1ère séance : Questions au Gouvernement; Protection de l'identité (vote solennel); Peine d'interdiction du territoire et délinquants réitérants (vote solennel) ; Majoration des droits à construire
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Hauts-de-Seine (1ère circonscription)
Mandat XIIIe législature clos (2007-2012)
Président du groupe Gauche démocrate et républicaine
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Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
Amnistie des faits commis à l'occasion de mouvements sociaux et d'activités syndicales et revendicatives
Voir le document Voir le dossier législatifM. Roland Muzeau attire l'attention de M. le ministre auprès du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie, chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique, sur le projet de plan de restructuration d'Alstom power systems portant suppression de postes dans le secteur de l'énergie. Le 4 octobre 2010, le groupe Alstom annonçait 4 000 suppressions de postes dont 100 sur Belfort avec la fermeture annoncée de deux secteurs de production, l'atelier des Ailettes et le secteur Isotenax. Le 22 juillet 2011, lors d'un comité central d'entreprise, les élus découvraient par l'intermédiaire de l'expert, un projet de 251 suppressions de postes d'ici mars 2014. Le site de Belfort, et principalement son activité de production serait à nouveau impacté par 77 suppressions de postes. L'usine Belfortaine, qui intervient dans le domaine de l'énergie, est le dernier secteur de production de groupes turboalternateurs en France. De ce site, vient de sortir la plus grosse turbine au monde de 1 700 MW pour la centrale de Flamanville. Sans compter le plan de sauvetage de 600 millions d'euros mis en place en 2003 et pris en charge à hauteur de 50 % par l'État, il lui rappelle que, dans le cadre de la fusion entre Alstom power systems et Alstom power turbomachines en mars 2010, un agrément fiscal a été accordé par l'État français au groupe. En contrepartie de cette nouvelle aide financière sous forme de réduction exceptionnelle d'impôts de 66 millions d'euros, engagement avait été pris par le groupe Alstom de maintenir l'activité et les emplois pendant trois ans au sein de la société absorbée. Contraire aux promesses faites, le plan de restructuration contesté par les instances représentatives du personnel emporte un risque indiscutable de perte de savoir-faire fragilisant la filière énergie du groupe. Belfort, dernière usine de fabrication du groupe dans le domaine de l'énergie, voit ses produits phares menacés qu'il s'agisse des ailettes ou du composant d'alternateur appelé Isotenax. Il lui demande donc de clarifier la stratégie du Gouvernement en matière de politique industrielle et de lui préciser les mesures qu'il entend prendre pour éviter ces suppressions de postes et permettre d'asseoir cette activité déterminante pour la renommée de la France.
Voir la réponseM. Roland Muzeau interroge Mme la ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'État sur les possibles conséquences financières de la demande de réparation introduite par les héritiers du constructeur automobile Louis Renault. Ces derniers contestent l'ordonnance du 16 janvier 1945 décidant la nationalisation des usines Renault et la confiscation de tous les biens et droits ayant un lien avec l'exploitation de ces usines. Ils demandent au tribunal de grande instance de Paris de « réparer le préjudice ayant résulté de la dépossession de l'ensemble des biens, droits et participations, qui appartenaient, après la mort de Louis Renault, à Jean-Louis Renault, leur père et à Christiane Boullaire, leur grand-mère ». D'après les termes de l'assignation remise le 9 mai 2011 à l'agent judiciaire du Trésor, ces biens et droits comporteraient : les biens appartenant antérieurement à Louis Renault concernant les usines Renault de Boulogne-Billancourt, du Mans et de Vilvorde en Belgique et les droits qui s'y rattachent ; les immeubles ayant appartenu à Louis Renault avenue des Champs-Élysées à Paris ; les biens situés dans les communes du Mans et d'Arnage ayant appartenu à Louis Renault et faisant partie des Usines du Mans et de leurs dépendances ; les terrains, bâtiments, matériels et fonds de commerce ayant appartenu à Louis Renault dans les communes de Brignoles et Vins-sur-Caramy dans le Var ; les actifs financiers des Aciéries de Louis Renault à Saint-Michel-de-Maurienne ; les participations de Louis Renault dans la « Renault Selling Branch ». Les héritiers de Louis Renault demandent au tribunal de grande instance de Paris de désigner un expert pour évaluer le montant de l'ensemble de ces biens et droits mais également d'évaluer la perte de revenus qu'auraient générés ces actifs jusqu'à la date du jugement à intervenir. Il lui demande donc que soient estimées les conséquences financières que pourraient avoir sur le budget de la Nation la satisfaction des demandes formulées par les héritiers du constructeur automobile.
Voir la réponseM. Roland Muzeau appelle l'attention de M. le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie sur le rôle déterminant et l'importance stratégique que revêt le secteur aéronautique et spatial pour l'avenir du développement industriel de notre pays. Il s'inquiète de constater que, si les perspectives d'avenir de cette industrie sont grandes, elles se conjuguent aussi avec d'importants dysfonctionnements comme le montrent les difficultés rencontrées dans la production de l'A380, des retards de l'A400 M ou le lancement de l'A350. Aujourd'hui, seuls de grands groupes privés se partagent le marché du transport aérien. Ils définissent seuls les moyens civils et militaires de la Nation en privilégiant les stratégies commerciales sur la satisfaction des attentes et des besoins de notre pays et de sa population. Il s'interroge sur l'opportunité d'une participation majoritaire de l'État au capital des entreprises concernées, laquelle permettrait aux représentants de la Nation de définir avec les acteurs de ce secteur, compagnies aériennes, avionneurs, motoristes, salariés, associations de consommateurs, chefs d'état-major des armées, les besoins en matière de transport aérien et de défense nationale. Il estime nécessaire de conserver l'industrie aéronautique et spatiale sous contrôle public à l'abri des marchés financiers et de rentabilité financière. En conséquence, il lui demande s'il ne conviendrait pas d'associer aujourd'hui les salariés et leurs représentants à la définition des stratégies industrielles de ces groupes et à la définition des besoins du secteur. Il lui demande de clarifier la stratégie du Gouvernement en matière de politique industrielle et de lui préciser les mesures qu'il entend prendre pour éviter les suppressions de postes et permettre de garantir le développement de cette activité déterminante pour la renommée de la France. Il lui demande de faire en sorte que le nécessaire soutien à cette filière soit à la hauteur de l'excellence professionnelle de ses salariés et du caractère vital des enjeux en cause, en termes de croissance industrielle et d'indépendance nationale.
Voir la réponseM. Roland Muzeau attire l'attention de M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative sur les conditions inacceptables dans lesquelles la rentrée prochaine risque de se faire en raison de l'ampleur des suppressions de postes, 80 000 emplois depuis 2007 et 14 000 prévus pour 2012. Dans sa circonscription, les conséquences directes de cette politique provoquent émoi et colère des parents d'élèves et des enseignants : disparition des RASED, menaces sur d'importants dispositifs de soutiens pour les élèves... À Villeneuve-la-Garenne, la dotation horaire globale du collège Édouard-Manet diminue de 33 heures. C'est une décision catastrophique pour cet établissement classé en zone d'éducation prioritaire et zone prévention violence, dans une ville retenue pour le lancement des expérimentations dans le cadre des contrats urbains de cohésion social (CUCS). Si elle était maintenue en l'état, cette DHG entraînerait soit la suppression d'une classe de sixième (augmentant ainsi les effectifs par classe), de deux postes d'enseignants et de cinq heures de dispositif de soutien, soit la suppression d'un ou deux postes d'enseignants BMP et de la majeure partie des dispositifs, projets et options existants et, pour tous les élèves, le retour à des horaires planchers. Les dispositifs supprimés, atelier de lecture, dédoublement de classe en SVT, en physique, en langues..., ne sont en rien des dispositifs de « confort » ainsi qu'il l'a entendu d'un cadre de l'administration. Ils sont essentiels pour soutenir les élèves et répondre à l'un des objectifs rappelé par le ministre de la ville lors de la signature des CUCS : « Dans un contexte très contraint pour les finances publiques, il est pertinent de prioriser les territoires et les publics qui en ont le plus besoin [...] Notre responsabilité est de donner aux habitants des quartiers en difficulté des outils pour prendre leur place, s'émanciper et construire leur avenir. Et cela ne passera que par l'éducation [...] parce qu'agir pour la réussite éducation, c'est agir sur les causes des inégalités sociales et l'exclusion [...] C'est pourquoi j'ai tenu à renforcer l'encadrement pédagogique des élèves ». Aussi, il lui demande que l'État revienne sur son objectif de 14 000 suppressions de postes pour la prochaine rentrée, que le collège Édouard-Manet conserve ses 33 heures dans la DHG 2012 et que de véritables moyens soient accordés pour garantir à chaque élève le droit à une éducation de qualité et une égalité d'accès aux savoirs.
Voir la réponse publiée le 29 février 2012Intervention en séance publique
Création d'une commission d'enquête sur le scandale du nouveau centre hospitalier sud-francilien construit en contrat de partenariat public-privé
Voir le document Voir le dossier législatifIntervention en séance publique
Intervention en séance publique
Intervention en séance publique
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Intervention en réunion de commission
Mardi 14 février 2012 - Séance de 17 heures
M. Roland Muzeau attire l'attention de Mme la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le sort de la médecine générale à l'université pour lequel le syndicat national des enseignants de médecine générale émet de fortes inquiétudes. Le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche propose la création de huit postes d'enseignants associés de médecine générale pour toute la France or selon le Conseil national des universités, les besoins en la matière se porteraient à trente enseignants. Selon le syndicat national des enseignants de médecine générale, les sous-effectifs d'enseignants de médecine générale dans les facultés sont dramatiques alors que le nombre d'étudiants est chaque année plus nombreux. Il fait par ailleurs remarquer que de telles mesures sont nécessaires et urgentes car les dysfonctionnements de la médecine de ville pénalisent non seulement les patients mais accroissent les charges de l'hôpital et accentuent ses difficultés financières. Il rappelle qu'il y a un an, les députés ont voté à l'unanimité la création de la filière universitaire de médecine générale et qu'aujourd'hui il n'y a toujours aucun enseignant hospitalo-universitaire titulaire pour cette discipline qui forme pourtant la moitié des étudiants en médecine. Aussi, il demande de bien vouloir lui indiquer quelles mesures seront prises pour que dès la prochaine rentrée universitaire soit mis en place un plan de nomination d'enseignants associés avec nomination immédiate des vingt-sept enseignants déclarés aptes par le Conseil national des universités, ainsi que la nomination de titulaires universitaires dans toutes les facultés conformément au texte de la loi HPST.
Voir la réponseM. Roland Muzeau attire l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics et de la fonction publique sur les difficultés liées à l'obligation pour les collectivités territoriales de télécharger la TVA. En effet, depuis 2007 les collectivités territoriales doivent s'acquitter de cette obligation, au même titre que les entreprises ayant un chiffre d'affaire compris entre 760 000 et 1,5 millions d'euros. Pour ce faire, elles peuvent soit acheter un certificat électronique, soit utiliser le certificat électronique gratuit mis à disposition par l'administration fiscale. Dans ce dernier cas, il est nécessaire de posséder un numéro fiscal que les collectivités territoriales non assujetties à l'impôt sur le revenu ne peuvent avoir. Pour contourner cet obstacle, les services des impôts demandent d'utiliser le numéro fiscal personnel du fonctionnaire territorial en charge de la déclaration de TVA ou de tout autre fonctionnaire possédant un tel numéro. Pour bénéficier d'un service gratuit, les collectivités locales sont donc dans l'obligation d'utiliser le numéro fiscal de ses agents, lequel est pourtant une donnée personnelle et confidentielle. Il n'existe donc pas, à ce jour, de moyen permettant aux collectivités territoriales de satisfaire gratuitement à l'obligation de télédéclarer la TVA, sans avoir recours aux données personnelles et confidentielles des agents publics. Il lui demande de remédier à cette situation pour le moins préjudiciable en sécurisant ce dispositif tout en garantissant la confidentialité des données fiscales des personnels. Il lui demande également de veiller à trouver une solution permettant aux villes qui téléchargent d'échapper aux amendes pour défaut de respect de la procédure.
Voir la réponseM. Roland Muzeau attire l'attention de M. le haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, haut-commissaire à la jeunesse, sur une disposition du revenu de solidarité active pour laquelle des habitants de sa circonscription n'ont pas manqué l'interpeller. À la rubrique « Vous êtes célibataire et vous vivez seul » qui figure dans le formulaire que les postulants au revenu de solidarité active sont invités à remplir, il est demandé aux futurs allocataires s'ils perçoivent une pension alimentaire ? Si le demandeur répond négativement, il lui est alors demandé s'il est « susceptible d'engager une action envers vos parents pour obtenir une pension alimentaire. Si vous souhaitez être dispensé de cette démarche, précisez le motif (logé gratuitement par les parents, aide financière versée par eux, etc.) ». Outre le fait que de nombreux futurs allocataires sont scandalisés par cette disposition, ils font remarquer que rien de tel ne figurait dans la demande d'allocation du revenu minimum d'insertion. Par ailleurs, il tient à dénoncer ce principe qui voudrait que la solidarité familiale pallie la solidarité nationale. Aussi, il demande de bien vouloir lui indiquer ce qui a motivé une telle disposition et, surtout, que cette disposition soit supprimée du dispositif du revenu de solidarité active.
Voir la réponseM. Roland Muzeau alerte Mme la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche sur le devenir de l'IUT de Gennevilliers. De graves incertitudes pèsent en effet sur l'ouverture prévue pour la rentrée 2009 de ce nouveau pôle universitaire, participant au rééquilibrage de l'offre universitaire dans le nord des Hauts-de-Seine et répondant aux besoins de formation en gestion administrative et commerciale, carrières sociales : en cause, l'absence d'engagements du ministère sur l'octroi de moyens pédagogiques et administratifs supplémentaires indispensables pour assurer les formations dans les deux nouvelles filières de DUT. L'université Paris X-Nanterre en extension est néanmoins contrainte par un budget global en baisse qui hypothèque le développement de nouvelles formations. La présidence de l'université n'est pas en mesure aujourd'hui de faire vivre le site d'enseignement supérieur de Gennevilliers, devant accueillir à terme neuf cents étudiants. En finançant respectivement à hauteur de cinq et trente-huit millions d'euros, la commune de Gennevilliers comme le conseil général des Hauts-de-Seine ont investi pour que ce bel équipement puisse voir le jour. Les étudiants se sont déjà montrés très intéressés par les formations proposées comme en témoignent les demandes de préinscription en premier choix dans le département carrières sociales, deux fois supérieures au nombre de places. Il importe maintenant que l'État assume toutes ses responsabilités, afin de sécuriser l'ouverture de ce pôle universitaire et garantir le fonctionnement normal de l'équipement. Il lui demande donc de s'engager financièrement en assumant la couverture des frais des postes des non-enseignants à la charge des universités, en augmentant à due concurrence le budget de Paris X-Nanterre.
Voir la réponseM. Roland Muzeau alerte M. le ministre de l'éducation nationale sur l'opposition croissante des parents d'élèves et des enseignants aux réformes récentes touchant l'enseignement élémentaire. Dans sa circonscription, la mobilisation qu'il a lui-même constatée dans les villes de Colombes, Villeneuve-la-Garenne et Gennevilliers, reste massive et regroupe de nombreux enseignants, personnels de direction et parents d'élèves. Les mouvements de grèves sont très suivis et poursuivis par des campagnes d'affichages, de sensibilisation et d'information. Cette mobilisation pour l'avenir de l'école vise à dénoncer les suppressions de postes dans l'éducation nationale annoncées par le Gouvernement, notamment dans l'enseignement élémentaire. Ces suppressions provoquent une inquiétude et un mécontentement d'autant plus fort et légitime que les écoles des villes de Colombes, Villeneuve-la-Garenne et Gennevilliers accueillent le plus souvent une population d'élèves défavorisés, pour lesquels la question des moyens pédagogiques se pose de manière aiguë. Les menaces qui pèsent actuellement sur les Réseaux d'aides spécialisées aux élèves en difficulté (Rased) provoquent un mécontentement particulier, avec 3 000 postes de rééducateurs et psychopédagogues supprimés. Le rôle reconnu des Rased actuellement, et depuis maintenant 20 ans, permet d'apporter une aide spécifique et un bénéfice pédagogique irremplaçable aux élèves concernés. Les économies budgétaires à court terme que le Gouvernement entend faire sur ce dispositif risquent de provoquer des coûts plus importants à long terme si les moyens de remédiation scolaire des Rased sont réduits, voire supprimés. En outre, le rôle de conseil et d'accompagnement des acteurs éducatifs des Rased auprès des autres enseignants risque de disparaître, ce qui provoquera une dégradation des ressources pédagogiques dans les écoles. Enfin, ces réformes pour des motifs d'économie budgétaire, sans justification pédagogique et prises sans concertation, remettent gravement en question la réussite scolaire des élèves, ce qui est durement ressentis par les parents et les élèves eux-mêmes de sa circonscription. Aussi il lui demande de surseoir à ces suppressions de postes dans l'enseignement élémentaire, en particulier dans les Rased, et d'engager une concertation préalable et nécessaire à d'autres types de réformes, justes et efficaces, pour l'école.
Voir la réponseAssemblée nationale
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Télécopie : 01 47 99 07 56
Numéro de la place occupée : 584
(la zone en rouge situe le banc)
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