L’article premier du traité international sur les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture, signé à Rome le 6 juin 2002, énonce ses objectifs :
« la conservation et l'utilisation durable des ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture, et le partage juste et équitable des avantages découlant de leur utilisation en harmonie avec la Convention sur la diversité biologique, pour une agriculture durable et pour la sécurité alimentaire », lesquels doivent être atteints « par l'établissement de liens étroits entre le présent Traité et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, ainsi que la Convention sur la diversité biologique. »
dossier
Traité international sur les ressources
phytogénétiques (février 2005)
La diversité génétique
constitue, avec la diversité des écosystèmes et des espèces, l'un des trois
niveaux de la diversité des écosystèmes et des espèces et l'un des trois niveaux
de la diversité biologique.
rapport de l’office
parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques sur les
conséquences des modes d’appropriation du vivant sur les plans économique,
juridique et éthique (mars 2004)
L'appropriation du vivant est de
plus en plus un thème structurant dans un nombre important de domaines :
situation des pays en voie de développement, accès aux médicaments, devenir de
l'agriculture et de la recherche
rapport de l’office
parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques sur la
brevetabilité du vivant (n°
3502 du 20 décembre 2001)
Compte tenu du
développement économique des pays industrialisés de plus en plus fondé sur la
science et la connaissance, il devenait sans doute inévitable que la question de
la brevetabilité du vivant finisse par se poser.