Commission d'enquête RER Ile-de-France : auditions de M. Pierre Mongin, Pdt de la RATP et de M. Guillaume Pepy, Pdt de la SNCF.
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Yvelines (6ème circonscription)
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Travaux récents
M. Pierre Morange souhaite attirer à nouveau l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les interrogations des orthophonistes concernant leur formation. Le 28 octobre dernier, il leur avait été annoncé que le niveau de master leur serait attribué et vous avez ainsi satisfait leur demande récurrente. Cependant son dédoublement en deux niveaux, master 1 pour des orthophonistes généralistes et master 2 pour des praticiens aux qualifications spécifiques, les inquiète au plus haut point. Ils souhaitent en effet que soit reconnue au niveau de master la formation initiale de l'ensemble des orthophonistes. Aussi lui demande-t-il quelles mesures il compte prendre pour les rassurer.
Voir la réponseM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le secrétaire d'État auprès de la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports, sur la demande des conducteurs de deux-roues motorisés. Il leur était jusque-là permis de circuler entre deux files de circulation aux abords des métropoles lorsque le trafic routier est saturé. Or ils constatent aujourd'hui que cette tolérance ne semble plus être de mise car cette pratique est de plus en plus souvent fréquemment verbalisée. Aussi demandent-ils le maintien d'un usage qui permet de soulager le trafic et de le fluidifier aux heures de pointe pour le plus grand bénéfice de tous les usagers des grands axes routiers. Il le prie de bien vouloir l'informer de la suite qu'il entend réserver à leur requête.
Voir la réponseM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de Mme la secrétaire d'État auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale sur l'inquiétude des responsables des Centres d'information sur les droits des femmes et des familles. Après l'annonce d'une baisse significative des crédits qui leur sont alloués, ces centres s'interrogent en effet sur leur possibilité de maintenir en l'état une activité initiée il y a désormais trente ans. Ils craignent que la diminution du financement ne mette en danger leur intervention globale auprès des femmes et des familles en difficulté qui n'ont jamais été aussi nombreuses qu'aujourd'hui. Il la prie de l'informer comment elle compte calmer leur inquiétude.
Voir la réponseCommission d'enquête relative aux modalités, au financement et à l'impact sur l'environnement du projet de rénovation du réseau express régional d'Île-de-France
Voir le document Voir le dossier législatifM. Pierre Morange attire l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'utilisation du perchloroéthylène, solvant utilisé pour le nettoyage à sec dans les pressings, qui est suspecté dans la genèse de certains cancers. Puissant, efficace et rentable, le perchloroéthylène est également très nocif, selon plusieurs études scientifiques. Ainsi il serait toxique pour les travailleurs, pour les riverains et pour la population générale. Les vapeurs de perchloroéthylène s'échappent des machines de nettoyage à sec lors de l'ouverture du hublot. Outre l'employé, exposé directement, les vapeurs touchent aussi les personnes qui habitent au-dessus du pressing, puisqu'elles peuvent traverser le béton et les planchers jusqu'à trois étages. Voisins, passants et clients des pressings sont aussi souvent en contact avec le solvant. Les normes de l'OMS sont de 250 µg/m3, et les riverains de pressing sont en moyenne exposés à 2 000 µg/m3. Récemment une septuagénaire habitant au dessus d'un pressing est décédée et une autopsie a montré qu'il y avait du perchloroéthylène dans tous ses organes sauf l'estomac, ce qui exclut l'ingestion. Récemment, un gérant du pressing a été mis en examen pour homicide involontaire et poursuite de l'exploitation d'une installation classée non conforme à la mise en demeure. Aujourd'hui l'instruction est en toujours en cours. Le parlementaire rappelle au ministre que les États-unis ont pris des "mesures fortes" contre le perchloroéthylène, ainsi que le Danemark dès 2003. En France la sous-direction prévention des risques liés à l'environnement et à l'alimentation a renforcer la réglementation en 2009 et des mesures adoptées ont permis de limiter les émissions de perchloroéthylène dans les logements situés au-dessus de ces installations. Le Haut conseil de santé public, sollicité par la direction générale de la santé, a recommandé en 2010 qu'à l'avenir, aucun nouveau pressing ne soit installé au voisinage immédiat de logements. Aussi il aimerait connaître les mesures qu'il compte prendre afin que les normes en vigueur en France vis-à-vis du perchloroéthylène soient renforcées et adaptées, car si le perchloroéthylène n'est pas banni, il n'est pas exclu dans un avenir proche qu'une action administrative pour carence fautive de l'État soit engagée afin de prévenir de tout risque sanitaire.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les actuelles interrogations des orthophonistes concernant leur formation. Alors que le ministère de l'enseignement et de la recherche lui a attribué le niveau de master en évaluant le contenu dispensé aujourd'hui à l'aune des référentiels activités, compétences et formations, son ministère, qui est cosignataire de leur diplôme, réserve toujours sa réponse. Ils en éprouvent de l'inquiétude car ils espèrent beaucoup de cette reconnaissance. Aussi lui demande-t-il comment il compte répondre à leur attente.
Voir la réponseIntervention en réunion de commission
Jeudi 16 février 2012 - Séance de 9 heures 30
Intervention en réunion de commission
Mercredi 15 février 2012 - Séance de 16 heures 30
M. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les attentes des praticiens hospitaliers qui participent à la permanence des soins dans les établissements publics. La loi n° 2010-1330 du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites a intégré la notion de pénibilité dans le code du travail, article L. 4121-3-1, rendant obligatoire à partir du 1er janvier 2012 son évaluation et sa prévention par les employeurs. Et le travail de nuit en est des critères reconnu défini dans les articles L 3122-29 à L 3122-31 du même code. Ces médecins, particulièrement concernés par l'activité nocturne, relèvent qu'à ce jour aucune mesure d'évaluation ou de prévention de cette pénibilité n'a été prise pour eux par le ministère contrairement à leurs espérances. Aussi lui demande-t-il quelles mesures il compte prendre pour répondre aux exigences légales.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le Premier ministre sur le profond malaise des responsables d'associations. Sa circulaire du 18 janvier 2010 relative aux relations entre les pouvoirs publics et les associations : conventions d'objectifs et simplification des démarches relatives aux procédures d'agrément (Journal officiel du 20 janvier 2010) avait, entre autres objectifs, ceux de clarification et de simplification. Ce texte a soulevé cependant un nombre important de questions parmi lesquelles celle de savoir de quel régime dépend le financement public sollicité par une association, subvention, compensation ou aide d'État. Par ailleurs, le plafond de 200 000 euros sur trois ans qu'elle met en avant semble bien inférieur aux préconisations mêmes de Bruxelles qui admet son relèvement à 500 000 euros du fait de la crise actuelle. Il le prie de bien vouloir lui faire savoir quelle est la position du Gouvernement sur ce dernier point à une époque où les besoins de soutien financier des structures associatives n'ont jamais été aussi grands.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les actuelles interrogations de missions locales pour l'emploi. Alors que les conditions de leur conventionnement pour la période 2001-2013 ont été profondément modifiées par les dispositions de la circulaire n° 2011-3 du 19 janvier 2011, elles viennent d'apprendre que l'enveloppe du fonds d'insertion professionnelle des jeunes était supprimée. Elles se trouvent aujourd'hui démunies et ne savent plus comment elles vont pouvoir financer les prestations d'accompagnement qu'elles assuraient jusque-là. Aussi lui demande-t-il quelles mesures il compte prendre pour leur permettre de poursuivre sereinement leurs missions.
Voir la réponseM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les actuelles interrogations des retraités face à l'augmentation du coût de la vie. Ils estiment que le mécanisme annuel de revalorisation de leur pension, bien que lié à l'évolution des prix à la consommation, ne suffit pourtant pas à la compenser car ils font le constat d'une contradiction constante entre l'inflation mesurée par l'Insee et celle qu'ils perçoivent. Ils soulignent par ailleurs que l'écart entre l'évolution du Smic et celle des pensions ne cesse de se creuser depuis 2003, leur progression depuis lors étant respectivement de 23,2 % et 11,6 % ce qui contribue à alimenter en eux un profond sentiment d'érosion de leur pouvoir d'achat. Aussi il lui demande quelles mesures il compte prendre pour calmer leurs inquiétudes.
Voir la réponseM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur l'inquiétude des missions locales relative à la situation des psychologues qui assurent des prestations auprès d'elles. Les 30 années d'existence de ces structures - aujourd'hui 460 qui fédèrent 1 600 lieux d'accueil - leur ont fait prendre la mesure de l'importance de l'action de ces praticiens. Leur présence, en effet, tant auprès d'un jeune public, dont les besoins en termes de santé et de santé mentale sont particulièrement aigus, qu'auprès des professionnels des missions locales très demandeurs de conseils face à ceux et celles qu'ils accompagnent, est devenue indispensable. Pour être efficace, la démarche qui vise l'insertion doit désormais être globale. Une étude récente montre qu'environ 320 structures sur les 460 proposent des rencontres avec un psychologue et que ces dernières sont assurées pour près de la moitié par un partenaire, pour moins d'un tiers par un salarié et le reste par un achat de prestations. La diversité de ces formes d'intervention reflète la variété de leur financement assuré par des subventions provenant soit de l'État soit du département ou encore de la commune mais dont la pleine reconduction n'est jamais assurée. Aussi les missions locales demandent-elles un dispositif pérenne. Il lui demande quelles mesures il compte prendre pour répondre à leur requête.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur la demande des jeunes pharmaciens des départements d'outre-mer. Afin d'obtenir un maillage équilibré des officines au regard de la population, l'article 59 de la loi n° 2007-1786 du 19 décembre 2007 de financement de la sécurité sociale pour 2008, parue au Journal officiel du 21 décembre 2007, favorise les transferts d'officine au détriment des créations. La densité officinale est forte en métropole et il est devenu possible d'acheter une pharmacie et de la transférer dans ces départements où elle est faible. Ces déplacements empêchent les jeunes pharmaciens autochtones de créer leur propre structure sur leurs territoires et ils le ressentent très mal. Aussi demandent-ils l'exclusion des DOM du champ d'application de l'article en question afin de leur permettre de s'installer dans leurs régions. Il lui demande quelles mesures il compte prendre pour répondre à leur attente.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur la situation de petites entreprises (autres que les auto-entreprises). Lors de la mise en oeuvre de la réforme de la taxe professionnelle, le Gouvernement a annoncé qu' «à l'exception des activités financières et de l'énergie, tous les secteurs de l'économie seront gagnants : industrie, services, transport ou encore commerce et BTP » et encore que « les PME seront particulièrement favorisées ». Or certaines d'entre elles dont l'activité ne concerne ni la finance ni l'énergie ont reçu leur avis d'imposition pour 2010 et se voient réclamer une contribution foncière des entreprises supérieure, parfois jusqu'à 20 %, à la taxe professionnelle acquittée en 2009. Cela génère une profonde incompréhension et un grand mécontentement. Sachant que le Gouvernement vient de prendre des dispositions pour les auto-entreprises, il lui demande de bien vouloir l'informer de celles qu'il entend prendre pour les autres entreprises touchées par cette hausse.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur la demande de certaines petites et moyennes entreprises. Elles constatent l'implantation sur leur champ d'intervention de structures déclarées comme associations sans but lucratif régies par la loi de 1901 tout en développant une activité commerciale générant un chiffre d'affaires conséquent. Cela crée une concurrence déloyale face à laquelle elles sont démunies. Aussi demandent-elles l'intervention des services de l'État notamment fiscaux afin que soient vérifiées les modalités d'exercice desdites associations. Il le prie de bien vouloir l'informer de la suite qu'il entend réserver à leur requête.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l'État sur la taxation des plus-values mobilières. Depuis le 1er janvier 2011, l'imposition des plus-values de cession de valeurs mobilières est effective dès le premier euro. Le gain des ventes réalisées cette année figurera dans la déclaration des revenus de 2011 et l'impôt dû y afférent sera exigible jusque octobre 2012 lors du paiement des contributions sociales. Des contribuables s'interrogent sur la nécessité de maintenir ce décalage qui peut aller jusqu'à 18 mois en cas de cession début 2011 et souhaiteraient un prélèvement à la source, lors de la vente, comme cela se fait pour les plus-values immobilières. Aussi lui demande-t-il de bien vouloir lui indiquer les dispositions qu'il entend prendre pour répondre à leur sollicitation.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la santé sur les effectifs des chirurgiens dans notre pays. Les délais requis pour une intervention chirurgicale s'allongent alors que les besoins de notre population qui compte de plus en plus de seniors s'accroissent. Cette situation va s'aggraver par le fait que la moyenne d'âge de nos chirurgiens est élevée et que les jeunes étudiants en médecine hésitent à choisir un métier dont les multiples contraintes (horaires élevés, gardes de nuit et de week-end, primes d'assurance élevées, risque de comparution devant un tribunal accru, etc.) ne sont pas compensés à hauteur par les revenus financiers. Aussi lui demande-t-il quelles mesures il compte prendre pour contrer la raréfaction de ces praticiens.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de M. le ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration sur la demande des policiers municipaux. Très satisfaits des mesures relatives à la police municipale inscrites dans la loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure votée en février 2011, ils ont été sévèrement déçus, ensuite, lors de la publication de la décision du Conseil constitutionnel 2011-625 du 10 mars dernier qui les censure. Ils se demandent aujourd'hui comment ils vont pouvoir continuer à assurer pleinement les missions de sécurité publique qui leur sont confiées, en particulier sans la possibilité de contrôler les identités qui leur est indispensable aujourd'hui. Ils souhaitent que soient levés les obstacles relevés par le Conseil constitutionnel qui empêchent de leur attribuer cette compétence. Il le prie de bien vouloir l'informer de la suite qu'il entend réserver à leur requête.
Voir la questionM. Pierre Morange souhaite attirer l'attention de Mme la ministre de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement sur la législation se rapportant aux animaux. Les textes y afférents sont aujourd'hui répartis entre le code rural, le code de l'environnement et le code pénal ce qui a généré des confusions voire des contradictions. Aussi nos concitoyens en sollicitent-ils le regroupement et la mise en cohérence. Il lui demande de bien vouloir lui indiquer les dispositions qu'elle entend prendre pour répondre à leur requête.
Voir la questionAssemblée nationale
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