Déclaration du
Gouvernement
Candidature de la Turquie à l'Union européenne
(22 décembre 2004)
(les informations concernant les réunions à venir ont un caractère prévisionnel et sont susceptibles d’être modifiées)

Déclaration du Gouvernement sur
la candidature de la Turquie à l'Union européenne,
suivie d'un débat sur
cette déclaration, n° 1869
2e séance du jeudi 14 octobre 2004 :
compte rendu
analytique - compte rendu intégral
En savoir plus :
-Questions au Gouvernement portant sur l'adhésion de la Turquie à l'Union
européenne :
* Retransmission en différé :
5 octobre
2004 -
6 octobre 2004 -
12 octobre 2004
-
21
décembre 2004
* au compte rendu intégral :2e séance du
5 octobre
2004 - 1re séance du 6 octobre
2004 - 2e séance du 12 octobre 2004
- 21 décembre 2004 -
- Proposition de
résolution de de MM.
Hervé Morin et François Bayou
sur la proposition de règlement du Conseil portant création d’un
instrument de soutien financier visant à encourager le développement
économique de la communauté chypriote turque (E 2643), n° 1862, déposé le
13 octobre 2004 (1)
- Rapport
d'information de M. Guy Lengagne déposé par la Délégation de l'Assemblée
nationale pour l'Union européenne sur la Turquie et l'Union européenne,
n° 1834, le 5 octobre 2004
- Comptes rendus de la Délégation de l'Assemblée pour l'Union européenne :
Réunion du mardi 5 octobre 2004 à 16 heures - Compte rendu de la mission de la Délégation en Turquie
- au Sénat : Déclaration du Gouvernement, suivie d'un
débat : mardi 21 décembre 2004. Déclaration du Gouvernement n° 135
(2004-2005)
- Composition du groupe d'amitié France-Turquie
-
Elargissement de l'Union européenne : la candidature de la la Turquie
[sur le site d'information sur l'Europe]
- Le rapport de la commission européenne sur la candidature de la Turquie
à l'Union européenne [sur le site d'information sur l'Europe]
(1)Les résolutions de l'Assemblée nationale sur
les projets ou propositions d'actes des Communautés européennes et
de l'Union européenne
Les résolutions
expriment la position de l'Assemblée nationale tout entière. C'est
pourquoi la Délégation ne peut adopter que des propositions de
résolution qui sont alors renvoyées à l'examen de l'une des six
commissions permanentes, chargée de se prononcer dans le délai d'un
mois suivant la saisine.
La Commission
permanente désigne alors son propre rapporteur et prend position sur
la proposition de résolution de la Délégation qu'elle peut adopter
en l'état, amender ou rejeter. Dans les huit jours qui suivent la
distribution du rapport de la commission, la proposition de
résolution peut être inscrite à l'ordre du jour de l'Assemblée
nationale à la demande d'un Président de groupe, d'un Président de
commission, du Président de la Délégation ou du Gouvernement. Si
aucune demande d'inscription à l'ordre du jour n'est présentée, le
texte adopté par la commission saisie au fond est considéré comme
définitif et transmis au Gouvernement. Les résolutions ont une
portée politique ; elles ne lient pas juridiquement le Gouvernement,
mais ce dernier doit en tenir compte lors des négociations
communautaires.
Dans tous les cas,
les résolutions adoptées par l'Assemblée sont publiées au Journal
officiel (édition Lois et décrets).
La Délégation n'a
toutefois pas le monopole de l'initiative du dépôt de propositions
de résolution, qui est également un droit individuel reconnu à
chaque député. Si le Gouvernement ou le Président d'un groupe le
demande, la commission permanente saisie au fond doit examiner la
proposition de résolution du député dans le mois suivant cette
demande. |
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