Fabrication de la liasse
Rejeté
(mercredi 13 décembre 2017)
Photo de madame la députée Annie Genevard
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de madame la députée Bérengère Poletti
Photo de madame la députée Brigitte Kuster
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de madame la députée Valérie Boyer
Photo de monsieur le député Pierre-Henri Dumont
Photo de madame la députée Valérie Bazin-Malgras
Photo de monsieur le député Bernard Perrut
Photo de madame la députée Isabelle Valentin
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de monsieur le député Jean-Louis Masson
Photo de monsieur le député Claude de Ganay
Photo de madame la députée Valérie Lacroute
Photo de monsieur le député Jacques Cattin
Photo de monsieur le député Jean-Marie Sermier
Photo de monsieur le député Sébastien Leclerc
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de madame la députée Josiane Corneloup
Photo de madame la députée Valérie Beauvais
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Michel Vialay
Photo de madame la députée Marie-Christine Dalloz
Photo de monsieur le député Frédéric Reiss
Photo de monsieur le député Gilles Lurton
Photo de monsieur le député Charles de la Verpillière
Photo de monsieur le député Julien Aubert
Photo de monsieur le député Laurent Furst

I. – Supprimer l’alinéa 9.

II. – En conséquence, rédiger ainsi le début de l’alinéa 10 :

« IV. – Pour l’accès aux formations autres que celles mentionnées aux V et VI, l’autorité académique peut, afin... (le reste sans changement) ».

III. – En conséquence, à l’alinéa 11, substituer aux mots :

« aux premier et deuxième alinéas »

les mots :

« au précédent alinéa ».

Exposé sommaire

Lors de l’entretien entre la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche et une délégation de députés, la Ministre a convenu que le pourcentage d’étudiants boursiers par établissement, à quelques exceptions, était globalement équivalent – environ 20 % – et de ce fait, satisfaisant.

Ainsi, fixer un pourcentage minimal de bacheliers bénéficiaires d’une bourse nationale en fonction du rapport entre le nombre de bacheliers boursiers candidats et le nombre total de demandes d’inscription dans une formation rend le processus et le traitement des différentes informations par l’algorithme – qui devra dès lors prendre de nouvelles données en compte – d’autant plus complexes. Il s’agit là d’un souci d’affichage politique qui n’a pas lieu d’être dans le cadre du traitement même des informations lors du procédé de préinscription.