1ère séance: Gouvernance de la sécurité sociale et mutualité
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Bas-Rhin (4ème circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Union pour un Mouvement Populaire
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Intervention en séance publique
M. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre du travail, des relations sociales, de la famille et de la solidarité sur la revalorisation du minimum contributif. Le minimum vieillesse va bénéficier d'une revalorisation de 25 % sur la durée du quinquennat. Dès lors, une personne au minimum contributif, ayant cotisé sur des bas salaires durant toute sa carrière, perçoit désormais une retraite inférieure au minimum social, qu'est le minimum vieillesse, fixé à 628,10 euros maximum par mois, versé aux personnes ayant peu ou pas cotisé. En effet, le minimum contributif pour 160 trimestres validés d'un montant de 579,85 euros par mois est inférieur au minimum de solidarité. De même, le minimum contributif majoré pour 160 trimestres entièrement cotisés atteint seulement 633,61 euros par mois. Certes, la réforme 2003 a permis d'améliorer la validation de périodes ayant donné lieu à cotisations en introduisant une majoration au titre de ces périodes. L'article 4 de la loi fixe comme objectif de garantir en 2008 un minimum de pension égal à 85 % du SMIC pour les salariés ayant une carrière complète rémunérée au SMIC. Néanmoins, la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques a fourni dans une note récente, un éclairage sur «l'effet de rattrapage » que peut créer une revalorisation du minimum vieillesse vis-à-vis des bénéficiaires du minimum contributif. Ainsi, parmi ceux qui ont effectué une carrière complète et qui bénéficient du minimum contributif, plus du tiers percevrait en 2008 une retraite totale inférieure au seuil du minimum vieillesse revalorisé de 25 %, contre 19 % si le minimum vieillesse n'était revalorisé que de la seule inflation. Le conseil d'orientation des retraites a rappelé, dans son 5e rapport pour le rendez-vous sur les retraites 2008, que l'écart de revenu entre les bénéficiaires du minimum contributif entier, qui ont eu par définition une carrière complète, et les bénéficiaires du minimum vieillesse, dont certains n'ont jamais travaillé, doit rester significatif si l'on souhaite continuer, par le biais du minimum contributif, à valoriser le travail. C'est pourquoi, il lui demande de bien vouloir lui préciser les mesures qu'il compte prendre afin de maintenir cet équilibre et valoriser le fruit du travail.
Voir la réponseM. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la conformité des devis fournis par les prestataires d'opérations funéraires. En effet, l'UFC-Que choisir du Bas-Rhin vient de rendre publics les résultats d'une enquête menée dans 38 magasins funéraires de la région Alsace sur la bonne application de leurs obligations légales par les professionnels. Malgré la réforme de 2008 qui renforce l'information du consommateur et la mise en place d'un modèle de devis obligatoire (arrêté du 23 août 2010), les magasins funéraires ne se plient toujours pas aux règles de la transparence. Ainsi, dans 8 cas sur 38, aucun devis n'est communiqué aux familles et, pire, aucun des devis récoltés ne respecte le modèle de devis obligatoire. Cette opacité empêche la comparaison des prestations par les familles et favorise la hausse des prix. Dans la zone enquêtée, le coût total pour des obsèques, hors caveau et concession, s'établit à 3 191 euros en moyenne, contre 3 100 euros au niveau national. Mais, d'un opérateur à l'autre, pour une demande similaire, la facture totale peut considérablement varier : de 1 775 euros pour le plus économique à 4 522 euros pour le plus onéreux. Ces différences sont liées à un grand nombre de prestations « non obligatoires », mais aussi à des opérations surfacturées : c'est le cas par exemple des formalités administratives, dont le coût se situe dans une fourchette de 61 euros à 404 euros alors qu'il s'agit d'opérations standardisées. Au vu de ces pratiques, il y a urgence à mieux encadrer le marché. En premier lieu, il conviendrait de prévoir des sanctions contre les professionnels n'utilisant pas le modèle de devis obligatoire. Il serait également opportun d'élaborer un livret d'information sur les obsèques qui serait mis à disposition des familles dans les mairies et en établissements de soins. La direction générale des collectivités locales pourrait fort bien établir un tel livret après consultation du Conseil national des opérations funéraires. Il lui demande quelles mesures le Gouvernement entend mettre en oeuvre afin de remédier aux dysfonctionnements constatés.
Voir la réponseM. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les complications du dépistage du cancer de la prostate. En effet, malgré l'absence de preuves de son efficacité, le dépistage du cancer de la prostate a été largement promu depuis le début des années 1990. Le groupe de travail des services de prévention des États-unis s'est prononcé contre le dépistage du cancer de la prostate par le prostate specific antigen (PSA, l'antigène prostatique spécifique, fabriqué naturellement par la prostate, qu'on peut doser par une simple prise de sang), du fait de complications beaucoup trop nombreuses par rapport aux bénéfices obtenus. Au mieux, le dépistage de 1 500 personnes pendant dix ans aboutit à environ 180 biopsies et à traiter 50 hommes pour sauver une vie. Ces biopsies et ces traitements sont dangereux car ils exposent à de fréquentes complications. Aux États-unis, par exemple, 33 millions d'hommes ont été dépistés entre 1986 à 2005. Un million d'entre eux ont été traités qui ne l'auraient pas été s'il n'y avait pas eu de dépistage. Ces traitements ont provoqué 5 000 décès consécutifs à une intervention chirurgicale. Entre 10 000 et 70 000 patients ont éprouvé des complications graves, et 200 000 à 300 000 d'entre eux souffrent d'impuissance ou d'incontinence. Néanmoins, plus de la moitié des médecins français approuvent le dépistage systématique et le nombre de dosages de PSA progresse, de 4,6 % entre 2009 et 2010. La vente en pharmacie d'un test immunitaire pour le dosage du PSA aggrave cette situation. S'il faut différencier ce dépistage du diagnostic précoce chez les patients symptomatiques, le test sanguin pour détecter le cancer de la prostate ne doit plus être fait aux hommes en bonne santé. Il semble que, dans de nombreuses situations, le mieux est de ne rien faire. C'est pourquoi il souhaite savoir quelles mesures le Gouvernement envisage de prendre pour mettre fin à cette dérive qui s'aggrave encore.
Voir la questionM. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre de la défense et des anciens combattants sur la nécessité de rendre éligibles à l'obtention de la croix du combattant volontaire, comme l'ont été ceux des guerres mondiales, d'Indochine, de Corée et d'Afrique du nord, les engagés volontaires contractuels venant directement de la société civile et les réservistes opérationnels, déjà titulaires de la carte du combattant. Cette décoration, qui n'ouvre aucun droit nouveau, n'est destinée ni aux militaires de carrière, ni aux rengagés. Elle compense en partie la rupture d'égalité de traitement des engagés volontaires à contrat unique et des réservistes opérationnels, par rapport aux autres militaires qui, de par la durée de leurs services, peuvent postuler pour les ordres nationaux et la médaille militaire. Son attribution, sans aucun coût pour l'État, ne peut que favoriser le volontariat dont nos armées ont tant besoin. Il lui demande de bien vouloir indiquer quelles sont ses intentions à ce sujet.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
mardi 6 mars 2012 - 16 h 15
Intervention en séance publique
Intervention en réunion de commission
mardi 28 février 2012 - 16 h 15
Intervention en réunion de commission
Mercredi 22 février 2012 - Séance de 10 heures
Sécurité sociale : gouvernance de la sécurité sociale et mutualité
Voir le document Voir le dossier législatifIntervention en réunion de commission
Mercredi 15 février 2012 - Séance de 10 heures
M. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la participation des communes au financement des presbytères. Dans de nombreuses communes rurales alsaciennes, les presbytères, affectés au culte catholique ou protestant, sont des bâtiments communaux dont l'entretien et la rénovation incombent, en définitif, à la commune qui en est propriétaire. Or du fait du regroupement des paroisses tant catholiques que protestantes, le ministre du culte n'occupe plus qu'un seul presbytère alors qu'il dessert plusieurs communes. Les presbytères non occupés peuvent être loués par les communes et devenir ainsi une source de revenus. Quant aux presbytères occupés, ils sont mis gracieusement à la disposition de la paroisse et leur entretien est à la charge de la seule commune qui en est propriétaire. En outre, il arrive que, pour des raisons historiques, le presbytère occupé par le ministre du culte, soit situé dans la commune la moins riche du regroupement paroissial. Les tentatives des maires des communes dont le presbytère est occupé par un ministre du culte pour faire participer les autres communes par le biais d'une convention sur la base d'une valeur locative théorique du presbytère, se heurtent le plus souvent, au refus des maires et des conseils municipaux des communes voisines. Devant le manque d'équité flagrant de cette situation, il souhaite savoir si les communes dont le presbytère est occupé par un ministre du culte disposent d'un moyen légal de faire participer les communes faisant partie du même regroupement paroissial.
Voir la réponseIntervention en séance publique
Intervention en séance publique
M. Yves Bur attire l'attention de M. le secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation, sur la question de la contribution pour l'aide juridique. L'article 54 de la loi n° 2011-900 du 29 juillet 2011 de finances rectificative pour 2011 crée une contribution pour l'aide juridique d'un montant de 35 euros par instance introduite en matière civile, commerciale, prud'homale, sociale ou rurale devant une juridiction judiciaire ou par instance introduite devant une juridiction administrative. Or ces procédures, créées initialement pour permettre aux justiciables un accès plus simple au juge sans le recours à un avocat, sont déjà utilisées en majorité (90 % selon l'Association nationale des juges d'instance) par les professionnels, et notamment par les établissements financiers pour attraire devant les tribunaux les consommateurs en incident de paiement. La contribution de 35 euros adresse un signal très négatif pour les consommateurs, en érigeant un obstacle supplémentaire à l'accès au juge. En raison du faible montant de certains litiges de consommation (cas d'un DVD non livré par exemple), la contribution risque de dissuader un grand nombre de personnes d'agir en justice. Elle pourrait donc encourager le développement de pratiques abusives chez certains professionnels, puisque leurs clients n'auront pas d'intérêt à ester en justice. C'est pourquoi il convient de prévoir une exonération de cette contribution pour les particuliers agissant en justice contre des professionnels. Il lui demande donc de bien vouloir lui indiquer les intentions du Gouvernement sur ce sujet.
Voir la réponseM. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les conditions de formation des ostéopathes professionnels de santé, dans la perspective d'une future modification de la réglementation de l'ostéopathie (décret n° 2007-437 du 25 mars 2007 relatif à la formation des ostéopathes et à l'agrément des établissements de formation, décret n° 2011-390 du 12 avril 2011 modifiant l'article 75 de la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé et décret n° 2011-1120 du 19 septembre 2011 relatif aux agréments des établissements de formation en ostéopathie). Les professionnels de santé, dont les masseurs-kinésithérapeutes, qui sont à l'origine historique de l'implantation de l'ostéopathie en France, exigent le maintien d'une formation spécifique à l'ostéopathie dans le cadre d'une filière de formation continue "en alternance", ce qui ne serait pas le cas si l'exemple du décret n° 2011-1127 du 20 septembre 2011 sur la chiropractie était appliqué à l'ostéopathie. Ils demandent à ce qu'une séparation claire soit établie entre les ostéopathes professionnels de santé et non professionnels de santé. Ils demandent à ce que les conditions d'agrément des instituts de formation en ostéopathie pour les professionnels de santé soient distinguées et précisées de telle sorte qu'ils soient expressément qualifiés dans le texte d'établissements de formation continue, dépendant à ce titre du ministère du travail et dispensés des procédures liées au rectorat. Ils demandent à ce que leur cursus soit spécifique et adapté aux masseurs-kinésithérapeutes suivant en cela les recommandations OMS en la matière qui retient une base de 1 000 heures de formation. Il lui demande, par conséquent, de lui indiquer les réponses qu'il compte apporter à ces revendications.
Voir la questionSécurité sociale : gouvernance de la sécurité sociale et mutualité
Voir le document Voir le dossier législatifM. Yves Bur appelle l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement, sur l'accès au logement ainsi que les conditions de sortie des locataires. Alors que les locataires du secteur privé ont le taux d'effort le plus important pour se loger (23 % contre 20 % pour les accédants à la propriété et 18 % pour le logement social), l'UFC-Que-Choisir du Bas-Rhin a rendu publique une enquête alarmante. Cette enquête visait à connaître les modalités pratiques d'accès à la location, vérifier la conformité des agences à leurs obligations légales, et apprécier le service offert au candidat à la location. Le constat est sans appel. Ainsi en matière d'information, les agences ne jouent toujours pas le jeu de la transparence. Bien qu'obligatoires, de nombreuses informations ne sont pas affichées par les agences. Ainsi, dans 6 cas sur 31 (trois sans vitrine), les honoraires n'étaient pas affichés ou pas visibles de l'extérieur. De même, près de trois mois après l'entrée en vigueur de l'obligation légale d'affichage de l'étiquette énergétique, près d'un tiers des agences ne respectent pas la loi. De plus, dans 60 % des cas, les agences n'ont pas hésité à demander pour la constitution du dossier des documents strictement interdits : attestation de bonne tenue de compte, photographie d'identité, attestation du précédent bailleur, chèque de réservation de logement, copie du relevé de compte ou encore attestation de l'employeur. Enfin, alors que l'essentiel ses services proposés par l'agence sont principalement au profit du bailleur, les honoraires acquittés par les locataires sont prohibitifs : en moyenne, un mois de loyer, hors charges. Faut-il ici rappeler que d'après une interprétation stricte de la loi par les tribunaux, notamment la Cour d'appel de Grenoble dans un arrêt de 2004, le locataire ne doit à l'agence que la seule rédaction de l'acte ? Au-delà de l'accès, le logement locatif pose également problème aux locataires principalement en raison des conditions d'élaboration des états des lieux et bien évidemment des conditions de restitution de dépôt de garantie. Au vu de ce constat, il semble opportun que des mesures législatives et réglementaires simplifient l'accès au logement ainsi que les conditions de sortie des locataires, notamment via une limitation des honoraires des agences immobilières pour les locataires à la seule rédaction du bail, une meilleure information sur les états des lieux, ainsi que le placement sur le fonds des dépôts de garantie pour dégager des intérêts servant à la solidarité nationale en matière de logement. Il lui demande les mesures qu'il entend mettre en oeuvre pour remédier aux dysfonctionnements constatés mais également les initiatives que le Gouvernement entend prendre pour simplifier l'accès au logement et les conditions de sortie des locataires.
Voir la réponseM. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la pratique de certaines sociétés VSL qui se font au détriment des malades. Actuellement, la prise en charge de certains transports nécessite d'obtenir l'accord préalable du service médical de l'assurance maladie. Le médecin, s'il estime que la situation du patient le justifie, prescrit le mode de transport le mieux adapté à l'état de santé et à son niveau d'autonomie. Or, actuellement, certaines sociétés VSL profitent des malades qui se rendent en consultation de contrôle et qui ne bénéficient d'aucune prise en charge de transport. Les patients demandent en toute bonne foi un bon de transport auprès du spécialiste sur les encouragements des VSL parfaitement au courant de la réglementation et de l'obligation d'avoir un accord préalable. Le coût du transport est dès lors entièrement à la charge du patient. Cette situation inadmissible amène à s'interroger sur la mise en place d'un encadrement réglementaire obligeant les ambulanciers et taxis d'informer le patient sur la tarification des transports sanitaires par ambulance et par VSL en cas de non prise en charge. C'est pourquoi il lui demande de bien vouloir lui indiquer ses intentions en la matière afin mettre fin à ses abus.
Voir la questionM. Yves Bur attire l'attention de M. le ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche sur l'arrêté du 1er septembre 2010 diminuant le prix de rachat de l'électricité produite à partir de panneaux photovoltaïques installés sur les bâtiments agricoles. La baisse importante du tarif de rachat de ce type d'électricité et le caractère rétroactif de cette mesure risquent de pénaliser gravement les agriculteurs qui ont déjà investi des sommes importantes dans le montage de dossiers techniques et administratifs ou qui ont versé des acomptes aux entreprises. Il lui demande de bien vouloir lui indiquer les mesures que le Gouvernement envisage de prendre afin de faire évoluer l'arrêté et permettre ainsi aux agriculteurs de s'inscrire dans la dynamique impulsée par le Grenelle de l'environnement tout en diversifiant leurs sources de revenus.
Voir la questionAssemblée nationale
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