mesures envisagées à la fois pour éviter la propagation de la maladie et la fermeture des marchés étrangers à l'export français.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon attire l'attention de Mme la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur la nécessité de prévenir la dépendance. Les études menées en 2011 pour évaluer les pistes possibles de prise en charge de la dépendance ont mis en évidence deux sujets fondamentaux. L'acceptation du vieillissement en tant qu'élément positif du parcours de vie et le maintien de la dynamique du lien social des personnes âgées comme étant des facteurs influant sur la perte d'autonomie. La vision du vieillissement et de la perte d'autonomie sont aujourd'hui très négativement perçues et entraînent un déni de projection et un fatalisme peu propice à une véritable politique de prévention, imaginative, volontaire et pragmatique. Grâce aux progrès médicaux et sociaux, la perte réelle d'autonomie concerne aujourd'hui une minorité de personnes très âgées et peut encore être retardée dans l'avenir par des choix sociaux privilégiant le tissu humain entre les générations qu'il convient de définir dès à présent. Il lui demande donc de bien vouloir préciser les actions envisagées en ce sens par le Ministère.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur le classement du frelon asiatique en espèce nuisible. Depuis 2004, le frelon asiatique, - vespa velutina - introduit par inadvertance dans le sud-ouest de la France, ne cesse de proliférer de façon incontrôlée. Il représente une triple menace : c'est un danger pour les apiculteurs puisqu'il attaque et tue les abeilles par centaines. Il les tue à l'extérieur et à l'intérieur des ruches pour leur dérober leurs provisions. Les apiculteurs sont totalement démunis face à ces attaques; c'est une menace pour la biodiversité, car le frelon asiatique ne connaît aucun prédateur en Europe de l'ouest, ce qui explique son taux de reproduction impressionnant. Ainsi, il décime un bon nombre d'insectes de l'entofaune, à l'image des guêpes. De plus, grand amateur de pollens, il consomme beaucoup de plantes mellifères situées à proximité des ruches ; enfin, la sécurité des citoyens est elle aussi menacée. Deux victimes mortelles sont déjà à mettre sur le compte de vespa velutina comme plusieurs piqûres sur des citoyens. Les nids sont souvent situés dans les arbres, à proximité des habitations, ce qui renforce le danger pour les populations. Le frelon asiatique est aujourd'hui classé espèce invasive. Au regard de cette triple menace, il s'interroge sur la classification du vespa velutina et lui demande s'il ne faudrait pas l'intégrer dans la catégorie des « espèces nuisibles » au sens du code rural, pour mettre en place un véritable plan de lutte contre le frelon asiatique avec un financement approprié.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon interroge M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la reconnaissance au grade de master 2 du diplôme d'infirmier de bloc opératoire diplômé d'État (IBODE) L'harmonisation des diplômes à l'échelon européen a conduit à l'adoption du système LMD tel que défini par la charte de Bologne de 1999. À ce titre, de nombreuses formations ont subi une réingénierie effectuée par le ministère compétent en partenariat avec les représentations professionnelles des formations concernées. Le diplôme d'État d'infirmier de bloc opératoire est actuellement dans l'attente d'une reconnaissance au niveau master 2. Cette incertitude quant à la reconnaissance de ce diplôme entraîne la désaffection des formations et, de fait, la pénurie de personnels qualifiés dans les établissements de santé. Les organisations professionnelles craignent que la pénurie ainsi engendrée ne fasse courir, à terme, des risques sérieux aux patients. Compte tenu de cette situation, il lui demande de bien vouloir lui indiquer l'état d'avancement des travaux destinés à reconnaître le grade de master 2 au diplôme d'État d'infirmier de bloc opératoire.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon attire l'attention de Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État, porte-parole du Gouvernement, sur l'application des dispositions de l'article 748 du CGI aux époux mariés sous le régime de la communauté universelle. Il souhaiterait savoir si elle peut lui confirmer que le régime de faveur tel que prévu audit article s'applique lors du partage de droits indivis, dépendant de ladite communauté, avec les autres co-indivisaires d'origine, dès lors que ces droits sont échus à l'un des deux époux par succession ou donation-partage et qu'ils sont entrés dans la communauté, soit au moment de l'adoption du régime matrimonial, soit pendant le cours du régime matrimonial.
Voir la questionM. Jérôme Bignon attire l'attention de M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les conséquences de l'arrêt du Conseil d'État n° 327507 du 10 novembre 2010 qui a annulé le décret n° 2009-247 du 9 mars 2009 relatif à l'utilisation des mentions valorisantes « fermier », « produit à la ferme » ou « produit de la ferme » dans la production d'oeufs de poule. L'annulation du décret n° 2009-247 et l'absence depuis plus d'un an d'un nouveau décret rectificatif empêche aujourd'hui de nombreux exploitants agricoles indépendants de faire valoir les mentions valorisantes « fermier », « produit à la ferme » ou « produit de la ferme » sur l'étiquetage de ses produits. Seuls sont autorisés les exploitants et GIE dont la mention était présente avant la parution du décret n° 2009-247. De fait, il existe aujourd'hui une distorsion de concurrence pour de nombreux producteurs indépendants dont certains, bien que bénéficiaires entre autres de la mention « agriculture biologique » et respectueux des traditions d'élevage des poules pondeuses, ne peuvent se prévaloir de cette mention qui se révèle pourtant dans leur cas une réalité. Ce cas exceptionnel ne concerne que la production d'oeufs, il lui demande de bien vouloir préciser si un nouveau décret permettant de définir l'utilisation de ces mentions est en préparation et sera prochainement publié.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur le constat porté par la Cour des comptes sur la mortalité infantile dans son rapport annuel présenté le 8 février 2012. Alors que la France affiche un des meilleurs taux de natalité européen, soit 2,01 enfants par femme, les indicateurs périnataux déjà peu performants se sont dégradés, depuis la dernière étude de la cour en 2006. La France, classée au 7e rang européen en 1999, se classe au 20e rang en 2009 (sur 30 pays). La situation est d'autant plus alarmante que la Cour des comptes peine à expliquer les causes de cet échec, car le système d'information sur les naissances et leur suite s'est nettement dégradé reposant sur des données fragmentées, fragiles et dont le regroupement est consommateur de temps et d'énergie. La Cour a déploré également de fortes disparités territoriales, un effort de prévention insuffisant en direction des femmes en situation de vulnérabilité, une absence de prise en considération prioritaire des départements d'outre-mer et une implication inégale des services de PMI des départements. Alors que la France est réputée pour sa protection sociale et son modèle de santé, comment peut-on laisser se détériorer nos performances sanitaires dans un domaine généralement considéré comme reflétant le niveau de développement d'un pays ? Il souhaiterait savoir pour quelles raisons le plan périnatalité 2005-2007 n'a été que partiellement mis en oeuvre et quelles sont les mesures que le Gouvernement souhaite prendre pour suivre les recommandations suggérées par la Cour des comptes.
Voir la questionIntervention en réunion de commission
Mercredi 15 février 2012 - Séance de 9 heures 30
M. Jérôme Bignon interroge M. le ministre de la culture et de la communication sur l'application des différents textes restreignant l'usage d'outils de prospection archéologique dans le cadre des loisirs individuels. La recherche archéologique est une activité essentielle de l'Histoire de notre pays. Chaque année, des découvertes sont effectuées permettant de mettre à nu et de mieux comprendre un pan de l'Histoire de France. Dans cette activité, aux côtés des archéologues professionnels et des recherches effectuées par le ministère, existent les prospecteurs de loisirs dont la pratique n'a d'autre but que de vivre une passion pour la recherche de terrain. Depuis plusieurs années, de nombreux textes tentent de régir cette activité de manière très contraignante. S'il est nécessaire de limiter et prévenir la prospection à des fins mercantiles ou les risques de pillage de sites archéologiques trouvés en dehors des recherches effectuées par les professionnels, il semble toutefois dommage de pénaliser les Français dont le seul but est de contribuer à la découverte de nouveaux sites. Dans un récent rapport, le conseil national de la recherche archéologique, a émis plusieurs propositions qui, non contentes de vouloir limiter la détection de loisirs, rendent sa pratique pour ainsi dire impossible. Il lui demande de bien vouloir l'éclaircir sur sa position à l'égard des prospecteurs de loisirs en voulant bien garder à l'esprit que sans ceux-ci, les grottes de Lascaux, pour ne citer que ce seul exemple, seraient très certainement aujourd'hui encore, inconnues de l'humanité.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Mercredi 1er janvier 2012 - Séance de 9 heures 30
M. Jérôme Bignon interroge M. le ministre de l'agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire sur les mesures annoncées par le Président de la République, lors de sa visite à Égletons en Corrèze, le 28 avril 2011. Le chef de l'État avait alors chargé les ministres de l'agriculture, de l'écologie et des finances d'oeuvrer ensemble, d'ici la fin de l'année 2011, à l'aboutissement puis la mise en oeuvre de dispositions fiscales spécifiques en faveur du renouvellement de la forêt française. Or, à ce jour, les entreprises forestières n'ont eu connaissance d'aucune conclusion de cette concertation et craignent que le dossier n'aboutisse pas. Elles sont, de fait, très inquiètes de leur devenir et de l'avenir de la filière bois qui représente près de 450 000 emplois dans notre pays. Il souhaite connaître l'état d'avancement des travaux menés de concert par les trois ministères, et les mesures qu'il entend prendre pour accélérer leur mise en oeuvre.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon attire l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur la possibilité de mise en place d'un indice du taux de moisissure parmi les exigences du diagnostic technique de l'habitat. L'article 3-1 de la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs fixe l'obligation pour les propriétaires des secteurs privés et publics de l'établissement d'un diagnostic technique de l'habitat qui doit être joint à tout bail de locatif. Celui-ci porte sur le risque d'exposition au plomb, la performance énergétique et un état des risques naturels et technologiques. Cependant la législation actuelle ne prévoit aucun élément relatif au taux de moisissures du logement dont on sait aujourd'hui qu'il est source de pollution intérieure à l'origine de plusieurs pathologies, notamment les allergies respiratoires. Dans un souci d'améliorer l'information du locataire, il souhaite connaître la position du ministère sur l'éventualité de la mis en place d'une obligation d'évaluation de la qualité de l'air intérieur des logements.
Voir la réponseM. Jérôme Bignon attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur le régime des biens des sections de communes. Il y aurait aujourd'hui en France 26 000 biens sectionnaires. En raison du statut particulier de ces biens, il peut exister des tensions entre les élus municipaux et les gestionnaires de ces biens. Pour les conseils municipaux concernés, le régime des sections de communes constitue des contraintes importantes et un obstacle évident à l'aménagement et au développement rural : les intérêts privés de la Commission syndicale chargée de la gestion du bien de la section de commune se heurtent bien souvent à l'intérêt comunal. À l'heure de la simplification et de la modernisation de notre organisation territoriale, le régime des sections de communes, par son statut particulier, oblige les élus municipaux à consulter la commission syndicale du bien sectionnaire, lorsque leur projet porte sur le territoire de la commune comprenant le bien sectionnaire. Cette consultation alourdit la procédure et ralentit la réalisation de ce projet. À l'opposé, en raison du débat qui s'est déroulé au Sénat le 3 février 2010 sur l'amendement de M. Jacques Mézard, les gestionnaires de ces biens se sentent quant à eux dans une situation d'insécurité juridique en ce qui concerne, tout d'abord, la procédure de transfert des biens de section aux communes, et ensuite leur devenir. Il lui demande par conséquent de bien vouloir dresser un état des lieux sur le régime des biens des sections de communes quant à leur mode de gestion et quant à la procédure de transfert, mais aussi de lui indiquer si le Gouvernement envisage prochainement d'améliorer la gestion des sections de communes, compte tenu des risques de tension entre les élus municipaux et les gestionnaires de ces biens.
Voir la questionIntervention en réunion de commission
Mercredi 22 février 2011 - Séance de 9 heures 30
Assemblée nationale
126 Rue de l'Université
75355 Paris 07 SP
18 Rue de la Prévôté
80140 Oisemont
Téléphone : 03 22 25 05 62
Télécopie : 03 22 25 89 30
Numéro de la place occupée : 106
(la zone en rouge situe le banc)
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