Fabrication de la liasse
Rejeté
(mercredi 7 février 2018)
Photo de madame la députée Blandine Brocard
Photo de monsieur le député Cédric Villani
Photo de madame la députée Monica Michel-Brassart
Photo de monsieur le député Éric Bothorel
Photo de madame la députée Anne-France Brunet
Photo de monsieur le député Bruno Studer
Photo de madame la députée Séverine Gipson
Photo de monsieur le député Sébastien Nadot
Photo de madame la députée Émilie Guerel
Photo de monsieur le député Denis Masséglia
Photo de madame la députée Claire O'Petit
Photo de monsieur le député Patrick Vignal
Photo de madame la députée Sophie Beaudouin-Hubiere
Photo de monsieur le député Adrien Morenas
Photo de madame la députée Stéphanie Kerbarh
Photo de monsieur le député Jean-Marie Fiévet
Photo de madame la députée Isabelle Rauch
Photo de madame la députée Jacqueline Dubois
Photo de madame la députée Pascale Boyer
Photo de madame la députée Pascale Fontenel-Personne
Photo de monsieur le député Didier Martin
Photo de madame la députée Bérangère Abba
Photo de monsieur le député Vincent Thiébaut
Photo de monsieur le député Grégory Besson-Moreau
Photo de monsieur le député Frédéric Barbier
Photo de monsieur le député Grégory Galbadon
Photo de madame la députée Laurence Vanceunebrock
Photo de monsieur le député Bertrand Sorre
Photo de monsieur le député Stéphane Testé
Photo de monsieur le député Bruno Bonnell
Photo de madame la députée Fannette Charvier

L’article 7 de la loi n° 78‑17 du 6 janvier 1978 précitée est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Le consentement de la personne concernée doit être obtenu de manière loyale et résulter d’une action volontaire, explicite, libre, spécifique et informée.

« La Commission nationale de l’informatique et de libertés adopte une norme précisant la manière dont le consentement peut être obtenu pour être conforme aux alinéas précédents. Cette norme est révisée annuellement pour tenir compte des évolutions techniques et des nouvelles pratiques observées dans le cadre de l’obtention du consentement. »

Exposé sommaire

La CNIL établit un cadre règlementaire définissant précisément les méthodes qui peuvent être utilisées, ou qui ne peuvent pas l’être, pour obtenir le consentement.

Par l’observation des nouvelles plaintes transmises, par sa mission de contrôle, la CNIL pourra enrichir et réévaluer ce cadre règlementaire afin de tenir compte des nouvelles technologies ou des pratiques jugées non conformes.

L’établissement d’un cahier des charges précis sur le recueil du consentement permettra :

- aux personnes concernées d’avoir confiance dans la manière dont leur consentement est recueilli sans avoir à se méfier constamment des « petites lignes trompeuses ».

- aux responsables de traitement de connaître précisément les pratiques autorisées et interdites lors de la mise en forme de leurs formulaires de recueil de consentement.