Le 29 janvier 2000 est adopté, à Montréal, le Protocole de Carthagène sur la prévention des risques biotechnologiques relatif à la convention sur la diversité biologique.
Conformément à l'approche de précaution, il vise à contribuer à assurer un degré adéquat de protection de l'environnement, y compris la santé humaine, pour le transfert, la manipulation et l'utilisation sans danger des organismes vivants modifiés (à l'exception des médicaments humains) et réglemente les échanges internationaux d'organismes vivants modifiés susceptibles d'avoir des effets défavorables sur la conservation et l'utilisation durable de la diversité biologique.