Fabrication de la liasse
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Maxime Minot
Photo de monsieur le député Arnaud Viala
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de monsieur le député Patrice Verchère
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de madame la députée Frédérique Meunier
Photo de monsieur le député Guillaume Peltier
Photo de madame la députée Valérie Beauvais

Au I de l’article L. 415‑7 du code de l’environnement, les mots : « puni de six mois d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende », sont remplacés par les mots : « passible d’une amende administrative, prononcée par l’autorité administrative compétente, dont le montant ne peut excéder 15 000 euros »

Exposé sommaire

L’amendement propose de remplacer, les sanctions pénales prévues en cas de non-respect de la procédure d’évaluation Natura 2000, par une sanction administrative. Cela devrait permettre de maintenir le caractère dissuasif de l’infraction, tout en enlevant le caractère pénal, qui peut paraitre disproportionné, au regard de l’acte visé (absence de déclaration). La peine privative de liberté de 6 mois est supprimée, l’amende pénale est transformée en amende administrative et son montant est réduit de 30 000 € à 15 000 €.