Fabrication de la liasse
Photo de monsieur le député Julien Aubert

Julien Aubert

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Fabrice Brun

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Photo de monsieur le député Julien Dive

Julien Dive

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Photo de monsieur le député Claude Goasguen

Claude Goasguen

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Philippe Gosselin

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Photo de monsieur le député Emmanuel Maquet

Emmanuel Maquet

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Photo de monsieur le député Éric Pauget

Éric Pauget

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Photo de monsieur le député Robin Reda

Robin Reda

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Photo de monsieur le député Frédéric Reiss

Frédéric Reiss

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Photo de monsieur le député Éric Straumann

Éric Straumann

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Photo de monsieur le député Jean-Charles Taugourdeau

Jean-Charles Taugourdeau

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Photo de monsieur le député Arnaud Viala

Arnaud Viala

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À l’alinéa 6, substituer aux mots :

« réduit de 50 % »

le mot :

« nul ».

Exposé sommaire

Le projet de loi pour un État au service d’une société de confiance instaure un droit à l’erreur.

L’article 3 entend tirer les conséquences de ce nouveau droit en matière fiscale. Ainsi la sanction pécuniaire prévue au titre de l’intérêt de retard serait réduite de moitié pour le contribuable qui apporte lui-même une rectification.

Or, même réduite, il y aurait sanction pour des personnes qui sont pourtant de bonne foi. Le droit à l’erreur promis n’est donc qu’un « demi droit à l’erreur », qu’une formule de communication.

Le présent amendement vise donc à donner tout son sens au « droit à l’erreur » en ne sanctionnant pas du tout les personnes de bonne foi qui commettent une simple erreur et qui, de surcroit, la rectifient d’eux-mêmes.