Fabrication de la liasse
Rejeté
(mercredi 7 février 2018)
Photo de monsieur le député Philippe Gosselin
Photo de monsieur le député Julien Aubert
Photo de madame la députée Nathalie Bassire
Photo de monsieur le député Thibault Bazin
Photo de monsieur le député Jean-Yves Bony
Photo de monsieur le député Fabrice Brun
Photo de monsieur le député Dino Cinieri
Photo de monsieur le député Pierre Cordier
Photo de monsieur le député Vincent Descoeur
Photo de monsieur le député Julien Dive
Photo de madame la députée Virginie Duby-Muller
Photo de monsieur le député Patrick Hetzel
Photo de monsieur le député Marc Le Fur
Photo de madame la députée Véronique Louwagie
Photo de monsieur le député Jérôme Nury
Photo de monsieur le député Jean-Pierre Vigier
Photo de madame la députée Constance Le Grip
Photo de monsieur le député Arnaud Viala

Compléter l’alinéa 2 par la phrase suivante :

« Lorsqu’elle constate un manquement, la Commission nationale de l’informatique et des libertés peut ordonner au responsable de traitement de rembourser à l’association ou à l’organisation qui en fait la demande les frais engagés par celle-ci pour exercer les droits des personnes concernées ».

Exposé sommaire

L’action de groupe instituée par le RGPD ne saurait revêtir un caractère effectif si elle ne reposait sur aucune source de financement dédiée. À moins que les personnes concernées ne puissent être indemnisées du préjudice qu’elles ont subi, il y a peu de chance qu’elles financent elles-mêmes une association pour les représenter.

Or, mener efficacement une action de groupe a un coût important, qui peut s’avérer dissuasif sans mesures d’accompagnement appropriées. Mettre directement ce coût à la charge des responsables de traitements sanctionnés permettra d’atteindre l’équilibre financier le plus pertinent.