Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Pierre Vatin
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Guillaume Peltier
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de monsieur le député David Lorion
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Didier Quentin

Substituer à l'alinéa 1 les trois alinéas suivants :

« I. –  Le dispositif de la réserve parlementaire est complété de la manière suivante :

« - Chaque année, à une date définie par le bureau de chaque assemblée, chaque parlementaire transmet la liste des associations et collectivités dont il souhaite que soient accompagnés les projets présentés avec un descriptif des actions envisagées et des plans de financement proposés pour examen par une commission ad hoc, composée au prorata de la représentation ;

« - Avant transmission des dossiers aux ministères compétents, cette commission émet un avis sur la recevabilité des propositions et leur compatibilité avec les objectifs du dispositif dit de « la réserve parlementaire ». »

Exposé sommaire

Il est inenvisageable de procéder à une suppression ‘sèche’ de la réserve parlementaire sans prévoir de manière la plus précise possible un mécanisme de substitution, eu égard à l’importance des dynamiques territoriales que sous-tend ce dispositif.

Ce dispositif permettra de répondre aux légitimes inquiétudes des parlementaires, telles qu’exprimées avec insistance et de d’apporter les crédits, anciennement alloués à la réserve parlementaire, en soutien aux dynamiques des territoires, a fortiori les plus fragilisés.