Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Stéphane Viry
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
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Photo de monsieur le député Pierre Cordier
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Photo de madame la députée Emmanuelle Anthoine
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Damien Abad
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de monsieur le député Laurent Furst
Photo de monsieur le député Rémi Delatte
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de madame la députée Annie Genevard

À l’alinéa 13, après le mot :

« raisonnable, »,

insérer les mots :

« qui ne peut excéder deux mois, ».

Exposé sommaire

La notion de « délai raisonnable » qui s’applique souvent aux fonctionnements de l’administration en direction des administrés présente deux inconvénients majeurs :

- d’une part elle est subjective et floue, et conduit à des variations importantes - dans les faits - quant au tempo de traitement des dossiers, qui rendent très imprécises les décisions de l’administration,

- d’autre part, elle détone singulièrement avec les délais souvent très courts et à observer strictement par l’administré dans ses rapports à l’administration. Cette distorsion est anxiogène. Elle crée et entretient un climat de défiance.

Cet amendement vise a fixer à deux mois la notion de « délai raisonnable ».